Les 8 millions d’Algériens de 962 sont 48 millions aujourd’hui. Et bien plus que 8 million d’entre eux, vivent dans des pays européens et consomment et polluent autant qu’eux. Par contre la population fdsouche de la France, 40 millions, serait resté stable ou en diminution si on avait exclu l’immigration tout va.
Enfin, chaque fois qu’il y a un milliard d’hommes en plus, le nombre d’espèces définitivement atteint a doublé et ceci 1850.On prévoit donc qu’avec 8 milliards d’individus, 10% sera définitivement éteint. Et avec les 11 milliards (selon vous, la prévision médiane), on pourra s’attendre à ce que 75% des espèces vivantes seront définitivement éteinte.Donc déjà avec votre article à la padamalgam,on court à la catastrophe.
Bien sûr que la monnaie n’est basé que sur la confiance mutuelle et que sans ce facteur psychologique, elle est complètement bidon. C’est pour cela qu’on peut, qu’on DOIT dévaluer l’euro comme on avait fait dévaluer le franc français, le mark allemand ou le dollar américain dans les années 1920-30 (respectivement de 80%, 99,99% et 68%). Le faire aujourd’hui, reviendrait à faire payer les dettes nationales par l’argent garé dans les paradis fiscaux (infiniment plus important que le livret A à Z). C’est à dire, faire payer ces capitaux pas nets, souvent issus de transactions frauduleuses mais toujours soustraits à l’effort collectif.
En matière médicale, la norme est faire une expérience avant de se décider. Et l’expérience doit répondre à plusieurs critères :
— établir un protocole ce qu’on va tester,
— un protocole sur qui on va tester,
— un groupe témoin.
On est loin du compte dans le cas présent et tous ces chercheurs qui sous prétexte qu’ils ont absolument raison, qu’il y a urgence, et donc, qu’ils ont le droit de passer outre ces normes, se ridiculisent et abaissent leur profession. C’est une HONTE.
Merci, et surtout pour le lien vers l’article du Lancet mais aussi vers l’article « Ne soigner que ... ». .Là, on rentre dans le vif su sujet avec les vrais arguments et pas les « on dit que ».
La première chose que je fais quand je lis quelque chose de polémique, c’est de trouver l’article original. Or, dans le cas présent, impossible de trouver l’article du Lancet sur le net (peut-être, d’ici quelque jours ?). La deuxième chose que je voulais faire, c’est de le comparer avec les prescription du prof Raoult.
Dans le cas présent, cela se résume à deux choses : vérifier que l’article du Lancet concerne bien des malades hospitalisés, donc DÉJÀ gravement atteint, et la prescription du Dr Raoult des personnes qui ne sont PAS encore gravement atteintes.
Le reste, TOUT le reste, ne devraient découler que de cette simple vérification.