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Accueil du site > Tribune Libre > La servitude du sentiment amoureux

La servitude du sentiment amoureux

 

       En cette fin d’année 2016 qui, en déferlements de haine et de violence, a atteint des records, je vous propose ces quelques lignes sur, ce qui reste à mes yeux, un des plus grands mystères de l’humanité. Qu’est ce qu’un sentiment ? Prenons le plus grand de tous, celui qui un jour ou l’autre nous a tous terrassé : « l’amour ». Ceci est un petit texte sans prétention et sans jugement d’aucune sorte. Il se veut indépendant, à chacun d’en tirer ses interrogations et ses réponses. C’est sans doute le sujet le plus compliqué sur lequel je me permets quelques lignes à vous soumettre. J’ai l’audace de ressentir à chaque instant son influence et la modestie de ne rien y comprendre et ne rien maîtriser. 

 Qu’est ce que l’amour ? Vaste débat, analyse et rendu philosophique indéfinissable. Poètes, peintres, écrivains, sculpteurs, cinéastes jusqu’au citoyen lambda, tous s’y sont essayés et s’y sont délicatement englués, égarés. Quelques uns s’en sont rapprochés de très près, Gandhi, Rimbaud, Shakespeare, Mère Theresa, etc.… Mais l’immense majorité des hommes et des femmes cherche encore, ne le comprenant pas, croyant le contrôler mais en vérité, le subissent. Quand l’incendie se déclare dans les têtes et les cœurs, c’est le fruit du hasard et de la nécessité qui ne sont que deux aspects d’une même réalité qui nous est inaccessible avec les connaissances limités du monde dans lequel l’intelligence humaine se débat aujourd’hui. Atteint par la flèche de Cupidon, il n’y a aucune règle, l’équilibre recherché devient un mystère car sa situation géographique suivant les cas étudiés est fonction de nos croyances et des vérités que l’on croit acquises. Soyons clair sur ce sujet, notre ignorance est d’une dimension encyclopédique.

 Dans la définition et la pratique, le champion toutes catégories reste Jésus et son amour christique. Celui des origines qu'il professa et non celui encore actuel, des pouvoirs cléricaux, récupéré, transformé et cloîtré dans une série de commandements tous plus ou moins discutables les uns comme les autres. Ces morales religieuses, qui jusqu’à ce jour prétendent façonner nos comportements sociétaux, sont basées sur, concernant les monothéismes, le décalogue. Le génie du Christianisme, c’est d’avoir dit que tout les êtres humains sont égaux en droit devant la vie quels que soient leurs origines, leurs couleurs, leurs sexes etc … La question ici n’est pas de savoir si le personnage a réellement existé mais adhérer à l’utopie et à son extraordinaire et inaccessible commandement : « Aimez vous les uns les autres … » J’utilise le qualificatif inaccessible car, dans la configuration actuelle du sentiment amoureux, aussi bien en occident qu’en orient, celui-ci est et reste purement exclusif rattaché à l’avoir alors que celui proposé par le « Messie » est inclusif rattaché aux êtres.

 Exclusif car, dés que l’humain est amoureux, il veut absolument posséder l’être qui est l’objet de sa passion. Il ne conçoit la liberté physique qu'en dehors des liens de l'union sacré du mariage, et encore. Tant il est vrai que dans ce sacrement vous faites, par une promesse de fidélité, un pari sur l’avenir que nul ne peut garantir et que souvent, la femme y jour sa vie alors que l’homme y tente sa chance. Il y a disparité naissante et révocation des libertés de l’individu, un servage volontaire que le temps et les habitudes aidants, sclérosera le sentiment le plus pur. La question qui nous est alors permis de poser est celle ci : " Depuis quand un individu devient-il la propriété exclusive d’une autre personne et, une telle attitude est-elle normale, raisonnable même si ce désir possessif accouche du sentiment le meilleur ? Etrange, que la plus puissante des forces serve de prétexte à l’enchainement de la personne désirée.

 D’après le Nazaréen, le véritable amour transcende et libère, il n’asservit pas, il ne possède pas, il n’emprisonne pas. C’est le sésame pour ouvrir toutes les portes et non pour s’enfermer derrière l’une d’elle. L’acier de cette clef ne devrait en aucun cas être forgé pour devenir les chaines de ceux qui s’unissent. Intellectuellement, facile à admettre mais physiquement, difficile à concevoir. Ceci s’explique peut être, qu’après des siècles de culture théosophique et sa horde d'ordonnances prescrites, l’esprit et le cœur des hommes ont été formatés avec les écritures des différents dogmes imposant de fait leurs lois terrestres afin d’assoir un pouvoir sous l’alibi de puissances divines qui ont, soi-disant, dictés les préceptes nécessaires au droit d’entrer dans leur paradis imaginaires. C’est confortable de justifier ses pratiques au nom d’un mythe, ont voit bien là l’irresponsabilité de certains qui n’hésitent pas parfois, au nom d'un amour divin, envoyer leurs frères à l’abattoir des champs de bataille. La vie d’un homme dans cette éventualité a moins de valeur que l’arme qui le tue. Que penser aussi de ces idiots qui lapident, au nom d’une sombre croyance, la femme coupable d’aventures en dehors de leurs conventions. Drôle de façon d’aimer !

 Que dire de tous ceux qui s’abritent derrière ce noble sentiment pour frapper leur femme, les réduire à un esclavage domestique ou décoratif pendant qu’eux papillonnent leurs fantasmes dans les bordels de banlieue où s’offrent un 5 à 7 avec leur secrétaire ? Je ne suis pas là pour faire la morale sur les envies sexuelles des uns et des autres, chacun est libre de sa gymnastique encore faut il que, le ou la pratiquante n’interdise pas cette liberté à son ou sa compagne. C’est dans ces cas là que l’on s’aperçoit que ce qui est pénible avec la morale c’est que c’est toujours celles des autres qu’on cherche à vous imposer. Ceci n’est pas non plus une critique de la fidélité à un seul partenaire ou, une incitation à ringardiser celle-ci mais, il faut bien voir les choses telles qu’elles sont. Je suis dans une analyse des faits et non dans un jugement de valeur des mœurs à définir ce qui est bien ou ce qui est mal, ce n’est pas de ma compétence. Les faits sont ceux-ci, durant sa vie un être peut aimer plusieurs personnes à la suite et même à la fois. Les familles recomposées ont tendances à devenir la norme et les hôtels sont pleins d’amants alors, quid du commandement : « Tu ne commettras pas d’adultère ». Quoi qu’il en soit, qu’on l’admette ou non, tous discours moralisateurs sur le sexe n’ont absolument aucun fondement dans la réalité. De plus, il n’est pas seulement question de l’acte sexuel avec un autre partenaire quoi que, celui-ci ait tendance à engendrer bien des drames conjugaux car étant défini par la morale publique comme tromperie en vers le possesseur ou propriétaire de l’autre. Qualifier de bien plus grave que la relation charnelle avec la tierce personne est l’amour qui lui est porté. Voyez comment le sentiment le plus noble peut être mis au banc de l’infamie par les biens pensant et les êtres possesseurs.

 Dans l’infini, les étoiles naissantes explosent en supernova, s’accouplent et s’engendrent les unes aux autres dans la grande soupe cosmique formant ainsi un immense ballet céleste géométrique, érotique et sacré. Dans la nature, chaque fleur à un rapport spécifique avec l’insecte qui va la féconder. Il y a toujours quelque part une certaine fleur qui ressemble exactement à certains insectes. Ce qui fait que l’insecte est attiré par cette fleur, c’est son double, son âme sœur. Et ce qui veut le plus que tous, c’est lui faire l’amour. Et puis ensuite, l’insecte s’envole et repère une autre fleur âme sœur et lui fait l’amour et ainsi il la féconde. Et ni la fleur ni l’insecte ne comprendrons un jour le sens de leur rapport sexuel. Et comment sauraient ils que leurs petites danses fait vivre le monde, pourtant c’est le cas. En faisant simplement ce pour quoi il on été conçu, ils produisent quelques chose de beau et de magnifique. En ce sens, ils nous montrent comment vivre et le seul baromètre que nous ayons est notre cœur et comment une fois qu’on a trouvé sa fleur rien ne doit plus nous arrêter. Est-ce là une preuve irrévocable de l’amour démesuré du créateur pour sa création ? Et puis, on ne peut faire fi de ce sentiment au travers de l'histoire humaine. Non admit, il a dévoré, enflammé et confiné à la folie des empereurs, des rois, des dirigeant qui pour la possession de leur passion ont envahis des royaumes et déclenché des guerres. A toute époque, celui de l’amant, du mari, de la maitresse ou de la femme qui, tous rongés de jalousie destructrice feront l'erreur fatale de supprimer une vie. Le fils est venu en sacrifice pour payer la dette des hommes mais cela n’empêche pas le père de rester créancier des intérêts de la dette et vu le comportement actuel de la gente humaine, ceux-ci sont infinis.

      Un couple de personnes âgées venait d’avoir un accident. Transporté d’urgence à l’hôpital, dans la même chambre, le vieil homme la tête immobilisée dans un corset ne pouvait pas tourner son regard sur la gauche pour apercevoir sa femme. Il l’entendait mais ne pouvait la voir et en avait les larmes aux yeux. Imaginez cela, cet homme qui vivait avec son épouse depuis plus de soixante années, s’étant vu tous les jours, pleurait car il ne pouvait pas croiser le regard de sa compagne en cet instant précis… Alors je m’interroge, de quoi est ce que je parle ici quand je parle d’amour ?

      Le but de cet écrit n’est pas de donner un avis mais de poser les énigmes suivantes : « Est-ce qu’un amour, dans sa forme la plus pure, la plus naturelle, peut être qualifié de coupable ? » Et si oui : « Au nom de quoi est-il condamnable ? ». Les vérités établies par des hommes deviennent souvent des lois citoyennes immuables nécessaires à la cohérence sociale des communautés. Ces lois établissent leurs fondements sur des vérités relatives qui s’appuient sur les conséquences suivant les effets et non sur les causes. Les causes sont des résultats et des vérités absolues. Il n’y a pas de vérités relatives éternelles mais que des vérités figées à un instant « T » suivant le temps et l’espace dans lesquels elles évoluent. Il en est de même pour cet étrange et incontrôlable sentiment amoureux. L’amour donne un avant goût d’éternité, on est tenté de croire que le véritable amour est immortel, peut-être n’est-il pas humain, plutôt divin. Conclusion, bien que le verbe aimer soit difficile à conjuguer parce que son passé n’est pas simple, son présent n’est qu’indicatif et son futur toujours conditionnel alors, pour le temps qu’il nous reste : « Faites l’amour pas la guerre… »

 “Les choses ne sont pas si douloureuses ni difficiles d'elles-mêmes ; mais notre faiblesse et lâcheté les font telles.”

 Montaigne


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91 réactions à cet article    


  • Victor 27 décembre 2016 12:21

    Le plus fort pathos n’est pas l’amour mais la charité (contrairement à l’article crétin sirupeux de gogoche, c’est cet instinct primal de charité qui sert de base au christianisme) Avec ça la grande Bobo Chanel se masturbe en jetant des biberons aux migrants importés par les capitalistes.
     
     
    « Déjà les sociétés de singes, les plus élevées dans l’échelle animale, nous offrent une pratique de la solidarité des plus frappantes [... et aussi les rats !]
     
    Le sens moral est en nous une faculté naturelle, tout comme le sens de l’odorat et le sens du toucher.[et l’instinct de baise...]

     
    Quant à la Loi, à la piété [antiraciste] et à la Religion, qui elles aussi ont prêché ce principe de solidarité, nous savons qu’elles l’ont simplement escamoté pour en couvrir leur marchandise - leur prescription à l’avantage du conquérant, de l’exploiteur, [du Seigneur Capitaliste négrier baudruchonien], et du prêtre [le prébendier du Capital, payé par lui à coté de la speakerine...] »

    Piotr Kropotkine - La morale anarchiste


    • Gabriel Gabriel 27 décembre 2016 12:25

      @Victor
      Vous trouvez l’article crétin sirupeux de gogoche ? Ah bon ...


    • Victor 27 décembre 2016 12:57

      @Gabriel
      Je ne lis pas les articles, à peine le titre (sf très très rare exception)
       
      Excellent bouquin : « Traité de l’Amour fou » Clouscard
       
      Comme toute morale, l’amour est reflet historique de rapports de production basé sur les instincts (générique variant sur génétique fixe). L’amour passion n’a pris de l’importance que dans le capitalisme narcissique. Et a conduit à la dénatalité décadente occidentale.
       

       
      « L’amour est l’engendrement réciproque du politique et de l’affectivité » Clouscard


    • Gabriel Gabriel 27 décembre 2016 13:05

      @Victor
      Justement, je fais ici la critique de la propriété exclusivement possessive découlant de ce sentiment. Lisez l’article et dites moi après ce que vous pensez de cette approche ? Peut-être lui trouverez vous un côté anarchiste libertaire version Proudhon.


    • Victor 27 décembre 2016 14:03

      @Gabriel
      Proudhon a écrit un bouquin sur la Pornographie. La même analyse que Marx (et Sade ! mais basé sur un moralisme) : l’existentiel capitaliste (fétichisme de l’Argent) amène à la prostitution généralisée (pas forcément directe), mais surtout via ses représentations de la hiérarchie sociale, la vedette, le joueur de foot, le héros médiatique, sont symboles sexuels masculins dans la modernité, l’actrice porno symbole féminin... A l’opposé du monde antique, féodal, bourgeois.
       
      L’instinct de possession est instinct sexuel du mammifère mâle... évolution du gène qui veut sa reproduction exclusive.
       
      L’amour passion est amour narcissique dans la jouissance (le moderne vit pour jouir), au contraire de l’amour antique (priorisant la lignée, la sauvegarde de la vénération des dieux pénates), le féodal (le rang, la terre possédée), le paysan (la terre exploitable et enfants travailleurs), le bourgeois (la rente, le capital qui s’unit), le barbu (le ventre sacré qui agrandit la Oumma), le nazi (la race). La famille paysanne est petite exploitation (qui dure par la survie), la famille bobo est branlette (qui dure 3 ans du coup).
       
      A la fin du Capital, la famille n’existe plus. L’amour « pneumatique » (sans possession car sans enjeu génétique) du Meilleur de Mondes, revient à l’amour du primitif (toute les hommes de la tribu connaissent toutes les femmes) et purement jouissif (les enfants sont produits par la technique). En qq sorte la technique a remplacé la jungle, le consumérisme et ses valeurs intériorisés du moderne remplace les tabous intériorisés du primitif. (Latsch la Société du Narcissisme). Les fétiches sont la Porsche (comme dit la pub Audi, ila a la voiture, il aura la femme ...)
       
      Houellebecq (extension du domaine de la lutte) a fait un bouquin marrant sur ce nvl existentiel de l’Amour :
       
      « Dans un système économique où le licenciement est prohibé, chacun réussit plus ou moins à trouver sa place.
      Dans un système sexuel où l’adultère est prohibé, chacun réussit plus ou moins à trouver son compagnon de lit.
      En système économique parfaitement libéral, certains accumulent des fortunes considérables ; d’autres croupissent dans le chômage et la misère.
      En système sexuel parfaitement libéral, certains ont une vie érotique variée et excitante ; d’autres sont réduits à la masturbation et la solitude.
      Le libéralisme économique, c’est l’extension du domaine de la lutte, son extension à tous les âges de la vie et à toutes les classes de la société.
      De même, le libéralisme sexuel, c’est l’extension du domaine de la lutte, son extension à tous les âges de la vie et à toutes les classes de la société. »

       


    • Victor 27 décembre 2016 14:31

      La pipe de la comtesse :
       
      (histoire vraie relatée par je ne sais plus qui)
       
      Le comte rentre inopinément de voyage et trouve la comtesse dans le salon, à genoux en train de faire une faveur au marquis. Alors le comte s’exclame :
       
      « Mais voyons Madame ! Et si quelqu’un d’autre était entré ! »
       
      Car l’amour de la noblesse est amour arrangé de lignage et de caste. Pas de jalousie donc. Mais il faut que l’enfant soit le sien ! Une pipe est sans importance ... Et surtout il faut que les apparences soient sauf, l’étiquette.


    • Victor 27 décembre 2016 16:33

      @Shawford

      Mais non, Naïade Vagino Bécassine est passée par là et m’a amnistié (et l’autre collabobobeurette fait des inflations justement)
       
      « Il est sot de rêver qu’une quelconque philosophie surpasse son monde »
      Hegel


    • cevennevive cevennevive 27 décembre 2016 13:08

      Bonjour Gabriel,


      Moi, je le trouve très beau votre article...

      Parler d’amour en ces temps de grisaille, de guerres entre les pays et les gens, et d’espérance vacillante, c’est comme un rayon de soleil entre les nuages.

      J’ai perdu mon dernier amour il y a bientôt deux ans. Il est toujours là, dans ma maison et au creux de moi. Je ne crois pas trop au paradis dont nous parlent les croyants. Mais si ce paradis existe, je crois que ce ne peut être qu’un monde d’amour.

      Bien cordialement.


      • Gabriel Gabriel 27 décembre 2016 13:12

        @cevennevive
        Merci pour votre lecture. Personnellement, je ne crois pas à la perte définitive d’un amour, cette force est éternelle et elle est l’origine de toute vie. 


      • Durand Durand 27 décembre 2016 16:46

        @cevennevive

        « J’ai perdu mon dernier amour il y a bientôt deux ans. Il est toujours là, dans ma maison... »

        Une pensée pour celles où ceux qui y laissent aussi leur maison... !





      • cevennevive cevennevive 27 décembre 2016 16:54

        @Durand, bonjour,


        Juste une précision : « ma maison » est celle de mes ancêtres depuis des siècles, et mon « dernier » amour (j’ai 71 ans) n’avait pas de maison de famille. Sa famille venait de Sicile. Voilà.

        Mais j’ai dans mon entourage des couples dont le seul survivant s’est trouvé à la rue, « jeté » par des héritiers d’un autre lit... C’est hélas courant. L’amour n’a rien à voir dans cela.

        Bien à vous.

      • cevennevive cevennevive 27 décembre 2016 16:59

        Et pour votre petit dessin rigolo, cela peut aussi arriver à un escargot. Quoique... Les hermaphrodites sont mieux « attachés » que les autres.


        Mais cela, je le répète, n’a rien à voir avec l’amour. c’est du sexe. Et l’on a appelé à tort « amour » le rut et la copulation. L’amour, c’est bien autre chose. Et c’est quelquefois bien au-delà du sexe, voire étranger au sexe.

      • Durand Durand 27 décembre 2016 19:27

        @cevennevive


        Vous comprenez, je l’espère, que l’humour sur la question n’est qu’un masque sur ma propre pudeur..., un peu ce qu’est l’humour carabin à l’extrême dureté du quotidien des soignants...

        Ce n’est qu’un peu d’humour pour surfer sur vos mots...
        Mais je vois – à la bonne heure ! – que vous n’avez pas perdu le votre... 

        L’humour ne soigne rien mais permet d’échapper à tout, le temps que le temps cicatrise nos plaies... Et je sais aussi de quoi je parle...

        Bonne soirée.

      • Le Gaïagénaire 28 décembre 2016 00:44

        @cevennevive 27 décembre 16:59

        Avez-vous une réponse pour nous ?

        pemile 27 décembre 23:57

        @Le Gaïagénaire

        Il me semble quand même que les coqs accrocs ont tendance à aussi aller chercher d’autres dealers, non ?

        Quel serait le secret féminin pour garder captif son « client » ?


      • Mordicul 28 décembre 2016 12:26

        @cevennevive

        C’est assez juste de mon avis qu’aujourd’hui que l’on confond à tort le sentiment d’amour et une des formes de concrétisation de ce sentiment au simple rapport sexuel. Il me semble que le sentiment d’amour s’accompagne d’innombrables autres sentiments tout aussi complexes et interconnectés. D’où cette chimie de sentiments et d’émotions différentes d’un individu à un autre qui donnera plus ou moins un attachement indéfectible ou pas et surtout des couleurs différentes.

        Il est certain que dans une société qui met bien plus en avant l’attirance physique et le jeux des corps qui ne peut être dans sa plénitude que le fruit d’un puissant sentiment ( souvent ignoré) , celle ci ira directement contre un mur. A force de cueillir les fruits d’un arbre sans jamais se préoccuper de lui fera que sa santé en sera affaibli. D’ailleurs c’est déjà ce que nous constatons de nos jours.Les individus se séparent pour un oui ou pour un non négligeant au passage la vérité des sentiments véritables.
        Il n’est pas simple de vouloir exprimer ce sentiment profond qui uni deux êtres. La littérature s’y brise souvent les dents et les nombreux écrit sur le sujet ne se compte plus tellement il est complexifié dans de fausses valeurs, surtout dans une société ou les bonimenteurs sont légion.

        Les médias confondus s’en donnent à cœur joie de nous vendre ces fausses valeurs sur l’attachement amoureux qui est devenu d’une manière ou d’une autre une marchandise, un consommable périssable à en écouter les pseudos spécialistes dans ce domaine.Personnellement je pense qu’il existe pas de recettes spéciales qui siérait à chacun si ce n’est la connaissance sérieuse de ses propres sentiments, de sa droiture envers soi et son compagnon, d’un grand sens de ce qui est juste. On ne peut aimer durablement si l’on ne portent pas en soit quelques principes éprouvés et chéris par soi même.
        Alors il est donc certain que dans un monde ou les individus perdent le sens voir l’essence même de ce qui les anime véritablement, ils ne peuvent que se perdre les uns les autres en se condamnant à être seul parmi eux.
        Quand on aime véritablement, et cela n’est jamais écrit à l’avance comme dans les comtes pour abrutis, on devient amoureux d’une âme sur laquelle le temps et les coutumes n’aurons pas de prises.L’homme et la femme n’ont pas de meilleurs compagnons que son autre, celui ou celle qui vieilli avec soit, qui est dans le meilleurs des cas son/sa meilleurs amis(es). Comme dans une grande amitié, on ne se trahis pas, c’est même quelques chose d’impensable surtout si les sentiments que nous avons nourri ont été débarrassés du sophisme ambiant d’un monde qui n’aime qu’avec les mots.


      • Gabriel Gabriel 28 décembre 2016 12:51

        @Mordicul
        Vous définissez très bien l’union amoureux de deux âmes soeurs, cela est la définition idéal du couple mais vous partez, avec cevennvive, du fait que le sentiment d’amour ne peut être qu’unique à un seul être. Je crois que cela est un petit peu plus compliqué et moins sélectif et qu’une personne peut en aimer plusieurs en même temps (Attention je ne parle pas de sexe mais bien d’amour) d’où, mon parallèle avec l’amour christique qui lui est inclusif et non possessif. Je n’ai pas d’explication à cela, le sentiment d’amour est subit et non choisit, vous aimez ou vous n’aimez pas. Il en va de même avec la véritable amitié qui n’est rien d’autre que de l’amour sans le lit.  


      • Mordicul 28 décembre 2016 18:47

        @Gabriel

        Perso je n’adhère pas au concept de l’âme soeur , c’est pour moi une foutaise inventée pour les bisounours. 
        Chez les Grecs antique, il y avait trois formes d’amour : l’amour filia (famille) , l’amour éros (couple) et l’amour agapé (dédié à ou aux dieux).
        Chez nous le mot amour est un fourre tout ou une mère n’y trouverait pas ses petits, d’où une belle pagaille pour remettre de l’ordre dans ses sentiments.
        Pour ce qui est d’une autre personne, je ne raisonne pas en thermes d’aimer ou pas car c’est un chemin biaisé et la relation n’appartient pas encore à un sentiment d’attachement. On apprécie ou pas une personne mais l’on ne peut savoir à l’avance si on va l’aimer. Dans la notion d’aimer il y a forcément des degrés d’investissement personnel selon le type de relations.
        Personnellement il ne m’est pas difficile d’aimer quelqu’un d’autre que je pourrait rencontrer dans divers cadres. Parfois même les sentiments que j’ai pu éprouver pour d’autres que mes proches dépassaient largement ceux ressentis avec ma propre famille. Je sais donc par expérience que le sentiments amoureux existe en dehors de l’exclusivité normativement admise par une majorité.
         
        Je n’avais pas vraiment fait attention au titre de l’article « la servitude du sentiment amoureux » qui pour moi n’a pas de raisonnance car il m’est indubitable qu’il n’y a pas de servitude dans un vrai sentiment amoureux. Il est vrai que certain le vive comme cela et c’est déjà une belle erreur de voir les choses sous cet angle car il me semble que si c’est ce que la personne ressent, il y a de grande chance que le sentiment est mal vécu et pleinement apprécié pour ce qu’il est. Beaucoup déjà confonde ou assimile la jalousie à de l’amour alors qu’elle est une pathologie dût à un mauvais équilibre des sentiments.
        Pour moi le problème est que la plupart des personnes ne se connaisse pas vraiment et surtout ne s’investissent pas dans ce travail personnel et si en plus ils lisent ou écoutent toutes les conneries qui se disent sur ce sujet sans les remettre en question et les éprouvé au feu pour voir ce qui va en sortir ; il y a de grande chance que ceux ci s’éloignent de leur réalité et besoin véritable en poursuivant comme c’est déjà le cas de millions d’individus, des chimères. L’amour christique en est une.
        D’ailleurs, sans vouloir vous offenser , je crois que l’article poursuit déjà une chimère car le problème est bien plus profond que ce qui semble être soulevé


      • Gabriel Gabriel 28 décembre 2016 19:42

        @Mordicul
        Je cerne quelque peu la complexité du problème et ce n’est pas avec ce petit article que j’avais la prétention de le résoudre mais, juste poser quelques interrogations sur le sentiment dans sa version possessive et faire réagir sur ce sujet qui en dérange plus d’un. Concernant l’amour christique, je ne considère pas cela comme une chimère mais comme un but, une finalité. Je vous remercie d’avoir échangé sur ce thème, votre avis est enrichissant.


      • Le Gaïagénaire 29 décembre 2016 00:00

        @Mordicul 28 décembre 18:47

        « je crois que l’article poursuit déjà une chimère car le problème est bien plus profond que ce qui semble être soulevé »

        Par exemple, est-ce que les animaux s’aiment ? Quelle est la différence entre eux et les humains ?

        Bien que seuls les humains peuvent être désirés pour eux-mêmes avant, pendant et après la conception, aucun animal ne peux transmettre ce désir par ses gamètes, ni par l’épigénétique.

        Comment un humain qui n’a pas été désiré peut-il être différent d’un animal ?


      • Gabriel Gabriel 29 décembre 2016 06:53

        @Le Gaïagénaire
        Nous savons si peu de chose sur la chimie des sentiments animales ou humains qu’une comparaison sérieuse ne peut-être effectuée. Certaines espèces restent leur vie entière avec la ou le même partenaire et vont même jusqu’à se laisser mourir quand l’autre est parti. Mais vous avez raison, la complexité d’un tel sujet restera une énigme encore longtemps.


      • Le Gaïagénaire 29 décembre 2016 12:46

        @Gabriel  29 décembre 06:53


        Mon point est « servitude ». Comme dans vice caché. Obsolescence programmée.

        Nos société manufactures des humains défectueux, qui n’ont pas été désirés, affectés d’un programme de non-reproduction, non-écologique, contourné superficiellement par l’« éducation » le marketing, etc.

        Les animaux proprement dits sont plus « normaux » que les humanoïdes.

        Vous avez raison, cela semble trop complexe pour y remédier. Attendons la faillite.




      • Le Gaïagénaire 29 décembre 2016 12:48

        @Le Gaïagénaire
        Corrections : Nos sociétés manufacturent


      • Gabriel Gabriel 29 décembre 2016 13:24

        @Le Gaïagénaire
        Déjà écrit dans un autre article, la société d’aujourd’hui basée sur le système capitaliste sans réglementation a réduit l’humain au triptyque de consommateur, de matière première et de variable d’ajustement financière. Où est l’amour dans tout ça ? Encore merci pour cet échange et vous souhaites une excellente fin d’année.


      • Le Gaïagénaire 29 décembre 2016 14:35

        @Gabriel 29 décembre 13:24

        Et vous revenez à l’Amour Christique : 

        Pour survivre au système, aimons-nous les uns les autres.

        Bis pour les voeux.


      • cevennevive cevennevive 27 décembre 2016 13:17

        Et, j’oubliais : à propos « de la propriété exclusivement possessive découlant de ce sentiment », je ne crois pas que l’amour puisse résister dans ces cas là. Il meurt, tout simplement (croyez-moi, je sais de quoi je parle...)


        L’amour se partage entre deux êtres. Si l’un papillonne ou aime moins, l’amour se meurt comme s’éteint une bougie. La flamme commence à vaciller, puis s’éteint doucement.

        Ce ne sont que les personnes qui souffrent du syndrome d’abandon qui s’accrochent outrageusement et qui, se faisant, font souffrir tout leur entourage.

        Et cet état d’esprit relève de la pathologie.


        • Gabriel Gabriel 27 décembre 2016 13:31

          @cevennevive


          Je crois que c’est le sentiment qu’on maîtrise le moins et que d’une personne à l’autre les expériences varient. Aussi, comme dit dans l’article, notre ignorance sur cette fabuleuse chimie est de taille encyclopédique voilà pourquoi, je serais moins catégorique que vous sur la généralisation de l’amour unique entre deux seuls êtres.

        • fred.foyn 27 décembre 2016 13:19

          Ah l’amour....tout un poème.....

          La dernière fois que j’ai pénétré une femme, c’était en visitant la statue de la Liberté.
          (Woody Allen)

          • Gabriel Gabriel 27 décembre 2016 13:25

            @fred.foyn
            Bonjour Fred, l’humour de Woody sur ce thème laisse à désirer, n’oublions pas qu’il s’est marié avec sa fille adoptive...



          • fred.foyn 27 décembre 2016 13:33

            @Gabriel...Donc la fille de quelqu’un d’autre au départ ?..Dans votre pays il y a pas très longtemps, on se mariait entre cousins..et Woody la laine n’y est pour rien !


          • Gabriel Gabriel 27 décembre 2016 13:55

            @fred.foyn

            C’est vrai ce que vous dites, mais la consanguinité et l’inceste se passent dans tous les pays et pas seulement en France. Quant à notre ami Woody, c’est un écorché vif qui passe sa vie en psychothérapie. Exemple, il ne croit pas en l’au delà mais il emmènera quand même des sous vêtements de rechange....

             

          • Ben Schott 27 décembre 2016 14:47

            @fred.foyn
             
            « Dans votre pays il y a pas très longtemps, on se mariait entre cousins..et Woody la laine n’y est pour rien ! »
             
            Mais dans le vôtre aussi (si tant est que vous soyez américain) on peut se marier entre cousins !
             
            En revanche Woody Allen n’aurait pas pu se marier avec sa fille adoptive en France.
             


          • Durand Durand 27 décembre 2016 15:03

            @fred.foyn



            « Ah l’amour....tout un poème..... »


            Oui, un poéme avec du poil autour !

          • fred.foyn 27 décembre 2016 17:01

            @Ben Schott....Pas américain.....Amérindien bouffon !


          • Ben Schott 27 décembre 2016 17:08

            @fred.foyn
             
            Les amérindiens ne sont pas américains ?
             
            De toutes façons, vous n’êtes ni amérindien, ni américain.
             
            Juste un commentateur compulsif et légèrement mythomane.
             


          • fred.foyn 28 décembre 2016 07:55

            @Ben Schott...You know what jester you are entitled to my contempt... !


          • Ben Schott 28 décembre 2016 07:59

            @fred.foyn
             
            Merci Google Traduction !  smiley
             


          • fred.foyn 28 décembre 2016 09:00

            @Ben Schott....RACISTE en français !


          • Ben Schott 28 décembre 2016 11:15

            @fred.foyn
             
            Je suis raciste, maintenant ??? Parce que je prétends que tu n’es pas plus amérindien que moi mais un Français vivant en France qui passe son temps à poster des commentaires inutiles ?
             


          • Le Gaïagénaire 27 décembre 2016 17:03

            Gabriel 27 décembre 2016


            http://www.the-savoisien.com/blog/index.php?post/Esther-Vilar-L-Homme-subjugue

            « 
            L’esclave, dit-elle, c’est l’homme. Dès sa jeunesse, on lui apprend à respecter celle qui est sa mère, celle qui sera sa compagne et la mère de ses enfants. La femme se sert de son sexe pour le dominer. Elle satisfait les appétits charnels de l’homme pour qu’en échange, il la nourrisse, l’entretienne et »élève les petits de sa femelle« . Il faut donc, désacraliser la femme, la voir telle qu’elle est : spécialisée dans la prostitution légale, dans l’artifice et la rapacité. »

            Voir les 3 pages du dernier chapitre : « Ce qu’elles entendent par amour »

            Où est le mystère ?


            • Gabriel Gabriel 27 décembre 2016 18:05

              @Le Gaïagénaire
              C’est un détournement du sentiment originel mais, on ne peut ignorer cet aspect culturel qui en est fait depuis depuis des siècles au sein de la cellule familiale et au travers du mariage. Ceci dit je ne sacralise pas la femme mais de là à la classer à ces aspects rudimentaires me semble un peu réducteur. Cependant votre éclairage sur la question est intéressant et mériterait un article à lui seul sur le rôle social de l’homme et de la femme dans le couple.


            • pemile pemile 27 décembre 2016 18:30

              @Le Gaïagénaire « La femme se sert de son sexe pour le dominer. »

              C’est à peu près aussi valide comme théorie que de dire que la meilleure façon de retenir un homme c’est pas de bon ptits plats smiley

              Comment le viol, principalement subit par les femmes, s’accorde avec cette pseudo théorie de puissance apportée par un vagin ?


            • pemile pemile 27 décembre 2016 18:34

              ERRATUM : par de bons ptits plats


            • Le Gaïagénaire 27 décembre 2016 18:57
              pemile 27 décembre 18:30

              http://www.psychologies.com/Couple/Seduction/Tomber-amoureux/Articles-et-Dossiers/Peut-on-rester-amoureux/Toi-et-moi-une-reaction-chimique/4

              « C’est l’hormone du premier attachement, de la première empreinte, son taux augmente dans votre organisme lorsque vous vous sentez en confiance(2). C’est enfin la première hormone à avoir montré que sa production pouvait avoir des causes physiologiques aussi bien qu’émotionnelles. Elle vous liera affectivement l’un à l’autre comme vous l’avez été à votre mère. Quant au cocktail, toujours varié, il vous accompagne depuis l’orgasme jusqu’au repos, et vous incite à de nouveaux projets : une relation durable, des voyages en commun, un enfant… »

              Vous répondez comme une femme qui ne connait pas l’Orgasme.


            • pemile pemile 27 décembre 2016 19:49

              @Le Gaïagénaire « C’est l’hormone du premier attachement »

              Quel rapport avec le vagin comme arme de domination ??!!

              « Vous répondez comme une femme qui ne connait pas l’Orgasme. »

              Quel est le sens de ce O majuscule ?

              Quid du quatre vingt quinze pour cent de Brassens ?


            • Le Gaïagénaire 27 décembre 2016 23:22

              @pemile 27 décembre 19:49


              Le coq de Brassens devient de plus en plus accroc à chaque éjaculation, mais pas la femme qui s’emmerde.

              Celui qui fantasme de sa mère c’est l’éjaculateur pas la nymphe qui pourrait fantasmer de son père.

              Elle garde la tête froide comme le dealer de ce que vous voudrez...qui contrôle les prix d’où la domination.

              Donc, Brassens disait que ceux qui ont des oreilles entendent, sans s’aliéner les femmes.

              Ça va ?

            • pemile pemile 27 décembre 2016 23:57

              @Le Gaïagénaire

              Il me semble quand même que les coqs accrocs ont tendance à aussi aller chercher d’autres dealers, non ?

              Quel serait le secret féminin pour garder captif son « client » ?


            • Le Gaïagénaire 28 décembre 2016 00:35

              @pemile 27 décembre 23:57


              C’est un secret féminin....


            • Le Gaïagénaire 28 décembre 2016 00:47

              @Le Gaïagénaire  28 décembre 00:35


              @cevennevive 27 décembre 16:59


              Avez-vous une réponse pour nous ?

              pemile 27 décembre 23:57

              @Le Gaïagénaire

              Il me semble quand même que les coqs accrocs ont tendance à aussi aller chercher d’autres dealers, non ?

              Quel serait le secret féminin pour garder captif son « client » ?


            • cevennevive cevennevive 28 décembre 2016 06:33

              @Le Gaïagénaire, bonjour,


              « Quel serait le secret féminin pour garder captif son « client »  ? » Me demandez-vous. 

              Je ne sais pas, c’est certainement une question d’alchimie.

              Mais le désir sexuel est fluctuant. Je comprends très bien qu’il se comporte un peu comme une girouette lorsque l’on est jeune et plein de sève. Je sais cela aussi.

              C’est bien pourquoi je prétends que le désir sexuel et l’amour sont deux choses qui se complètent mais qui peuvent régner séparément. Ce qui est trompeur parfois parce que, lorsque l’on est jeune, on les confond, on les apparente, on les vénère.

              Bien à vous.


            • Le Gaïagénaire 28 décembre 2016 14:35

              @cevennevive 28 décembre 06:33


              Aimer et être amoureux, c’est deux choses différentes.

              Puis ces deux choses sont différentes pour les femmes et les hommes.

              Merci pour votre réponse.


            • Le Gaïagénaire 28 décembre 2016 16:36

              @pemile 27 décembre 23:57

              « Quel serait le secret féminin pour garder captif son « client » ? »

              Le convaincre qu’il ne trouvera pas meilleur produit ailleurs.

               smiley



            • pemile pemile 28 décembre 2016 17:04

              @Le Gaïagénaire « Le convaincre qu’il ne trouvera pas meilleur produit ailleurs »

              On est donc bien loin de la pseudo domination que vous énonciez plus haut !

              Surtout que par définition, pour pouvoir comparer, il faut essayer d’autres « produits » !


            • Le Gaïagénaire 28 décembre 2016 20:12

              @pemile 28 décembre 17:04


              Vous avez fait le tour. La victime se transforme en bourreau.

              La relation était donc faussée au départ et le taux de divorces et de séparations en témoigne.


              Dans les autres cas, qui durent, l’homme est castré.


            • pemile pemile 29 décembre 2016 13:40

              @Le Gaïagénaire « Dans les autres cas, qui durent, l’homme est castré. »

              C’est ridicule et réducteur au seul cas qui vous obsède !


            • Le Gaïagénaire 29 décembre 2016 14:30

              @pemile 29 décembre 13:40

              Tous esclaves d’une dealer ou castrés.


              http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/jacqueline-sauvage-pas-de-187663?debut_forums=300#forum4765374

              sampiero 28 décembre 20:19

              J’ajouterai pour le moinsseur :


               :http://www.lepoint.fr/societe/grace-de-jacqueline-sauvage-tous-derriere-hollande-28-12-2016-2093438_23.php 

              À droite comme à gauchetous saluent, la plupart sur les réseaux sociaux, le geste du président de la République

              Jean-Luc Mélenchon, candidat de la France insoumise à l’élection présidentielle : « Je suis heureux de la grâce complète 

              -Tous les candidats à la primaire de gauche

              -Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France et candidat à la présidentielle : »Enfin une sage décision de @fhollande-

              - Gilbert Collard, député apparenté FN 

              - Florian Philippot, vice-président du Front national : « #JacquelineSauvage : enfin ! Une bonne décision ! »

              - Philippe Vigier, porte-parole de François Fillon : « #JacquelineSauvage enfin libre et entourée des siens :

              - Jean-Christophe Lagarde, président de l’UDI : François Hollande »a eu raison d’accorder une grâce totale à cette femme.

              Cordialement



            • pemile pemile 29 décembre 2016 23:24

              @Le Gaïagénaire « Tous esclaves d’une dealer ou castrés. »

              Ah bon ? Et dans quelles case rangez vous les baiseurs compulsifs multi-partenaires et les violeurs ?


            • Le Gaïagénaire 30 décembre 2016 00:40

              @pemile 29 décembre 23:24


              Insinuez-vous qu’il y a des violeurs dans la liste de mon commentaire précédent ?



            • pemile pemile 30 décembre 2016 09:39

              @Le Gaïagénaire « Insinuez-vous qu.... »

              Non, juste que votre obsession d’une racine du mal obligatoirement féminine amène votre argumentation à des ultra-simplifications plus que débiles.


            • Gabriel Gabriel 30 décembre 2016 09:48

              @pemile & @Le Gaîagénaire,


              C’est chaud entre vous les gars, petit rappel, on est sensé parler d’amour ici.... Alors en cette fin d’année, pas de stress qui pourrait déclencher des aigreurs d’estomac et vous gâcher le réveillon. Paix à vous mes frères. 

            • pemile pemile 30 décembre 2016 09:52

              @Gabriel « Paix à vous mes frères. »

              Et mes soeurs, n’en déplaise à Gaiagénaire smiley


            • Gabriel Gabriel 30 décembre 2016 09:56

              @pemile
              Absolument, merci de ce rappel. Oublier la moitié de l’humanité c’est de l’azheimer puissance 10. 


            • pemile pemile 30 décembre 2016 10:06

              @Gabriel « Oublier la moitié de l’humanité »

              Non, pas de culpabilité exagérée, vous vous adressiez à deux « gars » smiley

              « C’est chaud entre vous les gars [...] Paix à vous mes frères. »


            • pemile pemile 30 décembre 2016 10:08

              @Gabriel

              Bon amour et bonne digestion pour 2017, donc smiley


            • Gabriel Gabriel 30 décembre 2016 10:10

              @pemile
              Merci a vous et pareillement. Concernant le premier point, la difficulté c’est la gestion pour le suivant c’est la digestion.

               

            • Le Gaïagénaire 30 décembre 2016 13:07

              @pemile 30 décembre 09:39


              « racine du mal obligatoirement féminine... »

              Mais vous avouez « inconsciemment » que j’ai raison. Faites un pas de plus mon ami Breton.

              Il y a plusieurs décennies j’ai été obligé d’admettre cette grande vérité suite à la lecture d’un essaie d’ethnopsychiatrie intitulé « Le matriarcat psychologique des Bretons. »

              http://www.mediaoueg.bzh/le-matriarcat-psychologique-des-bretons/


              « Comment admettre qu’un type d’organisation familiale aussi répandu que le matriarcat psychologique, privilégiant l’image de la mère le plus souvent au détriment de celle du père, ne donne pas une teinte particulière à la pathologie mentale des populations bretonnes ? Ce matricentrisme, qui pourrait ne pas être pathogène en soi, le devient à coup sûr dans le cadre d’un patriarcat déclinant, tandis que se poursuivent les effets néfastes du choc de cultures auquel sont affrontés les Bretons, surtout depuis le XVIIe siècle. »

              Cordialement

            • pemile pemile 30 décembre 2016 13:42

              @Le Gaïagénaire « Mais vous avouez « inconsciemment » que j’ai raison. »

              Non, vous ne faites qu’une projection (psychanalyse) smiley

              Si ma mémoire est bonne, vous êtes de Marseille, non ?

              « C’est dans le sud de la France que l’image du père a le plus d’importance et en Finistère et Basse-Bretagne que le père est le moins valorisé chez les enfants » remarque Philippe Carrer.

              Relisez Philippe Carrer et l’analyse faite par mediaoueg que vous citez

              « Ce matricentrisme, qui pourrait ne pas être pathogène en soi, le devient à coup sûr dans le cadre d’un patriarcat déclinant »

              Vous avez une vision guerrière des rapports homme/femme, magnifier l’homme et dénigrer la femme OU l’inverse, est un déséquilibre mental.


            • Le Gaïagénaire 30 décembre 2016 14:12

              @pemile 30 décembre 13:42


              C.Q.F.D.

              À l’an prochain.


            • pemile pemile 30 décembre 2016 15:52

              @Le Gaïagénaire « C.Q.F.D »

              Ce Qu’il Faut Dévoyer ?


            • Mordicul 31 décembre 2016 10:36

              @Le Gaïagénaire

              « Dans les autres cas, qui durent, l’homme est castré. »

              Oulala quel débauche de connaissance. Vous parler en connaissance de cause ou êtes vous tout simplement très con ou conne... ??

              «  »« La relation était donc faussée au départ et le taux de divorces et de séparations en témoigne. »«  »

              Est ce que cela vous rassure de penser cela ? car si c’est le cas continuez donc à vous rassurer !


            • velosolex velosolex 28 décembre 2016 00:03


              L’amour c’est une auberge espagnole, on ne trouve que ce que l’on apporte..

              Quoique parfois sur une route de hasard, on se fait surprendre par apprécier un plat qui nous est offert. 
              Et alors c’est la grâce....J’ai rencontré mon amour en Ardèche, sur le pont de Joyeuse, la bien nommée, un beau matin de Mai. Ma vie en fut changée
              Ca ne pouvait être que vous, qu’être lui, ou elle, et vous êtes certain maintenant qu’il y a un dieu quelque part caché dans l’armoire, vous qui étiez païen. 
              « Il n’y a pas de hasard ! » Criez vous au vent !
              Mes parents s’étaient eux aussi rencontrés sur un pont, mais au dessus de la Seine, à Vernon. 
              Le propre de l’amour est de vous rendre un peu stupide, illuminé, lumineux,superstitieux, de vous faire perdre raison, et la mesure de vos intérêts et de votre égo !
              Et c’est en ce terme qu’il est grand ! 
              Grand comme une maison, avec un lit dedans, une fenêtre avec vue. Un café refroidit sur la table, les vêtement jetés sur le parquet en désordre. 
              Vous voilà niais, amoureux, faisant des projets fastueux
              « On aura une maison, petite, avec un grand lit, et deux chats aussi ! »
              Tenter de le mettre en définition, en inconnu du premier degré et il disparaît
              Relisez les 1001 nuits, c’est un livre merveilleux sur l’amour, et sur le reste des passions humaines, et de sa détresse ; à peine on saisit qu’on a peur de perdre. C’est toute la tragédie de vivre, de se donner, de s’épancher, de se démettre. 
              Mais toute autre conduite vous rend aussi vide qu’un coquillage sur le sable
              On ne peut comprendre l’amour et le vivre, que si l’on en relation avec que tout ce qui nous fait homme.
              . Ajoutez y une pincée de dérision pour faire bonne mesure. 
              Non, d’humour. La dérision est trop acide. 

              Enfin, lâchez prise !
              La prochaine fois je vous parlerais des ponts, et des tunnels. Mais pas des ascenseurs. Les ascenseurs me dépriment. On ne peut pas y rêver !

              • Le Gaïagénaire 28 décembre 2016 00:54

                @velosolex 28 décembre 00:03


                Ne pas avoir éprouver cette passion c’est ne pas avoir vécu.


              • Le Gaïagénaire 28 décembre 2016 00:57

                @Le Gaïagénaire

                correction :éprouvé

              • Gabriel Gabriel 28 décembre 2016 07:20

                @velosolex
                Bravo et merci pour votre définition poétique. Vous avez et êtes encore marquer par ce noble sentiment, cette force prodigieuse qui fait que vous la définissiez si bien. C’est grâce à des réponses comme la votre que je prend plaisir à l’écriture et au dialogue.

                Bien à vous 

              • Neymare Neymare 28 décembre 2016 15:47

                Gabriel

                Il me semble que vous assimilez dans votre texte des formes d’amour différentes :

                - L’Amour dont parle le christ (ou l’amour compationnel du Bouddha)

                - et l’amour humain entre 2 etres

                Ce sont des choses complètement différentes :

                dans le premier cas, c’est aimer sans attendre rien en retour, c’est l’Amour à l’état pur. Comme il n’y a aucune attente, c’est effectivement un amour qui libère, puisque seul celui qui attend un retour est aliéné par cette attente

                Dans le second cas, il y a un retour qui est attendu à ce que l’on donne : l’amour humain, en particulier le sentiment amoureux est l’amour d’un reflet dans un miroir. En fait, on n’aime pas vraiment l’autre, on aime le reflet que l’autre nous renvoie de nous memes.

                Quand l’illusion tombe, càd que le reflet n’est plus valorisant pour nous memes, alors l’amour disparait et/ou se transforme (en affection, en besoin de l’autre etc...), ou on se sépare.

                Preuve en est que ceux qui sont le plus fou d’amour sont prets a tuer dès que leur dulcinée fait un faux pas : est ce ça de l’amour ?

                Seul l’humain qui est capable d’aimer sans attendre de retour aime vraiment, le reste n’est que nombrilisme


                • Gabriel Gabriel 28 décembre 2016 16:03

                  @Neymare

                  Votre approche du second cas est très intéressante (Reflet de soi-même dans l’être aimé…) J’y consens cependant, cela ne répond pas à la problématique sur ce besoin de posséder physiquement et sentimentalement l’autre (Je t’aime donc si tu m’aimes, il est impossible que dans le même temps tu puisses en aimer un ou une autre avec les mêmes concessions que tu m’accordes). Ma question principale était : « Est-ce que hors convention et morale religieuse imposées, il est condamnable d’aimer plusieurs personnes en même temps ? et si oui, en quoi »

                  Merci de votre temps de lecture.


                • Neymare Neymare 28 décembre 2016 16:21

                  @Gabriel
                  C’est normal qu’on désire un amour exclusif puisqu’il est un reflet supposé de nous memes. Vous comprendrez que si votre partenaire aime de la meme façon plusieurs personnes, on ne se sente plus « à part », tout ça est une question d’ego (miroir, mon beau miroir ...) : quand vous voyez l’amour dans le regard de l’autre c’est vote ego qui est heureux

                  Quand à la question : « est ce condamnable ? » vis à vis de quoi ? de quel ordre moral ? Si l’on prend comme étalonnage l’ordre divin, il n’existe pas à ce niveau d’ordre moral, hormis le fait d’essayer d’aimer (à la façon du christ) les autres : Dieu nous a fait libre pour que nous soyons libre (merci Lapalisse), Dieu ne juge pas.

                  Alors vis à vis de qui ou de quoi cela serait condamnable ? uniquement à vos yeux, comme l’homme qui trompe sa femme peut éprouver des remords. Si il n’y pas de trahison, alors il ne peut y avoir condamnation


                • Gabriel Gabriel 28 décembre 2016 17:06

                  @Neymare
                  Le fait d’être exclusif est uniquement une histoire d’ego, évidement. Donc cette règle tacite aux limites figées d’appartenance entre partenaire n’est que le résultat d’une morale sociale et religieuse. Quant à une quelconque condamnation par un Dieu, en tant que déiste je pense exactement comme vous. La seule condamnation vient des hommes et du système qu’ils s’imposent. Merci pour cet échange et vous souhaite une excellente fin d’année. 


                • Le Gaïagénaire 28 décembre 2016 23:52

                  @Gabriel 28 décembre 17:06


                  Si je vous comprends bien, le musulman qui aime 4 femmes ou un harem n’a aucun problème dans cette société, mais dans la nôtre, chrétienne, notre problème vient du système monogame qu’on nous a imposé.


                • Gabriel Gabriel 29 décembre 2016 06:41

                  @Le Gaïagénaire
                  Mise a part que le musulman qui aime 4 femmes ou possède un harem, ne tolère pas la réciproque de ses partenaires ce qui en fait un possessif qui impose des règles religieuses qui l’arrange. Donc, concernant votre exemple, difficile de trouver pire.


                • Le Gaïagénaire 30 décembre 2016 17:05

                  @Gabriel 29 décembre 06:41


                  Vous avez bien raison. Ce possessif veut s’assurer qu’il prendra soin de sa propre progéniture, quel goujat.


                • cevennevive cevennevive 30 décembre 2016 14:43

                  Gabriel, connaissez-vous cette remarque :


                  « Les femmes tombent amoureuses quand elles commencent à vous connaître,
                   »Les hommes, c’est exactement l’inverse : quand ils finissent par vous connaître, ils sont prêts à vous quitter" (James Saltier, Américan Express)

                  Je la trouve amusante.

                  Bonnes fêtes et à l’année prochaine !


                  • Gabriel Gabriel 30 décembre 2016 14:53

                    @cevennevive

                    En amour, il y a un déséquilibre de fait, la femme joue sa vie, l’homme tente sa chance... Je suis un inconditionnel admirateur de la gente féminine pour diverses raisons. Dans la genèse on dit que Dieu voulant créer l’être parfait a créé l’homme à son image seulement voilà, s’apercevant des quelques imperfections, il créa la femme corrigeant enfin celles-ci. Cela pourrait se tenir non ?

                    Bonnes fêtes à vous 


                  • cevennevive cevennevive 30 décembre 2016 15:35

                    @Gabriel

                    Bonne formule ! Je la préfère à celle que je vous ai donné à lire !


                  • Le Gaïagénaire 30 décembre 2016 17:31

                    @cevennevive 30 décembre 15:35


                    Voilà un bel exemple de la fable du renard et du corbeau où la complicité s’établie entre la manipulation du livre et la soumission de la femme à une autorité perverse dépourvue d’empathie.

                    Que pensez-vous de celle-ci : La femme névrosée se prête au sexe pour recevoir de l’affection, l’homme névrosée prodigue de l’affection pour obtenir du sexe ! Les deux sont chassés du paradis terrestre par l’arrivée d’un bébé non désiré qui deviendra névrosé. Dès lors l’homme devient esclave du système exploité par les renards.

                    Puis il leur est prêché de s’aimer les uns les autres pour la pérennité du système parasitaire.


                    Cordialement

                  • pemile pemile 30 décembre 2016 18:44

                    @Le Gaïagénaire « Dès lors l’homme devient esclave du système exploité par les renards.  »

                    Pour vous, l’homme est donc forcément corbeau ! smiley


                  • Le Gaïagénaire 30 décembre 2016 22:51

                    @pemile 30 décembre 18:44


                    Vous aimeriez être renard ?


                  • pemile pemile 30 décembre 2016 23:00

                    @Le Gaïagénaire « Vous aimeriez être renard ? »

                    Vous êtes binaire et bloqué par vos obsessions d’un mal « féminin ».

                    Nous sommes bien évidement tous, homme comme femme, tantôt un peu renard, tantôt un peu corbeau.


                  • Le Gaïagénaire 31 décembre 2016 00:20

                    @pemile 30 décembre 23:00


                    « Voilà un bel exemple de la fable du renard et du corbeau où la complicité s’établie entre la manipulation du livre et la soumission de la femme à une autorité perverse dépourvue d’empathie. »

                    Pourquoi avez-vous passé outre à cette partie de mon commentaire ?

                  • pemile pemile 31 décembre 2016 00:25

                    @Le Gaïagénaire

                    Parce qu’à force de vous lire, j’en déduis forcément que « l’entité perverse dépourvue d’empathie » en question ne peut être que féminine, donc la mère de cette femme ?


                  • Le Gaïagénaire 31 décembre 2016 00:49

                    @pemile 31 décembre 00:25


                    Vous devriez corriger votre algorithme mental. Ma phrase référait au commentaire de Gabriel. Donc vous avez sauté à une conclusion erronée concernant le corbeau, qui est la femme victime du beau parleur. 
                    Gabriel 30 décembre 14:53

                    @cevennevive

                    En amour, il y a un déséquilibre de fait, la femme joue sa vie, l’homme tente sa chance... Je suis un inconditionnel admirateur de la gente féminine pour diverses raisons. Dans la genèse on dit que Dieu voulant créer l’être parfait a créé l’homme à son image seulement voilà, s’apercevant des quelques imperfections, il créa la femme corrigeant enfin celles-ci. Cela pourrait se tenir non ?


                  • Gabriel Gabriel 31 décembre 2016 08:02

                    @Le Gaïagénaire

                    Détendez vous cher ami, dans ce monde d’homme où l’histoire est écrit au masculin, Nous pouvons être courtois avec la femme et lui reconnaitre bien des attraits sans pour cela classifier et catégoriser l’un par rapport à l’autre. Concernant mon échange avec cevennevive, ni voyez pas là ruse de goupil mais juste un échange verbal teinté d’humour et rien d’autre. Un beau parleur utilise la dialectique à des fins mercantiles, je respecte trop l’intelligence cevennevive pour la prendre pour un corbeau se nourrissant de flatteries. Finalement, ni la femme ni l’homme ne peuvent prétendre à une quelconque supériorité car la nature les a complémentarisé. 

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