Algérie : la politique anti-France d’un régime autoritaire gérontocratique à la dérive
Depuis l'indépendance de l'Algérie en 1962, les relations entre la France et son ancienne colonie ont été marquées par des tensions persistantes, exacerbées par une politique mémorielle souvent instrumentalisée par le régime algérien. Ce dernier, en proie à une crise de légitimité et à des défis socio-économiques majeurs, utilise la figure de "l'ennemi français" comme un moyen de galvaniser le nationalisme et de détourner l'attention des problèmes internes. Cette stratégie, qui s'inscrit dans une logique de victimisation, ne fait que renforcer un discours anti-France qui n'est ni justifié ni constructif.
Une politique de victimisation indécente
La stratégie de victimisation ne se limite pas aux discours. Elle se manifeste également dans les politiques éducatives, où l'histoire de la colonisation est toujours présentée de manière unidimensionnelle, renforçant ainsi un sentiment anti-France tenace chez les jeunes générations. Les manuels scolaires, par exemple, mettent l'accent sur les atrocités commises par la France, tout en minimisant les aspects de l'histoire algérienne qui pourraient nuancer cette vision. En cultivant une mémoire collective empreinte de ressentiment, le régime algérien, de plus en plus critiqué par la population, s'assure une base de soutien.
Depuis l'arrivée au pouvoir d'Abdelmadjid Tebboune, en décembre 2019, cette rhétorique anti-française s'est intensifiée. Le chef de l'État algérien n'a cessé de dénoncer l'ingérence française dans les affaires intérieures de son pays, accusant Paris de vouloir déstabiliser le régime. En décembre 2024, l'ambassadeur de France à Alger a été convoqué par le ministère algérien des Affaires étrangères suite à des accusations de "déstabilisation" formulées par les autorités algériennes. Ces accusations étaient notamment liées à des allégations fantaisistes selon lesquelles les services de renseignement français auraient cherché à manipuler des anciens jihadistes algériens pour organiser des attentats en Algérie.
Cette convocation intervient dans un contexte de tensions croissantes entre les deux pays, marquées par des accusations réciproques d'ingérence et des divergences de vues sur des questions régionales, telles que le conflit au Sahara occidental. Le retrait de l'ambassadeur d'Algérie en France en signe de protestation contre le soutien d'Emmanuel Macron au plan marocain d'autonomie du Sahara occidental avait déjà considérablement refroidi les relations bilatérales.
Le régime algérien a ainsi multiplié les initiatives visant à réduire la présence française en Algérie. La francisation a été fortement remise en question, les établissements scolaires français ont été fermés, et les entreprises françaises opérant sur le territoire national ont été soumises à des pressions accrues.De plus, le français n'est plus une des langues officielles de l'Algérie.
Cette politique anti-France prend des formes diverses. Elle se manifeste notamment dans les symboles nationaux, comme le couplet de l'hymne algérien qui évoque explicitement la lutte contre le colonialisme français. Elle se traduit également par des répressions visant les voix dissidentes, comme en témoigne l'arrestation de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal, 75 ans, critique envers le régime et ouvertement hostile à l'instrumentalisation de l'histoire.
Cette stratégie sert plusieurs objectifs. Elle permet tout d'abord de distraire l'opinion publique des innombrables problèmes internes auxquels le pays est confronté, tels que la crise économique, la corruption généralisée et le chômage des jeunes (36% des moins de 24 ans). Elle permet également de renforcer le pouvoir du régime en galvanisant les nationalistes et en présentant le président prorusse Tebboune comme le défenseur de l'Algérie face à l'impérialisme français. Enfin, elle vise à réduire l'influence française en Afrique du Nord et à affirmer le rôle, illusoire et fantasmé, de l'Algérie comme leader régional.
Détourner l’attention des problèmes algériens
En plus de servir de bouc émissaire, la politique anti-France du régime algérien permet de détourner l'attention des nombreux problèmes internes. Alors que le pays fait face à des défis économiques croissants, notamment une dépendance excessive aux hydrocarbures et une jeunesse désillusionnée et désœuvrée, le gouvernement préfère focaliser le discours public sur les relations avec la France, "responsable de tous les maux". Cette stratégie est particulièrement visible lors des périodes de crise, où les dirigeants algériens intensifient leur rhétorique anti-française pour détourner l'attention des manifestations populaires et des revendications sociales.
De plus, cette politique a des répercussions sur les relations diplomatiques entre les deux pays. Les tensions récurrentes, alimentées par des déclarations provocatrices et des gestes symboliques, nuisent à la possibilité d'une coopération constructive. Alors que la France et l'Algérie pourraient collaborer sur des enjeux cruciaux tels que la lutte contre le terrorisme, la migration ou le développement économique, la focalisation sur le passé empêche toute avancée significative. Le régime algérien privilégie une posture de confrontation directe plutôt que de dialogue.
L’impact considérable sur les relations bilatérales
Les conséquences de cette politique anti-France sont multiples et touchent divers aspects des relations bilatérales. Sur le plan économique, la méfiance croissante entre les deux pays entrave les investissements français en Algérie, qui pourraient pourtant contribuer à la diversification de l'économie algérienne. De nombreuses entreprises françaises, qui ont longtemps été des partenaires stratégiques, hésitent à s'engager dans un climat aussi tendu, ce qui limite les opportunités de création d'emplois et de transfert de compétences.
Sur le plan culturel, la situation n'est guère plus favorable. Les échanges culturels, qui pourraient favoriser une meilleure compréhension mutuelle, sont souvent entravés par des discours nationalistes qui rejettent toute forme de coopération avec la France. Les initiatives de jumelage entre villes, les programmes d'échanges universitaires ou les projets artistiques communs sont souvent perçus à travers le prisme d'une méfiance historique, ce qui limite les possibilités d'enrichissement mutuel. Les jeunes Algériens, qui pourraient bénéficier d'une ouverture vers la culture française, se retrouvent enfermés dans une vision étriquée et conflictuelle de leur histoire.
Il est désormais crucial de reconnaître que la politique anti-France du régime algérien, loin de servir les intérêts du pays, ne fait que perpétuer un cycle de ressentiment et de division. Alors que les deux nations ont un passé complexe, il est temps de dépasser les repentances mémorielles pour se concentrer sur l'avenir.de leurs populations respectives. Cette haine du gouvernement et des autorités de la République algérienne "démocratique" et "populaire " (La Corée du Nord est également "populaire" et "démocratique") à l'égard de la France n'est absolument pas justifiée.
Il est temps de mettre fin à cette imposture victimaire d'un régime gérontocratique aux abois qui n'est pas capable de prendre soin de sa jeunesse et de lui offrir un avenir plus radieux, dans un pays indépendant depuis 62 ans et qui dispose de ressources naturelles considérables et regorge de sites touristiques de premier plan. Dans de telles conditions, on peut légitimement se poser la question sur ce qu'a fait la dictature algérienne, pendant ces nombreuses décennies, pour développer le pays et assurer un niveau de vie décent à ses citoyens ?
58 réactions à cet article
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bon article...
Ayant des amis algériens ils confirmeraient.
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@juluch
Merci pour votre commentaire. J’ai un ami algérien, médecin dans un hôpital public en France, qui a lu mon article avant sa publication. Il m’a dit : « Tu as raison. Pourquoi ai-je quitté mon beau pays ensoleillé, après être resté au chômage pendant près de 2 ans, alors que j’avais déjà mon doctorat en médecine ? Je ne l’ai pas fait par gaieté de cœur. L’Algérie est dirigée par des vieillards séniles qui ne se préoccupent pas de la jeunesse, qui représente 50% de la population. Et puis, la haine des Français que nous inculque le gouvernement est déplacée. Tous les jeunes Algériens ne rêvent que d’un chose : venir travailler et vivre en France. »
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@Giuseppe di Bella di Santa Sofia
En effet, la haine de la France est déplacée. Non seulement la haine est un sentiment vil en lui-même, mais en plus les Algériens devraient plutôt remercier la France de tout ce qu’elle leur a apporté. Sans la France, ils seraient encore dans le paludisme, la piraterie et le trafic d’esclaves...Et puis, la haine des Français que nous inculque le gouvernement est déplacée. Tous les jeunes Algériens ne rêvent que d’un chose : venir travailler et vivre en France
Cependant, les Algériens « qui ne rêvent que d’aller vivre et travailler en France » devraient se regarder une bonne fois dans la glace. Comment peuvent-ils apporter avec eux une culture et une religion qui sont directement responsables de leur stagnation (ainsi que de la stagnation de tout le monde arabo-islamique depuis 1000 ans) ?
Il n’y a pas de honte à abandonner sa culture et sa religion pour devenir romain et chrétien... nos ancêtres Gaulois en ont fait autant, pour notre plus grand bénéfice ! Il reste donc aux Algériens raisonnables et honnêtes à assumer, et à devenir entièrement ce qu’ils rêvent de devenir.
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@La Bête du Gévaudan
Oui, je suis d’accord avec vous. Cet ami est devenu français par naturalisation, bien avant son mariage avec une Française catholique, qu’il connaissait depuis plusieurs années. Il était musulman mais n’avait jamais mis les pieds dans une mosquée et il ne connaissait pas une seule prière. Il m’avait fait part de son désir d’avoir des enfants, après son mariage, et qu’il ne souhaitait pas les élever dans l’islam, une « religion intolérante ». Ce sont ses mots.
Il a donc décidé de se convertir au catholicisme et, dès son baptème, sa fiancée et lui ont convenu de la date du mariage. Je vous avoue que je me suis réjoui de son choix, qui lui aurait coûté de nombreuses années de prison en Algérie.
Aujourd’hui, son épouse et lui ont un fils et une fille et filent toujours le parfait amour. Je trouve que cette histoire est belle et merveilleuse. C’est un beau message d’espoir, beaucoup trop rare, hélas !
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@Giuseppe di Bella di Santa Sofia
Sur 99% de l’article je suis parfaitement d’accord. Pour ce qui est de la tentative de « déstabilisation » (disons d’ingérence discrete), en revanche, actuellement j’ai des doutes quand je vois ce dont sont capables les caniches l’UE de de Washington aujourd’hui. Bien entendu le mobile ici serait juste de la géopolitique. L’Algérie se détourne actuellement de plus en plus de l’Occident. -
Bah ! D’accord sur les fins et aboutissements de cette sinécure colonialiste !
Mais sorti de là ?
Les jeunes Algériens fuient leur pays, regrettant le soleil, et les plages de Jijel ou, Bordj El Bahri, Mostaganem, soit, mais ILS PARTENT !
Et reviennent au bled, Audi et BMW rutilantes, faisant montre de leur réussite migratoire. Et il le faut, c’est obligé, car sinon , comment justifier ce « lâche départ » cet abandon de la mère patrie, si tu ne montre pas, qu’il a fallu du courage et de la ténacité, pour obtenir, dans cet ailleurs honni, et détesté des gens du cru, cette réussite jetée au regard de tous, comme une souffrance de tous les jours ?
( Vous savez, les Italiens, pas mieux, quand ils rentraient chez eux à Ferragosto )
On peut leur reprocher quoi ? De se servir de leur histoire comme point d’achoppement de leur politique actuelle ?
On peut !
C’est peut être la seule chose que ces « échappés des monuments aux morts » ont en stock, pour servir de digue à l’immense population jeune, qui a ses yeux rivés sur tik tok, et un monde si plein de promesses inaccessibles , dont ils sentent le parfum, au travers des couscoussiers paraboliques sur les toits, et qui font rêver, à un futur climatisé aux libertés.
Se servir de l’histoire de leur pays ? La belle affaire...Soit !
Mais nous, nous, dont le présidiot a si bien hurlé, que :
« la France, n’as pas d’histoire », sur quoi, sur qui, devrions nous baser notre civilisation ?
Le repenti perpétuel ? Comme semble le faire notre Âgenouilleur-pas tenté ?
Caresser les corps n’Humides, aux doigts d’honneur pré-tendus ?
Monter un Roi, contre un autre colonisé, pour quelques grains de sable, d’un vide saharien, dont on espère accentuer l’aspect économique, en échange d’un PIB renfloué, à base de Beuh ?......
Qu’avons nous de plus à proposer ?
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Difficile d’être copain entre France et Algérie, avec une population qui garde comme hymne national « la révolution contre la France »
Ô France ! le temps des palabres est révolu
Wa tawaynâhu kamâ yutwa l-kitâb
Nous l’avons clos comme on ferme un livre
Yâ firansâ inna dhâ yawm ul-hisâb
Ô France ! voici venu le jour où il te faut rendre des comptes
fa-staʿiddî wa khudhî minnâ l-jawâb
Prépare toi ! voici notre réponse
Inna fî thawratinâ fasl al-khitâb
Le verdict, Notre révolution le rendraavec des méthodes naturellement violentes
Sur nos âmes, nous construirons une armée
Gabhato’ ltahreeri aataynaki ahdan
Et de notre espoir nous lèverons l’étendard.
Wa aqadna alazma an tahya algazair.
Front de la Libération, nous t’avons prêté serment et nous avons juré de mourir pour que vive l’Algérie !-
@lecoindubonsens
Vous avez raison ! Et puis, il y en a assez des rentes et rependances mémorielle incessantes. Il faut mettre un terme à ce cirque !
La gérontocratie algérienne ne cesse d’appeler à la haine contre la France. Il y a eu des erreurs lors de la colonisation française, c’est vrai. Mais l’Algérie n’a pas été traitée comme le Congo sous le règne de Léopold II, où il y a eu un vrai génocide.
Lorsque le président Tebboune affirme (voir le début de la première vidéoà qu’a l’arrivée des Français, en 1830, il y a avait 40 millions d’habitants et qu’à leur départ il n’en restait plus de 9 millions, c’est vraiment un délire total ! Et il ose parler de « génocide »... La réalité est bien différente : 2 à 3 millions d’habitants en 1830 et près de 12 millions en 1962. Quelle honte de manipulier l’histoire à ce point !
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Correction : « Et puis, il y en a assez des rentes et repentances mémorielles incessantes. »
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@Giuseppe di Bella di Santa Sofia
Ici, le ministre des affaires religieuses d’Algérie affirme sans rire que 100 millions d’Algériens sont mort à Verdun.
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@SilentArrow
Heureusement que le ridicule ne tue pas ! Ces vieillards séniles vont toujours plus loin dans l’indécence et la surenchère. Même les Algériens ne croient pas une seule seconde à leurs mensonges.
Je me souviens également que le gouvernement algérien prétendait que la Tour Eiffel était algérienne, alors que l’acier venait uniquement de France ! Ils vont bientôt prétendre qu’ils ont construit le château de Versailles...
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@Giuseppe di Bella di Santa Sofia
Difficile d’être copain quand chaque fois qu’ils chantent leur hymne national (y compris au Stade de France pour des matchs France Algerie), le public applaudit« Ô France ! voici venu le jour où il te faut rendre des comptes
Prépare toi ! voici notre réponse
Le verdict, Notre révolution le rendra »
mais le plus difficile à admettre, c’est que des décideurs français leur maintiennent des avantages commerciaux et administratifs, c’est indécent vis à vis du peuple français. Eux les algériens qui chantent qu’ils sont prêts à mourir contre la France.Certes il ne faut pas oublier que ces paroles datent du FLN des années 60 (on pouvait alors comprendre), mais les maintenir aujourd’hui est une provocation permanente. Alors pourquoi les français continuent-ils de « payer » en laissant des avantages, alors que tant de français ont des besoins encore à satisfaire.
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@lecoindubonsens
Je suis totalement d’accord avec vous ! Il est temps de mettre fin aux accords franco-algériens de 1968 et de cesser de délivrer près de 200 000 visas aux ressortissants algériens, chaque année. De plus, l’Algérie ne fournit que 2 000 laissez-passer consulaires pour l’expulsion de ses ressortissants en situation irrégulières.
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Correction : « pour l’expulsion de ses ressortissants en situation irrégulière ».
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@Giuseppe di Bella di Santa Sofia
« 2 à 3 millions d’habitants en 1830 et près de 12 millions en 1962. »
« En 1880, le déclin démographique de la population algérienne était tel que, dans une étude intitulée La démographie figurée de l’Algérie (17), le docteur René Ricoux, chef des travaux de la statistique démographique et médicale au bureau de statistique du gouvernement général de l’Algérie, prévoyait la disparition des Algériens. Selon lui, les Berbères et les Arabes, « races inférieures » et surtout « races dégénérées », devaient tendre « à disparaître d’une façon régulière et rapide » (18).
https://hoggar.org/2011/12/26/le-passe-genocidaire-de-la-france-en-algerie/
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il n’y a pas eu de génocide, sans quoi ces populations auraient entièrement disparu...
Il est vrai qu’il a été difficile pour eux de se mettre à travailler honnêtement et pacifiquement... les Algériens étaient des pirates, des pillards et des trafiquants d’esclaves absolument infâmes... ils ont enlevé et déporté entre le XVIème et le XVIIIème siècle des centaines de milliers d’Européens afin de les asservir et de les assassiner. Ils vendaient les êtres humains sur des marchés, comme on vend des bêtes. Voilà...
C’était ça l’Algérie... forcément, il y a eu un temps d’adaptation pour apprendre à respecter les Blancs et surtout se mettre à travailler honnêtement.
Mais après, grâce à l’instruction Française helleno-chrétienne, ils sont sortis de l’ignorance et de la violence. Ils ont pu se soigner pour échapper au paludisme. Et ils ont pu mettre en oeuvre une économie réellement productive à base de travail et de science.
Malheureusement, le goût de l’industrie semble les avoir quitté depuis que la France est partie. Il n’y a pas d’argent magique.
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@Durand
Je n’ai jamais lu un tel concentré d’âneries dans un seul « article ». Quel salmigondis !
Cet article a été publié par le site de « l’institut Hoggar », situé en Suisse. Il est dirigé par le médecin algérien Abbas Aroua, proche du mouvement « Front islamique du salut » (FIS), et membre fondateur du mouvement Rachad qui prône l’instauration d’un régime islamique en Algérie.
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@Giuseppe di Bella di Santa Sofia
Tactique classique quand on n’a pas d’arguments : s’attaquer au messager plutôt qu’au message… Or, tous les arguments de l’auteur reposent sur des documents historiques consultables à la Bibliothèque Nationale de France… Rapports militaires, lettres des officiers français à leur familles, etc…
Quand je pense qu’une caserne de Fréjus porte le nom de Canrobert, ce jeune officier français qui s’était illustré, entre autre, dans le “enfumades“ du Dahra et qui a fini Maréchal !
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@Durand
Pas besoin de perdre du temps avec un article qui provient d’un site complotiste islamique. Je ne vais pas chercher à vous convaincre, ce serait peine perdue. Libre à vous de croire ce que vous voulez. Je ne suis pas enseignant et vous n’êtes pas mon élève.
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@Durand
A titre d’exemple de la tromperie de l’auteur, qui cite de nombreux intellectuels du XIXe siècle, il évoque Victor Hugo et mentionne ce texte qui est extrait de ses « Choses vues » (1841) : « Je crois que notre nouvelle conquête est chose heureuse et grande. C’est la civilisation qui marche sur la barbarie. C’est un peuple éclairé qui va trouver un peuple dans la nuit. Nous sommes les Grecs du monde, c’est à nous d’illuminer le monde. Notre mission s’accomplit, je ne chante qu’Hosanna. Vous pensez autrement que moi c’est tout simple. Vous parlez en soldat, en homme d’action. Moi je parle en philosophe et en penseur. »
Cette citation témoigne de l’enthousiasme initial de Victor Hugo pour cette entreprise coloniale qui avait pour but de mettre fin au commerce des esclaves qui se pratiquait alors en Algérie, véritable repère de pirates et de personnages peu fréquentables. Mais l’auteur de cet article se garde bien de le préciser. Il est important de replacer le texte de Victor Hugo dans son contexte.
L’auteur n’a pas non plus l’honnêteté intelectuelle de rappeler que cette vision optimiste de la colonisation ne sera pas partagée par Victor Hugo tout au long de sa vie. Par la suite, il développera une conscience critique de l’impérialisme et des souffrances qu’il engendre.
Je sais que vous ne serez pas convaincu. Il y a d’innombrables autres impostures commises par l’auteur de cet article.
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@Giuseppe di Bella di Santa Sofia
« Pas besoin de perdre du temps avec un article qui provient d’un site complotiste islamique »
Et maintenant, la valse des étiquettes en guise d’arguments… Mais ça ne fait pas le poids…
« Je ne suis pas enseignant et vous n’êtes pas mon élève. »
Ça ne risque pas…, en la matière, je n’aurais jamais accepté l’autorité d’un maître qui n’aurait jamais mis les pieds en Algérie.
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@Durand
Raté, je me suis rendu en Algérie à plusieurs reprises, à partir des années 1980. C’est ballot, hein ?
Quand on ne connaît pas quelqu’un, c’est très puéril d’essayer de le dénigrer en diffusant des informations qui n’ont pas été vérifiées. Un peu comme votre article fantaisiste auquel vous croyez dur comme fer...
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@Giuseppe di Bella di Santa Sofia
Presque 40 ans plus tard, en 1879, la justification de la colonisation de l’Afrique par Victor Hugo trouvait également ses sources dans la misère calamiteuse qui sévissait en France et en Occident en général. Victor Hugo aura eu l’ingénue franchise de l’avouer :
« Prenez cette terre à Dieu. Dieu donne la terre aux hommes, Dieu offre l’Afrique à l’Europe. Prenez-la. [...] Versez votre trop-plein dans cette Afrique, et du même coup résolvez vos questions sociales. »
Victor Hugo, extrait du discours sur l’Afrique en mai 1879.
A mon goût personnel, Victor Hugo était un nullissime politique, un piètre historien, un poète moins que moyen et un écrivain souvent indigeste.
« L’auteur n’a pas non plus l’honnêteté intelectuelle de rappeler que cette vision optimiste de la colonisation ne sera pas partagée par Victor Hugo tout au long de sa vie. Par la suite, il développera une conscience critique de l’impérialisme et des souffrances qu’il engendre. »
Beaucoup plus tard, alors !…, parce que pendant les 4 décennies qui séparent votre citation de 1841, de la mienne de 1879, ses égards vis-à-vis des populations colonisées ne se sont vraiment pas améliorés !… Et sachant qu’il est mort en 1885, ce « tout au long de sa vie » fut de très courte durée, non ?
Vous aussi, vous inventez l’histoire selon les besoins de la cause que vous défendez… Ne serait-ce point pour y trouver matière à justifier l’actuelle colonisations sanglantes des sionistes révisionnistes, « du Nil a l’Euphrate », comme ils disent ?
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@Giuseppe di Bella di Santa Sofia
« je me suis rendu en Algérie à plusieurs reprises, à partir des années 1980. »
Mince, plusieurs fois ?!!!… Je n’y suis allé qu’une seule fois en 1985 et la sympathie des Algériens, d’Annaba à Alger et d’Alger à Inn Ghezzam (en stop), m’a semble-t-il laissé un tout autre souvenir qu’à vous-même, de ce pays, de sa population et de son histoire coloniale… Comme quoi…
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@Durand
J’y suis allé à plusieurs reprises à titre privé, puis à titre professionnel. Ai-je dit une seule fois que j’avais été mal accueilli par les Algériens ? Absolument pas ! Dans cet article, je critique le régime autoritaire et gérontocratique algérien. Je vous invite à relire mon articles. Mes propos sont pourtant très clairs.
La première fois que je me suis rendu en Algérie, c’était en compagnie d’un ami d’origine algérienne qui a voulu me faire découvrir le pays de ses parents. Je suis allé jusqu’à Biskra.
L’Algérie est un pays magnifique, avec des paysages à couper le souffle et des sites historiques d’un grand intérêt. J’ai été merveilleusement accueilli par les Algériens et je n’étais pas considéré comme un descendant des « méchants colons blancs ». Ils n’ont jamais évoqué la colonisation. Par contre, en privé, ils étaient beaucoup plus bavards lorsqu’il s’agissait de dénoncer les nombreuses failles et la corruption des gouvernements algériens depuis 1962.
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@Durand
Encore une fois, il s’agit d’un texte sorti de son contexte. Ce discours a été prononcé par Victor Hugo, 30 ans après l’abolition de l’esclavage dans les colonies française, en 1848. Il n’évoque pas l’Algérie, puisqu’elle était déjà colonisée depuis pas mal de temps, mais de l’Afrique subsaharienne où l’esclavage était encore pratiqué. Hugo a toujours été contre l’esclavage, dont il a largement soutenu l’abolition.
Victor Hugo, un « écrivain souvent indigeste » ? Votre mépris pour un des plus grands et talentueux écrivains de France montre bien celui que vous avez également pour notre culture et notre pays. Je ne sais pas si vous tenez de tels propos par provocation ou par conviction. Mais vous avez atteint votre but : être au centre de l’attention. Mission réussie, hein ?
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Correction : « Et puis, il y en a assez des rentes et repentances mémorielles incessantes. »
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@Giuseppe di Bella di Santa Sofia
Oui, c’est vrai. Ras le bol de cette repentance obligatoire incessante, quotidienne et par tous les bouts sur le génocide des juifs. Ce n’est pas la France qui l’a décidé, mais Hitler. Le tort de notre pays, s’il y a, est d’avoir perdu la guerre et d’être ainsi passé sous les ordres du vainqueur.
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@Enki
C’est quoi le rapport avec le sujet qui nous intéresse ici ? La France a admis les erreurs commises sous le régime de Vichy. Le sujet est clos, non ? De plus, il ne s’agissait pas d’un conflit entre colonisateur et colonisés.
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@Giuseppe di Bella di Santa Sofia
C’était rapport à votre message sur les repentances mémorielles.
Je suis au courant de l’acharnement mémoriel contre la France par les Algériens. Je ne vois pas de différence avec celui des juifs contre la France.
Mais la différence qu’il y a, depuis la France, c’est qu’elle était souveraine quand elle a colonisé l’Algérie, alors qu’elle ne l’était plus quand Hitler a décidé la solution finale. Le régime de Vichy n’était qu’un gouvernorat de l’Allemagne. Hitler en avait besoin afin que les colonies Françaises ne s’en échappent pas pour se jeter dans les bras des alliés. Il l’a dit à Mussolini.
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@Enki
Absolument pas ! Bien qu’illégitime, le régime de Vichy était légal et reconnu par de grandes puissances, comme l’URSS et les Etats-Unis. En France, nous avons toujours des lois héritées de Vichy.
Vous ne voyez pas la différence entre l’extermination systématique et industrielle de 6 millions d’êtres humains et la colonisation française en Algérie ? Je trouve ça bien dommage... Oui, c’étaient des juifs et alors ?
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@Giuseppe di Bella di Santa Sofia
Est-ce que ce sont les Français qui ont décidé l’extermination des juifs ?
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@Enki
Personne n’a dit cela. Ils ont aidé l’occupant allemand à déporter les juifs. Les camps de transit, comme ceux de Drancy ou de Beaune-la-Rolande, était tenus par des gendarmes français. Il n’y avait pas un seul allemand. La raffle du Vélodrome d’Hiver, en juillet 1942, a été menée uniquement par des policiers français.
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@Giuseppe di Bella di Santa Sofia
L’administration française est passée sous l’autorité allemande, puisque le pays lui appartenait. Je vous ai expliqué pourquoi il y a eu régime de Vichy. Nombre de juifs se sont déplacé dans la zone du régime de Vichy, pour échapper aux rafles. Si le régime de Vichy n’avait pas existé, les rafles auraient été plus nombreuses. Serge Klarsfeld a collecté les chiffres et constaté que la France fut l’un des pays occupés au plus faible pourcentage de Juifs victimes du génocide. Si vous parlez de responsabilité de la France, parlez alors aussi de la responsabilité aussi de juifs français, puisque l’UGIF a fourni à la Kommandantur des listes de juifs étrangers pour éviter que ceux nationaux partent dans les trains.
L’histoire, ce n’est pas un film avec des bons et des méchants établis d’avance. Et c’est toujours déplaisant de lire vos leçons d’histoire avec votre culotte courte, alors qu’elle enseigne au contraire la prudence dans ses jugements.
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@Enki
Absolument pas ! Vous pouvez répeter 1 000 fois un mensonge et cela n’en fera pas une vérité, contrairement à ce que prétendait la propagande Goebelsienne.
Vous avez une vision très binaire de l’histoire, certainement par méconnaissance du sujet. Vous évoquez Serge Klasfeld, dont je salue l’action pour la traque des anciens nazis, mais il exprime des propos personnels qui sont loin de faire l’unanimité auprès des historiens. Je vous rappelle qu’il est avocat de formation. En tant qu’historien, je ne vais pas lui donner de leçons de droit...
Arrêtez avec cette histoire d’UGIF ! Cela fait 40 ans que j’entends le même refrain. C’est fatiguant !
Si vous n’aimez pas mes « leçons d’histoire », ne les lisez surtout pas ! Je peux me passer de vous et cela ne m’empêchera pas de dormir. Vous ne savez pas ce qu’est l’histoire. Ce n’est pas uniquement l’étude du passé. Votre vision de cette l’histoire est particulièrement réductrice et totalement dépassée.
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@Giuseppe di Bella di Santa Sofia
Je ne retrouve le tableau des juifs déportés par pays. Cet article vous en donne quelques indications :
https://www.lorientlejour.com/article/550840/L%2527extermination_des_Juifs_dans_les_differents_pays_d%2527Europe.html
(allez jusqu’à la dernière phrase). Serge Klarsfeld n’a évidemment pas été le seul à faire ce constat, c’est une collecte d’historiens.
Les faits sont têtus, je comprends que ce soit usant.Arrêtez avec cette histoire d’UGIF ! Cela fait 40 ans que j’entends le même refrain. C’est fatiguant !
C’est plus que curieux que vous me reprochiez d’être binaire alors que je vous montre à l’inverse que c’est complexe. Et c’est justement cela qui vous fatigue : que l’histoire ne soit pas simple comme vous le voudriez. Vous avez des catégories de pensées trop rudimentaires pour pouvoir appréhender la complexité, ainsi que la relativité des faits les uns par rapport aux autres.
Et ça vous fatigue d’autant plus que je conteste pas du tout le génocide des juifs qui s’est produit durant la dernière guerre mondiale. -
@Enki
Il y a beaucoup d’erreurs dans cet article de presse libanais. De nombreux chiffres sont incorrects. De plus, le roi Christian X du Danemark n’a jamais porté l’étoile jaune. Cette légende populaire est très répandue, mais elle est infondée.
Il est indéniable que certains membres de l’UGIF aient participé plus largement à la collaboration avec le régime de Vichy et les nazis. Mais il ne faut pas en faire une généralité. Ce sujet complexe est encore étudié par les historiens.
Serge Klarsfeld a été un redoutable chasseur de nazis, c’est un fait établi. Le régime de Vichy était réticent à livrer des Français juifs, c’est un fait. Mais il l’a fait, malgré tout, lorsqu’il a retiré la citoyenneté française à de nombreux juifs naturalisés, certains depuis près de 20 ans. De plus, les nazis ne voulaient pas déporter les enfants. Et qui a insisté pour qu’ils soient déportés ? Le régime de Vichy...
Après, peu importe le nombre de victimes de la Shoah en France. Une seule victime est une victime de trop. La France, comme de nombreux autres pays européens, a une part de responsabilité dans la Shoah. C’est tout ce qu’il faut retenir, à mon avis.
Nous ne sommes pas comptables des actes des autres, même s’il s’agit de nos parents. C’est pour cela que je suis opposé aux sempiternelles repentances mémorielles qui n’ont aucun intérêt. Il ne faut pas oublier le passé, c’est vrai. Mais il faut tout faire pour construire un avenir plus radieux, sans répéter les mêmes erreurs qu’auparavant.
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@Giuseppe di Bella di Santa Sofia
C’est pour cela que je suis opposé aux sempiternelles repentances mémorielles qui n’ont aucun intérêt.
,mais vous ne faite que ça, pratiquement dans tous vos articles, mais quid d’israel ? hum
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@xenozoid
Je ne sais pas où vous avez lu que je présente des excuses pour des faits que je n’ai pas commis ? Ce serait bien de me donner vos sources, non ?
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@Giuseppe di Bella di Santa Sofia
vous n’êtes pas contre les sempiternelles repentances mémorielles, vous les utilisés partout dans vos articles ,n’est ce pas ?
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@xenozoid
Je ne sais pas où vous avez lu que je présente des excuses pour des faits que je n’ai pas commis ? Ce serait bien de me donner vos sources, non ?
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@Giuseppe di Bella di Santa Sofia
Et ? Vous contestez les chiffres de l’article sans rien apporter pour corriger ? Juste parce que cela ne vous plaît pas ? Quand je parlais culotte courte... Vous ne faites qu’étaler votre puérilité.
Mémorial de la Shoah (3ème onglet) :
https://www.memorialdelashoah.org/archives-et-documentation/quest-ce-que-la-shoah/questions-frequentes.htmlA moins que vous disiez que l’institution raconte n’importe quoi...
Déjà les chiffres sont bien ceux de l’article. Ensuite, on ne va pas chipoter à l’unité près, les chiffres présentant de toute façon des variations selon les sources et les données choisies aux calculs. Les ordres de grandeurs nous suffisent ici. Enfin, les écarts de pourcentages de populations juives exterminées selon les pays sont considérables, de moins de 1% à 90%, si c’est cela qui vous perturbe.On sait que les pays scandinaves, même occupés, ont protégé les juifs durant toute la guerre, sauf la Norvège. J’ignorais que la Bulgarie aussi l’a fait, même alliée à l’Allemagne. L’Italie a limité les déportations (17,3 % de la population), on sait que Mussolini n’avait rien contre les juifs et ne s’est donc pas contenté de répondre à la demande d’extermination de la population par Hitler. La France aussi a limité les déportations : 22,1% de la population, surtout des étrangers (55000 environ sur les 77320 déportés).
Ensuite, on passe à la collaboration active, du fait du joug nazi et/ou de l’hostilité déjà présente dans le pays, et plus, même enthousiaste comme en Pologne (90% de la population juive exécutée). J’ignore pourquoi l’Ukraine a été oubliée, qui ne s’est pas contentée de déporter, mais en a profité pour activement massacrer sur place (shoah par balles, escadrons de la mort, Babi Yar, etc...).
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Seriez vous un disciple de John Wayne ??
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@SPQR-audacieux complotiste-Monde de menteurs
J’ai horreur des westerns et tout spécialement de John Wayne, en particulier pour ses propos suprémacistes et homophobes.
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@Giuseppe di Bella di Santa Sofia
C’est pas parce qu’il n’aimait pas les lèche-cul qu’il était homophobe !
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C’est quoi le rapport avec le sujet qui nous intéresse ici ?
On dirait du Dugenêt dans le texte !
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@SPQR-audacieux complotiste-Monde de menteurs
Vous citez un auteur que j’apprécie. Je regrette de ne pas le lire plus souvent, ses articles n’étant pas validés régulièrement. C’est un des auteurs pour lequel je vote systématiquement positivement.
Comme lui, je ne suis pas poutinolâtre mais pas pour les mêmes raisons. Je n’avais rien contre Vladimir Poutine jusqu’au début des années 2010. C’est à partir du moment où il a instauré une homophobie d’Etat que je n’arrive plus à le voir en photo. De plus, son alliance contre nature avec l’islamiste Kadyrov, qui a envoyé des homosexuels en camp de concentration, m’a profondément choqué.
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@Giuseppe di Bella di Santa Sofia
Poutine, après avoir écrasé la Tchétchénie musulmane à coup de tapis de bombes (ce qui n’a pas beaucoup ému les « antisionistes » à l’époque, n’est-ce-pas) a été obligé de s’allier afin de la garder dans le giron russe.
En effet, la Russie souhaite conserver son empire sur le Nord-Caucase, et son accès aux Mer Caspienne et Mer Noire. Pour cela, elle doit manier la carotte et le bâton (Kadyrov et le fils de son père, qui fut le leader indépendantiste... c’est vous dire la magouille !).
En effet, les zones musulmanes sont particulièrement et cruellement homophobes. C’est lié à leur religion extrêmement réactionnaire et prônant l’usage de la violence et de la coercition.
Poutine, pour des raisons de « réalisme politique » a mis en place une sorte de variante conservatrice du vivre-ensemble en Russie. Mais on voit bien que tout cela est très instable.
D’autant que les évolutions démographiques condamnent à terme l’empire russe. Le « vivre ensemble conservateur » russe est évidemment une baliverne (même si ça excite une partie des tiersmondistes).
Il n’y a pas de vivre-ensemble en Russie. Il y a la nation russe qui a satellisé un empire autour d’elle, et ça fonctionne tant qu’elle domine.
Tout comme beaucoup de gens, j’ai de la sympathie pour la Russie et la culture russe. Mais contrairement à beaucoup de poutinolâtres béats, je conserve un regard lucide et critique.
A un moment donné, la Russie devra se poser la question de savoir si son empire ne la tire par vers le bas... un territoire très vaste, et surtout des peuples aux moeurs extrêmement réactionnaires et obscurantistes. L’avenir le dira... -
@La Bête du Gévaudan
Merci pour votre commentaire. Effectivement, il y a des aspects de la personnalité de Vladimir Poutine que j’apprécie. Je sais qu’il s’est allié avec l’islamiste Kadyrov pour des raisons d’Etat et certainement pas par amour de l’islam, qu’il critiquait ouvertement auparavant.
Avait-il besoin d’embrasser le Coran, lors de sa visite en Tchétchénie ? Je sais que c’est un acte politique. Mais, pour un chrétien, c’est une faute grave. C’est de l’idolâtrie. Ce n’est que mon point de vue mais je sais que cet évènement a suscité beaucoup de critiques. Même avec un pistolet sur la tempe, je n’aurais jamais commis un tel acte de soumission à l’égard de cette religion « de paix et d’amour » (sic).
Bien entendu, je sais que tous les pays musulmans sont homophobes. Ils envoient les homosexuels en prison pour de très nombreuses années, après les avoir torturés, ou les condamnent à la peine de mort.
La législation homophobe de la fédération de Russie est un geste envers les nombreuses communautés musulmanes qui composent le pays. Pour moi, il s’agit encore d’un acte de soumission.
Comme vous, j’aime beaucoup la Russie et sa culture très riche. Mais ce n’est pas la Russie d’aujourd’hui que j’apprécie. C’est celle qui a été fondée par le christianisme, à partir du Xe siècle, et qui a existé jusqu’à la révolution sanguinaire des Bolchéviks, en 1917 : la Sainte Russie.
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@L’auteur
L’Algérie est fâchée avec tous ses voisins, sauf la Tunisie dont elle achète l’amitié avec du gaz.
Nous n’avons rien à perdre à couper les liens avec ce pays.
Je dirais même que la « fâcherie » est une opportunité pour taxer les flux financiers de France vers l’Algérie.
C’est le moment de le faire.
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@titi
Effectivement, nous n’avons rien à perdre à couper tous les liens avec ce pays qui nous déteste. Bien au contraire ! Son gaz ? Il peut le garder car il ne représente que 8% de nos importations dans ce domaine.
C’est le moment de dénoncer les accords franco-algériens de 1968 et de cesser de délivrer des dizaines de milliers de visas aux ressortissants algériens chaque année. C’est également une opportunité pour taxer — de limiter drastiquement — tous les flux financiers de France vers l’Algérie, comme vous l’avez si justement souligné. Nous n’avons pas besoin de l’Algérie. L’attitude de nos dirigeants, depuis de nombreuses décennies, à l’égard de ce pays a déjà coûté beaucoup trop cher à la France. Il est temps de mettre un terme définitif à ce gaspillage d’argent public ! Nous n’avons rien à perdre et tout a gagner.
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Le durcissement du discours anti France algérien coïncide avec les gesticulations de macron et non de l’arrivée au pouvoir de tebounne ....
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Tout à fait d’accord ! C’est quand il a dit que la colonisation française était « un crime contre l’humanité ». Il aurait mieux fait de se taire au lieu de raconter de telles âneries. Ce n’est qu’un fait parmi tant d’autres... Par contre, on ne peut pas nier que l’arrivée de Tebboune a joué un rôle considérable dans la détérioration des relations franco-algériennes.
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« le français n’est plus une des langues officielles de l’Algérie ». Quand j’ai visité Alger, dans les années1990, presque toutes les enseignes et les plaques de rues étaient en arabe, sauf peut-être encore la rue Michelet — qui maintenant s’appelle rue Babouche Mourad.
Enfin, on est bien loin, maintenant, de l’affaire du « coup d’éventail » par le dey d’Alger, qui déclencha la guerre de conquête de l’Algérie (1830)
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Ce qui est cocasse, et parfois irritant lors d’une discussion sérieuse, c’est l’attitude des Durand ( ici présent ) et Cie. qui se complaisent à ressasser le passé en s’exonérant de toute négligence, de toute faute, de toute idiotie, de toute obstination improductive, de toute nuisance ....
C’est comme si l’on accusait les descendants des Vikings de tous les maux.
Ou les Français d’être les descendants des soldats de Napoléon.
Ou les Allemands d’être les descendants des soldats enrégimentés par Bismarck.Les Durand sont des types mononeuronés et trotskocos dans l’esprit prêt, avec tous les autres anarco-gauchistes, à embraser le monde par internationalisme acharné parce qu’ils nient la réalité et sont incapables de diriger efficacement un pays et même une commune.
Alors, à l’instar de tous les grands nuisibles, ils instrumentalisent un ennemi ancien, du passé révolu, pour tenter de pallier leur incompétence, en allumant leurs phrases ternes d’ardents mots révolutionnaires .... Mais ça reste de la parlote.
Sauf quand ils décident d’être militairement et socialement offensifs : la guerre de Poutine, celles des islamiques enragés, les multiples agressions quotidiennes ( par des paroles, des viols et des vols, des trafics de toute sorte ) partout en Europe des disciples du Momo. Qu’ils soient authentiquement des disciples ou non n’a pas vraiment d’importance ; l’essentiel est l’esbrouffe, la proclamation de slogans alourdis de pieux mensonges suffit.-
@jakem
Merci pour votre commentaire que j’ai lu avec beaucoup d’intérêt et de plaisir.
En quelques lignes percutantes, vous avez brilamment résumé le profil de nombreux commentateurs qui trollent ce site. Je me demande souvent si ces gens-là existent vraiment ou si ce ne sont que des provocateurs qui tuent le temps...
Je sais que cela ne sert à rien de tenter de dialoguer avec eux. Ils voudront toujours avoir le dernier mot, souvent en présentant une « argumentation » tirée d’un site « alternatif » et qui est facile à démonter par une personne saine d’esprit disposant d’un minimum d’intelligence. Mais inutile de perdre son temps. Ces gens-là ont basculé dans un autre monde, rongés par leurs propres turpitudes... Il est trop tard pour eux.
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@Giuseppe di Bella di Santa Sofia
Merci Giuseppe !
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