• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Accueil du site > Tribune Libre > « Les Français sont comme un enfant » (Jacques Attali)

« Les Français sont comme un enfant » (Jacques Attali)

Je ne pourrais malheureusement, par respect pour sa propriété intellectuelle, vous donner que quelques extraits de la grande interview de Jacques Attali. Mais rassurez-vous, grâce au Républicain Lorrain et à ce lien, je ne doute pas qu'un faisceau lumière éblouira vos foyers. Et si l'étincelle de la pensée de "l'un des intellectuels les plus écoutés de la République" vous apporte la lumière. N'évitez surtout pas la lecture de son ouvrage, "Devenir soi". La critique de son livre par Marianne, mérite également que vous vous y arrêtiez quelques minutes.

L'intelligence de Jacques Attali n'est certes pas discutable. Sa faculté de raisonnement, pour un polytechnicien et énarque extraterrestre, est tout à fait normale. Hélas pas pour nous pauvres bipèdes incultes, incapables de suivre cet ego volant bien trop haut. Cet être paranormal doué de la science infuse dès le jour de sa naissance à Alger. Maintenant que l'objet est identifié, passons à la suite.

Il ne fait aucun doute que le journaliste désigné pour interroger la tête éclairante de la nation avait été judicieusement sélectionné. Pas une seule question qui fâche, du cousu main, sur mesure. Triste et fichu métier que de servir la soupe selon la ligne éditoriale décidée par le financier propriétaire, car sinon condamné à vie à la rubrique des chiens écrasés.

Autrement Attali ne s'est montré ni optimiste ni pessimiste dans notre avenir, le sien étant assuré. Voilà au moins une vision sans risque "Cela dépendra de ce que nous ferons" avait-il déclaré. Et lui sait parfaitement ce que nous devons faire, il ne nous reste donc plus qu'à l'écouter. D'ailleurs Jacques Attali ne dit pas que des bêtises. La preuve dans cette phrase "il s'agira de sortir de l'absurdité des batailles de personnes". Il parlait des élites politiques bien sûr. Car pour nous, n'avons-nous pas notre destin entre nos mains et le choix d'écouter qui nous voulons. Donc lui évidemment.

D'ailleurs Jacques Attali dans sa grande clairvoyance va nous guider sur le bon chemin vers 2017, voire même 2025. Et d'annoncer, "Je proposerai d'ailleurs moi-même, qui ne suis pas candidat, un programme pour 2017". 

Nous sommes sauvés, mais qui va l'écouter ? Je vais vous donner une piste, elle est dans la question suivante posée par le journaliste.

Francois Hollande est-il selon vous l'homme de la situation ?

"Il est, à mon avis, le meilleur ou le moins mauvais président depuis François Mitterrand. Il est honnête, compétent, travailleur et intéressé uniquement par le service de son pays, contrairement à ses prédécesseurs. Malheureusement, il n'offre pas suffisamment une vision à ses concitoyens. Or, les Français sont comme un enfant à qui l'on demande de faire ses devoirs. Ils n'en comprennent l'intérêt que si ces devoirs permettent de préparer un avenir".

Ne vous l'avais-je pas dit ? Et au passage vous remarquerez qu'Attali donne une petite claque à son copain ancien maire de Neuilly, et pointe du doigt tous les responsables politiques de plus en plus "décevants" et "médiocres", sans "courage" ni "vision". Heureusement que Monsieur Attali est là pour nous servir de boussole.

Au sujet du livre de Zémmour

Jacques Attali se demande combien de personnes ont réellement lu ce livre de 534 pages. Car s'ils l'avaient lu, "ils ne diraient pas ce qu'ils en disent" et "Visiblement personne n'a lu ce livre, sinon on aurait eu un scandale". Pour conclure finalement ce chapitre par " Tout ceci est absurde, un tissu d'âneries". 

Sans juger sur le fond l'opinion du grand penseur, ne sentez-vous pas dans son propos, poindre un zeste de jalousie devant le succès de librairie du "Suicide français". Mais passons et revenons sur l'origine du mal français qui "exige un grand choc" selon Attali. "Une prise de conscience" qui il l'espère "ne passera pas par le Front National". 

Voilà justement une bonne raison pour évoquer l'identité nationale

"L'identité vous est imposée. Elle est une aliénation" dit-il. Si j'ai bien compris, mais j'en doute ; un problème avec mon Q.I probablement. C'est un peu comme le baptême pour les catholiques, les parents ne demandent jamais l'avis du nourrisson. De l'eau et du sel et te voilà chrétien pour la vie mon fils. Mais j'ai peut-être mal interprété ce que voulait exprimer Jacques Attali. Serions-nous tous frères, Mohamed, Paul ou Vladimir ? Et au diable le nationalisme, vive le peuple des citoyens de la terre. L'exemple qu'il donne ensuite est frappant.

"Un Français de souche par exemple, quelle est son identité ? Les Francs ? Les Gaulois ? l'homme de Néandertal ? L'identité est toujours en mouvement, elle est en devenir. Sinon, l'identité, c'est l'homme de Néandertal ! " 

La théorie de l'évolution revisitée par Jacques Attali, mais mon Dieu que va donc devenir l'Homo sapiens dans le futur.


Moyenne des avis sur cet article :  3.96/5   (50 votes)




Réagissez à l'article

88 réactions à cet article    


  • howahkan Hotah 4 janvier 2015 18:47

    son avenir comme nous tous est d’être de la nourriture à petites bêtes et ça lui fou les boules,alors il s’occupe pour essayer d’oublier,comme nous tous !! ...........ou un peu genre cendre de cigare...l’humain n’ a jamais eu d’avenir...........le futur n’existant pas.........on ne le sait pas ,c’est tout....c’est t entre autre çà qui nous rends mauvais, on ne sait rien par nous meme..ni de nous meme...

    les cimetières sont dit on, qui est ce « on » ?? remplis de gens irremplaçables.......
    ça doit encore être une connerie....


    • gruni gruni 4 janvier 2015 19:24

      Oui mais les irremplaçables rêvent de laisser une trace dans l’histoire, une sorte d’immortalité. Donner son nom à une place, une rue, un monument, des livres. Pourquoi pas rentrer au Panthéon. Mitterrand croyait aux forces de l’esprit. Mais pour l’instant il n’est toujours pas revenu. Son labrador peut-être.


    • Emmanuel Aguéra Emmanuel Aguéra 6 janvier 2015 11:00

       salut,

      J’ai mes opinions sur Attali. Pas toutes bonnes, le type présente pas mal de facettes parfois surprenantes.
      Cette interview n’est qu’une séance de promotion : Qu’on se le dise, Attali réapparaît, un nouveau bouquin sort, la vie normale, qui vous donne donc Gruni, l’occasion de fusiller l’extra-terrestre à bout portant.

      Pourtant. Qu’on adore ou qu’on exècre le bonhomme, et vu le phénomène, il est prudent d’assurer un bonne argumentation. Vous n’en avez, Gruni, proposé aucune. Je respecte les contradictions, mais de grâce, étayez !

      Le fait, par exemple, qu’il ridiculise les recherches d’identité à laquelle se réfères les beaufs de divers accabits ne s’apparente pas à un révisionnisme de l’évolution. C’est le contraire ; Il vous a sur-estimé. Et puisque que vous descendez la formule, il aurait été sinon honnête, du moins intelligent de contre-argumenter. Mais, là Gruni... plus personne, ah si : au secours, Darwin... tu parles. Vous auriez pu nous expliquer où il faut s’arrêter puisque Neandertal n’est pas le bon arrêt. Quand commence l’identité nationale ? A l’arrivée des indo-européens en Europe ? avant ?, c’est après, c’est quoi la souche ? c’est quand et c’est où ? L’identité nationale de Charlemagne (capitale, Aix-la-Chapelle), celle de Pétain (capitale, Vichy), celle de Zidane ou celle de Jean-Paul Sartre ou la vôtre sont-elles différentes, et en quoi, ou ressemblantes, et en quoi ? Croc-Magnon ou Neandertal ne sont là que pour paraphraser l’absurdité de cette notion absude d’identité nationale, qui n’est que mauvais pansement sur mauvais malaise moralMieux vaut en effet en trouver les raisons chez l’autre, le mal identifié, le non-identifié...
      Y voir une conception revisitée de Darwin, Gruni, n’est pas simplement complétement stupide, c’est malhonnête. Surtout sans argumenter, mais vous deviez être pressé.

      C’était un exemple. Les sujets, abattus les un après les autres dans votre article, sont pourtant de vrais sujets, la fusillade d’abord, on développera plus tard. Et plus tard, rien.

      Il y avait mieux à dire sur le cas Attali que ce festival vulgaire et ce flingage du personnage : nous parler de son copain de Neuilly« (vous avez lu le livre ????), de sa jalousie à l’égard du succès de Zemour ou de cette loufoque et imaginaire remise en question d’un Darwin »pipolisé« ... C’est du caniveau, Gruni, du caniveau.
      Dommage, vous aviez soulevé des points intéressants, sans en développer aucun :
      - A quand donc un argumentaire sur cette politique éditoriale, ce »lissage« de l’interview que vous évoquez sans l’appuyer ? Où transparaît ce lissage dans les questions ? Qu’auraient été les vôtres, les bonnes ? (par exemple).
      - A quand une réponse sur l’inanité de la question de l’identité nationale dont vous descendez l’argument sans expliquer ni pourquoi et proposer votre point de vue ? Contestez-vous, par exemple, la généalogie néandertalienne et en quoi est-elle si évidemment anti-évolutionniste à votre avis ?
      - A quelle fin, et basée sur quelles sagaces observations, cette accusation de jalousie digne d’une émission de télé-réalité de tf1, ça c’est la meilleure. Enfin, la plus triste.

      Je constate que cet extra-terrestre d’Attali, fidèle à lui-même a fait une nouvelle victime. La dialectique impersonnelle qui lui fait présenter des évidences factuelles comme des opinions et ses opinions comme des évidences factuelles, le rend difficilement contradictible, ce qui est très con pour les polémistes. C’est »débattez ou soyez cons". C’est sur ça fait mal aux égos... demandez à Sarko.... L’aisance du discours, si l’on en croit Boileau, démontre la fluidité du raisonnement. Ce type est énervant, il faut l’admettre, se calmer et relire.
      J’aurais préféré Gruni que vous m’aidiez à me positionner sur cette question : si l’on devait classer ce type dans un dictionnaire, est-il un intellectuel mondain, un politicien, un philosophe, un banquier ou un vendeur de soupe ? Quels doutes inspirent le type ? Doutes, pas suspicion, sinon ça perd tout intérêt. C’est à dire doutes en nous, c’est là que c’est intéressant, évidemment, car lire sans être prêt à changer d’avis est inutile et nuisible.

      Les gouvernements passent, les commentateurs passent, Attali reste. Ca devrait vous mettre la puce à l’oreille : Attali n’existe pas en tant que lui même, il expose la mauvaise conscience de ceux qui voudraient l’avoir bonne malgré qu’ils se battent pour le pouvoir. Mitterrand, comme Sarko, s’y sont cassé les dents.

      Essayons de mettre de côté le vendeur de bouquins rentables, et de nous intéresser aux paradoxes que soulève en nous cet intellectuel. En sont-ils vraiment, d’ailleurs ? Point intéressant, par exemple : si possible sans à priori : Comment peut-on penser que Hollande est le moins pire président de ces dernières années et pourtant désapprouver sa politique économique ? y a-t-il contradiction ?


    • gruni gruni 6 janvier 2015 11:50

      @Emmanuel Aguéra (avec un r)


      Cher Emmanuel, nous ne nous comprendrons donc jamais. Vous allez m’obliger pour vous répondre à travailler encore un peu, alors que je suis déjà épuisé par une longue semaine d’écriture à « fusiller » Drucker, Hollande, Dieudo et enfin Attali. Je vous rassure, j’ai visé la tête sans méchanceté et ils vivent toujours.
      sachez que lorsque j’écris un texte je ne dis jamais tout. D’abord c’est un article pas un livre que j’écris. Je n’ai pas le talent d’un Attali. Et puis je garde toujours des noisettes pour le forum qui suit. Et je répond d’habitude aux questions qu’on me pose, si elles sont posées avec un minimum de politesse.
      J’ai effectivement lu le livre de Sarkozy « Témoignage » et celui de Catherine Nay, « Un pouvoir nommé désir ». Mais vous ne suivez pas Emmanuel car sur Néanderthal, j’ai répondu dans un commentaire à Patrick Samba et je ne conteste pas la généalogie Néanderthalienne. Et si vous voulez le savoir, le mot souche me donne des boutons. Je veux bien parler de tradition chrétienne, mais pas de racines, elles sont ailleurs nos racines et vous le savez. Et vous savez également qu’au dessus du tronc chrétien poussent de nombreuses branches.
      Oui je crois qu’Attali est jaloux du succès de Zemmour, qu’on l’écoute plus que lui doit déranger son ego surdimensionné. Mais bien sûr, libre à vous de ne pas être de cet avis.
      Quant au titre de l’article, je ne l’ai pas choisi au hasard, quelque chose vous a peut-être échappé Emmanuel, personne n’est infaillible, et surtout pas moi. Je donne une piste sur l’article de Robert Branche. 

      Bien à vous

    • Emmanuel Aguéra Emmanuel Aguéra 6 janvier 2015 12:50

      merci des précisions et pardon de vous avoir ramené « au travail » smiley

      J’ai rendu grâce (c’est bien la première fois !) à P. Samba pour sa première danse acceptable sur ce site. Je prends note de la circoncision donc voulue de l’article et comprends qu’après 1 semaine chez les Drucker, la fibre intellectuelle s’émousse, je vous l’avais dit d’ailleurs !

      Néanmoins, je reste assez dubitatif sur la qualité du débat qui peut suivre un tel article (à charge et sans contre argumentation. C’est dangereux. j’ai essayé d’aiguillonner les débats, de les « philosophier » un peu, si je puis dire, l’ambiguïté du personnage s’y prête, mais rares sont les avis bien cernés. C’est justement l’interessant avec ce type : pourquoi. J’ai essayé de le dire.

      Je me perds en définition inutiles et nuisibles, mais, je propose de résumer la pensée d’Attali dans cette phrase : En désarticulant les contradictions, Attali fait traverser des miroirs. Comprenne qui pourra.


    • Emmanuel Aguéra Emmanuel Aguéra 6 janvier 2015 12:52

      pourra avec 2 r... merci pour l’orthographe ! Mais vous pouvez m’appeler Emmanuel, vous savez ! smiley


    • howahkan Hotah 4 janvier 2015 20:07

      Salut gruni...illusion que tout cela bien sur.....

      on ne refuse pas la naissance mais la mort si.....après on s’étonne, mais nous n’avons a aucun moment le choix....
      et qui vient d’une partie du cerveau, le peu qu’il nous reste.....je sais par expérience que on en a perdu une partie ou le sens est ..

      salutations..


      • christophe nicolas christophe nicolas 4 janvier 2015 20:51

        C’est typique du serial harceleur. « tu es un enfant, c’est donc normal que je prenne des décisions pour toi » alors qu’un adulte ayant l’absence de malice qui caractérise l’enfant prend de très bonnes décisions.


        Il peut difficilement présenter simplement sa vérité qui est à vomir car il sert d’autres intérêts alors il ne peut pas être clair, il est forcément incompréhensible.

        C’est comme Attila, que voulait Attila ? Il faisait la guerre pour l’or, c’était un maître chanteur qui devait faire peur et pillait une cité sur deux pour satisfaire sa horde de fainéants, barbares, cupides et cruels tout en laissant une forme d’espérance pour éviter une coalition qui se révolte. 

        Attali fait peur pour favoriser son Lobby, sa caste élitiste, cupide, cruelle, impudique et mondialiste. Ce n’est pas plus compliqué.

        • gruni gruni 4 janvier 2015 21:03

          Oui, Attali est un vrai père pour nous.

          Dommage qu’il cache un martinet derrière son dos.

        • christophe nicolas christophe nicolas 5 janvier 2015 12:24

          C’est la définition d’une vipère


        • Emmanuel Aguéra Emmanuel Aguéra 6 janvier 2015 11:13

          « il sert d’autres intérêts alors il ne peut pas être clair, il est forcément incompréhensible. »

          Merci de préciser. Vous avez l’air au courant de choses : sources, liens, merci, si possible objectifs. Histoire de m’aider à me faire une opinion sur le bonhomme. Rarement vu en tous cas un type cristalliser autant la haine (juste au-dessus, par exemple). Quand un type dérange à ce point en ayant un discours aussi pointu, il y a anguille (pas vipère !) sous roche. Donc matière à reflexion.
          Malheureusement, comme je le reprochais au-dessus à Gruni, on tire d’abord, alors on aurait l’air con d’argumenter après... C’est du protectionnisme mental ?


        • riff_r@ff.93 [email protected] 4 janvier 2015 23:16

          Attali philosophe ? gourou ? bonze tibéto-germanopratin ? ... Pour le coup c’est surtout un VRP infatigable des banques et notamment de sa boîte de microcrédit !
          ( extrait de l’article )
          Q : Jacques Attali, que souhaitez-vous pour la France en 2015  ?
          R : On ne doit pas offrir des vœux aux gens, on doit leur dire ce qu’on peut faire pour les aider à réaliser leurs vœux.
          ( ... )
          Q : C’est pourquoi vous avez décidé de conseiller non plus les hommes politiques mais vos concitoyens ?
          R : Exactement. À chacun, je dis : « Débrouillez-vous. Faites sans eux
          ( sans l’état ). Choisissez votre vie ».
          Etonnant non ?
          Pour répondre à la question d’Attali : "Un Français de souche ( sic ) par exemple, quelle est son identité ? Les Francs ? Les Gaulois ? l’homme de Néandertal ?"
          Un français, c’est quelqu’un qui sait ce que veut dire trahison des élites  ! La caste dirigeante nous a trahi en nous enlisant dans le bourbier de l’UE et en abandonnant notre souveraineté. Nos grands patrons, incompétents, corrompus et milliardaires terminent de brader ce qui reste de notre savoir faire industriel. Nos médias ne sont qu’une meute de chiens de garde... C’est la triste réalité. Mais un français, c’est aussi quelqu’un qui sait ce le peuple peut faire quand il s’unit. Mon vœu pour 2015 est donc qu’un maximum de français comprennent l’urgence qu’il y a à sortir de l’UE, de l’euro et de l’OTAN. Pour que le peuple souverain et responsable sonne enfin la fin de la récré pour ces sales gosses que sont Attali et consorts.


          • Emmanuel Aguéra Emmanuel Aguéra 6 janvier 2015 11:22

            Vous êtes déjà en guerre, au front avec l’arme en joue et on vous demande de réfléchir... Evidemment, c’était risqué.

            L’europe m’a permis, voyez-vous, d’être le premier de ma famille à arriver à 57 ans sans avoir connu de guerre. J’en suis heureux et les gens comme vous me font peur, y’en a régulièrement dans l’histoire. C’est d’ailleurs ce qe vous dit Attali.

            (Je comprends que vous n’aimiez pas les banquiers. C’est pourquoi vous n’avez pas de compte en banque, bravo !)

            Vous puez la guerre.


          • Captain Marlo Fifi Brind_acier 6 janvier 2015 19:07

            Emmanuel,
            C’est ce qu’on nous raconte : « L’Europe, c’est la paix ».

            Ce ne sont pas les traités européens qui ont empêché des conflits majeurs, c’est la bombe atomique dans les deux camps, et ce qu’on a appelé l’équilibre de la terreur.


            Le mur de Berlin n’est tombé qu’en 1989, l’ Union européenne n’existait pas, elle a été crée par le Traité de Maastritch en 1992. Ce n’est donc pas l’ UE qui a empêché les conflits, puisqu’elle n’existait pas.

            En Europe c’est la guerre économique, et la guerre est désormais partout où le décide l’ OTAN, à laquelle appartiennent les pays européens :
            Afghanistan, Yougoslavie, Irak, Libye, Somalie, Soudan, Mali, Syrie, Ukraine..., c’est ce que vous appelez la paix ?

            « L’UE ce n’est pas la paix, c’est la guerre ! »


          • Le p’tit Charles 5 janvier 2015 07:44

            (L’intelligence de Jacques Attali n’est certes pas discutable)...le problème (il me semble) est que justement il n’est en rien ontelligent.tout au plus instruit par « ses » grandes écoles à déverser son « Bagoût » sur les ondes et être à l’écoute de politiciens incompétents...Le résultat restant (je pense) un « 

            Maelstrom »
            informe d’ou ne sort que des inepties...Pour preuve son parcours politique fait de vide et de néant...
            Un de plus me direz vous.. !
            La politique est comme les religions..un livre au page blanche qui ne repose sur rien...C’est l’économie qui fait un pays (par son travail)...pas les politiciens...
            +++

            • gruni gruni 5 janvier 2015 08:07

              Vide...Néant, et pourtant conseiller de plusieurs présidents. Chercher l’erreur.



            • howahkan Hotah 5 janvier 2015 08:59

              l’un n’empêche pas l’autre...le fait d’avoir trouvé les moyens d’etre élu, n’implique aucune autre capacité que de le vouloir et d’avoir passé le contrôle technique approuvé par le banquier, de meme que d’être conseillé n’implique rien d’autre que de le vouloir déjà, puis d’avoir aussi pssé le controle technique approuvé par le banquier...

              au delà il n’y a aucune garantie de quoique que ce soit...

              je rejoins donc la vision de petit Charles
              j’ai toujours trouvé étonnant, surprenant, incroyable etc les personnes qui sont impressionnées par d’autres personnes surtout pour des raisons intellectuelles , j’avoue ne pas comprendre ! ceci dit cela explique tant de choses comme la soumission, le suivisme , etc etc et toutes les catastrophes que cela entraîne

              on est encore dans le mythe de la competition et du meilleur,deux mythes faux car si ils étaient vrai nous avons donc le meilleur des mondes a chaque seconde qui passe, et ma grande tant non juive je précise décédée en camps de travail a Auschwitz et mon grand pere décédé quelque part a verdun doivent bien sur etre tres ravis de cela, ils sont morts non pas pour le banquier mais parce que nous avons créé le mythe du meilleur..une illusion que peut de personne voient ..

              d’ailleurs que voit on de profond ? quasiment plus rien du tout..
              ça doit être un plaisir de manipuler le crédule pour celui qui aime se servir des autres...

              pendant ce temps l’Ukraine sombre dans les heures les plus tragiques avec le renouveau au grand jours du nazisme ,pays dirigé par un oligarque sioniste..bizarre non ??


            • howahkan Hotah 5 janvier 2015 09:13

              traduction du titre en
              anglais :

              Something wrong with Ukraine, EU’ : Czech leader condemns ‘Nazi torchlight parade’

              Il y a quelque chose qui ne va pas avec L’Ukraine et L’union européenne : le leader Tchec condamne la parade nazi aux flambeaux

              vous la sentez la folie ?????????????????,


            • Le p’tit Charles 5 janvier 2015 10:16

              bof...vu la pointure de ces présidents..le même niveau en quelque sorte.. !


            • Emmanuel Aguéra Emmanuel Aguéra 6 janvier 2015 11:23

              Au moins gruni, vous reconnaissez qu’il y en a une !!!! smiley smiley smiley


            • Fergus Fergus 5 janvier 2015 10:21

              Bonjour, Gruni.

              Le côté professoral d’Attali et en effet très agaçant. Mais plus encore sa manière de retomber sur ses pattes, quels qu’aient pu être ses propos antérieurs, lorsque la conjoncture met mal certaines de ses certitudes du passé. Cela dit, Attali ne dit pas que des âneries, par exemple sur l’identité en perpétuelle évolution.

              Bref, il ne mérite ni tant d’admiration ni tant de haine de la part d’un public divisé. Un public divisé, mais surtout clairsemé, car qui écoute encore avec attention ce que dit Attali ?


              • gruni gruni 5 janvier 2015 10:36

                Bonjour Fergus


                Bien analysé Fergus, mais je suis quand même curieux, plus qu’intéressé, par son programme 2017.
                Du libéralisme à tous les étages, avec juste un soupçon de social pour faire passer la pilule. Avec en prime sa professorale certitude de détenir la vérité absolue.

              • Patrick Samba Patrick Samba 5 janvier 2015 13:22

                Bonjour,

                très bien tout ça.
                Mais Gruni il n’en reste pas moins que vous écrivez :
                 «  »Un Français de souche par exemple, quelle est son identité ? Les Francs ? Les Gaulois ? l’homme de Néandertal ? L’identité est toujours en mouvement, elle est en devenir. Sinon, l’identité, c’est l’homme de Néandertal ! La théorie de l’évolution revisitée par Jacques Attali,..."

                Pourriez-vous nous dire en quoi cette citation d’Attali revisite la théorie de l’évolution ?


              • gruni gruni 5 janvier 2015 13:37

                Bonjour


                C’est une bonne question

                Mais passer de l’homme de Néandertal sans passer par l’Homosapien avant de parler des Gaulois et des Francs, m’a paru un peu rapide. Mais ce n’était en fait que le genre de phrase employé pour terminer un article par un clin d’oeil. Attali en sait sans doute plus que moi sur notre Histoire.

              • Patrick Samba Patrick Samba 5 janvier 2015 13:53

                « Mais ce n’était en fait que le genre de phrase employé pour terminer un article par un clin d’oeil. »

                Ah, ok, vous faites de l’ « Attali » en somme...

                .
                « Attali en sait sans doute plus que moi sur notre Histoire ».
                De l’ « Attali » mais en mieux donc....


              • gruni gruni 5 janvier 2015 16:17

                Attali est inimitable ! Heureusement, un c’est bien assez .


              • abelard 5 janvier 2015 17:47

                @Fergus

                « Cela dit, Attali ne dit pas que des âneries, par exemple sur l’identité en perpétuelle évolution. »

                Ecrivez vous.
                Je serais un peu moins enthousiaste que vous...
                En effet, dire que l’identité est en perpétuelle évolution n’est peut être pas une ânerie, mais c’est bel et bien un truisme de la plus belle eau ! Une lapalissade !
                « L’eau mouille » déclare Attali ! On ne va peut-être pas l’applaudir pour ça... D’autant que l’exemple qu’il donne : un Français de souche est-il un Franc ou un Gaulois ? est la preuve qu’il ne comprend pas lui même ce qu’il raconte.
                Car qu’est ce qu’un Franc ? Qu’est ce qu’un Gaulois ?
                L’identité est en constante évolution car l’identité est culturelle, tout simplement. Toute culture, toute langue, évolue, cela ne l’empêche pas d’exister !
                Si l’on remplace dans la phrase du bouffon « identité » par « culture », ce qui revient au même, cela donne :

                « La culture est en perpétuelle évolution... »

                Pas sûr que ça mérite autre chose qu’un soupir las accompagné d’un haussement d’épaule devant tant de balourdise.


              • Captain Marlo Fifi Brind_acier 6 janvier 2015 08:54

                Je crois bien qu’ Attali est pour que les humains n’aient plus d’identité du tout.
                Des nomades sans racine, sans attaches, qui airent à la recherche de travail ou de nourriture...
                Soleil vert.


                Son programme est déjà dans cet article, où il déconseille de s’organiser, plus de syndicats, plus de partis politiques, plantez des patates et ne vous occupez plus de rien.
                « Débrouillez-vous ! »

                C’est un sale type, un malin, ennemi du genre humain, qui prône en loucedé le Nouvel Ordre Mondial.

              • Emmanuel Aguéra Emmanuel Aguéra 6 janvier 2015 11:25

                Patrick !!!! malgré toutes les conneries que vous nous sortez régulièrement sur les drônes (j’attends la prochaine, vous aviez promis que c’était fini ou presque), bref, vous sortez le premier commentaire intelligent de ce fil, BRAVO !


              • Emmanuel Aguéra Emmanuel Aguéra 6 janvier 2015 13:18

                Salut Fergus,

                Réponse : moi.
                j’ai expliqué un peu partout pourquoi. Par amour de la polémique ? c’est possible. J’avance souvent en tâtonnant et en essayant de me donner tord. Or, Avec Attali, c’est facile, après 3 lignes, on se sent idiot. La négativité de la situation est est une mine d’or pour la réflexion : qu’est-ce qui, à part le personnage insaisissable, ses contradictions apparentes et sa curieuse transparence intellectuelle, fait que la logique de ses réflexions énervent autant de tous côtés, et en même temps aussi souvent serve de références intellectuelles même auprès des grands de ce monde.
                C’est un drôle de type, y’a qu’à le regarder : Il ne laisse pas indifférent. je n’arrive pas à avoir d’avis mais qu’importe, je m’en sers comme d’une béquille quand je le croise. Rien d’applicable, on ne s’appuie pas indéfiniment sur une béquille. Mais on peut s’y reposer, apprécier l’efficacité et en profiter pour réfléchir un peu. il ne sert à rien en l’occurrence d’être d’accord ou non. Il ne se présente nulle-part. On accepte ou non de considérer ses axes de réflexions, et si oui, et parfois même à contrario, ils finissent par s’imposer comme autant de nœuds gordiens de notre société malade. D’où les déchaînements de passions, d’ailleurs, il tape là où ça fait mal.
                .


              • pergolese 5 janvier 2015 11:12

                Attali, c’est un peu comme bhl...des gens aux ego surdimensionnés qui occupent de manière illégitime l’espace médiatique.


                • Fergus Fergus 5 janvier 2015 12:06

                  Bonjour, Pergolèse.

                  « qui occupent de manière illégitime l’espace médiatique »

                  Ne nous trompons pas de cible sur ce point : seuls les journalistes sont responsables du choix des personnes qu’ils invitent à leurs micros ou devant leurs caméras. A cet égard, il est encore plus choquant de voir et d’entendre régulièrement Balkany !


                • blablablietblabla blablablietblabla 5 janvier 2015 12:02

                  Bonjour, ce type est un triste sire qui sers que ses intérets avant toute chose , en clair il cherche à se faire du « fric » par ses soi disant analyses socia let géopolitique mais qui y croient ? 

                  Gruni , il y croit vu qu’il en fait un article , attali je ne l’écoute meme pas mitterandiste , sarkoziste et maintenant hollandiste vous m’avez compris !

                  • o.man 5 janvier 2015 13:33

                    Le meilleurs est pour la suite , il voit E.Macron futur Président de la République .

                    Il prend ses rêves pour des réalités , les vessies pour des lanternes et les Français pour des enfants (cons) .

                    Un Banquier président ! 
                    Et pourquoi pas Premier Ministre tant qu’il y est .


                  • Captain Marlo Fifi Brind_acier 6 janvier 2015 08:57

                    On a bien eu Pompidou, pareil, il venait de chez Rothschild...
                    Il nous a collé la loi bancaire et a fait entrer les Anglais dans l’ Europe, ce dont De Gaulle ne voulait à aucun prix.


                  • lloreen 6 janvier 2015 10:22

                    Il y a toujours Macron...qui vient de chez Rothschild.
                    Le changement est donc maintenant...


                  • blablablietblabla blablablietblabla 5 janvier 2015 12:07

                    On appelle ça un opportuniste !


                    • blablablietblabla blablablietblabla 5 janvier 2015 12:17

                      Et voyez vous ça ne m’étonne pas qu’il soi avocat lui aussi.

                      dans la politique ya que des avocats et ce dpuis très longtemps , de grand orateurs , et ça remonte à la révolution , Robessepierre , Danton st juste qui été clair , mitterrand , Nicolas Sarkozy, marine lePen , et bien d’autre , mais ce n’est que du vent ces gens là , tant que des gens sont séduit par une certaine réthorique , qui quoi qu’on en pense bien que chez certain est devenu un art et bien on sera dans la mouise la plus totale !

                      • Jean Keim Jean Keim 5 janvier 2015 12:23

                        Monsieur Attali est un penseur qui pense que voulez-vous qu’il produise d’autre que des pensées ?soyez logiques ! 


                        • blablablietblabla blablablietblabla 5 janvier 2015 12:25

                          ha ha ah ah tout à fait , je crois que vous avez tout dit !


                        • Aldous Aldous 5 janvier 2015 12:29

                          Un grand défenseur de l’euthanasie ? Montre l’exemple ! 


                          • cathy30 cathy30 5 janvier 2015 12:31

                            Ce triste monsieur a oublié le temps où François Mitterrand l’appelait Rank Xeros, à cause de la photocopieuse (pompage). Plus c’est bête, et plus c’est orgueilleux.


                            • gruni gruni 5 janvier 2015 12:58

                              Mitterrand disait aussi qu’Attali avait 100 idées par jour, mais qu’il était difficile d’en choisir une.


                            • blablablietblabla blablablietblabla 5 janvier 2015 13:04

                              Houla ça je savais pas , quoi que mitterrand disait beaucoup de choses ce grand bourgeois qui n’avait trouvé mieux pour prendre le pouvoir en France que de se mettre du coté du peuple.

                              il avait tout compris feu François Mitterrand !

                            • o.man 5 janvier 2015 13:36

                              100 idées ou sans idées ?


                            • gruni gruni 5 janvier 2015 13:39

                              Aurions-nous la même idée ?


                            • o.man 5 janvier 2015 14:06

                              Mittérand nous avait prévenu aussi que nous entrerions en guerre contre l’Amérique .

                              Sacré François , il n’a cessé de nous envoyer des messages codés et le seul qu’on ait entendu , c’est le dernier .

                              Je suis sûr qu’il savait qu’Attali était un incompétent et un traitre à la Nation , il préférait les avis éclairés de l’Astrologue Elizabeth Teissier .


                            • Emmanuel Aguéra Emmanuel Aguéra 6 janvier 2015 11:29

                              Laquelle Gruni ???? décidement vos jeux de piste... le manque d’argument, passe encore, à force de lire article et commentaires, je me suis habitué, mais carrément le sujet à deviner, alors là, vous y allez fort !


                            • GrandGuignol GrandGuignol 5 janvier 2015 12:56

                              Attali c’est pas celui qui nous prédit qu’après les animaux se sont les hommes qui seront « Pucés » (RFID)  ?

                              C’est pas aussi celui qui parle d’un gouvernement mondial dont il verrait bien pour capitale Jérusalem ?

                              Ce type là est une anguille, pas un intellectuel, ses diatribes confuses ne trompent plus personne et ses analyses et conseils économiques ne s’adressent pas à la population mais à l’élite et à une certaine avant garde française.
                               
                              Infiltré dans les milieux politiques depuis des lustres, il conseille nos président sur un chemin prévu depuis longtemps, un chemin qui mènent les peuples vers un monde des plus sombres où l’élite supérieure régnera en maître sur les esclaves.


                              • gruni gruni 5 janvier 2015 13:09

                                Remarquez qu’il y a de moins en moins d’esclaves, ils sont au chômage. Et étrangement de plus en plus d’élites. Regardez-les défiler sur BFMTV.


                              • GrandGuignol GrandGuignol 5 janvier 2015 13:34

                                Oui vous avez raison....  smiley

                                Trop d’esclaves c’est dangereux.. m’étonnerais pas que ce gugusse d’Attali nous ponde dans son prochain programme de 2017, une « solution finale » pour en finir avec tous les mendigots et chomeurs de longue durée, un peu comme aux USA où l’on commence à parquer les SDF dans les camps Fema.

                                Les SDF parqués en caroline du sud


                              • karibo karibo 5 janvier 2015 18:17

                                Bonsoir.

                                attila/ bhl, meme combat, ils ne sont écoutés que / les embrayages aussi pourris qu’ eux .

                              • blablablietblabla blablablietblabla 5 janvier 2015 13:09

                                J’aime tes articles Gruni et aussi de Fergus , fallot me fais penser à des fayots , hélas ha ha ha ha ah et surtout olivier Cabanel que j’apprécie ! 


                                • gruni gruni 5 janvier 2015 13:13

                                  Arrêtez, je vais prendre la grosse tête comme Attali.


                                  Mais merci quand même.

                                • goc goc 5 janvier 2015 13:12

                                  bonjour gruni
                                  j’ai le souvenir d’une question posée à JA concernant les 5 mesures les plus urgentes à prendre pour redresser le pays. Parmi ses réponses (que not’maitre_à_penser a bien « condescendu » à donner) il y avait celle-ci
                                  « Il faut former les chômeurs »
                                  quand on a lu ça on a tout compris
                                  traduction : il faut obliger les chômeurs à apprendre et donc à prendre n’importe quel métier, mais surtout un métier moins bien payé que le précédent afin d’abaisser au plus vite les bas salaires

                                  bien sur on va me dire que cela pourrait être aussi un moyen pour apprendre un métier plus valorisant. Mais là c’est prendre les gens pour des imbéciles. Former un chômeur pour qu’il trouve du travail, ne peut se faire qu’en abaissant le niveau et non en le valorisant


                                  • gruni gruni 5 janvier 2015 13:22

                                    L’idée de former les chômeurs n’est pas nouvelle. Le problème c’est qu’il n’y a pas de formations pour tout le monde. Alors pourquoi ne pas exiger du patronat un certain nombre de formations, selon l’importance de l’entreprise, en échange du pacte de compétitivité. Voilà que je me transforme en Attali maintenant. 

                                    Mais vous savez dans un nouveau métier, l’employé débute généralement au bas de l’échelle. A lui ensuite d’essayer de progresser. 

                                    • christophe nicolas christophe nicolas 5 janvier 2015 14:13

                                      Cela existe déjà et c’est totalement détourné, en tout cas là où j’étais. On a des patrons qui ont une logique de se battre pour la même part ce qui n’agrandit pas le gâteau. Pour résoudre ce problème, ils se mettent d’accord et augmentent la proportion du gâteau qui leur revient ce qui en laisse moins pour les autres puisque le plat n’est pas plus grand.


                                      Le gâteau, c’est la croissance, il commence à avoir mauvais gout, plus il grossit, plus il est dégueulasse.

                                      La solution est de rendre le gâteau nourrissant de transformer une chantilly industrielle en tarte à la châtaigne et aux figues de votre grand mère, logique qui semble hors de portée des cerveaux qui nous dirigent car ils parlent en m3.

                                      Vous n’y arriverez pas sans moi et mes découvertes,. Ce que vous appelez un « père » est en fait le gars qui a assassiné le vrai père, vous comprenez ? Non ? 

                                      Je vais vous expliquer simplement, c’est un criminel recherché depuis 2000 ans qui se dit juif mais ne l’est pas puisque ce sont les Chrétiens qui en sont les héritiers et que les palestiniens sont plus juifs qu’Attali qui parle de capitale mondiale à Jérusalem. Il leur reste une dernière chance de prendre le train en marche et d’arrêter leurs conneries, après, ils auront affaire à la Rome moderne...



                                    • TSS 5 janvier 2015 13:39

                                      Attali conseiller de tous,qui dit tout et son contraire viré de la BERD ,dont il etait le patron,pour

                                      avoir mis les mains dans la caisse... !!


                                      • izarn izarn 5 janvier 2015 13:49

                                        Je trouve au contraire l’intelligence d’Attali trés discutable. Un polytechnicien qui n’a jamais rien construit de sa vie d’utile et publiant des bouquins vide de sens ? Dont le succés est identique à ses comparses BHL ou Finkielkraut : Le matraquage systèmatique sur tous les canaux par des journalistes serviles. Mais qu’a t-il jamais dit d’interessant ? N’est-il pas le symbole lui meme de l’extreme médiocrité intelectuelle de nos pseudos élites de papier ? Le pantin qu’on agite pour masquer le crétinisme des politicards de tout poil ?


                                        • karibo karibo 5 janvier 2015 18:21

                                          de tous poils certes, mais surtout de gôche !


                                        • Auxi 5 janvier 2015 21:40

                                          Non, pas de « gôche ». Solfériniens ou assimilés : aucun rapport.


                                        • Emmanuel Aguéra Emmanuel Aguéra 6 janvier 2015 11:47

                                          Trop facile IZARN. Vous disqualifiez à priori. je comprends la perplexité devant des discours qui s’appuient essentiellement sur l’observation d’absurdités fondamentales dont notre énarque-X est friand ; Attali est formé à l’administration et à la finance, mais effectivement, ses châteaux sont bâtis sur des mondes parallèles. Ce type ne pourrait pas gouverner, et les présidents qu’il a conseillés n’ont pu le suivre. Pourtant il interpelle au fond. C’est là qu’il m’intéresse, je suis rarement en désaccord sur les points abordés, mais je reste incapable de les relier pour en faire un canevas général. Attali, si apparemment attaché au concrêt, parlerait-il dans l’absolu ?
                                          Le type m’intéresse comme un anti-bétise, la bête inverse, la nique au cynisme décomplexé.
                                          Politiquement, il n’est rien d’autre que le cauchemard des plus cons que lui. C’est à dire tous, il y a rarement 2 extra-terrestres en même temps sur la planête.


                                        • BA 5 janvier 2015 14:32

                                          Jacques Attali est un neuneu.

                                          Jacques Attali a plein de copains, qui sont des neuneus, eux-aussi.

                                          35 neuneus.

                                          35 neuneus ont écrit un article hilarant, à pleurer de rire !

                                          «  L’Euro, une chance pour la France, une chance pour l’Europe », texte publié dans le supplément économique du quotidien « Le Monde » daté du 28 octobre 1997.

                                          Signataires du texte :

                                          Michel Albert, membre du Conseil de politique monétaire ;

                                          Edmond Alphandéry, président d’EDF ;

                                          Jacques Attali, conseiller d’État ;

                                          Robert Baconnier, président du directoire du Bureau Francis Lefebvre ;

                                          René Barberye, président du directoire du Centre national des Caisses d’épargne et de prévoyance ;

                                          Claude Bébéar, président d’AXA-UAP ;

                                          Jean-Louis Beffa, président de Saint-Gobain ;

                                          Christian Blanc, ancien président d’Air France ;

                                          Christian de Boissieu, universitaire, économiste ;

                                          Jean Boissonnat, journaliste ;

                                          Philippe Bourguignon, président du Club méditerranée ;

                                          Monique Bourven, président-directeur général State Street Bank SA ;

                                          Hervé Carré, directeur des affaires monétaires à la Commission européenne ;

                                          Jérôme Clément, président de la Cinquième ;

                                          Bertrand Collomb, président de Lafarge ;

                                          Paul Coulbois, professeur émérite des universités ;

                                          Lucien Douroux, directeur général de la Caisse nationale du crédit agricole ;

                                          Jean-René Fourtou, président de Rhône-Poulenc ;

                                          Jean-Marie Gorse, président national du centre des jeunes dirigeants (CJD) ;

                                          Gilbert Hyvernat, directeur général de la Croix-Rouge française ;

                                          Jean Kahn, président de la Commission consultative européenne «  racisme-xénophobie » ;

                                          Philippe Lagayette, directeur général de la Caisse des dépôts et consignations ;

                                          Pascal Lamy, directeur général du Crédit lyonnais ;

                                          Jacques de Larosière, président de la BERD ;

                                          Daniel Lebègue, vice-président de la BNP ;

                                          Robert Léon, gérant de Qualis SCA ;

                                          Edmond Malinvaud, professeur honoraire au Collège de France ;

                                          Gérard Mestrallet, président du directoire de Suez-Lyonnaise des eaux ;

                                          Jean Miot, président de l’AFP ;

                                          Thierry de Montbrial, membre de l’Institut ;

                                          Etienne Pflimlin, président du Crédit mutuel ;

                                          Jean-François Pons, directeur général adjoint à la Commission européenne ;

                                          René Ricol, président du Conseil supérieur de l’ordre des experts-comptables (CSOEC) ;

                                          Jacques Rigaud, président de RTL ;

                                          Gérard Trémège, président de l’Assemblée des chambres de commerce et d’industrie.

                                          L’euro et son cortège de promesses non tenues.

                                          L’interminable « crise de l’euro » révèle au grand jour les carences originelles de la monnaie unique. Alors que nos gouvernants feignent de découvrir l’ampleur de la crise, il faut rappeler que la quasi-totalité de l’élite économique et politique avait plébiscité l’euro (notamment en militant en faveur du traité de Maastricht).

                                          Cet article, publié par le journal « Le Monde » en 1997, est un bon résumé des incroyables promesses formulées à l’époque : la monnaie unique devait réduire la spéculation, assainir les finances publiques, favoriser la croissance et contribuer à l’harmonie entre les peuples. En somme, l’€uro était un projet aux bénéfices incalculables.

                                          L’amnésie et le zapping médiatique dominent assez largement le débat public. C’est pour cela qu’il est utile de retrouver certains documents emblématiques. Confronter les discours du passé avec les résultats actuels est souvent riche d’enseignements. Cette tribune co-signée par 35 éminents spécialistes (tels Jacques Attali ou Pascal Lamy), est édifiante.

                                          G.A.

                                          L’article en faveur de l’euro est ici :

                                          «  L’Euro, une chance pour la France, une chance pour l’Europe », texte publié dans le supplément économique du quotidien « Le Monde » daté du 28 octobre 1997.

                                          «  L’avènement prochain de la monnaie européenne nous concerne tous  : Français et citoyens de l’Union européenne. Et pourtant qu’en savons-nous exactement ? L’Europe, trop souvent présentée comme une abstraction et comme une source de contraintes, va enfin se concrétiser dans notre vie de tous les jours d’ici moins de cinq cents jours.

                                          En effet, dès le 4 janvier 1999, les épargnants se familiariseront avec la monnaie unique : les obligations, la cotation des actions, la valorisation des sicavs et des fonds communs de placement, notamment, seront exprimés en euros. Les prix commenceront à être libellés en euros. Les consommateurs, avant même l’introduction des pièces et des billets (janvier 2002), pourront régler leurs achats dans la nouvelle monnaie sous forme de chèques et de paiements par carte. Les entreprises, en particulier, celles qui ont une activité internationale, pourront basculer tout ou partie de leurs activités (facturation, trésorerie, règlements…) en euros.

                                          L’Union européenne, les Etats membres et de nombreuses entreprises ont d’ores et déjà engagé les préparatifs pour l’introduction de l’euro. Celle-ci ne constitue pas une fin en soi. Elle cimentera le rapprochement des citoyens européens, auxquels elle offrira davantage de bien-être, de cohésion et de capacités d’action.

                                          Sommes-nous pleinement conscient de la portée de cet évènement ? Mesurons-nous les enjeux et les opportunités engendrés par la réalisation de l’Union économique et monétaire ? Savons-nous que l’euro apportera :

                                          1. Le complément logique du marché unique. L’Europe a assez souffert des fluctuations de change depuis vingt-cinq ans pour ne pas chercher à fixer irrévocablement les taux de conversion des monnaies des Etats membres. Ne pas le faire, c’est nous condamner à encourir le risque de crises spéculatives, et à en payer indéfiniment le prix, notamment sous la forme de taux d’intérêts plus élevés.

                                          2. Une référence commune des prix dans les pays appartenant à la zone euro, ce qui developpera la concurrence et stimulera les échanges. Elle assurera ainsi des prix attractifs et effectivement comparables pour les consommateurs, dont les choix seront facilités par une offre de services d’une qualité croissante.

                                          3. Une gestion saine des finances publiques. Celle-ci est de toute façon indispensable. Mais coordonnée à l’échelle européenne, elle favorisera la croissance au sein d’un grand marché homogène, facilitera la modération des impôts et des taux d’intérêts bas. Elle bénéficiera aux investisseurs, aux consommateurs et aux entreprises qui pourront ainsi développer la recherche, l’activité et l’emploi.

                                          4. L’élargissement des possibilités de financement des entreprises et de placement de notre épargne dans un marché financier européen de taille mondiale.

                                          5. Une source de simplification et d’économie dans les transactions au sein de l’Union (disparition du risque de change, paiements transfrontaliers moins coûteux…).

                                          6. Une monnaie reconnue qui concurrencera le dollar et le yen. L’euro donnera à l’Europe, première puissance commerciale mondiale, l’expression de sa véritable dimension économique. La Banque centrale européenne assurera la stabilité du pouvoir d’achat tant dans notre vie quotidienne que dans nos placements à l’étranger. L’euro sera ainsi le symbole concret de l’identité européenne et assurera à l’Union européenne une position centrale dans le concert international.

                                          7. Dans une Europe unifiée par l’économie et la monnaie, les citoyens et les entreprises, disposant désormais d’une totale liberté de mouvement, pourront tisser des liens approfondis. Des solidarités nouvelles pourront alors naître dans les domaines sociaux, culturels et politiques. Ainsi si forgera une Europe plus harmonieuse et plus démocratique.

                                          Tous ces attraits de l’euro sont encore trop mal connus des populations européennes. Or l’adoption réussie de la nouvelle monnaie exige la confiance de tous, ce qui nécessite l’émergence d’un enthousiasme fort, expression d’une adhésion partagée. Il n’est que temps de susciter cette prise de conscience et cette appropriation de l’euro à tous les niveaux. La publication rapide d’un schéma de passage à l’euro pour l’ensemble de la société française constitue, à cet égard, une urgence.

                                          Depuis des siècles, l’Europe a recherché, par des voies souvent éphémères ou condamnables, une unité durable. Elle n’y est jamais totalement parvenue, car les valeurs d’égalité, de liberté et de fraternité n’ont jamais réussi à s’harmoniser durablement dans un cadre pacifique et démocratique.

                                          Aujourd’hui, le traité de l’Union européenne, ratifié par le peuple français en 1992, offre désormais une base solide pour tous les États membres. A travers l’Union économique et monétaire, c’est la société européenne de demain que nous bâtissons ensemble pour nous-mêmes et pour nos enfants. Une société fondée sur des valeurs humanistes et une culture à laquelle ont contribué tous les peuples de l’Union européenne. Ne laissons pas passer cette chance !

                                          Des voix s’élèvent encore de temps à autres pour inciter au doute et au rejet. Serons-nous prêts à temps ? Une telle union sera-t-elle durable ? L’euro n’est-il pas un facteur de chômage ? Tous ces efforts ont-ils un sens ?

                                          Ces interrogations sont surtout la manifestation d’un manque de confiance en nous-mêmes et dans notre capacité à faire face aux défis du monde d’aujourd’hui. L’Europe ne retrouvera la voie de la prospérité et du plein emploi que par la mobilisation des énergies et le respect commun de règles de bon sens (saine gestion économique, maîtrise des budgets…). Les efforts consentis hier et aujourd’hui en ce sens feront demain la force de l’Union européenne et assureront durablement notre prospérité ainsi que notre rayonnement dans un monde de plus en plus interdépendant.

                                          Au sein de l’Union, les pouvoirs publics français et allemands notamment déploient une détermination continue pour respecter les échéances de l’Union économique et monétaire.

                                          Il est grand temps que les acteurs économiques et sociaux intensifient leurs travaux d’adaptation pour bénéficier des avantages de cette mutation sans précédent. C’est au prix d’un tel engagement que les citoyens, informés de ces enjeux et de ces attraits, participeront alors positivement à l’émergence de la monnaie européenne.

                                          L’euro touchera à bien des aspects de la vie sociale, par exemple le fonctionnement des entreprises, des associations, des administrations et le quotidien du particulier. Ses bienfaits seront d’autant plus effectifs que les préparations techniques auront été engagées et achevées le plus tôt possible. C’est en levant au plus vite les contraintes du basculement que les banques et les entreprises pourront saisir les opportunités de croissance nouvelle ainsi offertes. Il s’agit d’une course contre la montre dont tous les acteurs doivent être pleinement conscients. C’est une chance mais aussi un devoir que de se préparer au plus vite.

                                          L’euro sera l’un des piliers d’une cohésion nouvelle. C’est un acte de confiance dans l’avenir, un facteur d’espérance et d’optimisme, qui permettra à l’Europe de mieux affirmer sa destinée et d’entrer de plain-pied dans un XXIe siècle fondé sur la paix et la liberté »

                                          http://www.manifestepourundebatsurlelibreechange.eu/en-1997-leuro-une-chance-pour-la-france-une-chance-pour-leurope-texte-publie-dans-le-supplement-economique-du-quotidien-le-monde-date-du-28-octobre-1997/



                                            • DanielD2 DanielD2 5 janvier 2015 15:40

                                              Excellente vidéo, c’est une exécution en règle et c’est drôle en plus.


                                            • DanielD2 DanielD2 5 janvier 2015 15:06

                                              " Un Français de souche par exemple, quelle est son identité ? Les Francs ? Les Gaulois ? l’homme de Néandertal ? L’identité est toujours en mouvement, elle est en devenir. Sinon, l’identité, c’est l’homme de Néandertal ! "

                                              Et la même personne va gonfler tout le monde avec son identité juive ... En fait pour lui, les seuls gens qui ont le droit d’avoir une identité, une histoire, un pays homogène et pas un hôtel comme il dit, c’est les juifs. Sympa ...


                                              • Mohammed MADJOUR (Dit Arezki MADJOUR) Mohammed MADJOUR 5 janvier 2015 17:23

                                                Depuis toujours il y a eu un fossé entre « l’État français » et le peuple qui ne comprend pas !

                                                Jacques Attali, BHL, mais aussi Benjamin Stora et tous ceux qui gravirent autour du Bonhomme Hollande (hier c’était Sarkozy), sont exactement de même « nature » que ceux qui avaient encadré De Gaulle, Pompidou ou Mitterrand ...

                                                Ce que veut l’État français n’est pas forcément ce à quoi pense le peuple français, de la démocratie il n y en a jamais eu et l’insatisfaction morale a toujours été compensée par la satisfaction corruptrice matérielle jusqu’à l’assoupissement ... Et voilà que ça coince !


                                                • Emmanuel Aguéra Emmanuel Aguéra 6 janvier 2015 12:23

                                                  bla bla bla... toujours aussi sur de vous... Vous nous prenez pour des cons, mais je vous comprends, ça peut éviter la schyzophrénie, parfois.
                                                  Le problème, puisque vous en parlez, c’est que ce « fossé » (là où ça coince, j’imagine), pourrait se résumer au titre du Guardian de l’autre jour à propos de votre genre de propos : allez tous en choeur :
                                                  « Des réformes, oui, mais surtout que rien ne change »
                                                  Eh ben on est bien barré. Votez donc votre Marine, qu’elle passe, vous l’aurez méritée. Et un jour, souvenez-vous de moi. Mais il sera trop tard ; d’avance je vous plains.


                                                • Tzecoatl Gandalf 5 janvier 2015 19:32

                                                  Dommage que votre article ne soit emprunt d’un complexe d’infériorité car étant donné la litanie de conneries qu’Attali a vendu dans son existence, il ne peut servir que de paillasson à tout journaliste citoyen.


                                                  • gruni gruni 5 janvier 2015 21:30

                                                    Mon complexe n’était qu’ironie.


                                                  • Emmanuel Aguéra Emmanuel Aguéra 6 janvier 2015 12:25

                                                    réponse à tout. Vous êtes Dieu, j’ai compris


                                                  • Allexandre 5 janvier 2015 22:34

                                                    Attali !!!! Tout un programme à lui tout seul. Sa suffisance et sa condescendance ne lui permettent plus de passer les portes. Quant à ses mensonges et contradictions, il s’emmêle les pinceaux. C’est un cynique fourbe, qui tout et son contraire. Son mépris est à la mesure de son intelligence intellectuelle. Mais c’est la seule qu’il possède. Pour le reste, c’est bien un sioniste !!


                                                    • Mowgli 5 janvier 2015 23:56

                                                      Pendant qu’Attali chante la mère d’Attali quête.


                                                      • soi même 6 janvier 2015 00:56

                                                        Heureusement qu’il y a de l’humour notre Attali, de nous prends pour des enfants après cette célèbre interview sur Jacques Attali - Jerusalem capitale d’un gouvernement  ;
                                                        https://www.youtube.com/watch?v=dw6pu4aXt8s

                                                        Heureusement il a porte la cotte de maille contre l’antisémite et le bouclier du sionisme pour nous promettre un grand avenir, avec notre Soi (

                                                        Le sentiment que vous donnez à travers votre dernier livre, Devenir soi (Fayard), est celui d’une lassitude vis-à-vis de nos hommes politiques, un peu comme celle d’un électeur déçu…

                                                        Ils sont en effet de plus en plus décevants, de plus en plus médiocres. Enfin… disons que, depuis quelque temps, ils sont décevants. Ils manquent pour la plupart de courage et de vision.

                                                        Les électeurs ont-ils leur part de responsabilité ?

                                                        Bien sûr. C’est même la totalité de la responsabilité. Nous sommes en démocratie. Devenir soi, c’est aussi faire de la politique. Au lieu de se plaindre, il faut faire. )

                                                        Depuis qu’il sévi, à l’instar de BHl, il lui vient pas à l’esprit c’est avant tous qui l’essence, , et bien justement ces politiques plus en plus décevants, de plus en plus médiocres qui ont forcement besoin de lire son bouquin pour qu’ils vivent enfin un grand avenir, avec leur grand Soi !

                                                        Si ce n’était pas dramatique, cela devrait servir de pièce de boulevard !


                                                        • rhea 1481971 6 janvier 2015 09:26

                                                          Le patron du républicain lorrain est le patron d’une banque le crédit mutuel, il est aussi patron de l’est républicain et des dernières nouvelles d’Alsace, toute la presse régionale de l’est de la France. Le CIC est une filiale du crédit mutuel c’est une banque.


                                                          • lloreen 6 janvier 2015 10:18

                                                            La « magnifique » photo de cet homme avec ce « charisme » absolument phénoménal en dit plus long que cent discours...
                                                            Je n’ ai jamais écouté ni lu aucun de ses productions et il me semble n’a voir rien perdu...
                                                            Rien que l’ arrogance de sa phrase...tout un programme...


                                                            • Emmanuel Aguéra Emmanuel Aguéra 6 janvier 2015 12:32

                                                              Extraordinaire, ce site est extraordinaire !
                                                              L’intelligence exposée à poil et sans complexe, Bravo !!!

                                                              « Je n’ ai jamais écouté ni lu aucun de ses productions et il me semble n’a voir rien perdu...
                                                              Rien que l’ arrogance de sa phrase... »

                                                              Ça, c’est à encadrer ; la perle des perles, je crois que je vais l’envoyer au canard enchaîné. Ignorante et fière de l’être, voici Lloreen qui reproche l’arrogance de celui dont elle ne sait pas ce qu’il fait.
                                                              Remarque, c’est franc. Un peu atterrant, très triste, mais franc.


                                                            • lloreen 6 janvier 2015 18:04

                                                              « Ignorante et fière de l’être, voici Lloreen qui reproche l’arrogance de celui dont elle ne sait pas ce qu’il fait. »

                                                              Parce que vous ne faites pas le tri de vos lectures, vous ?
                                                              Il ne me semble pas que cet homme soit un phare de la pensée, cela se saurait.
                                                              Je suis certainement très ignorante, et il y a tant de livres passionnants à lire et de rencontres passionnantes à faire que j’ ai effectivement d’ autres chats à cajoler (désolée, je ne fouette pas) que la lecture d’ auteurs secondaires.


                                                            • David Heyo 6 janvier 2015 12:50

                                                              Attali est le pire charlatan qui soit ; parce qu’il contrefait en permanence la vertu à des fins de pouvoir inavouées et digne des plus grand pervers. Il est peut-être intelligent, mais les Himmler et Goebbels l’étaient aussi. Attali, c’est celui qui vous dit qu’il est « pour la paix », « le bien », mais qui est l pour couper les ailes à toutes idées et mouvement démocratiques, et son ton doucereux n’en est que plus menaçant.On reconnait l’arbre à ses fruits, et c’est quelqu’un qui ne sait parler qu’en terme négatif comme un berger gardant les moutons dans le pré. Il mérite un procès au même titre que tous les membres du Bilderberg, Trilatérale, CFR, Monsanto et compagnie


                                                              • Emmanuel Aguéra Emmanuel Aguéra 6 janvier 2015 13:27

                                                                Absolument. mais 2 questions :
                                                                - Quels sont les fruits dont vous parlez ?
                                                                - Quels sont les termes négatifs du berger à son troupeau ?
                                                                Je ne vous demande pas les chefs d’accusation pour le procès que vous préconisez, mais j’imagine que « haute trahison » fera l’affaire ; « crime contre l’humanité » peut-être, vu vos comparaisons avec Goebbels et consorts (je ne sais pas si Attali a perdu de la famille grâce à ceux à qui vous le comparez, mais au cas où c’est toujours ça de pris, hein ?).
                                                                Vous avez oublié le NWO dans votre liste de déférables, et tiens ? rien sur l’internationale sioniste ? ma parole, où aviez-vous la tête ???


                                                              • Hervé Hum Hervé Hum 6 janvier 2015 19:37

                                                                Bonsoir Gruni,

                                                                j’ai bien aimé le style !

                                                                Juste une chose, si l’identité évolue dans le temps, la culture elle n’évolue pas dans le temps, elle se stratifie à la manière des couches géologiques.

                                                                Les conséquences de cette manière de voir sont lumineuses


                                                                • gruni gruni 6 janvier 2015 20:54

                                                                  Bonsoir Hervé Hum


                                                                  Si l’identité évolue dans le temps, pourquoi la culture ne le ferait-elle pas. La musique par exemple.
                                                                  Mais je suis plutôt là plutôt dans l’interrogation ; je n’ai peut-être pas bien saisi le sens de votre commentaire.

                                                                  • Hervé Hum Hervé Hum 6 janvier 2015 23:31

                                                                    Je vous le concède, mon commentaire était un peu court, mais le développement un peu long. J’ai donc fait des raccourcis qui ne fonctionne pas vraiment !

                                                                    Pour paraphraser Lagardère dans le bossu, ce n’est pas la culture qui va à l’humain, mais l’humain qui va à la culture.

                                                                    La culture humaine est née d’abord dans son milieu environnemental local, puis celles ci ce sont enrichie les unes les autres et ce jusqu’à une culture planétaire.

                                                                    Pour un pays, c’est donc la somme de toutes ces cultures locales qui fait l’identité du pays. L’identité est donc bien le résultat de la somme de toutes ces cultures locales, mais aussi de celles, extérieures, qui se sont greffé aux cultures intérieures. Toutefois, on distingue bien ces apports culturels des autres par la profondeur de l’imprégnation dans la population et qui forge l’identité.

                                                                    Dire « français de souche » fait sens en considérant qu’il enfonce son identité au plus profond de la culture française en s’enracinant dans les cultures locales, chose qu’un immigré ayant encore gardé ses racines culturelles ne fait pas. Il enfonce ses racines juste en surface et il faudra les générations futures pour puiser plus profondément.

                                                                    Je ne fais que rappeler des tautologies.

                                                                    Ce que cela montre, c’est que l’humain peut changer ses racines culturelles en se déplaçant, mais pas déplacer la culture jusqu’à lui (sauf en surface).

                                                                    Le problème de la mondialisation actuelle, est qu’elle prétend déplacer la culture comme elle le fait avec l’humain, mais la seule conséquence à cela c’est l’appauvrissement du terreau culturel et in fine, la stérilisation de la culture par son uniformisation.

                                                                    C’est bien ce que dénoncent les identitaires, sauf que comme dit plus haut, ce n’est pas l’identité qui est en cause, car celle ci étant attaché à l’humain (son environnement spirituel) elle se change sans problème et au contraire, constitue un enrichissement identitaire là où pour la culture il s’agit d’un appauvrissement.

                                                                    Le problème de l’immigration clandestine est lié au fait que ces personnes n’immigrent pas pour changer de culture, mais pour fuir une situation intenable. C’est une immigration forcé et non une immigration choisie. Contrairement à ce que dit Sarkozy, ce n’est pas au gouvernement d’un pays de choisir ses immigrés, mais aux personnes elles mêmes de choisir d’immigrer, or le choix n’existe que sans la contrainte. Il n’y a pas de liberté avec un pistolet sur la tempe.

                                                                    Pour supprimer l’immigration non choisi (par l’immigré), il suffit donc de permettre aux gens de rester chez eux, c’est à dire de pouvoir vivre dans les mêmes conditions matérielles et sécuritaires qu’ici en Europe.

                                                                    La encore, je ne dis qu’une tautologie, sauf que la majorité des gens ne veulent pas la voir parce que cela remet en cause le dogme économique basé sur la concurrence pour lequel ils sont conditionnés. Autrement dit, entre une idéologie basé sur la concurrence poussant à l’immigration non choisie et une idéologie basé sur la coopération qui ne laisse que l’immigration choisie, c’est à dire par attirance culturelle et non économique. En bref, éliminer l’immigration négative pour ne garder que l’immigration positive, permettant de supprimer les frontières humaines pour ne garder que les frontières culturelles. L’autre dissonance cognitive est de confondre mondialisation culturelle et culture planétaire. La première consiste en l’uniformisation culturelle, celle souhaité par les propriétaires de l’économie. La seconde consiste en une culture planétaire, dernière strate des cultures locales s’ajoutant les unes aux autres comme les couches géologiques et permettant la paix planétaire via une économie coopérative et non guerrière.

                                                                    Aller à la culture et non faire que la culture vienne à soi comme dans la mondialisation voulu par les propriétaires des moyens de productions, pour qui tout n’est que marchandise sans racine, sans autre identité que la valeur marchande.

                                                                    en conclusion, la culture est le support de l’identité, sur lequel cette dernière se déplace au gré de ses attirances culturelles. Suivant cela, vous pouvez remplacer toute la population française actuelle par une venant de partout ailleurs sans que l’identité culturelle soit changé si et seulement si c’est une immigration choisie... Identitaire par la culture, car l’inverse est le fait de la naissance et n’est pas une garantie de choix culturel !

                                                                    Bon, je m’arrête là !


                                                                  • gruni gruni 7 janvier 2015 06:16

                                                                    Merci. Peut-être qu’un jour, dans très longtemps, les immigrés qui viendront chez nous, viendront par choix. Espérons aussi pour les autres qu’ils soient bien chez eux. Mais le chemin est encore long.


                                                                    Bonne journée

                                                                  • Hervé Hum Hervé Hum 7 janvier 2015 09:18

                                                                    Mais gruni, nous y sommes déjà !

                                                                    Surtout, votre commentaire est antinomique et semble montrer que vous n’avez pas compris le mien.

                                                                    En effet, on ne peut espérer voir une immigration uniquement choisie à la condition que les gens soient bien chez eux. Sinon, ils immigreront, sauf à les en empêcher comme aujourd’hui.

                                                                    Ce qil veut dire que la solution réside dans le maintient du niveau de vie occidental et la croissance du niveau de vie des pays en dessous de ce niveau. Bref, équilibrer les niveaux de vies pour permettre une immigration uniquement choisie, soit de court, moyen ou long termes. La première s’appelant tourisme, la seconde expérience de vie et la troisième, choix de vie.

                                                                    La croissance économique ne concerne plus les pays déjà développés, mais les autres. Pour les pays développé, la croissance est celle du mieux vivre ensemble qui vous permet de circuler et voyager dans les conditions optimales de sécurité et d’accueil. Quand le niveau matériel est acquis, il s’agit de pérenniser cet acquis. L’acquis matériel est un outil dont l’objectif est de libérer l’humain, non de l’emprisonner à cet outil.

                                                                    Vivre pour travailler ou travailler pour vivre, là est la question !

                                                                    Bonne journée à vous aussi


                                                                  • Mowgli 7 janvier 2015 06:14

                                                                    Pendant qu’Attali chante la mère d’Attali quête.

                                                                    D’où nous concluons qu’Attali est... rrom !

                                                                    Même qu’il y en a qui disent que son vrai nom c’est Bacardi.


                                                                    • captain beefheart 7 janvier 2015 13:35

                                                                      Si « les français sont comme des enfants »,lui ,l’Attali est comme le pédophile qui les viole !
                                                                      Comme c’est autorisé dans le Talmud.


                                                                      • Le p’tit Charles 11 janvier 2015 10:19

                                                                        L’intelligence d’Attali est égale a la hauteur des semelles de ses chaussures..c’est mon avis ça n’engage que moi..Sous Daladier il aurait eu plus de chance de réussite.. !

Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON



Publicité



Les thématiques de l'article


Palmarès



Publicité