Le coût économique de la religion musulmane
Bourguiba, du temps de sa splendeur, avait déclaré que le retard du monde musulman était dû principalement au fait que, durant le mois de ramadan, le musulman est improductif. Donc, depuis l'apparition de l'islam il y a 14 siècles, les musulmans ont perdu 1400 mois d'inactivité, totalisant plus de 116 ans de retard sur les sociétés non musulmanes. Il était loin du compte, car il ne décomptait ni les heures de prière, ni le coût des pèlerinages à la Mecque, ni l'inactivité forcée des femmes, ni les guerres de religion entre musulmans.
Dans un article publié dans « Australian humanist », n ° 68, été 2002, John Perkins Maison, écrit : « Alors que les croyances religieuses peuvent être considérées comme invraisemblables, contrefactuelles et irrationnelles, des institutions religieuses immorales peuvent... stimuler des conflits dangereux. Cependant, ces défauts ne sont pas les plus graves conséquences des pratiques religieuses. Le principal impact négatif de la religion sur la communauté mondiale d’aujourd'hui est son coût économique énorme. On estime ce coût annuel à plus de 200 milliards de dollars US supporté par les pays pauvres, et à un coût annuel supérieur à 200 milliards de dollars US supportés par le monde industrialisé. Le coût de la religion n'est pas seulement un gaspillage éhonté du potentiel humain, mais c’est aussi un gaspillage économique aux dépens des plus démunis. Alors que ces ressources devraient être utilisées pour améliorer la condition humaine. »
Dans son article, John Perkins met en évidence le fait que le coût prohibitif de la religion affecte principalement le monde musulman, pour trois raisons :
- l’interdiction faite aux femmes de participer aux activités économiques,
- le carcan imposé par la religion sur la conduite et le comportement des gens, ce qui inhibe toute recherche et toute innovation. L’innovation étant l’un des principaux facteurs du développement ;
- les pratiques religieuses qui accaparent trop d’énergie et gaspillent trop de temps, ce qui fait que la productivité en pays musulman est parmi les plus faibles du monde.
Les guerres de religion
John Perkins ne quantifie pas le coût prohibitif d’un autre facteur : les guerres de religion entre musulmans. En effet, les factions islamistes justifient leur soif du pouvoir par la nécessité d’imposer « le vrai islam » aux populations musulmanes "dévoyées" selon eux.
Un premier exemple récent d'une telle guerre de religion est "la décennie sanglante" en Algérie, menée par le FIS contre le peuple algérien et qui a causé des 200.000 morts et 10.000 disparus, sans parler des viols collectifs à l'encontre des femmes algériennes. Cette guerre aurait causé 30 milliards de Dollars de dégâts, sans compter les traumatismes que les Algériens et les Algériennes vont encore traîner pendant longtemps. Il faudra attendre l’après-11 septembre 2001 pour que la voix de l’Algérie devienne audible concernant le terrorisme islamiste.
D'autres exemples sont plus actuels :
- la guerre de religion menée par les milices wahhabites (le wahhabisme est une secte arabo-bédouine, créée par les Britanniques au 18eme siècle pour asseoir leur domination sur le Moyen Orient), sous la houlette de l’Occident et financée par le Qatar et l’Arabie Saoudite, contre le régime syrien (plus de 100.000 morts à ce jour),
- la guerre endémique en Irak entre chiites et sunnites (en moyenne 500 morts par mois),
- Le nettoyage ethnique contre les chrétiens en Égypte, en Syrie et en Irak, mené par les terroristes islamistes (qualifiés d’islamistes modérés et donc cautionnés par l’Occident, qui oublie un peu vite qu’il n’y a pas plus d’islamiste modéré que de gentil nazi).
Dans ce qui suit, nous n’allons pas calculer le coût de ces guerres de religion.
Nous nous intéressons au coût de la religion musulmane dans le « monde arabe », dont la population est estimée à 337 millions de personnes, à plus de 90% musulmanes.
Les dernières statistiques publiées concernant le rendement horaire d'un travailleur montrent qu’aucun pays arabe ne figure parmi les 50 pays classés.
Si l’on considère le PIB qui tient compte des pouvoirs d'achat intérieurs, noté PIB/PPA, le classement des pays arabes est le suivant :
Pays |
PIB/PPA millions de dollars |
Arabie saoudite |
374 000 |
Égypte |
283 400 |
Algérie |
275 100 |
Maroc |
147 000 |
Émirats arabes unis |
129 400 |
Soudan |
96 010 |
Irak |
94 100 |
Tunisie |
87 880 |
Syrie |
75 100 |
Libye |
74 970 |
Koweït |
52 170 |
Oman |
43 880 |
Jordanie |
28 890 |
Qatar |
26 050 |
Liban |
21 450 |
Yémen |
20 380 |
Bahreïn |
17 700 |
Mauritanie |
8 397 |
Palestine |
5 327 |
Comores |
441 |
Total Millions $ |
1 786 545 |
Total Milliards $ |
1 786 |
Population |
337 |
PIB/PPA moyen |
5 301 € |
1- Temps consommé par la prière quotidienne
Un « bon musulman » fait la prière 5 fois par jour. Deux à trois de ces prières ont lieu durant les heures de travail. Il va donc prendre, disons 1heure et quart, pour effectuer ces prières. Cela fait 1,25 heure de perdue sur les 8 heures de son temps de travail, soit 15,6%. On ne décompte pas les pertes dues aux interruptions du travail, qui sont une coupure brutale dans la continuité de son activité, et pour laquelle la reprise demande un certain temps de réadaptation. Ce temps moyen semble élevé par rapport à la prière proprement dite, qui consomme quelque quinze minutes. Mais il faut décompter le temps de déplacement à pieds, en voiture ou en métro, pour aller vers la mosquée favorite (en effet chaque musulman ne choisit pas forcément la mosquée la plus proche, mais plutôt la plus proche de son obédience, de sa secte ou de son parti islamiste, car il y a très peu de mosquées neutres. La quasi-totalité des mosquées sont des officines de propagande et de recrutement de djihadistes pour les guerres de religion ci-dessus.
Si nous décomptons aussi les perturbations causées par : (1) l’appel matinal (à l’aube) qui réveille dès 4H des gens supposés être à leur bureau à 8H et (2) les embouteillages causés par les véhicules des « prieurs » qui bouchent toute circulation aux abords des mosquées aux heures de prières, on peut facilement rajouter trois quarts d’heure au temps perdu. On peut donc facilement totaliser 2 heures de perdues sur 8 heures de travail potentiel, soit 25%.
En supposant que 25% des travailleurs arabo-musulmans interrompent leur travail pour aller prier, (en Arabie et chez les émirs, le taux est beaucoup plus élevé, car la prière est obligatoire, et tout travail doit s’interrompre durant la prière), on voit que, chaque jour, la prière consomme, au minimum, 6,25% du temps de travail (25% x 25% = 6,25%).
2- Baisse de rentabilité durant le mois de Ramadan
Le Ramadan est évoqué chaque année comme le responsable d’au moins deux phénomènes : (1) une baisse sensible de la productivité au travail, et (2) une consommation frénétique, à la limite de l’irrationnel et de l’indécent, y compris chez les pauvres (qui s’endettent pour cela).
De plus, la productivité des entreprises dans le monde arabe baisse de 78%.
Quelles sont les principales raisons de cette baisse ? La diminution des heures de travail, l'absentéisme et les congés de maladie. Durant cette période, les pathologies liées au cholestérol et au diabète augmentent de 27,65% en raison de la suralimentation. Les crimes de sang sont multipliés par 1,5% et les vols par 3,5%, et des experts affirment que cette hausse est principalement attribuable à l’abstinence de cigarettes ou/et d’alcool. Ces résultats figurent dans un rapport de l’Institut du monde arabe des études sociales au Caire qui a été publié le 7/9/2009 par Leaders, un site internet tunisien bien connu.
En cumulant ces aspects négatifs du jeûne, on peut considérer que, globalement, le mois de Ramadan est un mois "vide" du point de vue de la rentabilité et du rendement au travail.
Durant ce mois, on perd donc un douzième du temps de travail, soit 8,33%. En supposant que 70% des musulmans font le ramadan, on aurait une perte de 70% x 8,33% = 5,83%.
Total du temps perdu entre la prière quotidienne et le jeûne annuel : (6,25 + 8,33) = 14,6%, soit environ 15%, l'équivalent de 261 Milliards $ du PIB/PPA.
3- Le pèlerinage à La Mecque
En 2012, un total de 12 millions de fidèles a visité les lieux saints de l'Islam durant la Hadj (3 millions) célébré fin octobre, et l’Omra, ou petit pèlerinage, que les musulmans peuvent effectuer tout au long de l'année. Pour se rendre à La Mecque, les pèlerins doivent passer par des agences de voyage. Ils contractent un forfait Hadj ou Omra, qui comprend le transport et l'hébergement. Cette année-là, le forfait, à partir de la France, coûtait 5000 Euros. En prenant ce chiffre comme moyenne plausible pour l’ensemble des musulmans, qui proviennent de toutes les parties du Monde, le coût total est donc de 60 Milliards d’Euros (12 millions x 5 milles), soit 80 milliards de Dollars. Les Arabes représentent environ 20% des musulmans, ils dépenseraient donc 20% des 80 Milliards de Dollars, soit 16 milliards de Dollars
L’Arabie Saoudite en tirerait 50 milliards de Dollars de bénéfices (d'après SOS pèlerins). Le tourisme religieux constitue la deuxième source de revenus de l'Arabie Saoudite après le pétrole (81 Milliards de Dollars). Et l'avenir est plutôt encourageant puisqu'en 2050 la population musulmane mondiale passerait de 1,5 milliards à 2,5 milliards de personnes. On comprend donc pourquoi l’Arabie finance les mouvements islamistes dans tous les pays du Monde : elle en récolte une manne financière intarissable, alors que le pétrole tarira un jour.
Les gardiens du temple sont ses profanateurs !!
"Le roi Abdallah d’Arabie Saoudite, qui s’affuble du titre « gardien des lieux saints », a ordonné en 2004 la construction d'un complexe hôtelier de luxe à quelques mètres de la Kaaba, le point central vers lequel se tournent tous les musulmans lors de la prière. Ces travaux pharaoniques touchent à leur fin. Il en résulte d'énormes immeubles bling-blings qui écrasent par leurs imposants volumes le cube sacré. Cette atteinte "urbanistique" au sacré ne semble pourtant pas affecter ni la foule giratoire des pèlerins, ni la masse des musulmans de par le monde. Ces derniers ne semblent pas non plus perturbés ni outrés par toutes les démolitions qui ont précédé ce chantier : la maison du prophète et celle de sa première épouse Khadija ou encore celle de Abou Bakr, le premier calife de l’islam. Ces « bons musulmans », pourtant si sensibles, voire paranoïaques, dès qu’il s’agit d’un film, d’un écrit ou d’une caricature, semblent frappés de paralysie, de cécité et d’amnésie dès que les « fautifs » sont saoudiens ou qataris. Ce qui montre bien que l’argent d’Allah le tout puissant fait des miracles et que l’indignation des faux dévots et des tartuffes n’est que du mauvais cinéma, destiné à manipuler les gogos.
4- Inactivité forcée des femmes
Aucun pays arabe ne figure parmi les 100 premiers du Rapport mondial sur l'inégalité entre les sexes du Forum économique mondial, ce qui place toute la région dans son ensemble parmi les bons derniers de la planète. Pauvres ou riches, la plupart des arabo-musulmans détestent leurs femmes. L’Arabie saoudite et le Yémen voisins, par exemple, sont peut-être à des années-lumière l’un de l’autre en termes de PIB, mais quatre places seulement les séparent dans l’indice des inégalités, avec le royaume à la 131e position et le Yémen 135e sur 135. On comprend facilement pourquoi le Yémen est le pays le plus mal noté, puisque 55% des femmes y sont illettrées, 79% ne travaillent pas et une seule femme siège au Parlement qui comprend 301 députés.
Selon des statistiques du tableau ci-dessous [ILO 2005, The World Bank 2007], la part moyenne des femmes dans la population arabe active atteint 27% entre 2000 et 2005. Malheureusement, avec la prise de pouvoir par les islamistes dans la quasi-totalité des pays arabes, il est plus que probable que le taux d’inactivité des femmes reparte à la hausse.
Taux d’activité féminine dans les pays arabes
% en |
% en |
Population |
Dont |
|
Algérie |
38 |
40 |
36 |
15 |
Arabie saoudite |
18 |
19 |
29 |
5 |
Bahreïn |
31 |
33 |
1 |
0 |
EAU |
39 |
23 |
8 |
2 |
Égypte |
22 |
22 |
84 |
19 |
Iraq |
21 |
22 |
34 |
7 |
Jordanie |
29 |
30 |
6 |
2 |
Kuwait |
50 |
53 |
3 |
2 |
Liban |
36 |
38 |
4 |
2 |
Libye |
34 |
36 |
6 |
2 |
Maroc |
29 |
30 |
33 |
10 |
Qatar |
37 |
39 |
2 |
1 |
Syrie |
40 |
42 |
21 |
9 |
Tunisie |
31 |
33 |
11 |
3 |
Yémen |
31 |
33 |
26 |
8 |
Total Millions |
304 |
87 |
||
Pourcentage moyen de |
29% |
Source : The World Bank 2007, Staff estimates based on ILO 2005.
(*) Pour 2011, on a augmenté de 5% les taux de 2005.
Remarque : On peut s’étonner que le pourcentage de femmes actives soit si élevé dans les pays du Golfe. Il est vraisemblable que la raison en soit que les femmes migrantes, non arabes et non musulmanes, et dont le taux d’activité est proche de 100%, sont comptabilisées dans la moyenne, avec les femmes « nationales », dont le taux d’activité est bien plus bas.
Globalement, on peut donc en conclure que, dans les pays arabes, 70% des femmes sont empêchées de travailler, autrement dit, 70% de la moitié de la population potentiellement active ne travaille pas, c'est-à-dire que 35% des forces productives (70% x 50% = 35%) sont inemployées. On peut estimer la perte sèche annuelle à 35% du PIB/PBA, soit : 1786,5 x 35% = 625 Milliards de Dollars.
Total des pertes annuelles dues à la religion musulmane :
- Prière + Ramadan 261 milliards de dollars
- Hadj 16
- Inactivité féminine 625
- Total 902 Milliards de Dollars
- soit 51% du PIB/PPA total des pays arabes (902/1786).
5- Conclusions
1- Sans tenir compte des guerres de religion entre musulmans, on constate que, approximativement, le monde arabe perd plus de 50% de ses capacités productives à cause d’une religion musulmane qu’on refuse d’adapter au monde moderne, alors que d’autres religions y ont été adaptées depuis des siècles. Évaluée en milliards de Dollars, cette perte annuelle équivaut à 900 Milliards de Dollars, ce qui correspond, à peu près, au total des PIB des trois plus grands pays arabes (Arabie + Égypte + Algérie).
2- Le pèlerinage à la Mecque est "une poule aux œufs d'or" aux mains de potentats corrompus et de rois fainéants. Ce pèlerinage est une rente de situation qui rapporte à ces potentats 80 milliards de dollars (l'équivalent du PIB tunisien). Pire encore. Le nombre de pèlerins étant décidé, pour chaque pays et pour chaque année par l’Arabie Saoudite, c’est ce pays qui décide du montant du revenu annuel dont il a besoin ! Les autres n’ont qu’à raquer ! Pire encore. Ce sont les pays les plus pauvres et les plus peuplés, comme l'Égypte, le Pakistan, l’Indonésie ou le Bengladesh qui engraissent le pays le plus riche du monde arabe. C’est ça l'islam wahhabite, un islam moyenâgeux et de pacotille, au nom duquel les "damnés de la terre" doivent suer sang et eau pour engraisser les plus riches et les plus fainéants. Je connais des familles pauvres, dans lesquelles, voulant coûte que coûte devenir « hadj », le chef de famille prive les siens du minimum vital durant toute leur vie. J’en connais d’autres, des milliardaires incultes, qui, au lieu d’aider leur prochain démuni, se payent 10 à 15 fois par an le petit pèlerinage, l’Omra. La bêtise humaine est décidément sans limite.
3- Les pays musulmans les plus riches sont des rentiers du gaz et du pétrole. Ils n'ont fourni aucun effort ni inventé aucune technologie justifiant leur richesse. De plus, ils se contentent de "faire suer le burnous" aux immigrés : maghrébins, indiens, pakistanais, philippins, égyptiens, soudanais, etc. Alors qu'ils offrent la part du lion à leurs maîtres anglo-saxons, ils n'offrent pratiquement aucune aide aux autres pays pauvres, à part l'aide fournie aux groupes terroristes/islamistes.
4- Le PIB/PPA de la totalité des pays arabes (1786) est comparable à celui de la France (1744 Milliards de Dollars). Cela signifie que, malgré leur gaz et leur pétrole (qui ne demande pas beaucoup d’efforts pour sortir de terre), les 337 millions d' "Arabo-musulmans" ne produisent pas plus que les 60 millions de Français. Autrement dit, la productivité d'un Arabe est cinq fois inférieure à celle d'un Français. Naturellement, il y a des Arabes, qui sont totalement et intégralement improductifs : ils se contentent d’empocher l’argent du gaz et du pétrole, pour le dépenser dans les casinos, les call-girls et les clubs de foot européens. Il y en d’autres qui travaillent 16 heures par jour, sans arriver à assurer le minimum vital des leurs. La notion productivité moyenne d'un Arabe est donc à prendre avec un maximum de précautions.
À cause de l’islam, et depuis 14 siècles, chaque année, le monde musulman est privé de la moitié de ses capacités productives. Cumulées sur 1400 ans, ces pertes sont incommensurables.
Elles expliquent, en grande partie, la situation du monde "arabo-musulman" de nos jours : guerres endémiques, sous développement, occupations étrangères, démantèlements (Soudan, Irak), soumission, vassalisation, dictatures, népotisme, corruption, etc. Toutes ces tares se retrouvent plus particulièrement sous la gouvernance islamiste (aujourd’hui, tous les pays arabes sauf la Syrie , l'Algérie, et récemment l’Égypte). Ces islamistes imposent les règles d'un islam archaïque, règles qui anéantissent toute possibilité d'une quelconque évolution ou renaissance.
Dès lors, le retard des pays musulmans sur les autres pays ne peut que s'accentuer.
Il est tout aussi remarquable que le monde moderne n’inclut aucun pays musulman, ni, a fortiori, aucun pays arabe. Mais les islamistes nous l'affirment : ces gens-là, ceux des pays développés et non musulmans, sont destinés à brûler en enfer le jour du jugement dernier, alors que les "bons" musulmans, ceux qui acceptent de croupir ici bas dans la misère et sous les dictatures des rois, des émirs, des cheikhs et autres barbus, iront au paradis d'Allah.
Mais on sait bien que les promesses n'engagent que ceux qui y croient.
http://numidia-liberum.blogspot.com/2013/01/le-cout-economique-de-la-religion.html
Hannibal Genséric
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