"Euh pour votre cinquième point vous savez j’espère que c’est aussi arrivé à des résistants d’être " forçés de tuer des civils, il faut les comprendre, tuer des femmes et des enfants au hasard dans les rues et sur les marchés, celà s’appelle de la "résistance".... vous ne semblez pas très bien connaître ce qu’est la résistance, et qu’elle a pu commettre des erreurs et des assassinats, Mr Lyon, puis-je vous suggérer une petite visite des Glières,, il y en a qui aiment bien s’y promener parfois... c’est pas tout d’essayer d’en vouloir à un individu, Mr Lyon, il faut apprendre à critiquer et non offrir à chaque fois votre tête sur un plateau !!! Que vous soyez bête, passe encore, mais que vous ignoriez votre propre histoire, c’est grave.... mais pas étonnant , à lire vos posts débiles."

Je voudrais juste réagir à ce commentaire de Morice sur la résistance. ( Je préfère ne pas rentrer dans le bac à sable pour le reste du "débat")

Cette manière implicite de considérer les opposants irakiens comme des résistants est de plus abjecte et non fondé.

Qu’ils snipent des soldats américains, posent des bombinettes sous leurs véhicules, soit. C’est la guerre, c’est pas joli du tout mais au moins on fait ca entre "professionnels".

Mais qu’ils visent délibérément des civils sans aucune cible militaire ( sinon deux trois policiers éparpillés dansle tas), c’est du terrorisme. De la terreur pure et simple.

Vouloir faire un parallèle entre ce genre d’agissements et la résistance sous l’occupation allemande est totalement farfelu et dénué de toute argumentation crédible. Pour avoir connu des résistants, pour être baigné de récits de résistants, non seulement le contexte était différent mais aussi les moyens. Qu’il y ait eu des erreurs, certainement...Des jugements hâtifs assurément...Mais peut-on imaginer un résistant belge poser une bombe sur le marché aux bestiaux de Bruxelles pour zigouiller les deux allemands en patrouille ? Quitte à envoyer ad patres la moitié des marchands ?

L’historien devrait garder son objectivité et tourner plusieurs fois sa langue dans la bouche avant de tenter ces comparaisons grossières et méprisables qui ne grandissent guère la position qu’il défend.