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Accueil du site > Tribune Libre > Le système bancaire : l’ignorance d’une gigantesque arnaque (...)

Le système bancaire : l’ignorance d’une gigantesque arnaque (loi 3 janvier 73) !

L’antipathie des gens envers les banquiers ne vient pas de là mais depuis plus d’un an que j’étudie davantage l’économie, que je m’intéresse au système bancaire, je pense à eux en me disant « Mais alors, ce n’est peut être pas autant exagéré de s’en prendre aux banquiers (le système), par rapport à la gigantesque arnaque de ce système ».

En effet, plus j’étudie le système et plus je deviens « fou » en m’apercevant que celui-ci s’appuie sur un processus frauduleux à la différence notable qu’il est autorisé dans le cadre de nos institutions. De même les mutations du système dans les années 1900, montre que nos dirigeants se sont comportés (et se comportent toujours) comme de véritables malfaiteurs. 

Premièrement, quelle différence essentielle y’a-t-il entre un banquier et un faux monnayeur ? Il y’a bien une nuance qui résulte dans la partie virtuelle de destruction de la monnaie lors d’un remboursement d’emprunt (des faux billets en circulation ne sont détruits que si on les repère) mais là n’est pas l’essentiel. L’essentiel est que les banquiers comme les faux monnayeurs créent de l’argent avec de l’argent qui n’existe pas (l’argent prêté sur ses propres fonds est très minoritaire). Non seulement le banquier se comporte ainsi comme un fraudeur, bien que fraudeur en toute légalité, mais l’emprunteur n’est pas en reste puisqu’il donne en garanti de l’emprunt la maison ou la voiture qu’il a acheté sauf que celle-ci ne lui appartient pas. En fin de compte pour l’emprunteur c’est comme si il donnait en garanti la voiture de son voisin !

Ensuite, en étudiant tout ce processus de création monétaire, et en me plaçant du côté de l’Etat emprunteur, je me suis dis « Mais pourquoi emprunter de l’argent à des banques alors que cette argent n’existe pas ? Finalement n’est ce pas qu’un tour de passe – passe où l’Etat emprunte et rembourse virtuellement de l’argent** ? ». J’apprends donc que les banques ont se pouvoir de création monétaire, bien que la monnaie ne soit pas réellement crée puisque c’est simplement l’augmentation perpétuelle de la dette qui accroit également la masse monétaire en circulation et si un jour la dette n’augmente plus le système s’effondre. Et ensuite, je me suis dis « C’est quoi une banque ? N’est ce pas une simple entreprise privée ? ». Ainsi il m’a paru étonnant de considérer que l’on pouvait confier les clés de la création monétaire à une telle société privée, qui par ce biais a un pouvoir exorbitant qui est de contrôler la masse monétaire et ainsi de pouvoir jouer sur la valeur de la monnaie (même s’il y’a une politique de taux d’intérêts). En fin de compte pourquoi l’Etat ne pourrait il pas avoir ce rôle ? Ce pouvoir ne devrait-il pas être considéré comme un pouvoir régalien ?

Enfin, et c’est bien le pire, ce concept privé de la création monétaire signifie que l’Etat doit payer un salaire (des intérêts) aux banquiers. Mais alors, si l’Etat se donnait le droit de création monétaire, il n’aurait pas à payer ces fameux intérêts ? Puis je me dis que je délire, qu’un tel concept serait impossible, sinon nous le ferions ? Et bien non ! J’ai découvert qu’avant 1913 les Etats Unis utilisaient leur droit régalien de création monétaire, de même que la France avant 1973. Et c’est là que je suis devenu totalement fou en voyant ça !!!

Il a fallu en effet que cinq banquiers américains proposent leur service à l’Etat américain pour qu’il arrête de se financer lui-même, gratuitement ; et il a fallu la loi Pompidou Giscard en France pour carrément interdire totalement à l’Etat de le faire au profit exclusif des banques privées ! Mais un tel système est inimaginable, c’est un « truc de fou ». « Truc de fou » quand je m’aperçois que la dette actuelle est quasi-équivalente à la somme de tous les intérêts que l’on a payés ! « Truc de fou » quand je vois la gestion de la Grèce**** et des pays très endettés ou/et déficitaires ! « Truc de fou » quand on parle de redistribution des richesses via l’impôt sur le revenu alors que cet argent est redistribué aux riches ! Et en plus, comme le système ne peut fonctionner que par augmentation continuelle de la dette, alors je ne vois pas comment dans une telle conception les riches ne deviendraient-ils pas toujours plus riches au fil de temps et les pauvres de plus en plus pauvres…

J’ai bien essayé de comprendre pourquoi nous avions fait ça ; après tout peut être pour des intérêts que j’ignore ? Mais non, le seul argument est que c’était pour lutter contre l’inflation ! Ben voyons. Il y’aurait un risque d’inflation si l’Etat dépensait à tout va, c'est-à-dire une augmentation très importante (relativement aux autres Etats, qui plus est) de la masse monétaire (à condition donc de taux de change flottant et que les autres pays ne fassent pas de même), mais c’est sans rappeler que dans le système d’antan, l’Etat comme les banques aujourd’hui détruisait l’argent qu’il créait … (Et en plus dans le système actuel on ne la détruit même pas (pour les dettes de l’Etat, pas les particuliers) puisqu’on ne rembourse que les intérêts ; alors si la planche à billets n’appartient plus à l’Etat, en revanche les banques, elles, la font tourner au maximum car on s’endette davantage en payant des intérêts).

Par ailleurs, quel problème y aurait-il à avoir une inflation à mettons 3%, si dans le même temps on avait une croissance de 4% (grâce à des investissements plus nombreux réalisés parce que devenus rentables à taux zéro, et grâce à un budget d’Etat moins grevé par les intérêts de la dette) ? Il y’aurai bien dans ce cas une augmentation du pouvoir d’achat de 1% même s’il conviendrait de s’assurer que cette augmentation de la richesse se répartisse relativement bien entre les ménages et considérer la problématique de l’épargne (notons au passage que l'on dit souvent qu'on lutte contre l'inflation pour protéger les pauvres, moi je crois exactement l'inverse, c'est les plus riches qui ont le plus à craindre de la dépréciation de leur tas de billet). 

Pour étayer brièvement ce sujet, j'ajoute que quand on voit la courbe de Phillips faisant un lien inverse entre le taux d'inflation et le taux de chômage (je suis plutôt d'accord), l'idée que ce soit la priorité absolue (gravée dans la constitution) de la banque centrale européenne (au passage indépendante, et ne devant rendre de compte à personne ! Ni plus ni moins qu'une dictature bancaire déguisée !) devrait nous mettre la puce à l'oreille sur les véritables intentions de nos dirigeants. Mais le sujet devient par ce biais tellement large qu'on pourrait en écrire des dizaines de pages. A une prochaine donc !



** : Quand on emprunte, on crée de la monnaie. Cette monnaie est donc en circulation dans l’économie. Mais quand on rembourse, cette monnaie que l’on avait empruntée est détruite. Tout ce processus est virtuel car aussi absurde que cela puisse paraître les banquiers sortent l’argent de leur chapeau (ce n’est qu’un jeu d’écriture). Le fait qu’il y ait toujours plus de monnaie en circulation est la conséquence que l’on emprunte plus vite que l’on rembourse (tout acteurs économique confondus). Cette augmentation perpétuelle de la masse monétaire (qui n’est donc que de la dette, on dit l’argent-dette) est le pilier du système.


**** : Ainsi les plans de renflouement de la Grèce ne servent qu’à donner de l’argent aux banquiers qui n’en ont pas encore assez…Voir mon post sur la Grèce aussi.

Réponse aux objections ou incompréhensions (en dehors de l'inflation) :

1) "Ah oui mais tous le monde fait ça" : Ce n'est pas parce que tous les Etats des pays développés ont abandonnés leur droit de création monétaire au profit des banques que nous aussi on doit le faire. C'est cet argument bidon qu'à fait valoir Giscard en 73 pour faire passer cette loi inique.

2) "Ah mais c'est juste pour limiter" : Mais l'Etat devrait être assez grand pour ne pas abuser de son droit régalien de création monétaire. J'ajoute que c'est en payant des intérêts qu'au contraire on en abuse le plus par l'intermédiaire des banques puisqu'on se met plus facilement en situation de surendettement.

3) Des pays comme la Norvège, la Suisse, par exemple n'ont pas une dette importante et pourtant leurs Etats n'ont plus le droit non plus de création monétaire. Oui c'est vrai c'est parce qu'ils ont fait l'effort d'équilibrer plus ou moins leur budget depuis des décennies (ils passent quand même par les banques). Mais ils se limitent considérablement en réalité. Chacun sait que l'on emprunte de l'argent pour faire des investissements qui par définition sont rentables ; or si l'Etat empruntait à taux zéro, les investissements qu'il ferait seraient davantage rentables et il pourrait envisager d'en faire d'autres. C'est assez facile à comprendre : j'emprunte pour faire des investissements ; ces investissements génèrent de la croissance ; la croissance générée permet de rembourser la monnaie empruntée. Ce que je viens d'expliquer permet aussi de répondre à l'argument "il suffit d'équilibrer le budget" ; non, ce n'est pas aussi simple que ça.


4) "La dette a toujours existé" : Oui je n'ai jamais dit le contraire. Cependant elle n'a jamais été aussi importante, et elle n'a jamais augmenté si vite en si peu de temps (en 35 ans). Après, si on fait n'importe quoi, il est évident que la dette va augmenter. Je n'ai jamais dit que si on sortait de la loi de 73 ou si on ne l'avait pas voté, on aurait de façon certaine un budget équilibré. En revanche les marges de manœuvre seraient considérablement plus importantes et cela faciliterait la dualité gestion du pays et augmentation du pouvoir d'achat (croissance économique). 


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81 réactions à cet article    


  • miha 9 septembre 2011 10:55

    Ce qui me sidère, c’est que jamais, jamais, personne ne parle de cette fameuse loi de 1973 lors d’émissions, débats, infos sur la dette... jamais... aucun économiste, aucun homme politique, aucun journaliste... ou alors, ça m’a échappé ?


    • Ferdinand_Pecora 9 septembre 2011 11:33

      A tous les idôlatres de cette loi, ce que cette dernière a détruit n’aurait jamais pu exister politiquement sans Glass-Steagall.


    • sylvain sylvain 1 9 septembre 2011 13:01

      Oui c’est incroyable que jamais on n’en parle dans les médias. Comme quoi il y’a des conflits d’interêts énormes.

      Les économistes, oui aussi n’en parlent pas, mais ce sont des éconnomiste qui travaillent dans des banques ou qui ferment les yeux. Moi je suis étudiant en économie et je suis sidéré par toutes les idioties qu’ils peuvent dire, la pensée absolument unique !!!

      Maurice Allais, Prix nobel d’économie aurait du passer à la télé compte tenu de son statut. Mais non jamais ; pourquoi ? Parce qu’il était contre le loi de 73, il était pour une réforme majeure du système bancaire, il était pour un protectionnisme raisonné.

      Pour en revenir aux médias. J’entendais hier soir sur le USA ; « les USA vont faire tourner la planche à billet pour le plan de relance = inflation » ; Voilà comment on travesti les infos ; s’ils empruntaient aux banques ce serait pareil ; et d’où vient l’inflation, du ciel ?


    • Croa Croa 9 septembre 2011 17:08

      « jamais on n’en parle dans les médias. » Bonne correction par rapport à l’intervenant car on en parle tout de même, la preuve ici !

      (on ne peut plusser qu’une fois ) smiley



    • mimi45140 11 septembre 2011 12:00

      Si , je ne suis pas pour elle mais Marine LE PEN l’ a déja cité .


    • Mich K Mich K 11 septembre 2011 21:55

      Je signale à Miha que JL Mélenchon passe son temps à dénoncer également ces obligations aux Etats d’emprunter sur les marchés plutôt qu’à la Banque Centrale...
      Il dénonce donc lui aussi cette fameuse loi de 73 !



      • xray 9 septembre 2011 19:36


        Les banques centrales n’ont plus le droit de créer de chiffres monétaires. 

        L’arme du banquier (Le Ratio Cook 8%)
        http://l-armedubanquier.hautetfort.com/ 

        L’argent dette 
        http://www.vimeo.com/1711304?pg=embed&sec=1711304 



      • xray 9 septembre 2011 19:37


        Le capital de la Dette publique est contrôlé par ceux qui vivent de la misère qu’ils produisent. 

        Pour la France, le capital de la Dette publique, c’est 6 fois le budget net de l’État.

        La loi 1905 (France) La première grande imposture du 20 ième siècle. 
        http://mondehypocrite.midiblogs.com/archive/2008/05/06/moralistes-par-devant-sans-scrupule-par-derriere.html




        • jef88 jef88 9 septembre 2011 11:47

          Et c’est vers 1975 que le payement des salaires en espèces a été interdit ...
          motif officiel : controler les revenus.

          qui c’est qu’était content ?
          le banquier ! .............. ouvertures d’un compte par ménage...


          • Le Yeti Le Yeti 9 septembre 2011 12:55

            Il y a trente ans, l’émission de monnaie papier était conditionnée par l’augmentation des avoirs (principalement indexés sur l’immobilier et l’activité industrielle) ; de nos jours elle est conditionné pas les besoins en financement.

            Cherchez l’erreur ...


            • Le Yeti Le Yeti 9 septembre 2011 13:08

              Il est urgent de cesser de considérer les choses telles qu’elles sont censées être ou devraient être mais bien telles qu’elles sont.
              Car, que ce soit par effet papillon (involontaire) ou par corruption (voulue ou consentie) la perversion des systèmes, économiques, industriels, sociaux, creuse un tel écart entre la réalité et son apparence que même cette dernière n’est plus ni cohérente ni crédible.
              Comment, dès lors, s’interroger sur un sujet que l’on ne parvient plus à définir réellement ?

              Les moyens d’hier sont devenus les buts d’aujourd’hui (exemple : l’argent et justement la 73-7 !) .

              Et l’Homme dans tous ça ?



                • sylvain sylvain 1 9 septembre 2011 13:51

                  Je ne sais pas, je n’ai pas étudié la question. Mais moi je ne préconise par de se passer de la banque centrale. Je pens au contraire qu’il faut lui redonner ses prérogatives d’avant 1973. Après l’Etat emprunte auprès de cette banque centrale à taux zéro ou extremement faible.


                • chapoutier 9 septembre 2011 14:00

                  Sylvain

                  En fin de compte pourquoi l’Etat ne pourrait il pas avoir ce rôle ? Ce pouvoir ne devrait-il pas être considéré comme un pouvoir régalien ?
                  Enfin, et c’est bien le pire, ce concept privé de la création monétaire signifie que l’Etat doit payer un salaire (des intérêts) aux banquiers. Mais alors, si l’Etat se donnait le droit de création monétaire, il n’aurait pas à payer ces fameux intérêts ? Puis je me dis que je délire, qu’un tel concept serait impossible, sinon nous le ferions ? Et bien non ! J’ai découvert qu’avant 1913 les Etats Unis utilisaient leur droit régalien de création monétaire, de même que la France avant 1973. Et c’est là que je suis devenu totalement fou en voyant ça !!!
                  vous mettez le doigt là où cela fait mal
                  toute leur magouille est un tour de passe passe leur permettant de réaliser le plus grand hold-up de l’histoire sur le dos du peuple. J’avais écris ces lignes concernant la dette française et qui vont tout à fait dans le sens de ce que vous écrivez
                  C’EST PLUS DE 1300 MILLIARDS D’EUROS D’INTÉRÊTS que nous avons payé depuis 35 ans soit la quasi-totalité de la dette existante.
                  Ces 1300 milliards d’intérêts sont allé dans la poche des grandes fortunes qui le reprêtent l’état sous forme de capital qui génère les futurs intérêts.
                  Et effectivement sans la loi de 73, la dette de la France, en prenant en compte la politique fiscale menée ces 35 dernières années ne dépasserait pas 100 milliards d’euros, soit 14 fois moins. Et oui, les graphiques et les chiffres ne mentent pas monsieur le menteur.
                  La encore, c’est n’importe quoi osez vous écrire, et vous continuer votre persiflage sur l’accumulation des déficits budgétaires depuis 80.
                  Rien que depuis 1986 le taux d’imposition de la tranche maximale est de 65% à 41%
                  aujourd’hui.
                  Voilà où se trouve le déséquilibre budgétaire, entrainant ce déficit.
                  Et encore sans parler de toutes les exonérations et le bouclier fiscal qui a permis de rembourser leurs impôts aux plus riches ( rien qu’en 2009, 679 millions d’euros).
                  À quoi il faut ajouter le fait que l’impôt sur les sociétés est passé de 50% en 1985 pour atteindre 33% aujourd’hui.
                  Pour conclure, en 1982 les recettes de l’état s’élevaient à 22,5% du PIB national et en 2009 les recettes de l’état s’élevaient plus qu’à 15,1 % du PIB.
                  soit rien que pour l’année 2009 une somme astronomique de 142 milliards d’euros.
                  SUR 10 ANS CELA FAIT 1420 MILLIARDS D’EUROS d’impôts que l’état à gracieusement laissé aux plus riches.
                  Entre les intérêts de la dette et les cadeaux fiscaux des gouvernements aux plus riches, nous en SOMMES DÉJÀ 2730 MILLIARDS D’EUROS DISTRIBUÉS AUX PLUS RICHES
                  Il n’y pas de dette, il y a un hold-up permanent contre la nation, contre le peuple ;


                  • chapoutier 9 septembre 2011 22:10

                    ha oui MLP et Dupont expliquent et prouvent que le peuple à été spolié de 2700 milliards d’euros !!!

                    où l’ont-ils écrit ? dit ? chuchoter ? rêver peu-être ?

                    faut ètre un peu sérieux

                    mlp et dupont sont de droite, donc pro-capitalistes, donc anti-ouvriers.


                  • sylvain sylvain 1 9 septembre 2011 22:51

                    Si, MLP et dupont aignan ne font que ça de parler de cette loi. Surtout MLP. C’est bien la première fois depuis 30 ans que es politiques osent d’attaquer à cette loi.

                    Faîte les choix.

                    Les préjugés gauche - droite n’ont pas d’interêt. Tout ça c’est dépassé. Qui peut prétendre que la gauche soutient le peuple ? qui ?
                    Qui peu affirmer au vu du programme économique de Marine Le Pen (le lire avant) qu’elle est d’extrême droite ; c’est stupide.
                    Si ne tien compte que de l’immigration, effectivement ils sont à droite ; mais si on tient compte de leur politique économique, je crois qu’ils sont bien a gauche des autres si l’on doit condidérer encore une fois que la gauche, c’est le peuple.

                    Moi je ne regarde pas les étiquettes, je m’en contre fou ; c’est stupide. Les étiquettes, ça fait des préjugés mais ça veut strictement rien dire !! En tout les cas c’est mon avis


                  • chapoutier 10 septembre 2011 00:53

                    sylvain
                    il faut lire le commentaire pour le critiquer !
                    que mlp et dupont aient découvert la loi de 73 est un fait, pour ta gouverne, j’ai combattu cette loi et le père lepen était un chaud partisan de cette loi.
                    mais présentement je parlais des 2700 milliards d’euros spolié aux français. et j’affirme haut et fort que le fn n’a jamais pu en parler alors que c’est le point essentiel. la dette on l’a déjà payé 2 fois !!!
                    c’est bon la loi 73 tout le monde en parle maintenant, y compris lepen, mais c’est très récent.
                    et je recolle mon commentaire précédent. lepen et sarkozy se valent ils sont de la même droite anti-gaulliste.

                    ha oui MLP et Dupont expliquent et prouvent que le peuple à été spolié de 2700 milliards d’euros !!!

                    où l’ont-ils écrit ? dit ? chuchoter ? rêver peu-être ?

                    faut ètre un peu sérieux

                    mlp et dupont sont de droite, donc pro-capitalistes, donc anti-ouvriers.


                  • Kessonfait ? 10 septembre 2011 00:53

                    certes ils en parlent mais que font ils de la banque de france ? Privée ou nationalisée ?
                    Quelles différences entre les 2 ?


                  • chapoutier 10 septembre 2011 00:55

                    le programme lepen
                    on vas bientot en parler
                    les gogos qui pensent que la fille à son père va faire dans le social risquent de tomber de haut.


                  • Kessonfait ? 10 septembre 2011 01:02

                    effectivement surtout qu’elle dit que la banque de france doit certe émettre l’argent mais rester privée.


                  • eric 11 septembre 2011 09:31

                    A l’intention de 1FREDO, Jean-Luc Melenchon a plus d’une fois denonce la loi de 1973. En voici un exemple : http://www.dailymotion.com/video/xdkb7t_melenchon-contre-la-loi-pompidou-ro_news.


                  • Panisse Panisse 12 septembre 2011 00:47

                    Le truc c’est que mélenchon veut que ca soit la BCE qui joue ce rôle là. Tant qu’il n’aura pas compris que la BCE ne peut pas gérer des économies différentes car l’efficacité d’une politique monétaire est fonction de l’homogénéité d’une économie. La mise en place d’un taux directeur commun bénéficie certaines économies et en asphyxie d’autre. La seule solution est de revenir aux monnaies nationales par la sortie de l’union européenne (ca nous évitera de nous faire condamner par les commissaires non élus de Bruxelles pour le refus de cultiver les OGM des criminels de monsanto) et ainsi revenir aux bases d’avant 1973.


                  • sylvain sylvain 1 9 septembre 2011 14:19

                    Sur l’impôt sur les sociétés, j’ai un avis nuancé. Le problème de l’impôt sur le revenu aujourd’hui est qu’il n’est pas progressif. Je crois qu’il derait l’être. Si on pourrait concevoir que les entreprises du cac 40 payent 50% ; je ne crois pas qu’ils faillent le faire avec les autres. Je pense que l’on pourrait commencer peut être à 10% pour les TPE.

                    Si vous prenez trop les entreprises à la gorge, vous les asphyxiez, et vous limitez leur capacité d’investissement, de développement, et vous limitez in fine les créations d’emplois. si l’impôt est trop élevé, l’impôt tue l’impôt, autrement dit, il est contre productif.

                    Très cordialement


                    • luluberlu luluberlu 9 septembre 2011 14:23

                      C’est Napoléon qui a lachè la banque de france aux privés et depuis on (les sans culottes) le prend profond dans l’oignon.


                      • Croa Croa 9 septembre 2011 17:29

                        Oui, mais à la Libération elle se retrouve inféodée au trésor et une bonne partie du crédit est nationalisé.


                      • gvanhecke gvanhecke 9 septembre 2011 14:48
                        Le pire n’est pas là... Non, je vous assure. Laissez moi 30s pour vous expliquer.

                        En effet, depuis le 3 Janvier 1973, l’État ne peut plus emprunter auprès de sa banque centrale. En d’autres termes, l’Etat ne peut plus s’emprunter à lui même. Par ce biais, l’idée était effectivement de diminuer les emprunts contractés par les pays et ainsi limiter l’inflation au niveau national. 

                        Sauf que la perversion du système actuel n’a pas été pris en compte ; Par naïveté ou à cause d’arrangements secrets (copinages) - ça l’histoire ne nous le dit pas - l’on est aujourd’hui obligé de rembourser avec Intérêt.

                        Le pire c’est que l’intérêt n’est jamais injecté dans le système.

                        Tout l’argent mis en circulation est le résultat d’un emprunt fait par vous, moi, une entreprise, l’Etat. Si l’on somme tous les emprunts on obtient un total T.

                        Or, les banques demandent toujours un intérêt... Dès lors, si l’on additionne tous ce qui est réclamé par les banques suite aux emprunts, nous obtenons un total à rembourser R = T + I (où I est l’intérêt).

                        Si l’intérêt n’est pas injecté, il y a là un trou, que dis-je, un vide abyssal dans l’équation !

                        A cause de ce trou béant, et parce que l’on tient à sa maison, à sa voiture, parce que l’on veut garder à tout pris ce que nous avons mis en garantie... On entre alors en compétition les uns contre les autres. On va chercher dans la poche de son voisin cette part d’intérêt que la banque nous réclame... Résultat, l’argent est raréfier. La population s’appauvri, l’assistance publique est de plus en plus sollicitée, l’impôt prélevé ne suffit plus rembourser les emprunts contracter par l’Etat, etc.

                        Je vous le dit : si seulement, l’intérêt était injecté...

                        • sylvain sylvain 1 9 septembre 2011 14:55

                          Oui je ne sais pas combien d’interêt on paye en tout (tout acteurs confondus) mais ... ça doit être très important. Je crois que les banques ont fait 20 milliards de bénéfices l’an dernier. Si on nationalisait les banques, on pourrait récupérer ces 20 milliards dans le budget de ’Etat et donc paraticiperait à l’économie réelle. De surcroît on pourrait mieux contrôler la masse monétaire créée et sans doute beaucoup mieux juguler les crises successives qui découlent de ce système.


                        • Kessonfait ? 9 septembre 2011 15:52

                          En nationalisant les banques, est-ce que tu règle le problème des produits toxiques qu’elles ont contracté sur le marché des dérivés ( qui represente 600 000 milliards de dollars) ? N’ont-elles pas aussi achetaient des dettes des pays en difficultés ?
                          Les banques ont la possibilités d’avoir sous le même toit les activités de banques de dépôts ( qui garanti un renflouement si elle est en position de faire faillite), d’assurances et d’affaires et ce depuis 1984 avec la loi venant abroger celle de 1945 séparant les activités. Les renflouements successifs dès 2007 ne font que précipiter le système vers le pire. Une masse de liquidités supplémentaire, dirigé vers la spéculation sur des produits fiables que sont les matières premières, associé à une capacité qui diminue les moyens financiers de l’Etat (avec les privatisations des services publics lucratifs et coupes budgétaires ) nous entrainent vers l’hyperinflation.
                          La nationalisant des activités de banques regroupées dans un établissement ne me semble pas réglé le problème. Seul un Glass Steagall peut engendrer l’ouverture de la porte vers la sortie de crise.


                        • Croa Croa 9 septembre 2011 17:53

                          «  si seulement, l’intérêt était injecté... »

                          En fait il l’est par nouvel emprunt, sauf que celui-ci ne correspond à aucune richesse réelle ou promise, d’où une course sans fin à la croissance. (La fin existe en fait, celle-ci étant plutôt une chute lorsque les masses en circulation sont vraiment trop supérieures aux richesses existantes et même espérées !)

                          Seule solution : Abolir l’usure (tout les intérêts). En pratique la banque est alors soit nationalisée soit devient un prestataire affermée, ses frais étants alors rémunérés contractuellement en fonction du coût réel et non pas des sommes crées. Ainsi la banque devient un service public à coût constant au lieu d’être une charge exponentielle.


                        • sylvain sylvain 1 9 septembre 2011 18:40

                          NON. Il faut je pense séparer les banques de dépot et la banques d’investissement aussi. Ils faut intedire tous ces produits toxiques et je ne sais quoi ...Oui on détient malheuresement des dettes d’autres Etats, alors si ils n’arrivent pas à rembourser on est dans la merde, quoique ce ne sont que des chiffres ; l’Etat pourrait ainsi nationaliser et supprimer ces chiffres. voilà


                        • Kessonfait ? 9 septembre 2011 20:42

                          Malheureusement les chiffres restent des chiffres. La nationalisation te les fera conserver. C’est la séparation des activités pendant laquelle tu va trier les dettes productives ( ayant un rapport avec l’économie réelle) que tu vas conserver et les dettes spéculatives ( produits dérivés et tout ce qui s’ y prête) que tu vas laisser aux banques d’affaires. Si ces dernières sont insolvables elles coulent et tu te débarasses d’une bonne partie de la dette comme ça. Si elles sont solvables (il va pas en rester beaucoup) elles joueront leur argent et ne seront pas renflouer en cas de nouvelle insolvabilité.
                          Les chiffres restent des chiffres et c’est pour cela que la BCE a racheté les produits toxiques des banques contre de l’argent frais qu’elles ont réinvesti dans les matière première notamment. Aujourd’hui le Fond Européen de Stabilité Financière a été créé pour ça.


                        • Croa Croa 9 septembre 2011 23:08

                          L’important n’est pas la nationalisation mais l’abolition de l’usure. C’est là toutefois une solution technique car si la banque reste privée il faudra payer ses services autrement.


                        • Paolini Paolini 11 septembre 2011 15:44

                          « .... abolition de l’usure ». Absolument.

                          « ......payer ses services autrement »

                          Par des frais de fonctionnements, prélevés sur les crédits eux-même et proportionels à ces crédits.

                          - prélevés sur les crédits : empruntez 1000 et recevez 950, les 50 sont la rénumération de l’émetteur du crédit.

                          Contrairement aux intérets, ces 50 ont bien été créé, mis en circulation et représentent une réelle richesse (le travail de l’émetteur du crédit).

                          - proportionel : le financement d’une habitation résidentielle demande moins de travail et moins de crédit que celui de la création d’une entreprise.

                          L’émission et la maitrise du crédit (la création monétaire) devraient être « à but non lucratif » tout comme le sont l’éducation, la santé et la culture, et celà pour les même raisons.


                        • gvanhecke gvanhecke 12 septembre 2011 22:02

                          « En fait il l’est par nouvel emprunt, sauf que celui-ci ne correspond à aucune richesse réelle ou promise »


                          Ton raisonnement me semble inexacte.

                          Supposons un premier prêt P1 = C1 + I1 (capital 1 + intérêt 1)
                          Imaginons que tu contracte un nouvel emprunt P2 = C2 + I2, comme la banque ne dégagera que C2, tu peux si C2 = P1 recouvrir entièrement ton premier emprunt. Oui mais...

                          Si tel est le cas ça signifie aussi que ton second emprunt P2 = C1 + I1 + I2 (par substitution de variable en mathématique). 

                          C’est donc un mauvais calcul, car en contractant un crédit pour en rembourser un autre, tu te retrouves au final avec plus d’intérêt à rembourser. 

                          Et c’est bien ce qu’il se passe avec la Grèce ; Pour rembourser sa dette... Elle a du emprunter au FMI et à la BCE en contractant un nouvel emprunt. En prenant ce second emprunt le gouvernement grecque ne fait que reporter le problème car ils ont fait le choix de devoir rembourser plus d’intérêt ! Avec à la clé plus de charges sur le contribuable ... Tu parles d’une solution !

                          Les banquiers et les investisseurs du FMI et de la BCE se frottent les mains ! Eux qui se rémunèrent sur les intérêts sont bien content de savoir que les Grecques vont leur en rembourser plus encore ! 

                          C’est une véritable spoliation !

                        • gvanhecke gvanhecke 9 septembre 2011 15:18

                          Le problème est l’intérêt qui est réclamé sans qu’il ne soit injecté... ce qui engendre la rareté de la masse monétaire.

                          J’invite tout le monde à lire « Le compte de Roseland »

                          Une belle vulgarisation qui met à la porter de chacun, la compréhension du système actuel.

                          • sylvain sylvain 1 9 septembre 2011 15:33

                            Oui effectivement. C’est un cercle sans fin car le montant du remboursement total n’est pas égal au montant de l’emprunt. C’est pour ça que l’on est obligé de s’endetter plus vite que l’on rembourse afin que le système ne s’écroule pas.

                            Si la masse diminue, c’est la déflation, comme dans la grande dépression.

                            Mais là on remet l’ensemble du système en cause ; ça va au delà de la loi de 73.


                          • Domino Domino 9 septembre 2011 15:38

                            Pourquoi VGE ministre des finances de Pompidou et auteur de cette loi de janvier 1973 n’a-t-il pas été arrêté pour haute trahison.... ?  smiley


                            • Paolini Paolini 11 septembre 2011 15:22

                              @ Domino,

                              parce que ceux dont c’est la fonction de l’arreter sont aussi des traitres.

                            • Panisse Panisse 12 septembre 2011 00:54

                              Lui seul le sait. En tout cas, Pascal Roussel qui a écrit un livre « divine insidia » dénoncant l’oligarchie et la perversion du système a eu la surprise de recevoir ce commentaire de VGE :
                              http://i41.servimg.com/u/f41/14/01/90/44/vgde_p10.jpg


                            • lloreen 9 septembre 2011 16:32

                              Bonjour à tous
                              Suite à vos commentaire, je vous transmets également un lien très instructif, que je vous invite à partager autour de vous, car j’ai lu sur un autre article que 85% des français (! !!!) ne sont pas informés concernant le système financier auquel nous sommes soumis, au propre sens du terme.

                              http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/1/67/15/03/Rothschild/Conf-Ed-Griffin-Creation-FED.pdf

                              Lorsque vous organiserez des soirées entre amis ou collègues, ou lors de réunions familiales, parlez-leur donc de ce fameux système et ils seront aussi sidérés que l’auteur, de ce « truc de fou »...
                              Effet garanti !

                              Ne vous étonnez donc pas de n’être pas informés par les médias officiels aux ordres de ce système, qui graisse à la fois les pattes et les compte en banques .
                              C’est un secret d’initié.Cela explique aussi pourquoi certains sont milliardaires alors que d’autres crient famine.
                              Et comme chacun le sait, avoir pour amis les nantis et les influents est plus « intéressant », pour la carrière et le portefeuille.
                              Lorsque vous passez devant un kiosque, votre regard est plus attiré par les créatures de rêve trônant dans les demeures somptueuses que par les scènes effroyables de guerre ou de misère.Et le système étant ce qu’il est, tout est fait pour faire de nous les collaborateurs volontaires ou involontaires, par ignorance, du système.

                              Plus vite vous ferez passer les informations, et plus vite ce système inique et carrément mafieux s’écroulera.
                              Nous n’avons rien à perdre, mais tout à gagner.
                              Il existe une règle de droit qui fait tomber « l’enrichissement sans cause » sous le coup de la loi.
                              Quant à ce système de l’argent-dette, il repose sur une gigantesque escroquerie.
                              Et l’escroquerie aussi, est condamnée par la loi.
                              Qui dit condamnation dit réparation.


                              • Talion Talion 9 septembre 2011 16:38

                                Je crois que l’image suivante résume toute la situation...



                                Transposable bien entendu en France avec notre bi-partisme national.

                                • lloreen 9 septembre 2011 16:45

                                  Pour rêver un peu...
                                  Imaginez des lendemains qui chantent, les quadrillions (! !!) ainsi détournés par un groupuscule d’escrocs disséminés aux quatre coins de la planète sont condamnés à réparer tout le tort qu’ils ont causé à l’humanité...
                                  Arrêt immédiat des conflits sur la planète, car l’argent est le nerf de la guerre comme chacun sait.
                                  Elle n’est pas belle, la vie ?
                                  Qui a intérêt à ce qu’un tel système s’effondre ? Des milliards d’êtres humains.
                                  Qui a intérêt à ce qu’il persiste ? Quelques millions.
                                  En 2012, il y a des élections.Refusons par millions d’aller voter tant que les conditions resteront telles qu’elles sont.
                                  Fixons les règles pour l’intérêt général et pour cela il faut déjà commencer par supprimer les partis, réservoirs d’intérêts partisans qui ne servent qu’aux luttes de pouvoir par clans interposés.
                                  Avec les technologies nouvelles (sites sécurisés, visio-conférences,etc.) et l’internet nous avons tous les outils en mains pour retrouver notre souveraineté individuelle.


                                  • Agor&Acri Agor&Acri 9 septembre 2011 17:03

                                    Posté le : le 21-05-2009 19:21:00

                                    Bjr,

                                    Le 7 février 2009, j’ouvrais sur ce site un forum intitulé
                                    LE SILENCE DES LOUPS (File interdite au moins de 16 dents)

                                    Je suis parti d’un constat : les politiques et les journalistes, pourtant friands de sujets polémiques, n’évoquent jamais certains thèmes se rapportant à l’emprise du monde financier sur la gouvernance de la planète.

                                    Les Etats, les entreprises et les particuliers sont soumis, de manière direct et indirect, à une forme d’impôt scélérat et se voient contraints de verser une sorte de dîme permanente au monde de la finance.
                                    Le caractère « systémique » et pyramidal de l’endettement des Nations permet à un cénacle de « banksters » de s’emparer progressivement d’une part toujours plus grande des richesses produites.
                                    Tels des parasites aliénant leurs proies.

                                    Et même lorsqu’éclate la crise des subprimes et que les dérives extrêmes de l’oligarchie financière apparaissent au grand jour, aucun media de masse, aucun leader politique ne se départit de l’habituel brouhaha contestataire ambiant pour rompre l’omerta.
                                    Silence radio et chape de plomb !

                                    Démocratie ? Liberté d’expression ?

                                    Ce constat et ces interrogations en ont amené d’autres et c’est un regard nouveau que je porte à présent sur la gouvernance de la France, de l’Europe et du monde.

                                    ...
                                    _________________________________________________

                                    Extrait du message d’ouverture du forum
                                    LE SILENCE DES LOUPS (Décryptage d’un monde interdit aux moins de 16 dents)

                                    son dernier message :
                                    Ce soir dansent les ombres du monde (cliquer pour accéder au message)

                                    Merci à sylvain sylvain 1 pour son utile contribution au réveil collectif. smiley


                                    • lloreen 9 septembre 2011 17:14

                                      domino
                                      « pourquoi...trahison » ?
                                      Parce qu’ils sont tous de mèche, directement ou indirectement !


                                      • lloreen 9 septembre 2011 17:15

                                        Et aussi parce que système tentaculaire s’étend sur toute la planète...


                                        • Croa Croa 9 septembre 2011 18:04

                                          Il existe cependant encore quelques nations indépendantes avec une banque bien à elles. Certes, elles se comptent sur les doigts d’une seule main et elles sont de moins en moins nombreuses...

                                          La dernière à tomber : la Libye  smiley


                                        • lloreen 9 septembre 2011 17:16

                                          Mais encore parce que nous acceptons leur argent !!!


                                          • lloreen 9 septembre 2011 17:22

                                            Dites à votre patron que vous ne voulez plus être payé en euro : il va directement téléphoner au SAMU...qui vous débarquera au service psychiatrique.
                                            Dites au percepteur que vous n’avez plus d’euros, il vous enverra l’huissier...
                                            Faites vos courses dans la grande surface du coin sans euro et vous serez éjecté manu militari par les vigiles....
                                            Dites à vos employés que vous ne les payez plus en euro, ils vous enverront devant les prud’hommes...
                                            Tant que tous ne sont pas informés, le système perdurera...


                                            • Croa Croa 9 septembre 2011 18:11

                                              Il existe des systèmes alternatifs (SEL pour système d’échange local.)

                                              Ceux qui l’ont essayè sont content, ça ne peut être que marginal, mais ne plus se faire payer en euros ne mène pas obligatoirement à l’asile !


                                            • Le vénérable du sommet Le vénérable du sommet 9 septembre 2011 17:33

                                              Je pense que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés que des armées entières prêtes au combat. Si le peuple américain permet un jour que des banques privées contrôlent leur monnaie, les banques et toutes les institutions qui fleuriront autour des banques priveront les gens de toute possession, d’abord par l’inflation, ensuite par la récession, jusqu’au jour où leurs enfants se réveilleront, sans maison et sans toit, sur la terre que leurs parents ont conquis

                                              Thomas Jefferson (1802)

                                               

                                              Il est une chance que les gens de la nation ne comprennent pas notre système bancaire et monétaire, parce que si tel était le cas, je crois qu’il y aurait une révolution avant demain matin.

                                              Henry Ford (1863-1947)

                                               

                                              Je n’ai encore jamais vu personne qui puisse justifier, par la logique et la raison, que le gouvernement fédéral emprunte son propre argent ... Je pense que le temps viendra où les gens demanderont que cela change. Je pense que le temps viendra dans ce pays où nous serons blâmés ; vous et moi, et tous les autres membres du Congrès, pour n’avoir rien fait et pour avoir laissé subsister un système aussi stupide.

                                              Wright PATMAN, membre démocrate du Congrès (1928-1976)

                                               

                                              Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au Time magazine, et aux autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion depuis presque quarante ans. Il nous aurait été impossible de développer notre plan d’action pour le monde si nous avions été sous la lumière des projecteurs durant toutes ces années. Mais maintenant le monde est plus sophistiqué et mieux préparé à la marche vers le gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est assurément préférable à l’autodétermination nationale pratiquée au cours des siècles passés.

                                              David ROCKEFELLER, discours à la Commission Trilatérale, 06/1991

                                               

                                              et enfin :

                                              Je suis un homme des plus malheureux. J’ai inconsciemment ruiné mon pays. Une grande nation industrielle est contrôlée par son système de crédit. Notre système de crédit est concentré dans le privé. La croissance de notre nation, en conséquence, ainsi que toutes nos activités, sont entre les mains de quelques hommes. Nous en sommes venus à être un des gouvernements les plus mal dirigés du monde civilisé un des plus contrôlés et dominés non pas par la conviction et le vote de la majorité mais par l’opinion et la force d’un petit groupe d’hommes dominants.

                                              Woodrow Wilson,Président des Etats-Unis de 1913 à 1921 après avoir signé la

                                              loi sur la réserve fédérale*


                                              • sylvain sylvain 1 9 septembre 2011 22:45

                                                NON mais vous plaisentez !! Vous prétendez que c’est du plagiat ?
                                                C’est moi qui est écrit tout seul cet article.

                                                Je vous précise que je suis érudiant en économie et que evidemment j’ai quand même des notions en la matière.


                                              • Le vénérable du sommet Le vénérable du sommet 10 septembre 2011 17:24

                                                Je ne sais pas si ces citations sont dans un livre de Soral, mais cela ne m’étonnerais pas étant donné que beaucoup d’entres elles (et j’en ai d’autres) sont sur internet et dans d’autres bouquins depuis longtemps. Eh oui, cette méga arnaque qu’est le système monétaire mondial n’est même pas secrète mais juste discrète grace à l’extraordinaire travail des larbins qui végètent dans nos médias depuis longtemps (cf citation de Rockfeller)


                                              • lloreen 9 septembre 2011 17:39

                                                A tout hasard, je vous transmets ce lien, car j’ai l’intention de contribuer à faire avancer les choses.Plus nous serons nombreux et mieux ce sera.
                                                Sachez que vous n’êtes pas seuls et que la relève est en marche !

                                                http://club-des-cinq-millions.over-blog.com/

                                                N’oubliez pas d’informer autour de vous !


                                                • lloreen 9 septembre 2011 17:42

                                                  Par le vénérable du sommet
                                                  Merci pour votre contribution.

                                                  J’ai retenu deux déclarations célèbres concernant les Rothschild .

                                                  « Donnez-moi le pouvoir de contrôler la monnaie et peu m’importe qui fait les lois ».

                                                  D’une.

                                                  Une aïeule Rothschild.

                                                  « Si mes fils ne veulent pas la guerre, il n’ y aura pas de guerre ».

                                                  Et de deux.


                                                  • lloreen 9 septembre 2011 17:47

                                                    Il est temps de remettre certains esprits à l’endroit !


                                                    • lloreen 9 septembre 2011 17:53

                                                      Il est une chose de vouloir que les choses changent, mais cela ne suffit pas.Sans engagement personnel, rien n’est faisable.L’union fait la force ;c’est aussi la raison pour laquelle tout est fait pour favoriser la désunion !


                                                      • lloreen 9 septembre 2011 17:56

                                                        Si vous vous intéressez à l’histoire, vous verrez le rôle qu’ont joué les Rothschild dans la bataille de Waterloo.
                                                        Toute la subtilité réside dans le fait qu’ils ont toujours-et encore de nos jours, plus que jamais-financé les deux opposants par personnes interposées.C’est aussi simple que cela.



                                                          • Croa Croa 9 septembre 2011 18:22

                                                            Bon article sauf un détail qui n’en est pas un  : « un salaire (des intérêts) aux banquiers. »

                                                            Les intérêts constitue un droit exorbitant alors que tout travail mérite salaire. Un salaire c’est raisonnable donc impossible de comparer !


                                                            • sylvain sylvain 1 9 septembre 2011 18:36

                                                              Un salaire n’est pas forcément raisonnable. Le salaire d’un footballeur est il raisonnable ? Le salaire d’un grand PDG est-il raisonnable ?


                                                            • Paolini Paolini 11 septembre 2011 16:00

                                                              Avec les intérets, il faut rembourser des sommes qui n’ont pas été perçu et qui, en plus, n’ont pas été créé : donc la seule façon de mettre en circulation les sommes nécessaires au réglement des intérets c’est ........ d’émettre du crédit.


                                                            • lloreen 9 septembre 2011 18:29

                                                              Il saute aux yeux lorsque l’on observe l’histoire des Rothschild (et il n’y a pas qu’eux...) , que toutes leurs manigances n’ont été possibles que grâce aux structures de pouvoir telles qu’elles subsistent encore de nos jours.
                                                              Quelques clans au pouvoir, agissent au nez et à la barbe de millions d’ignorants ( victimes de tromperie et de dol), à qui ils expliquent qu’il faut un gouvernement, des partis, une élite et des banques pour financer tout cet appareil.
                                                              Le tout « agrémenté » de conflits et de guerres de façon à rééquilibrer les pouvoirs des uns et des autres.
                                                              Il est évident que si nous voulons changer quoi que ce soit, c’est déjà le système tel qu’il perdure qu’il faut changer.

                                                               


                                                              • BA 9 septembre 2011 23:33
                                                                La BCE se déchire sur la stratégie pour sauver l’euro.

                                                                Le feu gagne la caserne de pompiers. La Banque centrale européenne (BCE), qui lutte depuis dix-huit mois pour éteindre l’incendie ravageant les pays endettés de la zone euro, se déchire maintenant au grand jour. Le chef économiste de l’institution, Jürgen Stark, a démissionné vendredi avec fracas de son poste… trois ans avant la fin de son mandat ! 

                                                                Officiellement pour des raisons personnelles, cette démission marque le spectaculaire désaccord de l’économiste avec la stratégie de la BCE, dont il est un membre influent du directoire. Après le départ retentissant d’Axel Weber en mai dernier, Jürgen Stark est le deuxième Allemand de poids à claquer la porte de la banque basée à Francfort. La réaction des marchés a été à la mesure du choc : l’euro a chuté, atteignant un plus bas depuis février à 1,3650 dollar et les obligations d’État italiennes se sont envolées à 5,37 %.

                                                                Cette dernière réaction n’est pas anodine : c’est probablement la décision de voler au secours de l’Italie et l’Espagne, prise le 8 août dernier en pleine tempête financière, qui a achevé de diviser le conseil de la BCE. Jürgen Stark était notoirement opposé à cette action, rejoint en cela par le patron de la Bundesbank, Jens Weidmann, ou encore le Néerlandais Klaas Knot.

                                                                « Depuis mai 2010, les Allemands sont contre le rachat de dette souveraine par la BCE », rappelle Bruno Cavalier, économiste chez Oddo Securities. Cette décision de politique non conventionnelle consiste pour la banque centrale à acheter sur le marché des obligations d’État, afin de soutenir leur cours et permettre aux pays attaqués de continuer à emprunter. Mais ce faisant, la BCE rompt avec deux dogmes intangibles aux yeux de l’orthodoxie allemande : elle donne l’impression de cautionner les dérives budgétaires des États et surtout, en monétisant la dette, elle rajoute des liquidités sur le marché, prenant le risque de générer des tensions inflationnistes, alors même que son unique mandat consiste à lutter contre l’inflation.

                                                                Conscient des reproches qui lui sont faits, le président de la BCE s’était vivement emporté jeudi : « Nous avons assuré la stabilité des prix de manière impeccable - impeccable ! - et j’aimerais bien entendre des félicitations pour une institution qui a apporté pendant treize ans la stabilité des prix à l’Allemagne », a martelé Jean-Claude Trichet. Un éclat de voix inhabituel qui a peut-être précipité le départ de Jürgen Stark.

                                                                Au-delà des querelles internes à la BCE, cette démission est un signe supplémentaire du désarroi des Européens face à la crise de la dette. « L’histoire s’accélère, mais l’Europe n’a toujours pas résolu la question principale : comment couper la contamination qui vient de Grèce et qui gangrène tous les autres pays ? », résume Bruno Cavalier.

                                                                Au plan politique, les tensions s’accroissent. Lundi, le président de la Commission, José Manuel Barroso, se rendra à Berlin pour rencontrer la chancelière Angela Merkel. Il s’agit officiellement d’un « échange de points de vue privés ». Mais, selon un sondage de la chaîne de télévision ZDF, trois Allemands sur quatre sont aujourd’hui opposés à un élargissement du plan de sauvetage pour les pays surendettés de la zone euro.

                                                                Or ils ne sont pas les seuls. Après les Pays-Bas, qui évoquaient ouvertement jeudi la sortie de la Grèce de l’euro, les Finlandais dénonçaient vendredi le manque de discipline budgétaire dans l’Union. Le premier ministre finlandais, Jyrki Katainen, estime que ses concitoyens sont « troublés par l’injustice provenant du fait que tout le monde dans l’union monétaire n’applique pas les règles du jeu acceptées ». Et le parti des Vrais Finlandais, qui talonne désormais la Coalition nationale pro-européenne, veut aussi qu’Athènes sorte de la zone euro, estimant que ce sont les autres membres de l’Union, aux finances plus saines, qui vont payer les pots cassés. Helsinki a « crevé de faim pour sortir de la crise sans aide », d’où son ressentiment résume un politologue. Mais la Grèce est aussi un obstacle pour l’Irlande, qui s’inquiète par ricochet de ne plus pouvoir revenir sur les marchés à cause d’Athènes.


                                                                • picpic 10 septembre 2011 01:17

                                                                  Ah quand bien même !
                                                                  Tout ce pognon, qu’on balance pour sauver les banques, pays et autre sottises du genre, il va bien quelque part, il finit bien dans les poches de quelqu’un !?

                                                                  Qui ?


                                                                  • sylvain sylvain 1 10 septembre 2011 11:52

                                                                    Et bien il sert à détruire la monnaie ; il est légalement obligatoire de la détruire. Comme là si la grèce ne rembourse pas les banques françaises, ce qui me paraît evidemment inélucatable, et bien on va donner l’argent aux banques pour détruire la monnaie (ça part en fumée).


                                                                  • bigglop bigglop 10 septembre 2011 01:54

                                                                    Bonjour,

                                                                    En ce moment, le sujet le plus important est la discussion devant l’Assemblée Nationale portant sur l’extension des prérogatives du FESF (Fonds Européen de Stabilité Financière), à savoir :
                                                                    - intervention du Fonds pour la recapitalisation des banques européennes avec dans les « tuyaux » la « faillite » de la Société Générale pour octobre, novembre, pour la France.
                                                                    - intervention accrue du Fonds pour la gestion future (plutôt immédiate) des dettes publiques des états européens via le MES et la Banque-Mes, par achats sur le marché secondaire garantis par une solidarité inconditionnelle et sans limite des états. Donc une dette perpétuelle.
                                                                    Si ce projet est adopté, la "règle d’or" deviendra un accessoire coercitif d’une dictature supranationale européenne.
                                                                    Débattre des conditions d’un Steagall-Act et d’un futur Bretton-Woods, aujourd’hui, n’est qu’une position intellectuellement satisfaisante pour être poli.
                                                                    J’ai rencontré ce soir des amis qui sont au PS (l’épouse de l’un est conseillère municipale, responsable de la Communauté Urbaine), bien qu’il m’aient promis de faire remonter cette information, ils me paraissaient déjà déçus de la tournure des primaires du PS et du projet politique.
                                                                    J’ai fait un commentaire sur un article AVOX portant sur une gouvernance supranationale européenne contrôlée par les marchés financiers et les banques mondiales.
                                                                    Accessoirement, la Société Générale fait partie des 17 banques qui font l’objet d’une plainte pénale aux Etats-Unis, faisant suite à la crise des subprimes de 2008.

                                                                    Enfin, une autre catastrophe se prépare et dont personne ne parle. Il s’agit des actifs toxiques détenus par les banques sur les comptes ouverts dans les paradis fiscaux, lesquels n’apparaissent même pas dans les engagements hors-bilan des comptes annuels.

                                                                    Ci-après, des liens utiles :

                                                                    http://www.assemblee-nationale.fr/13/projets/pl3713.asp#P357_23371

                                                                    http://www.agoravox.fr/actualites/e...

                                                                    http://www.mecanopolis.org/?p=23579



                                                                    • Daniel Tourre Daniel Tourre 10 septembre 2011 08:52

                                                                      On est bien d’accord, il y a une grosse magouille sur la création monétaire.

                                                                      Mais votre volonté de rendre à l’Etat le pouvoir de créer de la monnaie est aussi une énorme bétise : http://www.dantou.fr/banques.html

                                                                      Il vaut 10000000 fois mieux laisser la monnaie libre :
                                                                      http://leplus.nouvelobs.com/contribution/179091 ;euro-et-si-le-probleme-de-la-bce-n-etait-pas-le-e-mais-le-bc.html


                                                                      • sylvain sylvain 1 10 septembre 2011 11:49

                                                                        Oui enfin le nouvel obs ....

                                                                        Je ne sais pas si vous avez bien lu mon analyse mais je vous conseille de le relire. La quantité de création monétaire ça se décide, quitte à ce que la banque centrale soit indépendante afin d’éviter les abus mais redonnons nous cette possibilité là ! C’est quand même incroyable de faire la même chose en passant pas les banques !!


                                                                      • zelectron zelectron 10 septembre 2011 10:07

                                                                        Comme quoi la morale n’a de moins en moins rien à voir avec la légalité ... et ce, jusqu’à l’immoralité la plus sordide.


                                                                        • Catherine Segurane Catherine Segurane 10 septembre 2011 10:12

                                                                          Excellent article.



                                                                          • De Bredevan marc (L'INFOTOX) INFOTOX 10 septembre 2011 10:38

                                                                            Seules les banques d’états et à présent la BCE, qui n’est pas une banque privée mais la banque européenne ont le droit de frapper monnaie !.
                                                                            Une inflation à 3% avec une croissance de 4% ne serait en rien préjudiciable, dites-vous...sauf que la croissance ne se décrète pas sinon pourquoi mettre 4 alors que 5 ou 6 serait mieux pour la création d’emplois.
                                                                            On peut toujours rêver...sans pour autant prendre ses désirs, délires pour de la réalité.
                                                                            Et comme souvent, crier avec la meute sur un coupable trop vite désigné sans vraiment tenter d’analyser les faits en tentant de cerner le pourquoi de cet aveuglement est assez facile.

                                                                            Un autre point de vue (prémonitoire 2010) analysait les causes et responsabilités volontairement « oubliées » de ce qui devait, tôt ou tard, arriver...et ce n’est que le début !!.

                                                                            Crise financière : A la prochaine.

                                                                            http://infotox.skynetblogs.be/archive/2010/12/24/crises-financieres-a-la-prochaine.html

                                                                            INFOTOX. The WebMag.


                                                                            • sylvain sylvain 1 10 septembre 2011 11:45

                                                                              Non la banque européenne n’a pas le droit de créer de la monnaie ; c’est bien le problème. La croisance ne se décrete pas : Ba evidemment !!! Mais elle est fonction de l’activité économique, des politiques économiques, des choix qui sont fait ; ça tombe du ciel, c’est pas dieu qui décide de la croissance.

                                                                              Analyse trop brève. Ba très bien j’attend vos arguments en faveur de la loi de 73.

                                                                              Couplable trop vité désignée : C’est bien une réaction de gaucho ça. Moi je veux bien fermer les yeux mais à un moment donné, il faut voir la réalité en face. Les banques, oui je le dis a une très grande responsabilité dans la crise evidemment (subprimes, poduits toxiques ...) et il est incompréhensible, je le repète, c’est inique que l’Etat passe par les banques alors que encore une fois c’est le même sytème de création monétaire

                                                                              Ne me prenez pas pour un inbécile qui a écrit comme ça un article à l’aveugle !! Vous lire aussi ce que disait Maurice Allais.

                                                                              Je suis pour un protectionnisme raisonné aussi, ça présupose queje désigne un coupable, ke vilain chinois ; réaction de bobos sans argument, pitoyable

                                                                              Je suis pour réduire l’immigration enfin ; ça suppose que je m’en prend aux immigrés à titre personne, non au système global de cela..

                                                                              Sur ceux ; Bonne journée




                                                                            • cgt.snptri.idf 11 septembre 2011 01:46

                                                                              Pionnier de l’industrie automobile et de la division du travail, Henry FORD, (1863-1947), écrivait ceci sur le système bancaire :

                                                                              « C’est une chance que les gens de la nation ne comprennent pas notre système bancaire et monétaire parce que si tel était le cas, je crois qu’il y aurait une révolution avant demain matin ».

                                                                              http://www.snptri.com/ile-de-france/category/creation-monetaire/


                                                                              • lloreen 11 septembre 2011 09:14

                                                                                L’Islande prend les choses en main !

                                                                                http://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/l-islande-sur-la-voie-d-un-100081

                                                                                C’est un premier pas.Le second est de reprendre aussi sa souveraineté individuelle pour éviter de remettre son pouvoir décisionnel à d’autres (représentants, partis,...etc).


                                                                                • mimi45140 11 septembre 2011 12:10

                                                                                  C’ est vrai , mais je croit qu ’ il est possible aujourd’ hui de verser un salaire en numéraire si il ne dépasse pas 1500 Euros , mais le pli est pris et les salariés risqueraient de ne pas venir le déposer à leur banque , alors que le chèque ou le virement y est déposé automatiquement ,le monde set beau , les oiseaux gazouillent , les banquiers profitent , que demander de plus .



                                                                                  • Metais 11 septembre 2011 13:35

                                                                                    Je ne veux choquer ou insulter personne mais la démocratie repose avant tout sur la bêtise des masses . Par bêtise il faut entendre cette sorte de comportement collectif animal fait de gentillesse , de crédulité , d’assez peu de sens moral et de pas mal d’avidité....avec des restes de « territorialité » , le vague souvenir d’une ancienne vie de meute , un soupçon d’orgueil ou de vanité ; masses versatiles , lourdes à déplacer mais quelquefois la tête prés du bonnet et un comportement de charognard quand coule le sang , difficiles alors à contrôler et à stopper....

                                                                                    Depuis longtemps les ( grands ) bourgeois qui ont initié puis tenté de conduire la Révolution de 89 et qui l’ont promu en 1871ont bien compris que s’il fallait faire la République pour le peuple , il fallait la faire surtout le plus possible sans lui et s’en méfier comme le lait sur le feu . Et c’est ainsi que l’on en est arrivé à la République oligarchique actuelle , celle dite « des partis » qu’a combattue De Gaulle , celle qui a eu finalement sa « peau ». C’est à l’échec flagrant et définitif de cette « quintessence »institutionnelle illustrée par le règne désastreux de Néron Sarkozy , la République des partis mariée au Régime Présidentiel , auquel nous assistons en ce moment .....car je vous le dis mes amis , cette crise , prise dans son ensemble , est avant tout pour nous Français une crise POLITIQUE ( les « solutions »doivent donc être d’abord POLITIQUES ! ).

                                                                                    Ce que je raconte n’a pas grand chose à voir avec la « loi Pompidou , Giscard , Messmer »de 1973 , mais si , au contraire.... ! Le peuple est trop « gentil » , « il n’y comprend rien » , « dans son intérêt » nous devons empêcher ses élus irresponsables de tirer inconsidérément des traites sur l’Etat et d’obtenir ainsi sans le contrôle de gens « raisonnables » un argent « facile » auprès de la Banque de France ! Cela alimente une inflation à deux chiffres qui « euthanasie les rentiers » et lamine les économies des possédants et des gens de qualité , « ce n’est pas bon pour la France » ! Voilà ce que s’est dit Giscard ( dit d’Estaing après son anoblissement par le Conseil d’Etat...) représentant de ces derniers , épaulé auprès de Pompidou malade par ses amis Rothschild ( « celui qui contrôle la monnaie contrôle le pays.... » dixit )...et avec la signature de l’idiot de service Messmer ! Cette loi avant d’être une question de gros sous , est donc une question de pouvoir ( l’une n’empêchant pas l’autre !).Le peuple ne peut se diriger seul , il doit être « conduit »par des gens « responsables » , qui savent ce qui est bon ou mauvais pour lui....etc. On en revient à ce que je disais plus haut...

                                                                                    Je ne peux utiliser Agora Vox , qui m’accueille gentiment , pour faire de la propagande politique ( et surtout révolutionnaire...) , je remarquerai donc simplement que la crise financière actuelle en faisant apparaître au grand jour le fiasco des politiques menées dans presque tous les domaines depuis 40 ans et les tares du « système » , nous offre l’opportunité historique de tourner RADICALEMENT la page et d’en ouvrir une nouvelle comme nos aïeux l’ont fait à leur époque ! Si nous ne le faisons pas , le « système » va se régénérer sur notre dos...
                                                                                    NB/ En évoquant un « changement » , je ne parle pas bien sûr de l’élection de 2012 puisque les candidats à cette élection et les vagues programmes proposés ne sont que les restes , les reliquats ou les déjections d’un système agonisant....

                                                                                    • Jason Jason 11 septembre 2011 14:59

                                                                                      En fait, le pouvoir régalien de l’Etat de créer de la monnaie a été privatisé.

                                                                                       L’Etat ne paie pas un salaire, mais un loyer (on parle couramment du loyer de l’argent) et il rend cet argent, le principal, et le loyer pour cet usage. Mais pourquoi louer quand on peut en fabriquer soi-même, et sans loyer ?.

                                                                                       Inflation de 3% face à une croissance de 4% ? Pas possible dans la mesure où le capital investit dans des zones économiques à bas coûts. Et puis, il est beaucoup plus profitable d’utiliser le grand casino mondial (low transaction costs face aux risques sociaux et politiques) plutôt que de s’enquiquiner à fonder des entreprises dont la gestion est lourde avec tous les coûts induits. Donc, l’argent va ailleurs, il circule librement, alors que le travail et la consommation restent confinés dans les limites d’un (ou de plusieurs, l’Europe) pays.

                                                                                       Certains économistes ont cru qu’un équilibre se réaliserait tôt ou tard, et que tous comptes faits l’harmonie régnerait dans une atmosphère de « doux commerce » chère au XVIIIème siècle. Le vrai capitalisme utopique !!!

                                                                                       Mais, il n’en est rien, car les hypothèses se révèlent fausses.

                                                                                       Qui est responsable ? Mais, personne, mon bon Monsieur.

                                                                                      P.S. Pompidou qui alors dirigeait le pays, venait de la banque. Tout est dit.

                                                                                      Re- Post Scriptum. Les hommes politiques n’on aucun pouvoir (car local, ou national) face aux colossales masses financières en jeu sur lesquelles ils n’ont aucune influence. Faites chauffer la colle, car les débris sont nombreux !!!


                                                                                      • Panisse Panisse 12 septembre 2011 00:58

                                                                                        Avec sa banque centrale publique la libye était en plus le pays le moins endetté au monde. Quand on sait que le système ne fonctionne que par la dette, on comprends mieux pourquoi on est allé leur porter la « pax OTANia » en Libye.

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