vergobret

Hyeronimus

Les arguments de ses affirmations seraient suffisant.
Mais il est vrai que les choses que vous évoquez ont un certain poids.

Avec Léon, tout se réduit à un antagonisme. De là à le qualifier de primaire...
Léon, votre laconisme n’éclaire personne, vous êtes à la traine..

Vous me rappelez la cour d’école, Léon, beaucoup de gueule, peu de savoirs.

Cet auteur ne répond pas aux commentaires faisant suite à ses assertions. Il est parti exercer ? Je suis fébrile par avance de suivre l’exposé de sa subtile pédagogie. Il nous a déjà fait profiter d’une intrigue digne de (comp)parution (à compte d’auteur, bien sûr). Laissons-le se faire plaisir, laissons-le s’écouter écrire...
A contrario des auteurs du lieu, cet homme-là ne transmet pas l’info, cad ce qui se dit ailleurs et partout, tout en opposant d’autres arguments (bref votre métier de journaliste, quoi), mais nous fait part de ses convictions, du fruit des ses cogitations, au prix de quelques injonctions. En tant que médecin ? Ses références sont très vagues : les médias, on...

Bref...

A l’auteur.

« répandre l’idée... » Des spécialistes des vaccinations ont mis en cause le processus d’amm. Si vous dites que les journalistes ou spécialistes ou Ong ou administrations qui ont relayé une info du domaine de Santé Publique se répandent ( ont fait leur métier, quoi), vous occultez leur rôle, éludez l’éventualité d’une toxicité et avez un problème de sémantique (vocabulaire ?) : répandre n’est pas le bon mot et discrédite la contradiction, qui reste rationnelle.
Que dire de votre position quant à ce sujet que vous traitez vous-même, vous répandez-vous ?

« on jette le doute alors que les adjuvants » On, c’est d’émminents checheurs, dont des nobels.. Ces adjuvants sont interdits, sous cette forme, aux usa (syndômes du Golf) et selon certains (on) sont un millionième fois plus élevés que dans la solution américaine..
« battage fait autour des quelques effets annexes » Seriez vous prêt à vous confronter avec des parties civiles américaines ? J’aime bien vos « quelques effets annexes ».
« polémique sur le traitement en une ou deux injectionsjeux de conditions différentes. » Un choix de santé publique n’est pas une polémique mais un dilemme, surtout compte tenu de cette campagne, justement. Polémique n’est pas vraiment le bon mot, encore un problème de sémantique, décidément..
« C’est l’absence d’intervenants qualifiés » Vous venez d’arriver ? Ou vous continuez d’occulter ? A quoi jouez-vous ? A l’apprenti écrivain ? Au feu ? Dans votre propos, c’est le médecin qui engage sa parole ou c’est un intervenant donne son opinion ?
«  dissuader les français de se faire vacciner ! » Vous prenez le problème à la fin, des chiffres alarmants ont d’abord été proposés aux Français, des mesures juridiques ont failli être adoptées (conf CSM). En catimini..
 Bref, pour vous reprendre...
Votre sincérité est touchante, mais vous donnez des leçons à des personnes qui sont mieux équipées que vous pour débattre de cette affaire, en terme de médecine, et de littérature. Par dessus tout ne donnez pas de leçon aux journalistes.
« Les français doivent se faire vacciner et il vous appartient de les en convaincre. » Parole de médecin ?
Bien amicalement.