J’argumente lorsque la personne en face est prête au dialogue, c’est à dire à écouter, analyser, comprendre.
Hors vous, votre discours est emprunt de religiosité, de foi envers la conspiration globale. Et vous analysez tous les évènements, même les plus infimes et sans significations, au travers du prisme de cette foi que vous faites vos "déductions". Et au final, vous arrivez à une conclusion unique, celle qui était fixée à l’origine par votre foi.
C’est en cela que vous ressemblez à ces prophètes à la manque.
Argumenter, ce n’est pas piocher des éléments qui vont dans le sens de la conclusion que vous avez décidez dès le début. Bref, vous n’avez de leçons à donner à personne en matière d’argumentation.
Sauf que les 70° ne sortent que de votre imagination à la con, de votre paranoïa délirante.
Au cas où vous n’auriez pas vu ma réponse d’hier, comptez sur moi pour vous ressortir vos affirmations de merde lorsque rien ne ce sera passé. Car rien de ce que vous affirmez ne va arriver.
Aurez vous le courage de reconnaitre vos erreurs ? J’en doute : comme tous les prophètes paranos de cinquième catégorie, vous hurlez à la fin des temps, et lorsque celle ci n’arrive pas, vous repoussez l’échéance.
Tiens encore un pseudo article du type qui nous affirme que les comploteurs arméricain du 11 spetembre préparent un holocauste ne laissant que 500millions de survivants sur Terre...
Branlette intellectuelle.
A quand l’article sur la Tour Eiffel qui n’existe pas ?
Autant l’interdiction de la fessée me parait idiote, malvenue, stupide et inapplicable, autant ce que vous décrivez ne peut être qualifié que de coups et blessures volontaires.
Et à mon avis cela vous a violemment traumatisé, vu que vous trouvez cela parfaitement normal.
Si on interdit de manière effective, on se retrouvera avec des générations d’égoïstes irresponsables. Si on prône la baguette à la moindre pécadille comme nouvelle normalité, on va se retrouver avec pas mal de cas d’enfants battus à mort. Vous savez ? comme cette affaire d’enfant de 4 ans, tué par son beau père. Notez, l’enfant n’est plus traumatisé maintenant qu’il est mort...
Toutefois, si l’indépendance d’esprit est autant souhaitable que nécessaire, il ne faut pas oublier que nous sommes des animaux sociaux, pas des ermites. Vivant en société, nous devons faire face à de nombreuses contraintes dans nos relations les autres. Il faut donc savoir le plus tôt possible qu’aucun de nous n’est le centre du monde.
Bref, il faut apprendre à se soumettre à un certain nombre d’impératif pour réussir à vivre le plus librement possible en société.
Le terme "fabriquer des moutons" est d’ailleurs clair. Nous avons d’un côté les moutons et de l’autre les égoïstes. Il faut donc apprendre à n’être ni l’un ni l’autre.