Norman Finkelstein : Pourquoi l’Ukraine ne sera jamais membre de l’OTAN
LES MASQUES TOMBENT
Par Norman Finkelstein
Source : normanfinkelstein.com, le 14 juillet 2023
Traduction : lecridespeuples.fr
Lors du sommet de Bucarest en 2008, l'Ukraine s'est vu promettre une éventuelle adhésion à l'OTAN. En 2022, à la veille de l' « opération militaire spéciale » russe, l'Ukraine participait déjà à des exercices militaires conjoints avec l'OTAN et recevait massivement des armes et des formations de l'OTAN. Mais elle n'avait toujours pas obtenu le statut de membre. La guerre en Ukraine en est maintenant à son 500e jour, le pays a été dévasté et ses forces de combat ont subi des pertes par centaines de milliers. Pourtant, lors du sommet de Vilnius qui s'est tenu la semaine dernière, l'Ukraine a été inscrite sur la liste d'attente du club d'élite. Le communiqué du sommet note qu'un « Conseil OTAN-Ukraine » a été créé pour faciliter « les aspirations euro-atlantiques de l'Ukraine à l'adhésion à l'OTAN », mais l'appartenance à l'Alliance est toujours aussi insaisissable. Jugeant cette situation « absurde », le président Zelensky a protesté, menaçant de ne pas assister au sommet, jusqu'à ce qu'on lui fasse comprendre qu'il n'est pas sage de mordre la main qui vous nourrit. Le guerrier du magazine chic Vogue s'est donc consciencieusement présenté et a reçu de douces tapes sur sa keppele [petite tête / kippa] pour avoir été un petit garçon obéissant.
La question qui s'impose est la suivante : pourquoi l'OTAN a-t-elle refusé à plusieurs reprises l'adhésion de l'Ukraine ? La réponse n'a pas tardé à venir. Le président Biden a expliqué que si l'Ukraine rejoignait l'OTAN, en vertu de l'article 5 du traité de l'OTAN, les États-Unis seraient en guerre avec la Russie, ce qui n'est pas une bonne chose. L'étrangeté de cette clarification n'a pas été remarquée. Si l'Ukraine était la victime innocente d'une agression russe brutale et non provoquée, n'était-ce pas précisément le moment d'admettre l'Ukraine et de la soutenir des deux pieds et des deux mains ? Après tout, c'est ce que dicte la solidarité avec un ami dans le besoin.
Voir Norman Finkelstein : la Russie a le droit historique d’intervenir en Ukraine
Mais M. Biden, au contraire, a considéré qu'il allait de soi que la défense de l'Ukraine par des troupes de combat américaines n'était pas envisageable. L'horrible vérité, c'est que l'OTAN n'a jamais proposé à l'Ukraine de la rejoindre ; ce n'était qu'une incitation et un stratagème. Au contraire, Washington espérait idéalement armer l'Ukraine jusqu'aux dents afin de neutraliser militairement la Russie sans devoir tirer lui-même un seul coup de feu. Mais les États-Unis savaient certainement qu'ils jouaient avec le feu. Si John Mearsheimer et Stephen Cohen ont pu prédire à juste titre que la Russie n'accepterait pas son encerclement mortel, il est peu probable que Foggy Bottom [quartier de Washington où se situe le Département d'Etat américain] ait été dans l'ignorance. Au contraire, dans une simulation, la Russie serait provoquée dans une guerre afin de la saigner, mais l'Ukraine —sans adhésion à l'OTAN— serait livrée à elle-même, se battant et mourant pendant que les industries de la mort aux États-Unis feraient un malheur [ventes d'armes]. En d'autres termes, l'Ukraine n'est utile que sans l'article 5 : le rôle qui lui est assigné est de mourir pour l'OTAN, et non l'inverse. La Russie n'est pas la seule à être tombée dans le piège de l'OTAN, l'Ukraine aussi. (Bien que la Russie soit tombée dans le piège sciemment ; elle n'avait pas de meilleure option).
https://twitter.com/lecridespeuples/status/1679222819052302336
Le masque est maintenant tombé et, semble-t-il, la vérité s'est imposée même au guerrier de Vogue à l'esprit borné. D'où sa crise de colère (tronquée). L'ex-comédien de série B n'a pas pu résister au rôle du siècle : mi-Churchill (lisant sa bouille pour chats écrite par la CIA), mi-Rambo (dans son grotesque treillis vert olive). C'est un véritable personnage de Woody Allen, tout droit sorti de Bananas ou de Woody et les Robots. En pleine possession de ses moyens, Zelensky a été —choisissez votre cliché— mené en bateau, manipulé comme un violon d'Ingres. Washington a fait miroiter à l'Ukraine la perspective d'une adhésion à l'OTAN, soi-disant pour la protéger de l'agression russe, alors que son véritable objectif était de provoquer une agression russe dans laquelle l'Ukraine devrait, hélas, subir une dévastation afin que l'OTAN puisse remporter une victoire immaculée. Cela vous rappelle quelque chose ? C'est normal. Dans les années 1930, Staline a supplié les puissances occidentales de s'associer à la Russie dans un pacte de sécurité collective contre la menace nazie montante, tandis que pendant la Seconde Guerre mondiale, il a supplié les autres puissances alliées d'ouvrir un deuxième front (jusqu'en 1944, la quasi-totalité des troupes nazies se battaient sur le front oriental). L'Occident, cependant, avait son propre agenda : laisser les Soviétiques et les Nazis se saigner à blanc, pour pouvoir ensuite repartir avec le butin. Dans une symétrie historique ironique, si la Russie l'était à l'époque, c'est l'Ukraine qui est aujourd'hui l'agneau du sacrifice. Pourtant, même selon les normes totalement cyniques de la politique des grandes puissances, la perfidie de l'OTAN en Ukraine est à couper le souffle.
Les États-Unis ont ordonné à l'Ukraine de lancer une contre-offensive à laquelle elle était terriblement mal préparée. Au début de la contre-offensive annoncée, j'ai émis l'hypothèse que « le motif probable des récentes attaques de drones à l'intérieur de la Russie et de la destruction du barrage est de détourner l'attention de l'offensive qui n'aura jamais lieu » (« Ukraine - Tactiques désespérées », 6 juin 2023). Un mois plus tard, l'offensive n'a pas eu lieu. Les Ukrainiens se sont emparés d'une poignée de villages dont la population cumulée est inférieure à celle de mon lycée et dont la longueur cumulée est inférieure à la distance de mon jogging matinal. Sur quoi ai-je fondé mes spéculations ? J'avoue sans honte être totalement ignorant des affaires militaires. La soif de sang n'a jamais été ma tasse de thé : mes parents m'ont transmis un bilan totalement négatif de la guerre ; la mort et la destruction ne conféraient aucun droit à la vantardise dans mon foyer. (Lorsqu'un lointain parent israélien s'est présenté à notre porte dans les années 1970 en proclamant fièrement qu'il était dans les forces de défense israéliennes, ma mère a sèchement répondu : « Et alors ? »). Mais j'habite dans un quartier ukrainien connu sous le nom informel de « Petite Odessa au bord de la mer » (il jouxte Brighton Beach). Il n'y a qu'un pas à faire pour se rapprocher de cette terre ravagée. « Malgré toutes les machines de destruction », a écrit Léon Trotski, qui a organisé et dirigé l'Armée rouge, « le facteur moral conserve une importance décisive dans la guerre ». Au cours de l'année écoulée, mon quartier a été envahi par des Ukrainiens en âge de servir dans l'armée. Quel que soit leur moral au début de la guerre, les Ukrainiens peuvent-ils aujourd'hui ignorer qu'ils sont utilisés comme chair à canon pour satisfaire les fous de Washington ? Il y a manifestement quelque chose qui ne va pas lorsque le président de l'état-major interarmées américain doit « exhorter les troupes ukrainiennes à défendre leur pays » (New York Times). Ceux qui le peuvent s'enfuient ; ceux qui ne le peuvent pas continuent à se battre, car les salaires de l'armée sont très supérieurs à ceux des civils. Mais ils ne sont pas prêts à se jeter sous les tirs impitoyables de l'artillerie russe, à moins d'y être contraints. De l'autre côté, si l'esprit combatif des soldats russes s'est d'abord émoussé parce qu'ils doutaient du bien-fondé de l' « opération militaire spéciale », des personnes comme le sénateur américain Lindsey Graham ont mis fin à ces doutes en déclarant avec un sourire coprophage : « Les Russes sont en train de mourir. Jamais nous n'avons mieux dépensé notre argent ». La contre-offensive a donc été, comme on pouvait s'y attendre, un échec. Le copieux communiqué de Vilnius, qui compte 11 000 mots, ne mentionne pas une seule fois la contre-offensive, pas plus qu'il n'y fait allusion. (Il est intéressant de noter que le communiqué n'accuse pas directement la Russie d'être responsable de l'explosion du barrage et qu'il se contente prudemment de dire que « la destruction du barrage de Kakhovka met en évidence les conséquences brutales de la guerre déclenchée par la Russie »). Le New York Times rapporte jour après jour que le corps des officiers russes est en plein désarroi. Il ne s'arrête cependant jamais pour réfléchir à la question suivante : si c'était le cas, pourquoi la contre-offensive ukrainienne annoncée à grand renfort de publicité n'a-t-elle pas tiré parti de cette situation ?
https://twitter.com/lecridespeuples/status/1666469753727188994
Si la contre-offensive fantôme de l'Ukraine n'est pas mentionnée dans le communiqué de l'OTAN, la Chine, elle, l'est très clairement. Il a toujours été douteux que la Russie représente une quelconque menace pour la sécurité de l'Europe de l'Est, et encore moins pour celle des puissances occidentales. Même à l'époque soviétique, lorsque Staline était acclamé comme le grand leader de la révolution mondiale, Trotsky a observé avec perspicacité (en 1940) qu'en fait, « Staline est le politicien le plus conservateur d'Europe ». Aujourd'hui, peu de choses ont changé. « La Russie de Poutine est une puissance profondément conservatrice », note l'un des observateurs les plus avisés du Kremlin, « et ses actions sont conçues pour maintenir le statu quo » (Richard Sakwa, Frontline Ukraine). Même s'il y aspirait, ni l'ère soviétique ni l'ère post-soviétique n'ont permis au Kremlin, installé sur une plate-forme branlante, de remanier radicalement la carte politique. Si Washington a cherché à neutraliser militairement la Russie, ce n'était pas pour dissuader un complot démoniaque de Poutine qui viserait à restaurer l'empire tsariste, mais plutôt pour positionner toutes ses pièces sur le grand échiquier en vue de la bataille décisive à venir. Une fois la Russie éliminée de l'échiquier, Washington aurait les mains libres ailleurs —du moins l'espérait-il, mais les choses se sont déroulées différemment— où les enjeux sont en effet considérables. Le communiqué de Vilnius stipule que « l'objectif essentiel et la plus grande responsabilité de l'OTAN sont d'assurer notre défense collective, contre toutes les menaces, venant de toutes les directions ». Remarquez qu'il n'est pas question de « menaces militaires ». De quelles menaces s'agit-il, et de quelle direction ? Le communiqué ne laisse aucune place au doute :
Les ambitions déclarées et les politiques coercitives de la République Populaire de Chine (RPC) remettent en cause nos intérêts, notre sécurité et nos valeurs.... La RPC cherche à contrôler les secteurs technologiques et industriels clés, les infrastructures essentielles, les matériaux stratégiques et les chaînes d'approvisionnement. Elle utilise son influence économique pour créer des dépendances stratégiques et renforcer son influence.
En d'autres termes, la Chine cherche à supplanter les États-Unis en tant qu'hégémon mondial en recourant aux mêmes méthodes que celles qui ont assuré la domination mondiale de Washington (en tandem avec l'Europe en tant que partenaire junior) depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Et, bon sang, c'est pas juste ! Les plans visant à contrer cette « menace » sont des plus inquiétants :
Nous travaillons ensemble de manière responsable, en tant qu'Alliés, pour relever les défis systémiques posés par la RPC à la sécurité euro-atlantique et assurer la capacité durable de l'OTAN à garantir la défense et la sécurité des Alliés... L'approfondissement du partenariat stratégique entre la RPC et la Russie et leurs tentatives, qui se renforcent mutuellement, de saper l'ordre international fondé sur des règles vont à l'encontre de nos valeurs et de nos intérêts.
Comment l'OTAN envisage-t-elle exactement de défendre nos « valeurs et intérêts » face aux « ambitions » de la Chine ?
Nous fournirons, individuellement et collectivement, l'ensemble des forces, des capacités, des plans, des ressources, des moyens et des infrastructures nécessaires à la dissuasion et à la défense, y compris pour des opérations de guerre de haute intensité et multi-domaines contre des concurrents pairs dotés d'armes nucléaires. En conséquence, nous renforcerons les entraînements et les exercices qui simulent la dimension conventionnelle et, pour les Alliés concernés, la dimension nucléaire d'une crise ou d'un conflit, ce qui facilitera une plus grande cohérence entre les composantes conventionnelles et nucléaires du dispositif de dissuasion et de défense de l'OTAN dans tous les domaines et dans l'ensemble du spectre des conflits... L'OTAN est prête et apte à dissuader l'agression et à gérer les risques d'escalade dans une crise qui aurait une dimension nucléaire. (c'est moi qui souligne)
Cela n'augure rien de bon. Mais même si ce conclave de Dr. Folamour se prépare à une conflagration nucléaire, on ne peut pas dire qu'il soit irrécupérable :
Nous reconnaissons l'importance cruciale d'une participation pleine, égale et significative des femmes à tous les aspects de la paix et de la stabilité [...] Nous ferons progresser l'égalité entre les hommes et les femmes et intégrerons les perspectives de genre.
Une femme pourra-t-elle appuyer sur le bouton de l'apocalypse nucléaire ?
***
Ukraine : tactiques désespérées
Par Norman Finkelstein
Source : normanfinkelstein.com, le 6 juin 2023
Traduction : lecridespeuples.fr
La couverture médiatique de la guerre en Ukraine a changé. Depuis le début, le New York Times a déclaré que la moindre allusion aux nazis en Ukraine était une calomnie inspirée par le Kremlin. Or, hier, le Times a découvert en Ukraine... des nazis. Plus choquant encore, le Times a levé le voile sur cet aspect peu glorieux de l'armée ukrainienne juste au moment où l'offensive tant attendue était censée avoir commencé. Il ne fait aucun doute que, dans certains milieux, la « révélation » du Times sera interprétée comme une trahison.
Par ailleurs, depuis le début de la guerre, le Times publie les communiqués de presse quotidiens de Zelensky comme s'il s'agissait d'un texte sacré. Le Times a été tellement hypnotisé par le costume olive du guerrier de Vogue que les textes qu'il a lus sont passés de ses lèvres aux colonnes de la presse sans aucune modification. Les remettre en question reviendrait à douter de sa sainteté. Alors même que Bakhmut tombait aux mains des Russes, le Times continuait à annoncer que la victoire était toute proche. Mais dans son reportage d'aujourd'hui sur le barrage décimé, le Times n'a pas pris parti entre les récriminations mutuelles de Kiev et du Kremlin. C'est comme si, à mesure que la fortune de l'Ukraine s'assombrit, le Times avait décidé qu'il ferait mieux de commencer à se couvrir avant que ne s'installent les post-mortem mortifères de cette guerre désastreuse.
Mais une offensive ukrainienne n'est-elle pas imminente ? Les États-Unis ont exigé qu'elle soit lancée par l'Ukraine afin de justifier leurs généreuses dépenses militaires. Mais même le guerrier imbécile de Vogue ne peut s'empêcher de savoir que ce sera une catastrophe. Cette perspective rappelle la bataille d'Omdurman en 1898, lorsque l'armée mahdiste a été impitoyablement fauchée en masse par les mitrailleuses britanniques. Pour ma part, j'espère et je prie pour que Victoria Nuland arrive juste à temps avec ses chocolats de marque afin que les soldats ukrainiens —armes à la main et dégrisés par la vérité qu'ils ont été utilisés comme chair à canon— puissent la remercier comme il se doit.
Voir Norman Finkelstein : en frappant le Kremlin, les Etats-Unis risquent une guerre nucléaire
Mais y aura-t-il même une offensive ? Le motif probable des récentes attaques de drones à l'intérieur de la Russie et de la destruction du barrage est de détourner l'attention de l'offensive qui n'aura jamais lieu ; ou de créer un incident majeur tel que l'ONU sera forcée d'agir, renflouant ainsi Washington et son régime fantoche avec des négociations pour sauver la face ; ou d'avertir le Kremlin que si l'Ukraine tombe, l'armement de pointe fourni par Washington peut toujours être pointé, par exemple, sur un réacteur nucléaire russe. Les nazis en son sein ne reculent pas devant l'Armageddon —au contraire, comme Hitler dans son bunker à la fin de la guerre, ils s'en délectent.
Voir notre dossier sur la situation en Ukraine.
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71 réactions à cet article
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Norman Finkelstein c’est un bon lui j’ai son livre « l’industrie de l’holocauste »
Sinon sur ce conflit ukrainien tout le monde ment tandis que les troufions du rang (ukrosses et popov) morflent un max
Sans oublier les terribles combats à très haute intensité qui se déroulent en modération
Comme par exemple les commandos antifas trotskistes ’ jean dug ’ financés par Soros et téléguidés par les otanoukrosses
Ou Gérard de Luchon et sa virulente attaque de christelle néant reçue par poutine
OUI ça barde aussi en modé !
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@Bendidon ... Wind Pilgrimer
jean dug va te bannir sous ses articles, çà t’apprendra à bien te tenir
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@leypanou
Wi suis pas gentil, va voir sur l’article de rose je mets le lien de l’itw de la néant qui a vu l’homme qui a vu l’ours
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@Bendidon ... Wind Pilgrimer
idem pour moi, j’ai acheté son ouvrage dès sa parution à « La Fabrique ».
Ses amis lui auraient conseillé « arrête de prendre les Juifs à rebrousse poil sinon tu ne trouveras plus une maison de retraite pour t’accueillir ».
Pour ma part, je suis près à l’accueillir avec le gite et le couvert.
C’est un homme juste et droit de la trempe du Général !
Les Hommes comme lui hélas sont loin de faire l’unanimité.
Quand j’entends les gens se plaindre lors des élections « ils sont tous pourris »
mais si un homme respectable se présentait, les mêmes regarderaient ailleurs...
L’espèce humaine ? quelle engeance ! -
@N’en déplaise aux branleurs
« arrête de prendre les Juifs à rebrousse poil sinon tu ne trouveras plus une maison de retraite pour t’accueillir ».
Qui veut aller dans une maison de retraite ? -
@Bendidon ... Wind Pilgrimer
Hélas comme Chomsky, Finkelstein est juif, et son point de vue en partie obéré...
J’ai le livre entre les mains... et je ne vois rien de précis sur les camps *
Peut-être faudrait-il ouvrir le débat en supprimant la loi Gayssot .... -
@anaphore
je ne vois rien de précis sur les campsSon ouvrage ne porte pas spécialement sur les camps.
Je ne l’ai pas rouvert depuis 20 ans.
De mémoire, il est question :
— du détournement du Fonds d’indemnisation des descendants de victimes des nazis, par le gouvernement israélien,
— de la surévaluation du nombre des morts dans les camps,
— de la surestimation par un coefficient 1000 ( mille ! ) de l’indemnité redevable par le gouvernement suisse.
Quand Berne a demandé du temps pour procéder à l’évaluation, les organismes financiers de plusieurs états de la côte Est des USA ont commencé à retirer leurs fonds investis en Suisse... succès garanti !
etc, etc -
@N’en déplaise aux branleurs
Il semblerait que 2 personnes s’intéressent à Finkelstein mais trouvent « pas intéressantes » ses écrits que je rapporte..
Logique !
et ça vote je parie ! -
@Francis, agnotologue
Les électeurs de plus de 80 ans, à qui on devrait faire passer un examen de capacité mentale tous les 2 ans ( une sorte de permis de voter à points ).
On verrait peut-être apparaitre comme candidat, des hommes politiques dignes du général De Gaulle, comme François Asselineau ( banni des plateaux-télé par le Gauleiter de l’Elysée, et qui est devenu « l’homme invisible » pour l’électeur moyen ).
Si un duel télévisé avait eu lieu entre les deux hommes, Emmanuel Macron aurait été K.O. au 1er round !
Qui est cet homme ? Facile allez sur Wkipedia, sinon www.upr.fr -
https://www.thejc.com/news/us/norman-finkelstein-students-should-be-taught-about-holocaust-denial-ideally-by-a-holocaust-denier-1.507888
Cet article prouverait l’ouverture d’esprit concernant le révisionnisme. Hélas la loi a permis d’enfermer Vincent Renouard et Hervé Rissen ne parlons pas des ennuis de Dieudonné avec Faurisson.
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Les américains ne savent pas comment sortir de la galère ukrainienne qu’ils ont organisé avec bien peu de clairvoyance. Une seule solution, le Congrès refuse les dérives de Biden et ses straussiens, jusqu’aux élections américaines qui donneront un autre président, c’est obligatoire, qui lui pourra stopper sous x prétextes intérieurs son soutien à l’Ukraine. En 2025, en Europe, ce sera de nouveau « nos amis russes » — mais pas dans l’autre sens, nous resterons de simples clients. Ne restera que le « nouvel ordre économique mondial » en cours, auquel nous aurons bien du mal à nous raccrocher en Europe. Avec un peu de chance, cela pourrait être même le début de la fin de l’Europe. Ce qui confirmerait le dicton « A quelque chose malheur est bon ».
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Hé bien non, ça sera l’Otan qui sera membre de l’Ukraine .....
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@zygzornifle
On s’en fout de l’OTAN, !
Le méchant russe c’est la fable du Loup transposée aux adultes
c’est dire le niveau mental moyen de notre population !
Les parents n’ont rien à envier en cancritude à leur progéniture !
Et tout ça, ça va mettre un bulletin dans l’urne pour mettre notre sort aux mains de 80% d’arrivistes...
L’autre disait la Religion — Opium du peuple,
aujourd’hui, Consommation a remplacé Religion...
Continuez comme ça ! -
@N’en déplaise aux branleurs
« Le méchant russe c’est la fable du Loup transposée aux adultes
c’est dire le niveau mental moyen de notre population !
Les parents n’ont rien à envier en cancritude à leur progéniture !
Et tout ça, ça va mettre un bulletin dans l’urne pour mettre notre sort aux mains de 80% d’arrivistes... »Le méchant russe c’est le père fouettard et le croquemitaine réunis et au contraire « Sleepy Joe » et la clique européiste c’est le gentil marchand de sables qui endort ces crétins.
Mais rien n’est immuable. Un jour peut-être... -
Article intéressant.
Il y est dit à propos de certains « hommes » de l’armée ukrainienne : « .... ceux qui le peuvent s’enfuient ... ». Effectivement il me revient de Bruxelles que le gouvernement belge aurait mis au point un stratagème légalisant l’équivalence entre le « permis de conduire poids lourds » ukrainien (non valable en Europe) et le permis belge (forcément européen) ! Ces permis belges ne sont pas destinés à des Ukrainiens (femmes, enfants, vieillards, invalides) réfugiés de guerre, en demande d’asile ... mais bien à des hommes de 30-35, ans en pleine force de l’âge ..... Ceux-ci n’auraient-ils pas dû être chauffeurs de transports de troupes, de blindés, de chars en Ukraine ?.... Ou alors seraient-ils déserteurs ? ... Et la Belgique, membre « éminent » de l’Otan, accepterait de « protéger » des déserteurs de l’armée de son allié (de fait) ? .... Sans doute, car en Belgique « on » parlerait, en catimini, d’armes belges livrées à Kiev qui se retrouveraient dans des attentats en Russie ! C’est indirectement qu’on apprend que des milliers de militaires ukrainiens sont en formation de combat en Belgique. Y aurait-il aussi des formations de pilotes de F-16, que cela n’étonnerait pas, tant cette guerre est imposée à tous les états Européens membres de l’Alliance. Quand on remarque qu’à Vilnius la Nouvelle-Zélande, l’Australie, la Corée du Sud et le Japon sont invités....on n’a plus qu’à attendre que le Rwanda soit intégré à l’Otan. Le Rwanda vient en effet de signer des protocoles d’accord de coopération avec l’Ukraine .....
Bien à vous.
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@Bertrand Loubard 11:00
ce n’est pas une guerre entre la Russie et l’Ukraine mais entre la Russie et l’impérialisme yankee soutenu par tous ses laquais et Paul Kagamé n’est donc qu’un parmi tous les autres. D’ailleurs, savez-vous que la présidente de la Francophonie est une rwandaise alors que le Rwanda est plus anglophile que francophile ? -
@leypanou
Merci pour votre réaction. Je sais évidemment que la Secrétaire Générale de l’Organisation Internationale de la Francophonie est une rwandaise qui plus est, une anglophone (merci Macron et/ou Sarkozy). Elle est la sœur d’un certain Landosingwa qui était fonctionnaire du PNUD à Kigali et était devenu, avant le génocide, lors de la mise en place de l’« adjornamento » politique initié par le régime d’Habyarimana, dès 1991, Ministre des Affaires Sociales (bien que Tutsi !). Il a été assassiné avec son épouse (une canadienne) et ses trois enfants dans les premiers jours qui ont suivi l’attentat contre l’avion présidentiel, le 6 avril 1994. Il a été dit que la famille Landosingwa a été assassinée alors qu’elle tentait de fuir « ses tueurs ». Or il semble bien qu’elle fuyait .... de sa résidence vers le camp de la garde présidentielle et non pas vers le CND où se trouvait le FPR ou vers le Stade Amahoro où se trouvaient les forces de l’ONU .... alors qui étaient ces tueurs ? ..... De plus il faut se souvenir qu’Habyarimana avait toujours refusé aux USA la présence d’une base militaire américaine dans le Bugéséra et que les gouvernements Habyarimana avaient établi des relations diplomatiques avec la Chine et même avec la Corée du Nord (bien mal leur en a pris). De plus la Libye de Kadhafi, bien que pas très appréciée pour ses méthodes expéditives et les financements promis et non honorés, n’avait pas été ostracisée .... elle qui promettait de se défaire de l’emprise de la Banque Mondiale, du Franc CFA et du FMI .... Or maintenant l’International Airport Of Kigali est en passe d’être « décivilisé » pour être « militarisé » et le trafic civil sera dirigé vers .... l’aéroport créé de toutes pièces dans le Bugéséra .... Le tour est joué, d’une pierre deux coups, farces et attrapes.
Plus près de chez nous, l’empire russe semble tenter de créer dans son environnement géographique des états « tampons » .... Partout ailleurs dans le monde l’empire Eurotan crée des états "tremplins ... Le Rwanda est le tremplin « occidental » vers le cœur de l’Afrique." Il ne serait donc pas étonnant qu’après les accords de coopération avec l’Ukraine, passé récemment et l’approbation des sanctions contre la Russie, le Rwanda soit appelé à rejoindre l’Otan, comme le Japon, la Corée du Sud, l’Australie et la Nouvelle-Zélande. IL faut remarquer qu’il est normal que le Rwanda annexe les Kivus, l’Ituri et quelques territoires périphériques pour défendre les Banyamulenge rwandophones, qui sont « génocidés » par les Congolais de la RDC, depuis l’indépendance de 1960 du Congo belge ? Par contre que le fou de Poutine envahisse l’Ukraine sous le fallacieux prétexte de défendre les russophone du Donbass ... On connaît la chanson ....
Bien à vous.
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@Bertrand Loubard
Salut !
Pour la partie africaine, dans le détail c’est touffu pour les profanes mais, dans le contexte général de la main-mise occidentale, ça se tient !
Décidément, on ne peut que constater que les prédateurs conduisent les débats partout dans le monde.
Ce qui est regrettable au plus haut point :
— grâce à l’électronique, les informations courent sur la Planète,
— ce qui n’empêche pas une infime minorité de mener l’espèce humaine comme un « vulgaire » troupeau... avec la complicité de membres du troupeau ! -
@tous
Serait-ce la guerre ouverte entre la Russie et l’Alliance bientôt ?
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@leypanou
Ca fait plus de 500 jours qu’on nous annonce cette guerre de l’OTAN.
D’ailleurs c’était à cause d’un « encerclement » de la Russie par l’OTAN qui a déclencher cette guerre.
Vaste rigolade.
Cette guerre est une guerre de la Russie agresseur contre l’Ukraine.
Poutine, le grand stratège, s’est enfermé dans ce merdier.
Il tente par tous les moyens d’y impliquer l’OTAN pour pouvoir jouer les victimes et ainsi avoir une porte de sortie.
Mais rien n’y fait.
Même les tentatives pour descendre les drones US.Poutine s’est enfermé dans ce merdier... et il va y rester pendant un moment.
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@titi
’’Poutine s’est enfermé dans ce merdier... et il va y rester pendant un moment.’’
— >
Wi ! On bougera pas.
Et Bruno Lemaire va ruiner l’économie de son pays.
Et toc ! -
@titi
Face à l’échec militaire en Ukraine, la surenchère des USA franchira-t-elle le seuil nucléaire ?Par le Colonel Alain Corvez, consultant en Affaires internationales, ancien conseiller au ministère français de l’Intérieur, lors de la conférence organisée à Strasbourg les 8 et 9 juillet 2023 par l’Institut Schiller « Face au risque de nouvelle guerre mondiale, les pays européens doivent coopérer avec le Sud planétaire »
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@Francis, agnotologue
Plus grand chose à ruiner (chez nous), cinquante et quelques années de « soixante-huitardisme » ont fait leur œuvre de destruction...
Le radeau de la Méduse ou le Titanic (version explosifs vu le sabordage organisé...), faites votre choix .
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@Lynwec
’’Plus grand chose à ruiner (chez nous)’’Indépendamment des désaccords entre les intervenants sur les questions de politique intérieure ou de géopolitique, on peut tous convenir de ce constat:o̰n̰ ̰s̰ḛr̰a̰ḭt̰ ̰b̰ḭḛn̰ ̰ḛn̰ ̰p̰ḛḭn̰ḛ ̰d̰ḛ ̰t̰r̰o̰ṵv̰ḛr̰ ̰l̰a̰ ̰m̰o̰ḭn̰d̰r̰ḛ ̰b̰o̰n̰n̰ḛ ̰n̰o̰ṵv̰ḛl̰l̰ḛ ̰c̰o̰n̰c̰ḛr̰n̰a̰n̰t̰ ̰l̰’̰ḛ́t̰a̰t̰ ̰d̰ḛ ̰n̰o̰t̰r̰ḛ ̰p̰a̰y̰s̰.̰
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@Francis, agnotologue
Aujourd’hui c’est le 518ème jour du conflit.
L’Ukraine demande des missiles longues portée depuis au moins 500 jours.
Elle ne les a toujours pas.L’Ukraine demande des avions modernes depuis au moins 500 jours.
Elle ne les a toujours pas.Je veux bien que vous m’expliquiez où est la surenchère des USA.
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@titi
L’Ukraine demande tout depuis le début, ça ne coute rien de demander, mais la question de l’escalade concerne le fait de donner suite à certaines d’entre ces demandes qui étaient jusque là jugées comme susceptible d’étendre le conflit à toute la région, au continent, voire au delà.Contrairement à ce qu’écrivent certains, Biden n’est pas un boute feu, et a cherché depuis l’origine à éviter l’embrasement. On avait pointé les USA pour le sabotage du gazoduc, mais la piste ukrainienne se renforce.
Ce sont les pays de l’Est récemment entrés dans l’OTAN qui poussent à l’escalade. Ils ont des griefs antirusses justifiables à leurs yeux, mais pourquoi avons-nous intégré artificiellement les griefs orientaux dans l’organisation atlantique, en mettant en danger le reste du continent, préservé jusque là de ces griefs ? Désormais, on fait face à leur pression et chantage, si un pays rechigne à l’escalade, il est mis sur le ban des accusés sur les tribunes médiatiques (Macron fait du zèle pour rattraper le coup). Représailles contre nos dernières implantations en Russie, non par les russes mais les ukrainiens et pro-ukrainiens -
Sur le fait qu’il s’agissait d’un piège que Poutine lui même avait parfaitement connaissance, Finkelstein ne m’apprend rien, cela a été suffisamment écris sur agoravox, que ce soit par moi ou d’autres.
Par contre, là où Norman Finkelstein tire à coté de la véritable cible (comme les autres), c’est que ce n’est pas la Chine de Xi Jinping derrière la Russie de Poutine qui est la cible principale (sont plus malin que cela, mais doivent quand même obéir à la causalité !), mais les citoyens des USA, car toute politique extérieure est toujours conditionnée à la politique intérieure, le contraire menant généralement à la guerre civile ou au coup d’Etat car il faut toujours s’assurer de ses arrières avant d’aller de l’avant.
Le fait que les USA sont une puissance dominante ne change que la portée de l’impact de leur politique intérieure sur l’extérieur.
Mais le but véritable de la guerre en Ukraine est de préparer les populations aux changement dits du great reset et pour lequel il fait de manière ABSOLUE, ce n’est pas une alternative, avoir un bouc émissaire extérieur pour justifier de tels changements.Si par malheur la sauce ne prend pas ou mal, le risque de guerre civile est alors très fort et les changements risquent de ne pas êtres ceux attendus.
En réalité et vérité, le but est de mettre en place un monde orwelien décrit dans 1984.
Bref, Norman doit encore faire un effort de réflexion !
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@Hervé Hum
’’ toute politique extérieure est toujours conditionnée à la politique intérieure’’
Oui mais non... tout pays à visée impériale tend par nature à étendre sa zone d’influence, quand bien même cela se ferait au détriment de sa population, on l’a vu par exemple avec Napoléon qui a saigné à blanc la population française pour établir son empire européen. En terme intérieur, il y a la ’’fierté nationale’’ (du reste pas seulement les grands empires, ainsi on voit la fierté des Nord Coréens en voyant défiler leurs missiles)Eh bien les USA cherchent à étendre leur suzeraineté sur l’ensemble de l’Europe et affaiblir la Russie considérée comme héritière du rival soviétique, le complexe militaro industriel en fait ses choux gras, mais la population est peu impactée, sauf à devoir financer l’opération, et ça fait un peu tousser.
Le ’’great reset’’, c’est la relance de la mondialisation économique de manière concertée et régulée (eh oui, faut lire le bouquin), et ça a clairement capoté puisqu’il y a retour des rivalités de blocs que le WEF voulait justement éviter.
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@Eric F
l’avenir dira qui fait la bonne analyse, à moins d’avoir tous tort.
Ceci dit, vous oubliez ce que j’écris juste après "le contraire menant généralement à la guerre civile ou au coup d’Etat car il faut toujours s’assurer de ses arrières avant d’aller de l’avant. Le fait que les USA sont une puissance dominante ne change que la portée de l’impact de leur politique intérieure sur l’extérieur.«
J’aurai pu ajouter entre autres, que les dirigeants des USA ne craignent pas un ennemi qui menacerait de les envahir, mais craignent seulement la guerre civile. Quant à la suzeraineté des dirigeants US sur ceux de l’Europe, elle est effective depuis la création de l’Europe !
Sinon, je n’ai pas besoin de lire l’avis d’un autre pour me faire ma propre opinion basé sur la réalité. En l’occurrence, le fait que la mondialisation ne peut pas porter sur le social, seulement sur le plan économique. Au niveau social, le cadre de la nation avec l’impérialisme comme stade ultime, donc, qu’il en reste au moins deux se faisant face comme décrit par Orwell. Car précisément, c’est l’unique manière d’obtenir la soumission volontaire de ses citoyens, même et surtout jusqu’à aller servir de chair à canon avec la formule magique »la patrie en danger". Qui n’est employé que lorsque le capitaliste est en danger et donc, ce dernier ne peut pas se passer du nationalisme. C’est ce que j’appelle la contradiction fondamentale du capitalisme comme ordre premier devant le communisme, dont l’inertie le pousse à la mondialisation, mais que sa condition de survie lui interdit d’atteindre sur le plan social sans s’effondrer.
Pour ma part, le great reset n’a pas capoté, bien au contraire, il continu de se mettre en oeuvre et où la division du monde en deux blocs fait partie intégrante du great reset et où il est très important voir fondamental que la majorité de la population soit convaincu que c’est la faute à l’autre et non à ses propres dirigeants s’il y a effondrement de la monnaie et des relations économiques.
Le great reset voulu par l’élite capitaliste occidentale capotera si la population ne se laisse pas aussi facilement manipuler, ce qui peu probable pour l’instant !
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@Hervé Hum
il y a malentendu sur l’expression ’’great reset’’. Je m’en tiens au propos exposé dans le bouquin (lien) et le WEF, mais le café du commerce ou la complosphère ont extrapolé des manigances ou scénarios de pouvoir occulte, programmation des esprits, ou autres. Ainsi quand vous écrivez ’’la division du monde en deux blocs fait partie intégrante du great reset’’ben non, c’est le contraire les auteurs craignent un repli des nations ou des blocs de nations suite à la crise covid (c’est le contexte de départ) et préconise une régulation internationale concertée (équitable, verte, et tout le toutim). Mais ils font d’abord l’inventaire de diverses grandes tendances de l’époque, non pour les préconiser mais voir comment les adapter (par exemple la scie ’’vous n’aurez rien et vous serez heureux’’ fait partie des légendes urbaines, ce n’est pas le propos du livre, mais l’écopartage, la mutualisation, etc. font partie des tendances évoquées) ;
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@Eric F
D’accord, il se peut que j’ai été induit en erreur à l’insu de mon plein gré, parce que je n’ai pas lu ce livre et que je ne sais rien de ce qui peut se dire au WEF, si ce n’est les comptes rendus écoutés au « café du commerce ». Pour autant, cela n’influence en rien mon analyse, car elle repose exclusivement sur la logique causale (même si je ne suis pas à l’abri de fautes de raisonnement). Et tant qu’elle reste mon maître à penser, il est impossible de me manipuler véritablement.
Voici par exemple ce que j’écris en introduction dans un article intitulé « de l’antimondialisme »
Comme l’a montré le premier chapitre (de la relation entre coopération et compétition), il n’existe pas d’autres alternatives pour passer d’un monde où l’état de guerre est permanent vers un monde où c’est l’état de paix qui est permanent, que d’inverser le sens de la relation entre compétition et coopération au niveau mondial, mais impliquant la fin de la propriété économique et leur réappropriation par la communauté humaine toute entière. Transposant alors la propriété économique, exclusive aux intérêts particuliers de leur propriétaires, en responsabilité économique. C’est à dire, selon la capacité de répondre de ses droits et devoirs les uns vis à vis des autres et non plus, selon sa capacité à exploiter les uns et les autres et manipuler les citoyens, en divisant la société entre ceux qui détiennent les droits et ceux qui détiennent les devoirs. Divisant la société entre maîtres, serviteur et esclaves et non entre citoyens responsables et irresponsables vis à vis d’autrui. Car il est impossible de supprimer la propriété sans lui substituer une valeur au moins égale, or, la responsabilité est la seule valeur qui lui soit largement supérieure pour répondre aux nécessités et crises actuelles de la société humaine.
Lisez l’article en question, voir même les deux mis en liens, c’est bien moins long qu’un bouquin.
Mais attention, cela ne change rien à ce que j’affirme sur le fait que le capitalisme tel qu’il existe actuellement est incompatible avec une gouvernance mondiale fondée sur la coopération au dessus de la compétition et qui place la responsabilité citoyenne individuelle et collective au dessus de la propriété privé, donc, de tout l’immobilier et de tout l’outil de production. La monnaie étant un cas particulier. Le système actuel ne peut pas dépasser le cadre de la nation sans s’effondrer. Donc, nécessite un great reset, mais qui doit concerner d’abord les capitalistes eux même, car on ne montre pas l’exemple par le bas !
Bref, quand je lis que Klauss Swab dit « vous ne possèderez plus rien et vous serez heureux » je suis totalement d’accord avec lui, seulement, cela commence d’abord par ceux qui possèdent la propriété actuelle des moyens de productions, de l’immobilier et de la dette monétaire (qui est pour eux la créance).
Sauf que là, je doute fort que cela entre réellement et véritablement dans l’équation du great reset. Mais si je me trompe, alors tant mieux. Le hic, c’est que la politique actuelle d’un Macron par exemple, n’a rien à voir avec cela, mais tout le contraire. C’est à dire, asseoir la domination de l’élite POSSEDANTE et de leur POSSESSION d’un coté et supprimer celle des autres à leur profit.
Perso, je m’en tiens aux actes, pas aux belles paroles. On dit que le chemin qui mène à l’enfer est pavé de bonnes intentions, mais ce qu’on ne dit pas, c’est que c’est le diable lui même qui dans 99% des cas se charge de les y placer, car comme dit un autre dicton, on n’attire pas les mouches avec du vinaigre.
Bref, si vous avez la version française, je veux bien y jeter un oeil et vérifier s’ils se foutent pas de la gueule des citoyens ! Car je vous le dis, le capitalisme tel qu’il existe est INCOMPATIBLE avec un monde fondé sur la coopération des citoyens de tous les pays, car devant reposer OBLIGATOIREMENT sur le principe de responsabilité, sans cela, il s’agit seulement pour l’élite au pouvoir d’asseoir et de tenter de sacraliser leur domination.
Dans un monde fondé sur la primauté de la coopératon, c’est le mérite personnel qui se substitut au mérite de la capacité à exploiter le mérite d’autrui.
Cela se traduit par la formule suivante "nul ne peut prétendre à plus de droits (monétaire et immobilier) qu’il n’accomplit de devoirs par lui même et nul ne peut se voir exiger plus de devoirs qu’il ne réclame de droits pour lui même. Cela permet donc toujours la compétition et l’enrichissement, mais sur sa valeur ajouté à la collectivité et non prélevé sur elle.
etc...
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@Eric F
le problème d’une gouvernance mondiale, c’est qu’elle doit OBLIGATOIREMENT disposer de la force supérieure pour imposer la loi, sans cela, c’est une coquille vide. Comme l’ONU le rappelle à chaque instant.
La loi étant TOUJOURS celle du plus fort, cela implique donc que les dirigeants des nations et leurs citoyens remettent leurs armes au pot commun.
L’exclusivité de la force supérieure étant la condition absolue de toute gouvernance, il s’agit là du fondement du principe de gouvernance, qui est immuable quelle que soit l’échelle, seule la forme peut être modifiée radicalement, car la réalité obéissant à la causalité, c’est impossible autrement !
Mais comme dit, je ne vois pas l’élite actuelle, bénéficiaire du système, vouloir renoncer à leur profit et domination. Mais tout le contraire !
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@Hervé Hum
’’je ne vois pas l’élite actuelle, bénéficiaire du système, vouloir renoncer à leur profit et domination. Mais tout le contraire ! ’’
D’accord sur ce point. L’idée d’une instance de coopération internationale multilatéraliste, environementaliste, équitable, etc. est évidemment un habillage pour donner une apparence démocratique. Le terme de ’’gouvernance mondiale’’, parfois transcrit abusivement en ’’gouvernement mondial’’ (cf Attali) donne lieu à contresens, on a un gloubiboulga entre des idéalistes universalistes, et des affairistes mondialistes. -
@Eric F
La mondialisation n’est pas une théorie, mais une réalité factuelle depuis plus de 2 siècles au moins et qui était de toute façon en émergence dès l’instant où l’humain, partout sur Terre, a entrepris sa colonisation. Partant du postulat que l’histoire officielle soit exacte, ce qui n’est pas certain !
Je ne sais pas si vous avez lu mes deux articles mis en liens, mais il est tout à fait possible de mettre en place une économie mondiale avec comme ordre premier la coopération en lieu et place de la compétition (qui ne peut pas être supprimé de quelque manière que ce soit, seulement décalé comme ordre secondaire) du jour au lendemain. Techniquement, tous les outils sont déjà en place, telles que les bourses, l’appareil industriel, les moyens d’organisation. Ce qui n’est pas encore prêt, c’est la conscience humaine, mais les moyens sont déjà en place !
La seule certitude, c’est que cela ne peut pas se faire contre les peuples au sens de la citoyenneté, mais seulement par leur volonté. Et sous la seule condition de renoncer à une propriété qui n’a de sens que pour exploiter autrui, pour lui substituer la responsabilité individuelle et collective, qui interdit l’exploitation d’autrui à son profit.
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@Hervé Hum
’’Ce qui n’est pas encore prêt, c’est la conscience humaine, mais les moyens sont déjà en place’’
Changer la conscience humaine dans l’ensemble des pays du monde ? vaste programme ! -
@Eric F
« Vaste programme », et pourtant, concernant la conscience (pour moi) étant définie comme le sens donné à l’action en conséquence de la connaissance, on peut dire que nous sommes bien au coeur de la question de sens de l’action en conséquence de notre connaissance, liée précisément au fait de la mondialisation et de la communauté de destin en tant qu’habitant de cette planète, vaisseau mère dans l’espace intersidéral, au sein de système solaire auquel nous appartiendrons toujours d’origine (sauf si nous sommes finalement que des souris ou marionnettes pour des civilisations infiniment plus avancée ou de Dieu !).
Et comme tout être humain peut en faire l’expérience à chaque instant de sa propre vie, ne tient t’il pas à la cohésion et l’harmonie de chacune de ses cellules ? Ne crains t’il pas le cancer ? la mauvaise santé ?
L’échelle est différente et il faut en compter quelques unes de relatives avant d’arriver à cette échelle commune (principe de fractalisation), partant de l’individu jusqu’à la communauté humaine et des autres formes de vies.
Mais encore un fois, un principe est invariant fondamentalement quelle que soit l’échelle et vous pouvez le vérifier par vous même de manière empirique !
Mais la forme n’est jamais la même, chaque échelle à la sienne propre, qui fait que la dernière ne détruit pas les précédentes, mais leur fait prendre une forme toujours plus discrète, tout en étant chacune toujours aussi active à son échelle. Ainsi, les humains agissent d’abord au niveau familial, puis local, régional, national et mondial.
Voilà ce que dit la logique causale sur les lois fondamentales de l’Univers physique (valable donc aussi pour toute civilisation aussi évoluée soit elle et même Dieu) qu’on peut aussi voir comme les lois métaphysiques, car condition d’existence de toute lois physique et matières donc, de toute science portant sur la physique.
Etc...
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Si Poutine arrive a envahir et a annexer l’Ukraine alors la nous serons réellement dans la merde jusqu’au cou .....
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@zygzornifle
pourquoi, tu habite en Ukraine ?
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@Hervé Hum
Vous n’y comprenez rien .
Les Russes sont à l’étroit, confinés à 146 millions dans leur petite Fédération de Russie de 17 millions de km2 ce qui conduit bien évidemment ses dirigeants à adopter la politique nazie du « Lebensraum » bien connue des historiens (puisque nos sachants voient des nazis partout en Russie où ils ne sont qu’une ultra-minorité ridicule sans aucun pouvoir et n’en voient nulle par ailleurs en dépit des signes extérieurs évidents).
https://fr.wikipedia.org/wiki/RussieLes chars russes à Brest, qu’on vous dit . Vite, prenons notre paquetage, BHL et sa clique sont déjà partis au combat...
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@zygzornifle
Il ne semble pas qu’annexer toute l’Ukraine intéresse Poutine, puisque la majorité de la population de l’Ouest du pays est anti-russe, mais il avait d’abord tenté d’imposer militairement un gouvernement pro-russe comme celui de la biélorussie, pour lui faire avaliser l’annexion du Donbass et de la côte de la mer d’Azov jusqu’à la Crimée, régions russophones et majoritairement pro-russes.Les scénarios concernant les motivations étasuniennes dans cette affaire sont alambiqués (affaiblir la Russie en prenant le lead sur les pays périphériques, en tout cas), mais le scénario russe est d’une grande simplicité : g̰ṵḛr̰r̰ḛ ̰d̰’̰a̰n̰n̰ḛx̰ḭo̰n̰ ̰t̰ḛr̰r̰ḭt̰o̰r̰ḭa̰l̰ḛ ̰t̰r̰ḛ̀s̰ ̰c̰l̰a̰s̰s̰ḭq̰ṵḛ ̰p̰o̰ṵr̰ ̰’̰’̰f̰a̰ḭr̰ḛ ̰s̰o̰n̰ ̰p̰r̰ḛ́ ̰c̰a̰r̰r̰ḛ́’̰’̰ ̰(̰ḛt̰ ̰s̰ḭ ̰p̰o̰s̰s̰ḭb̰l̰ḛ ̰q̰ṵḛ ̰l̰ḛ ̰r̰ḛs̰t̰ḛ ̰d̰ṵ ̰p̰a̰y̰s̰ ̰s̰o̰ḭt̰ ̰ṵn̰ ̰ḛ́t̰a̰t̰ ̰t̰a̰m̰p̰o̰n̰ ̰n̰ḛṵt̰r̰a̰l̰ḭs̰ḛ́)̰.̰
Les prétextes idéologiques de part et d’autre ne sont que pour le narratif (défense des valeurs démocratiques, défense des valeurs orthodoxes, foutaises !).La Russie ne cherche pas à annexer la Pologne ou autre, trop éloignés, mais dans le cadre du présent conflit, le ton monte de chaque côté, il pourrait finir par y avoir des rétorsions à distance....
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@zygzornifle
Si Poutine arrive a envahir et a annexer l’Ukraine alors la nous serons réellement dans la merde jusqu’au cou .....
Tu me rappelles les propos de ce visionnaire sur France-Intox dans les années 80 « :je ne veux pas voir les cosaques abreuver leur chevaux sur la Côte D’Azur... »
Des chevaux qui crachent le feu.. bien sûr !
Avec les types comme toi, la relève de la bêtise est assurée : Le Système peut dormir sur ses 2 oreilles -
@Lynwec
On se fatigue inutilement entre :
— les bisounours démocrates-chrétiens/athées,
— les américanolâtres,
— l’armada de trolls
quoiqu’il se passe, les postures sont immuables... -
@Lynwec
Hum,hum (sans jeu de mots) : Par ailleurs, j’aurais mieux fait de me relire et d’écrire
« nulle part ailleurs »...
Correcteur orthographique largement perfectible, tout comme le rédacteur, par ailleurs ...(redite entièrement volontaire « de test »...) -
@Lynwec
Rantanplan n’aime pas l’orthographe... Mauvais souvenirs de bancs d’école ? Radiateurs en panne ?
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Grace au suisse Baud, je viens de comprendre la tactique de Pétain à Verdun en 1917. On a fait miroiter, derrière Verdun, aux allemands une voie royale vers Paris et les « shleus » ont précipité leur armée dans ce hachoir à viande... A Bachmout, les russes de « l’idiot Poutine » ont repris le scénario à leur compte en montrant aux ukrainiens le plat boulevard qui, derrière Bachmout, mène à la Mer Noire... Restait donc à passer le hachoir de Bacmout, l’Ukraine y a laissé l’essentiel de son armée et des munitions que l’Occident lui procure. Ils veulent continuer, ok, Poutine suit tranquillement en s’occupant sur les marches d’Odessa tout en dissertant sur les « cadeaux » de Staline (39 et aussi 45).
Il s’agit de défaire le pacte de 39. Les pro-Ukraine (Pologne-Hongrie-Roumanie et Slovaquie) pourraient, en trahissant Zélinski, capter un tiers de la bête, la Russie et la Biélorussie se partageront le reste. L’Ukraine de Lénine aura donc vécu un peu plus de cent ans et on peut gloser à l’infini pour imaginer comment l’Allemagne s’y prendra pour récupérer, sur la Pologne, la Poméranie (Est de Oder-Neisse)...La WW2 est donc en train de s’achever et Poutine, de criminel de guerre presque fou, va, tranquillement, candidater à la béatification médiatique de toutes les religions de la vieille Europe, amen.....
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Un autre article de géopolitique, très intéressant, dans le Monde diplomatique d’août.
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L’auteur devrait arrêter la géopolitique.
Il suffit d’écouter les débats qui ont lieu aux états-unis plutôt que de fantasmer sur leurs motivations.
Les USA ne peuvent pas tolérer que la Russie augmente sa puissance en annexant d’autres pays.
Mais ils ne veulent pas une guerre nucléaire ou mondiale.
Ils l’ont déjà fait par le passé, ils préfèrent soutenir l’Ukraine matériellement plutôt qu’entrer en guerre frontalement.
La Russie est dans la même situation. Et bien que les menaces fusent du côté du Kremlin, ils n’en mettent aucune en exécution parce qu’ils ne veulent pas non plus d’une guerre mondiale ou nucléaire.Les alliés de l’Ukraine vont de plus en plus loin dans l’aide militaire à l’Ukraine et testant à chaque fois les limites de la Russie. Et jusqu’à présent, ils n’ont lancé aucune bombe nucléaire sur Paris Washington ou Londres.
Et aux dernières nouvelles la France décidait de fournir des missiles longues portées à l’Ukraine. Quelques semaines auparavant c’était les Etats-unis qui décidait de fournir des avions.Il y a clairement un accord tacite entre tous les belligérants pour que le conflit ne dégénère pas mais en même temps les russes sont pris à leur propre bluff car le soutient de ces pays à l’Ukraine est de plus en plus fort.
Sinon cela ferait depuis longtemps que le conflit serait sorti des frontières de l’Ukraine. Quel est l’intérêt stratégique des ukrainiens d’aller s’empaler sur les défenses russes ? Ils sont obligés de se défendre et de mener leur contre offensive avec ces contraintes en échange du soutien de leurs alliés c’est évident.
Sinon cela fait depuis longtemps que la guerre se serait exportée sur le territoire russe.Donc Biden dit la vérité, ils ne veulent pas accepter la candidature de l’Ukraine maintenant, ils veulent attendre la fin du conflit. Et Zelinsky lui est dans son rôle il veut entrer dans l’Otan pour avoir la pleine puissance de l’Otan à son aide. Mais il ne l’obtiendra jamais à moins que vraiment la Russie décide d’attaquer un autre pays de l’Otan.
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@logan
Vous avez raison, personne n’a intérêt à ce que le conflit dégénère et surtout pas la Russie parce que chacun connait les rapports de force.
Depuis la chute de l’URSS la Russie est redevenue une puissance régionale, certes très armée mais économiquement limitée et démographiquement en déclin.
L’idée la plus commune en Europe et aux USA était que la Russie désormais capitaliste deviendrait peu à peu une démocratie présentable d’ici quelques décennies proche de l’UE. En attendant on « comprenait » les dérives du système russe, les postures de Poutine garant malgré tout de la stabilité, les interventions multiples dans les ex républiques sœurs, les discours agressifs et même les interventions militaires.
Les USA étaient passés à autre chose, les guerres interminables post 11 septembre puis l’opposition à la Chine vue comme le prochain adversaire.
L’invasion d’un pays de 45 millions d’habitants à la manière de l’ex URSS a tout bouleversé. Les européens on compris la dérive du pouvoir russe, ils ont compris qu’ils étaient considérés comme faibles, ils ont vu le potentiel de déstabilisation sur le continent. Les USA ont compris qu’une victoire russe donnerait des ailes aux prétentions chinoises notamment sur Taïwan.
La résistance ukrainienne a fait le reste.
Poutine n’a aucune intention d’engager une guerre contre l’OTAN, il sait qu’il la perdrait, il n’a pas plus l’intention de provoquer une apocalypse nucléaire. Il a sous estimé la réaction des occidentaux. Ces derniers n’ont aucune intention de mettre un pied en Russie ni d’intervenir directement.
Il est vital pour Poutine de conserver quelques morceaux d’Ukraine. La fin du conflit après des centaines de milliers de morts sera de toute façon désastreuse pour la Russie. L’Ukraine sera définitivement tournée vers l’UE et coupée des russes. La Russie sera coupée de l’Europe et sans investisseurs en dehors des chinois trop heureux de mettre ce pays en coupe claire. On a ici un exemple d’impérialisme qui conduit à un affaiblissement durable. -
@Pie 3,14
Un morceau d’anthologie . A citer en exemple dans les manuels d’apprentissage de la méthode Coué...
Quelques passages seraient pourtant inutilisables, relevant par contre du précis de maîtrise du discours, section « Comment avoir toujours raison », alinéa mauvaise foi... -
@Pie 3,14
Vous devriez lire ou écouter J Baud sur Youtube...... -
@CN46400
Non.J Baud est un imposteur. Vous devriez arrêter d’écouter ce type. Il se fout de votre gueule. Et c’est clairement un propagandiste pro russe. -
@logan
C’est vrai que ça change de toutes les balivernes qui pullulent dans les médias occidentaux..... -
@Pie 3,14
’’ Il [Poutine] a sous estimé la réaction des occidentaux’’.Vous noterez qu’auparavant, ce sont les occidentaux qui avaient sous-estimé la réaction russe. Ils ont pensé qu’ils pouvaient intégrer l’Ukraine dans l’OTAN sans que la Russie ne se préoccupe de sa base navale de Sébastopol et de la préservation des acquis de la population russophone de l’Ukraine.
Bref, il y a eu sous-estimation réciproque.
Et les uns comme les autres avaient sous-estimé la résistance initiale de l’Ukraine suite à l’attaque russe, et pensaient qu’elle s’effondrerait.
Une guerre, c’est une suite de surprises ; mais dans une guerre classique entre pays voisins, le plus puissant se taille la meilleure part à la fin ’’ego primam tollo, nominor quoniam ursus’’ -
@Eric F
P’tain, tu es un vrai spécialiste de la question Ukraine-Russie.
Et sue la dictature qui s’installe dans l’UE, t’as pas un avis ? -
@troletbuse
Eh bien, mais, j’attends ton article puisque c’est toi qui est le spécialiste de la dictature qui s’installe dans l’UE.
En tout cas je ne cède pas à la dictature de qui voudrait m’imposer sur quel sujet il faut intervenir et ce qu’il faut en dire. Alors arrête de me coller aux basques. -
@Eric F
Quand un peuple ne défens plus ses libertés, il est mur pour l’esclavage
J-J Rousseau
Je pense que t’es mur -
@troletbuse
t’es mur pour l’asile, tu ne défends aucune liberté, tu fais chier le monde du soir au matin comme un parasite pestilentiel ! -
@Eric F
Oh une grosse colère de mougeon ! Interessant -
L’article traite du conflit ukrainiens, tous les intervenants discutent sur ce thème, alors le sombre abruti qui prend un intervenant particulier à partie en lui reprochant de traiter le sujet, montre par là que son seul propos est la nuisance et le parasitisme.
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Si la France devait entrer en guerre contre la Russie. L’armée française n’irait pas s’empaler sur le front ukrainien. Il est évident qu’elle ouvrirait un front soit dans la mer du Nord soit dans la mer noire. Et les troupes de Wagner en Afrique prendraient cher.
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@logan
On croit rêver...L’armée française, qui n’a absolument rien à faire dans ce conflit localisé, puisque ni la Russie, ni l’Ukraine, ne sont nos ennemis, n’a pas les moyens des ambitions des bellicistes, de salon ou d’ailleurs .
Pour mater des populations locales en Afrique de façon à maintenir l’exploitation (dans tous les sens du terme) des matières premières, elle convient à peine, alors qu’irait-elle faire là-bas ?
Espérons qu’il y ait, dans les hautes sphères de l’armée, plus de hauts gradés lucides que de pions de la franc-maçonnerie, pour réaliser ces évidences ...
Avoir joué deux fois le rôle de chair à canon pour Londres dans des conflits mondiaux (dont une rapidement avortée, par chance) devrait suffire .
Les c...ries, à un moment donné, ça suffit ...
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@Lynwec
Comme si une guerre de cette ampleur n’avait aucun impact.
Nous sommes d’abord concernés en raison de l’aide demandé par les ukrainiens.
Nous sommes concernés en raison du risque de conflit nucléaire.
Nous sommes concernés en raison du risque de guerre mondiale.
Nous sommes concernés car nous ne pouvons laisser des pays annexer des territoires par la guerre.
Nous sommes concernés enfin parce que Poutine met dans la tête de tout un peuple que nous sommes leurs ennemis mortels et que nous n’avons qu’un souhait, venir détruire leur mode de vie.
Et c’est sans compter toutes les conséquences économiques / commerciales qui sont certes secondaires mais qui peuvent nous impacter de manière énorme comme on l’a vu avec l’inflation.Donc prétendre que l’on a rien à faire dans ce conflit c’est totalement faux, nous sommes de fait dans ce conflit, surtout dès lors que Macron a commencé à fournir des armes aux ukrainiens.
Maintenant mon propos n’est pas de dire qu’il faut entrer en guerre loin de là, mon propos était simplement de souligner que si nous devions faire la guerre la guerre ne se déroulerait clairement pas sur le front actuel ukrainien. Et ceci dans le but de faire comprendre que tous les pays même la Russie ont un accord tacite pour que le conflit reste sur le territoire ukrainien et qu’il ne dégénère pas, ce qui a évidemment un impact sur le conflit lui-même.
Les Ukrainiens n’ont aucun intérêt stratégique à aller s’empaler sur les défenses russes et il faut le prendre en compte, car derrière il y a des morts.
La conflit se déroule ainsi uniquement en raison du contexte géo politique, la stratégie militaire est restreinte par ce cadre géopolitique.
Cette situation peut très bien évoluer. Car les ukrainiens ne vont pas non plus pouvoir assumer indéfiniment une telle situation. A un moment ils vont vouloir privilégier leurs propres intérêts, c’est ce qui arrivera forcément au fur et à mesure de leurs pertes.
Tous les pays sont aux prises avec ce genre de lassitude de guerre. -
@logan
Comment retourner les éléments du réel pour soutenir une argumentation sophiste...
Exemple :
"Nous sommes concernés enfin parce que Poutine met dans la tête de tout un peuple que nous sommes leurs ennemis mortels et que nous n’avons qu’un souhait, venir détruire leur mode de vie.«Donc, si Poutine considère la France macroniste comme un ennemi, ce n’est PAS en raison des livraisons d’armes au régime néo-nazi de Kiev, mais parce que Poutine est un menteur qui met des choses dans la tête de son peuple...en (très) gros... »
J’en connais un qui leur met des balles de LBD dans la tête, aux personnes de son peuple, mais c’est moins grave...
Infiltrer ou soudoyer des agitateurs qui s’adonnent au prosélytisme LGBT à tout crin dans un pays où cette orientation sexuelle n’est pas encore quasiment imposée par la loi, ce n’est PAS non plus « détruire leur mode de vie », il invente, qu’on vous dit...
Exemple alternatif :
« Nous sommes d’abord concernés en raison de l’aide demandée par les ukrainiens. »
Ah bon ? Il suffit de demander de l’aide (dans n’importe quel cas...) pour qu’on soit obligé de l’accorder ? J’attends de voir le prochain complice de meurtre dont l’avocat plaidera ainsi : « Vous comprenez, le meurtrier a demandé de l’aide à mon client, il ne pouvait donc pas refuser... »Dernier exemple :
« Nous sommes concernés en raison du risque de conflit nucléaire. »
Vous comprenez, bien, lecteurs d’Agoravox ? S’il y a risque de conflit nucléaire, ce n’est PAS parce que sur commande de l’état profond us, l’OTAN (dont plusieurs pays sont dotés du nucléaire) envenime et prolonge le conflit, c’est UNIQUEMENT par la faute des Russes (qui n’ont PAS employé deux armes atomiques inutiles sur le Japon mais qui de toute évidence tirent toujours leurs missiles les premiers) -
@logan
Là où nous n’avions rien à faire, c’était d’étendre la zone d’influence atlantiste aux confins du continent. Car maintenant, nous sommes effectivement mouillés. Mais nous pouvons encore éviter l’escalade conduisant à un embrasement. -
Une diversion....
Les, Le Pen, cette famille qui pris dans la tempête sur leur chalutier, rentre toujours au port ....
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par Sputnik Afrique
Des militaires ont annoncé mercredi soir avoir renversé le président nigérien Mohamed Bazoum, dans une déclaration lue à la télévision nationale à Niamey, au nom d’un Conseil national pour la sauvegarde de la patrie.
Des militaires du Niger ont annoncé mercredi soir à la télévision nationale avoir renversé le président Mohamed Bazoum, au pouvoir depuis 2021.
« Nous, Forces de défense et de sécurité, réunis au sein du Conseil national pour la sauvegarde de la patrie, avons décidé de mettre fin au régime que vous connaissez », a déclaré le colonel-major Amadou Abdramane, entouré de neuf autres militaires en tenue.
« Cela fait suite à la dégradation continue de la situation sécuritaire, la mauvaise gouvernance économique et sociale », a-t-il ajouté.
Les militaires annoncent également la fermeture des frontières terrestres et aériennes du pays « jusqu’à la stabilisation de la situation » et l’instauration à compter de ce jour de 22h00 à 05h00 (21h00 à 04h00 GMT) du matin d”un couvre feu sur toute l’étendue du territoire jusqu’à nouvel ordre.
Cette déclaration des militaires est intervenue à l’issue d’une journée de tensions à Niamey, marquée par « un mouvement d’humeur » de la garde présidentielle qui retient le président Bazoum dans sa résidence officielle depuis mercredi matin.
Le Niger est l’un des derniers alliés des pays occidentaux dans une région du Sahel. Il est en particulier un partenaire privilégié de la France dans le Sahel qui y a déployé 1500 soldats.
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Le 26 juillet, depuis la tribune de la Douma d’État, Guennadi Ziouganov, président du comité central du KPRF et chef de la faction parlementaire des communistes, a résumé les résultats de l’année politique dans son discours.
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https://les7duquebec.net/archives/284868
Ukraine. La réalité bat en brèche le narratif officiel à propos de cette guerre
Par Moon of Alabama – juillet 2023
Au commencement de la guerre en Ukraine, j’ai souligné que le faux récit disant “l’Ukraine est en train de gagner” que la propagande “occidentale” publiait constamment ne gagnerait pas la vraie guerre sur le terrain.
Au fur et à mesure que la guerre se poursuivait, j’ai répété ce point à maintes reprises.
- La propagande ne change pas la guerre – L’Ukraine perd encore – Le 25 mars 2022
- Ukraine – Propagande de guerre et infos – Le 11 octobre 2022
- Non, une telle propagande ne permettra pas de gagner cette guerre – Le 7 juin 2023
Dans sa chronique de la semaine, Alastair Crooke fait le même constat avec beaucoup plus de détails.
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Excusez-moi, mais je suis novice en « pièges à cons américains » !
Je croyais naïvement qu’il fallait un accord unanime de tous les pays-membres de l’ O.T.A.N pour accueillir un nouveau membre, que ce pays ne devait pas être en guerre, et qu’il état reproché à ce pays des milliers des crimes de guerre.
Or, plusieurs pays de l’ O.T.A.N. n’accepteront jamais qu’un pays dirigé par un escroc et un criminel de guerre nazi puisse intégrer l’ O.T.A.N. !
La Hongrie, la Serbie, et la Turquie font partie du peloton, et à mon avis, il va y en avoir d’autres !
Manquerait plus que ça que le « Capo di Capi de la Cosa Nostra », qui s’en met plein les poches en revendant l’armement que ces cons d’anglo-saxons lui envoient, qui possède plusieurs propriétés en France, et un compte en banque bien garni, rejoigne les pays de l’O.T.A.N. avec sa clique !
Son armée ( si on peut appeler ça une armée ) composée pour l’essentiel de nazis de la pire espèce, passe son temps dans le Donbass à massacrer la population civile depuis le coup d’état américain du Maïdan de Juillet 2014 à Kiev.
Elle ne se frotte que rarement à l’armée russe, sachant le sort qui l’attend ( le courage n’est pas la qualité principale de ces dégénérés mentaux ).
Je crois qu’on en est à environ 15.000 morts entre les massacres de Kiev, de Marioupol, d’Odessa, de Severodonetsk, et ceux des républiques de Donetsk et de Lougansk.
L’ O.T.A.N. a été conçue pour défendre la zone de l’Atlantique Nord, point barre !
Les plages de l’Ukraine ne sont pas baignées par l’Océan Atlantique, ce pays de merde ( je parle du dictateur et de sa clique, pas du peuple ) n’est membre, ni de l’O.T.A.N., ni de l’Union Européenne, et les membres du Conseil de Sécurité de l’ O.N.U. n’ont pas déclaré la guerre à la Russie , que je sache !
Alors si l’Alzheimer que l’on sort de son EPHAD de la Maison-Blanche pour le montrer à la foule, veut la guerre contre la Russie, il va falloir qu’il réfléchisse à deux fois ( les Etats-Unis ne peuvent pas faire la guerre au seul fournisseur de gaz liquéfié et de pétrole qui leur reste, vu qu’ils se sont fâchés avec tous les autres avec leurs embargos et leurs sanctions d’extra-territorialité ).
Conclusion : si Herr Emmanuel Macron, notre obersturmbannführer, veut une guerre contre la Russie, qu’il y aille tout seul ( ça nous évitera de le fusiller pour haute trahison, et intelligence avec une puissance étrangère ).
Dans le Code Militaire, il est prévu la désobéissance à tout ordre illégal.
Or, la guerre en Ukraine est totalement illégale, aux termes du Droit International !
Alors, crosse en l’air les biffins ! ( ça vous évitera un anéantissement total, face à une armée devant laquelle vous ne faites pas le poids )
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@yakafokon
Voui,
Je suppose que vous faites de l’humour !Car les occidentaux et les anglo saxons sont très gentils , sérieux, bien intentionnés et pas regardants avec ces stupides règlements .
Et donc c’est un devoir d’aider les gentils dirigeants ukrainiens et leurs milices nazies contre les méchants russes , le envahisseurs qui font que nous embêter et guignent nos femmes .
Le reste, la défense des pays frontaliers atlantiques c’est un détail , c’est des conneries et vous pinaillez .
Quant il faut y aller , faut y aller qu’on vous dit !
Les voyages , la guerre forment la jeunesse et en plus ça aide notre industrie .
Pour les dépenses on verra ça plus tard .
L’argent est donné et de plus si tout va bien on se paiera sur la bête , l’ours quand on aura sa peau !Et puis tout le monde sait qu’il n’y plus de nazis , de fascistes en Ukraine ni ailleurs .
L’épidémie de totalitaristes , de racistes , de sauvages est passée depuis longtemps grâce à l’UE , remède qui a tout neutralisé et nous a apporté la paix .... !
Mais pour avoir la paix parfois faut faire la guerre !
C’est comme à la maison .
Sinon on s’embêterait et à cause de l’hygiène ....Les tatouages avec croix gammées ? Les oriflammes , les drapeaux , les rassemblements de cons , c’est pour les photos , le cinéma , la galerie .... !
On vous dit que les Ukrainiens sont tous gentils, pacifiques , pas corrompus du tout .
Ce sont des vilainies colportées par des malintentionnés :
Des gauchos attardés , des gilets bariolés , des casseurs , des vandales , des anarchistes qui refusent de comprendre et de regarder nos émissions faites pour vous expliquer !
Mais bon s’il faut vous forcer on vous forcera ...Des salopiots du genre de ceux qui refusent nos bons vaccins ou de regarder not’ bon président quand il passe à la tv pour nous rassurer ou qu’il se déplace pour bien nous expliquer sa politique bénéfique pour tous !
Comme si nous étions malheureux dans not ’ biau pays , alors qu’ Henri IV y a laissé la poule au pot et les poulettes dans son lit , que Louis XIV nous a laissé un si joli palais à Versailles avec sons et lumières à la belle saison et Saint Cyr pour former nos militaires ..
Je laisse de coté François I avec sa Renaissance et ses châteaux de la Loire et de St Germain, ses inventeurs et ses artistes : c’est un peu trop polémique ...
Et aussi la Révolution qui a fait tant de mal en supprimant nos bons rois pour aboutir à une gouvernance de gueux .
Qu’on a réussi à contourner en fabriquant une constitution aux petits oignons :
Les gens s’imaginent élire un « président de la république » alors qu’on élit un monarque , choisi par ceux qui ont le pognon , tous les 5 ans et s’il s’y prend bien il redouble son mandat rien que pour nous faire plaisir ! ....
Ah les cons !
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