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Morpheus

Morpheus

Né en 1968, j’ai suivi des études secondaires artistiques. J’ai ensuite effectué un parcours autodidacte et touché à divers domaines, tant « manuels » qu’ « intellectuels », ce qui me permet de dire que cette distinction entre l’un et l’autre est parfaitement factice, car l’un ne va pas sans l’autre.

Tableau de bord

  • Premier article le 30/11/2010
  • Modérateur depuis le 07/01/2011
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Derniers commentaires



  • Morpheus Morpheus 12 octobre 2009 16:07

    Voyez donc ce documentaire.

    http://www.reopen911.info/11-septembre/un-jeudi-noir-de-l-information/

    Après l’avoir vu, souffrez que l’avis de Malterre me désintéresse complètement.

    A moins qu’il ne réponde aux demandes clairement exprimées par les auteurs du documentaire sus-mentionné.



  • Morpheus Morpheus 12 octobre 2009 15:07

    « Les phénomènes tirent leur nature d’une mutuelle dépendance et ne sont rien en eux-mêmes. » (Nagarjuna, IIè s.)

    « L’interdépendance réciproque implique des interactions fluctuantes et dynamiques. La nouveauté peut donc émerger de la synergie de l’ensemble sans être attribuée à un nombre limité de causes, ni faire appel au »hasard vrai« , c’est-à-dire à l’absence de cause. Nous faisons appel à la notion de hasard parce que cette infinité (ndlr : cette complexité) nous échappe. Le chaos, tel que le physicien le comprend, ne signifie pas »absence d’ordre« , mais se rattache à une notion d’impossibilité de prédiction à long terme. Appeler cela »hasard« est une commodité de langage qui est source d’ambiguïté. » (Trin Xuan Thuan, L’infini dans la paume de la main)

    A méditer.



  • Morpheus Morpheus 12 octobre 2009 14:33

    * comprendre "citoyens assistant passivement aux événements devant leur téléviseur« et vidant par là même de sa nature pro-active le »citoyen démocratique".



  • Morpheus Morpheus 12 octobre 2009 14:31

    Ne soyons pas dupe.

    Le terme « Ultra Gauche » est une création de la droite sarkosiste, reprise en coeur par les medias de masse, ayant pour vocation de stigmatiser, dans l’esprit du public*, toute forme de contestation du pouvoir.

    Il faut, pour le pouvoir, insuffler dans l’esprit du public, l’idée que tous les gens qui contestent les mesures gouvernementales et le pouvoir en place sont de la graine de terroristes. C’est exactement ce qui s’est produit à Tarnac, vis-à-vis de militants qui n’avaient rien de violent, et contre lesquels aucune preuve de ce dont ils ont été accusé n’a pu être apportée.

    C’est une manoeuvre VISANT à une radicalisation, radicalisation souhaitée par les sarkosiste afin de légitimer un régime politique Ultra Sécuritaire, lui ...

    Je ne serais nullement étonné d’apprendre que ces « anarchistes extrêmement bien organisés » (tiens, personne ne décèle de contre-sens dans cet énoncé ?) et surgissant soudainement comme des diables de leur boîte au moment opportun, soient en fait des agents provocateurs. Resterait à déterminer qui - ou quelles mouvances (de l’ombre) - tire les ficelle derrière ces agents.



  • Morpheus Morpheus 12 octobre 2009 14:02

    En fait, les protocoles des sages de Sion seraient un document rédigé par un certain Mathieu Golovinski à la demande de la police secrète du Tsar Nicolas II de Russie (celui-ci ayant refusé de s’en servir, décelant une supercherie). Sa rédaction s’inspire - voir plagie - un pamphlet satirique à l’encontre de Napoléon III écrit par Maurice Joly et titré « Dialogue aux enfers entre Machiavel et Montesquieu ».

    Il fut utilisé par les nazis afin de justifier la politique antisémite et soutenir leur argumentaire du complot judéo-maçonnique. On considère donc généralement qu’il s’agit bien d’un document, non pas « faux », mais à tout le moins faussement attribué aux juifs et utilisé de façon odieuse pour soutenir un génocide criminel : la shoa.

    Cela étant, il n’en demeure pas moins intéressant de prendre connaissance de son contenu (pour autant que l’on puisse en trouver un exemplaire ou une copie, car il est interdit de publication dans cetains pays, comme la France, par exemple). De même, il est intéressant de lire, par comparaison, le Dialogue aux enfers entre Machiavel et Montesqieu.

    Pour comprendre l’origine - ou l’une des principales origines - des théories de la conspiration, ces deux documents semblent en effet indispensables. Cependant, leur lecture devrait amener les lecteurs à se poser la question suivante : quelque soit l’origine de ces écris (et leur utilisation crapuleuse par les nazis), n’observons-nous pas, à l’heure d’aujourd’hui, une situation présentant d’étranges similarités avec les objectifs souhaités par les soi-disant « sages de Sion » ?

    Passer cette question - et la réponse à mon humble avis tragiquement positive - sous silence serait hélas à mon sens, comme le dit l’Architecte dans Matrix, un dénis ; « la plus prévisible des réactions humaines ». Personnellement, il m’importe assez peu de désigner telle ou telle communauté (ce serait même sans doute absurde, vu que le désir de pouvoir appartient à tous les hommes, ou presque), mais de savoir si effectivement il existe des intérêts occultes qui oeuvrent afin d’aboutir, peu ou prou, à de tels objectifs (la domination du monde par une élite autocratique totalitaire).

    Et le moins que l’on puisse dire, c’est que c’est là soulever un couvercle d’où s’échappent pas mal de squelettes qui font froid dans le dos (CFR, Trilatérale, Bilderberg, le Siècle, OMS, OMC, Banque Mondiale, Banques Internationales, etc.). Car plus que jamais, il y a aujourd’hui une poignée de personnages puissant à l’échelle mondiale qui ont les moyens de réaliser pareil agenda, et qu’à tout le moins, nos démocraties sont plus que malmenées depuis quelques décénies. Penser que ces personnages seraient doté d’un altruïsme ne visant que le bien de l’humanité, et non des intérêts personnels obscures, serait faire preuve d’un angélisme béat qui me laisse toujours pantois, surtout lorsque je médite ce passage du Dialogue aux enfers ...

    « Le principal secret du gouvernement consiste à affaiblir l’esprit public, au point de le désintéresser complètement des idées et des principes avec lesquels on fait aujourd’hui
    les révolutions. Dans tous les temps, les peuples comme les hommes se sont payés de mots. Les apparences leur suffisent presque toujours ; ils n’en demandent pas plus. On peut donc établir des institutions factices qui répondent à un langage et à des idées également factices ; il faut avoir le talent de ravir aux partis cette phraséologie libérale, dont ils s’arment contre les gouvernements. Il faut en saturer les peuples jusqu’à la lassitude, jusqu’au dégoût. »

    Ne vivons-nous pas dans une civilisation du secret ? Le secret n’est-il pas la prérogative des Etats (le sacro-saint « secret d’état ») ? Et le secret ne protège-t-il pas toujours les grandes corporations privées ? Poser la question, c’est y répondre : dans une civilisation qui n’a rien à cacher, le secret n’a plus lieu d’être.

    L’Apocalypse (sens étymologique = « dévoilement », « révélation ») serait alors bel et bien la fin de notre civilisation DU SECRET, ou toutes les ignominies passées seraient révélées comme tel, et où l’avenir serait enfin à la Vérité et à la transparence.

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