Manifeste de l’Observatoire de l’islamolâtrie
Le manifeste qui suit a été rédigé quelques semaines avant les terribles attentats du 26 juin. Nous hésitions à le publier, mais ce qui vient de se produire nous met dans l'urgence de le faire. La "dignité " dont prétend se parer François Hollande ne consiste pas à dédouaner l'islam des crimes ignobles et barbares commis en son nom : la dignité, cela consiste en premier lieu à regarder la réalité telle qu'elle est, et non telle que l'on aimerait qu'elle soit. Dire "cela n'est pas grave, poursuivons notre route" lorsque c'est justement sur cette route que se rencontre l'horreur croissante dans laquelle il nous faut désormais nous débattre, voilà ce qui est contraire à la dignité.
Car, en effet, ce qui est en cause ici, ce n'est pas le "terrorisme", qui n'est qu'un moyen d'action, mais l'islam lui-même, qui encourage et recommande ce moyen d'action détestable. L'islam fut historiquement la première doctrine à théoriser le terrorisme comme moyen d'expansion, et tout cela se trouve non dans la faiblesse des cerveaux qui le suivent, mais dans le Coran lui-même.
Ce manifeste révèle la nature profonde de l'islam et du Coran, et il montre que la première chose que nous ayons à faire est de faire pièce aux innombrables tentatives d'intimidation de notre société par une branche institutionnalisée de l'islam, qui exploite sans vergogne les résultats de la branche terroriste de ce même islam pour intimider la justice et la politique, et leur ordonner de museler l'expression afin qu'elle se voit contrainte à accepter, et même à louer l'islam, malgré l'abjection croissante du visage qu'il présente au monde.
Les politiciens qui n'ont pas le courage nécessaire pour faire face à cette entreprise de soumission de la société française doivent en tirer les conclusions, c'est à dire démissionner pour laisser la place à d'autres, plus courageux, qui ne se laisseront pas intimider par la rhétorique alternée de la jérémiade "anti-islamophobe" et de la Kalachnikov, ces deux canaux d'action s'articulant efficacement pour pousser l'Occident vers l'islamisation.
Des musulmans zélés, appuyés en cela par des intellectuels soit athées, soit agnostiques, soit sceptiques, ont créé, dans le cadre du CFCM, institution fantoche voulue par une république aux abois, un "Observatoire National de l’islamophobie", au moyen duquel ils cherchent à propager à la société française le climat de terreur que l’islam entretient dans sa propre communauté, où l’apostat et l’hypocrite sont recherchés sans relâche, afin d’être éliminés si leur renoncement à l'islam est avéré.
Il est dommageable que l’autorité politique de notre pays cautionne, contre ses propres principes de liberté et d’égalité des droits, le principe fondamental d’intimidation par lequel l’islam parvient à souder son contingent de fidèles : il n’est que trop vrai que si l’islam s’appliquait le principe de liberté religieuse, la majorité des musulmans deviendraient rapidement chrétiens. Islam signifie « soumission », et non « paix », comme une propagande récente et fallacieuse voudrait le faire croire, abusant astucieusement d’une parenté phonétique (« slm ») pour faire croire à une synonymie qui n’existe pas. La soumission peut toutefois impliquer l’idée de paix, au sens où, là où il y a soumission d’une partie à une autre, il n’y a plus de guerre entre ces deux parties, mais elle n’en est pas moins une soumission, cette soumission à Allah que le musulman doit accepter sans condition ni discussion, sans quoi ses frères en religion ont le droit - pardon : le devoir ! - de lui ôter la vie…
1 - Etymologie
Il convient de préciser que le substantif « islamophobie » est un néologisme forgé tout récemment sur le modèle de cet autre vocable qui l’a précédé de peu : « homophobie ». Ayant pris acte des rapides succès obtenus par les militants sodomites depuis qu’ils avaient fait de leur néologisme un étendard sans cesse brandi en tête de leur combat, ces militants musulmans et leurs compagnons de route (les « crétins utiles », comme les aurait qualifiés Staline) ont jugé cette structure sémantique efficace et l’ont reprise à leur compte.
Car il va sans dire que le terme « islamophobe » fait de celui à qui il s’applique un coupable dont on doit museler l’expression, à défaut de pouvoir le convertir à l’islam : Cette culpabilité est induite d’emblée par le fait que dans la construction du vocable, le suffixe « phobie » désigne une peur irraisonnée , ce qui sous-entend donc astucieusement que le fait d’être hostile ou opposé à l’islam ne saurait reposer sur des motifs raisonnables.
Astucieux, en effet, car rien n’est moins vrai que d’affirmer que la raison ne saurait s’opposer à l’islam ! Au contraire, c’est au fur et à mesure qu’il prend une meilleure connaissance objective de ce qu’est réellement l’islam, par l’étude de ses textes sacrés, de sa doctrine et de son histoire passée et contemporaine, que l’homme libre en ressent le plus souvent une aversion croissante en vertu de motifs aussi bien factuels qu’ontologiques, raisonnés et démontrables, l’islam étant l’archétype magistral des systèmes de pensée se posant en ennemis irréductibles de la liberté humaine : Puisque, pour le musulman, « tout est dans le Coran », il suit que nul ne saurait se soustraire à l’autorité de ce livre très normatif, pas même ceux qui refusent de reconnaître sa légitimité.
D’autre part, en construisant ce néologisme d’ « islamophobie », nos « observateurs » montrent d’emblée la partialité de leurs vues et de leurs projets : En effet, ils passeront soigneusement sous silence la branche pourtant la plus nombreuse, et surtout la plus authentique des islamophobes, à savoir ceux qui louent et encensent l’islam non par conviction, mais par peur des dommages que celui-ci pourrait leur causer en représailles d’une attitude hostile ou incompréhensive : Ces gens sont bien islamophobes, eux aussi, ou plutôt eux surtout, car ce sont ceux-là dont la peur de l’islam est irraisonnée et dangereuse, puisque, ne sachant défendre avec courage la liberté de leur nation, ils préfèrent hypothéquer l’avenir de leurs enfants plutôt que d’affirmer avec intransigeance leur amour de la liberté : Ils méritent bien le nom de dhimmis, que l’islam a conçu pour les désigner.
2 - La Stratégie du harcèlement
Au moyen de campagnes fondées sur une stratégie de harcèlement et d'outrance, les « observateurs de I’islamophobie » espèrent qu'à force d'usure, sous les assauts incessants de leurs plaintes et de leurs vociférations, la justice finisse par prêter à leurs jérémiades une oreille complaisante et docile, venant à condamner pénalement la moindre critique portant sur l’islam. Ils appointent quelques agents permanents qui s’efforceront de mettre progressivement sous tutelle morale et intellectuelle la société française, se croyant autorisés à faire condamner au coin les récalcitrants qui refuseraient de voir dans l’islam une religion de paix. Cette paix à laquelle l’islam nous donnerait droit effectivement, mais pas avant d’être parfaitement soumis à Allah, encore que, sa tyrannie étant insatiable, il lui reste, dans une société entièrement islamique, à débusquer et châtier comme ils le méritent les mauvais musulmans, ces tièdes, ces hypocrites auxquels le Coran voue une haine tenace.
Dans ce travail, nos observateurs musulmans ont reçu l'aide d’intellectuels connus, de tendances parfois opposées, mais ayant tous fait le même calcul : Défendre l’islam contre vents et marées est un fonds de commerce rentable car, en fins observateurs, ces intellectuels un peu machiavéliques se sont aperçus que les "islamophobes" n'ont pas pour habitude d'exterminer à la Kalachnikov ceux qui ne pensent pas comme eux, puisqu’étant adeptes de la liberté d’opinion et d’expression, ils ne « frappent » qu’au plan des idées : On peut donc s'en prendre à ces gens-là sans crainte, et recevoir en prime l'appui des masses islamiques en général, et du dit "Observatoire" en particulier et, par suite, se forger une audience bien assise dans la société française pour inspirer tout d’abord une crainte utile à tous les partis politiques, visiblement très gênés dès qu’ils doivent aborder la question de l’islam. Forts de cette intimidation, nos funestes penseurs pourront ensuite s’en prendre, du haut de leur tribune surélevée par leurs accointances islamiques, aux ennemis qu’ils se sont choisis depuis toujours : le christianisme pour les uns, le judaïsme pour d'autres, agrémentés ou non de nationalisme et d’antimondialisme, ou d’antinationalisme et de mondialisme, suivant les cas. C'est ainsi que nous constatons, dans ce manège de petits calculs politiques, la collusion improbable mais pourtant bien effective d'un Edwy Plenel et d'un Alain Soral.
3 - Compagnons de route
Edwy Plenel trouve logiquement dans l’islam le gourdin qui lui manquait depuis qu’il a quitté Le Monde, afin de continuer à frapper la carcasse mal en point mais encore vivante du christianisme, dont la haine est depuis longtemps la nourriture de son âme. Quel meilleur choix en effet que l’islam pour abattre le Christ, puisque Mahomet et ses adorateurs, qui n’ont jamais eu peur d’enfourcher les hérésies les plus grossières, affirment sans rougir :
- que Jésus n’a pas été crucifié (Coran, 4 :157, hérésie empruntée à la Gnose du 2e siècle),
- que la Bible ne doit pas être lue parce qu’elle a été falsifiée par les juifs et les chrétiens (Coran, 3 :78, thèse très élargie ensuite par les docteurs de l’islam, qui en ont fait un dogme interdisant aux musulmans de lire la Bible),
- que l’Eglise est polythéiste car elle a trois dieux et non un seul, faisant fi du Mystère de la Sainte Trinité proclamant un seul Dieu en trois personnes : Père, Fils et Saint-Esprit - on trouve dans le Coran, plus de 40 références de ce type, et de plus Mahomet, mal renseigné, s’imaginait que la Trinité se composait du Père, de la Vierge Marie et de Jésus, ce qu’aucun dogme chrétien n’a jamais proclamé : « Allah dit : "O Jésus, fils de Marie ! Est-ce toi qui a dit aux hommes : "Prenez, moi et ma mère pour deux divinités en-dessous d'Allah" » (Coran, 5 :116) -
- que Jésus n’est qu’un prophète et non le Fils de Dieu (Coran, 9 :30, 10 :68, 11 :117 etc…) agréant ainsi le motif de sa condamnation par le sanhédrin de Caïphe
- qu’un musulman gagne le paradis d’Allah lorsqu’il tue un non musulman (des dizaines de versets coraniques appellent à la haine, au mépris ou au meurtre des « infidèles » que les musulmans entre eux se plaisent à appeler « fils de chien »), ce qui nous explique assez bien ce qui se passe en ce moment, des rives de l’Atlantique jusqu’à celles de l’Indus.
Et il faudrait que les chrétiens aient honte d’éprouver quelque réticence à l’égard de l’islam ?! Quant aux athées ou aux hérétiques, qui sont aujourd’hui, il est vrai, les plus nombreux, qu’ils sachent que ce que l’islam leur prépare est pire encore, s’il était possible, que ce qu’il réserve aux chrétiens authentiques.
Alain Soral, pour sa part, souffre du côté des juifs. Enfin, des juifs sionistes, pour être précis. Nous comprenons ses raisons, pour certaines, mais il a tendance à les exagérer, et surtout à en faire la fin de toute explication, alors qu’elles ne relèvent sans doute que de la contingence intermédiaire d’une opposition de foi. Soral se dit catholique, mais il ne l’est qu’à la façon de Napoléon : C’est un intellectuel, pas un mystique, car il a été vicié dans sa jeunesse par la mécanique marxiste qui, ironie du sort, a été précisément conçue par les ennemis qu’il dénonce afin de faire descendre les intellectuels catholiques de quelques barreaux dans l’échelle mystique qui les relie au Christ...
Par ailleurs, dans sa défense de la cause palestinienne, il ne voit pas que la violence aveugle qui frappe injustement le peuple palestinien par l’intraitabilité avérée de l’armée israélienne, frappe aussi d’innocents civils israéliens par la haine déchaînée d’islamistes palestiniens. En réalité, les juifs auxquels il en veut sont surtout une petite minorité de possédants richissimes, épaulés toutefois de toute une armée médiatique qu'ils font vivre grassement, faite de politiciens, de journalistes, d’amuseurs, de chanteurs de variétés et d’intellectuels en tout genre, tous porte-voix d’autant plus zélés que la brillante carrière qui leur est offerte peut aussi bien être brisée à tout moment, et dont le travail consiste à décaler progressivement, méthodiquement, les émotions des juifs comme celles des chrétiens, des musulmans ou des athées, au moyen d’une propagande graduelle menée au pas cadencé, dont l’étape actuelle, en 2015, à titre d’exemple, consiste à faire avaler l’euthanasie à une société dont la morale originelle y est résolument hostile.
Car une pression médiatique prudemment graduée sait faire bouger les lignes et, comme l’avortement et le "mariage" sodomite, l’euthanasie, savamment travaillée depuis maintenant une quarantaine d’années, passera bientôt pour une nouvelle « valeur de la république ». La réduction du christianisme à l’état de minorité impuissante fut la première étape : Cette étape accomplie, il n’y a plus aucun obstacle à l’éclatement des valeurs, puisque l’homme athée qui a été forgé depuis Vatican II et 1968 ne dispose d’aucun autre repère que le magma confus de ses émotions, forcément soumises aux attaques de l’air du temps, pour dire « ceci est bon » ou « ceci est mauvais » : Sans révélation, où est la valeur ? Elle ballotte au gré des vents plus ou moins mauvais qui agitent l’espace culturel. Voilà à peu près ce que pense Alain Soral, et nous partageons en grande partie cette analyse.
Mais, afin de faire entendre son analyse résolument hostile au système en place et n’ayant pas les moyens d’asseoir une audience suffisante parmi les français de souche (non, ce n'est pas un gros mot) car trop peu d’entre eux sont restés véritablement chrétiens, Alain Soral a jugé opportun, comme Edwy Plenel, de s’appuyer sur les masses musulmanes afin de disposer d’une audience élargie.
L’Observatoire National de l’islamophobie, soutenu par ces ténors de la dialectique, se chargera, quant à lui, de porter plainte sur plainte, afin qu’à force de coups répétés, la justice, telle une barre de fer sous le marteau du forgeron, se torde dans le sens d’une islamolâtrie qui permettra de faire enfin céder la loi qui, en cette année 2015 où nous nous exprimons, protège encore un peu la liberté d’expression. Mais pour combien de temps ?
Car les lois scélérates de 1972 et de 1990, instaurant un délit d’opinion qui viole le principe le plus fondamental de notre Constitution, et d’autres qui ont suivi et qui vont suivre, ont suspendu au-dessus de la liberté d’expression une chape de plomb qui lui fait déjà beaucoup d’ombre, et dont le fil ténu qui la retient n’attend qu’un vent mauvais pour la laisser s’abattre un jour définitivement sur ce qu’il reste de cette liberté afin de l’étouffer pour le compte. L’islam prie Allah pour que ce jour vienne au plus vite et que lui revienne le bénéfice de la tyrannie qui s’ensuivra.
4 - La Paille et la Poutre
Maintenant, soyons un peu sérieux : Il est assez navrant de constater qu'un graffiti sur la porte d'une mosquée fasse la une des journaux télévisés, où débarque illico le ministre de l'intérieur en exercice pour clamer son indignation devant ces graffitis, "actes particulièrement graves" survenant à 800 kilomètres de Paris, tandis que le massacre de 300 chrétiens se produisant le même jour à 2500 km constitue, pour ce même ministre, un non-événement, et que les profanations quotidiennes perpétrées non seulement sur les portes, mais à l'intérieur même des églises de France et dans les cimetières ne suscitent pas la moindre émotion : C'est à peine si elles ont droit à un entrefilet dans la page locale (visible dans le seul canton concerné) du journal régional.
Nous nous trouvons ainsi au cœur de la parole du Christ : "Qu'as-tu à regarder la paille qui est dans l'œil de ton frère, toi qui ne vois pas la poutre qui est dans le tien ! Hypocrite, ôte d'abord la poutre de ton œil, alors tu verras clair pour ôter la paille de l'œil de ton frère"(Matthieu, 7:3-5)
De fait, première tartufferie, on observe d’un regard accablé d’affliction un trait de peinture sur une porte en bois, tandis que, le même jour, on passe avec indifférence sur la décapitation de dizaines d’innocents par cet islam « si injustement discriminé ».
Car ces mêmes musulmans qui rabâchent quotidiennement la même antienne hostile au peuple qui les accueille pourtant avec une incroyable générosité, fondent leur discours sur l'accusation récurrente de « racisme », tantôt ouvertement, tantôt à mots couverts. Jamais ces gens ne combattent le racisme de leurs coreligionnaires vis-à-vis des français de souche (encore eux !), racisme pourtant bien vigoureux dont on peut trouver d'innombrables traces en écoutant la "musique" des rappeurs, ces braves petits soldats du verbe musulman :
« Poitiers brûle et cette fois-ci, pas de Charles Martel / On vous élimine, puisque que c'est trop tard » « J'ai envie de dégainer sur des faces de craie »
« Gouers (Français) c’est toi qui perds. Flippe pour ta femme tes enfants pour ta race. On s’est installé ici c’est vous qu’on va mettre dehors »
« C’est physique, biologique au bleu, blanc, rouge j’suis allergique,
Je leur en fais baver, ces navets, j’peux les braver, la vie est une manif, la France une vitre et moi le pavé »
Ici, nul intellectuel ne proteste ? Comme c’est curieux : Qu’Eric Zemmour ose émettre un simple doute sur la volonté d’intégration de ces charmants « jeunes » et s’offusquer un peu de leurs propos pour le moins taquins, et l’on voit fleurir écrans et tribunes en vertus offensées, en vierges effarouchées par la « discrimination scandaleuse » dont fait preuve l’obscurantiste Eric, si hermétique à la poésie communautaire ! Allons, Eric, tout de même ! Quel manque de savoir-vivre ensemble !
5 - De l’usage dévoyé du terme « racisme »
Il faut donc mettre certaines choses au point : Pour qu'il y ait racisme, il faut qu'il y ait race. Or, l’islam n'est pas une race, mais une doctrine religieuse à vocation universelle : L’islam vise en effet, comme le christianisme avant lui, à rassembler l'humanité tout entière. On voit cependant, à l’étude, qu’il s’agit d'une véritable tentative de prendre le christianisme à contrepied, puisqu’il arrive six siècles plus tard en visant au même but apparent, mais sous une doctrine radicalement opposée à celle de Jésus tout en s’en prétendant l’héritière, se posant ainsi comme une contrefaçon, d’où la nécessité pour Mahomet de déclarer que la Bible a été falsifiée, afin de ne pas avoir à répondre des innombrables contradictions et inexactitudes que renferme le Coran au sujet de l’histoire biblique et plus encore de sa doctrine, tout en faisant semblant de reconnaître Jésus comme envoyé d’Allah afin de tenter les chrétiens de le suivre . De fait, les ressemblances de l’islam avec le christianisme sont nombreuses en apparence, mais toujours très superficielles, car il y a dans le fond une opposition radicale, issue directement du précepte coranique "pas de contrainte en religion", dont il semble bien que les français de souche (toujours eux !) n'ont pas perçu l'immense portée. Nous y venons. Mais remarquons avant cela que l’opposition est bien réelle, allant jusqu’à prendre le contrepied parfait des propos messianiques tout en paraphrasant le style des paroles de l’Evangile, comme par exemple ici au sujet du pardon :
« Demande pardon pour eux ou ne demande pas pardon, demande même soixante-dix-sept fois pardon, Allah ne leur pardonnera pas » (Coran, 9 :80)
Impitoyable Mahomet contre Jésus plein de mansuétude :
« Alors Pierre s'approcha de lui, et dit : Seigneur, combien de fois pardonnerai-je à mon frère, lorsqu'il péchera contre moi ? Sera-ce jusqu'à sept fois ? Jésus lui dit : Je ne te dis pas jusqu'à sept fois, mais jusqu'à soixante-dix-sept fois sept fois. » (Bible, Matthieu, 18 :21-22).
6 - Au combat intérieur du chrétien…
Dans le christianisme, en effet, il existe un combat intérieur du pécheur contre ses démons : La notion de péché originel signifie que le péché est en chaque homme, déroulant nécessairement ses stigmates dans la vie quotidienne, et le but de la vie humaine est de s'en libérer afin d'hériter la vie éternelle. Il y a donc chez le chrétien une riche vie intérieure, faite de l'observation implacable de soi-même et de son rapport aux autres, d'où naît le besoin de confession afin d'obtenir le pardon de ses fautes et de s'amender par un combat intérieur de purification, prolongement nécessaire de la grâce sanctifiante obtenue par l’absolution.
La conséquence sine qua non de ce combat est la mansuétude : Comment puis-je espérer que Dieu me pardonne ce péché si moi-même je condamne sans pitié mon frère que voici pour un péché plus léger que le mien ?
« Car on vous jugera du jugement dont vous jugez, et l'on vous mesurera avec la mesure dont vous mesurez. » (Bible, Matthieu, 7 :2)
7 - … s’oppose le Djihad du musulman
L’islam ne s'encombre pas de tels scrupules : Ce que cherche le musulman zélé, c'est à établir la gloire d'Allah. Pour cela, il n’est pas besoin de s’examiner soi-même ou de se priver de péché, puisque son propre péché - croit le musulman – est effacé par les coups dont il frappe ceux qui déshonorent Allah : il épie ceux qui l’entourent afin de déceler en eux un péché qui lui permette de leur infliger l’impitoyable condamnation qu’Allah réserve aux infidèles (les non musulmans) ou aux hypocrites (les musulmans de façade) : C’est en se faisant l’instrument du châtiment promis au pécheur par Allah, que le musulman peut s’exalter jusqu’à l’illusion que ses actes guerriers participent de la divinité par la transcendance que leur confère la bénédiction d’Allah, comme le lui promet le Coran :
« Ce n'est pas vous qui les avez tués ; mais Allah les a tués. Tu ne lançais pas toi-même les traits quand tu les lançais, mais Allah les lançait pour éprouver les croyants au moyen d'une belle épreuve(…) » (Coran, 8 :17)
Ce verset coranique (8 :17) est redoutable car il affranchit le musulman de tout risque de remords quand il extermine au nom d’Allah ; il pose un voile funeste sur la conscience humaine, la privant de l’empathie naturelle que l’homme doit éprouver pour son semblable, que la vraie religion théorise par le commandement d’aimer, qui ordonne « tu aimeras ton prochain comme toi-même », et il s’oppose radicalement à l’avertissement adressé par saint Jean l’Evangéliste :
« Quiconque hait son frère est un meurtrier, et vous savez qu'aucun meurtrier n'a la vie éternelle demeurant en lui. » (Bible, 1ère épître de saint Jean, 3 :15)
Il serait utile au salut de leur âme que les musulmans militants, avant d’enfourcher leur fusil d’assaut, prennent la peine de lire l’Evangile, dans l’hypothèse malencontreuse où, en dépit de ce que leur enseignent leurs imams, le livre faux ne serait pas celui-là ; ils y trouveraient confirmation de l’existence de l’enfer dont leur parle le Coran, mais ils découvriraient aussi que pour y échapper, crier « Allah akhbar » en se faisant exploser avec un groupe de juifs dans un autobus ne suffira pas, loin s’en faut.
8 - « Pas de contrainte en religion »
Livré à la rhétorique menaçante du Coran, dès lors qu'il est persuadé que les actes qu'il accomplit servent l'avancement de la cause islamique, le musulman n’a pas à s'interroger sur leur valeur morale : Tuer un chrétien est une action parfumée devant Allah, puisque ce chrétien, quand bien même il serait un saint homme ayant porté secours à de nombreux musulmans, est à ses yeux, en dernier ressort, un impie qui refuse de reconnaître Mahomet comme prophète inspiré par Dieu, ce qui fait de lui un « fils de chien » indigne de subsister sur la face de la terre.
"Vous n'êtes pas tenus par les serments que vous faites aux infidèles" dit l'enseignement de l’islam. Voilà l’écho parfait du précepte coranique "pas de contrainte en religion" (Coran, 2 :256) : du moment que j'agis pour Allah, je peux tout faire. Meurtre, vol, viol, mensonge, calomnie, faux-témoignage : Tout m'est permis, du moment que je ne m'en prends qu'aux "infidèles" (athées, juifs, chrétiens, ou tout autre groupe non musulman) ou aux "hypocrites", ces tièdes de l’islam que le Coran dénonce comme des traîtres en puissance, et qu'il est par conséquent permis d'éliminer. Ainsi, on le voit, tandis que le chrétien se purifie dans l’amère et douloureuse contrition du péché qu’il a commis, c’est en versant le sang d’autrui que le musulman croit obtenir sa propre purification ! Ainsi, Caïn lui-même pensait, en tuant son frère Abel, que Dieu se verrait contraint de lui donner sa faveur. Mais Dieu donna à Eve un nouveau fils, puis il donna sa faveur à Seth, et Caïn resta maudit.
Il est fascinant, à ce titre, de constater que l'Etat Islamique porte très justement son nom : Il met en œuvre, dans la plus pure orthodoxie musulmane, les principes mêmes du Coran, sans recourir à la Taqiyya, cette forme intellectualisée, subtile et codifiée de la sournoiserie recommandée aux musulmans lorsque la force n'est pas de leur côté (« La main que tu ne peux couper, baise-la », dit le proverbe arabe).
Ce blanc-seing accordé à la violence et au mensonge par le Coran est une fois encore le négatif précis des propos du Nouveau Testament : Cette exaltation du principe « la fin justifie les moyens », fût-ce au prix de l’injustice, du mensonge et du meurtre, constitue le génie propre de l’islam. Il a malheureusement fait école en Europe, et notamment depuis la Renaissance, au vu des succès du Coran. Mais c’est bien ce principe, parfaitement diabolique du point de vue chrétien, qui a conduit à la condamnation du Coran comme « séduction satanique » par l’Eglise dès le 7e siècle, sans qu’il y ait eu besoin d’organiser le moindre concile œcuménique à son sujet : le fait que Mahomet ne soit qu’un faux prophète s’est imposé comme une évidence, sans qu’il ait été besoin d’instruire un long procès sur cette question. L’Apocalypse elle-même, révélation de Jésus-Christ à saint Jean l’Evangéliste, rend sur ce point un jugement suffisamment clair :
« Mais les lâches, les renégats, les dépravés, les meurtriers, les impurs, les sorciers, les idolâtres, bref, tous les hommes de mensonge, leur lot se trouve dans l ‘étang brûlant de feu et de soufre : c’est la seconde mort » (Apocalypse, 21 :8)
« Dehors les chiens, les sorciers, les impurs, les meurtriers, les idolâtres et tous ceux qui se plaisent à faire le mal » (Apocalypse, 22 :15)
9 - Le baiser de la mort
L’opposition de l’islam au christianisme est totale, au point que l’on peut dire que c’est là sa raison d’être. Il n’est pas jusqu’à la prière du musulman qui ne s’oppose frontalement au Christ : songeons, en effet, que le premier mot de la profession de foi islamique est une négation (« la ») : « la ilah ill’Allah » dit le musulman, ce qui signifie « Non, il n’y a pas d’autre dieu qu’Allah ».
N’est-il pas étrange que l’élan de l’homme vers le divin soit supposé commencer par une négation ? La négation n’a pas de sens en soi, elle ne fait sens que par opposition à une substance désignée. Et quelle est donc cette substance à laquelle s’oppose la foi islamique ? La lecture attentive du Coran nous le révèle aisément : Cette substance, c’est le Christ. Plus de cinquante versets, dans le Coran, blasphèment la Trinité (un seul Dieu en trois personnes : Père, Fils et Saint-Esprit), disant et répétant « Malheur à ceux qui donnent à Dieu des associés » (le Fils et le Saint-Esprit), « Dieu ne s’est pas donné de Fils » (Mahomet est donc d’accord avec Caïphe pour refuser la filiation divine de Jésus-Christ), « Jésus n’a pas été crucifié » (et n’est donc pas ressuscité des morts). Pour pouvoir affirmer ces extravagances qui se trouvent en parfaite contradiction avec la Bible tout en faisant semblant de reconnaître l’autorité de ce livre qu’il rejette pourtant catégoriquement, il suffit de dire que celle-ci a été falsifiée par les Juifs et les Chrétiens, ce qui permet ensuite à Mahomet d’y mettre ce que bon lui semble. C’est pratique !
La prière chrétienne, elle, commence par « Notre Père » : voilà un élan compréhensible vers le divin, car comment mieux exprimer le lien entre l’homme et Dieu que par l’idée de filiation, par laquelle la créature pensante se reconnaît formée à l’image de son créateur. La prière islamique, elle, n’évoque pas le lien de l’homme à Dieu, mais dit simplement : « Non, il n’y a pas d’autre dieu qu’Allah », puis elle lui associe immédiatement le « Prophète » ; « et Mahomet est son Prophète » – bien que l’islam prétende qu’associer à Dieu quoi que ce soit est immonde, le Prophète d’Allah est associé au Créateur dans la profession de foi islamique, alors que, bien que le « Notre Père » ait été dicté à ses disciples par Jésus Lui-même, le Fils de Dieu n’est pas mentionné dans cette prière.
Depuis deux mille ans, on reconnaît le fourbe au baiser ou aux paroles doucereuses dont il couvre la victime qu’il va exécuter ou faire exécuter. C’est Judas livrant Jésus au Jardin des Oliviers :
« Celui qui le livrait leur avait donné ce signe : Celui à qui je donnerai un baiser, c'est lui ; saisissez-le. Aussitôt, s'approchant de Jésus, il dit : Salut, Rabbi ! Et il lui donna un baiser. » (Matthieu, 26 :48-49).
C’est la marque du fourbe que d’encenser l’objet de sa haine pour mieux le circonvenir : l’assassin aime assez à faire lui-même l’éloge funèbre de sa victime, espérant par là détourner les soupçons qui pourraient conduire à mettre au jour son forfait.
Ainsi, pour mieux anéantir Jésus, il faut faire semblant de le louer : « Quel grand prophète ! » affirme le Coran. Par cette proposition liminaire, Mahomet vise à attirer à lui les chrétiens. Puis il cherche à réduire à néant le ministère de Jésus, qui a donné sa vie en sacrifice pour le salut de ceux qui voudront bien croire en lui : « Il n’a pas été crucifié », ose-t-il affirmer ensuite, faisant ainsi en sorte, aux yeux de ceux qui le croient, que le sacrifice de Jésus tombe dans l’oubli, perdant ainsi son pouvoir rédempteur et réduisant à néant son ministère sur terre. Ceux qui donnent foi à une thèse aussi audacieuse devraient s’interroger afin de savoir s’ils ont vraiment fait le bon choix, car dans le cas contraire, c'est eux, précisément, qui iront peupler l'enfer qu'ils croient pouvoir promettre aux chrétiens… « Si seulement ils réfléchissaient », comme dirait le Coran !
Car, en effet, le « non » qui ouvre la profession de foi islamique se révèle assez rapidement comme le refus de la religion chrétienne : Les deux religions sont donc inconciliables par essence, et, tout en qualifiant Jésus de "Messie", c'est bien explicitement au christianisme que s'opposent ouvertement les versets du Coran.
10 - Les œillères de la propagande du siècle
L'oreille moderne est formatée par l’incessante ritournelle d’un discours officiel aussi lénifiant que mensonger qui, par la magie d’une inlassable répétition, agit aussi efficacement qu’une campagne publicitaire vantant les mérites d’un produit industriel inutile dont on finira par se persuader qu’on ne peut s’en passer. Par suite de ce « matraquage » dont elle est quotidiennement l’objet, il est difficile à la conscience moderne, nous le savons, de comprendre que les propos qui précèdent ne comportent aucune outrance, mais sont au contraire l'expression précise de la vérité de ce qu'est le pur islam, et dont quatorze siècles d’histoires suffisent à prouver combien les imprécations, les invectives et les malédictions qui émaillent le Coran sont prises avec sérieux et conviction par les peuples soumis à ce livre redoutable.
Malgré l’appel à la tolérance consensuelle, la conscience ordinaire ne peut manquer de se sentir constamment agressée par les invectives, les menaces et les crimes abominables que l’islam commet chaque jour plus forts et plus nombreux depuis son réveil à Téhéran en 1978 : L’islam est devenu un sujet central de préoccupation dans une civilisation qui s’est faite sans lui et malgré lui, alors que, jusqu’à l’imprudente autorisation extrêmement récente d’une massive immigration islamique (car qu’est-ce que 40 ans à l’échelle d’une civilisation bimillénaire ?), cette religion était à la fois surveillée et tenue à l’écart, connue depuis ses origines pour ses méfaits sans nombre et ses pratiques impitoyablement cruelles. Aujourd’hui, c’est sur des terres autrefois épargnées par ces phénomènes que commence à se déployer le théâtre de la terreur islamique : Paris, Londres, Madrid, New-York, Toronto, Melbourne, Copenhague, Rotterdam, dans toutes ces villes où vivaient auparavant des populations libres et sereines, l’islam installe son théâtre de mort, martelant sans vergogne ses menaces et sa vindicte haineuse et meurtrière.
Il est consternant de voir que ledit « Observatoire National de l’islamophobie » ose publier sans rire son « inquiétude face à la montée des actes islamophobes » alors que lesdits actes n’ont pas fait un seul mort, tandis que chaque jour, des rives de l’Atlantique jusqu’à celles du Gange, des centaines de chrétiens sont exterminés par des musulmans pour la seule raison qu’ils sont chrétiens, sans que l’Observatoire n’éprouve le besoin de publier des excuses au nom de l’islam ou d’adresser aux musulmans des rappels à l’ordre sur l’idée que les exigences du « vivre ensemble » pourraient être réciproques dans leur application.
Visiblement, de fait, le combat pour la « tolérance » du « vivre ensemble », cela consiste juste à rappeler chaque jour aux non musulmans, avant qu’ils aient commis le moindre mal, combien ils doivent se sentir coupables d’arrière-pensées à l’égard de l’islam – et comment pourrait-on, dans le monde de 2015, ne pas ressentir d'hostilité envers une doctrine au nom de laquelle des actes de plus en plus immondes sont commis jour après jour ? –
L’Observatoire National de l’islamophobie se fait la voix de l’accusateur décrit dans l’Apocalypse, et qui heureusement, au bout du compte, sera fait taire impitoyablement :
« (…) Puisqu’on a jeté bas l’accusateur de nos frères, celui qui les accusait jour et nuit devant notre Dieu. Mais eux l’ont vaincu par le sang de l’Agneau et par la Parole dont ils ont témoigné » (Apocalypse, 12 :10-11)
Pour ce qui est des musulmans, l’Observatoire ne leur prodigue aucune leçon de tolérance, se contentant de les appeler à dénoncer sans relâche les actes ou les propos « islamophobes ».
11 - « L’amalgame », refrain à succès de la propagande Islamique
Venons-en maintenant à l'argument récurrent de "l'amalgame". Il n'est pas un pays musulman où les chrétiens ne soient persécutés. Nous répétons : Il n'est pas un pays musulman où les chrétiens ne soient persécutés. Pas un seul. Nous répétons : Pas un seul.
Par conséquent, l'argument hypocrite visant à dire que les crimes odieux commis au nom de l’islam n'ont rien à voir avec l’islam, cet argument ne tient pas, non seulement parce qu’il est contredit d’évidence par la multiplicité et l’ignominie croissantes des crimes commis, mais aussi et surtout par la simple lecture du Coran (« tuez-les où que vous les trouverez », répète à de nombreuses reprises le livre d’Allah au sujet de ceux qui ne veulent pas se soumettre à sa prétendue révélation) et enfin parce que l’attitude des musulmans face à ces crimes prouve que cela ne les révolte pas, contrairement à ce qu’ils prétendent devant les organes de presse : La preuve de cette hypocrisie, c'est que Mohammed Merah et les frères Kouachi ont eu droit à une sépulture islamique tout à fait réglementaire.
Si les massacres qu’ont commis ces damnés en puissance n’avaient soi-disant "rien à voir avec l’islam", nul ne peut nier qu'ils ont proclamé haut et fort qu’ils agissaient au nom de l’islam. Or, si les imams médiatisés prétendent n'avoir "rien à voir" avec ces barbares, comment se fait-il, alors, que ces imams qui disent cela face aux caméras n’ont pas demandé que leurs corps soient incinérés et leurs cendres éparpillées afin que leur souvenir soit en exécration à tous les musulmans ? La réponse est la Taqiyya, que nous avons mentionnée plus haut.
Molière aurait pu, sans peine, dialoguer en alexandrins le rôle de ces imams tartuffards :
— L'imam : "Ce crime odieux, je vous le dis, n'a rien à voir avec l’islam" (en aparté : " Mais celui qui en est l’auteur est un héro mort en martyr !")
12 - La République et les religions
On va nous dire ensuite que la République protège toutes les religions, et que ce principe est affirmé dans la loi de 1905 : Or, précisément, la IIIe République, celle de 1905, a établi une liste fermée des religions de France : D'abord le catholicisme, fondateur de la France en 496, puis le protestantisme et le judaïsme, affranchis par la révolution française, et là s'arrête le catalogue : L’islam était explicitement exclus, car les juifs d'Afrique du nord avaient pu, par la loi Crémieux en 1870, obtenir la nationalité française, alors qu'elle n'avait pas été accordée aux musulmans.
Pourquoi cette discrimination ? Précisément en raison du droit de vie et de mort que l’islam, au prétexte du Coran, s’est arrogé sur le reste de l'humanité, ce que n’ont fait ni le christianisme, ni le judaïsme (hormis certaines déviances talmudiques qui ont d’ailleurs fortement inspiré la rédaction du Coran). Ce droit de vie et de mort que l’islam s’est octroyé, c’est l’archétype le plus profond du totalitarisme, c’est le tréfonds du racisme. Il précède le marxisme et le nazisme dans le traitement cynique et esclavagiste des peuples étrangers. Il justifie les millions d’esclaves que l’islam a prélevés sur les populations européennes durant plus de mille ans par d’incessantes razzias maritimes et côtières, et les dizaines de millions qu’il a prélevés sur l’Afrique noire durant la même période : Il a fallu attendre 1830 et la prise d’Alger par la France pour mettre fin à cette douloureuse et tragique hémorragie dont nous invitons l’Algérie, si éprise de justice, paraît-il, à se repentir publiquement…
La nature « religieuse » de l’islam n’est pas un blanc-seing. Le fait qu’une doctrine soit qualifiée de « religion » ne lui ouvre pas le droit de proférer des commandements immondes au regard des valeurs de la démocratie sans que celle-ci n’ait son mot à dire. Toute religion qui prétend se développer dans la cité démocratique doit faire la preuve que ses commandements sont conformes aux règles morales indispensables à la vie en liberté, car la liberté démocratique ne tient que par l’abnégation de chacun envers le droit d’autrui : tant que le plus grand nombre adhère à cette nécessaire abnégation, la démocratie peut subsister. Dès qu’une proportion critique est atteinte, d’individus qui méprisent ou haïssent cette nécessité, la démocratie est condamnée, car ce n’est pas la loi des assemblées législatives qui fait tenir la démocratie, mais c’est la loi inscrite dans le cœur des citoyens qui la composent : Le christianisme enseigne l’abnégation et l’amour du prochain, qui sont la source indispensable de toute vie démocratique, tandis que l’islam enseigne à ses enfants, dès leur plus jeune âge, que les athées, les polythéistes, les juifs et les chrétiens sont « des chiens et des porcs » que le musulman a le devoir de soumettre, de malmener ou de tuer :
« Combattez : (…) ceux qui ne déclarent pas illicite ce qu’Allah et son Prophète ont déclaré illicite, ceux qui, parmi les gens du Livre, ne pratiquent pas la vraie religion » (Coran, 9 :29)
Ainsi, les Etats-Unis ont voulu, naïvement, en 2003, renverser Saddam Hussein pour remplacer sa tyrannie par un régime démocratique qui deviendrait du même coup le plus sûr allié des nations occidentales au Moyen-Orient. C’est par sa connaissance vécue de la proximité de l’islam que la France les avait mis en garde sur l’échec prévisible de cette entreprise : L’Iraq, en effet, était peuplé de musulmans pour 90% de sa population, rendant ainsi impossible par nature l’établissement de la démocratie. Le desserrement de la tyrannie n’a engendré que le chaos des factions rivales. Nous affirmons que ce chaos est inhérent à l’islam, c’est pourquoi il se retrouve dans toute nation islamique où la tyrannie se voit renversée.
La seule expérience viable de démocratie dans le monde musulman est fraîche et fragile : Il s’agit de la Tunisie. Le peuple tunisien est un peuple à part dans le monde musulman, car c’est le seul qui se soit efforcé de rejeter un certain nombre de principes coraniques, pour avoir reconnu que ceux-ci privent l’homme d’une liberté à laquelle il aspire naturellement. Par ce pragmatisme, les tunisiens ont mis en quelque sorte l’islam sous tutelle. Mais l’islam ne l’entend pas de cette oreille, et rien ne dit, hélas, que l’expérience tunisienne de la démocratie soit appelée à durer.
L’enseignement islamique, en effet, n’est pas compatible avec la vie démocratique. Le « combat » dont parle le Coran n’est pas un débat d’idées, mais une chaîne de violence : la multiplicité des versets du Coran à ce sujet ne laisse aucune place au doute, et les notions de « petit » et de « grand » djihad, véhiculées depuis une trentaine d’années par les analyses complaisantes et superficielles d’une presse véhiculant la propagande de l’immigration massive, ne sont qu’une invention destinée à endormir la méfiance traditionnelle des nations jadis chrétiennes envers l’islam.
La liberté d’opinion conférée au citoyen démocratique n’est pas l’obligation de taire les objections qu’il formule à l’examen d’une doctrine prétendant régenter le bien commun, mais c’est la liberté d’exprimer ces objections afin de les soumettre publiquement au jugement de tous. Ainsi, la loi ne peut interdire au citoyen l’examen et l’étude du Coran et de l’histoire qu’il a engendrée, ni la publication des conclusions qu’il tire de cette étude. L’hostilité à une doctrine est permise et peut se manifester dans l’essai : Le droit de réfuter une doctrine fondée sur des prémisses erronées est légitime, il s’agit même non seulement d’un droit, mais d’un devoir dès lors que l’examen de cette doctrine montre qu’elle constitue une menace pour la liberté de conscience.
13 - Menaces sur la liberté d’expression
L’expression publique résultant du libre examen des théories et des doctrines par le citoyen démocratique n’a pas à faire d’exception pour l’islam. Surtout pas. Cette liberté d’analyse, octroyée depuis que le catholicisme a perdu sa valeur de religion d’Etat, a permis de traiter le christianisme de façon implacable, y compris par la dérision et la calomnie, ce serait donc un comble qu’elle interdise ensuite la critique juste et honnête des graves carences intellectuelles et morales que l’islam porte en lui-même, qui le secouent de spasmes incontrôlables menant régulièrement à de meurtrières exactions aux quatre coins du monde, et maintenant ici, en France. La forgerie récente du néologisme « islamophobie » est en elle-même une forfaiture, car elle vise à faire passer pour criminel ou, pour le moins, fautif, le droit le plus élémentaire au libre examen, ce qui est d’autant plus scandaleux dans le cas présent qu’il s’agit d’une doctrine qui interdit justement le libre examen et la critique, allant jusqu’à l’absurdité de prétendre que le Coran serait un livre « incréé » : il est donc indécent qu’une doctrine qui méprise et foule aux pieds la liberté exige quoi que ce soit au nom de cette même liberté, et en particulier qu’il soit interdit de rendre compte de ses carences .
La liberté d’opinion comporte non seulement le droit d’approuver une doctrine, mais aussi le droit de la réprouver, et dans ce cas le droit d’exprimer les attendus de cette réprobation : Hors de ce champ critique, nous entrons dans le fascisme, la dictature, la tyrannie ou tout autre terme synonyme dont on puisse qualifier le fait de vouloir non réfuter par la rhétorique, mais empêcher, par la loi, l’expression d’opinions contraires aux siennes. Le musulman doit admettre que si, pour lui, le Coran est la parole révélée d’Allah, pour le lecteur que ce texte prétendument révélé n’a pas réussi à convaincre, il ne s’agit que d’une imposture à visée totalitaire, un bréviaire de la haine qui, une fois admis dans une société où le citoyen dispose par principe du plus vaste espace de liberté possible, fait peser sur celle-ci une menace mortelle. Il est d’ailleurs logique, dans ce processus, que l'islam commence par vouloir soumettre à sa censure la liberté d’expression elle-même, car le simple fait que cette liberté existe constitue en lui-même la réfutation du Coran.
Ainsi, de même que les doctrines néo-nazies sont aujourd'hui interdites de propagande, il serait parfaitement légitime d'interdire aussi l’islam qui, dans son fondement même - lisez donc le Coran ! - n'a rien à envier au nazisme en cela qu'il s'arroge lui aussi un droit de vie et de mort sur les communautés qui lui sont étrangères : l’analyse du texte coranique, et plus encore la littérature « théologique » islamique et l’observation de l’histoire musulmane, permettent de démontrer sans aucune ambigüité ce qui est affirmé ici.
14 - Le fœtus israélien coupable
A titre d’exemple, Il est bon de méditer sur le fait suivant : En 2007, les « théologiens » de l’université islamique du Caire on débattu de la question suivante : « Est-il légitime de tuer une femme israélienne enceinte ? ». Non seulement ils se sont posés la question, ce qui déjà peut laisser perplexe l’homme un tant soit peu spirituel mais, mieux encore, ils ont fini par y répondre « oui » , arguant du fait que l’enfant que porte cette femme sera un jour un soldat israélien, et qu’il sera donc amené à opprimer les musulmans ! Cet enfant est donc coupable d’un crime passible de mort avant même d’être né ! Voilà ce que peut produire la « théologie » islamique, ou devrait-on plutôt dire l’ « allahlogie ». Peut-on Imaginer un instant le pape promulguant une bulle autorisant le meurtre des femmes juives enceintes ? Mahomet se prétendait pourtant le continuateur de Jésus, bien que le mot amour ne figure jamais dans son Coran, à une seule exception près, où il apparaît non comme un point de doctrine, mais dans un contexte indirect. Ceci aide à comprendre la genèse des paroles de nos « rappeurs » cités plus haut. Le musulman n’a pas à aimer l’autre, il a juste à le convertir ou à le tuer (quand la chose est possible, sinon, en attendant, il y a la taqiyya). Le propos d’un intellectuel musulman, entendu sur France-Culture vers 1990, nous avait frappés par sa cruauté ingénue. Il résume parfaitement l’islam :
« Notre drame à nous, musulmans, c’est que nous voulons être, et que nous ne pouvons être, nous, musulmans, que si l’autre n’est pas ». (Référence incomplète. Sur France-Culture, vers 1990)
15 - Le génocide arménien
Ainsi, pour qui a compris l'essence du Coran, Il n’est nullement étonnant de constater que lorsque des voix raisonnables demandent aux Turcs de reconnaître le génocide arménien, leur gouvernement n'adresse en réponse à ces demandes que des invectives et des menaces : Voilà encore une « merveille » de l’islam ! Imagine-t-on un instant la Chancelière allemande Angela Merkel menacer de représailles économiques, voire de menaces physiques à peine voilées, quiconque oserait fustiger la barbarie nazie ?
Pourtant, si le génocide des Arméniens ne fut pas plus implacable dans sa réalisation que celui des Juifs, il fut néanmoins tout aussi méthodique et bien plus cruel : entre autres joyeusetés, des enfants attachés à des crocs de bouchers et éventrés sous les yeux de leurs mères par des Turcs goguenards. Les preuves historiques de cela existent. Nous avons ici une question : Quelle force spirituelle peut bien être à l'origine d'un tel carnage ? Qui donc est cet Allah qui inspire de tels actes – car c’est bien pour avoir refusé de se convertir à l’islam que les Arméniens furent massacrés - ? Que chacun cherche en lui-même la réponse à cette question...
Les Allemands ont fait œuvre de repentir. Les musulmans sont incapables de repentir, pour la simple raison que les crimes qu'on leur reproche ne sont nullement des crimes à leurs yeux, puisqu'ils ne sont que la mise en œuvre de la volonté d'Allah : Nous l’avons déjà montré, le Coran affranchit le musulman de toute introspection. Il n’y a chez le musulman d’autre examen de conscience que celui de la conscience d’autrui. Il est alors trop évident, pour tout chrétien, que cet Allah ne peut être en aucune manière le Dieu annoncé par Jésus-Christ : Mieux encore, non seulement il ne ressemble pas à Dieu, mais il ressemble fort à son contraire…
16 - Les ambigüités de l’Eglise conciliaire et l’orthodoxie salutaire
Ce n’est que par ambition diplomatique et non par l’examen théologique, qui réfute implacablement cette erreur, que le pape conciliaire George Bergoglio a monstrueusement proclamé : « le véritable Islam et une adéquate interprétation du Coran s’opposent à toute violence ». Certes, la formule reste ambigüe, et il ne l’a pas prononcée ex cathedra : Ce n’est donc bien évidemment pas une parole infaillible, et d’autant moins qu’en tant que pape il n’est pas fondé à prononcer sur l’islam d’autres paroles infaillibles que celles qui le condamnent sans appel : l’Eglise, dès le 7e siècle et jusqu’au triste propos mentionné ici, n’a pu que constater, sans aucune hésitation ni ambigüité, que l’islam se condamne lui-même de facto, en raison des innombrables blasphèmes contre la Trinité et la divinité du Christ qui émaillent le Coran, ainsi que les nombreuses erreurs relatives à l’Ancien Testament et les nombreux égarements ou contresens théologiques que renferme le Coran. C’est pourquoi l’Eglise a toujours qualifié le Coran de « séduction satanique », car cette parole théologiquement défaillante se prétend tombée du Ciel et essaye d’intimider son lecteur pour l’obliger à croire à ses élucubrations en le menaçant de l’enfer s’il refuse de croire :
« Ils ont traité nos signes de mensonges ; Dieu les a punis pour leur péché - Dieu est terrible dans son châtiment ! » (Coran, 3 :11)
Les versets semblables ou voisins du (3 :11) sont nombreux, nous ne pouvons tous les citer, mais nous en procurons la longue liste à titre de pièce à conviction :
Versets coraniques appelant la malédiction de ceux qui "traitent nos signes de mensonges" :
3 :11, 5 :10 , 5 :86, 6 :21, 6 :27, 6 :33, 6 :39, 6 :49, 6 :157, 7 :36,7 :37,7 :40, 10 :17,24 :4,26 :6, 29 :18, 29 :68, 30 :16, 32 :20 , 35 :25, 39 :50, 42 :24, 50 :5, 52 :11, 52,13-14, 55 :43-44, 56 :61-62, 57 :19, 67 :9, 68 :8-9, 69 :48-49, 77 : 15,19,24,28,34,37,40,45,47,49, 77 :29-33, 78 :28, 83 :12-13, 83 :15, 84 :20-22, 85 :19-20, 92 :14-16, 95 :7
La rhétorique globale du Coran pourrait ainsi se résumer, un peu vulgairement, certes, mais cela revient pourtant vraiment à cela, aux propos de l'enfant de dix ans mis en chanson par Alain Souchon :
"Si tu me crois pas, t'a'are ta gueule à la récré". (Alain Souchon, "J'ai dix ans",1974)
Ainsi la force de conviction du Coran est fondée non sur une approche magistrale de la morale ou de la mansuétude divine, mais uniquement sur l'intimidation cherchant à forcer l'adhésion :
"Ceux qui traitent nos signes de mensonges seront les hôtes du feu ; ils subiront éternellement des supplices immondes" : Voilà à quoi se résument les innombrables versets cités ci-dessus.
Le célèbre Nostradamus qualifiait lui-même l’islam de « pestifere seduction sarrasine » (Nostradamus, Lettre à Henry II, 1555).
Cependant, si l’Eglise a condamné l’islam, elle n'a pas condamné irrémédiablement les musulmans, qu’elle a toujours appelés sans relâche, comme tous les autres païens, à se convertir au Christ pour le salut de leur âme. L’enfer, que le Coran décrit avec tant de fascination et de détails parfois ridicules, est bien, selon l'Eglise, le sort qui attend celui qui s’en remet au faux prophète, et ce n’est pas en commettant ignominie sur ignominie pour assouvir la rage qui le ronge de se savoir inconsciemment damné, qu’il obtiendra la rémission de ses fautes pour le salut de son âme : Au contraire, chaque forfait, chaque acte ou parole de haine, l’éloigne un peu plus de l’improbable rédemption qui s’offre pourtant à lui en grand. Considérer la « chevelure du Prophète » comme assurance de salut est une regrettable farce à laquelle il n’est pas avantageux de donner crédit.
17 - Observatoire de l’islamolâtrie
Pour notre part, ayant étudié l’islam de suffisamment près pour savoir ce qui s'y trouve vraiment, nous avons fondé l'Observatoire de l’islamolâtrie, dont ce manifeste est la justification, et dont le but est de surveiller avec vigilance la tentative de dérive totalitaire que les institutions musulmanes récemment créées dans ce pays s'efforcent d'obtenir de la loi et de la presse en général, afin que la liberté d’expression finisse par se soumettre à la censure de l’islam. Notre amour de la liberté commande que nous combattions cette funeste entreprise d’étouffement du principe premier de notre constitution, entreprise d’étouffement dont l'Observatoire National de l’islamophobie est le symbole par excellence, et dont le vocable même d’ « islamophobie » est un venin putride dont le substantif « islamolâtrie » sera l’antidote salutaire.
Ce combat procède d’une raison très simple que nous n’hésitons pas à prophétiser ici, au risque de surprendre les victimes de la propagande mondialiste aveuglées par les promesses fallacieuses et lénifiantes d’une fraternité attendue qui ne viendra jamais : Il n’y aura jamais d’amitié sincère avec l’islam, car le Coran l’interdit lui-même à ses adeptes :
« O vous qui croyez ! Ne prenez pas pour amis les Juifs et les Chrétiens ; ils sont amis les uns des autres. Celui qui, parmi vous, les prend pour amis, est des leurs » (Coran, 5 :51)
La « société multiculturelle » est une fable trompeuse. Nous avons eu tort d’y accorder crédit, car c’est le monde qui est multiculturel, pas les nations qui le composent, celles-ci ne pouvant subsister durablement sans une homogénéité culturelle. Nous tous, peuples d’Europe, nous avons donc ouvert notre porte à une communauté sectaire dont le livre sacré l’appelle à verser le sang de ceux qui refusent de se soumettre à sa doctrine. Combattre cette religion funeste est donc le lot de l’homme libre, c’est un passage obligé. Il nous faut convaincre les musulmans qu’ils se trompent, et les contraindre, pour notre salut autant que pour le leur, à choisir entre l’Europe et l’islam. La méthode Coué, consistant à se dire chaque matin « L’islam est très gentil, ne pas faire l’amalgame entre islam et islamisme » ne mène nulle part. Notre combat à nous ne se fait pas à la Kalachnikov, mais se place au niveau du courage d'une pensée intransigeante, au réveil de laquelle nous appelons tous les hommes libres, afin d’empêcher la contorsion des lois qui les mènera à tomber sous le joug d’une si funeste tyrannie. Lisez le Livre des Psaumes et le Nouveau Testament, puis lisez le Coran : C’est le préalable nécessaire à la guérison. Car la maladie que nous avons contractée est mortelle, et c’est par l’intelligence religieuse que nous en guérirons, non en cédant à la peur sous les imprécations ou en s’aliénant l’esprit dans les dénis de réalité.
Qu’une religion s’étendant sur un bon quart de la planète présente plusieurs facettes, cela est inévitable. Mais, en dépit des variations contingentes, il n’y a qu’un seul islam, car il n’y a qu’un seul Coran. Son attitude envers le monde est clairement programmée. Croire que l’islam peut s’amender et renoncer à ses principes afin de vivre enfin en harmonie avec le reste du monde, c’est prendre les musulmans pour des traîtres ou des imbéciles, ce qu’ils ne sont pas : Ils ont accordé foi à un mauvais livre, mais ils le croient véridique. On ne peut leur demander de rester fidèle à ce livre tout en renonçant aux commandements qu’il ordonne. En faisant ainsi, nous donnons raison à leur vindicte : « Vous dites que notre livre est bon et que vous le respectez, pourquoi donc ne vous convertissez-vous pas ? » disent-il en substance aux hypocrites qui essaient de les amadouer. Et par cette simple question, ils ont raison, effectivement, de tous ceux qui disent que le Coran n’est pas un mauvais livre.
Or, du point de vue chrétien, le Coran est un livre faux , une apparence de révélation dont l’inspirateur ne peut être Dieu lui-même : ce n’est nullement une prophétie, car l’Esprit-Saint ne s’y rencontre jamais : La lecture d’Isaïe, de Jérémie, de Daniel, d’Ezéchiel ou de Salomon fait entrevoir l’amour et la tendresse de Dieu pour les hommes et elle éclaire avec acuité les reliefs de l’âme humaine. Celle du Coran ne laisse entrevoir aucun clin d’œil divin. Sa séduction originelle a opéré sur des peuples faibles ou attardés et a été rejetée sans hésitation par les peuples de culture avancée ; mais à force de redescendre nous-mêmes dans le marigot du paganisme le plus indécent, voilà que l’islam interloque de plus en plus d’entre nos concitoyens : Amis de la liberté, lisez les Evangiles, puis lisez le Coran : Alors, l’islam n’aura plus sur vous aucun pouvoir de fascination, et nous pourrons faire taire sa hargne sans même avoir à lui faire violence.
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