Je suis psychothérapeute et géobiothérapeute. je me suis guéri de maladies réputées incurables et fort de cette expérience, j’ai suivi des formations pointues pour me lancer ensuite dans l’accompagnement thérapeutique.
« 23 décès ont été constatés dans les jours qui ont suivi une injection du
produit. Treize autopsies ont déjà été réalisées. Elles ont révélé que les
effets secondaires du vaccin ‘peuvent avoir mené’ à de funestes conséquences
chez ces personnes âgées et fragiles, a fait savoir l’Agence norvégienne des médicaments. »
« 23 morts en Norvège après avoir reçu le vaccin Pfizer COVID-19, selon
des responsables »
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"Je ne pense pas que nous disposions
de preuves sur aucun des vaccins pour être sûrs qu’ils empêcheront les gens de
contracter l’infection (COVID-19) et donc de la transmettre"
2,8% DES PERSONNES VACCINEES DEVELOPPENT DEJA DES EFFETS SECONDAIRES
IMPORTANTS (pas bénins)
Le détail exact n’est pas donné mais il est bien indiqué ce qui suit
traduction) :
« incapacité à remplir les activités journalières normales,
incapacité à travailler,
ayant nécessité les soins d’un médecin,ou ceux d’un professionnel de
la santé »
N.B. Ce sont les statistiques officielles.
Une balance bénéfice-risque qui contrairement aux allégations des
« experts » et autres politicards asservis à la pensée unique, sont
donc nettement en défaveur de la vaccination !
Si je résume : effets secondaires autres que bénins pour 2.8 % soit 196
millions de personnes, si tout le monde se faisait vacciner dans le monde
et pour la France ce serait 1,876 million au bout de 5 jours..
; et après ?
Pour la Belgique plus de 250.000 personnes
impactées, sans parler des morts éventuels !
A cet égard la culture et l’esprit critique français est évidemment aux
antipodes de l’esprit grégaire d’une majorité d’Américains : on n’a en effet
pas encore vu (à ma connaissance) une levée de bouclier à propos de ces 2,8%
La solution est dans l’autoproduction citoyenne autoconsommée : il faut
que chacun prenne en charge autant que possible sa propre production d’électricité :
j’ai transformé mon habitat (25O m²) pourtant ancien (construit bien avant ale
premier choc ^pétrolier) et modérément isolé (je n’ai pas suivi le dogme de l’isolation
prioritaire) en habitait à énergie positive (statut effectif BePos) mais pas
seulement pour l’électricité et le chauffage mais aussi pour l’eau (cf. www.autarcie.be).
L’accent des pouvoirs publics est bien trop mis sur la construction neuve
alors que muter un bâti ancien énergivore en BePos est possible, comme je j’ai
fait ! Miser sur la nouvelle construction, c’est attendre plusieurs siècles avant que tout le bâti ne soit
renouvelé !
Cela demande certes des sacrifies : l’option généralisée
te assidue de la « simplicité volontaire » : pas de vacances à l’extérieur
de chez moi (certes un propriété de 32 ares partiellement boisée), pas d’achat de
luxe, aucune dépense inutile, recyclage poussé des déchets, petite
permaculture, …
Projet en cours ; après avoir amorti en moins
de 7 ans, tout l’investissement (fonds propres et prêt), j’ai opté pour un couple
électrolyseur/pile à combustible à hydrogène qui a un rendement de prés de
60%. Si on valorise la chaleur résiduelle
produite surtout par la pile à combustible (lorsqu’elle transforme donc l’hydrogène
en électricité), on réduit la perte à 5% environ.