« J’ai été une petite fille qui ouvrait des grands yeux sur le monde, qui trouvait que l’enfance n’allait pas assez vite, qui voulait comprendre, rencontrer des gens. Gamine, j’avais l’impression d’un temps qui s’écoulait au ralenti… Je n’étais pas malheureuse. J’aimais mes parents, ma famille. Mais, mon Dieu, que l’enfance était longue ! J’avais soif du monde, sans y mettre quelque chose de précis »
J’ai failli m’ouvrir les veines d’ennui à la lecture de ces quelques lignes. Comment peut-on écrire des horreurs pareilles ?!
"c’est bien avant les classes préparatoires qu’il faut aider les plus pauvres à s’engager dans les études mais aussi les français moyens et enfin s’il en reste ."
L’idée est de développer une élite minoritaire, à l’américaine. Ainsi, les pauvres français, comme leur cousins américains, auront le privilège, que dis-je, l’honneur, de voir parader à la télé une poignée de leurs semblables honorés de l’amitié des possédants.