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Accueil du site > Culture & Loisirs > Culture > Star Wars Episode VII : Qui est Kylo Ren ?

Star Wars Episode VII : Qui est Kylo Ren ?

 
 

 
 
 
Kylo Ren, est l'un des méchants qui apparaîtra dans Star Wars 7, on pouvait déjà l'apercevoir dans la première bande-annonce du film, sabre laser rouge dans une main gantée de noir.
 
Qui est Kylo Ren ?
 
Le voile se lève peu à peu sur le personnage incarné par Adam Driver. Le réalisateur J.J. Abrams distille quelques détails dans le magazine Empire : "Kylo Ren n'est pas un sith". Les Siths qui rappelons le sont les ennemis jurés des Jedis. Leur affrontement est largement détaillé dans les six premiers Star Wars. Selon Abrams, ce nouveau personnage serait obsédé par son maître et modèle, Dark Vador, au point d'en adopter l'apparence et le caractère, "féroce et variable".
 
Selon le site fr.starwars.wikia.com, Kylo Ren est un membre des chevaliers de Ren possédant un sabre laser avec une garde, il porte une armure noire avec un masque et une cape noire. Il commande les Stormtroopers du Premier Ordre. Son véritable nom n'est pas connu, il se fit appelé Kylo Ren après avoir rejoint les chevaliers de Ren.
 
"Les Chevaliers de Ren" serait une organisation créée un certain temps après la bataille d'Endor (à la fin de l'épisode 6). Elle semble former des combattants adeptes du Côté Obscur de la Force.
 
Selon le dernier numéro d'Entertainment Weekly, le titre de "Ren" n'est peut-être qu'un titre accordé aux membres de cet ordre, de la même manière que les Siths portent tous le mot Dark dans leur appellation. Cette nouvelle information devrait suffire à relancer les rumeurs de liens de sang qui persistent entre Luke Skywalker et Kylo, maintenant que son nom de famille est de nouveau inconnu. 
 
Le Premier Ordre
 
J.J. Abrams confirme qu'il s'est bien inspiré du Troisième Reich pour créer le Premier Ordre : "Tout ça est le résultat de conversations où nous nous sommes demandés ce qui se serait passé si les Nazis réfugiés en Argentine avaient recommencé à travailler ensemble". Le Premier Ordre semblait être ce qui restait de l'Empire, le régime dictatorial mené par Palpatine et combattu par les Jedis et les rebelles dans les anciens Star Wars.
 
Le réalisateur révèle que ce n'est pas tout à fait exact : "Et si le Premier Ordre existait en tant que groupe qui admire l'Empire ? Et s'ils percevaient le travail de l'Empire comme incomplet ? Et s'ils voyaient Dark Vador comme un martyr ? Est-ce qu'ils pourraient décider de terminer ce qui avait été commencé ?". 
 
Réponse le 16 Décembre 2015 au cinéma !
 
 
Arnaud MOUILLARD - http://radiohern.blogspot.fr
 

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15 réactions à cet article    


  • Mmarvinbear Mmarvinbear 28 septembre 2015 12:17

    On peut critiquer autant que l’on veut les américains, quand vient le moment de faire du divertissement de qualité, ils sont en première ligne !


    • Nycolas 28 septembre 2015 12:58

      @Mmarvinbear

      Correction. De l’abrutissement de qualité.

      Sûr qu’ils mettent les moyens dans ce genre de trucs. Ça n’en fait pas pour autant des oeuvres indispensables, c’est juste du produit de consommation pseudo-culturelle, auquel je n’irai encore pas ajouter ma subvention personnelle car il y a bien plus intéressant dans le monde, et en quantité suffisante.


    • Trelawney 28 septembre 2015 14:50

      @Nycolas
      Je suis certain que les premiers films de la série Starwar (j’ai fait exprès de l’écrire en anglais) étaient sortis alors que vous n’étiez pas né.

      Il faut quand même même se rendre à l’évidence : Si vous voulez faire du nougat, il faut aller à Montélimar, si vous voulez faire du foie gras il faut aller dans le Périgord et si vous voulez faire du cinéma, il faut aller à Hollywood. Ce n’est qu’une affaire de spécialité


    • philippe913 28 septembre 2015 14:54

      @Nycolas
      lol le rageux.
      c’est américain c’est donc le mal ? c’est ça ?
      Ne vous en déplaise, c’est un divertissement de qualité et oui, vous avez raisons, il y a mieux, mais également moins bien dans le monde, et pour le faire, il faut de tout./


    • Montdragon Montdragon 28 septembre 2015 18:56

      @Nycolas
      Il s’agit d’une saga médiévale aux allures futuristes, vous connaissez Chrétien de Troyes ?
      De plus, au début, y’a un type qui veux tuer son père et coucher avec sa soeur smiley, qu’en dites-vous ?


    • Mmarvinbear Mmarvinbear 29 septembre 2015 01:49

      @Nycolas

      La différence première entre le cinéma américain et le cinéma français est que le réalisateur US est tourné vers son public alors que le français est lui tourné vers son nombril.

      L’ américain se demande ce que son public veut voir, le français ce que lui veut voir.

      Ce qui au final fait que l’américain fait « Rencontres du troisième type » alors que le français fait « Trois types qui se rencontrent ».

      Quand on regarde l’histoire du cinéma français, on voit qu’au final la Nouvelle Vague a fait plus de mal que de bien en fin de compte.

      Le souffle ironique et sarcastique s’est vite érodé et le cinéma a été pris en otage par de pseudo-intellectuels convaincus qu’ils possèdent la science infuse et la Vérité Vraie que le public doit accepter comme tel. La Nouvelle Vague est vite devenu un marais putride ou le public essaye de ne pas se perdre dans les pensées abstraites de l’auteur qui ne comprend pas tout lui-même en réalité. Mais comme cela le fait bien voir de son copain qui bosse aux Cahiers du cinéma...

    • Nycolas 29 septembre 2015 13:18

      @Trelawney

      "Je suis certain que les premiers films de la série Starwar (j’ai fait exprès de l’écrire en anglais) étaient sortis alors que vous n’étiez pas né."

      Vous avez tort.

      Comme quoi vos autres certitudes sont probablement à revoir aussi, et il est sage de s’abstenir de juger son interlocuteur sur si peu d’information que son point de vue sur un truc précis.

      Il y a quand même un point où je vous donne raison. Hollywood fabrique du produit cinéma comme on fabrique de la saucisse à Strasbourg (Taïwan). Le cinéma hollywoodien, en revanche, n’a rien d’artisanal, contrairement à ce que vous semblez vouloir croire. C’est une industrie. Hollywood, c’est le monsanto de l’image.

      Que vous aimiez ça, ainsi que les autres commentateurs qui sont venus lancer leurs basses attaques, n’a rien d’étonnant, puisque c’est fait, bâti, élaboré, et pensé pour plaire. Refuser d’exercer son esprit critique sur une telle chose conduit à une des formes de l’embrigadement, ici dans le domaine des goûts cinématographiques.

      Et pour ceux qui pensent que j’attaquais le cinéma hollywoodien parce qu’il est américain, ou encore parce qu’il n’est pas gaulois, je n’ai qu’une réponse, et c’est un éclat de rire. Le cinéma est censé être un art, pas uniquement un vulgaire divertissement. Or le cinéma français n’est qu’un sous-produit de l’industrie hollywoodienne, comme le prouve un film médiocre mais totalement adulé comme un The artist (j’ai fait exeuprès de l’écrire en anglais).


    • Trelawney 29 septembre 2015 14:17

      @Nycolas
      Le cinéma est censé être un art, pas uniquement un vulgaire divertissement.

      L’art est une activité qui est sensé nous détourner de nos taches habituelles et de nos activités quotidiennes pour capter notre attention en s’adressant à nos sens, notre émotions, nos intuitions et notre intellect. Ça ressemble quand même étrangement à du divertissement.

      Comme vous êtes contemporain à la sortie du premier Star War, c’est à dire en 1977, vous pourrez constater que cela fait maintenant presque 40 ans que des gens se passionnent pour cette histoire, au point de se réunir déguisés et d’attendre avec impatience les nouveaux épisodes de cette saga. Est-ce que vous connaissez beaucoup de films ayant le même retentissement et cette même force d’attraction  ?

      Comme vous préférez l’art au divertissement qui pour moi ont tous les deux les mêmes finalités, je vous laisse observer par vous-même l’influence qu’a opéré la saga Star War sur le monde de l’art et même sur notre monde tout court.


    • Mmarvinbear Mmarvinbear 29 septembre 2015 02:05

      Il ne faut pas non plus généraliser.


      Le cinéma asiatique réserve aussi pas mal de perles si on arrive à décoder certaines figures. Entre les fresques de Kurosawa qui n’ont rien à envier à Georges Lucas, le cinéma de sabre chinois, tout en poésie et en sauts acrobatiques improbables à la « Tigre et Dragon », les délires japonais et pour ceux qui aiment ( et qui supportent ! ) le cinéma de Bollywood, il y a de quoi faire !

      Pareil pour le cinéma hors-Hollywood. Le secteur Indépendant Nord-américain est riche en oeuvres magnifiques ou les voitures n’explosent pas toutes les minutes et ou les relations humaines sont décrites et critiquées de façon bien plus subtiles et justes que dans toutes les sélections cannoises de ces trente dernières années.

      On se glorifie du système français de production mais en fin de compte, l’exception culturelle est en train de figer le cinéma français dans une gangue pseudo-intellectuelle qui assèche les ressources disponibles pour financer les délires auto-centrés d’une poignée d’égocentriques qui ne sont même pas capable de raconter une histoire correctement !

      Ou alors, on a droit à des comédies pas drôles.

      Quand Dubosc fait de son « Christophe Colomb a découvert l’Amérique, et moi j’ai des couverts en plastique » le point d’orgue de son film, on n’a qu’une envie, c’est de voir la victoire des islamistes pour qu’ils nous débarrassent de cette engeance une bonne fois pour toute !

      • Nycolas 29 septembre 2015 13:23

        @Mmarvinbear

        Et oui, il n’y a pas qu’Hollywood et ses codes que le public a ingurgités jusqu’à la lie, en revanche dire que Kurosawa n’a rien à envier à Lucas est une facilité de tournure qui me fait tiquer. Lucas a tout à envier à Kurosawa.

        Lucas n’est même pas mauvais. J’aime bien Indiana Jones. Mais bon, le public actuel qui le place au pinacle du cinéma moderne, comme Ridley Scott, auteur du navet intersidéral qu’est Prometheus, est un des faits les plus navrants et révélateurs de l’époque.


      • Trelawney 29 septembre 2015 14:40

        @Nycolas

        Résumer Ridley Scot à Prometheus est un peu léger parce qu’on peut aussi parler de Alien, Blade Runner, Thelma et Louise. Déjà rien que c’est trois là ca vous pose tout de suite le personnage.

        Pour ce qui est d’Alien on peut aussi dire que la trajectoire cinématographique a eu le même retentissement que Star War. Cependant les suites furent de grosses daubes surtout le second (Alien le retour) qui avait comme réalisateur James Cameron assez décrié à l’époque et qui a néanmoins réalisé des films comme Titanic ou Avatar

        Maintenant si vous avez le temps regardez Titanic (sur grand écran si possible) et observez le cadrage, la photographie, les décors, les personnages en second plan et osez me dire que ce n’est pas du grand art


      • Mmarvinbear Mmarvinbear 30 septembre 2015 02:26

        @Nycolas

        On critique les codes et on les conteste quand on les voit en action mais quand ils ne sont pas respectés ou trop bousculés, on proteste encore plus car on se sent perdu et on ne comprend plus rien...

        Et puis il ne faut pas exagérer. Les codes changent avec les générations. On ne peut plus faire de films comme dans les années 20, ou le personnage noir était interprêté par un blanc avec du cirage sur le visage et les mains et ou le summum de la condition féminine constituait pour la femme à tomber amoureuse et à obtenir un aspirateur et une machine à laver.

        Le Code Hays est définitivement mort. Le personnage noir ne meurt plus obligatoirement dans le film d’aventure.

        Un code que j’attends de voir brisé quand même : c’est de voir que le chien, il clamse dans le film ! 

        J’aime ces animaux, je ne suis pas cruel avec eux, mais dans chaque catastrophe, maritime, aérienne, terrestre, extra-terrestre ou nucléaire, y’a douze mille humains qui meurent, mais le clebs il s’en tire toujours ! Marre ! Et en plus 99 fois sur cent, c’est un putain de golden retrierver ! On les voit partout, avec leur sourire niais, leurs yeux remplis d’amour imbécile et leur fourrure style peluche bisounours ! Qui aura le courage d’en faire un hot dog ?

      • Mmarvinbear Mmarvinbear 30 septembre 2015 02:29

        @Nycolas

        Sinon, il faut savoir aussi que Lucas est un grand fan de cinéma japonais et qu’il aime beaucoup les films de Kurosawa.

        Il s’est d’ailleurs largement inspiré de sa « Forteresse invisible » pour sa première « Guerre des Etoiles ».

        Surtout en ce qui concerne certains aspects de la narration et des personnages.

        D’ailleurs, le casque et l’armure de Darth Vader sont largement inspirés des armures des samouraïs.

      • Mmarvinbear Mmarvinbear 30 septembre 2015 02:43

        @Trelawney

        Les suites ne sont réussies que lorsque elles sont prévues dès le départ. 

        Et quand le créateur original est impliqué. Regardez les épisodes 2 et 3 de la saga « Retour vers le futur ». Le 1 se suffisait à lui-même mais ils se sont surpassés pour les deux suivants.

        Ou alors « Toy story ». Le 3 est simplement un chef d’oeuvre d’originalité et d’émotion.

        Le cas « Alien » est plus problématique. Le 1 était suffisant.

        Le 2, pour moi, est juste un gros film d’action avec des Aliens dedans. Mais Cameron y est déjà un maître niveau ambiance et cadrage. Mais Scott lui en a voulu d’avoir cassé son image de l’ Alien solitaire et d’en avoir fait juste un genre de grosse fourmi avec un cycle d’insecte.

        Le 3 est malsain, tordu, étouffant. A l’image de sa production chaotique mais Fincher maîtrise tout et offre une fin digne de la saga, même si Cameron lui en a voulu d’avoir tué Hicks et Newt dès le début du film.

        En même temps, je ne voyais pas Ripley chasser du xénomorphe en famille le dimanche avec le chien.

        Le 4 renouait avec le coté tordu du 3, avec une touche de poésie et de parodie. La meilleure séquence est celle du clone de Ripley qui se tortille au milieu des Aliens qui gigotent en se frottant les uns contre les autres comme dans une partouze cosmique. C’est huilé, chaud, déviant à souhait.

        Et le 5 arrive... Neil Blombkamp a surpris tout le monde avec « district 9 » et a confirmé avec « Elysium » malgré son scénario pas à la hauteur, il l’a lui-même reconnu. On va avoir droit à une autre vision.

        Chic !

      • tobor tobor 5 octobre 2015 00:30

        « Ce que nous vendons à »nos clients« c’est du temps de cerveau disponible » Patrice Lelay 2004
        .
        Les publiciste parlent de « minutes », hollywood profite à chaque coup d’au moins une heure et demi pour déverser de quoi formater son « monde de demain ».
        .
        Le mythe veut que l’épisode IV (sorti le premier) était une petite prod faite de bouts de ficelles.
        Je me rappelle pourtant qu’à l’époque de la sortie en salle (j’avais 12 ans) le film s’annonçait depuis 2 ans dans la presse pour jeunes et de divertissement. J’avais, un an avant la sortie, reçu la bd dont j’étais super-fan et je rêvais d’un jouet sabre-laser bien avant d’en avoir vu une image en mouvement.
        .
        Ce film faisait l’objet d’un promotion rarement vue auparavant et j’ai peine à croire qu’il n’ait pas été boosté par tous les moyens hollywoodiens. Un « petit studio » indépendant qui arrive à se hisser au sommet, everything is possible ! N’est-ce pas toujours la même rengaine de l’oncle sam ?
        .
        Bref, cet épisode « 1 » (mais en fait 4) et bien vite le reste de la trilogie, ont propulsés Star-wars au rang de « culte ». On était devant un divertissement tout-publique où les incessants bavardages de l’androïde « 6PO » rappellent qu’il s’agit d’être régressif à moins d’être un enfant. Un jeune « élu », le combat du bien contre le mal, une princesse, des robots, Harrisson Ford, un espèce de « Alf » violent et des marionnettes mieux que chez Muppets, que demander de plus ?
        .
        Donc, puisque ça a marché, ça marchera, et revoilà la seconde trilogie qui est un préquel, donc on s’emmêlera dans les chiffres, tout ça... Et cette nouvelle trilogie aborde un point-de-vue politique qui se veut justifier sa suite. Cette intrigue politique, qui toujours joue d’une bien-pensance des plus populiste, est mêlée d’intervention encore plus rétrogrades : en plus du robot, il y a « Jar-jar » qui vise à séduire un publique encore plus jeune, un publique qui ne captera pas consciemment l’intrigue politique.
        Cette seconde trilogie qu’on nommera « Premier volet » m’est apparu comme un triple sachet de bouse trempé dans la guimauve. Le publique du « Second volet » devenu adulte fût peut-être déstabilisé par la quantité de morve à devoir engloutir pour s’enquérir de ce préquel ! On pouvait sentir que la production/réalisation était passée en d’autre mains, avec d’autres messages à transmettre à un publique pré-conquis.
        .
        Je n’attend donc rien de « valable » de la part de ce « troisième volet », au contraire, une suite encore plus rétrograde et auto-satisfaite que je verrai sans-doute à la seule fin de la critiquer.
        .
        Je trouve dommage que certains se fassent une réelle passion de cet objet commercial, qu’ils développent un « savoir » au sein de ce mythe, comme par exemple, la connaissance détaillée de tel « ordre », de ses fonctions et hiérarchies, l’histoire d’un monde imaginaire connue sur le bout des doigts, le tout agrémenté de la complète collection de figurines et avec la B.O qui tourne en boucle (?)

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