Biden a approuvé un plan stratégique nucléaire confidentiel visant la menace chinoise
Dans un document classifié approuvé en mars, Joe Biden a ordonné aux forces américaines de se préparer à d’éventuelles confrontations nucléaires coordonnées avec la Russie, la Chine et la Corée du Nord. Le monde repart dans la course aux armements nucléaires.
Nouvelle stratégie nucléaire des USA. « Le président Joe Biden a approuvé en mars un plan stratégique nucléaire hautement confidentiel pour les États-Unis qui, pour la première fois, réoriente la stratégie de dissuasion américaine pour se concentrer sur l’expansion rapide de l’arsenal nucléaire de la Chine », a fait savoir le New York Times. « Ce changement intervient alors que le Pentagone estime que les stocks de la Chine rivaliseront en taille et en diversité avec ceux détenus par les États-Unis et la Russie au cours de la prochaine décennie », continue le quotidien anglophone.
CNN a, par ailleurs, informé que les États-Unis se sont « préparés rigoureusement » dès 2022 à une attaque nucléaire russe ».
« La Maison Blanche n’a jamais annoncé que Biden avait approuvé la stratégie révisée », appelée Nuclear Employment Guidance (Guide pour l’emploi nucléaire), qui « vise également, pour la première fois, à préparer les États-Unis à d’éventuels défis nucléaires coordonnés de la Chine, de la Russie et de la Corée du Nord », est-il rapporté, signalant : « Le document, mis à jour tous les quatre ans environ, est si hautement classifié qu’il n’existe aucune copie électronique, seulement un petit nombre de copies papier distribuées à quelques responsables de la sécurité nationale et commandants du Pentagone ». « La Maison Blanche n'a pas annoncé publiquement l'approbation du plan par Biden, mais une notification non classifiée au Congrès est attendue avant qu'il ne quitte ses fonctions », détaille U.S.News.
« Le président a, récemment, publié des directives actualisées sur l'emploi des armes nucléaires pour tenir compte de plusieurs adversaires dotés de l'arme nucléaire », a déclaré ce mois-ci Vipin Narang, le professeur de sécurité nucléaire et de sciences politiques et membre du programme d'études de sécurité du Massachusetts Institute, qui a servi au Pentagone. « Et en particulier », a-t-il ajouté, « les orientations en matière d’armes expliquent l’augmentation significative de la taille et de la diversité » de l’arsenal nucléaire chinois.
En juin, Pranay Vaddi, directeur principal chargé de la non-prolifération et du contrôle des armements au Conseil de sécurité nationale, a , également, fait, d’après Defence Blog, référence à ce document en posant la question à savoir « si les États-Unis sont prêts à répondre aux crises nucléaires qui éclatent simultanément ou séquentiellement, avec une combinaison d’armes nucléaires et non nucléaires ». Il avertit que la nouvelle stratégie met l’accent sur « la nécessité de dissuader simultanément la Russie, la République populaire de Chine et la Corée du Nord ».
« Dans le passé, la probabilité que des adversaires américains puissent coordonner leurs menaces nucléaires pour déjouer l’arsenal nucléaire américain semblait faible. Mais, le partenariat naissant entre la Russie et la Chine et les armes conventionnelles que la Corée du Nord et l’Iran fournissent à la Russie pour le conflit en Ukraine ont fondamentalement changé la façon de penser de Washington », souligne le New York Times. La Russie et la Chine mènent déjà des exercices militaires ensemble. Les agences de renseignement tentent de déterminer si la Russie soutient en retour les programmes de missiles nord-coréens et iraniens.
Le nouveau document rappelle brutalement que celui qui prêtera serment le 20 janvier prochain comme président US sera confronté à un paysage nucléaire modifié et bien plus instable que celui qui existait il y a à peine trois ans. Le président russe, Vladimir Poutine, a menacé à plusieurs reprises d'utiliser des armes nucléaires contre l'Ukraine. « Biden, ainsi que les dirigeants allemands et britanniques, ont amené la Chine et l’Inde à déclarer publiquement que l’utilisation d’armes nucléaires en Ukraine n’avait aucun rôle à jouer, et la crise s’est atténuée, au moins temporairement », a rappelé Richard N. Haass, ancien haut responsable du Département d’État et du Conseil de sécurité nationale de plusieurs présidents républicains, et président émérite du Council on Foreign Relations : « Nous avons affaire à une Russie radicalisée ; l’idée selon laquelle les armes nucléaires ne seraient pas utilisées dans un conflit conventionnel n’est plus une hypothèse sûre ».
Le grand changement vient des ambitions nucléaires de la Chine. L'expansion nucléaire du pays se déroule à un rythme encore plus rapide que ne l'avaient prévu les responsables du renseignement américain il y a deux ans, motivée par la détermination du président Xi Jinping à abandonner la vieille stratégie consistant à maintenir une « dissuasion minimale » pour atteindre ou dépasser la taille des États-Unis et les arsenaux russes. Le complexe nucléaire chinois est, désormais, celui qui connaît la croissance la plus rapide au monde.
Donald Trump avait prédit avec assurance que Kim Jong Un, le dirigeant nord-coréen, renoncerait à ses armes nucléaires après leurs trois réunions en personne, mais, c’est le contraire qui s’est produit. Kim a doublé sa mise et possède désormais plus de 60 ogives nucléaires, estiment les responsables, ainsi que du carburant pour bien d'autres.
Cette expansion a changé la nature du défi nord-coréen : lorsque le pays ne possédait qu’une poignée d’armes, il pouvait être dissuadé par des défenses antimissiles. Mais, pour le quotidien new-yorkais, « son arsenal élargi se rapproche rapidement de celui du Pakistan et d’Israël, et il est suffisamment important pour qu’il puisse, en théorie, coordonner les menaces avec la Russie et la Chine.
Ce n’était qu’une question de temps avant qu’un environnement nucléaire fondamentalement différent ne commence à modifier les plans et la stratégie de guerre américains, affirment les responsables. « Il est possible qu’un jour nous regardions en arrière et considérions le quart de siècle qui a suivi la guerre froide comme un entracte nucléaire », a averti Vipin Narang. Le nouveau défi est « la possibilité réelle d’une collaboration et même d’une collusion entre nos adversaires dotés de l’arme nucléaire », a-t-il rajouté.
Jusqu’à présent dans la campagne présidentielle, les nouveaux défis posés à la stratégie nucléaire américaine n’ont pas fait l’objet de débats. Biden, qui a passé une grande partie de sa carrière politique en tant que défenseur de la non-prolifération nucléaire, n’a jamais parlé publiquement en détail de la façon dont il répond aux défis de dissuasion des forces élargies de la Chine et de la Corée du Nord. « La vice-présidente Kamala Harris, désormais candidate du Parti démocrate non plus », martèle le New York Times.
Lors de sa dernière conférence de presse en juillet, quelques jours seulement avant d’annoncer qu’il ne briguerait plus l’investiture démocrate pour un second mandat, Biden a reconnu qu’il avait adopté une politique consistant à chercher des moyens d’interférer dans le partenariat plus large sino-russe. « Oui, je le fais, mais je ne suis pas prêt à en parler en détail en public », a, selon le quotidien US déclaré Biden. Il n’a fait aucune référence à la manière dont ce partenariat modifiait la stratégie nucléaire américaine –et n’a pas été interrogé à ce sujet. Depuis la présidence de Harry Truman, cette stratégie s’est majoritairement concentrée sur l’arsenal du Kremlin. Les nouvelles orientations de Biden suggèrent à quelle vitesse cela évolue. La Chine a été mentionnée dans les dernières orientations nucléaires, publiées à la fin de l’administration Trump, selon un compte rendu non classifié fourni au Congrès en 2020. Mais, c’était avant que la portée des ambitions de Xi ne soit comprise.
La stratégie Biden accentue cette orientation pour refléter les estimations du Pentagone selon lesquelles la force nucléaire chinoise passerait à 1.000 d’ici 2030 et à 1.500 d’ici 2035, soit à peu près les chiffres que les États-Unis et la Russie déploient actuellement. « En fait, la Chine semble désormais en avance sur ce calendrier, disent les responsables, et a commencé à charger des missiles nucléaires dans de nouveaux silos repérés par des satellites commerciaux, il y a trois ans », divulgue le média US.
« Il existe une autre préoccupation concernant la Chine : elle a maintenant mis fin à une conversation de courte durée avec les États-Unis sur l'amélioration de la sûreté et de la sécurité nucléaires – par exemple, en acceptant de s'avertir mutuellement des essais de missiles imminents, ou en mettant en place des lignes directes ou d'autres moyens de communication pour garantir que les incidents ou les accidents ne dégénèrent par l’emploi d’armes nucléaires », conclut le New York Times.
Pierre Duval
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56 réactions à cet article
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L’autoritaire poutine, après avoir envahi un pays frère en pensant la guerre rapide ( 2 an et demi ..), a menacé de très nombreuses fois d’utiliser l’arme atomique un peu partout (même sur Londres avec ses V2 du 21 eme siècle)
En s’imaginant que les autres allaient rester les bras croisés ?!
Un grand stratège, un joueur d’échecs comme à Koursk ..
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@Astrolabe « L’autoritaire poutine, après avoir envahi un pays frère »
Pour soi disant « sauver » des ukrainiens russophones trouve plus important de grignoter plus de territoires étrangers que de défendre son propre territoire et la population de Koursk !
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@Astrolabe
Pourquoi prendre Londres comme exemple et pas Dresde ou Hiroshima ?
Ah oui, la sélectivité argumentaire... j’ai failli oublier...NB : un civil qui se prend une bombe sur la g..., qu’il soit allemand, anglais, japonais ou gazaoui, ça reste un crime de guerre... Mais l’histoire est écrite par les vainqueurs (et Fernand Nathan...)
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Désolé de le rappeler. Mais Trump était sorti de l’accord stratégique nucléaire à cause des armes hypersoniques de Poutine.
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@Lynwec
"Pourquoi prendre Londres comme exemple
"
Peut être parce que Medvedev a menacé Londres à plusieurs reprises, et pas Hiroshima ?
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@Lynwec
plus maintenant, je le crains. On a pas le 10ème des archives sur les évènements depuis 2020... Et avec le numérique, on a plus besoin d’attendre 100 ans pour avoir des images etc... On va cruellement manquer de contenus pour les historiens à mon avis. -
@titi
Plutôt parce que la Grande Bretagne est partie prenante dans l’organisation et le déroulement du conflit en cours, qu’elle menace officiellement la Russie d’actions contre son territoire et que le principe de la dissuasion nucléaire consiste justement à réserver l’usage de ce type d’arme à ce cas de figure.Rappelons que c’est le même principe qui prévaut chez nous (sauf pour quelques bellicistes américains qui prône depuis longtemps l’emploi de ces armes sur les champs de bataille — une part notable des 70000 armes atomiques qu’ils ont construites étaient destinées à cet usage).
Les soi-disant « menaces » de Medvedev auxquelles vous faites allusion consistaient seulement à rappeler ce principe aux britanniques. Relisez donc les articles de presse occidentaux à ce sujet.
Quoi qu’il en soit, le propos de Lynwec (que vous faites mine de ne pas comprendre) est de rappeler que les États-Unis restent à ce jour les seuls à avoir effectivement frappé un pays avec l’arme atomique, notamment à Hiroshima, à peine six mois après avoir rasé Dresde et sa population. Par ailleurs, il serait difficile de faire croire que, depuis lors, leur arsenal nucléaire (notamment présent en Europe de l’Ouest et en Turquie) serait étranger à la menace d’apocalypse mondial qui pèse sur nos têtes.
Alors, employer cet argument pour défendre les Américains et dénigrer les Russes est tout bonnement risible.
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@Pierrot
"e propos de Lynwec (que vous faites mine de ne pas comprendre)
«
Je l’ai très bien compris et je peux le résumer ainsi : »nananère c’est eux qui ont commencé, paske c’est eux les méchants«
»dénigrer les Russes
"
Je ne dénigre pas les russes.
Je dénigre les gens comme vous et leurs arguments puérils.Donc dites moi....
Quels pays ont récemment (je ne parle pas de 1945), menacé les autres pays d’utiliser l’arme nucléaire ?
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@titi
Compte tenu de la forte sélectivité et de la mauvaise foi de vos arguments, vous êtes mal placé pour donner des leçons en la matière.Vous dénigrez les commentateurs, on s’en était bien rendu compte. Quand on n’a plus que ça pour justifier ce qu’on avance.... Là vous accusez de puérilité ceux que rappellent des faits et des situations significatifs que vous souhaiteriez taire.
Et, si vous tenez absolument à oublier les événements passés qui dérangent votre argumentaire, je répondrai à votre question en vous disant qu’aujourd’hui dimanche 25 août, les États-Unis font partie du nombre des pays qui menacent d’utiliser l’arme nucléaire, notamment en vertu du même principe que celui rappelé par Medvedev, et aussi plus spécifiquement en vertu de ce qui est exposé dans l’article ci-dessus.
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@Pierrot
"appellent des faits et des situations significatif
"
Donc vous vous trouvez judicieux de mettre sur le même point les menaces actuelles de medvedev par des faits qui se sont passés il y a 80 ans.
Ce n’est pas de la réthorique : c’est de la pathologie.
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@Pierrot
risible ? le mot me semble bien faible. -
@titi
Vous semblez vouloir nous faire oublier que ce sont les événements survenus durant ces 80 dernières années qui déterminent la situation actuelle et les principes de riposte qui prévalent aujourd’hui.Et encore une fois, les propos de Medvedev que vous qualifiez de menaces, qui n’étaient pas gratuits ni injustifiés, se sont limités à rappeler expressément des principes anciens (appliqués aux britanniques dans ce cas particulier) qui prévalent également chez nous.
C’est votre réthorique, basée sur un oubli sélectif de l’Histoire et la déformation des faits, qui est pathologique.
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@titi
"a menacé de très nombreuses fois d’utiliser l’arme atomique un peu partout (même sur Londres avec ses V2 du 21 eme siècle)
«
La référence saute aux yeux, il s’agit bien de Londres bombardé par les Allemands puisque le commentaire parle des V2... Donc je suis tout à fait cohérent en posant la question »pourquoi Londres et pas Dresde ou Hiroshime" (même période historique)...
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Et voilà la course aux armements repartie, et avec de nouveaux joueurs.
Il aurait été plus judicieux d’éviter de se mettre tout le reste du monde à dos.-
@Eric F
Si vous parlez de la Corée du Nord, la guerre a démarré en 1950, par l’invasion du sud par les troupes communistes.
Expliquez nous ce qu’il faut faire pour ne pas se mettre la Corée du Nord à dos ?
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@titi
Peut-être en n’allant pas les menacer chez eux ?...Sinon, faut-il vous rappeler qu’auparavant la Corée était sous domination japonaise, et que lorsque ce conflit a démarré, le sud était sous occupation militaire américaine ? Et d’après vous, qui, des Américains ou des Coréens du Nord, ont une fâcheuse propension à aller faire la guerre partout dans le monde, loin de leurs frontières ?
Quand Lynwec parlait de sélectivité argumentaire...
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@Pierrot
"Quand Lynwec parlait de sélectivité argumentaire...
"
La guerre de Corée, elle a été déclenchée il y a 50 ans par le Nord.
C’est le Nord qui envahit le Sud.
Et pas l’inverse.C’est un fait avéré.
Vous pouvez toujours essayez de raconter des histoires à dormir debout pour justifier l’envahissement de l’Ukraine, ou les menaces nucléaires de Medevdev.
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@Eric F
Voire de ne pas résoudre tous les différents par les armes dans le monde depuis 1 siècle. C’est sans doute ce qui a poussé les autres pays à s’armer pour rivaliser plutôt que subir.
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@titi
On a suffisamment de conflits anciens larvés pour ne pas en créer de supplémentaires (élargissement jusqu’au seuil de la Russie) ou envenimer des conflits d’autres régions (Irak, Syrie, Libye...).A propos de la Corée du Nord, il y a eu une phase de détente sous Carter, mais Bush Jr a soudain relancé le clash en la classant dans l’« axe du mal » après les attentats du 11 Septembre, sans raison d’amalgame.
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@titi
Vous oubliez juste de dire :- que le sud était alors envahi par les Américains
- qu’avant leur arrivée en 1945, la Corée était encore un pays d’un seul tenant
- que le partage Nord-Sud en 1945 et la séparation officielle en 1948 ont été le fait des occupants étrangers (États-Unis au Sud, régimes communistes au Nord).
Si l’on appliquait le principe sur lequel vous basez votre objection à la France sous occupation allemande, alors que devriez-nous penser de son invasion par la 1ère armée et les troupes alliées ? Que c’est ce salaud de De Gaulle qui aurait provoqué la guerre en 1944 en envahissant la France ?!
Au final, c’est le récit historique passablement ajouré auquel vous vous raccrochez qui est à dormir debout. Tant à propos de la Corée que de l’Ukraine, d’ailleurs.
Aah ! Sélectivité argumentaire, quand tu nous tiens... -
@Pierrot
"Vous oubliez juste de dire :
"
Je n’oublie rien du tout.
La Corée jusqu’en 1945 est une colonie japonaise.
A la chute du japon elle est administrée au nord par l’URSS, et au sud par les USA.
Il n’y a eu aucune invasion du Sud par les USA. Pas plus que de l’URSS au Nord.Faut quand même pas trembler pour raconter autant de conneries.
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@Pierrot
C’est une méthodologie argumentaire occidentale classique, comme pour le 7 octobre. En fait nos manuels d’histoire s’arrêtent juste là où le narratif occidental a des intérêts pour tout évènement historique, parfois il joue les aveugle, parfois joue l’amalgame.
L’important pour l’occident n’est pas l’histoire par les faits cumulés dans le temps mais ce qu’on en fait pour justifier le présent ; ce ne sont pas les seuls à le faire mais ce sont les seuls à revendiquer l’universalité de leurs mensonges historiques.
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@titi
Si c’était si simple mon cher Titi, avec vous l’histoire se résume à des gentils (l’occident) et des méchants (es autres).
Reprenons donc :
En décembre 1947, l’Assemblée Générale des Nations Unies recommanda aux deux puissances occupantes (URSS et USA) de retirer leurs troupes de la péninsule en 1948. Les Soviétiques avaient annoncé leur retrait en septembre. Fin 1948, ils laissaient une armée nord-coréenne de 120000 hommes, pleinement équipée. l’URSS avait quitté la péninsule coréenne.En novembre 1948, des unités de l’armée sud-coréenne (16000 hommes) ont été tentée par les communistes. Elle se sont mutinées pour forcer les USA à quitter la Corée. La mutinerie obligea le gouvernement (aux ordres des américains) à proclamer l’état de siège sur un quart du territoire. Les forces américaines n’achevèrent donc de se retirer qu’en juin 1949 après être intervenu au lieu de se retirer comme l’indiquait la résolution de l’ONU, laissant une mission militaire d’assistance et une armée sud-coréenne de 110000 hommes, très peu équipée. Les américains étaient intervenus militairement contre l’armée du Sud pour mater les communistes de Corée du Sud, s’opposant de fait pendant 1 an à une résolution de l’Assemblée Générale des Nations Unies.
Le 12 janvier 1950, le secrétaire d’État américain, déclara que le périmètre de défense américain en Extrême-Orient allait des Aléoutiennes aux Philippines en passant par le Japon, excluant ainsi implicitement les Républiques de Corée et de Chine (Formose). Mais Dulles, conseiller à la Sécurité nationale, donna des assurances d’aide en cas de besoin.Début 1950, Kim Il-sung demanda à Staline et à Mao Tsé-toung de l’aider à réunifier la Corée dans la foulée de la guerre civile chinoise, remportée par le PCC en octobre 1949. Le 7 juin, il proposa l’unification du pays par la réunion des deux gouvernements du Nord et du Sud, suivie par des élections générales, sans contrôle des Nations unies. Le gouvernement de Séoul refusa sur recommandation des américains. Le 25 juin, la Corée du Nord envahit la Corée du Sud.
Il n’y a ni bon, ni méchant, il y a un enchainement d’évènement dans lesquels ni les communistes ni les américains n’ont été des anges. Chacun défendait ses intérêts, les américains ont même refusé d’appliquer une résolution de l’ONU pour défendre les leurs, au moins pour un temps et se sont toujours opposés dans les faits à la réunification de la Corée, même si leur discours est favorable à la réunification.
Quand j’étudie l’histoire, je me réfère aux faits, pas aux positions et discours, gardant toujours en tête une phrase de Jean-Paul MARAT : « Derrière les bon mots se cachent souvent les plus viles des intentions. »
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@titi
« Il n’y a eu aucune invasion du Sud par les USA »Les forces armées d’occupation américaines présentes dans le sud de la Corée à partir de 1945 auraient donc poussé spontanément sur les arbres ? Ou bien les photos de ce type n’étaient-elles que de vulgaires montages ?
Quant à la chute du Japon, je n’y vois pas une justification à cette occupation armée du pays par une puissance étrangère venue de l’autre bout de la planète.
Continuez donc à nous faire rire !
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@Christophe
Disons que c’est ’’de bonne guerre’’ qu’un bloc géopolitique argumente dans le sens de ses intérêts.
Mais il y a donc pour nous, population de base, deux écueils : gober la totalité de cet argumentaire par suivisme, ou tout rejeter en bloc par esprits de contradiction systématique.La question de l’universalité des ’’valeurs’’ est complexe, parce qu’il y a de fait des valeurs réellement universelles, comme l’égalité intrinsèque de valeur entre tous les humains. Mais c’est l’instrumentalisation de ses valeurs, en utilisant des méthodes qui leur sont contraires, qui constitue un détournement fréquent du bloc occidental. Par exemple, on n’imposera pas l’égalité hommes-femmes par des missiles balistiques.
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@Eric F
Bien entendu, les blocs géopolitiques argumentent toujours dans leur intérêt cela ne me choque pas, j’essaie juste d’extraire les faits pour me permettre un jugement personnel sur l’histoire. Quand j’entends que seuls nos adversaires idéologiques détiennent la palme des massacres, des injustices, ... cela montre juste que ceux qui s’expriment n’ont encore pas très bien compris comment fonctionne le monde et qu’ils font partie des personnes très bien conditionnées.
L’émancipation individuelle passe par cette phase de rupture avec la fabrique du consentement, cet endoctrinement qui nous est imposé.
Bien sûr que les valeurs au sens strict sont universelles, mais l’interprétation donnée à ces valeurs, le sens qu’on leur donne et comment on les applique chez soi n’est pas du tout universel. L’évolution ne peut se faire que dans un espace et une temporalité donnée, notre espace et notre temporalité nous a permis d’atteindre le point où nous en sommes, laissons les autres évoluer à leur rythme dans leur espace et leur temporalité. L’histoire nous montre que les choses évoluent, au Moyen Age, les pays occidentaux étaient de véritables barbares au regard d’autres nations arabes ou asiatiques mais c’était un autre espace et une autre temporalité.
Je pense qu’il serait temps que nous apprenions par l’histoire et que nous évitions de recommencer les mêmes erreurs.
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@Pierrot
Comme il vous le précise avec vigueur, il n’oublie rien, il a juste décidé de ne pas prendre en compte ce qui dérangerait son cheminement argumentaire...
En tenir compte dans la lecture de ses messages est la première chose sensée à faire...
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@Pierrot
"auraient donc poussé spontanément sur les arbres ?
«
Désolé mais les mots ont un sens et »envahir« ça veut dire »envahir« .
Il n’y a pas eu d’invasion de la Corée de la part des USA : ce sont des forces d’occupation qui ont relevé l’administration japonaise.» justification à cette occupation armée du pays
«
En 1945, la Corée était une province Japonaise.»Continuez donc à nous faire rire !
"
Bah visiblement votre rire est un rire d’ignare. -
@Pierrot
"n’étaient-elles que de vulgaires montages ?
«
Non seulement vous êtes un ignare en histoire, mais visiblement vous n’êtes pas bien fortiche en anglais.
»Korea under japanese rule" c ’est pourtant écrit dans votre lien.
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Changement de stratégie assez logique vu la vitesse de développement du parc nucléaire chinois. La Russie et la Chine étant alliés actuellement, il est évident que ce soit en conventionnel ou en nucléaire, les USA et ses vassaux de l’OTAN ne sont plus les maîtres militaires du globe. Il s’en rendent enfin compte.
Les USA vont d’abord se concentrer sur la défense de leurs intérêts, de menaçant militairement, ils deviennent menacés. Ce n’est à mon humble avis pas bon signe pour les européens qui vont devoir développer leurs propres capacités nucléaire avec un retard considérable par rapport aux grands de ce monde en la matière.
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@Christophe
L’idée de Trump n’est pas forcément de couper les ponts avec ses alliés européens, mais de leur faire payer davantage. Le lobby militaro-industriel veut continuer à vendre en Europe aux standards OTAN donc US, plutôt que celle-ci fabrique ses propres armements. -
Page d’accueil / France Le fondateur franco-russe de Telegram Pavel Dourov interpellé à l’aéroport en France 25 août 2024, 00:12
Le fondateur franco-russe de Telegram Pavel Dourov interpellé à l’aéroport en France © Wikimedia Commons. Suivez RT en français sur Telegram logoTelegram Le fondateur et PDG de Telegram a été interpellé ce 24 août au soir à la descente de son jet à l’aéroport du Bourget.
Il est visé par un mandat de recherche pour complicité de crimes ayant pu se préparer par le biais de la messagerie cryptée. Tucker Carlson,
Elon Musk et de nombreuses autres personnalités ont dénoncé une mesure liberticide. Pavel Dourov, franco-russe et PDG fondateur de la messagerie cryptée Telegram, a été interpellé ce 24 août à 20h à la descente de son jet privé, à l’aéroport du Bourget par la Gendarmerie française des transports aériens, ont rapporté TF1/LCI puis BFMTV Dourov arrivait d’Azerbaïdjan.
Il est répertorié au fichier des personnes recherchées et était menacé par un mandat de recherche émis par la police judiciaire française.Il lui est reproché l’absence de modération et de coopération avec les forces de l’ordre ce qui le rendrait potentiellement complice de trafic de stupéfiants, d’infractions pédocriminelles et d’escroquerie du fait des outils proposés par Telegram.
On ignore encore pourquoi Dourov, se sachant visé par ce mandat de recherche, est entré sur le territoire national français, accompagné de sa femme et de son garde du corps.
Les agents de l’Office national antifraude rattachée à la direction des douanes lui ont notifié sa garde à vue, a précisé TF1/LCI. « En fin de compte, ce n’est pas Poutine qui l’a arrêté »L’annonce a déjà suscité de vives réactions. Le journaliste américain Tucker Carlson, qui avait interviewé Durov en avril dernier, a publié sur X : « Pavel Durov a quitté la Russie lorsque le gouvernement a tenté de contrôler sa société Telegram. Mais en fin de compte, ce n’est pas Poutine qui l’a arrêté pour avoir permis au public d’exercer sa liberté d’expression.
C’est un pays occidental, allié de l’administration Biden et membre enthousiaste de l’OTAN, qui l’a enfermé ». « La dictature libérale ne tolère pas les solitaires qui revendiquent la liberté et ne respectent pas ses règles », a déclaré le sénateur russe Alexeï Pouchkov. Et d’ajouter : « Elon Musk, préparez-vous ».
En savoir plus sur RT en français :
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https://qactus.fr/2024/08/25/france-scandale-diplomatique-lambassade-de-russie-en-france-exige-des-eclaircissements-sur-larrestation-de-pavel-durov-a-paris/
France : Scandale Diplomatique, l’Ambassade de Russie en France Exige des Éclaircissements sur l’Arrestation de Pavel Durov à Paris – L’Informateur-
comme si ca n’existait pas deja avant. Qui d’autre l’oncle sam viserait il avec ses milliers d’ogives ?? Et c’est exactement la meme chose pour la russie ou la chine
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Le patron de l’application de messagerie controversée a été naturalisé en 2021 par le biais d’une procédure exceptionnelle, et très politique. Un choix surprenant de la part des autorités françaises, et dont personne ne souhaite parler.
Ce 1er avril, Pavel Durov est d’humeur badine. En cette journée internationale des plaisanteries, le multimilliardaire raconte ceci à ses fans sur Telegram : « Il y a un an, mon assistant m’a dit que comme j’étais devenu citoyen français, je devrais changer mon nom en « du Rov ». On a rempli le formulaire en rigolant, pour franciser mon nom en « Paul du Rove ». On l’a vite oublié, mais la demande a été acceptée et j’ai reçu un nouveau passeport. »
/img.lemde.fr/2023/06/16/0/0/579/461/1200/0/75/0/f46a76b_1686913690346 -durovfoolsday.jpg« >https://img.lemde.fr/2023/06/16/0/0/579/461/1200/0/75/0/f46a76b_168691369034 6 -durovfoolsday.jpg » alt="">Les lecteurs français du texte ont sans doute été surpris par deux éléments dans ce message : d’une part, le fait que quiconque puisse se lancer dans une lourde démarche administrative en huit étapes juste pour une blague ; et, surtout, de constater que Pavel – pardon, Paul du Rove – est ressortissant français.
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@SPQR audacieux complotiste chasseur de complot
Quand Macron utilisait Telegram...
Une fois au pouvoir, Macron arrête le fondateur de Telegram... -
@SPQR audacieux complotiste chasseur de complot
les médias aux ordres ne parlent pas souvent des sujets dérangeants.
Je viens de lire que ce sont les Yankees qui ont demandé son arrestation via la France, ne pouvant pas le faire eux-mêmes à cause du 1er Amendement et le poudré n’a fait qu’obéir. -
@leypanou
Donc , cette terrible intrigue valide, cela !
« Macron est un agent de l’étranger en mission pour détruire le pays .Hors de cette hypothèse, tout ce qu’il fait est absurde, incompréhensible.Avec cette hypothèse, tout s’éclaire et devient logique, criminel mais logique. »Etienne Chouard.
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Le fondateur de Telegram, Pavel Durov, a récemment révélé à Tucker Carlson que le FBI avait contacté un ingénieur de Telegram, tentant de l’embaucher secrètement pour installer une porte dérobée qui permettrait aux agences de renseignement américaines d’espionner les utilisateurs.
Le FBI a également embauché des agents pour infiltrer des groupes Telegram « anti-vaccins », les sous-traitants du FBI créant de multiples fausses identités en ligne pour rejoindre des salles de discussion gérées par des groupes opposés aux mandats de vaccination. Posez-vous la question pourquoi ? https://x.com/shadowofezra/status/1827467035229745463?s=46&t=el6_DPv2BxD85K-hXjASWw
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Le fondateur franco-russe de Telegram Pavel Dourov interpellé à l’aéroport en France
Le fondateur et PDG de #Telegram a été interpellé à la descente de son jet à l’aéroport du Bourget. Il est visé par un mandat de recherche pour complicité de crimes ayant pu se préparer par le biais de la messagerie cryptée.
#PavelDourov #guerrejuridique-
@SPQR audacieux complotiste chasseur de complot
Complicité de crimes ...
Mais alors tous les dirigeants Occidentaux sont complices de crimes de guerre en Ukraine depuis 2014.Puisque l’on sait que le Maïdan a été une terrible INTRIGUE visant à provoquer une réaction Russe menant à l’opération spéciale .
Donc tous les dirigeants Européens ainsi que les Straussiens dont dame Nuland devraient être en prison
https://tribune-diplomatique-internationale.com/2022/blinkenstraussiensenjeuguerreukraine/
Les Straussiens ont tout fait pour éradiquer les slaves d’Ukraine afin d’y établir un second Israël. Wayne Madsen, que nous avons interviewé en novembre 2016, en a longuement parlé déjà en 2018 et Algériepatriotique a consacré un article à ce sujet. Ils n’ont qu’un seul but et ils le partagent avec les Néoconservateurs : faire tomber les Etats qui risquent de contrecarrer leurs plans d’hégémonie des Etats-Unis dans le monde, et donc les enjeux de la guerre en Ukraine sont terriblement importants. Vladimir Poutine l’a bien compris quand il a dit qu’il n’accepterait pas un monde sans la Russie. L’Europe est totalement soumise aux Etats-Unis, les Straussiens ont réussi à l’inféoder. D’ailleurs, Robert Kagan vit à Bruxelles avec sa famille, donc avec Victoria Nuland. Et Ihor Kolomoïsky, principal bailleur de fonds du bataillon nazi Azov a fondé l’Union juive européenne en 2011 qui est devenu le Parlement juif européen et dont il a été président jusqu’en 2016. Kolomoïsky est aussi le mentor de Zalensky, le président clown de l’Ukraine, nouvelle coqueluche de l’Occident. Toutes ces personnes impliquées directement dans les événements en Ukraine se retrouvent en plein cœur de l’Europe, à Bruxelles. En s’alignant sur la position de sanctions des Straussiens à l’égard de la Russie, l’Europe s’inflige une catastrophe économique et sociale qui la perdra. L’Occident est fini. Le vieux monde se meurt et le nouveau est en train de naître. L’Ukraine est le lieu où l’avenir du monde se joue et si la victoire de la Russie ne fait aucun doute, la grande inconnue reste au niveau de la réaction des Straussiens. Accepteront-ils de voir les Etats-Unis perdre leur leadership ?
Mohsen Abdelmoumen
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La Défense russe a fait savoir ce 25 août que ses forces continuaient de contrer la tentative des forces ukrainiennes d’envahir le territoire de la Fédération de Russie.Et d’annoncer que Kiev avait perdu plus de 300 militaires dans la région de Koursk ces dernières 24 heures, portant le total de leurs pertes dans cette incursion à 5 800 hommes.Le ministère russe de la Défense a annoncé ce 25 août que plus de 300 militaires ukrainiens avaient été éliminés ces dernières 24 heures dans la région de Koursk, et ce, dans le cadre de l’intensification des efforts des forces russes à déjouer la tentative de l’armée ukrainienne d’entrer sur le territoire de la Fédération de Russie.Ces pertes enregistrées en une seule journée portent le nombre total des militaires ukrainiens tués dans cette incursion à 5 800 hommes.Les unités du groupe Nord, avec l’appui de l’aviation et de l’artillerie, ont réussi à contrecarrer les attaques ukrainiennes dans les localités de Komarovka, Malaïa Loknya, Nétchaïev et Tcherkaskoïé Poretchnoïé.Les tentatives d’attaque dans les localités de Vichniovka, Borki, Pogriobki et Spalnoïé ont, selon la même source, également été déjouées.Au total lors des combats dans la région de Koursk, Kiev a perdu plus de 5 800 militaires, 72 chars, 31 véhicules de combat d’infanterie, 58 blindés de transport de troupes, 383 véhicules blindés de combat, 177 véhicules, 37 pièces d’artillerie, 5 missiles anti-aériens, 11 lance-roquettes multiples, dont trois HIMARS et un MLRS.
En savoir plus sur RT
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« Biden a approuvé un plan stratégique nucléaire confidentiel visant la menace chinoise »
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@GoldoBlack
Et ?
Le GRU ne sait plus quoi raconter ?
Qu’il nous parle donc de Koursk ! -
@GoldoBlack
Oui, c’est vrai, concernant la direction de Koursk, les opérations de ferraillage du matos et de la main d’œuvre ukro-bandériste se poursuivent normalement....
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Dans un communiqué diffusé ce dimanche, l’équipe indique qu’il est "absurde de considérer que la plateforme ou son propriétaire sont responsables des abus commis par son biais« .»Durov n’a rien à cacher et il voyage souvent à travers l’Europe", constate l’équipe.La plateforme « est conforme aux lois de l’UE », et sa modération "répond aux normes de l’industrie et est constamment améliorée", souligne-t-elle.Les collègues de Pavel Durov espèrent « une résolution rapide de cette situation ».La justice française estime pour sa part que l’absence de modération, de coopération avec les forces de l’ordre et les outils proposés par Telegram rendent M.Durov complice de trafic de stupéfiants, d’infractions pédocriminels et d’escroquerie.
Plus tôt dans la journée, Edward Snowden a accusé Emmanuel Macron d’avoir pris le fondateur de Telegram en otage.-
L’aéroport Ben Gourion d’Israël est bondé aujourd’hui en raison des récentes frappes de roquettes du Hezbollah.https://t.me/trottasilvano/36713
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La détention provisoire de Pavel Dourov a été prolongée de 48 h.
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MIKE BENZ, ANCIEN DU DÉPARTEMENT D’ÉTAT, FAIT DES RÉVÉLATIONS EXPLOSIVES SUR LES DESSOUS DE L’ARRESTATION DE PAVEL DUROV.
L’arrestation à Paris du fondateur de Telegram tend à prouver que Macron agit à la demande des services américains et en étroite concertation avec eux.-
De plus en plus d’infos valident que cette intrigue est maîtrisée par les U.S !
Aussi, le résultat des élections en France se fait entre 18h -20H par des allés et retours avec l’ambassade des U S .
« Macron est un agent de l’étranger en mission pour détruire le pays .Hors de cette hypothèse, tout ce qu’il fait est absurde, incompréhensible.Avec cette hypothèse, tout s’éclaire et devient logique, criminel mais logique. »Etienne Chouard.
Macron et l’état profond, de moins en moins glorieux de plus en plus servile comme des sans-grades , des nigauds . -
Biden a approuvé un plan stratégique nucléaire confidentiel visant la menace chinoiseLe vieux grigou sénile est-il en mesure d’approuver quoi que ce soit mise à part son changement de couche ?
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Chroniques de l’opération militaire spéciale
pour le 26 août 2024Les forces russes ont mené une série de frappes sur les infrastructures énergétiques de la soi-disant Ukraine, avec des coupures de courant enregistrées dans les zones occupées par l’ennemi. En retour, les formations ukrainiennes ont lancé plusieurs drones contre des régions russes.
Dans la région de Koursk, les combats se poursuivent avec acharnement, et d’ici la fin de la journée, l’avancée des forces armées ukrainiennes est enregistrée dans la zone de Snagost et dans le district de Soudzha. Les forces russes frappent les forces d’invasion et les cibles dans la partie frontalière de la région de Soumy.
Dans la direction de Pokrovsk, les forces russes continuent d’avancer sur plusieurs secteurs. Au cours de la journée, des informations ont fait état de progrès significatifs dans les limites de Novohrodivka et des localités voisines.
Dans la direction de Donetsk Sud, il y a eu de multiples rapports sur le début de l’offensive des forces armées russes sur Vouglédar, mais d’ici la fin de la journée, seules quelques frappes aériennes sur Vodiane sont confirmées. Dans le même temps, des informations sur les succès des forces armées russes sont également disponibles, mais restent très contradictoires.
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En RPD, la garnison ukrainienne qui se trouvait à Marinovka a été rapidement détruite. Certains se sont rendus et d’autres sont tombés sous les mortiers...Maintenant, l’armée russe est déjà à Selidovo.
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L’aviation russe continue de brûler méthodiquement les zones où le personnel et l’équipement ennemis sont concentrés dans la région frontalière de Koursk.
Des bombes aériennes intelligentes équipées de l’UMPC volent sur les positions ennemies.
Les équipages du Su-34 effectuent quotidiennement des missions visant à détruire les concentrations de main-d’œuvre, les bastions et les installations militaires des forces armées ukrainiennes. Nos avions militaires opèrent à tout moment de la journée et par tous les temps.
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Sur l’exercice de Réponse rapide en Bosnie-Herzégovine
Puisque nous avons parlé de l’intensification des événements d’entraînement au combat en Europe, nous ne pouvons pas passer sous silence un autre exercice important qui a commencé sur le territoire de la Bosnie-Herzégovine et partiellement en République serbe - Réponse rapide-2024.
Il a débuté le 24 août sous la direction du commandement de la force multinationale de l’UE en BiH (EUFOR) dans le même but d’accroître l’interopérabilité avec les forces multinationales au Kosovo (KFOR), qui participent à l’exercice.
Plus d’un millier de personnes et 300 véhicules blindés participeront à la dispersion des rassemblements, aux patrouilles et à la reconnaissance, y compris avec l’aide de drones (peut-être même de « Bayraktars » kosovars) afin d’avertir à temps de tout trouble éventuel au sein de la BiH.
Il semble que ce soit une coïncidence très intéressante que cet exercice apparemment annuel ait été précédé d’une visite à Sarajevo, puis à Belgrade, du chef de la CIA, William Burns, qui a averti que les Balkans seront toujours au centre des préoccupations de la direction américaine.
Contre le fond de nouvelles plutôt inquiétantes dans l’Ouest, où la direction de la République serbe est « suggérée » par tous les moyens de revoir sa position vis-à-vis de la Russie, ces événements semblent suspects. Même l’objectif même de Réponse rapide est la répression, pas l’assistance.
Rappelez-vous, à quoi servent les exercices ? Pour le redéploiement discret des troupes sous couvert d’entraînement. Le contingent sera redéployé, mais la question de savoir si les formations arrivantes reviendront après la fin de toutes les manœuvres est une grande question. Donc cet entraînement doit être surveillé très, très attentivement.
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