Ma sympathie va vers les opprimés du moment mais cela ne veut pas dire que je serai prêt à oublier tout le reste. Donc, « les terroristes sans foi ni loi » se trouvent pour moi des deux côtés. Et je ne saurai dire qui sont les pires.
Avec toute ma sympathie que j’ai pourrais avoir pour les Palestiniens, je n’oublierai non plus le « nettoyage » ethnique des pays arabes où ne vivent plus des juifs aujourd’hui (en Algérie, doublé de la politique du « bateau ou du cercueil »). Et force est de constater que ça continue aujourd’hui. Non, juifs et arabes/palestiniens ont bien des points communs :
— ils ont leur livre sacré dont il ne fut pas changer une seule lettre ;
— et à titre de quoi toutes les discriminations (et pire !) sont autorisées et même, recommandées,
— Yéhova c.q. Allah leur ont donné cette terre et donc les autres dégagent,
— quand ils sont en France, leur maison leur appartient parce qu’ils l’ont acheté ; mais selon les principes précitées, en Palestine la maison de leurs voisins leur appartient parce que cette terre est la leur selon leurs livres saints respectifs.
— les enfants c’est soi-disant sacré et plus qu’on en a fait, plus qu’on réclame de la « démocratie » comme si le seul nombre donnerait tous les droits.
Qu’ils se démerdent et surtout, qu’ils garderont leur Har-Magid, en grec, Armageddon, pour eux-mêmes.
"Le marché de l’Art n’est pas la Bourse, il répond à de nombreux aléas dont celui de la mode. Les Dernières cartouches de Neuville, tableau acheté 200.000 francs-or en 1890, fut revendu 3.900 francs à l’Hotêl Drouot en 1949 !
"
Comme il y a une siècle quand Guimet avait ramassé dans les arrière-cours des temples japonais sa collection de sculptures — juste bien à brûler selon les Japonais —mais qui vaut aujourd’hui son poids en or. Ou peut-être, dans un siècle — ou non ?! — quand l’Afrique rachètera tout ce que le Musée Jacques Chirac va sortir pour les poubelles.
Bref, pour l’Art il n’y a qu’un seul critère : est-ce que VOUS l’aimez ? Et que votre goût soit ’bonne’ ou ’mauvaise’ n’a pas d’importance.
Même problème qu’en France. Les black blocks qu’on
ne peut identifier nominativement sont relâchés par la Justice pendant qu’on sait qu’ils ont
tout fait pour casser un max ; toute leur action est/ était basé sur ce principe. Normal que la police ajuste ses méthodes jusqu’à
on ait compris qu’un manifestation doit se dérouler pacifiquement. Là, il ne
faut pas incriminer a police mais les black blocks.
Quant au Gilets Jaunes, ça
a été une toute autre histoire. Là, c’est bien la police qui avait commencé un
8 décembre à 8h du matin, quand tout était calme, ses charges à la con. Puis,
les Gilets Jaunes ne demandaient qu’on les écoute, et aux primes d’abords, ils
n’étaient pas violent. Là, c’était bien macron qui avait mené une stratégie
pour criminaliser d’office les gilets jaunes.