Les travaux de COURTILLOT, géophysicien membre de l’académie des sciences, et de son équipe, sont tout à fait remarquables.
Entre autre choses il a mené des audits sur les fondements des doctrines réchauffistes, qui ont abouti à l’observation que ces fondements étaient faux, et que les articles publis dans les revues scientifiques étaient en réalité non audités, et même non-auditables puisque leurs auteurs scientifiques se refusent à communiquer leurs données.
COUTILLOT soulève à la suite de la multitude des scientifiques non-réchauffistes dont les médias ne vous parlent jamais, une évidence : hélas aujoud’hui la science prétenduement relues par les pairs (« peer-reviewed ») est dévoyée. Les relectures par les pairs sont devenus un simple cache sexe totalement indécent.
Au fondement de la méthode scientifique se trouve un principe fondamental : la vérificabilité. Toute assertion scientifique doit être vérifiable, c’est à dire reproductible dans des conditions comparables. Un théorème doit pourvoir être démontrable et redémontré, une expérience de physique observable et réobservée, etc. La méthode de la relecture par les pairs était à l’origine destinée à garantir la vérification. Or aujourd’hui la complexité des méthodologies mises en place et l’ahurissante multiplication des publications scientifiques (dont les 90% pourraient tout ausi bien être mises à la poubelle) font que les relectures se contentent de garantir la plausibilité des assertions, et non leur exactitude.
Ce phénomène est devenu gravissime dans les sciences du climat, puisqu’on demande aux responsables politiques de se soumettre au diktat d’une sélection biaisée de travaux « scientifiques » « revus par leurs pairs » menés par des « scientifiques » qui sont souvent dans le même temps des militants écologistes extrémistes ayant choisi un domaine de la science par messianime misantropique, et on oubie de dire que la relecture n’est plus une relecture d’exactitude mais une simple relecture de plausibilité, les méthodologie incomplètement décrites, les données sources cachées et non vérifiables, et l’ensemble jamais audité, jamais vérifié, jamais reproduit.
Le résultat est à la hauteur : des articles « scientifiques » bidons voire bidonnés, des ayatolahs de l’écologie dotés de milliards d’euros pour nuire à la société humaine, des modèles faux qui ne prévoient rien de façon fiable, des assertions en mondiovision reposant sur des courbes gravement fausses, non auditées et pour ainsi dire non auditables puisque leurs auteurs « désintéressés » refusent de dévoiler leurs données et leurs modèles.
Laurent, vous prétez des vertues illusoires au soutien des emprunteurs défaillants.
Le tonneau des danaïdes comme vous dites est en réalité celui de la bulle monétaire et immobilière (une seule bulle avec deux versants) qui a en partie importante explosé avec une perte de valeur de l’ordre de 50 000 G € constatée en 2007 et 2008. Une part de cette bulle était détenue de façon directe ou indirecte par les organismes financiers et bancaires. Une part plus importante, détenue par des particuliers, n’était pas capitalisée au sein de bilans de sociétés.
La crise que nous vivons, même si elle s’est déclenché par le problème des subprimes immobiliers (500 G $ de pertes) traduit en réalité un craquage monétaire (50 000 G € de dépréciations) : la surévaluation des actifs et monnaies occidentales était trop couteuse aux pays occidentaux (délocalisations, surconsommations, malinvestissements) comme aux PNI (achat de bons du trésor, stockage de devises et achat de valeurs institutionnelles telles que les 5 000 G $ de titres verrolés des société à capitaux privés de service public Fanny Mae et Freddy Mac, toutes choses qui portent des risques de dépréciation et une obligation pour cespays de ne pas jouir de ces ressources immédiatement).
Prétendre qu’il eut été plus simple et plus sain de maintenir la bulle en soutenant les emprunteurs défaillants parmi les particuliers est une grande illusion.
Au plan économique, une bulle coute affreusement cher à créer et à maintenir, même si dans un premier temps elle donne l’illusion de rapporter par l’augmentation provisoire de sa valeur apparente. - Une entreprise ou un particulier qui envisage de travailler dans une région à l’immobilier surévalué va peut-être tous comptes fait se localiser ailleurs. - Celui qui vend son appartement surévalué va pouvoir retaper luxueusement sa maison de campagne où il prend sa retraite, faire une croisière, offrir un home cinema à ses enfants, et investir dans des fonds de placements verts (next huge bubble) hautement risqués redondants voire fumeux, toutes choses qu’il n’aurait pas fait sinon. Celui qui a acheté se dit : au moins j’ai un capital solide. Oui mais la bulle finira pas se dégonfler, en attendant son capital est immobilisé, et il aura attendu plus longtemps avant de pouvoir être enfin propiétaire...
Au plan individuel, un soutien aux particuliers n’aurait pas amélioré les choses à terme : - Une proportion importante des emprunteurs défaillants a simplement fuit le retournement de tendance des prix de l’immobilier, qui les amenait à rembourser plus que la valeur déclinante de leur bien immobilier alors qu’il était parfois facile de stopper net les remboursements en abandonnant le bien immobilier aux mains de l’organisme de prêt, ou même en renégociant à la baisse le capital à rembourser. - L’aléa moral (incitation à des comportements de plus en plus irresponsables) qui consiste à soutenir des emprunteurs défaillants est encore plus fort que celui d’une recapitalisation d’une société financière car dans une telle recapitalisation les dirigeants et actionnaires négligents perdent tout de même le contrôle au passage.
Enfin, concernant les agences de notations, il est exact qu’elles se sont comportées selon la description qu’on veut en faire en marchands d’illusion grassement payés pour des évaluations de risques ignorant les risques systémiques, ou en fonctionnaires inamovibles suivant servilement les recommandations de la banque fédérale (notamment via sa filiale de Boston dont l’exigencre « communautaire » de laxisme en matière de critères de prets faisait jurisprudence nationale) dont les recommandations méthodologiques négligeaient ledits risques systémiques pour se contenter illusoirement des risques de détail, décorrélés (individuels sans synchronicité particulière).
Je ne sais si Europe2020 étudie fiablement les risques systémiques, mais une chose est sure : ce sont les agences de cotations (Moddy, S&P, etc.) qui sont commanditées par une entreprise précise pour évaluer ses risques de détail. Or sans accéder aux comtpes détaillés, point d’évaluation des risques de détail.
> Dixit Léon : C’est seulement quand ça les arrange
Vous voulez sans doute parler de Borloo qui va au pole Nord quand il fond comme en 2007 mais n’y va plus quand la galce gagne de la surface comme en 2008 et 2009 ? Ou de la télé qui montre toujours le même bout de péninsule antartique et jamais le reste de l’Antartique dont la glace s’épaissit ? Ou des journeaux qui poussent des trilles de désepoir à l’idée que le corail puisse mourir sous une fantasmatique soudaine montée des océans et ne dit rien quand ledit corail souffre sous une vague de froid record à la mi 2008 ? Ou d’Al Gore le bien nommé qui vous montre les corrélations entre températures et CO2 dans les carottes glaciaires afin de prouver que le CO2 causerait la hausse des températures et oublie de dire que les températures précèdent en moyenne de 800 ans dans ces carottes la hausse du CO2 ? Ou du GIEC qui fait la promotion massive auprès des médias et des décideurs da la courbe hockey stick mais reste silencieux quand il s’avérera un artefact grossier issu du couplage d’une erreur de débutant statisticien, d’une erreur de dendrologue débutant , d’une erreur de chercheur débutant qui ne vérifie pas ses sources et d’une erreur de chercheur débutant qui ne vérifie pas ses résultat, mais d’un professionnalisme de juriste expert et d’un professionnalisme de faussaire expert quand il s’agit de chercher à éviter puis justifier la fautre gravissime ?
> Dixit Léon : les théories innovantes qui provoquent au début le scepticisme sont rapidement évaluées et la communauté scientifique se range à ce qui est établi
Perdu !
Justement c’est bien là une partie du problème mais fort heureusement une partie de la solution : rare sont les audits mais ceux qui ont lieu invalident des pans entiers des résultats des réchauffistes. En outre les théories alternatives au grand méchant CO2 se consolident d’année en année, notamment le couplage du climat aux phénomènes cosmiques (magnétisme solaire, etc.). Aussi les scientifiques sont de plus en plus nombreux parmi les climatologues à migrer du réchauffisme au non réchauffisme.
Rares sont les laboratoires à avoir une compétence leur permettant de maitriser une chaine complète de climatologie. La plupart maitrisent une ou quelques morceaux du puzzle. Comme je vous le disais ceux-là publient en majorité contre le réchauffisme mais par courtoisie ne remettaient pas en question le schéma d’ensemble. Or de plus en plus nombreux sont les chercheurs et laboratoires qui ayant étendu leur spectre de cométence, ou ayant travaillé sur des morceaux du puzzle trop importants dans la dialetique climatologique réchauffiste, ou s’étant penché sur le schéma d’ensemble, ou ayant établi des contacts avec d’autres compétences au sein de la communauté très diverse des scientifiques traitants de climatologie, remettent en question le réchauffisme.
Ainsi en France nous avons à l’académie des science : Claue ALLEGRE, Eric COURTILLOT et feu Alain LEROUX (mort il y a quelques semaines). Eric COURTILLOT est particulièrement intéressant car il dirige une équipe qui n’est pas immense mais suffisamment importante pour procéder à des audits des données de bases réchauffistes qui ont été dénoncées. Il confirme leur invalidation. De même il vulgarise d’importantes découvertes et nouvellesmesures réelles (pas des fantamses issus de modèles prévisionnels biaisés).
Voyez vous, depuis une dizaine d’années les température sont en légère baisse rendant chaque mois un peu plus ridicules les prévisions du GIEC et cela commence à inciter sérieusement les langues à se délier...
> l’opinion majoritaire ( et en sciences, cela veut dire quelque chose)
Heu... non ! ^^ La vérité est une chose, la majorité des opinions une autre. Il arrive qu’elles se confondent ... mais pas toujours !
Einstein expliquait à propos de la théorie de la relativité que la presque totalité des enseignants étaient réfractaires à cette théorie qui remettait en question leurs années d’études et parfois leurs décennies denseignement. Il expliquait donc que cette théorie ne serait diffusée largement que lorsque suffisamment d’enseignants formés par les chercheurs seraient dans le circuit de l’enseignement.
Ensuite sur le sujet du réchauffement climatique vous oubliez plusieurs choses : 1- les subventions ont été accordées aux équipes alarmistes qui ont vu leurs effectifs croitre au dépend des autres, 2- Les articles scientifiques publiés en climatologie ou dans les domaines connexes sont à plusd’un tiers dédiés à la remises en questions des composants du réchauffisme, même si souvent une phrase de courtoisie en introduction et en conclusion modère diplomatiquement cela en affirmant ne pas remettre en question le paradigme général du réchauffisme. Les aticles dédiés à la confirmation de composants du réchauffisme sont moins nombreux qu’eux, et un tiers porte sur autre chose. En clair la remise en question du réchauffisme est majoritaire, même si elle reste discrète.
Rappelons que le GIEC est une sorte de mille-feuille avarié :
1ère couche : les lobbies politico étatico affairistes sélectionnent des chercheurs ad hoc (par exemple la France envoie les chercheurs de l’IPLS, plus précisément ceux de l’équipe du ... Commissariat à l’Energie Atomique, pour porter la bonne parole médiatique des modèles réchauffistes). En outre beaucoup des contributeurs ne sont pas des scientifiques. On y trouve notamment beaucoup de militants écologistes sans cursus de recherche scientifique, voire sans aucun cursus scientifique.
2ème couche : des commissions où s’exercent des pressions morales rédigent un résumé détaillé où les réserves et critiques du bon catéchisme écolo sont repoussées en bas de pages quand elles ne sont pas purement et simplement évacuées.
3ème couche : le résumé politique ignore toutes critiques et réserves et se trouve rédigé aux seules fins de la propagande politico étatico écolo affairiste.
> Dixit Léon : Il est exact que je me suis mal exprimé : j’ai voulu dire que c’est vous qui prétendez que les Etats font cet amalgame entre sécurité des approvisionnements et réchauffement climatique alors qu’il n’en est rien
Perdu !
J’étais récemment à une conférence organisée par un membre les plus en vue des cercles du lobbying écologico ésotérico étatico affairiste, et je peux vous confirmer que ledit amalgame est très exactement le discours qu’il nous a défendu.
Jean-Michel, que dis-je, Léon, ce fut un super-beuh but ! Faisons un rapide retour en arrière pour admirer au ralenti cette magnifique action collectiviste associant libéros (pas les libertarians, hein...) du capitalisme d’état, écolos findumondistes, chercheurs crapuleusement budgétisés, fonctionnaires avide de charges mondiales, politicards heureux de trouver dans la globalisation gouvernementale un refuge face aux électeurs de leur pays, et autres réseaux de pouvoir.
Aujourd’hui la communauté des grenouilleurs subventionno consulto étatico financiers est très inquiète. Le réchauffement climatique fait de moins en moins recette. Les températures baissent depuis une dizaines d’années. Audit après audit (malgré les mauvaises volontés voires dissimulations illégales) des chercheurs concernés des pans entiers des fondements du réchauffismes s’effondrent, bien plus vite que la banquise de la petite pointe de l’Antartique qu’on vous montre à la télé (autant le dire ici : le grossissement de la glace de l’Antartique sur le reste de l’Antartique la télé n’en parle jamais). Les fondements de l’hypothèse solaire sont de plus en plus solides et de plus en plus incontournables. La malhonèteté du GIEC qui admet les corrélations injustifiées pour le CO2 mais pas pour le soleil sont un monument de soviétiforme de pseudoscience subventionnique. Les modèles officielles délirent dans leurs résultats intermédiaires au point d’en être franchement droles (dernier gag en date : les mesures saltelliaires montrent que la rétroaction du cycle de l’eau est bien négative et pas positive comme les auteurs de fictions alarmistes pseuscientifiques du GIEC le prétendaient). Hansen l’ayatolah du réchauffisme est discrédité et désavoué, lui qui gouvernait la grande mosquée intégriste de la NASA/GISS et demandait il y a quelques mois encore la démission du n°1 de la NASA quand celui-ci évoquait le fait qu’il y avait peut-être de plus grandes priorités humanitaires et environementales que le réchauffement climatique. Pire que tout : la blogosphère diffuse en quelques heures des informations qui ne se seraient jamais diffusées en mons de 3 ans dans les journeaux habituels, esclaves des subventions et des publicités aux régies souvent verouillées par des réseaux de pouvoir. Dans l’affaire là où d’habitude le mensonge durait 100 ans au con vieux temps du marxisme-léninisme, il n’aura duré que 10 ans avec le réchauffisme.
Alors certains grenouilleurs commencent tels des rats à quitter le navire du réchauffisme. Oui, mais quand vous êtes un grenouilleurs subventionno consulto étatico financiers engagé, comment ne pas perdre la face ? Eurekaka ! En expliquant que certes vous avez soutenu des mesures prises au nom de conneries, mais qu’il y avait en fait d’autres raisons vraies celles là que vous, héro surcérébré de la lutte citoyenne écologique collective et festive aviez ultralucidement pressenties : géopolitique du CO2, lutte contre la grande méchante acidification des beaux océans pas le petit méchant CO2, etc.
Le climat retire l’échelle, ils s’accrochent au pinceau ... mais ils savent que sans une autre échelle à coté ils vont se casser la figure !