La disparition de la Belgique : une bonne nouvelle
La Belgique : un état tampon
La Belgique n'est pas une nation, c'est un état créé par les puissances coalisées pour affaiblir la France, une barrière pour empêcher la France d'atteindre la rive gauche du Rhin et de posséder Anvers. Lors de la révolution en 1830 les belges francophiles voulaient le rattachement de le leur état à la France ou être au moins dirigés par un prince français, ce qui fut refusé par l'Angleterre et la France qui redoutait une nouvelle coalition contre elle, n'eut-il pas fallu mieux donner la Flandre au Pays-Bas, et la Wallonie à la France ?!. Peu à peu les élites dirigeantes d'un état francophone et francophile sont devenues francophobes ou defiantes vis à vis de la France, se sentant obligées de justifier via le pirennisme l'existence d'une Belgique soi-disant venue du fond des âges.
La Belgique le talon d'Achille de la France.
La Belgique et surtout la Wallonie qui était la 2ème région la plus riche d'Angleterre au 19ème siècle ont beaucoup manqué à la France, sur le plan économique, elle aurait permis à la France de faire jeu égal avec l'angleterre et l'Allemagne, mais c'est surtout d'un point de vue stratégique qu'elle etait un problème pour la France. Elle était la porte d'entrée à toutes les invasions qu'a connu la France en 1870, 1914 et 1940. La Belgique, un état trop faible pour stopper la machine de guerre allemande, un état qui hésite entre l'Alliance française ou allemande comme on l'a vu lors de la 2ème guerre mondiale où le roi belge avait massé une partie de son armée face à la France pour ensuite l'appeler à l'aide, une fois sa neutralité violée par l'Allemagne, et capituler quasiment sans combattre. Si la Belgique ou du moins la Wallonie avait été française, l'armée française sur les hauteurs couvrant les forts de liège aurait probablement dissuadé l'Allemagne d'attaquer en 1914 et 1940. Si la Wallonie avait été française la direction de l'attaque allemande en mai 1940 serait apparue plus tôt et aurait permis d'éviter le désastre. Oui, la Belgique a coûté des centaines de milliers de morts inutiles. La France, s'était rapprochée de la Belgique au sortir de la première guerre mondiale et savait ce qu'elle devait aux liegois qui stoppèrent un bonne partie de l'armée allemande donnant le le temps à l'armée française de se réorganiser. Mais elle aurait dû aller plus loin en créant une alliance totale fusionnant des armées française et belge placées au contact de la frontière allemande. Récemment un article a été publié par the Economist dans lequel le journaliste reconnaissait que la Belgique avait joué son rôle d'équilibre sur l'échiquier européen et qu'elle pouvait maintenant disparaître. Pour moi, elle a plutot déséquilibré l'Europe, mais là où il a raison, c'est qu'elle n'a plus de raison d'être.
La Belgique aujourd'hui.
Aujourd'hui, il ya 2 peuples en Belgique, le peuple flamand et le peuple wallon qui est en fait une partie du peuple français. Ils ne lisent pas les mêmes journaux, ne regardent pas la même télévision, ne parlent pas la même langue. Les flamands visent l'indépendance à moyen ou long terme. En attendant, ils utilisent les ressources de l'État belge pour favoriser le développement de leur région au détriment d'une Wallonie stigmatisée comme une région de fainéants d'assistés pour laquelle, ils ne veulent plus payer. En effet la Flandre verse 6 milliards d'euros à la Wallonie notamment pour la sécurité sociale, elle veut arrêter ces transferts vitaux pour la Wallonie, et ce sera probablement l'objet des négociations de la future 7ème réforme de l'État belge. Autant dire, qu'une fois la solidarité interrégionale arrêtée, c'en est fini de la Belgique. Le problème, c'est Bruxelles, les flamands prendront-ils leur indépendance sans " leur capitale" Bruxelles dont les habitants ne se sentent ni flamands ni wallons, mais seulement bruxellois ?!. Ou comptent obtenir une indépendance de fait et conserver une Belgique faisant office de marque internationale. Quand on entend les slogans <Belgique crève> des nationalistes flamands, on peut en douter.
Le retour de la Wallonie et de Bruxelles à la France.
Il s'agit de la meilleure solution pour la Wallonie et Bruxelles, l'option d'un état wallobrux n'étant pas possible faute de sentiment national et de dynamisme économique. Le rapprochement économique entre la France et la Wallonie et Bruxelles fait sens puisque le potentiel développement wallon réside dans la montée en puissance de l'axe Dunkerque, Lille, Charleroi, liège. Dunkerque pourrait devenir le port de la wallonie et permettre de capter les flux maritimes de la mer du nord et d'accueillir les bateaux géants qui ne pourront plus accéder aux ports de Rotterdam et d'Anvers, ports d'estuaires à faible tirant d'eau. La France aurait un nouveau très puissant pôle économique. Le retour de la Wallonie et de bruxelles à la France profitera aux deux parties. Elles apporteront 4 millions d'habitants en plus, un agrandissement territorial pacifique, une puissance scientifique avec des chercheurs et de tres bons pôles universitaires. Pensons par exemple à l'excellence de la recherche nucléaire avec le réacteur myrrha utilisant les déchets nucléaires. La Wallonie et Bruxelles ne sont pas des boulets avec des PIB de 93 et 70 milliard d'euros qui les placent au 8ème rang français. En échange, la France investira pour relancer l'économie wallonne et bruxelloise, prendra à sa charge la dette et les transferts sociaux.
Surtout la France traitera les wallons et bruxellois désormais citoyens français avec considération en respectant leur mode de fonctionnement local, à des années lumières de l'attitude hostile des flamands.
Ainsi s'achèvera enfin l'unité française.
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