Des services civiques à la place des profs !?
Il n’y a pas assez de professeurs, les former et les payer, cela a un coût….Or nous sommes dans un cadre budgétaire contraint, le parlement vote des lois dictées par l’Union Européenne.
Ne dites pas que le PS n’a pas d’idée !?
Il en a, lui ou le gouvernement….
Sa toute nouvelle idée est lumineuse.
Hier, on mettait dans les écoles des EVS ( Emplois de vie scolaire) pour aider les enseignants, y compris en assurant la classe avec un groupe d’enfants.
Un contrat aidé, que ce soit un CAE ou un emploi d’avenir, c’est intéressant mais il s’agit de personnes qui revendiquent, qui se mobilisent pour rester dans le poste à l’issue d’une « mission » qui ne peut pas dépasser, dans le meilleur des cas, les 24 mois….
Que faire ?
Les conseillers ministériels, bien payés, ont planché pour trouver une solution permettant d’avoir des personnels corvéables, à moindre coût et sortant totalement de l'idée de stabilité.
Pourquoi ne pas utiliser des jeunes dans le cadre du service civique ?
L’idée est lancée, la circulaire est écrite et l’objectif est fixé :
Le Ministère de l’Education ex Nationale va engager 5 000 jeunes.
Certains commentateurs vont certainement me reprocher d’avoir utilisé un titre plein et d’exagérer, encore une fois…..
Malheureusement, ce n’est pas une clause de style de ma part, ne trouve-t-on pas dans cette circulaire la phrase suivante :
« Le volontaire en service n’a pas vocation a exercer seul avec les élèves, c’est pourquoi il est demandé de recruter des binômes »
Ces binômes pourront, eux, suppléer le professeur absent !.
Ce dispositif offre à ses yeux de multiples avantages :
-résorber provisoirement le chômage des jeunes, et flatter ces employés précaires,
-casser le statut de la Fonction publique : en effaçant aux yeux du public des parents la distinction entre les personnels formés (mal, certes) et les gens de passage, on rend inutile le recrutement d'enseignants par concours,
Le gouvernement, le parti socialiste, se montrent les valets les plus zélés de l'Union européenne et du Medef dont le vœu explicite est la suppression de la Fonction publique.
Jean-François Chalot
18 réactions à cet article
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Moi je ne vois que des avantages à faire intervenir des jeunes auprès de leurs semblables, dans les écoles, au titre de cette capacité qu’ils ont entre eux, à s’entendre, et à s’échanger, et à s’aider. Une chose que dans bien des pays on pratique déjà, pour le grand bénéfice des uns et des autres.
Le budget de l’éducation nationale est le premier de la nation, un des premiers en pourcentage au monde, et pourtant les résultats sont quelques peu déconnectés de cet engagement : Les résultats aux évaluations internationales son loin de classer notre pays en tête, bien au contraire.... De plus, les inégalités sociales loin d’être comblées, sont maintenant potentialisées par le système.
Chalot nous donne le remède, il faut embaucher embaucher embaucher !D’une façon pavlovienne et militaire !. C’est bien beau mais il existe d’autres budgets beaucoup moins gâtes par le gouvernement.Voilà que les actualités risquent d’ailleurs de réorienter d’autres besoins urgents : La lutte internationale contre cette lèpre qui frappe à nos portes.Le service civil, c’est très bien, un endroit où justement les jeunes peuvent se connaitre se croiser, sortir du carcan de leur milieu de leur famille.Donc déjà plusieurs utilités pour valider ce projet dans cette société où des fanatiques tentent de cliver : Il faut au contraire, nous ouvrir les uns les autres, et donner de nouveaux messages d’apprentissage et de compréhension.Une vraie ouverture dans une époque qui se referme comme une huître, chaque groupe social travaillant de façon frileuse à garder ses privilèges, surtout évidemment la classe bourgeoise.Conclusion : Pour juger de la pertinence d’une action, regarder l’ensemble, et non visualiser juste un motif de la trame, d’une façon autistique et borgne !-
@velosolex
J’espère que si demain vous êtes gravement malade, vous ne tiquerez pas si on vous envoie des jeunes étudiants en troisième année de médecine pour vous soigner. Vous n’en aurez pas le droit. Ce que vous dites est absurde et irréfléchi. Vous donnez un blanc-seing à ces voyous qui nous gouvernent, s’en foutent plein les poches et ne font qu’appliquer des directives européennes, contraires aux intérêts de la Nation. Logique effectivement. Je vous souhaite en bonne santé, vous et les vôtres ! -
@Allexandre
J’ai travaillé toute ma vie à l’hôpital comme infirmier, alors votre exemple est particulièrement mal choisi, car nous recevons justement des stagiaires de tous ordres, afin de les adapter aux réalités du terrain, tout en les formant.Et cela bien sûr, avec des gardes fous, et dans des missions précises, au grand avantage des malades et des professionnels qui sont heureux de recevoir des gens et des intervenants variés !Dans le cadre de l’école, il me semble que ces stagiaires eux aussi seraient sous la responsabilité des professeurs.Je me trompe ?J’ai pu tout de même me rendre compte, que dans les pays nordiques, l’interactivité entre élèves, avec l’idée du tutorat, marche particulièrement bien.Et que ces pays font fonction de modèle, en rapport avec leurs résultats.Mais sans doute suis je candide, ou n’ai rien compris, en rapport avec votre docte savoirPeut être que l’éducation nationale pourrait prendre exemple sur les hôpitaux dans un autre domaine, à l’instar de la plupart des autres pays : Donner la capacité aux chefs d’établissements de recruter leur personnel. Comme ça se fait dans n’importe quelle organisation moderne, efficace, non stalinienne-
@velosolex
Oui vous vous trompez !! S’il n’y a pas assez de profs, ce n’est pas pour les mettre en doublons. Les profs, ou prétendus tels, on les lâche dans les classes et démerde-toi. Ce n’est pas tout à fait comme l’hôpital. Cela dit, que vous ayez été infirmier ou pas, formés ou pas, un étudiant en 3ème année n’est pas un médecin. Donc je réitère ma question. En cas de grave maladie, accepterez-vous que vous ou l’un des vôtres soit soigné par cet étudiant en 3ème année ? Si je suis votre raisonnement, oui !! Moi, je ne le souhaite pas. Idem pour l’éducation. L’école est déjà très malade, ne l’achevons pas sous prétextes de fausses économies. L’argent n’est pas le vrai problème. Si vous ne le savez pas, il faut vous renseigner et approfondir la question, sans écouter le journal de 20 h ! -
@Allexandre
en urgence si seul un étudiant est disponible, ce sera bien un médecin débutant qui te ratera. en orthopédie c’est souvent le cas.
oareil dans une petite ville où le chirurgien ne sait pas tout faire mais opère quand même en urgence sans expérience. -
@Allexandre
Je suppose que vos derniers propos, relatif au journal de 20 heures ont pour but de faire sentir, d’une façon élusive, combien je suis un beauf, et vous une représentation incarnée de l’intelligence et du bon sens.J’espère simplement que vous n’êtes pas aussi méprisant et torve, avec les élèves qui ne sont pas d’accord avec vous !...Vous tentez de m’embarquer de façon manipulatrice, dans une suite de problèmes dont je me refuse de discuter, et qui sont discutables, ( effectifs, formation...) mais là n’est pas le propos.Je pense simplement que cette initiative du ministère est intéressante, car au delà du journal de 20 heures, j’ai des sources, et des opinions...Si l’école est malade, ce n’est pas en rapport forcément avec des moyens, mais bien en rapport avec des méthodes d’un autre temps....Quand à l’hôpital, les réalités sont loin de celles que vous pouvez supposer, tentant de calquer le schéma de l’organisation d’une classe, sur celle d’un service....Le soin, ç’est une dynamique, des échanges, un travail qui ne se conçoit qu’en équipe, le médecin n’en étant qu’un maillon, même s’il se trouve en position de thérapeute, déterminant.Mais vraiment rien à voir à ce que vous en pensez naïvement, faisant référence à votre expérience limitée des choses, où le professeur à l’ancienne est tout puissant et pèse de toute son autorité, ne voulant pas envisager des stratégies latérales de communication, avec d’autres intervenants.
Signé : L’abruti du journal de 20 heures -
Salut à tous,
Ce qu’explique le camarade Chalot, c’est comme pour les taxis : une application type uber, et hop, un jeune dans tel collège, un autre dans tel lycée, un étudiant infirmer dans tel hosto, un interne dans telle clinique.......
Spartacus et Werner vont hurler de joie, avant leur médication quotidienne !
Adishatz
H/
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Des milliers de parents, maman et papa, accompagnent tous les soirs leurs enfants dans leur devoirs, la correction de leurs erreurs, ... Certains s’aventurent sur la ré-explication de leçons mal comprises, d’autres encore plus prétentieux se permettent de contextualiser, de parler de sujet connexes, ... Serait ce donc qu’il faille les condamner pour s’être substitué aux enseignants, pour aider leurs enfants ?
Nous avons la chance d’avoir des jeunes formés qui se trouvent à un instant de leur vie sans travail et qui sollicitent volontairement le service civique. Certains iront dans la police en auxiliaire, d’autres dans des hôpitaux en aide pour les soins, il y en a même qui souhaitent le faire dans l’armée, certains aident dans des associations laiques,n’est ce pas Chalot..Le service civique est un acte volontaire. La mise en place de ce dispositif réponds largement à l’intégration de nombreux jeunes dans le monde du travail, les contraintes, la nécessaire motivation, ... et apportent un supplément de valeur. Jeunes et plus proches des élèves, ils saevnt par une approche différente solliciter le meilleur des enfants. Est ce que la diversité dans l’approche pédagogique est une aberration, le rôle de chacun bien à sa place, une synergie qui me semble plus valorisante que ces repliements sectaires sur ceux qui auraient donc le privilège exclusif de la « connaissance ».Il est d’ailleurs assez constant de trouver chez certains enseignants, peu heureusement, cet esprit assez fermé qui interdit toute action éducative à qui n’a pas le statut tamponné et validé. Combien d’enseignants, de vrais, n’hésitent à faire intervenir des professionnels pour « illustrer » leur matière ? Il est assez fréquent d’entendre que les écoles ne s’ouvrent pas assez au monde extérieur. Pourtant, certaines expériences sont devenues des réussites sur ce sujet de l’implication de professionnels, les IUT et autres filières d’ingénieurs sont largement ouvertes au monde professionnel.PS : Sur cette histoire de soins par des étudiants, il ne faut pas ignorer que les internes, souvent en première ligne dans certains service ne sont pas encore médecins.-
@Aristide
Votre post scriptum est suffisamment explicite, mais encore une fois, tombe à plat. Les internes en médecine n’en sont pas à leur 3ème année, on est d’accord ? donc réfléchissez avant de vouloir donner des leçons, même si c’est votre exercice favori. Quant à nos jeunes bien formés, certes il y en a, mais de moins en moins. Alors avant de prendre systématiquement le contrepied de ceux qui alertent la beresina de l’école, lisez dpnc les consignes de notation du baccalauréat, ou regardez le sujet de math ou d’histoire-gé du brevet des collèges. Si vous restez sur cette position, c’est que vraiment vous avez un petit souci, ou alors vous êtes payé pour ! -
@Allexandre
Vous décrivez une EN à la dérive, rien ne marcherait. Tous les élèves seraient des cancres, tous les enseignants passifs et incapables de se révolter, enfin ... La moindre des décisions devient le signe de la volonté explicite de destruction de l’EN.C’est assez surprenant comme je vous l’ai dit qu’une institution aussi mauvaise, serait à même de former des ingénieurs, cadres, techniciens, médecins, et même des enseignants en histoire et geo de valeur ... (*)Maintenant, sur cette affaire d’intervenants extérieurs, mon opinion est que la sollicitation de profils et d’expériences différentes ne peut être qu’un avantage pour les enfants. La sollicitation de professionnels a démontré son efficacité par l’ouverture de l’école et des universités à une vision différente des savoirs. Bien évidement, Il ne s’agit pas de le faire au détriment des enseignants, c’est en complément.Alors, continuez avec d’autres à épiloguer sur le niveau MOYEN des élèves et sur le système à la dérive, vous ne faites que confondre la marge avec la majorité. Que la marge soit de plus en plus en difficulté n’est en rien la preuve que tous sont en danger.PS : Vous choisissez la troisième année de médecine comme base de comparaison de compétences pour ces intervenants, moi je prends les internes, c’est mon droit ? -
on dirait plus que ce sera des pions plus jeune.
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La dérive est visible, bientôt on fera pareil pour les femmes de ménages, puis pour les employés ainsi de suite.
Pour les emplois qualifiés ont fera venir des étrangers avec des salaires low cost, c’est que l’on va faire des économie, mais plus rien ne va tenir debout et rapidement en plus.Et pourquoi pas un service civique pour les retraités a qui ont va baisser les retraites ?Il y a une logique a tout cela et ceux qui soutiennent ces mesures en seront un jour victime.En attendant, il y a de moins en moins de monde pour payer les retraites, les banques étant en faillites ne comptez pas trop sur vos économies. .Quant aux jeunes dans les établissements scolaires c’est simplement de la folie, il va il y avoir des problèmes, on ne met pas n’imprte qui à encadrer des enfants, c’est du simple bon sens, on pourrait mettre des bénévoles aussi !!Ce monde est dément et le peuple mérite ce qui va lui arriver, on ne peux pas être idiot à ce point et espérer s’en sortir indemne.-
« L’instruction publique » fut un des principaux piliers de la Nation.
L’ UE sous la pression des lobbies et des banques, participe à la destruction des Etats-Nations avec la complicité de la classe politique française favorablement engagée dans cette logique mortifère.
Les premiers coups de boutoir ont commencé il y a trente cinq ans avec le miterrandisme et la politique calamiteuse des ministres de l’Education nationale qui se sont succedés depuis. De droite et de gauche.
Réformes après réformes, en apparence stupides, mais mûrement réfléchies et pensées par les élites au pouvoir, cette belle construction que fut l’Instruction publique plus tard rebaptisée Education Nationale arrive à son terme, dans le chaos. Le gouvernement socialiste actuel parachève l’oeuvre de destruction entamée.
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@Nicole CHEVERNEY
C’est ce que l’on appelle un jugement réfléchi, équilibré et tout.Rien à garder, jeter donc les tous, ces enfants qui deviennent des ingénieurs chez Airbus ou Ariane, d’autres techniciens chez Total, d’autres de bons professionnels, des enseignants, des vendeurs, ... Une élite diront certains, mais qui ne cache pas un désert, car il existe de vrais compétences, pas de celles que l’on étale en cercle restreint sur un sujet rebattu ... Encore un pseudo chercheur en histoire, à croire que la maladie de la médisance est contagieuse et atteint plus particulièrement certains de ceux qui aurait pourtant du apprendre de leur matière que la simplicité du jugement est une escroquerie et surtout que la réalité est complexe. -
@Aristide
Oui, à présent on forme de futurs chômeurs... euh....employés.
Fini le citoyen à qui on essaie d’apprendre à utiliser sa tête, place au mouton qui va trimer comme un con sous les ordres d’un Spartacul ou d’un Haddock, et il aura intérêt à être bien docile, sinon c’est direct chez popol emploi.
La nuance vous aurait elle échappée ?Je constate simplement que pour enseigner on réclame un BAC+5 pour être titulaire, et euh.... pas grand chose pour faire le guignol en guise d’ersatz de prof.
A votre avis, de quel coté est la tendance d’avenir ? -
@ Aristide
Permettez-moi de recentrer mon propos autour de l’institution menacée par des politiques de déstabilisation de l’EN. Questions restées en suspens : Qui en haut-lieu se soucie encore du bien-être des enseignants, des élèves ? De leur investissement personnel en dehors des cours ? etc... etc... Bref, tout est fait pour « saboter » l’enseignement en France, on l’a vu avec la théorie du genre, entre autres fumisteries.
Je ne développerai pas ici l’inanité de certains programmes du secondaire, ce serait du réchauffé. Et je tiens à rendre hommage à ces fonctionnaires courageux qui se dépensent pour transmettre leur savoir.
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@Nicole CHEVERNEY
Bien-étre ? Investissement personnel en dehors des cours ? Théorie du genre ?Vous devriez être plus factuelle pour poser des jugements aussi abrupt que le « sabotage » à partir de remarques assez spécieuses que le bien être des élèves et l’investissement en dehors des cours. Rajouter à cela la théorie du genre qui a fait l’objet d’un raz de marée dans la bassine d’eau des allumés de la Manif pour Tous..Allons, essayez de voir que le budget de l’EN est toujours le premier, son évolution est plus forte que celle de la population scolaire, les régions, départements et communes construisent, réhabilitent les lycées, collèges et écoles comme jamais cela n’avait été fait. Que la contribution de la nation au projet de l’Education est toujours aussi forte.Alors, oui, il y a une frange de la population scolaire qui ne trouve pas sa voie, qui est marginalisée. Toutes les mesures prises dans ce cadre sont tout de suite interprétées comme un encouragement à la baisse alors qu’il s’agit d’essayer de « rattraper » cette population souvent victime de la crise économique.Vous représentez assez fidèlement une marge de la société qui critique notre EN à partir de faits marginaux, théorie du genre, vous instrumentalisez les échecs d’une frange pour essayer de dénigrer l’ensemble.Sur le niveau MOYEN qui baisse, je vous encourage à réfléchir sur la médiocrité de ce critère pour juger de la réalité : la tête dans le four et les pieds dans un frigo, en moyenne on est bien. Essayez de voir que le niveau des déciles supérieurs est loin de baisser, au contraire il monte. -
Comme disait Coluche : « Les chômeurs nous les cassent !
Vivement la révolution cybernétique ! Qu’on n’ait plus besoin de personnel du tout dans les Pôle Emploi, dans les écoles, dans les CAF, dans les centres de sécu, dans les blocs opératoires... Remplacez-moi tout ça par des robots ! Allez hop ! Circulez y’a rien à voir !
La France de demain :
- 1 million de hauts fonctionnaires,
- 1 million de PDG et hauts cadres de multinationales,
- 20 millions d’enfants qui apprendront des niaiseries,
- 20 millions de chômeurs (qui n’auront plus aucune chance de travailler de leur vie mais qui prieront Allah cinq fois par jour)
- et 40 millions de retraités qui seront tous en dessous du seuil de pauvreté puisque les caisses de l’Etat ne serviront surtout pas à les maintenir vivants et en bonne santé (un vieux mort coûte moins cher qu’un vieux vivant) mais à assurer le train de vie des représentants de deux premières lignes de la liste ci-dessus.
Qui travaillera ? Les centaines de millions de robots (ça va loin, puisque même les caisses de supermarchés sont déjà remplacés par des machines) et quelques derniers »services civiques« et taulards en »peines de substitution« .Alors évidemment j’exagère (j’emphatise comme on dit maintenant). Bien sûr... mais c’est certainement un »idéal" vers lequel aiment et aimeront toujours tendre les représentants des deux premières lignes.
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