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xavdr

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  • xavdr 28 novembre 2009 01:16

    Madame, votre question est intéressante ... enfin si c’est une question. Sinon évidemment vous l’aurez compris la réponse est : FAUX.

    Il est exact de dire que les libéraux sont en pointe sur la révélation de la suprercherie que fut le réchauffisme. C’est bien normal. Cette histoire de réchauffisme comme vous l’avez fort justement observé incitait à appeler à des décisions globales top-down là où les libéraux sont attachés au bottom-up. Vaille que vaille, la plupart des libéraux font leur le principe de subsidiarité. Au moins les libéraux EUX furent vigilants ce qui s’avéra salutaire quand ils s’apperçurent effarés des mensonges du réchauffisme : faux consensus, faux hockey stick, fausses températures, faux chiffrage du rôle du CO2 en l’absence des corrélations solaires au GIEC, modèles faussements prédictifs, fausse impartialité du GIEC, etc.

    Autant votre observation est partiellement juste concernant l’origine de la méfiance des libéraux contre le réchauffement climatique, autant votre observation est entièrement fausse concernant une éventuelle relation négative entre les principes libéraux et le putatif peak of oil. Les principes libéraux sont moteurs et non perturbés pour temporiser ou dynamiser l’exploitation des ressources, quelles soient naturelles, industrielles, ou technologiques. Nous ne manquerons pas d’énergie dans les années à venir. Cependant la question est de savoir à quel prix industriel : l’escroquerie du CO2 menace d’infliger des coûts exhorbitants qui favoriseraient induement certaines solutions alors que dans quelques décennies notre technologie aura tellement progressé que les petites peurs énergitiques de l’an 2000 feront rire nos descendants. Je ne parles pas simplement de technologies explusivement énergétiques mais tout un tas de technologie dont les nanotechnologies, la transmission ciblée de puissance par champ électromagnétique, l’industrialisation spatiale etc. Toutes choses qui se développeront au 21ème avec ou sans les Etats, venant à étendre tant le champ des possible que nos solutions débiles de l’an 2000 n’auront même plus de sens au regard de la facilité avec laquelle nous pourrons alors exploiter l’immense quantité d’énergie libre de l’univers qui nous est proche. L’affaire du réchauffement climatique ressemble juste à une escroquerie pour nous forcer à investir dans de mauvaises technologies au mauvais moment, pour le plus grand bénéfice des affairistes verts, et des technocrates globalisants avides de pouvoir illégitime.



  • xavdr 28 novembre 2009 00:37

    Encore un excellent article de Vincent BENARD !

    @ Morice : Par contre je suis déçu de vos réactions, Morice : vous voila alter-lobbysite dont l’acharnement à plaquer sur notre ami Vincent des compromissions qui n’existent pas indique sans doute une culpabilité cachée...

    @ Léon : pourquoi vos propos introductifs sont ils aussi bas, faux et sceptiques ? Je vous ai connu plus digne à défaut d’être moins acide.

    @ Waldgänger : vos contributions sont intéressantes mais votre sémantique dominatrice est risible.
    Par exemple vous citez une soi disant contre-publication de vulgarisation qui invaliderait toute assertion concernant la mesure pr les balises Argos du refroidissement des océans ces dernirèes années. Certes ladite publication mentionne un correctif mais confirme que les températures après correctif sont tout de même en baisse. Apparemment cela afflige le journaliste qui semble être un militant réchauffiste puisqu’il affirme « Le problème n’est pas complètement réglé puisque les toutes dernières années (2003 – 2005) laissent encore apparaître un refroidissement bien que beaucoup plus faible » (*). J’en rigole encore.
    Concernant l’Artique et l’Antartique vous n’êtes pas sans savoir qu’il y a des publications et des contres publictions, avec augmentation des masses de glace pour les uns et diminution pour les autres. Par exemple les satellites sont contestés dans leur capacité à évaluer l’épaisseur des glaces alors que les balises artiques montrent un épaississement (mais elles sont placées surtout au sud ouest si je me souviens bien). La diminution de la surface de l’Artique observée jusqu’en 2007 donne lieu à une reconstitution en 2008 et 2009, avec certes un léger retard en novembre 2009, mais c’est bien la seule partie de l’année. Ce que vous dites sur le rôle de El Niña est intéressant mais je ne suis pas convaincu que ce soit le seul élément déterminant dans ces fluctuations. Il y a aussi par exemple les volcans sous marin dont on sait bien peu de chose, les vents qui empêchent la neige de se former, etc. L’hydrométrie et les vents étaient aussi la source de la disparition de la calotte du Kilimanjaro qui s’est joiiment reconstitutée cette année, mais oups, nos média mène$tream ne nous en ont pas parlé. ^^ Ensuite au début du 20ème siècles il y eut quelques étés de passage libres de glace en antartique et il semblerait qu’il y eut déjà un va et vient de la surface de glace dans la région, qui ne fut pas en phase avec le réchauffement global...

    (*) Au fait pourquoi ne demande-t-il pas un audit complet des données déglinguées et bidouillées des ayatollah réchauffistes JONES et HANSEN dont les terres au 20ème siècle se sont réchauffées deux fois plus vite que les mer ? 




  • xavdr 25 novembre 2009 20:18

    @ Sisyphe :


    La crise financière que nous vivons a pour origine la bulle monétaire occidentale engendrée par les puissances régaliennes, et son dual la bulle financière cristallisée notamment sur l’immobilier du fait de l’édifice des réglementations. Pour information entre 1995 et 2005 la masse monétaire M3 et les prix de l’immobilier ont doublé en occident, que ce soit aux USA ou en UE, avec de fortes différences d’un état à l’autre. Cela n’a rien à voir avec la déréglementation, cela a tout à voir avec les giga bidouilles des puissances régaliennes.

    Vous enragez de la misère du monde. Certes la misère qui reste dans le monde est bien triste mais la misère était le lot de presque toute l’humanité depuis la nuit des temps avant que le développement libéral et l’industrialisation à l’occidentale n’en sorte une proportion du monde de plus en pus importante. A mon humble avis enrager face à la misère restante n’est pas la meilleure solution pour la faire cesser, mais enfin c’est votre choix. En revanche vous en accusez l’Occident et cela c’est ridicule. La vérité est que grâce à l’Occident, sa culture, sa technologie, ses dons, son commerce, la misère dans monde a spectaculairement reculée. Par exemple les morts par famine se sont totalement effondrés. Le % de la population en dessous des seuils absolus de pauvreté (à ne pas confondre avec les seuils à géométrie variable) décroit à toute allure.


    @ Kelson :

    En ce qui concerne l’énergie des 20 prochaines années ce n’est pas un problème. Les énergies fossiles sont encore abondantes. De nouvelles technologie d’exploitation des hydrocarbures lourds apparaissent, le charbon est abondant et on sait le convertir en carburant liquide si besoin est, etc.

    Quand bien même l’histoire du grand méchant CO2 serait vraie, mieux vaut permettre le développement économique afin de s’adapter avec succès, comme les hollandais le firent avec les Polders. Ceci dit rassurez vous, l’histoire du grand méchant CO2 est très probablement fausse.

    Dans quelques décennies les petites peurs énergétiques de l’an 2000 feront rires. Notre technologie aura tellement progressé que notre approche du problème aura complètement changé. Financer aujourd’hui des évolutions majeures alors que la technologie n’est pas mure serait une ruine absurde. De même que la prospérité a permis aux hollandais de financer les Polders pour préserver ou gagner du terrain cultivable face à la mer, la prospérité permise par la croissance libérale permettra à l’humanité de résoudre les problèmes énergétiques. Mille idées existent hors de la porté de notre technologie actuelle : solaire spatial, exploitation des champs magnétiques géophysiques, etc. Abimer le progrès en pratiquant dès maintenant des restrictions putativement obligatoires dans plusieurs décennies serait pratiquer la politique de l’échec, qui n’a aucune légitimité devant la rapide croissance technologique de l’humanité. 

     

     



  • xavdr 25 novembre 2009 19:50

    Vous avez tout à fait raison de souligner que la bulle en cours est issue de l’interventionnisme d’état, compensé en dette publique visible ou invisible.

    Ceci dit ... la giga bulle s’est faite progressivement au cours des années 1995-2005 ! La masse monétaire doublé durant cette période aux US et en UE alors que l’économie réelle des pays développés croissait d’un tiers seulement. Durant cette période l’indicateur habituel de l’inflation à la consommation a été stable alors que c’est qui permet habituellement aux banques centrales de lire si la quantité de monnaie injecté entre les acteurs de l’économie est suffisante ou pas. On a tout lieu de penser que d’une part un phénomène de déflation des prix issus du commerce extérieur (biens de consommation made in China avec Yuan sous-évalué etc.) s’est couplé à une inflation du prix des productions intérieures. Aussi, les NTIC ont bouleversé la planète financière donc la nature de la monnaie. En outre pour sous évaluer leurs monnaies les PNI ont retransféré leurs liquidités aux pays développés sous forme d’achat de créances du trésor ou de l’immobilier, de stockage de devise, etc.

    En 2005 et 2006 il y a eu un serrage de vis monétaire et dans la gestion de l’accès social à la propriété aux USA (les républicains ont réussi en 2005 à obtenir une majorité sur ce sujet au parlement malgré les corruptions venant de Fannie Mae et Freddy Mac qui jusque là avaient réussi) qui a conduit à la stabilisation de la bulle donc, comme pour toute bulle spéculative, au départ des spéculateurs haussiers, donc à son éclatement.

    En 2007 puis en 2008 l’édifice financier planétaire a tremblé sous le poids de l’effondrement de la bulle. Dans le monde 50 000 milliards d’euros d’évaluation des patrimoines étaient partis en fumée entre l’été 2007 et l’automne 2008.

    Les banquiers centraux, avec à leur tête Ben BERNANKE pour la Fed US, ont alors cherché à compenser la contration du crédit entre acteurs de l’économie par un assouplissement du crédit fournit par les banques centrales. Cela se fait par une mutualisation du risque et une prise en otage de la monnaie. Comme toute intervention étatique, cela conduit à la mise à disposition imparfaitement ciblées de ressources (la monnaie) prises sur le dos de tous les contribuables. En dernier ressort l’édifice est garanti par le contribuable et la force armée qui protège mais aussi menace. En cas d’échec global de la sortie de crise par phases épisodiques, cela risque d’être sinistre.

    Il y aura donc d’autres chapitres de crise ouverte au sein de cette crise globale issue du dégonflement de la gigantesque bulle financière et monétaire qui s’est constitué dans la décennie 1995-2005. De mon point de vue la question est donc de savoir si ce qui va « se casser la gueule » (pour employer votre terminologie) sera trop gros et mal réparti au point d’engendrer un effondrement global, ou si cela sera amortis.

    En ce qui concerne l’économie réelle, la plupart des contributeurs semblent faire l’impasse sur les conséquences de la bulle mère, celle qui s’est constituée entre 1995 et 2005. Une telle bulle a donné l’illusion à l’Occident qu’il était plus riche qu’il ne l’est. La conséquence en est un surendêtement (privé ou public selon les pays), des surconsommations, des malinvestissements. L’économie réelle pour être soutenable, doit être plus tournée vers l’exportation auprès des pays en forte croissance, typiquement les pays nouvellement industrialisés que sont la Chine et l’Inde.




  • xavdr 23 novembre 2009 01:53

    Léon, je puis vous expliquer pourquoi les libéraux sont en pointe dans la révélation de l’énorme scandale des magouilles réchauffistes.

    Comme vous l’avez fort bien remarqué le réchauffisme était une thèse enthousiasmante pour les collectivistes, les petits chefs (comme vous ?) et les masochistes, alléchante pour les affairistes du capitalisme d’Etat, et agaçante pour les libéraux, les conducteurs et les contribuables. Aussi les libéraux ont été naturellement méfiants et vigilants dans l’affaire du réchauffement climatique. Or la méfiance fut payante en l’occurence, puisque ce qui a été découvert c’est le piratage d’une science balbutiante par une coterie de manipulateurs alarmistes, qui pratiquent la chasse l’homme, l’extermination, la menace, les campagnes de dénigrement personnelles, la dissimulation de données, le traficage de courbes aux fins de propagandes, la dissimulation de doutes majeurs, etc.

    Les scientifiques climatologues qui défendent les thèses de l’origine principalement naturelle du réchauffement observé au 20ème siècle sont de toutes tendances politiques. Cependant quand il s’est agit de diffuser l’information au grand public, les vrais libéraux ont tout naturellement été les plus réactifs. Vous pourrez d’ailleurs voir qu’au coté des collectivistes et des démocrates sociaux officiels, nombre de faux libéraux (absurdement qualifés d’ultra par les altercamarades) adeptes du capitalisme d’état et de ses magouilles ont plus d’enthousiasme pour les mangeoires que pour la vérité.

    Il y a 3 ans la majorité des militants libéraux français considéraient comme tout le monde que la thèse d’un réchauffement catastrophique d’origine antoropique était une vérité.

    Aujourd’hui la très grande majorité des militants libéraux français considère que l’affaire du réchauffement est très probablement une foutaise.

    Que s’est-il passé entre temps ? L’accumulation de preuves des coupables et graves déficiences méthodologiques, des ridicules erreurs des supermodèles, du bon comportement général des varaibles solaires dont on retrouve la signature dans les proxys climatiques à de multiples échelles ... et d’une décennie de températures stabilisées.

    A présent ce qui est ridicule ce sont les positions telles que vous Léon, qui refusez de voir qu’une fois de plus nous avons très probablement raison et tenez encore les discours de petits chefs qui ont jadis contribué à forger dans l’opinion l’influence de vos amis les grands ayatollahs du réchauffisme.





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