Origine possible d’une perturbation
Le transgenre, transformisme qui secoue la société actuelle et oblige les mairies à recruter pour mettre à jour l'état civil, a une origine évidente que tout le monde feint d'ignorer pour éviter les questions embarrassantes. Il se répand et s'expose de plus en plus tôt et l'on a dans des maternelles, des Jean qui veulent qu'on les appelle Jeanne et des Françoise qui ne répondent qu'au nom de François. La bien-pensance, le politiquement correcte, le wokisme, la bêtise en font une évolution bienfaisante, une libération de pulsions oblitérées par l'intolérance d'un patriarcat dominateur et malveillant. L'homme qui se sent femme et la femme qui veut être un homme ne feraient finalement que rétablir une vérité masquée par une apparence trompeuse.
Une autre explication peut être donnée à cette épidémie. On peut n'en voir que l'un des effets secondaires de la consommation massive de perturbateurs endocriniens. Ce sont des produits issus de la chimie que les industries alimentaire, pharmaceutique et cosmétique utilisent pour rendre présentables, consommables et durables leurs produits.
Il en existe une dizaine et les plus incriminés sont le bisphénol, les phtalates, le parabène. La société savante connaît le problème et dénonce les consequences néfastes sur la santé avec son action hormonale qui, à faible dose perturbe la physiologie de tout le corps et notamment la fécondité des deux sexes, l'immunologie etc.. (pour en savoir plus allez voir sur Internet). Curieusement, et bien que l'on sache que notre mental et notre moral sont très dépendants de nos hormones sexuelles, thyroïdiennes en particulier, on ne parle pas de ces produits toxiques sur le rôle dans l'inflation des transgenres. On préfère n'en voir qu'une avancée de la société qui se libère enfin d'un tabou comme on l'a vu plus tôt.
PS 1 : on ne peut pas parler de ces perturbateurs sans rappeler que presque tous sont cancérigènes et que nous les absorbons en buvant, en mangeant, en respirant. en mettant de la crème sur la peau, en nous soignant. Leur consommation est corrélée directement à l'inflation des cancers. L'interdiction de leur emploi est évoquée et toujours différée car les politiciens qui gouvernent obéissent aux ordres de l'industrie pharmaceutique et du monde médical. Pour ces deux-là, le cancer est une vache-à-lait qu'il ne faut pas tuer. Le traiter est bien, le supprimer serait ruineux donc nuisible. Que ces produits dérangent aussi l'idée que l'on a de son sexe n'est pas grave, cela amène de la fantaisie et fait jaser le bon peuple.
PS 2 : cette réflexion n'engage que l'auteur, complotiste bien connu (ndlr).
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