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le gaulois

Retraité de l’industrie et du commerce, provincial invétéré, grand-père de six.

Tableau de bord

  • Premier article le 11/07/2008
  • Modérateur depuis le 29/07/2008
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Derniers commentaires



  • le gaulois 13 août 2008 11:36

    La question que j’ai soulevée portait sur la fonction essentielle du Président de la République qui est celle de stratège. Il est clair qu’elle est totalement oubliée au bénéfice de celle de manager, même si celle-ci est lamentablement traitée comme vous le dites, mais les conséquences en seront plus tardives, et plus difficiles à corriger.



  • le gaulois 8 août 2008 20:16

    Il y a eu remboursement.
    Le rapport annuel pour 2007 de la BCE (intéressant document pour toute personne désirant comprendre comment fonctionne la BCE et l’Euro, et plus généralement la monnaie) dans son chapitre 2 Les opérations et les activités de banque centrale, pages 104 à 140, décrit les opérations de refinancement pratiquées « dans le contexte de volatilité des marchés financiers » et parmi celles-ci les « mesures spécifiques adoptées en fin d’année ». Voici la description qu’en fait la BCE :

    « Les banques sont habituellement moins enclines à accorder des prêts sur le marché monétaire au cours des dernières semaines de l’année, en raison de préoccupations bilancielles. Ce phénomène bien connu promettait d’être particulièrement manifeste en 2007. Dans un communiqué de presse diffusé le 30 novembre, la BCE a dès lors annoncé l’adoption de mesures spécifiques afin d’atténuer les tensions au cours de cette période. L’échéance de l’opération principale de refinancement du 18 décembre a été exceptionnellement étendue d’une à deux semaines, de sorte que les banques puissent couvrir leur besoin de refinancement pour Noël et la fin de l’année préalablement à cette période difficile. Le 17 décembre, la BCE a également indiqué, via les réseaux d’information financière, que, dans le cadre de cette opération principale de refinancement d’une durée de deux semaines, elle s’écarterait de la procédure d’adjudication habituelle et satisferait toutes les offres égales ou supérieures au taux moyen pondéré de l’opération principale de refinancement précédente, lequel était de 4,21 %. Cette décision a principalement été motivée par la crainte de voir les taux de soumission atteindre des niveaux indésirables en raison des besoins de refinancement. Par conséquent, la BCE a alloué 348,6 milliards d’euros, soit 168,1 milliards de plus que le montant de référence. Une telle abondance de liquidité a exercé une pression à la baisse sur le taux au jour le jour. Afin d’atténuer cette pression, la BCE a mené plusieurs opérations de réglage fin de retrait de liquidité. La dernière d’entre elles est intervenue le 3 janvier, c’est-à-dire le jour précédant le règlement de la première opération principale de refinancement en 2008. En moyenne, la BCE a prélevé 143,8 milliards d’euros par jour par le biais d’opérations de réglage fin. … »



  • le gaulois 8 août 2008 19:50

    @ l’auteur,

    Non seulement vous avez raison de tenter d’éradiquer les idées non seulement fausses, mais aussi dangereuses, qui se répandent avec une redoutable aisance chez les gens qui savent lire mais ne réfléchissent pas. Elle sont dangereuses, car elles conduisent à un raisonnement faux sur le fonctionnement de l’économie et donc sur la valeur du travail des hommes.

    La difficulté réside dans la relative complexité du fonctionnement de la monnaie pour laquelle il n’existe pas de résumé simple. Il faut donc trouver non pas des arguments, car la réalité est beaucoup moins belle que le monde qui résulterait des idées fausses, mais des exemples.

    Ainsi à l’argument selon lequel l’état devrait créer lui-même la monnaie pour que les banquiers ne fassent pas de profit et pour qu’il ne paie pas d’intérêts car il n’aurait plus besoin d’emprunter, il est possible de répondre en demandant comment cet état pourrait payer le pétrole importé. Et ainsi de suite, en enchaînant les solutions sensées à des petits problèmes courant. Autre exemple, la création monétaire des banquiers est toujours suivie d’une destruction monétaire de même montant, aisément démontrable par le mécanisme de l’escompte des effets commerciaux.

    Bon courage.



  • le gaulois 7 août 2008 05:59

    Au sujet de la réponse du "quidam", selon qui l’existence des devoirs de l’homme et du citoyen serait implicite, je crois que lors de la rédaction initiale de la déclaration l’existence d’obligations sans droits était le lot commun du peuple et la cause première de ce texte qui énonce la contrepartie de ces "devoirs". La situation a ensuite évolué, en particulier sous l’influence de la déclaration originelle, sans qu’il soit jugé nécessaire, sans doute par respect du texte devenu fondamental, de préciser les devoirs qui s’étaient substitués aux obligations de l’ancien régime. Malheureusement, la perception actuelle de ces devoirs implicites les attribue à la société et non au citoyen en tant qu’individu.



  • le gaulois 29 juillet 2008 18:51

    Certes, mais les 500 tonnes d’héroïne du premier producteur mondial, fournissant la totalité de l’Europe, ne dépassent-elles pas largement les besoins, mais surtout les appétits, d’un service secret bien nourris ?


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