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Dominique l’insubmersible

Lorsque ce lundi 16 mai, la juge Melissa Carow Jackson du tribunal de New York, finit d’énumérer les sept chefs d'accusation, rejette la mise en liberté sous caution et décide du maintien en détention provisoire à la prison de Rikers Island, tout un monde s’écroule sur un illustre personnage. Le Procureur de Manhattan, Cyrus Vance Jr., assure disposer d’un dossier solide contre la plus grosse prise de sa carrière. Le monde retient son souffle. Il va y avoir des révélations terribles sur l’infâme prédateur sexuel qui aurait sévi même en France et en Afrique. Aux quatre coins de la planète on amoncelle des pierres dans l’imminence d’une lapidation sans état d’âme. Il ne reste qu’une infime minorité de gens accrochés au principe de la « présomption d’innocence »… A juste titre. En effet, quelle que fût la légitimité de l’émotion qu’elle avait suscitée, l’affaire du Sofitel de New York n’aurait jamais dû échapper à ce principe élémentaire commun à tout Etat de droit.

L’accusé est à la fois un brillant économiste et un remarquable homme politique à la tête d’une prestigieuse institution financière. En ce moment-là, son enviable carrière ne peut plus être sauvée. Elle va finir inexorablement dans un crash judiciaire. Mais quoi qu’il arrive, sa condition matérielle sera toujours préférable à celle de sa présumée « victime ». On veille donc à ne pas occulter le sort de cette modeste femme africaine qui s’est retrouvée au mauvais endroit au mauvais moment. Sa malheureuse vie d’immigrée et les petits secrets qui l’entourent vont être étalés sur la place publique par l’implacable tempête médiatique et judiciaire que son accusation vient de soulever.

Quant à l’homme politique, tout le monde – ou presque - s’accorde à dire, à ce moment-là comme aujourd’hui encore, qu’il est fini. Ici aussi on est une infime minorité à croire qu’un homme politique n’est jamais mort que physiquement mort. Encore que… Même physiquement mort, l’ombre d’un poids lourd politique continue de planer sur la mémoire collective durant plusieurs générations de suite. On sait, par exemple, que l’architecture institutionnelle de la Vème République est l’œuvre du Général de Gaulle et qu’elle tiendra encore longtemps. Avant cette consécration pour la postérité, l’Homme a surmonté d’innombrables épreuves et survécu à au moins une vingtaine de tentatives d’assassinat qui n’ont pas atteint son flegme !

Le parallèle est assez osé, je le concède, mais il y a indiscutablement quelque chose de commun aux hommes politiques lorsqu’ils ont franchi un certain cap pour basculer dans la catégorie de « monuments ». Ils ont pris des coups et enduré de terribles épreuves dont le commun des mortels ne se serait jamais relevé. Ils y ont survécu et, vivants ou morts, leur ombre plane sur la vie politique du pays.

Dominique Strauss-Kahn, qu’on l’aime ou qu’on ne l’aime pas, est de cette trempe-là. Ceux qui s’attendaient à ce qu’il s’effondre au cours de la walk of shame (marche de la honte) ou qu’il rende les armes face à la stratégie du bluff concoctée par le Procureur Vance, ont vite compris qu’ils s’étaient trompés de personnage. Car ce n’était pas la première fois que DSK se retrouvait au milieu de la tempête. Et, comme par hasard, chaque fois, tout se terminait par un « happy end ».

Lorsqu’en 1998 éclate l’affaire de la Mnef, un certain Dominique Strauss-Kahn est ministre de l’économie et des finances dans le gouvernement Jospin. La Mutuelle nationale des étudiants de France – Mnef - est accusée par la justice d'avoir mis en place un système d'enrichissement personnel et d'emplois fictifs profitant, en partie, à des personnalités du Parti socialiste. Dominique Strauss-Kahn est rattrapé du fait de son activité d’avocat d’affaires. Il est accusé de « faux et usage de faux » pour avoir produit des justificatifs d'honoraires antidatés, ce qui le contraint à démissionner du gouvernement Jospin. Il est finalement relaxé en 2001.

Mais avant même l’heureuse issue de l’affaire de la Mnef, Dominique Strauss-Kahn est rattrapé par une autre affaire, l’affaire de la cassette Méry. L’homme d’affaire Jean-Claude Méry, décédé en 1999, avait enregistré une vidéo trois ans auparavant dans laquelle il avouait avoir orchestré un système de financement occulte du RPR, l’ancêtre de l’UMP. L’originale de la cassette avait été remise à DSK soupçonné par ailleurs de trafic d’influence. Il avait reconnu avoir détenu la fameuse cassette, mais n'en avait jamais regardé le contenu et ne savait plus où elle se trouvait. Finalement, ses ennuis étaient restés au stade de simples soupçons. Pas de mise en examen.

Ce qui n’a pas été le cas de l’affaire Elf dont les ramifications avaient fini par atteindre le même Dominique Strauss-Kahn, soupçonné d'avoir fait prendre en charge une partie des rémunérations d'une de ses secrétaires par une filiale du groupe pétrolier. Il rencontra, dans le cadre de cette affaire, une certaine Eva Joly, juge d’instruction au Pôle financier de Paris. La rencontre fut mémorable puisque pour l’anecdote, en août 2010, la candidate EELV dira du « favori des sondages » : « DSK, je le connais bien, je l'ai mis en examen ». Une mise en examen qui se termina par un non-lieu en 2001.

Au sein même du FMI, Dominique Strauss-Kahn avait, en 2008, provoqué une tempête d’avertissement pour sa liaison avec une certaine Piroska Nagy, économiste hongroise, mariée, mais qui avait succombé aux charmes du célèbre « homme à femmes » et non de son supérieur hiérarchique au FMI, une nuance qui a eu toute son importance. L’affaire s’était soldée par des excuses publiques. Rien à voir avec l’affaire du Sofitel. Cette fois-ci, l’accusation avait du lourd ! Un autre aurait choisi de négocier une peine aménagée en plaidant coupable. Mais à quoi cela aurait servi puisqu’il encourait plus de 70 ans de prison. Un aménagement de peine, même particulièrement généreux, n’aurait pas permis d’écourter son séjour sous les verrous en-deçà d’une dizaine d’années.

Connaissant mieux que quiconque l’insondable vérité de ce qui s’était passé dans la suite 2806, il a pris appui sur sa stoïque épouse Anne Saint-Claire et son imperturbable avocat Benjamin Brafman pour montrer à un monde incrédule que la bataille vaut toujours la peine d’être menée lorsque subsiste une chance, même infime, de l’emporter. C’est aussi la particularité des « monuments » politiques. Même lorsque toute la France a rendu les armes, ils restent au combat. On connait la suite.

L’accusation s’est fissurée avant de sombrer comme un Titanic. L’insubmersible éléphant est revenu dans sa douce France, la tête haute, et, comme les phares d’une voiture, a repoussé dans la pénombre de la discrétion tous ceux qui avaient rivalisé de « courage » en piétinant un homme à terre.

Comme pour se rattraper, quelques irréductibles malins se sont cru bien inspirés en fouillant dans les poubelles pour sortir cette sordide affaire du Carlton de Lille et lui coller dans le dos l’effigie d’un ténébreux personnage. Aux dernières nouvelles, on apprend que le fameux Dodo La Saumure ne risque finalement pas grand-chose devant la justice. Tout ça pour ça ! Mais pour Dominique Strauss-Kahn, il y a longtemps que l’affaire avait fait pschitt ! Même pas une mise en examen. Pschitt aussi l’affaire Tristane Banon… La pauvre.

Une dernière polémique de désespoir, en novembre, lui prêtant de vouloir s’exiler à Tel-Aviv pour fuir… quoi ? Il n’y a plus rien à fuir. Donc, re-pschitt ! DSK est bien là. Et il a eu l’occasion de le démontrer en se faisant inviter à Pékin où il a prononcé un remarquable discours sur la crise et l’euro le 19 décembre 2011. Il interviendra à nouveau fin janvier début février à Bruxelles à l’invitation de l’association U 40[1].

Maintenant que ses ennemis se sont cassé la figure, il a en plus compris le mystère révélé par le très sérieux journaliste américain Edward Jay Epstein. Deux guignols s’étaient livrés à une danse de joie alors que le pronostiqué Président de la République se faisait passer les menottes. Il peut à nouveau se dire, Dieu, protège-moi de mes amis, mes ennemis, je les connais déjà et je vais m’en occuper.

Ceux qui s’accrochent à l’infime espoir que le donjuanisme du bonhomme le disqualifie à vie aux yeux des Français se trompent de pays. En France, sur ce sujet, on ne joue jamais à « qui va lancer la première pierre ». La cour se vide avant même d’avoir fini de prononcer la phrase. Puisqu’on n’est pas de tradition puritaine, plus aucun obstacle ne subsiste entre Dominique Strauss-Kahn et ses compatriotes. Quelques formules bien ajustées par les communicants, qu’il a tout à fait les moyens de recruter, des paroles touchantes à l’oreille de l’électeur, une goutte de larme sur un coin de l’œil et une bise publique sur la joue de son adorable Anne Saint-Claire, et hop, au Palais Bourbon ! Ou du Luxembourg ! Matignon est à deux pas de là. Et, à Matignon, on ne rêve que de l’Elysée.

Le scénario d’un retour plus rapide sous les feux de la rampe est même envisageable. La droite, en dix ans de surendettement vertigineux, a fini par humilier la France en lui faisant perdre le précieux triple A. En face, le bateau Hollande ne finit pas de tanguer et, quelle que soit l’issue de la Présidentielle, la Gauche en sortira bien amochée. Les quelques têtes roses qui tiendront encore sur les épaules résisteront quelques mois face à l’implacable crise avant de sombrer. Il faudra trouver du renfort quelque part. Qui serait assez stupide pour se priver des atouts d’une véritable carapace blindée au milieu d’une crise où ça caillasse de tous côtés ?

Non, sérieusement, Dominique Strauss-Kahn est toujours là !

Boniface MUSAVULI



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48 réactions à cet article    


  • morice morice 18 janvier 2012 09:38

    L’accusation s’est fissurée avant de sombrer comme un Titanic


    Vous êtes soi-disant quelqu’un se réclamant des droits de l’homme.

    Visiblement, vous n’êtes pas inscrit aux droits de la femme.

    Votre héros va être convoqué par la justice française et très certainement mis en examen pour complicité de proxénétisme : deux juges sont en train de démontrer qu’il ne pouvait ignorer que celles qu’on lui présentaient étaient des prostituées.

    L’accusation de tentative de viol aux USA tient toujours, et un tribunal pénal s’en occupe.

    Votre texte est un panégyrique d’un obsédé sexuel, doublé de quelqu’un qui, visiblement présenté des pulsions non dénuées de violences, d’après plusieurs témoignages.

    Votre tentative de réhabilitation est obscène, tout simplement.


    • BlackMatter 18 janvier 2012 20:56

      « L’accusation de tentative de viol aux USA tient toujours, et un tribunal pénal s’en occupe. »


      Ah bon ?

    • Deneb Deneb 18 janvier 2012 10:29

      Morice, essaie la Viagra, pas la peine de s’en prendre à DSK si tu n’y arrives plus.

      Pour ma part, je ne voterais jamais pour quelqu’un qui ne ba**e pas. Je n’ai pas envie d’être gouverné par quelqu’un réticent aux plaisirs sains de la vie.


      • Cocasse Cocasse 18 janvier 2012 11:02

        Je suis d’accord avec toi, mais de là à vouloir être gouverné par un dépravé, violeur, ne pouvant envisager sa sexualité qu’avec brutalité ou sous une forme d’un rapport de pouvoir, il y a une marge.


      • Deneb Deneb 18 janvier 2012 11:29

        Mais non, il n’est pas comme ça, Sarko ! Même si c’est vrai que les français l’ont bien profond, il ne faut quand même pas exagerer.


      • Rounga Roungalashinga 19 janvier 2012 09:18

        Pour ma part, je ne voterais jamais pour quelqu’un qui ne ba**e pas. Je n’ai pas envie d’être gouverné par quelqu’un réticent aux plaisirs sains de la vie.


        -Si baiser est un plaisir sain de la vie, pourquoi est-ce que tu censures le mot ? Ecrit « BAISE », pas « ba**e », espèce de pudibond !
        -Il y a effectivement une différence entre baiser et violer. Mais ça a l’air de te passer au-dessus de la tête.


      • Francis, agnotologue JL1 19 janvier 2012 09:47

        « Pour ma part, je ne voterais jamais pour quelqu’un qui ne ba**e pas. » (deneb)

        Un lapsus, deneb ? Il y a deux manières de baiser : la première suppose que ça se fasse ans l’intimité ; la seconde relève de la pornographie.

        Il y a deux sens au verbe baiser, selon qu’il est transitif ou intransitif, avec ou sans COD : dans le premier sens, cela désigne ce que font trop souvent les dirigeants politiques à l’égard de leurs électeurs.

        Deneb, je suppose que comme moi, vous ne savez pas qui baise dans l’intimité ou ne baise pas. En conséquence, vous avez perdu une occasion de vous taire.

        A bon entendeur salut.

        Sans parler de votre hypocrisie, comme le souligne Rounga ci-dessus.


      • Alpo47 Alpo47 18 janvier 2012 13:11

        Merci à l’auteur ... de nous rappeler toutes (?) les turpitudes qui ont jalonné la vie de son modèle.
        En attendant, il est très heureux que nous n’ayons pas eu « l’opportunité » d’installer cet homme à l’Elysée. On voit déjà ce que donne l’excité-bling-bling actuel, avec DSK c’était « partouze à tous les étages »....

        Juste un texte qui tente de contribuer à reconstruire l’image de l’ex « homme providentiel ».
        Aucun intérêt ...


        • Dominitille 18 janvier 2012 13:32

          Militant des droits de l’homme pas de l’Homme.
          Chassez le naturel il revient au galop.
          Il est d’usage en ce moment pour les hommes forts, d’abandonner le navire avec femmes et enfants à bord.
          Après moi le déluge, phrase attribuée à un autre homme mais pas fort du tout car il a aussi de son temps contribué à laisser couler le bateau France. Les hommes forts se succèdent mais sont toujours pareils que les précédents.


          • Imhotep Imhotep 18 janvier 2012 14:21

            Juriste ?

            Vance n’a pas innocenté DSK il a clairement dit qu’il ne sait pas ce qui s’est passé mais a rappelé qu’il y avait eu une relation précipitée qui indiquait plutôt une agression qu’un acte consenti. Les preuves médico-légales : cellules épithéliales de DSK sur la culotte et un des collants, collant déchiré dans l’entre-jambe, sperme retrouvé sur l’uniforme (ce qui pour le moins est étrange pour un acte consenti quand l’uniforme doit rester impeccable pour un hôtel de grand luxe) etc
            Pour la MNEF il y a eu effectivement facturation antidatée ce qui mériterait pour un avocat fiscaliste une radiation de l’ordre pour le moins et effectivement de la prison avec sursit. Mais le problème n’est pas que dans l’enrichissement personnel qui a bien eu lieu car en regard de 12 demi journées de travail il a touché 600 000 F à l’époque soit 100 000 F la journée de travail ! pour une mutuelle étudiante ! en difficulté financière ! et en plus pour conseiller dans une opération immobilière en toute illégalité en regard des statuts de la MNEF qui n’avait aucune vocation à faire de l’immobilier !
            Pour Tristane Banon, vous devez avoir mal suivi le dossier. Le parquet de Paris dans un courrier a très clairement indiqué que DSK était un agresseur sexuel.
            Pour ce qui concerne sa brillante capacité à gérer le FMI la preuve est faite aujourd’hui au regard du niveau de la crise que c’est un échec patent.
            A la tête du FMI il a donné des bons points aux différents personnages suivants : Moubarak, Kadhafi et Ben Ali. On fait mieux en matière de brillante intelligence au niveau international.
            Pour le Carlton, vous avez aussi dû très mal suivre la justice. Dodo la Saumure a été arrêté en Belgique et dans ce pays la prostitution est juridiquement tolérée. En revanche il a affirmé que DSK ne pouvait ignorer que les femmes étaient des prostituées. Or ces femmes ils les a rencontrées également aux USA où la consommation de prostituées est un délit, ce qu’il ne pouvait ignorer.
            La cassete Mery laisse planer un énorme doute sur lui et sur les pressions ou l’achat de son silence par la pègre politique ou tout simplement une complicité volontaire. N’oublions pas la remise de plus de 40 millions de F d’impôts à Karl Lagerfeld. C’est ici
            Vous avez dû passer à côté des divers déclarations de femmes l’ayant fréquenté et notamment de madame Manhattan qui l’a fourni en chair fraîche et dont les deux prostituées ont parlé de sa brusquerie, une sui disait qu’elle pouvait gérer et l’autre qui a considéré qu’elle ne voulait plus jamais le revoir. Madame Manhattan l’a déclaré être un malade dangereux.
            Vous êtes passé à côté de la déclaration de son ex-mapitresse, déclarée comme telle, qui a fait une tentative de suicide et que ce bon DSK n’a même pas eu le simple geste de l’appeler. Elle a avorté de lui. Elle dit aussi qu’il était brutal, ce qu’elle prenait pour de la passion. Le Christ aussi a subi la passion, origine du mot, justement.
            Enfin pour Piroska Nagy, soit vous mentez, soit vous êtes très mal rensegné. Contrairement à ce que vous dites cette femme a déclaré qu’il avait abusé de son statut et qu’elle se trouvait piégée : soit elle refusait et elle en subissait les conséquences soit elle acceptait et elle en subissait les conséquences. Elle a d’ailleurs déclaré par un courrier publié que cet homme n’était pas fait pour diriger une entreprise où il y avait des femmes.

            Vous avez écrit un bon roman. Etes-vous financé par le nouvel Huffington Post à la française ?


            • BlackMatter 18 janvier 2012 21:02

              Malheureusement Imhotep, que vous aillez raison ou tord, DSK est innocent de tous les faits dont vous parlez.


              En droit, on est innocent tant qu’on a pas été reconnu coupable par un tribunal.
              A t il été condamné par un tribunal pour les faits que vous citez ?

              Non... Alors...



            • BlackMatter 18 janvier 2012 21:04

              Et puis j’aurais tendance à dire que DSK étant out, autant passer à autre chose sur Agoravox.


              Autant pour ses défenseurs que ses accusateurs.

            • posteurfou posteurfou 18 janvier 2012 14:21

              DSK est une personne méprisante gonglée de frics

               , qui croit que le fait d’etre un personnage publique lui confère tout les droits ,

              pensez a ces femmes qui ont subit ce genre de Gr** P ***.

               et pensez a celles qui n’osent encore pas parler,

              car c’est sur il y a bien d’autres choses dont on ne saura jamais rien

              Crdt ..


              • kali 18 janvier 2012 15:32

                @l’auteur

                Toutes les tentatives de réhabiliter cet homme ont échoué mais c’est épatant de voir que ce genre d’homme a encore des serviteurs fidèles qui récidivent...
                @Imhotep : je ne crois même pas qu’il soit financé. C’est un penchant naturel qu’ont certains de prendre la défense des puissants déchus..Ou alors c’est Anne Hommel déguisée smiley ou un troll envoyé par Anne Sinclair smiley
                Regardez les votes..c’est un échantillon peut-être pas représentatif mais regardez les commentaires sur tous les articles qui parlent de DSK... L’opinion a tranché. Je ne dis pas « jugé » je dis tranché. On attend des hommes politiques autre chose comme éthique que celle- si même il en a- de ce bourgeois pervers.
                Et en plus, je ne vois pas en quoi il vous apparaît insubmersible, il fait honte à la France ; et il n’a même pas fait preuve de courage, il s’est sans cesse défaussé... Il a essayé comme l’hydre de lerne de renaître sans succès. Il s’est défendu malhonnêtement et le résultat est là.
                Plus personne de sensé n’en veut comme homme public. 

                Et il peut toujours aller faire ses conférences à Cambridge et après ? Cambridge a déjà invité d’autres personnes peu recommandables pour conférer (je peux vous citer des noms) ... Et alors ?

                Occupez-vous de vous mon ami, la crise l’épargnera, lui, peut-être pas vous et on peut toujours parler des dangers que courent les fantassins dans le champ de bataille, quand on ne quitte pas son mirador..

                C’est affligeant de voir que DSK a encore des fans, et dans le peuple en plus ! comme certaines tristes figures de l’Histoire qui ont encore leurs tristes admirateurs..


                • Ariane Walter Ariane Walter 18 janvier 2012 17:09

                  ca paie bien ce genre d’article ???


                  • Emmanuel Aguéra LeManu 19 janvier 2012 08:02

                    Tiens encore une nouvelle Ariane... Décidément...


                  • Yohan Yohan 18 janvier 2012 17:15

                    Une p’tite soirée au Carlton en compagnie de son idole smiley...Il va en apprendre des choses....


                    • MUSAVULI MUSAVULI 18 janvier 2012 22:59

                      Bonjour !

                      Il ne s’agit pas pour moi de nier le rejet qu’inspire la personnalité de Dominique Strauss-Kahn dans une large partie de l’opinion. Il s’agit juste de faire le constat que <l’homme est toujours là>. Et surtout, il n’a pas publiquement dit qu’il renonçait à la politique. Inutile de préciser qu’il finira par se « défaire » de tout ce qui reste de ses ennuis judiciaires. Et après ? Vous croyez sérieusement qu’il va se mettre à moisir quelque part à Sarcelles... ni même à Neuilly ? Je suis comme vous indigné par l’immoralité qui gangrène la classe politique. Mais alors, dans ce cas, soyons exigeants avec tous les autres. Ceux qui fréquentent les prostituées, ceux qui vont ramasser les enveloppes, ceux qui pillent l’Afrique en exigeant des valises,... les emplois fictifs, le trafic d’influence, la corruption, Karachi,... et que sais-je encore ! Il ne resterait pas grand monde dans l’Hémicycle, ni même au gouvernement. Pour commencer, l’Elysée aura été vidée de son actuel locataire. J’ai donc décrit une réalité : la perspective que DSK rejoue les premiers rôles dans la politique française. Dans tous les cas, ça se passe toujours entre l’homme politique et ses électeurs. Combien d’hommes politiques ont été condamnés et ont été réélus par la suite ? Je n’ai pas exprimé un souhait personnel. Quant à la proposition de Yohan d’aller faire un tour à Carton avec DSK, c’est assez marrant comme plaisanterie. Non, Yohan, je suis hétéro et heureux en couple.


                    • Dolores 18 janvier 2012 17:23


                      C’est une honte de comparer cet olibrius à de Gaulle.
                      De Gaulle ne s’est jamais comporté de façon ignominieuse sur le plan des mœurs.

                      Votre copain DSK devrait plutôt garder la tête basse et se faire oublier.

                      Dans l’esprit de quelques imbéciles les riches et les puissants peuvent tout se permettre ;
                      la présomption d’innocence fonctionne à plein régime pour eux. Grâce à elle on fait traîner les choses en longueur avant de les étouffer.
                       Les pauvres n’ont droit qu’à la présomption de culpabilité et avec eux les choses ne traînent pas en longueur, on les colle en prison.

                      On dit que qui se ressemble s’assemble.... peut-être faites vous votre propre défense.

                      Votre DSK est une honte pour la France, et personne ne peut désirer qu’il refasse surface en politique.


                      • Emmanuel Aguéra LeManu 18 janvier 2012 21:36

                        L’histoire parlera. Puissiez-vous ne jamais avoir honte de ce que vous avez écrit.


                      • MUSAVULI MUSAVULI 19 janvier 2012 07:39

                        « ... et personne ne peut désirer qu’il refasse surface en politique. »

                        En réalité, Dolores, chaque fois que les hommes politiques qui ont eu des démêlés avec la justice reviennent devant les électeurs, ils se font réélire. Vous pouvez aussi constater qu’un illustre personnage va se présenter devant les électeurs avec des casseroles suffisamment nombreuses pour faire un orchestre à lui tout seul. Les enveloppes de Mme Bettencourt, les valises d’Omar Bongo, Karachi, les fadetes,... Tiens, sa femme l’avait aussi accusé d’être un « sauteur » (terme désignant les « consommateurs de femmes »... un peu comme DSK). Bien entendu la justice ne peut pas se prononcer sur toutes ces accusations parce que la Constitution lui garantit d’être à l’abri du moindre zèle des « petits juges ». Et lorsque, longtemps après la fin de ses deux mandats, la justice se prononcera sur sa responsabilité, il sera trop « vieux » et trop malade pour être cité à la barre. Et ce n’est pas tout. L’ancien Maire avait piqué sa femme à un malheureux dont il avait pourtant célébré le mariage, en mairie. Bravo pour la morale publique !
                        Alors, Dolores, des histoires comme ça, il y en a plein si on se met à creuser autour de nos « honorables » hommes et femmes politiques. Je suis comme vous, accroché à l’idée que la France mérite mieux que cette classe politique là. Mais, pour le moment, on fait avec parce que, en plus, les électeurs ne nous suivent pas dans notre indignation. En attendant, on privilégie, comme eux, la compétence de l’homme politique. Et au vu de la campagne terne et ennuyeuse en cours, on s’interroge sur des solutions de recours. Un Président cramé qui ne peut plus faire la moindre promesse crédible, un candidat PS qui parle pour ne rien dire et un FN en embuscade (Mélenchon et Bayrou ont déjà reconnu à demi-mot que leurs chances d’accéder à l’Élisée étaient infimes). ça se jouera donc entre les trois. Un trio déprimant qui fait dire à nombreux, dont moi-même, qu’il manque désespérément un Messi (Lionel Messi) dans l’effectif de notre classe politique.


                      • MUSAVULI MUSAVULI 19 janvier 2012 08:39

                        Bonjour LeManu !
                        J’ai beaucoup réfléchi avant de poster mon article. Vous pouvez être certain que je l’assumerai. Tout ce que je sais est que DSK, en évitant de renoncer publiquement à la politique, prend insidieusement rendez-vous avec les Français, n’en déplaise à ses détracteurs. Ce rendez-vous aura lieu, et puisqu’en démocratie c’est l’électeur qui décide, toutes nos indignations sur AgoraVox seront juste des avis, tout à fait légitimes, mais des avis parmi tant d’autres, rien de plus. Nous pouvons changer nos élus, mais nous ne pouvons pas changer notre peuple. Il a le défaut de chaque fois « refaire » confiance à d’anciens « taulards ». Revoyer la liste de nos maires, nos députés, nos sénateurs, voire nos ministres ? Vous aurez de désagréables surprises !


                      • Dolores 22 janvier 2012 07:15

                        En aucun cas les turpitudes de l’un n’excusent celles des autres.

                        Des personne telles que vous voudraient nous faire prendre de vessies pour des lanternes en tentant de blanchir un personnage assez répugnant.
                         
                        Pour arriver à vos fins, vous n’hésitez pas à travestir la réalité des conclusions de justice.

                        Quel homme êtes-vous donc ?


                      • MUSAVULI MUSAVULI 22 janvier 2012 07:34

                        Bonjour Dolores,
                        Vous avez, de toute évidence, une façon de voir les choses qui diffère radicalement de la mienne. Ca s’appelle être profondément en désaccord. Quand deux personnes sont à ce point en désaccord, le débat cesse d’être enrichissant. On préfère donc en rester là et passer à autre chose. Merci quand même pour la discussion et bon week-end.


                      • Dolores 24 janvier 2012 14:40

                        Cela signifie seulement que vous n’avez pas d’arguments à opposer en dehors des contre-vérités que vous proférez.
                         Votre courage s’exprime par la fuite de la discussion .


                      • MUSAVULI MUSAVULI 18 janvier 2012 22:29

                        Bonjour Imhotep,

                        Votre réaction semble résumer la tendance générale qui est à la réprobation. Il ne s’agit pas pour moi de nier le rejet qu’inspire la personnalité de Dominique Strauss-Kahn dans une large partie de l’opinion. Il s’agit juste de faire le constat que <l’homme est toujours là>. Et surtout, il n’a pas publiquement dit qu’il renonçait à la politique. Inutile de préciser qu’il finira par se « défaire » de tout ce qui reste de ses ennuis judiciaires. Et après ? Vous croyez sérieusement qu’il va se mettre à moisir quelque part à Sarcelles... ni même à Neuilly ? Je suis comme vous indigné par l’immoralité qui gangrène la classe politique. Mais alors, dans ce cas, soyons exigeants avec tous les autres. Ceux qui fréquentent les prostituées, ceux qui vont ramasser les enveloppes, ceux qui pillent l’Afrique en exigeant des valises,... les emplois fictifs, le trafic d’influence, la corruption, Karachi,... et que sais-je encore ! Il ne resterait pas grand monde dans l’Hémicycle, ni même au gouvernement. Pour commencer, l’Elysée aura été vidée de son actuel locataire. J’ai donc décrit une réalité : la perspective que DSK rejoue les premiers rôles dans la politique française. Dans tous les cas, ça se passe toujours entre l’homme politique et ses électeurs. Combien d’hommes politiques ont été condamnés et ont été réélus par la suite ? Je n’ai pas exprimé un souhait personnel. Quant à la proposition de Yohan d’aller faire un tour à Carton avec DSK, c’est assez marrant comme plaisanterie. Non, Yohan, je suis hétéro et heureux en couple.

                        • Imhotep Imhotep 18 janvier 2012 22:56

                          Si vous lisiez mes articles vous verrez bien que Karachi & Cie j’en ai écrits des centaines. Lisez donc la liste non exhaustive que je mets à la fin de ceux-ci.

                          Dans votre article vous essayez de faire passer DSK pour un innocent. La justice ne l’a pas innocenté ni dans l’affaire Banon (elle l’a stigmatisé comme un agresseur sexuel, ce n’est que l’impossibilité de prouver une tentative de viol qui l’a sauvé), dans l’affaire Nagy vous dites une contre vérité, dans l’affaire duSofitel vous ne dites pas les faits. La responsable de la sex crime unit a déclaré en interview filmée après le rendu de Vance que celui-ci n’avait absolument pas innocenté DSK. Elle est américaine juriste et c’est son métier. Je crois plus en elle qu’en les interprétations fumeuses des pseudo juristes défenseurs de DSK. Elle-même croit en sa culpabilité. Ce n’est que parce que Vance n’a pas su bétonner son histoire, parce qu’il est parti trop fort trop tôt qu’il a tout lâché ensuite. Tout ce qui mis ensemble faisait sens, il les a séparés, sortis du contexte et trouvé des explications abracadabrantes. Un exemple simple : rougeur dans la zone vaginale, collants déchirés dans l’entre jambe, cellules épithéliales de DSk sur la culotte et sur le collant interne et lui trouve le moyen de dire que les collants étaient de mauvaise qualité ! A mourir de rire. Tout comme la douleur à l’épaule il trouve un expert qui dit - il faut se tenir pour ne pas s’écrouler de rire - que ce geste ressemble au geste d’un lanceur de poids (en torsion vers le haut) qui aurait fait ce mouvement de nombreuses fois ! Rien de moins. Aucune vérification si cette femme en plus de son boulot à l’hôtel, de s’occuper de sa fille, d’avoir un second boulot se serait entraînée à lancer des poids à un niveau olympique ! Un sport facile à exercer que toute personne normalement constituée rêve nuit et jour de pratiquer ! Qui peut croire une connerie pareille ? De plus il s’agit de son épaule gauche. Il n’a même pas vérifié si elle était gauchère ou droitière. On nage en plein délire. Mais en revanche ce geste vers le haut et brusque (d’un lanceur de poids) correspond tout à fait au geste brusque lorsqu’on précipite vers le bas une personne en lui tenant le bras.

                        • MUSAVULI MUSAVULI 18 janvier 2012 23:50

                          Rebonjour cher Imhotep !

                          Sans qu’il soit nécessaire de vous montrer mon diplôme de droit ni de vous rédiger une thèse sur le fonctionnement de la justice, je vous fais juste remarquer que les éléments que vous évoquez relèvent de ce qu’on appelle, dans un procès pénal, l’« accusation ». C’est la victime, son avocat et le procureur. En face, vous avez ce qu’on appelle la « défense ». C’est l’accusé et ses avocats. Ils présentent, eux aussi, des éléments destinés à prouver l’innocence de l’accusé ou à remettre en cause la crédibilité de l’accusation. Au-dessus des « deux camps », vous avez un ou plusieurs juges qui décident, en fonction des éléments fournies par toutes les parties, de la culpabilité ou de l’innocence de l’accusé. Vous semblez, comme la plupart des « agoranautes » portés à ne prendre en considération que la partie « accusation ». Loin de moi l’idée de rechercher des arguments pour essayer de disculper DSK ou accabler Mme Diallo. Moi-même, originaire d’Afrique, j’ai été peiné dans un premier temps par le sort de Mme Diallo. Mais au fil des jours, j’ai réalisé que son dossier était malheureusement, un dossier « fragile ». Car en face, il y a une défense dont les arguments méritent également d’être entendus pour être sûr qu’on a compris ce qui s’est réellement passé au Sofitel de New York. Personne ne saura vraiment ce qui s’est passé. Et mon article ne vise pas à relancer ce débat. Il s’agit juste de faire le constat que DSK est en train de se défaire de ses ennuis judiciaires et qu’une fois qu’il en aura fini avec la justice, il n’est pas exclu qu’il fasse son retour en politique, comme les autres avant lui. Si vous estimez ce retour probable (je ne dis pas souhaitable) alors vous avez compris mon article. Bonne soirée !

                          • Emmanuel Aguéra LeManu 19 janvier 2012 07:56

                            Exposer son point de vue à des gens qui de le comprennent pas ne signifie pas les prendre pour des cons. Pareil dans l’autre sens, d’ailleurs.
                            RV dans... disons 2 ou 3 ans ?


                          • Switcher 19 janvier 2012 00:24

                            DSK n’est pas un Don Juan, c’est un prédateur sexuel, nuance.


                            • MUSAVULI MUSAVULI 19 janvier 2012 05:13

                              « DSK n’est pas un Don Juan, c’est un prédateur sexuel, nuance. »


                              Peut-être, mais il manque toujours une première condamnation pénale (définitive) pour appuyer votre intime conviction. Elle ne repose pourtant pas sur du vide. Il y a des mises en examen et des témoignages, pour certains, assez accablants. Mais tout cela n’a jamais été pris au sérieux par la justice pour justifier une condamnation pénale. Dans tous les cas, la plupart des prédateurs sexuels récidivent. Donc, il ne reste qu’à attendre. Si l’homme est effectivement un « prédateur sexuel », il ne tiendra pas longtemps avant de faire à nouveau parler de lui. 

                            • Emmanuel Aguéra LeManu 19 janvier 2012 08:00

                              C’est la vraie question. L’accroc au sexe est-il forcément nul politico-économiquement parlant ?
                              Après la culpabilité (ou l’innocence) n’est plus qu’une affaire de partis-pris et de frustration idéologique. Imhotep, dont j’apprécie par ailleurs bien des articles, en est pour le coup la plus parfaite illustration.


                            • carole 19 janvier 2012 05:08

                              « Il s’agit juste de faire le constat que <l’homme est toujours là>.

                              Dans quel monde vivez-vous ? C’est quoi »il est toujours là" ? oui, il est là comme vous et moi !
                              Vous cachez votre idolatrie derrière des prétextes..vous le déclarez innocent, vous l’admirez d’être..en vie ! ça me fait marrer. Et rappel il vivote non pas à Sarcelles ou Neuilly mais place des vosges !! Il essaie de sortir de son trou pour se retrouver des pépés, ça doit lui manquer à mon avis bobonne ne l’a jamais tenté ! . Cet homme a battu tous les records de la dépravation et en plus apparemment il est corrompu (voir article sorti hier atlantico sur l’argent et DSK). Vous etes juriste diplomé peut-être mais mauvais car partial..Laissez faire les vrais. Et croyez que DSK va se sortir de tous ses ennuis si ça vous fait du bien à votre admiration béate ;
                              Heureux en couple tant mieux mais vous avez du manquer d’un papa..Pour moi vous êtes définitivement décrédibilisé.. 


                              • MUSAVULI MUSAVULI 19 janvier 2012 05:29

                                Bonjour Carole.

                                Je partage votre indignation contre les personnalités qui battent « les records de la dépravation », pour reprendre votre expression, ou qui « mouillent » dans l’argent sale. Ce que je remarque, et que je n’avais pas anticipé en rédigeant mon article, c’est qu’il y a une sur-réaction chaque fois qu’on évoque le nom de DSK alors qu’il n’est pas le seul dans son cas. Encore une fois, mille fois d’accord avec vous que l’on sorte le « karcher » et qu’on nettoie cette classe politique qui nous déshonore. Mais alors, balayons tous les pourris. C’est tellement facile de taper sur un « homme à terre » qui ne peut pas se défendre alors que d’autre défilent allègrement sur les plateaux de télé alors qu’ils trimbales des « casseroles » dont nous nous souvenons tous !

                              • carole 19 janvier 2012 08:52

                                Bonjour
                                Choisissez l’auteur : il est un « homme à terre » ou insubmersible.. ???
                                Beaucoup de chomeurs aimeraient être « à terre » comme lui..à se la couler douce avec une femme milliardaire écrasée par une éducation bourgeoise qui lui ôté toute estime d’elle même pour le quitter.
                                Bizarre ce sont les arguments des idolatres tout ça..Mais oui il y a d’autres politiques pourris mais pourquoi cela nous empecherait de virer DSK de la vie publique (et on la fait !)
                                Drôle de prétexte.Puisqu’il n’est pas le seul alors laissons le tranquille..

                                Et vous vous dites juriste ? il faut vous améliorer car je n’aimerai pas être défendue par vous..Vos arguments ne tiennent pas la route..


                              • MUSAVULI MUSAVULI 19 janvier 2012 09:42

                                Rebonjour Carole !
                                Tout doux, tout doux... rendez-vous compte que vous êtes en train de perdre vos nerfs. Il est pourtant possible de parler DSK sans sortir les bazookas. Je dois vous faire l’aveu que je n’avais pas anticipé le fait que la personnalité de DSK mettrait autant de gens à fleur de peau. Bon, encore quelques réactions enflammées et on passe à autre chose. J’ai proposé un article sur « le temps partiel ». Il n’y a pas un mot sur DSK. Vous pourrez le lire sans risquer de tomber sur votre « bête noire ».
                                Boniface


                              • Francis, agnotologue JL1 19 janvier 2012 10:10

                                Bonjour Sabine,

                                l’auteur oscille entre victimisation - un homme à terre -, et méthode Coué - « il est insubmersible ».

                                C’est fréquent chez ceux qui attachent plus d’importance au principe de plaisir qu’à celui de réalité ; ou plus exactement, qui ont pour habitude de conformer la réalité à leurs désirs, et non l’inverse comme tout le monde.

                                « Ron Suskind, un ancien éditorialiste du Wall Street Journal, a rapporté les propos d’un conseiller de George Bush, et son récit a depuis fait le tour du monde : « vous appartenez à la communauté réalité (…) nous sommes un empire maintenant, nous créons notre propre réalité ». C’est l’idée que d’abord vous créez un spectacle médiatique et, qu’ensuite, la réalité le rattrape et prend sa forme. C’est l’histoire des années Bush. » (Naomi Klein)


                              • kali 19 janvier 2012 10:41

                                Bonjour musavili

                                Carole a raison et Sabine aussi : Vous ne répondez pas aux objections, vous bottez en touche ou faites de la mauvaise rhétorique. Nous sommes prêts à entendre de « vrais » arguments bien construits sans le parti pris qu’on sent chez vous. Après tout, vous êtes libre d’adorer qui vous voulez.
                                Ce qui est frappant, c’est que d’autres hommes politiques ont été traînés dans la « boue » (mérité ou pas) mais aucun n’a eu autant de défenseurs véhéments comme vous, qui se perdent dans leurs argument contradictoires. C’est là qu’on voit l’efficacité des campagnes de com dont il a bénéficié depuis 2007 pour en faire un « messie » voire un gourou avec une bande d’adeptes prêts à tout pour défendre son « honneur » (..pas perdu car il n’en a jamais eu)


                              • posteurfou posteurfou 19 janvier 2012 15:35

                                Si tout cela s’était passé en françe ?? 

                                 je reste persuadé que l’on en aurait jamais entendu parler 

                                 à coup sur protègé par ses compliçes du pouvoir /...

                                 

                                Crdt ..,


                              • MUSAVULI MUSAVULI 19 janvier 2012 17:47

                                Dsk est effectivement un homme à terre (n’exerce plus aucune responsabilité publique) qui essaie de se défaire de ses ennuis judiciaires. Il était à la prison de Rykers Irland et se trouve aujourd’hui en France après que le Procureur Vance Jr et ses avocats aient fait le constat qu’il n’y avait pas lieu de poursuivre la procédure dans l’affaire Diallo vs DSK. Mieux informés que nous, ils ont sûrement mis en évidence des éléments suffisamment « forts » pour justifier la remise en liberté de DSK et l’arrêt des poursuites aux USA. Dans l’affaire Banon, je revoie encore cette jeune dame tout sourire racontant sur le plateau de Thierry Ardisson la « tentative de viol » dont elle aurait été victime. Je la revoie quelques mois plus tard visage renfrogné, comme par hasard, après l’affaire du Sofitel. J’apprends aussi que sa propre mère avait eu des relations « consenties » avec DSK. C’est le genre de personnes pour qui on se « mouille » la chemise au strict minimum. J’ai une assez bonne expérience auprès de (vraies) victimes de violations des droits de l’Homme. Jouer les « héros » pour des « victimes » comme Banon ou sa mère vous conduit droit vers des lendemains qui déchantent. Idem pour Mme Piroska Nagy. Si elle n’avait pas été consentante, elle aurait dénoncé DSK. Le FMI, ce n’est pas la petite entreprise du village ou la petite mairie de la France profonde où le « patron » fait la pluie et les beaux temps. Mme Nagy ne courait aucun risque en dénonçant les avances de DSK. Elle aurait même été confortée dans ses fonctions au sein du FMI. Mais elle s’est tue et a même échangé des mails « croustillants » avec DSK sous un pseudonyme pour cacher une relation « consentie » (Je vous demande juste de lire cet article de Libé : http://www.liberation.fr/politiques/01012338905-piroska-nagy-le-premier-ecart-mediatise-de-dsk. ). Les deux « amants » ont d’ailleurs attendu le sommet de Davos, en janvier 2008, pour « passer à l’acte ». Discrètement. Pas la moindre trace d’une hypothétique « main courante » dans un seul commissariat de police en Suisse. On n’a pas besoin d’être un défenseur de DSK. Il suffit juste de s’informer. Dans l’affaire du Carlton de Lille, DSK n’a même pas été mis en examen et Dodo La Saumure est aujourd’hui libre comme l’air. Bref, chères Sabine, Kali, JLC et Carole, faites l’effort de voir les choses telles qu’elles sont et non comme on voudrait qu’elles fussent. Je partage avec vous le rêve que nos responsables politique puissent combiner compétence et conduite plus acceptable, en termes de moralité (publique et privée). Mais, pour l’instant, on en est là. Et on fait avec ceux-là. Un DSK « mis à nu » et d’autres DSK qui jouent les hypocrites et passent dans les mailles du filet. 
                                Bonne soirée !


                              • MUSAVULI MUSAVULI 19 janvier 2012 17:48

                                Dsk est effectivement un homme à terre (n’exerce plus aucune responsabilité publique) qui essaie de se défaire de ses ennuis judiciaires. Il était à la prison de Rykers Irland et se trouve aujourd’hui en France après que le Procureur Vance Jr et ses avocats aient fait le constat qu’il n’y avait pas lieu de poursuivre la procédure dans l’affaire Diallo vs DSK. Mieux informés que nous, ils ont sûrement mis en évidence des éléments suffisamment « forts » pour justifier la remise en liberté de DSK et l’arrêt des poursuites aux USA. Dans l’affaire Banon, je revoie encore cette jeune dame tout sourire racontant sur le plateau de Thierry Ardisson la « tentative de viol » dont elle aurait été victime. Je la revoie quelques mois plus tard visage renfrogné, comme par hasard, après l’affaire du Sofitel. J’apprends aussi que sa propre mère avait eu des relations « consenties » avec DSK. C’est le genre de personnes pour qui on se « mouille » la chemise au strict minimum. J’ai une assez bonne expérience auprès de (vraies) victimes de violations des droits de l’Homme. Jouer les « héros » pour des « victimes » comme Banon ou sa mère vous conduit droit vers des lendemains qui déchantent. Idem pour Mme Piroska Nagy. Si elle n’avait pas été consentante, elle aurait dénoncé DSK. Le FMI, ce n’est pas la petite entreprise du village ou la petite mairie de la France profonde où le « patron » fait la pluie et les beaux temps. Mme Nagy ne courait aucun risque en dénonçant les avances de DSK. Elle aurait même été confortée dans ses fonctions au sein du FMI. Mais elle s’est tue et a même échangé des mails « croustillants » avec DSK sous un pseudonyme pour cacher une relation « consentie » (Je vous demande juste de lire cet article de Libé : http://www.liberation.fr/politiques.... ). Les deux « amants » ont d’ailleurs attendu le sommet de Davos, en janvier 2008, pour « passer à l’acte ». Discrètement. Pas la moindre trace d’une hypothétique « main courante » dans un seul commissariat de police en Suisse. On n’a pas besoin d’être un défenseur de DSK. Il suffit juste de s’informer. Dans l’affaire du Carlton de Lille, DSK n’a même pas été mis en examen et Dodo La Saumure est aujourd’hui libre comme l’air. Bref, chères Sabine, Kali, JLC et Carole, faites l’effort de voir les choses telles qu’elles sont et non comme on voudrait qu’elles fussent. Je partage avec vous le rêve que nos responsables politique puissent combiner compétence et conduite plus acceptable, en termes de moralité (publique et privée). Mais, pour l’instant, on en est là. Et on fait avec ceux-là. Un DSK « mis à nu » et d’autres DSK qui jouent les hypocrites et passent dans les mailles du filet. 
                                Bonne soirée !


                              • MUSAVULI MUSAVULI 19 janvier 2012 17:48

                                Dsk est effectivement un homme à terre (n’exerce plus aucune responsabilité publique) qui essaie de se défaire de ses ennuis judiciaires. Il était à la prison de Rykers Irland et se trouve aujourd’hui en France après que le Procureur Vance Jr et ses avocats aient fait le constat qu’il n’y avait pas lieu de poursuivre la procédure dans l’affaire Diallo vs DSK. Mieux informés que nous, ils ont sûrement mis en évidence des éléments suffisamment « forts » pour justifier la remise en liberté de DSK et l’arrêt des poursuites aux USA. Dans l’affaire Banon, je revoie encore cette jeune dame tout sourire racontant sur le plateau de Thierry Ardisson la « tentative de viol » dont elle aurait été victime. Je la revoie quelques mois plus tard visage renfrogné, comme par hasard, après l’affaire du Sofitel. J’apprends aussi que sa propre mère avait eu des relations « consenties » avec DSK. C’est le genre de personnes pour qui on se « mouille » la chemise au strict minimum. J’ai une assez bonne expérience auprès de (vraies) victimes de violations des droits de l’Homme. Jouer les « héros » pour des « victimes » comme Banon ou sa mère vous conduit droit vers des lendemains qui déchantent. Idem pour Mme Piroska Nagy. Si elle n’avait pas été consentante, elle aurait dénoncé DSK. Le FMI, ce n’est pas la petite entreprise du village ou la petite mairie de la France profonde où le « patron » fait la pluie et les beaux temps. Mme Nagy ne courait aucun risque en dénonçant les avances de DSK. Elle aurait même été confortée dans ses fonctions au sein du FMI. Mais elle s’est tue et a même échangé des mails « croustillants » avec DSK sous un pseudonyme pour cacher une relation « consentie » (Je vous demande juste de lire cet article de Libé : http://www.liberation.fr/politiques.... ). Les deux « amants » ont d’ailleurs attendu le sommet de Davos, en janvier 2008, pour « passer à l’acte ». Discrètement. Pas la moindre trace d’une hypothétique « main courante » dans un seul commissariat de police en Suisse. On n’a pas besoin d’être un défenseur de DSK. Il suffit juste de s’informer. Dans l’affaire du Carlton de Lille, DSK n’a même pas été mis en examen et Dodo La Saumure est aujourd’hui libre comme l’air. Bref, chères Sabine, Kali, JLC et Carole, faites l’effort de voir les choses telles qu’elles sont et non comme on voudrait qu’elles fussent. Je partage avec vous le rêve que nos responsables politique puissent combiner compétence et conduite plus acceptable, en termes de moralité (publique et privée). Mais, pour l’instant, on en est là. Et on fait avec ceux-là. Un DSK « mis à nu » et d’autres DSK qui jouent les hypocrites et passent dans les mailles du filet. 
                                Bonne soirée !


                              • posteurfou posteurfou 20 janvier 2012 10:50

                                Ohhh ! le pauvre homme ! !

                                ( humour bien sur )

                                 

                                Crdt/..


                              • MUSAVULI MUSAVULI 20 janvier 2012 13:56

                                Ok, Sabine, sur « croustillants » ; mais pour le reste, vous pouvez vous rendre compte que Mme Nagy n’était pas obligée d’accepter cette liaison. Elle ne s’est pas plainte en aucun cas, jusqu’à ce que l’affaire soit révélée par les enquêteurs mandatés par le FMI. Au sujet de Mlle Banon, eh bien oui. Elle était tout sourire. Je n’invente rien. Vous pouvez revoir les images. Il y a juste quelque chose que je dois partager avec vous : DSK a une conduite peu recommandable, mais chaque fois qu’il est mis en cause, on se retrouve avec des « victimes » difficiles à défendre.
                                Salut !


                              • MUSAVULI MUSAVULI 21 janvier 2012 13:44

                                Tout à fait d’accord avec vous, Sabine. Effectivement, nous sommes tellement en désaccord qu’il vaut mieux qu’on en reste là. Merci quand même pour la discussion. Bon week-end !


                              • rocla (haddock) rocla (haddock) 19 janvier 2012 17:51

                                putain il est acht’ ment à terre le mec .


                                • carole 20 janvier 2012 08:18

                                  Bonjour l’Auteur
                                  Vous vous enfoncez encore plus et vraiment mais vous faites un piètre juriste j’espèr que vous n’etes pas avocat..pour vos clients surtout ! Sexisme et idolatrie ça va bien enseombe. J’espère que vous aurez un poste au Huffington post. ;J’ai entendu dire que certains faisaient des billets serviles comme le vôtres pour que Anne Sinclaire les contacte...Bonne chance !! (et ne dites pas que je suiss énervée, je suis "les bras m’en tombent) !


                                  • MUSAVULI MUSAVULI 20 janvier 2012 13:11

                                    Aucune relation avec DSK, encore moins avec Anne Sait-Clair. Bien entendu, vous êtes libre de me croire ou de ne pas me croire lorsque je vous affirme que je suis juste un citoyen qui se fait son opinion et refuse de hurler avec les loups. Quant aux références à ma formation de juriste, je crois que vous vous trompez de sujet. Mon article sur DSK n’est ni un plaidoyer (au sens pénal) ni une analyse juridique. J’aurais choisi de la publier sur un site spécialisé. Agoravox est un média citoyen. C’est donc le citoyen qui s’est exprimé et non le juriste. Enfin, la probabilité que je puisse être votre avocat un jour est proche de zéro. Vous pouvez donc dormir tranquille.

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