« l’UE permet effectivement la paix, grâce à l’intervention des américains et des européens, la Serbie, la Croatie ect... se pacifient. »
Bien sur que non, l’UE n’est pas la paix. Lisez l’article 347 du TFUE et vous apprendrez qu’elle prévoit la guerre en son sein. Le cas échéant, sa première préoccupation n’est absolument pas la fin des bombardements, des tueries en masse, mais uniquement et seulement le maintient du commerce intérieur.
Aussi, le Parlement européen a bien voté une résolution pour une intervention en Libye. L’UE a détruit un pays qui ne lui a rien fait. L’UE, c’est la guerre et du commerce.
Paris fait part à la Bolivie de ses regrets pour avoir refusé le survol de son territoire à son Président, M. Morales.
Là on dépasse le cap du « j’men foutisme » ou de l’incompétence. Il s’agit bien de réaliser le sabordage de la France après avoir abandonner ses commandes en 2007 à Lisbonne.
Nos dirigeants peuvent raisonnablement être qualifiés de traîtres.
J’ai lu le texte du PCF que vous avez mis en lien.
Comme on peut le lire en bas de page, ce texte a été publié le 9 mars 2013.
Extrait de la fin du texte : « Sans la classe ouvrière en lutte, les militants communistes que nous sommes ne peuvent rien. Mais pour s’unir, gagner et diriger à nouveau la lutte de tout le peuple pour le progrès, la classe ouvrière a besoin que s’unissent les communistes fidèles au drapeau tricolore de Robespierre et au drapeau rouge frappé de la faucille et du marteau qui symbolisent le camp des travailleurs ! »
« Finalement, la différence entre les deux partis ne réside pas tant en leur attitude face à l’Union Européenne que dans la forme choisie. L’UPR est un petit parti qui souhaite devenir un parti de masse alors que le Front de Gauche, formé de plusieurs partis et associations, se veut avant tout un parti de classe. »
Par ce paragraphe, vous avez parfaitement résumé la position de ces partis.
D’un côté, le FdG qui par nature ne peut pas rassembler tous les Français face à une Union Européenne et bloque ses élécteurs dans une impasse en leur promettant une europe sociale dont les autres gauches « européennes » ne veulent pas forcément.
De l’autre, l’UPR qui rassemble tous les Français de toutes les opinions politiques afin qu’ils reprennent ce qui leur a été volé, à savoir l’exercice de la souveraineté nationale.
« Pour l’UPR le seul moyen de pouvoir tenter de faire sortir la France de l’euro, de l’ Union européenne, est de disposer du référendum d’initiative citoyenne en toutes matières et notamment constitutionnelle et de ratification des traités. »
Actuellement, le référendum d’initiative citoyenne n’existe pas dans la Constitution de la République française.
Cependant, il est prévu un référendum organisé à l’initiative d’un cinquième des membres du Parlement, soutenue par un dixième des électeurs inscrits sur les listes électorales. Ces conditions doivent être précisées par une loi organique. Savez vous si cette loi a été adoptée ?