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MAF

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Pour l'application du jugement majoritaire au lieu du scrutin majoritaire comme mode d'élection afin de réconcilier les citoyens avec le vote démocratique. (Voir Article de 'Pour la Science' n°414, Avril 2012)
Libre penseur, contributeur occasionnel sur les problématiques de l'énergie lorsque dans les forums je visualise des mensonges par méconnaissance du sujet, surtout à cause des médias qui invitent n'importe qui pour faire de l'audimat (par exemple un membre du GIEC avec un climato-sceptique, ce n'est pas cela la démocratie, faire du 50-50 comme pour 'qui veut gagner des millions' car les climato-sceptiques ne représentent même pas 1% des scientifiques, et sont en mal de reconnaissance).
Non expert sur l'énergie, puisque seule une association d'hommes et de femmes peut le devenir. Un homme seul spécialiste d'un domaine ne peut devenir expert puisqu'il néglige tous les autres points de vue.

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  • Premier article le 19/10/2013
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Derniers commentaires



  • MAF MAF 2 octobre 2016 19:35

    Faire peur à long terme, c’est le lot des partis extrêmes. Lorsqu’on traverse la route, il faut bien se faire peur à court terme, c’est pour cette raison qu’on regarde à droite et à gauche avant de traverser, on s’imagine le scénario le plus catastrophe. Il faut pourtant se l’imaginer si on veut pouvoir rester en vie de l’autre côté de la route. Mais la peur n’est pas un but, elle fait partie de notre quotidien. Comme dit Bertrand Cassoret, il faut se ’faire peur’ pour rester en vie et continuer d’avoir des projets. L’énergie par personne est un sujet qui fait peur si on se projette dans l’avenir. La démographie est un sujet qui fait peur. Mais bien des sujets se règlent dans la paix. La démographie n’est plus un problème pour les pays riches, le taux de fécondité approche de 2, il y a stabilisation autour de ce chiffre. Le film Demain est riche d’interrogation et d’enseignement. Demain il faudra se la ’jouer’ collectif dans ce monde individualiste qui nous a donné tout ce confort qui devient progressivement une source de mal-être pour de plus en plus de personnes. Si ’Demain’ est un monde avec plus de collectif, alors allons-y, même s’il faut baisser de 1°C notre thermostat.On regardera moins la TV, on postera moins de message sur son ordinateur, on réparera nos objets du quotidient, on épluchera ses patates, on jouera au scrabble, aux cartes, et on regardera moins ses notifications absurdes. Il n’y a pas si longtemps, c’était comme cela, et ce n’était pas le moyen-âge pourtant. Les centrales électriques existaient déjà.



  • MAF Vincent F.A. M. 6 novembre 2013 23:18

    Le Renouvelable ne donne pas d’autonomie si on parle du photovoltaïque et de l’éolien en France. Mais si on parle de la Biomasse, peut-être, à la seule condition de consommer beaucoup moins qu’on le fait actuellement.
    Pour le transport, il est possible de se déplacer techniquement parlant, en véhicule électrique pour 4 personnes, mais l’infrastructure (bornes de recharge, échange de batterie), n’existe pas encore.
    On en est encore à mettre de l’asphalte partout alors que le déclin pétrolier fait partie de notre histoire. Les pays nordiques ont recours aux pavés pour les villes, les parkings, les lotissements. Cela a 2 avantages : lutte contre les inondations, et cela évite l’utilisation d’un produit pétrolier qu’il faut réparer, et refaire sans arrêt lorsqu’on refait les réseaux.
    Mais si on n’accepte pas de financer la transition (impôts, taxe, dons, .....), il n’y aura pas de transition et on finira par avoir la grêce en france : Système D, économie parallèle. Ce qui peut être voulu pour ceux qui habitent encore dans le Larzac, ne sera qu’instabilité pour les autres qui seront loin des terres agricoles, et très dépendant de l’énergie.



  • MAF Vincent F.A. M. 6 novembre 2013 18:04

    Une société économique ne peut pas prospérer dans un état instable. Une société sans fonctionnaires serait sûrement instable.

    La différence entre les partis politique c’est la dose qu’il faut mettre, un peu plus à gauche et un peu moins à droite. Beaucoup à l’extrême gauche, et très peu à l’extrême droite. Dans tous les cas, il est indispensable d’en avoir un minimum pour qu’il y ait un contrôle du service public bien rendu si on veut un état stable.

    Maintenant, certains débattent sur la différence entre statut public et service public. Un médecin n’a pas de statut public mais il rend (tant que l’état cadre bien) un service public, il est en quelque sorte fonctionnaire avec un salaire de profession libérale. (vive les médecins, le seul repproche, c’est qu’il y a un numérus clausus, voilà c’est dit.) D’ailleurs, pourquoi ne pas avoir plus de médecins passant un concours de fonctionnaire et gagnant comme des docteurs de fac ? Voilà c’est dit aussi.
    Un bâtisseur de route et d’infrastructure rend également un service public, et généralement seul l’état est client. Il est donc aussi fonctionnaire sans en avoir le statut, mais au final, c’est le contribuable qui paye (et qui en profite aussi collectivement, là aussi c’est dit).
    J’appouve le message précédent de ’lois économiques



  • MAF Vincent F.A. M. 4 novembre 2013 23:17

    La croissance a toujours poussé à la colonisation et donc à la guerre.

    Si 12000 personnes avaient placé chacun 1 euro en l’an 1 sur un compte qui rapporte 3%/an, c’est peu, alors après 2013 ans, comme l’or est de 42000 euros/kg, on aurait eu un volume d’or équivalent à celle de la Terre. Y a pas un problème ?

    La « croissance » n’existe pas « mathématiquement » et « physiquement », peut-être qu’elle existe ’économiquement’ puisque l’économie n’est pas une science.

    Remplacer le mot ’CROISSANCE’ dans toute les phrases par le mot ’GUERRE’ et tout devient plus clair pour tout le monde. On peut comprendre ainsi que le mot ’CROISSANCE’ peut faire peur certains et réjouir d’autres.



  • MAF Vincent F.A. M. 4 novembre 2013 22:39

    Des prix d’énergie qui baissent, c’est plus de dépendance à ces énergies, sachant que nous n’en possédons pas, à part 10% venant des centrales hydrauliques et de la biomasse. L’urarium est entièrement importé, les hydrocarbures aussi. En cas de blocage, nous n’avons que 3 mois de stocks stratégiques. Les scandinaves sont heureux de payer des impôts, ils veulent même en payer plus pour avoir plus de service.
    L’iran possède des hydrocarbures et roulent pour 10 c€/Litre, mais résultat : leur gouvernement voudrait augmenter le prix pour en avoir plus à exporter. Mais impossible, pourtant les pénuries augmentent, la rue commande, et c’est la galère aux stations services.
    En union soviétique, jadis, tout le monde avait un salaire mais pas assez de matières premières pour tous, donc il y avait des files d’attente qui duraient des heures pour un morceau de pain.
    Comment l’emploi se développera plus tard avec des pénuries de carburant à venir faute d’explication, de courage des politiques de dire la vérité technique et scientifique des géologues, d’éducation à la rareté, et au dénis de la baisse programmée des hydrocarbures (la preuve on va le chercher dans des endroits très durs à le récupérer, c’est bel et bien la fin des haricots) ? Baisser le prix conduira plus vite à la pénurie. Augmenter le prix c’est obliger à adapter le comportement, la technique, l’innovation, et donc à augmenter l’emploi à moyen et à long terme. Ce n’est que mon point de vue, surement non partagé par la rue dont je suis issu. Merci à Agoravox de me donner la parole.

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