L’écologie comme moyen d’asservissement

Ca fait un petit bout de temps que la question me taraude… tant de bruit autour de l’écologie, la croissance verte, le développement durable… et même le « green business ». C’est à croire que les politiques et les industriels ont enfin compris l’urgence de sauver notre planète. De formidables défis à relever, des investissements et de la recherche, cela a de quoi motiver les consommateurs !
et aussi les industriels, toujours prompts à se mouvoir dès qu’il s’agit des affaires : vendre un même produit emballé dans du carton à la place du plastique est désormais plus rentable… et en même temps plus écologique !
De grandes campagnes de publicité accompagnent le lancement des nouveaux modèles « écolos », et le terme « bio » est dans toutes les bouches. EDF nous vend son expertise pour leur acheter moins d’électricité, Total finance quelques plantations ou quelques associations de sauvegarde de l’environnement pour embellir son image, et les marques surfent allègrement sur la vague verte en sponsorisant des films ou en fabriquant des sacs en papier recyclé.
Bien entendu, les politiques ne sont pas en reste, et mettent à contribution la société pour « faire changer les comportements ». incitation au tri sélectif, « bonus/malus », Grenelle de l’environnement et conférences sur le climat, instauration prochaine du « pollueur-payeur ».
Tout cela semble en effet aller dans le bon sens, mais mon esprit retors me pousse toujours à voir le mal partout, et à me demander enfin : mais quel est le sens de tout ça ?
Pas de voiture, pas d’emballages, pas de conservateurs, pas de produits chimiques… se laver en coupant l’eau, se chauffer au bois, cultiver son potager, s’éclairer à la bougie ; s’isoler de chanvre et construire en bois, se déplacer à cheval… N’est-ce pas là une conception étonnante du progrès ?
Que ce soit clair entre nous, je ne vois pour ma part dans l’énumération précédente aucun inconvénient insurmontable, mais je doute seulement de la volonté d’adhésion à une telle vision de la part des puissants de cette planète. Puissants qui, par leurs activités et leur influence sont ceux-là mêmes qui polluent le plus, et qui y gagnent des milliards.
Comme le faisait justement remarquer un spécialiste (de quoi au juste je ne m’en souviens plus) sur France-info (ou peut-être une autre radio ?), les principes de « pollueur-payeur » ou de taxe sur les produits polluants ne sont pas si positifs qu’il y paraît. Car ceux qui polluent le plus se trouvant être ceux-là mêmes qui sont les plus riches, ils monnaieront leur droit à polluer, ou finiront par faire retomber la note sur les classes sociales défavorisées, qui elles n’auront les moyens ni de se payer du « bio », ni de payer les taxes sur les produits polluants qu’ils achètent.
Et ce qui m’intrigue par dessus tout, c’est la faculté qu’ont nos gouvernants à se faire les relais d’une sorte de « déconsommation », sur le plan individuel et dans un soucis de préservation de la planète. C’est comme si peu à peu on voulait nous habituer à l’annonce de lendemains sombres où nous serons contraints de réapprendre à vivre chichement. Avec les épidémies qu’on nous fait craindre, la crise économique qu’on nous annonce longue et le réarmement qui s’amplifie, tout laisse à penser que si ce n’est pas par choix que nous nous éclairerons à la bougie demain, il faudra s’y habituer de force.
Comme aussi ces tristes et maladifs mannequins décharnés qui rappellent certaines horreurs du passé, il se pourrait que nos enfants ne grandissent qu’avec ce genre de modèles, auxquels peu à peu nous finissons nous-mêmes par nous habituer.
Ainsi, et par l’entremise d’une idéologie positive de retour au « naturel », il est sans doute plus logique que nos gouvernants préfèrent toujours leur pouvoir et leur argent à notre bien, et ce en dépit de notre volonté, bien plus facilement malléable que le climat.
36 réactions à cet article
-
Quel titre faux cul ! Comme si l’écologie avait vocation à asservir les peuples !
Comme si le capitalisme avait attendu la « croissance verte » - encore une espèce d’oxymore- pour chercher à capter les plus grands profits par tous les moyens !
Comme si la haute finance avait besoin de prétextes écologiques pour diffuser un discours destiné à maintenir cet état de fait !
Comme si les adeptes dociles de la société de consommation n’étaient pas le meilleur soutien du système productiviste qui les aliène !
Comme si l’on pouvait encore croire envers et contre tout que ce système destructeur était durable ou soutenable ?
Les gouvernants ne font que prendre le train en marche d’un mouvement nécessaire qui a vocation à transformer notre mode de vie afin qu’un avenir soit possible pour les générations futures.
On observe surtout qu’ils le font à contrecoeur et sans réelle volonté que celle de maintenir le plus longtemps l’ordre établi qui préserve les intérêts des puissances financières (relance de l’automobile, du nucléaire, de l’armement : tout un programme de rupture verte, n’est-ce-pas ?)
Ceux qui ont peur du changement, les conservateurs de tout poil, resteront toujours leurs meilleurs alliés, défenseurs de leurs maîtres. Quitte à caricaturer le débat, sans chercher à en comprendre les véritables enjeux...-
Entièrement d’accord avec Walden.
L’auteur fait partie de ces confusionnistes qui confondent tout : les effets, les causes, les responsables, les victimes...
Encore un de ces défenseurs de la nouvelle bien-pensance pour qui l’écologie est ringarde, et, pire, asservissante : marre de ces ringards qui ne trouvent que des pseudo causes pour essayer de se distinguer..
Article naze ; à jeter...
-
@ Léon
merci pour votre défense !
pour tout dire j’ai omis le point d’interrogation sur le titre, alors qu’il y était à l’origine. je crois que vous avez bien résumé ma pensée.
juste un point à préciser, c’est qu’il ne faut pas s’illusionner sur les volontés politique et commerciale affichées : l’écologie ne les intéresse que si elle est rentable. mais à terme, je doute qu’elle soit compatible avec le capitalisme, et on en revient toujours au même problème...
-
Si Loco Sysipho dit que c’est à jeter, c’est que ça mérite un coup d’oeil. Réglé comme du papier à musique. Et je m’amuse de voir qu’il est toujours aussi désagréable avec tout le monde.
C’est curieux, parce que si le titre résonne avec mes préoccupations, je ne suis pas du tout d’accord avec le développement du corps de l’article, du classique dans l’orthodoxie gauchiste.
Ah Léon (la suite est hors sujet), vous devriez vous intéresser aux structures de la parenté.
-
@ Walden
honnêtement, je veux bien croire que nos dirigeants se font du soucis pour les générations futures (encore que l’on pourrait opposer l’ensemble des monstruosités de l’Histoire engendrées par les dirigeants de tout temps pour contredire cette volonté). mais quand bien même ce soucis serait réel, comment croire que les intérêts financiers ne l’emporteront pas, une fois de plus, sur l’intérêt commun ?
et comment faire coincider cette volonté affichée avec par exemple les délocalisations, qui mettent en péril les emplois des générations futures françaises pour utiliser une main d’oeuvre moins chère, et où le droit du travail est « plus souple » (c’est à dire de moins bonnes conditions de travail), et où les contraintes environnementales sont moins strictes ?
et tout cela pour vendre des tee-shirts ou autres produits à bas coût pour ces Français qui n’ont plus de travail !
c’est comme l’histoire des nettoyeurs de coton dans le nord de la France : tant que l’Etat subventionnait l’épuration des déchets d’une entreprise, ils restaient en France ; une fois ce privilège terminé, ils se sont délocalisés ailleurs en Europe, où les règles étaient plus souples... mais moins qu’en chine ou en Inde : et ainsi de repartir s’installer plus loin.
voilà. pendant que les riches peuvent polluer plus loin, les pauvres paieront la facture.
-
Juste. Dans un de ses livres, où il décrit les systèmes de parenté dans le monde, il semble pencher pour un foyer unique de diffusion du modèle aujourd’hui majoritaire, l’exogamie ( avec quelques autres caractéristiques). Les autres systèmes, et en particulier l’endogamie, seraient comme, hum, des fossiles. Enfin, le mot est de moi.
Quoi qu’il en soit, modernité et exogamie me paraissent liés. Difficile d’imaginer un individu autonome et majeur dans un système endogame, non ?
C’est une idée purement personnelle, je n’ai la référence d’aucun gourou de la secte à vous offrir. Et il est parfaitement possible que ce soit idiot.
-
J’ai terminé la lecture de « l’écologiste sceptique » de Bloomborg. La planète va bien, même très bien, merci pour elle.
-
Gasp ... Lomborg, Bjorn de son petit nom. On n’a pas idée de porter des noms pareils....
-
C’est trop facile de jeter au hasard et aux quatre vents les accusations d’aveuglement idéologique blabla. Nierez vous que l’écologie, nouvelle tendance, offre un immense avantage aux délires étatiques car elle permet sans la moindre justification économique des injonctions arbitraires d’argent public , sans parler de s’immiscer dans votre vie privée sans véritables motifs ?
-
Là, j’ai du mal à suivre. Le virus de la varicelle est réel, lui, ce qui fait une « petite » différence.
Parce qu’il est plus avantageux de se marier entre frères et soeurs ? Expliquez moi ça. -
« une » idée claire, Léon, non. Mais des idées claires, il y en a tout de même quelques-unes comme : donner les moyens juridiques aux collectivités publiques de maîtriser le foncier pour cesser la péri-urbanisation anti-écologique et ruineuse ; investir contre la déperdition de calories dans les logements ; taxer le nomadisme de la production (genre pot de yaourt qui coûte aussi cher en pétrole qu’en lait).
Je pense que la méfiance n’est pas infondée, à condition que ce ne soit pas un prétexte pour ne rien faire. Votez écolo ne résoud peut être pas tous les problèmes, mais c’est bien mieux que rien !
-
Céline, je reste très dubitatif sur les moyens juridiques que vous évoquez, n’y a-t-il pas contradiction entre politique raisonnée et politique autoritaire.
Le fait de pouvoir juridiquement limiter la péri-urbanisation va à l’encontre des droits fondamentaux en plus de n’avoir aucune assise écologique démontrée, c’est ce genre de discours qui est inscrit dans le titre de l’article.
Ecologie n’est pas autoritarisme, c’est pourquoi ce ne peut être que politique ouverte au débat citoyen hors tout appareil dogmatique.
La confusion générale qui règne, entretenue sciement par les partis institutionnels, est que l’écologie irait à l’encontre du bien être humain pour l’intérêt de la nature, ce qui est radicalement abusif et inexact.
La limitation de la peri-urbanisation en est un exemple frappant, sous couvert d’une certaine vision de l’écologie la doxa veut que les humains se regroupent pour consommer moins alors que le but est d’uniformiser la consommation. Rien d’écologique, là dedans, on oppose limitation et uniformisation à raison et qualité, la démarche est celle du commerce non de la politique « verte ».
En cela, l’auteur n’a pas tord, pour les financiers et les industriels ainsi que pour les politiques libéraux, de mener ce genre de falsification ne trahit pas leurs idéaux mais les conforte.
Il est frauduleux de vouloir utiliser des moyens juridiques pour faire comprendre qu’économiser les ressources c’est économiser de l’argent comme il est frauduleux de faire payer le tri selectif alors que celui-ci devrait amèner des ressources supplémentaires aux collectivités.
Tant que l’écologie sera une annexe lucrative des politiques économiques et sociales, non seulement elle coutera aux citoyens mais sera comprise comme une restriction des droits et des libertés en complément de remplir les comptes industriels et financiers. -
Oui, c’est vrai, j’oubliais que votre savoir sur le libéralisme provient de Michéa. Je crois avoir lu quelque chose sur une économie du mariage, ou plutôt une praxéologie du mariage. En soi, je ne vois pas le problème qu’il y a à étudier un phénomène social muni d’une trousse à outils ou d’une autre. Quand Levi-Strauss cartographie la parenté au moyen des outils de la linguistique, ça ne pose pas de problème, mais l’économie du mariage outragerait-elle votre vieux fond réactionnaire...
Quel phénomène ? La gamme des légendes écologiques est vaste, et variable dans le temps. Dans les années 70 la légende était que la planète se dirigeait droit vers un nouvel âge glaciaire, de la faute de l’homme bien sûr (et encore plus du capitalisme comme de juste). Et de fait 70 clot 4 décennies de refroidissement. Après seulement 3 décennies de réchauffement (qui marque la pas ces dernières années) vous croyez au réchauffement. C’est bien, vous êtes à la mode de la pensée unique.
Pour la faiblesse des arguments réchauffistes, vous pouvez visiter ce site, pensée-unique. Mais il y a mieux : Lomborg dans son livre prend le parti de dire : ok, le réchauffement est d’origine anthropique. Et d’appliquer un raisonnement économique pour définir la meilleure stratégie. Et aussi de comparer avec d’autres actions comme la question de l’eau et de l’assainissement. La conclusion est sans appel : nous avons mieux à faire, et à moindre coût. Il reste quand même quelques actions peu onéreuses à engager, au cas où.
Une écologie intelligente, qui ne serait pas de l’écologie politique, consiste quand même à regarder les choses en face. Savez vous que presque partout dans le monde tous sont persuadé que le milieu est plus abimé chez le voisin que chez eux ! Il y a comme un problème, non ?
Une anecdote pour finir. Le spécialiste mondial des ours polaires s’est vu censuré un texte qui affirme que le nombre d’ours polaire est en augmentation. Exclu de la liste des X scientifiques qui blabla.... -
« Aux Pays Bas ou en Suède, quand un terrain est classé en zone constructible, le propriétaire reçoit une lettre des services fonciers de la ville l’invitant à passer prendre son chèque en règlement du prix du terrain. Dans ces pays, c’est la collectivité qui achète les terrains ouverts à l’urbanisation, qui les aménage, crée les équipements, puis revend à des prix différenciés selon l’usage. En France, quand le plan local d’urbanisme (PLU) classe son terrain en zone constructible, le propriétaire ouvre une bouteille de champagne ! Son patrimoine est multiplié par 10, 20, 30 et ne l’oblige à rien. »
Cet excellent résumé de la situation est livré par un chercheur du CNRS, Vincent Renard, p30-31 du petit ouvrage intitulé « la ville autrement » d’Alternatives Economiques, actuellement disponible dans les kiosques et que je vous recommande.
L’insuffisance des moyens juridiques des collectivités locales pour maîtriser le foncier est, de l’avis de la plupart des urbanistes, le principal frein à la lutte contre la péri-urbanisation qui est la cause n°1 de la déperdition d’énergie dans notre pays.
C’est un problème majeur de développement durable. Et, excusez-moi, mais la première condition consiste à botter le train aux spéculateurs fonciers.
-
Walden, je serais moins catégorique, j’ai des grans doutes sur le fait de la récupération par des « groupes » du symbole ecolo, on ne parle que de cela et on va admettre une taxe pour « sauver le climat » meme si cela ne sert à rien.
A qui ira la taxe, pour quoi faire ????
à mon avis il y a encore (de plus) une manipulation la dessus
surtout que pendant ce temps on ne nous donne pas les bonnes solutions....-
@ robert
pour les manipulations il n’y a qu’à regarder comment s’est faite la sortie du film « Home », deux ou trois jours avant les élections, et dont la promotion a été généreusement assurée par le gouvernement avec monsieur Borloo, qui a envoyé des courriers au grandes villes afin qu’elles passent gratuitement le film... financé par PPR.
-
Comme il est justement dit plus haut, vous faites, comme l’auteur, et comme le veut une certaine tendance actuelle assez spontanément réac, dans le confusionnime : il est clair que des groupes industriels surfent sur le fait que le discours environnementaliste devienne enfin audible pour vendre leur camelote avec un label « Vert » plus ou moins usurpé, ce qu’on peut à bon droit effectivement appeler de la récupération.
Il n’en demeure pas moins que les questions soulevées par le mouvement écologiste apparaissent désormais incontournables (comme justement, celle du changement climatique), et que les réponses qu’il propose méritent d’être examinées attentivement par l’ensemble des citoyens qui se veulent responsables, plutôt que d’être rejetées en bloc sous prétexte de « manipulation », à l’instar de ceux que semble effrayer le moindre risque de changement dans ses habitudes de vie, voire de pensée.
------------------------------
@ l’auteur : vous m’avez mal compris, je ne dis pas que les gouvernants se soucient véritablement des générations futures, mais qu’ils prennent verbalement acte des préoccupations d’une part croissante de la population tout en se contentant de faire semblant de traiter les problèmes (cf. cette tartufferie du Grenelle de l’Environnement, usine à gazéïfier les propositions et à enfumer les électeurs).
Cela pour protéger autant que possible les intérêts bien compris de l’oligarchie des puissances financières que sont les actionnaires et patrons des entreprises multinationales, qui profitent du maintien de ce système productiviste prédateur et destructeur - sur les plans non seulement environnemental, mais aussi social, comme on le voit de plus en plus clairement. -
Walden, vous prenez le problème à l’envers comme le font la plupart des politiques.
Ne seriez vous pas le premier effrayé à vouloir changer d’habitudes ?
Le problème ne se pose pas de cette manière, responsabiliser est une chose, donner les moyens les lus pointus en est une autre.
La réponse des politiques, aujourd’hui et quasiment dans leur ensemble est de taxer, de limiter, de priver, pédagogie convenez en parfaitement rédibitoire, on peut être conscient du réchauffement mais dans l’impossibilité d’aller travailler à pied ou en vélo, la réponse de Céline plus haut serait de regrouper les gens, celle du GVT de taxer les carburants fossiles.
Les deux réponses sont biaisées parceque l’offre technique existe certainement mais reste en carton ou à des prix prohibitifs ( exemple ), idem pour l’habitat passif qui va à l’encontre total du regroupement et limite tous les inconvénients des populations concentrées.
Encore une fois dans une bonne gouvernance on propose des solutions viables et multiples avant de créer les peurs, responsabilisation et raison viennent ensuite. -
@ walden : l’écologie est une belle chose mais essentiellement sur le papier. Dans le vrai (comme dirait volontiers ma petite fille) ça marche beaucoup moins bien.
Et tout le prouve en France.
Un seul exemple pour ne pas fatiguer le lecteur ?
On nous bassine l’intellect avec les énergies renouvelables mais on oublie que le principal gisement énergétique est ...l’isolation des habitations que ce soit la maison individuelle ou le logement collectif. Et là le fisc (le seul ministère qui gouverne vraiment la France) agit sournoisement pour que peu (sauf les riches) puisse faire exécuter des travaux d’économie d’énergie. Il (le fisc) met des conditions complexes pour éviter de faire des crédits d’impôts à ceux qui se lancent (sans avoir bien lu les lois)
On met l’accent sur les éoliennes (dont le rendement énergétique est très faible) les panneaux solaires (fragiles dans un pays où la grèle est dévastatrice et au moins annuelle) et on laisse les communes modifier leur PLU pour interdire les maisons bois pour préserver le caractère du village (déjà peuplé d’une serie de maison Phoenix, de maisons de maçons etc)
Pauvre français
Pauvre écologie
Pov’ .... mais je ne me souviens plus de la phrase du salon de l’agriculture en 2008..... !-
Pour ne pas trop fatiguer non plus le lecteur, je rappelle juste en passant que l’administration fiscale n’agit pas « sournoisement » mais se contente en principe d’appliquer la loi. Laquelle est votée par les deux assemblées. Si la loi vous apparaît inéquitable, la responsabilité directe en incombe au législateur, donc à la majorité des députés qui la votent en l’état. Enfin si vous n’êtes pas satisfait d’une décision administrative concernant votre imposition, des recours sont toujours possibles.
Mais extrapoler à partir de l’exemple de votre déconvenue personnelle des conclusions d’ordre général concernant la pertinence de l’écologie n’a pas de sens...
Au demeurant, vous avez tout à fait raison de souligner l’importance cruciale de l’isolation du bâti - mais pas seulement pour les logements individuels. Or cela coûterait beaucoup à l’Etat de faire isoler les bâtiments publics, et aux enteprises leurs locaux. C’est sans doute pourquoi on envisage pour l’instant que de faire payer les particuliers, considérant sans doute que les contribuables ont seuls vocation à contribuer
Et quel marché juteux pour les magnats du BTP, par ailleurs amis précieux et soutiens du pouvoir en place... ce qui explique que ce soit quasiment la seule mesure concrète qui subsiste, avec peut-être le retour annoncé de la taxe carbone. On ne va par ailleurs pas inquiéter ces autres amis que sont les lobbies de l’automobile, de la pétrochimie, du nucléaire et de l’armement. Tous ceux-là possédant, avec les premiers, la plupart des médias de masse qui peuvent orienter l’opinion...
Et puis tout ça, ça fait des emplois, n’est-ce pas ? Comme si on ne pouvait envisager de politique ambitieuse de reconversion industrielle, mais seulement se contenter de jeter de la poudre aux yeux... -
BONJOUR
ON EST BIEN D’ACCORD :
L’ECOLOGIE EST CONTRE LE PROGRES, ET L’HOMME PAR CONSEQUENT
ELIMINONS LES HOMMES ET LA PLANETE SERA PROPRE
ALLEZ SUR LE BLOG : www.penseeunique.fr
UN DES THEMES DEVELOPPES EST LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE
VOUS COMPRENDREZ QUE L’ECOLOGIE EST REELLEMENT UN MOYEN D’ASSERVISSEMENT
BONNE LECTURE-
A mon avis, on devrait déjà voir les blogs comme moyen d’asservissement. Après on passera aux majuscules dans le texte...
-
A moins d’être sourd et aveugle, j’ose espérer que tout le monde a compris que l’écologie n’est pas un choix de société mais une nécessité absolue de survie. Maintenant que des politiciens se la récupèrent pour en tirer profit, rien de bien nouveau sous les tropiques. Il ne faut pas confondre idée et manipulateur.
-
Vous avez raison et tors a la fois :
Je vais prendre un exemple que j’ai developpe lors de la reception d’un cadeau de noel (rien a voir mais bon)
Il s’agissait d’une echarpe en materiaux de syntese bien chimiques pour une marque de fabricant de tente .
Fabrique en Chine, pour une soc indienne, conditionne au mexique, entrepose au maroc, et finalement dispache en europe par une soc slovaque.
Rien que le periple m’interpelle, sans compter les produits et colorants qui ont contribue a la gestation de ce globe-trotter, ni des petites mains soucieuses de bien vivre qui l’ont confectionnee certainement dans l’euphorie et la joie de lieus de travail aere et organise.
Bref ce produit a haute teneur sociales et ecologiques, vendu 15 euro portait une mention :
Qui comme votre post m’a fait mais HURLER de rire :
PROTEGEZ LA PLANETE NE JETEZ PAS LES EMBALAGES RECYCLEZ LES..
Euh je suis devenu ecolo ce jour la, j’ai rien pige. -
Cher ykpaiha,
Dans votre réponse je ne vois pas trop le rapport avec mon commentaire. En revanche, que mon post vous ai fait hurler de rire me ravi car cela prouve que dans votre cas il a des vertus thérapeutique.
-
Gabriel,
L’écologie est un choix de société, comme la paix ou la salubrité. La nécessité ne vient que devant l’adversité, encore plus si absolue.
Pour éviter d’en faire une nécessité absolue, il convient qu’elle soit attrayante, et malheureusement les médias et les politiciens l’ont abordée de telle manière qu’on est pas prêt à voir l’humanité y réfléchir avec raison. -
L’écologie et le developpement durable ne sont perçu par les politique (Grenelle...) et les entreprises que comme des concept de marketing surfant sur une conscience vague et brumeuse des conso-citoyens. Bref ils sont considérés comme des arguments de vente de plus dans la société de surconsommation actuelle. Tant qu’on aura pas compris que l’écologie doit remettre en cause ce modèle et pas seulement être digéré par lui il nous sera difficile de préparer l’avenir.
A ONEWAYTHINKING :
le réchauffement climatique n’est pas la cause de nos problème à venir, mais une simple conséquence parmis d’autres : société de surconsommation basée sur les énergies fossiles (petrole, gaz, charbon) qui s’épuisent rapidement et surement. Donc lente agonie de ce modèle de société, donc commerce en panne, crise mondiale, chômage, famine, émigration massive...). Et, comme une cerise sur le gateau, non seulement notre modèle de société s’écroulera avec la fin de ces énergies « bons marchés », mais en plus la combustion de celles-ci provoque le réchauffement qui aggrave(ra) le tout : perte de terre arables, montée des mers... donc famines, emmigrations massives ,etc....
Apres libre à vous de considérer l’écologie comme une pensée unique...pour ma part je crois que la véritable pensée unique reste toujours la société de consommation et le modèle libéral...à peine ecorné par la petite crisounette banquaire actuelle qui n’est qu’un avant gout de ce qui peut nous attendre si on se bouge pas plus le derche...
Ecologiquement votre.-
C’est toujours pareil, pour qu’un mouvement soit crédible il doit être minoritaire. Après 40 ans à batailler pour que les politiques et les industriels acceptent de prononcer le mot « écologie » on s’entend dire par une bande de petits malins « tiens tiens, pourquoi ils nous parlent d’écologie d’un coup d’un seul ? C’est surement de la grosse connerie ! »
La vérité c’est que les gens se rendent compte que l’écologie n’est plus un choix et ils veulent faire quelque chose, de là les politiciens et les industriels les moins cons essaient de tirer leur épingle du jeu. Si ça ne tenait qu’à eux les écologistes seraient encore considérés comme de doux dingues, mais ils n’ont plus le choix, donc ils font avec.
Après c’est vrai que les consommateurs sont encore pas mal maintenus dans le flou. On n’est même plus sur de ce qui est écolo ou pas, cf les voitures hybrides ou les panneaux solaires qui ont un bilan carbone vraiment pas terrible.
Mais ça s’arrange petit à petit, et il y a déjà des valeurs sures, les ampoules très basse conso, l’isolation quand on peut se l’offrir comme dit précédemment... On est sur la bonne voie mais c’est pas facile. Ca ne veut pas dire que l’écologie est un outil d’asservissement.
-
Heuh...les ampoules très basse conso « valeur sure » ?
ouais, sauf qu’ on ne nous dit pas qu’elles sont bourrées de mercure et qu’il vaut mieux ne pas les briser !!!
un tout petit exemple pour démontrer à un tout petit niveau qu’il ne faut pas tout gober sans nuances, et c’est pourquoi je ne rejetterai pas en bloc l’article principal de ce débat...
Avoir des doutes c’est avoir encore son esprit critique...et pourvu qu’on ne nous enlève pas ça !
Amicalement -
Sans compter que bien souvent, les industriels/marketeux n’y connaissent rien, ils se contentent de surfer sur la vague en croyant que le solaire est une énergie plus propre que le nucléaire, et que le dioxyde de carbone est le seul résidu polluant rejeté par les voitures.
-
J’ai l’impression que ce mouvement de sauvetage de la planète devient une source de fabuleux profits pour une poignée de petits malins...
L’auteur vous dites ce que je pense également depuis bien longtemps : une fois les taxes payées on peut donc continuer à polluer... l’honneur est sauf en quelque sorte... !
Je crois qu’il n’y a pas de solutions et tout ce qu’on nous fait croire c’est se donner l’illusion d’agir, de contrôler la situation... si ça génère des profits, c’est encore mieux... !
Voici ce que j’avais posté sur un autre site il y a quelques temps..."Moi je trouve que l’écologie est la bienvenue pour ce gouvernement qui voit sa côte de popularité en berne, ses caisses vidées et les multiples déconvenues de ses décisions suivies de revirements...Quand on fait quelques recherches sur les raisons du réchauffement climatique, on tombe sur des thèses bien différentes que celles dont on nous rebat les oreilles à longueur de temps, à savoir le CO2 produit le réchauffement, si on prend le temps de s’informer sur celles avancées par des scientifiques qui évoquent les variations climatiques de la planète au fil des âges, donc causes naturelles et inéluctables.Pour quelles raisons devrions-nous, nous, nano microbes dans l’infini sidéral, échapper au cours des planètes... ? Est-ce que les écologistes se pensent capables d’inverser le cours du système solaire, dominer l’infiniment grand... ? Quelle prétention... mais surtout quelle naïveté, quelle arrogance de vouloir nous le faire croire... !!!Une des thèses avancées par certains scientifiques est que le réchaufferment est dû aux turbulences constatées à la surface du soleil depuis quelques années, provoquant ainsi le réchauffement de la terre et donc l’augmentation de CO2... L’activité humaine y participe pour une quantité assez faible au regard de la masse générée par les océans par ex ou les plantes.
Sur Mars (je crois) le même phénomène d’augmentation de CO2 a été observé... or les petits hommes verts (tiens eux aussi) ne fabriquent pas de couche en papier et encore moins les jettent...Je trouve qu’on mélange un peu les choses. D’une part la diminution de gaz à effet de serre dont l’activité humaine serait responsable et d’autre part la préservation de l’environnement... Or, je trouve que ce sont 2 choses différentes. D’un côté on regarde vers le haut, le ciel, où à mon avis on ne peut pas faire grand chose, si la théorie des chambardements solaires s’avère, et de l’autre on se préoccupe de préserver la terre, l’environnement , ce à quoi je souscris, et là je ne vois pas grand chose qui se fait réellement sinon en termes de « taxes pour les pollueurs » mais à part payer des taxes, si j’ai bien compris, ils peuvent continuer à polluer en toute quiétude... c’est bien ça, non... ?
Alors, je me pose la question : l’argent des taxes amassé à quoi le destine-t-on... ? à dépolluer ce que les autres continuent à polluer puisqu’ils se sont acquittés de leurs amendes... ? ou à encourager à ne plus polluer.... ? Enfin, c’est une énigme pour moi, mais je crois que c’en est une aussi pour ceux qui nous gouvernent... !«
Au final on s’agite dans tous les sens mais je n’ai encore lu nulle part que la situation est stoppée, ou ralentie ou même s’améliore puisque la propagande alarmiste continue de faire recette...Home, le film, n’est pas fait pour rassurer mais pour enfoncer le clou comme si le message n’est pas assez alarmiste comme ça.... mais ne fait que présenter des faits et ne donne pas de solutions... »Débrouillez-vous avec ça et .... pleurez , misérables pécheurs... !!! "
En attendant on ne peut que constater que certains savent tirer le meilleur de cette culpabilisation générale....-
nous sommes nous tous plus ou moins des pollueurs-payeur,à titre d’exemple un vehicule ancien
vas polluer plus ,qu’un nouveau modele car un nouveau modele malgré les primes à la casse et les bradages des constructeurs reste un produit de luxe,vendre d’un autre côté un produit bon marché nous met en situation de crise,dire que c’est les plus riches qui pollues le plus et totalemant faux,part contre dire qu’ils y contribuent ne serai pas inscencé , une pauvreté planifier polluera plus qu’une richesse bien géré.-
Bonjour,
Sans partagé totalement l’esprit de l’article l’écologie = instrument de domination, je reste quand même très inquiet de la tournure que cela prend : l’écologie justifie tout (les gens n’achètent plus de voiture car elles sont trop polluantes) et permet à certains de se refaire une petite virginité (et là je partage totalement les commentaires sur les effets marketing du label vert)...Un projet de d’électricité « solaire » à 4 milliard d’euros est envisagée en Algérie (occupation du Sahara) : le seul problème, c’est pour alimenter l’Europe et non l’Afrique... On aura une belle electricité toute verte, la conscience tranquille mais pas le codéveloppement nécessaire. Cela rappel les achats de terres que font les grands groupes pour produire leur nourriture à eux.. 5voir le cas de Madagascar et de la Corée)
Autre exemple : Le Pérou a les plus grandes réserves de lithium (nécessité absolue pour les piles), j’ai bien peur que pour notre confort, les péruviens soient priés de produire pour nous et pas dans des conditions super écologiques et démocratiques.
Enfin, une céréale, le Kinoa devient à la mode... On la trouve dans le commerce équitable , produite de façon biologique, produite uniquement en Bolivie : problème, la demande a fait explosé les prix, cette nourriture de base des couches populaires habitants les Andes leur revient trop chère... résultat : ils consomme des pâtes industrielles.
Donc on consomme bien en Europe mais peu importe les conséquences sociales ailleurs... Si on ajoute à cela que les rendements diminuent car la demande ne laisse plus la possibilité de lauisser reposer les sols, l’écologie peut aussi avoir des conséquences graves.
L’écologie doit être un élement important d’un projet politique mais il ne peut en être le coeur à lui tout seul et surment pas dans une logique de profit : Il y a de solutions mais cela passe par la R&D, les services publics (eh oui, s’il n’y a pas des structures qui investissent sans volonté de profit, aucun projet industriel n’est possible !), des invessitements lourd et à long terme, une démarche citoyenne (et oui... on ne fera pas le bonheur des peuples contre eux)...
Pour dire le fond de ma pensée : je ne pense pas que c’est avec la contribution climant énergie ou la taxe carbone que l’on va changer les choses : c’est une TVA verte donc versée dans le budget (et donc aller aussi bien à l’armée qu’aux banques), qui touche un secteur captif (quand on vit à la campagne, on a besoin d’une voiture), qui ne sera que peu ressentie par les classes riches (je veux bien qu’on oriente les gens vers des logements verts sauf que l’on favorise la demande et non l’offre donc... vous connaissez la suite : ceux qui n’ont pas les moyens continureont à acheter loins des centres villes et à prendre leurs bagnoles). Pour prendre le cas de l’Hérault : département au bord de la mer qui connait et connaitra un afflux de population, la spéculation foncière continuera à exclure les gens vers l’extérieur des villes et à renchérir le coût de la construction (ça va faire rentrer de la taxe mais pas solutionner le problème). En plus, cela ne pousse en rien à la relocalisation des productions et les investissements de R&D.
Cette solution, préconisée par le grenelle de l’environnement comme par Europe Ecologie, est une fausse solution.
Bonne journée.
Matéo 34-
Actias..
OK avec vous.... je pense qu’il se cache derrière la récupération du mouvement écologique non pas l’idée d’asservir les gens car alors le dieu croissance aurait du souci à se faire... non, je pense que ça permet de « renouveler la consommation »....tout nouveau ,tout écolo... !!! C’est-y pas beau... !!!
Eh oui, on vous pointe du doigt parce que votre véhicule pollue... Si vous êtes, et on vous « force à devenir » un bon citoyen... - synonyme : un bon écologiste -, vous DEVEZ changer de voiture... d’ailleurs, voyez, on vous donne une prime à la casse et ô merveille, on a déjà l’objet tout prêt pour vous faire passer dans le clan des « bons » des « concernés », des « gens de bonne volonté »....
Pareil pour les énergies... vous DEVEZ vous convertir à l’égolo.gie... tout est à votre disposition, sur le marché, y a plus qu’à tendre la main au portefeuille pour passer dans le camp des convertis.... et vous pourrez à votre aise sourciller sur le mode de vie de votre voisin, ce mauvais citoyen, honte à lui, qui n’a pas encore viré de bord...
Une anecdote... J’ai ressorti mon vélo... mon vieux vélo - que de bons souvenirs - j’ai dû le retaper, les freins, les pneus, la selle... horreur... pas moyen de trouver les pièces détachées qui convenaient... ben oui... ça n’existe plus ce modèle, faut changer ceci et encore cela... au final, j’aurais mieux fait d’en acheter un tout neuf... et l’autre... à la casse... et on me bassine avec le gaspillage... ? - j’ai gardé mon vieux clou et tout rafistollé qu’il est, je me régale à faire mes courses avec cette vieille bécanne... !
Autre chose, dans le même ordre.... les routes.... bon sang... qu’elles sont dangereuses.. ! hier un bus m’a littérallement repoussée dans le caniveau... l’angoisse... ! les pistes cyclables alors... ? oh mais l’aménagement coûte très cher... ! ben quoi,... ? je croyais qu’avec les taxes « pollueurs payeurs » on aurait pu m’offir de quoi ne pas polluer... elles servent à quoi finalement ces taxes... ? elles servent à qui.. ? -
Les entreprises ont pris le train en marche, c’est vrai, mais l’écologie représente pour elles aussi une question de rentabilité économique. Si l’on prend les industries extractives, elles se sont rendues compte que l’exploitation non planifiée des sites miniers, la déforestation, la destruction de la biodiversité, et la pertubation des collectivités locales étaient finalement contre-productives ; les grèves répétées, l’immigration massive vers les lieux d’exploitation, les opérations minières artisanales, et même les questions de gouvernance comme en Guinée-Conakry, tout cela avait un impact sur la rentabilité de leurs opérations. Il ne s’agit donc pas uniquement pour ces entreprises de mesures de marketing, mais de survie face à la concurrence. Sans oublier qu’elles tiennent à leur réputation.
-
Bonjour ou bonsoir,
Les problèmes de respect de l’environnement, de la responsabilité que nous avons vis à vis de l’environnement qui nous à donné vie, étant donné l’impacte inévitable que nous représentons : 7 milliards d’individus, de tout cela vous ne retenez que des questions financières. Etes vous jaloux de la réussite de ceux qui possèdent de l’argent ? Est ce l’argent le problème, ou l’homme ? Réfléchissez bien.
Pour moi il est bien question de l’homme, de l’écosystème sans lequel il ne serait rien, et puis d’éthique et de respect de la biosphère.
Jaloux d’un voisin qui mène grand train, gaspille et consomme à tout va, use de son capital financier pour bruler à tout va les énergies ? Laissez le donc libre d’être lui, pourquoi l’envier ? Souciez vous plutôt du vaste monde qui vous entoure, qui vous porte et vous permet de vivre depuis votre naissance, cela serait plus judicieux.
Demandez vous aussi si toute évolution doit être exclusivement matérialiste. Pourquoi ne pas penser à évoluer différemment, philosophiquement et spirituellement par exemple ...Cela vous aiderait à comprendre que l’argent ne signifie rien, mais plutôt l’humain et sa lucidité.
Cessez tous autant que vous êtes de confondre culpabilité, moralisation avec éthique et respect.
Cordialement
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
FAIRE UN DON