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Accueil du site > Tribune Libre > Haro sur la « dépense publique » ou sur notre « trésor public » (...)

Haro sur la « dépense publique » ou sur notre « trésor public » ?

L'examen du projet de loi de financement rectificative de la Sécurité sociale (PLFRSS), a commencé lundi 30 juin à l'Assemblée nationale ( lien ). Ce projet de loi contient la réduction des cotisations sociales " patronales" entre 1 et 1,6 SMIC, la suppression de la contribution sociale de solidarité des sociétés ( C3S), la réduction des cotisations "salariales" pour les bas salaires. Ce 1er juillet entre aussi en vigueur les nouvelles mesures sur l'assurance chômage.

 Depuis l'annonce du "pacte de responsabilité" par le Président de la République,le 1er janvier dernier, pas une journée ne se passe sans que des experts économiques, des dirigeants politiques de gauche comme de droite, des représentants des organisations patronales nous rabâchent la même rengaine : "Pour retrouver la croissance, Il faut réduire la dépense publique. " "Nous vivons au-dessus de nos moyens" ose affirmer le nouveau Premier Ministre au journal de 20 h le 16 avril, quelques jours seulement après sa nomination et alors que la pauvreté et la précarité ne cessent de croître, que les inégalités s'accroissent pendant qu'une minorité voit ses revenus et son patrimoine littéralement explosé.

Quel est donc ce "boulet" que représenterait " la dépense publique" ? De quels vices les dépenses de l'Etat et les transferts sociaux sont-ils dotés ? En quoi un euro dépensé par une personne privée serait plus vertueux pour l'économie d'un pays qu'un euro dépensé par un agent publique, un retraité ou un chômeur ? Est-il pertinent, comme en Grèce, au Portugal ou en Espagne, en pleine crise économique, d'amputer les aides sociales et les services publiques de l'éducation ou de la santé pour "servir" les intérêts d'une dette que l'on a laissé s'accroitre en limitant hier la " pression fiscale" de ceux qui avaient les moyens d'être solidaires et qui aujourd'hui ont les moyens de détenir une partie de cette dette ? Ce sont des questions qu'il faudrait débattre avant d'imposer des mesures qui n'ont que pour finalité de préserver les mêmes intérêts aux dépens de ceux qui tous les jours créent par leur intelligence et leur travail cette richesse tant convoitée.

LA DEPENSE PUBLIQUE OU NOTRE TRESOR PUBLIC.

En France la "dépense publique représenterait 57 % du P.I.B. " Mais on compare des choses incomparables. En réalité en 2012, cette "maudite" dépense est de 1151 milliards d'euros alors que la "vertueuse" dépense privée des ménages et des entreprises est presque 4 fois plus élevée ( lien ).

Sur cette somme, la moitié représente les transferts sociaux financés par les cotisations sociales sur les salaires, mises en commun pour assurer les retraites ( salaires différés) , l'assurance maladie, l'assurance chômage ou les allocations familiales. Ainsi la moitié de cette "malsaine " dépense publique n'est pas de la dépense publique mais des revenus mutualisés, transférés des salariés vers d'autres salariés ou citoyens. C'est une part du salaire de chacun qui est immédiatement redistribuée aux familles, aux retraités et qui assure les risques contre la maladie et le chômage. Réduire les "charges sociales" c'est rogner sur les droits sociaux et s'attaquer à la valeur travail dans son ensemble. En imposant au salarié français de payer moins en cotisations, c'est l'obliger à consacrer une partie de plus en plus importante de ses revenus à un complément de retraite ou à une assurance santé complémentaire que lui vendent les banques ou les compagnies d'assurance privée, situation beaucoup plus onéreuse et donc plus inégalitaire.

Il y a aussi le service de la dette dans cette trop " lourde" dépense publique. En 2014, la charge de l'Etat (intérêt de la dette publique) représente 14 % des dépenses de l'Etat (46,6 milliards ), soit un montant de l'ordre des dépenses de fonctionnement ( 52,6 milliards ). Intérêts versés ensuite aux créanciers privés détenteurs des obligations d'Etat vendus par les banques. Il faut rappeler que si la dette est, en 2014, de l'ordre de grandeur du PIB, la majeure partie est composée de ces intérêts cumulés que les banques privées imposent à l'Etat ( 80 % du total ), depuis que le traité de Maastricht en 1993 a introduit dans son article 104 l’interdiction absolue pour les États de se financer auprès de leur propre banque Centrale (article repris dans son intégralité dans le traité de Lisbonne ), (voir l'interview de A.J. Holbeck dans le blog Plus loin que Jorion ). Cette charge imposée par le secteur privé au secteur public est dépendante des marchés financiers et de la fluctuation des taux d'intérêt et bride ainsi la politique économique et sociale des gouvernements de droite comme de gauche.

Pour en finir avec ce hold-up permanent et les politiques d'austérité et de régression qui en découlent, il faudrait se libérer de cette tutelle est reprendre le contrôle de la création monétaire par la banque centrale.

Enfin le budget nécessaire au fonctionnement de l’Etat est bien la dernière partie de cette "dépense publique". Ses dépenses, en France (22,4 % du PIB) sont inférieures à la moyenne de la zone euro (22,6 %), bien moins par exemple qu’au très libéral Royaume-Uni (44,8 %, qui n’incluent pas la protection sociale) ou au Danemark (42,3 %). Une analyse fine des dépenses dans les différents secteurs montre qu'il n'y a plus de trésor caché ( Observatoire des inégalités ). N'en déplaise aux libéraux, tous les pays du monde considèrent que les fonctionnaires sont productifs et augmentent le PIB. Cela découle d'une convention retenue par l'ONU, laquelle établit les normes de comptabilité nationale. En France, la valeur ajoutée des fonctionnaires s'élève en 2012 à 333 milliards ( lien ). Mais depuis des années, les politiques de réduction de la dépense publique considère les fonctionnaires comme des "parasites" de l'économie et elle s'est traduite ces dernières années pour les agents de l'Etat par un blocage des salaires depuis 2010 et jusqu'en 2017 et par une réduction incessante croissante des effectifs depuis 2003 ( lien ) réduisant ainsi les capacités de l'Etat à assurer pleinement ses missions par exemple en matière d'éducation et de recherche.

Finalement pourquoi l'Etat, en tant qu'investisseur et employeur, n'aurait-il pas les mêmes vertus sur l'économie que tous les acteurs privés. Par les salaires versés il contribue aussi à la consommation privée des ménages, par les commandes passées auprès de fournisseurs, il participe pleinement à l'activité économique.

En réalité, en diminuant les prérogatives du secteur public, les politiques libérales ne visent qu'à redonner la main aux acteurs privés dans les domaines les plus profitables des grandes missions de l' Etat, que sont l' éducation, la recherche, la santé, la solidarité ou la protection des personnes.

QUAND LE PRIVE EST PLUS "DEPENSIER "QUE LE PUBLIC.

Ainsi avec la complicité des médias, la force des mots réussit à pervertir la réalité que l'on veut diaboliser aux yeux de la population . Les "cotisations" sociales sur les salaires deviennent des "charges" sociales. Le "budget" de l'Etat devient la "dépense" publique, le "déficit" du budget de la sécurité sociale devient le "trou" de la sécu, en revanche l'"évitement" de l'impôt devient dans la bouche des experts de "l'optimisation " fiscale. D'autre contre-vérités tenaces habitent la conscience de beaucoup de nos concitoyens. Ainsi dans la conduite des affaires, le privé serait un bien meilleur gestionnaire que le public. Il suffit de prendre l'exemple du domaine de la santé et de l'assurance maladie pour faire un sort à cette affirmation. Le journal Le Monde du 24 avril dernier révèle que les frais de gestion des mutuelles santé évoluent de 6,7 % à 41 % suivant les établissements alors qu' en 2011, la Cour des comptes, dans son rapport annuel, soulignait que les frais de gestion des organismes de sécurité sociale représentaient seulement 3% des dépenses totales de la Sécurité sociale. Ces chiffres montrent que le déficit de la Sécurité sociale est principalement causé par une insuffisance de recettes ou un versement trop important des prestations et non par les coûts de gestion. Sur un autre plan, avec 225,8 milliards d’euros en 2010, la dépense totale de santé s’élève en France à 11,65% du PIB ce qui place notre pays loin derrière les États-Unis (17,6%) où la santé est largement administrée par le domaine privé.( lien ). Le secteur libéral, enfermé dans une logique de profit, et conduit soit à réduire son champ d'intervention à la part la plus rentable de l'activité, soit à imposer un surcoût souvent rédhibitoire pour l'usager qui n'a alors d'autres choix que de se priver du service ou de se tourner vers un secteur public rendu à son tour exsangue par la privatisation des activités jugées "rentables" par les financiers.

Contrairement au secteur privé, les services publics sont non marchands. Leur objectif n'est pas de tirer du profit de leur activité, ils sont au service de tous et il offrent la même qualité de prestation en matière de santé ou d'éducation à tous les citoyens, dans tous les recoins du territoire, indépendamment de leurs ressources propres. La gratuité du service, financé par la solidarité de tous, contribue aussi à lutter contre les inégalités de revenus. Ainsi "En France, les 20 % les plus riches ont huit fois plus de revenus primaires (salaires, revenus du patrimoine) que les 20 % les plus pauvres. Le jeu des impôts directs (l'impôt sur le revenu notamment) et des cotisations réduit cet écart à sept. Bien plus que par les prélèvements, c'est par la dépense publique que les inégalités sont réduites. On passe finalement à trois, grâce aux prestations sociales et à la consommation gratuite de services publics. Il est temps de porter un regard neuf sur la dépense publique."  conclut Christophe Ramaux dans un article sur la dépense publique.

Face à la propagande libérale il faut toujours remettre à l'endroit ce qu'on essaie de présenter à l'envers en faisant passer entre autres les plus démunis pour des profiteurs. Face à tous ces prédateurs, il faut veiller et défendre notre "trésor public", fait de la solidarité et du partage des richesses de chacun et qui permet à tous, sans stigmatiser ni diviser, de s'éduquer, de s'élever harmonieusement et en sécurité dans la société tout en préservant sa santé, pour permettre à tous d'exercer pleinement ses propres capacités à enrichir par la création et le travail cet héritage que nous partageons chaque jour que nous ont légué les générations précédentes et que nous appelons civilisation.

LA SCIENCE DU PARTAGE


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53 réactions à cet article    


  • Robert GIL ROBERT GIL 2 juillet 2014 09:19

    voici quelques chiffres parmis d’autres :

    200 milliards d’euros : c’est le montant de la richesse créée par le travail, détournée chaque année des salaires vers les profits, depuis 30 ans.

    330 milliards d’euros : c’est le montant des richesses cumulées par les 500 plus grosses fortunes de France en 2013, en progression de 25 % par rapport à l’année 2012.

    41 milliards d’euros : c’est le montant des dividendes versés aux actionnaires des entreprises du CAC 40 en 2012, en augmentation de 5 % par rapport à 2011.

    200 milliards d’euros : c’est le montant cumulé des aides publiques, déversées chaque année aux entreprises, sans contrôle ni contrepartie.

    45 milliards d’euros  : c’est le montant des exonérations de cotisations sociales patronales accordées chaque année aux patrons.

    80 milliards  : c’est le niveau de la fraude et de l’évasion fiscale.

    10 milliards : ce sont les ressources en cotisations sociales aux horizons 2020 qui pourraient être atteintes en appliquant l’égalité salariale entre les femmes et les hommes (pour rappel les salaires des femmes sont inférieurs de 27% à ceux des hommes).

    Voir : C’EST LA FAUTE AUX FONCTIONNAIRES !


    • Captain Marlo Fifi Brind_acier 2 juillet 2014 19:19

      La Cour des Comptes a effectivement trouvé des centaines de niches fiscales au bénéfice des entreprises, pour un montant de 173 milliards d’euros par an !

      Enfin, pas toutes les entreprises, les plus grosses, celles qui ont les moyens d’avoir un pool de fiscalistes capable de s’y retrouver dans le dédale des mesures prises en leur faveur, afin d’ « Optimiser »....
      Ce n’est pas le cas, évidemment, des PME, PMI et encore moins celui des TPI...


    • 1871-paris 1871-paris 3 juillet 2014 11:47

      Brind, mefie toi des PME PMI etc, les patrons des CAC ne sont pas né patron du CAC...

      il faut rétablir une reglementation sociale de tout cela.


    • claude-michel claude-michel 2 juillet 2014 09:33
      « Dépense publique »..ou comment faire du gaspillage avec notre argent..L’argent est là pour éviter de tomber dans la « Faillite » de nos gouvernants...mais ils préfèrent l’utiliser à leur profit qu’à celui du peuple...La corruption est totale en politique..pas un échelon n’est épargné..Il serait temps que les gens qui votent pour ces voyous se regardent dans une glace en se disant qu’ils sont les « VRAIS » responsables de cette situation...en votant toujours pour les mafieux.. !..Arrêtez de mettre du papier toilette dans les urnes après vous êtres essuyé votre conscience.. ?

      • xmen-classe4 xmen-classe4 2 juillet 2014 10:12

        "Mais depuis des années, les politiques de réduction de la dépense publique considère les fonctionnaires comme des « parasites » de l’économie et elle s’est traduite ces dernières années pour les agents de l’Etat par un blocage des salaires depuis 2010 et jusqu’en 2017"

        il y a un pacte de stabilité, la banque de frnce s’engage à controler la stabilité de la masse monétaire. il y a pas de croissance donc les fonctionnaire n’ont aucune raison d’etre augmenté à moins de changer de poste.


        • xmen-classe4 xmen-classe4 2 juillet 2014 10:17

          c’est une politique de fils à papa, qui peut importe ce qu’il fait ignore d’ou viens l’argent.


          • xmen-classe4 xmen-classe4 2 juillet 2014 10:49

            On doit remercier le fonctionnaire pour sa transparence sur les dépenses publiques ? Il y a aussi une initiation au commerce et à la gestion des entreprises avant de changer de sujet pour parler de votre vie.

            il y a le scandale des assurance qui ont un cout du travail qui ne permet meme pas à l’assurance d’etre rentable mais elle est obligatoire.


            • Montdragon Montdragon 2 juillet 2014 13:07

              Beau travail d’explication, nécessaire.
              Ce temps d’éclaircissement n’est jamais pris dans les médias, voir le trou de la sécu qui ne devrais pas concerner le budget de l’Etat, etc..


              • soi même 2 juillet 2014 13:47

                Changer de paradigme les assistés vertueux de l’État totalitaire !
                Si le service public a prit tellement d’importance est due à votre manque de courage et de clairvoyance sociale.
                Où est passer les théories de l’autogestion et bien enterrer par qui ? Et bien par vous bandes de nases !
                Pleurer comme vous voulez, pendant des années vous avez tirer le vin et bien buveur le, maintenant jusqu’à la lie !

                 


                • Nanar M Nanar M 3 juillet 2014 12:29

                  Eh bin mon gland, quel charabia !


                • Spartacus Lequidam Spartacus 2 juillet 2014 13:50

                  En quoi un euro dépensé par une personne privée serait plus vertueux pour l’économie d’un pays qu’un euro dépensé par un agent publique ?

                  Réponse : l’argent public est l’argent du secteur marchand.
                  L’argent n’est pas créé ex-nihilo, mais sur la base de l’emprunt ou ou la recette de l’état.
                  Donc l’argent dépensé par l’agent public est l’argent du secteur marchand.

                  Dans une économie de marché, personne ne dépense l’argent des autres avec autant de soin que le sien propre. La dépense individuelle est acceptée librement, entre un acheteur et un vendeur. On dit en économie qu’elle efficiente c’est a dire qu’elle correspond a l’offre et la demande et permet l’emploi, la croissance, et favorise les entreprises créatrices de besoins réels.

                  L’argent de l’agent public est « retiré » par la coercition de l’impôt au secteur marchand et est autan de moins vers les secteurs efficients de l’économie et redistribués vers des marchés captifs, des rentiers de l’état et monopoles. 
                  L’argent de l’état ne correspond pas à la demande réelle efficiente créatrice de croissance,et construit un chômage de masse.

                  L’argent dépensé par l’état correspond aux désirs politiques de « clientèles » et « groupes de pressions » au détriment de l’efficience du marché. 

                  Plus la dépense publique est élevée, plus le chômage de masse est important.

                  Chacun peut juger de « l’iniquité monstrueuse » des droits sociaux en France qui sont bien plus favorables aux rentes par retraite décalée des agents de l’état...

                  • Beauceron Jehan De Beauce 2 juillet 2014 15:18

                    @Spartagus : donc si on vous suit il faut tout privatiser... mort aux pauvres ?


                  • Spartacus Lequidam Spartacus 2 juillet 2014 16:12
                    Dans une vraie économie de marché, les pauvres s’enrichissent.

                    Le pauvre de l’Allemagne de l’Ouest et ses entreprises privées a toujours été plus riche que les plus riches Allemands de l’Est et ses entreprises d’état.

                  • Captain Marlo Fifi Brind_acier 2 juillet 2014 18:40

                    Spartacus,
                    L’Allemagne de l’ Est n’est plus en URSS...,mais dans notre belle UE de la prospérité : « De plus en plus de travailleurs pauvres en Allemagne »


                  • Spartacus Lequidam Spartacus 3 juillet 2014 00:43

                    @Fifi brind acier

                    Le salaire ne constitue pas en Allemagne comme en France les seuls revenus des gens.
                    Contrairement aux idées préconçues les pauvres travailleurs Allemand sont plus riches que les pauvres Français et certainement moins à plaindre.

                    Inégalités :
                    Le coeficient « Gini » souvent utilisé par les gauchistes est de 4.5 pour la France et 4.3 pour l’Allemagne. (index des inégalités sociales des 20% les plus riches/revenus des 20% les plus pauvres). Dernièrement des lois sont passées pour instaurer un salaire minimum.

                    Chomage :
                    Le chômage Allemand est à 5% en France il est à 11%. 

                    Revenus disponibles :
                    Les revenus disponibles pour le ménage Français est de 35000€ et 39000€ pour l’Allemand.

                    Et au cas ou vous ne seriez pas convaincu, allez à la frontière à Strasbourg et comptez les « pauvres travailleurs Allemand » qui viennent chercher du business le matin et les Français faisant l’inverse. Les pauvres Allemand ne se précipitent pas. Allez comprendre pourquoi ? Si ils sont si pauvres.

                  • 1871-paris 1871-paris 3 juillet 2014 11:15

                    Arrête ton pipo Crasus !

                    Va aider ton modèle américain a réparer ses infrastructures complétement délabré en allusion au rapport de ASCE !

                    Les pauvres vont s’enrichir dans ton modèle ou l’égoïsme est érigé en religion, tu nous prend pour qui !!! Mais quand arrêterez-vous de raconter des bobars tous + gros les uns que les autres. Votre théorie du libéralisme, est la libre circulation des marchandises des transactions etc. le marché libre et non fossé, ok... Mais les philosophes et théoriciens vous on démontré que votre idéologie n’était valable qu’au pays de candy, elle est basé en fait sur l’égoïsme des marchés comme providentiel régulateur, que vos théoriciens évoquent eux-mêmes, couplé a la fameuse « main invisible » (ça vous remettrai les idées en place d’en prendre une dans la gueule de temps en temps).
                    Alors avant la chute du mur le problème c’était le bloc de l’est, maintenant ce ces qu’il reste encore quelques règles (les méchantes) qui entrave l’égoïsme auto régulateur des marchés, j’ai bien compris ?!!! Bande de pignoufs !
                    Arrêtes de mentir à propos du bien que tu voudrais aux pauvres, tu ne désires que les mettre à la tâche pour leur soutirer richesses fric et finir toi-même dans la total ploutocratie... quoi de mieux pour vendre cette duperie que de dire aux gens que tu leur veux que la liberté…. Economique (faut pas pousser non plus), hypocrite !


                  • Captain Marlo Fifi Brind_acier 3 juillet 2014 19:46

                    Spartacus,
                    La démographie allemande est exactement l’inverse de celle de la France.

                    Quant au SMIC, il n’existe pas dans l’agriculture, et celui dont vous parlez, c’est à la St Glinglin...


                  • Spartacus Lequidam Spartacus 2 juillet 2014 14:38

                    Assurance chômage :

                    L’assurance chômage française est l’assurance chômage la plus chère du monde occidental. 6,4% en France versus 3% dans la majorité des autres pays.

                    1/3 des travailleurs Français sont exonérés et ne cotisent pas !

                    En France, la masse salariale des secteurs marchands constitue la seule assiette des ressources, alors que partout ailleurs la masse salariale des salariés du public participe. 

                    Cela rend le travail plus cher en France à cause de cela. Ce qui fait sur uniquement cette assurance sociale une différence du salarié Français de 3%.


                    • Beauceron Jehan De Beauce 2 juillet 2014 15:13

                      @Spartacus : et les 2/3 qui côtisent ne sont pas malheureux puisque certains, comme vous, passent leur temps libre sur agoravox. Maintenant vous n’avez pas tort sur les assurances sociales, il faut responsabiliser tout le monde en la matière...


                    • Spartacus Lequidam Spartacus 2 juillet 2014 16:15

                      Il faut pas « responsabiliser » qui ne veut rien dire, il faut faire équité, un gros mot qui ressemble à « inégalités » mais qui ne veut pas dire la même chose, et que les personnels public préfèrent élucider... 


                    • 1871-paris 1871-paris 3 juillet 2014 11:17

                      Crasus tu es schizophrène idéologiquement !


                    • Beauceron Jehan De Beauce 2 juillet 2014 15:16

                      Trop de dépenses publiques ? L’autre jour j’étais au CDDP d’Orléans, administration relevant de l’éducation nationale. Les chasses d’eaux des WC fuient comme des fontaines, mais il n’y a plus personne pour réparer. Les postes d’agents techniques partis à la retraite n’ont pas été remplacés et il n’y a pas de budget pour payer un plombier privé ! Qui va payer la facture d’eau ? Devinez ? N’est-pas un exemple d’arroseur arrosé pour les Harpagons de la ligue des contribuables ?


                      • 1871-paris 1871-paris 3 juillet 2014 11:20

                        trop de dépenses publiques, c’est certain, mais pas du tout pour les bonnes choses, pour les foufouilles des copains magouilleur entrepreneur escros, la du blé publique il y en a pour auditer et améliorer l’instruction et l’education publique, auditer et améliorer la santé etc rien, toujours les memes paroles depuis 35 ans Reformes et liberalisation en de dehors de ca rien. le libéralisme de l’aveux meme des leur théoriciens, c’est l’égoîsme autorégulateur ! autant réver...


                      • mmbbb 3 juillet 2014 11:45

                        les impots en France n’ont jamais ete aussi si eleve : impot direct et indirect CSG RDS TVA taxe de ceci taxe de cela TVA plus value ect etc la liste est tres longue Hollande s’est employe a faire rendre gorge au cochon de contribuable surtout la classe moyenne qui a bien ete saignee et qui ne perore plus qu’elle a vote Hollande Plus de la moitie des francais ne paie pas d’impot sur le revenus C’est la classe moyenne et les hauts revenus qui assurent le recouvrement de cet impot Quant a l’administration est elle d’une lourdeur que toute initiative est presque vouee a l’chec Vour pourrez aussi noter la facture a payer de toutes les degradations inutiles et le cout des incivilites que personne n’enonce en france Il y eut par exemple des cretins qui a Lyon ont foutu le feu dans un depot de bus et pourtant le maire socialiste a ete pris d’une rage Ce qui est normal Le budget de l’education est un des premier poste et le gaspillage de l’argent public en france est comme votre fuite d’eau L’etat providence a atteint ses limites et les harpagons comme vous l’affirmez en ont un peu marre de se faire insulter Vous devriez quand meme lire les rapports de la Cour des Comptes dont le role est de pointer la gabegie et ce n’est pas un robinet mais une vanne


                      • leypanou 2 juillet 2014 16:20

                        L’article est bien mais il se trompe ici : « des dirigeants politiques de gauche comme de droite ». Il vaut mieux parler plus précisément du PS ou d’autres politiciens qui se disent de gauche mais en réalité, ils sont de la « droite complexée » comme par exemple F Lordon les appelle.


                        • Karol Karol 2 juillet 2014 18:19

                          Les salaires sont supérieurs au privé parce que les qualifications y sont globalement supérieures ( enseignants, chercheurs, infirmières, médecins, etc...) mais à qualification égale le salaire dans le public est inférieur au privé.


                        • Karol Karol 2 juillet 2014 18:19

                          Les salaires sont supérieurs au privé parce que les qualifications y sont globalement supérieures ( enseignants, chercheurs, infirmières, médecins, etc...) mais à qualification égale le salaire dans le public est inférieur au privé.


                        • Captain Marlo Fifi Brind_acier 2 juillet 2014 18:47

                          Joyeusetés,
                          Pourquoi ne demandez-vous pas que l’égalité se fasse pour tous par le haut ?

                          Vous pensez qu’enlever aux uns va apporter aux autres ?
                          Erreur, ce sera le Bangladesh pour tous !
                          Allez voir en Grèce comment se passent les baisses de salaires... La Grèce agonise.


                        • Spartacus Lequidam Spartacus 3 juillet 2014 00:58

                          Par le haut ?


                          11 semaines de congés annuels comme à la mairie de Paris pour tous ? 
                          32 h par semaine et 25% de temps de repos comme les contrôleurs aériens ?
                          Retraite à 35 ans comme l’armée ?
                          Le coup du chapeau et une promotion dans les derniers 6 mois et toucher une retraite qui ne correspond pas à la carrière comme les hauts fonctionnaires ?

                          L’hypocrisie de cette argumentation est une démonstration d’un mépris des nobles qui ne veulent pas qu’on touche à leurs privilèges et une insulte envers les autres. 

                        • Captain Marlo Fifi Brind_acier 3 juillet 2014 07:02

                          Spartacus,
                          Je vous conseille de mettre 35 élèves dans votre séjour, et pendant 6 heures de leur apprendre ce que vous voulez, et puis nous reparlerons des « privilèges ». Bon courage !


                        • Spartacus Lequidam Spartacus 3 juillet 2014 08:37

                          Un prof du public aurait des fatigues exceptionnelles par rapport à un prof du privé ?

                          Ont ils moins de 35 élèves ?
                          Les profs ne sont pas les métiers qui ont une espérance de vie la plus faible, mais par contre l’une des profession les plus pleurnicharde. 

                          Vous n’avez que l’hypocrisie du déni à opposer à l’iniquité des droits sociaux différenciés. 

                        • 1871-paris 1871-paris 3 juillet 2014 11:36

                          Crasus qui se fait le chantre de l’équité, alors qu’il defend une idéologie qui ouvertement fait l’appologie de l’égoïsme pour expliquer sa logique autorégulatrice !

                          Arretes sur ce registre tu n’as aucunes crédibilité vu la contradiction meme de tes ecris !

                          Le progres social est containgent dans ton idéologie, oooh il n’est pas absent, mais exemple la PROPRIETE y est sanctuarisé bien avant !


                        • mmbbb 3 juillet 2014 11:55

                          Par Fifi Brind_acier La grece agonise pour d’autres raisons parce qu’elle n’a jamais voulu avoir les stantard de gestion l europe En 1990 les micros ordinateur trainaient dans les couloirs, le cadastre n a jamais ete mis a jour et le recouvrement de l’impot archaique et peu rentable Ce pays n’aurait jamais du rentre dans l’europe et sa decheance la Grece l’a doit a son peuple qui s’est accomode d’une classe dirigeante pervertie qui a bien profite de la manne de l’euro Le coup de Grace a ete « Golmann Saach venant » apporter son aide " Alors lorsque j’entends ce sont les marches qui ont coule la Grece la verite est un peu plus complexe que les arguments peremptoires de Besancenot les grecs souffrent maintenant certes mais c’est le resultat d’une certaine politique


                        • Spartacus Lequidam Spartacus 3 juillet 2014 12:38

                          @1871

                           ????
                          Le collectivisme est symbole même de l’égoïsme, d’autant plus immoral qu’il se réclame du « bien commun » pour justifier les privilèges accordés à quelques-uns.

                          Faisant partie des « quelques uns » des profiteurs des privilèges, on trouve votre source d’inspiration du collectivisme. L’accaparation du bien des autres avec l’excuse du social pour soi-disant pour tous....

                        • Captain Marlo Fifi Brind_acier 3 juillet 2014 19:50

                          mmbbb,
                          Bruxelles savait tout cela sur la Grèce, pourquoi avoir maquillé ses bilans pour la faire entrer dans la zone euro ? Pour la ruiner, tout privatiser & acheter son patrimoine.
                          C’est Robert Mundell, l’inventeur de l’euro, qui l’explique.
                          Tout cela est délibéré.


                        • titi titi 6 juillet 2014 19:22

                          @Karol

                          Voici les chiffres :

                          http://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/les-fonctionnaires-sont-ils-vraiment-si-bien-payes_1324889.html

                          Les salaires sont bien plus élevés dans le public.

                          S’ajoute à cela les congés et les arrêts maladie de complaisance.


                        • alinea alinea 2 juillet 2014 17:35

                          Le public, c’était génial et personne ne trouvait rien à redire quand il s’agissait d’installer le téléphone partout, l’eau, faire des routes des autoroutes, des voies ferrées, construire des centrales nucléaires,etc. les écoles, les hôpitaux : qui les a construits ? Le privé ?
                          Alors, que tout cela nous reste ! Que les conditions de travail y soient un modèle ; des gens heureux et bien payés, ça doit pouvoir relancer l’économie, non ? Moins de dépenses de santé en tout cas, moins de congés maladie pour dépressions graves ; et des usagers heureux... ça donne du bonheur, et le bonheur est contagieux !!


                          • kalachnikov lermontov 2 juillet 2014 17:41

                            T’inquiètes, l’avidité est toujours rétribuée.

                            J’ai le plaisir de vous annoncer que dans un temps très proche, et ceci afin d’accroître la rentabilité, les accouchées devront quitter la maternité sitôt après avoir pondu, dans la journée-même.
                            Si question santé publique ce n’était si dangereux pour les mères et les nouveaux-nés, je rirais. Lu chez Jova hier.


                          • kalachnikov lermontov 2 juillet 2014 18:15

                            @ faux cul

                            Tu peux me moinsser, ça ne va rien changer au fait que pour des mesures d’austérité et de compétivité ta bobonne va avoir plus de chance de rester sur le carreau de même que ton chiard.


                          • Captain Marlo Fifi Brind_acier 2 juillet 2014 19:11

                            C’est la mise en place illico presto des GOPé, les Grandes orientations de la Politique économique, la feuille de route de Bruxelles aux 28 pays... .
                             Hollande, que d’aucuns jugeaient incompétent, s’avère un serviteur zélé de l’ Empire..., l’été est toujours propice aux coups fourrés, il risque d’être chaud !

                            Hollande et Valls vont appliquer la suite, en nous expliquant en langue européenne : « There is no alternative »

                            Traduction française : « On va vous niquer, mais c’est pour votre bien, nous sauvons ainsi l’économie de la France, gloire à nous... ! »

                            On commence par les indemnités chômage des cadres qui vont être rabiotées...
                            On commence par les plus nantis et les moins nombreux, pour faire plaisir à Joyeusetés, puis les autres passeront à la moulinette aussi : c’est l’égalité par le bas.

                            La dette, et les intérêts cumulés de la dette, avec et sans l’article 123 du TFUE
                             Car c’est bien au nom de la dette que toutes les mesures des GOPé sont prises.
                            « Nous sommes en faillite, faut liquider les biens sociaux et la solidarité ».

                            Tout cela au nom de la sacro sainte règle d’or des 3% du PIB, une machin sans aucun fondement économique, inventé sur un coin de bureau par 2 économistes du Ministère des Finances, pour faire plaisir à Mitterrand. Avant eux, ce ratio n’existait pas.

                            Rapporter une dette échelonnée sur 10 ans, ou 20 ans, au PIB de l’année en cours, c’est comme si vous compariez votre prêt immobilier, à ce que vous avez gagné cette année. L’important, pour rembourser votre dette, est ce que vous allez gagner dans les 20 ans qui viennent, et pas seulement cette année...

                            Mais ce ratio crétin, que personne ne remet en question, est passé à Bruxelles où il fait florès. Il sert maintenant à justifier la fin des modèles sociaux et les privatisations des services publics.
                            « Les 3% du PIB sont une invention 100% française ».


                            • eau-du-robinet eau-du-robinet 2 juillet 2014 19:47

                              Bonjour Karol,

                              « Pour en finir avec ce hold-up permanent et les politiques d’austérité et de régression qui en découlent, il faudrait se libérer de cette tutelle est reprendre le contrôle de la création monétaire par la banque centrale. »

                              C’est ce qui propose l’UPR.

                              Un extrait de notre programme de libération :

                              Chapitre 6
                              Réattribuer à la Banque de France son rôle normal de financement de l’État et des collectivités locales

                              Les intérêts de la dette publique nous coutent chaque année plus de 50 milliards d’euros. Cette somme est enlevé de nos impôts, les impôts des travailleurs et de la classe moyenne.

                              Puis il y à un autre facteur qui met en péril notre pouvoir d’achat ...

                              Je me demande jusqu’à ou le MEDEF vas pousser sa limite en ce qui concerne la mise en question de la rémunération des salaries ?
                              Le MEDEF préféré dévier les bénéfices des entreprises, fruits du travail des salaries, vers les actionnaires !

                              Les actionnaires eux gagnent leur argent en dorment et sans faire d’effort !

                              L’équivalent de 60% de leurs bénéfices
                               : c’est ce qu’ont versé à leurs actionnaires les 47 grandes entreprises françaises cotées en bourse que nous avons étudiées. Alors même que les suppressions de postes se multiplient et que l’investissement est en berne, plusieurs grands groupes hexagonaux continuent de redistribuer une proportion considérable de leurs profits aux actionnaires – y compris lorsque ces profits sont faibles voire inexistants. Notre enquête sur ce « coût du capital » révèle également que l’état est un actionnaire aussi gourmand que les autres. source

                              Priorité aux financiers, quoiqu’il en coûte

                              Plusieurs groupes sont d’une générosité à toute épreuve à l’égard de leurs investisseurs. Même en perdant de l’argent, ils leur distribuent des dividendes ! Chez ArcelorMittal, ST Micro, Accor et Areva, à tous les coups, les actionnaires gagnent. Malgré une perte de 2,8 milliards, le n°1 de l’acier a ainsi ponctionné 910 millions d’euros au profit de ses actionnaires ! La fortune de la famille Mittal, qui détient près de 40% du groupe sidérurgique – et donc perçoit environ 40% des dividendes, soit 360 millions d’euros – passe avant tout. Les métallos sont les grands perdants. En 2013, le groupe supprime 1 600 emplois en Belgique après avoir fermé, l’année précédente, l’aciérie de Florange en Moselle.
                              source

                              L’État, un actionnaire aussi gourmand que les autres

                              L’État, directement ou via l’une de ses institutions – Caisse des dépôts, Fonds stratégique d’investissement (FSI), Commissariat à l’énergie atomique (CEA)… – est présent au capital d’une vingtaine d’entreprises de notre panel. Dans neuf d’entre elles, la puissance publique pèse plus de 10% des actions, donc des voix (Areva, EADS, EDF, Eramet, GDF Suez, Orange, Renault, Safran, ST Micro). Comment se comporte l’État actionnaire ? Est-il aussi gourmand que les gros fonds ou portefeuilles d’actions privés ? Le cas Areva montre que l’État peut privilégier ses propres intérêts financiers, quel que soit l’état de santé de l’entreprise. Actionnaire à plus de 85% du champion du nucléaire, via notamment le CEA, l’État a empoché la plus grande part des 112 millions d’euros de dividendes, quand le fabricant de combustible nucléaire déplore une perte de 99 millions.
                              source

                              Sept mois de salaires pour les actionnaires

                              S’il existait en France la palme du salarié le plus rentable au regard de l’argent qu’il fait gagner aux actionnaires de son entreprise, elle serait remise aux salariés de Total. Chacun des 97 126 employés du groupe pétrolier a rapporté plus de 54 000 euros de dividendes aux propriétaires de l’entreprise en 2012 ! Soit les trois quarts de ce que le groupe pétrolier dépense en moyenne par salarié chaque année. Et l’équivalent de trois années de Smic ! Total est aussi celle qui, parmi les 47 entreprises que nous avons étudiées, a reversé à ses actionnaires les plus gros dividendes : 5,3 milliards d’euros, soit quasiment la moitié de ses bénéfices. source


                              • mmbbb 3 juillet 2014 12:37

                                oui tout ceci est connu mais selon l’adage on ne prete qu’au riche est vrai En bourse il vaut mieux avoir un gros portefeuille boursier puisque investir une ligne de quelques miliers d’euros peut etre rentable Quelques actions ne l’est pas parce le benefice est rogne par les frais de courtage eleve Bemol a votre propos la bourse c’est du risque Alsthom le cour a chute Euro tunnel orange Alcatel dans les choux depuis longtemps donc votre portefeuille est negatif et j’en connais beaucoup qui ont perdu des plumes De surcroit les plus values mobilieres sont imposees en france Il faut faire comme Depardieu partir en Belgique


                              • il n’y a pas de trésor. Juste une arnaque à la Ponzi-Maddoff dans laquelle les babyboomers saignent les trentenaires, au vu du déséquilibre démographique !


                                • alinea alinea 2 juillet 2014 21:33

                                  Pourtant ce sont eux qui les ont mis au monde ! ils les ont élevés et les aident quand ils le peuvent !!


                                • tf1Groupie 2 juillet 2014 22:41

                                  Bien sûr qu’ils peuvent aider : ils ont siphonné tout le fric !
                                  Ils sont partis à la retraite à 55 ans pour que leurs enfants finissent à 70.

                                  Vous avez une vision de la « générosité » qui ressemble à celle de l’auteur, Alinea.

                                  Aucune vergogne ces babyboomers : ils se félicitent du front populaire alors qu’ils ne font que phagocyter l’héritage de ce dernier.


                                • tf1Groupie 2 juillet 2014 22:36

                                  Et ils continuaient à creuser, ceux qui à force de réclamer plus d’Etat-providence ont vidé les caisses, spolié les générations futures et envoyé dans le mur les systèmes sociaux français.


                                  • tf1Groupie 2 juillet 2014 22:48

                                    L’Education Nationale est le premier employeur de France ; et la façon dont cet « employeur » gère la paie de ses employés est d’une indigence effroyable.
                                    ça donne une idée de la gabegie qu’il peut y avoir dans la gestion financière de cette administration.

                                    D’ailleurs les prestataires privés s’en frottent les mains, en facturant grassement leurs prestations


                                    • mmbbb 3 juillet 2014 12:02

                                      Enfin un commentaire realiste le mammouth comme le disait Allegre Les rapports de la cour des compte par ailleurs signale que par exemple la France depense plutot plus pour son education nationale avec des resultats moyens que l’ensemble de la moyenne europenne Il y a quand meme un probleme chez nous « nous reclamons sans cesse de l’argent » et ne remettons jamais en cause notre gestion La seule equation que nous ayons et plus d’argent pour une meilleure gestion Les autres pays europeens adoptent d’autre gestion et ne copie pas notre fameux modele francais


                                    • Tzecoatl Claude Simon 3 juillet 2014 11:23

                                      Les infrastructures sociétales sont plus chers lorsqu’elles sont privées que publics.

                                      Donc privatiser ces infrastructures va à l’encontre des citoyens, n’en déplaise à Spartacus.



                                      • 1871-paris 1871-paris 3 juillet 2014 11:42

                                        c’est un déni pour lui, les chiffres au USA le démontre au minimum un gestion privé qui l’etait publique au préalable subit une augmentation de % et parfois c’est plus de 100% !!!
                                        Forcement vous prenez des ploutocrates de wall street, vous leur accordez le fait que l’état ce dégage de toutes régulation et gestion du service, vous repassez 1 ans plus tard et vous voyez le spectacle de ces vautours cherchant a augmenter le seul critère qui le importe LA RENTE LUCRATIVE !!! le reste au mieux ils feront mine de si interesser, au pire ils l’éluderont ! ca seul un idot ou un malhonnête peut le nier.


                                      • 1871-paris 1871-paris 3 juillet 2014 11:45

                                        >correc du mess du dessus<

                                        C’est un déni pour lui, les chiffres aux USA le démontre au minimum une gestion privé qui l’était publique au préalable subit une augmentation de15 % et parfois c’est plus de 100% !!!
                                        Forcement vous prenez des ploutocrates de wall street, vous leur accordez le fait que l’état se dégage de toutes régulations et gestion du service, vous repassez 1 an plus tard et vous voyez le spectacle de ces vautours cherchant à augmenter le seul critère qui leur importe LA RENTE LUCRATIVE !!! Le reste au mieux ils feront mine de si intéresser, au pire ils l’éluderont ! ca seul un idiot ou un malhonnête peut le nier.


                                      • mmbbb 3 juillet 2014 12:24

                                        Par Claude Simon il faudrait des chiffres pour le prouver Chez nous depuis la loi de decentralisation beaucoup de communes ont fait des depenses somptuaires et leurs finances sont dans le rouge Beaucoup d’entre elles seraient declarees en cessation de paiement si elles n’avaient pas l’etat derriere Tout n’est pas aussi tranchee Je connaais une contribuable qui vit dans le var et a une residence secondaire heritee de ses parents en coreze Elle paie en correze des impots locaux eleves en partie a cause des sureffectifs de la commune


                                      • Nanar M Nanar M 3 juillet 2014 12:27

                                        Eh bin mon gland, quel charabia !

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