Prédiction sur la fin de la guerre en Ukraine en 2023
Tout humain que nous sommes doit tenter, doit s’efforcer de comprendre comment l’Occident et la Russie en sont arrivés à la guerre via l’Ukraine ? Qui pouvait s’imaginer que la Russie qui avait amassé 150 000 hommes allait envahir, le 24 février 2022, l’Ukraine ? Malgré l’annonce répétée du président américaine d’une invasion imminente de l’Ukraine par la Russie, il faut le dire, personne n’y croyait réellement. La pensée allait plus à une tactique de pression, à une invasion partielle limitée à la région du Donbass puisque les deux républiques séparatistes de Donetsk et Lougansk ont été reconnus officiellement des « républiques indépendantes » par la Russie qu’à une invasion de grande envergure qui est en train de changer l’équilibre géostratégique en Europe, affectant inévitablement l’équilibre de puissance mondiale.
Aujourd’hui, la guerre se poursuit à l’Est et au Sud de l’Ukraine ; malgré les bombardements, la forte défense de l’armée ukrainienne tient, et même remporte quelques succès, en libérant plusieurs localités dans cette région de guerre. Au point que le président russe Vladimir Poutine a décrété, le 21 septembre 2022, une mobilisation partielle de 300 000 hommes.
Et la situation de guerre est très mal vécue en Ukraine, on fait état que plus de 10 millions d’Ukrainiens ont été déplacés par les destructions de guerre, dont une grande partie a trouvé refuge auprès des pays européens frontaliers de l’Ukraine. Une autre partie s’est dirigée en Europe de l’Ouest jusqu’aux États-Unis. Une guerre inexorable progresse en Ukraine ; des pertes qui se comptent par milliers de vies humaines et qui concernent enfants, femmes, vieillards et pas seulement des soldats.
Des destructions en vies humaines et en villes qui rappellent l’invasion de l’Union soviétique, en 1941, par l’Allemagne nazie, bien sûr sans aucune équivalence, à l’époque 3 millions de soldats allemands étaient alignés contre l’URSS, de plus soutenus par 650 000 hommes issus des pays alliés de l’Allemagne nazie dont l’Italie, la Finlande… Aujourd’hui, c’est complètement différent avec les armes nucléaires où le facteur humain joue beaucoup moins. Une autre guerre beaucoup plus proche, la guerre civile qui s’est internationalisée et détruit une grande partie des villes syriennes et plus de 6 millions de Syriens déplacés en Syrie ou ont fui à l’étranger.
Étrangeté de la marche du monde, ce qui était inimaginable en Europe, avec le déploiement de l’OTAN en Europe, et même si l’Ukraine n’en faisait pas partie, la promesse de son intégration aurait dû faire reculer tout adversaire, y compris la Russie. Or, ce qui est incroyable, la Russie ne l’entendait pas de cette oreille, et, faute que des exigences stratégiques adressées à l’OTAN, et donc à l’Europe et aux États-Unis, n’ont pas été satisfaites, la Russie n’a pas hésité et a envahi l’Ukraine.
Depuis une guerre atroce se déroule en Ukraine. Et malgré l’avalanche de sanctions occidentales, la Russie poursuit son plan d’invasion. Cependant relevons une phrase que le président Vladimir Poutine avait ajouté dans une déclaration publique : « « Ces sanctions qui sont mises en place, cela s'apparente à une déclaration de la guerre », a estimé Vladimir Poutine. « Mais Dieu merci, on n'en est pas encore arrivé là », a-t-il ajouté. (1)
On doit comprendre que dans ce « Mais Dieu merci, on n'en est pas encore arrivé là », les sanctions occidentales s’apparentant à une déclaration de guerre, la guerre pourrait s’étendre aux autres pays d’Europe. Et force de dire, la Russie, en procédant à l’invasion de l’Ukraine, a certainement, dans son plan de guerre, intégré tous les cas de figure de guerre qui pourraient survenir. L’objectif de l’armée russe comme d’ailleurs est l’objectif de toute armée qui entre en guerre est de s’assurer que ses objectifs soient atteints. Et le problème avec la Russie est qu’elle est la deuxième puissance nucléaire au monde ; elle est pratiquement à parité sur le nombre d’ogives nucléaires avec les États-Unis.
Dès lors, il est clair que toutes les options de guerre contre l’Ukraine et ses alliés ont été étudiées conjointement entre l’état-major russe, les politiques et ceux qui ont la charge de l’économie russe, et le dernier mot revient évidemment à la défense et au Conseil de sécurité de la Fédération de Russie qui prennent en considération le politique, l’économique et les forces armées de l’État russe et ceux de l’adversaire et ses alliés. Pourquoi le Conseil de Sécurité et la Défense russe ? Parce que ce sont eux à qui reviennent la décision et la charge des opérations de guerre, et le suivi des événements face à la puissance de l’OTAN et la puissance américaine.
L’OTAN regroupe 30 pays dont 12 pays de l’Europe de l’Ouest, les États-Unis, le Canada, l’Islande, la Turquie, et 14 pays de l’Europe de l’Est (l’ex-aire soviétique). Et, au sein de l’OTAN, ce sont les États-Unis qui sont le vrai pilier de la force otanienne, ce qui signifie que la Russie vise avant tout ce que sera la réponse des États-Unis sur la guerre en Ukraine et bien entendu aussi la réponse des principaux pays de l’Otan, au niveau européen, essentiellement la France, le Royaume-Uni et l’Allemagne. Mais, globalement, sur l’issue de la guerre, la guerre se joue essentiellement entre les États-Unis et la Russie. Si, par exemple, les États-Unis décidaient de mettre fin à la guerre, en décidant, par exemple, de diminuer d’armer l’armée ukrainienne, ou en intimant à Kiev d’entamer des pourparlers avec la Russie, pour mettre fin à la guerre, l’Ukraine ne peut refuser, elle se conformera à son principal soutien.
Et c’est la raison pour laquelle les pays européens agissent à leur guise dans leurs contacts téléphoniques avec Moscou, par exemple, ou, dans leurs déclarations. Que ce soit de la part du président français ou du chancelier allemand Olaf Scholtz pour garder le contact avec le président russe Vladimir Poutine. Le risque que le conflit russo-ukrainien dérape est une réalité puisqu’il existe une menace omniprésente de recourir à l’arme nucléaire. D’autre part, le risque d’extension du conflit existe ; au cas où la guerre toucherait un pays d’Europe, membre de l’OTAN ? Que sera alors la réponse à la Russie ? Si les forces de l’Otan interviennent contre la Russie, pourront-ils renverser l’équilibre des forces ? Il est évident que toute la puissance de l’OTAN, dont la principale force relève des États-Unis, viendront à contrer la puissance russe.
Une telle situation de guerre en Ukraine qui se serait étendue à l’Europe et à la Russie changera alors fondamentalement la guerre. La Russie, dans son plan d’invasion, a étudié en détail tous les cas de guerre qui pourraient se présenter. Et dans l’atteinte de ses objectifs, en Ukraine, il est certain qu’elle ne reculera pas parce qu’une défaite face à l’Occident est inacceptable pour la Russie ; il est clair qu’il en va de même pour les États-Unis.
Il faut aussi se rappeler qu’en Syrie, l’intervention de l’armée russe, à partir de fin septembre 2015, a remis en cause toute la stratégie de l’Europe et des États-Unis pour renverser le président Bachar el-Assad.
De même, vingt années de guerre en Afghanistan se sont terminées en catastrophe pour les États-Unis et l’OTAN. Une déroute pour les forces occidentales à l’été 2021. Et de ces échecs, l’Occident n’a pas tiré des leçons. On lit dans « Après la débâcle en Afghanistan, l’OTAN à l’heure des doutes » :
« Le retrait des troupes américaines n’a jamais été vraiment débattu entre alliés, alors que 1 100 soldats allemands, 800 britanniques et 750 italiens étaient encore présents.
Certaines relectures sont cruelles, comme celle de la longue déclaration commune des ministres des affaires étrangères de l’OTAN réunis le 14 avril, consacrée à l’Afghanistan, ce pays où l’Organisation transatlantique était présente depuis les attentats anti-américains de 2001. Il s’agissait, cette fois, d’acter le retrait des forces internationales à la suite de l’accord de Doha, signé, en février 2020, par les Etats-Unis et les talibans. […]
Vingt années de présence continue dans le pays n’auraient donc pas permis de jauger l’état exact des forces en présence, de mesurer l’échec patent du nation building, la reconstruction d’un Etat défaillant. Ni même d’estimer la faiblesse d’une armée et d’un appareil sécuritaire formés, à coups de milliards de dollars, depuis 2015, dans le cadre de la mission Resolute Support de l’Alliance atlantique.
En juin, une semaine avant un sommet des chefs d’Etat et de gouvernement qui devait, à Bruxelles, confirmer la décision du retrait des troupes, Jens Stoltenberg, le secrétaire général de l’organisation, était à Washington pour rencontrer le président Joe Biden. A cette occasion, il ne formulait, semble-t-il, aucune objection au retrait envisagé, qui n’avait pourtant jamais été vraiment débattu entre alliés.
Impréparation générale
Lors d’une réunion des ministres de la défense, en février, la délégation américaine avait en effet soutenu qu’elle n’était « pas prête » pour cette discussion, qui, finalement, n’aura jamais lieu, laissant les Européens à leurs questions, alors que 1 100 soldats allemands, 800 britanniques et 750 italiens, notamment, étaient encore présents en Afghanistan. Le mantra otanien « in together, out together » – « tous ensemble au début, tous ensemble à la fin » – avait, apparemment, vécu. » (2)
Bien avant cette situation lamentable vécue pat les forces américaines et de l’Otan, après 20 années de guerre en Afghanistan, le président français Emmanuel Macron, dans une déclaration publique, jugeait l'OTAN obsolète. Et cette déclaration, comme l’écrit la chaîne de télévision française d’information internationale en continu, France 24, le 8 novembre 2019, soit une année et huit mois avant la débâcle américaine et de l’OTAN, en Afghanistan.
« Le président français Emmanuel Macron a dressé, jeudi, un tableau sombre de l'OTAN, déplorant notamment le comportement de la Turquie en Syrie. Au passage, il a également plaidé pour une « Europe de la défense ».
Déplorant le manque de coordination entre les États-Unis et l'Europe mais aussi le comportement unilatéral de la Turquie en Syrie, le président français Emmanuel Macron a jugé l'alliance en état de « mort cérébrale » dans un entretien publié jeudi 7 novembre dans l'hebdomadaire britannique The Economist.
Un jugement qui s'explique d'abord par la méfiance croissante de la France envers les États-Unis, comme le souligne notre journaliste, Baptiste Fallevoz. Si la relation transatlantique était autrefois la force de l'OTAN, les paroles et les actes de Donald Trump n'ont que fait que détériorer l'alliance. Le retrait d’une grande partie des forces américaines en Syrie ont laissé le champ libre à une offensive turque contre les forces kurdes. Une décision américaine qui a été prise sans aucune coordination, souligne Emmanuel Macron. » (3)
Précisément, à la lecture des événements récents qui se sont opérés au Moyen-Orient et en Asie centrale, en 2021, on comprend pourquoi la Russie a imposé ses exigences à l’Occident, concernant son proche-immédiat de ses frontières. Une prise de conscience du pouvoir russe dans leur nouvelle position géostratégique qui est à lier à la sécurité de leur environnement immédiat frontalier et au recul de l’OTAN et de la puissance militaire des États-Unis dans des théâtres de guerre éloignés. Le rapport des forces dans ces théâtres de guerre est sans commune mesure entre les armements dont disposaient les forces de la coalition internationale (OTAN) et l’armée américaine et ceux des forces autochtones des régions envahies qui luttent contre l’occupant. Des décennies de guerre pour se terminer par une débâcle militaire occidentale.
Ce que l’on doit souligner sur l’échec des plans occidentaux dans leur objectif de domination, c’est que les peuples qui les ont combattu, que ce soit, dans les années 1960-1970, au Vietnam, ou plus récemment, en Irak, en Syrie, en Afghanistan et ailleurs, le processus est le même ; ces peuples aidés par les puissances adverses ont une combativité et une patience qui n’est pas la même que celles des forces de l’occupant malgré le fort décalage dans les armements. C’est précisément cette force de résistance à toute épreuve des peuples envahis qui finit par affaiblir la puissance occupante et in fine la pousser à dégager ses forces de ce théâtre de combat et battre en retraite. D’autant plus que l’absence de résolution du conflit armé, les facteurs stratégiques s’éternisant dans la durée et sans issue, l’absence de gains politiques et militaires, amènent la puissance occupante à prendre conscience de son échec stratégique.
On comprend dès lors que tous ces facteurs qu’ont vécus les États-Unis et l’OTAN dans leurs guerres passées ne peuvent qu’être pris en compte par l’état-major de l’armée et du pouvoir politique russe, et donc l’invasion de l’Ukraine a été mûrement réfléchie. Et surtout que l’enjeu pour la Russie porte sur la « situation sécuritaire immédiate à ses frontières » d’une part, et des populations qui vivent dans le Donetsk et le Lougansk, en majorité d’origine russe, d’autre part.
La situation n’est pas comparable, comme dans les années 1980, lorsque l’Union soviétique avait envahi l’Afghanistan, et après pratiquement une décennie de guerre, elle s’est retirée, laissant un pays dans la désolation, un pays en ruine ; l’URSS a cependant enregistré un échec magistral en Afghanistan, un échec qui l’a marqué et, dans un certain sens, a concouru à son éclatement, en décembre 1991.
Aujourd’hui, la guerre va bientôt boucler son neuvième mois, en Ukraine, et la situation est toujours bloquée, tout laisse penser que les combats vont se poursuivre ; la guerre ne va pas s’arrêter et chaque camp vise à atteindre ses objectifs. Cependant, pour la Russie comme pour l’Europe et les États-Unis, l’enlisement qui se précise de plus en plus ne sera pas porteur. En effet, une situation de blocage et très peu de changement, la ville de Kherson est revenue à l’Ukraine sans combats, les lignes de front ont peu bougé ; la contre-offensive de l’armée ukrainienne même si elle a remporté quelques succès avance très peu ; de même l’armée russe est freinée dans son offensive.
La guerre en Ukraine est en train de se transformer en guerre d’usure. Les lignes de front vont probablement peu bouger compte tenu que les forces russes chercheront à renforcer leurs lignes de défense ; la guerre va aboutir à une guerre de tranchées dans le sud et l’est de l’Ukraine. Arrivera l’hiver, la situation deviendra très difficile en raison du froid, du gel. Si les Ukrainiens chercheront à gagner chaque jour un morceau de terre, ce sera au prix de durs combats et de lourdes pertes. La Russie a la capacité de conserver les territoires conquis, et elle ne cherchera pas à aller au-delà des régions annexées, tout au plus à les renforcer. Ce qui n’est pas le cas pour l’armée ukrainienne qui, aidée en armements par les pays occidentaux, doit à tout prix mener des offensives pour gagner chaque mètre des régions annexées.
Le problème est que la guerre risque d’être gelée, bloquée, et de part et d’autre, tant en Russie qu’en Occident, la situation va devenir intenable. Le doute risque de prendre en Occident, les États-Unis comme les pays d’Europe constateront de plus en plus qu’il n’y a pas d’évolution dans le cours de la guerre. De même en Russie, le doute gagne les dirigeants russes. Comment pourront-ils expliquer à leurs citoyens cette guerre qui s’éternise en Europe ? D’autant plus que, sur le plan économique, la situation va très probablement se dégrader, il existe un risque sérieux de récession dans le monde. La Russie sera fortement affectée par les sanctions économiques occidentales, mais l’Occident lui aussi sera affecté par la politique des sanctions et la politique monétaire restrictive des Banques centrales occidentales.
L’inflation, la menace de récession et la guerre en Ukraine qui demande un soutien permanent en finances et en armements sans gains réels sur les lignes de front auront des répercussions très négatives tant sur l’Occident que sur la Russie. Quant à la rhétorique d’utiliser des armes nucléaires, plusieurs fois rappelée par la Russie, elle ne fonctionnera pas, ni d’ailleurs l’extension du conflit sur d’autres fronts en Europe, des pays qui peuvent être considérés par la Russie comme cobelligérants dans la guerre. Le conflit deviendrait une guerre d’usure sans évolution.
Aussi se pose-t-on la question : « Cette situation de blocage a-t-elle des chances d’être débloquée ? Pour le pouvoir russe comme pour les décideurs américains et européens vont-ils trouver un compromis qui aiderait à mettre fin à la guerre ? Il est pratiquement impossible pour la Russie de reculer, tout compromis pour elle doit passer pour l’Occident et l’Ukraine par l’acceptation des annexions des quatre régions qu’elle a décrétées. Et cette clause phare de la Russie ne sera pas acceptée par l’Ukraine ni par l’Occident – l’armée ukrainienne dépendant entièrement du soutien occidental, surtout américain.
En fait, la guerre en Ukraine est une « guerre par procuration » pour l’Occident. Donc le conflit, puisqu’il n’y a pas possibilité de négocier du fait qu’il n’y a pas de compromis, va durer et le discours d’aller vers une ouverture de négociation ne va pas s’arrêter tout au plus pour dire que chaque camp est prêt à négocier mais en fait il n’y a pas de négociation. Chaque partie campe sur ses positions, et on comprend qu’en fait ce sont les enjeux qui le commandent. Personne ne veut perdre la guerre. Ni la Russie ni l’Occident. D’autant plus que la guerre qui se joue en Ukraine, par les enjeux, « dépasse l’Ukraine et les régions annexées par la Russie. »
En réalité, l’enjeu ukrainien se trouve dans la division géostratégique entre les trois grands pôles de puissance mondiale que sont la Russie, les États-Unis et la Chine ; ce sont ces trois pôles de puissances qui décident de l’avenir du monde. On comprend pourquoi les peuples tant en Occident que dans le reste du monde n’arrivent pas à comprendre le conflit et ne voit dans l’invasion de l’Ukraine qu’une guerre d’agression. Dans les rapports entre ces grandes puissances, chaque pôle veut renforcer son aire stratégique et cela passe par une maîtrise de son aire d’influence, et pour la Russie, les régions de Crimée, du Donbass, de Kherson et de Zaporijjia sont considérées des territoires russophones, et par référendum autoproclamé, ces régions ont été rattachées à la Fédération de Russie, par décret.
Aussi peut-on dire, dès lors que ces trois grandes puissances sont lestées d’arsenaux nucléaires les plus importants du monde, et le conflit oppose essentiellement aujourd’hui la Russie aux États-Unis, ces deux pôles de puissance vont éviter à tout prix un affrontement direct. Il est clair qu’il s’agirait de leur destruction mutuelle, et il n’y a pas de médiation malgré que la Chine ait proposé d’être le médiateur entre la Russie et les États-Unis, et elle n’a pas été écoutée, bien sûr par les États-Unis. Et c’est tout à fait normal qu’il n’y aura pas d’accord puisque la Russie imposant les annexions comme base de départ des négociations, signifierait que toute l’aide occidentale apportée à l’Ukraine n’aurait servi à rien si la Russie maintenait les territoires annexés. Partant de là, un retour à la paix constituerait encore une déroute pour l’Occident, comme pour les guerres passées.
D’où va venir la réponse, la solution pour mettre fin aux souffrances du peuple ukrainien qui se trouve pris en « otage » dans les conflits entre puissances ? Comment va s’opérer le déblocage de la situation de guerre en Ukraine pour que des concessions raisonnables soient prises de part et d’autre et mettent fin à la guerre ? D’autant plus qu’armer l’Ukraine, et la laisser seule en guerre face à la deuxième puissance nucléaire du monde et que la guerre s’enlise n’aurait pas de sens. Les sanctions économiques et le soutien financier et en armements à l’Ukraine ne fera que faire durer le conflit alors que le conflit n’avance pas, il est en train de se bloquer. Et le temps est contre la Russie mais aussi contre l’Occident si l’armée ukrainienne n’avance pas ; une guerre d’usure serait extrêmement négative pour les deux camps.
Or, tout blocage finirait par se débloquer. Et forcément, pour débloquer lorsque les êtres humains se trouveraient bloqués, arriverait comme dans toutes les guerres passées, un événement ou des événements qui surgiraient et se succèderaient, en 2023, qui débloqueraient la situation en Ukraine. Et comme la guerre se joue certes en Ukraine, mais elle oppose en vérité deux grands pôles de puissance, l’événement ou les événements qui vont surgir seraient à la hauteur des deux puissances, dans le sens qu’ils seraient tellement forts qu’ils feraient reculer les États-Unis et la Russie, dans le sens que des événements qui n’ont pas été prévus mettraient en danger tout le monde. Et ces événements ne seraient pas l’usage d’armes nucléaires tactiques parce que la Russie comme l’Occident s’abstiendraient et ces armes nucléaires n’apporteraient pas de vraies solutions. Par l’ouverture de leur emploi apocalyptique, ils mettraient en danger l’humanité entière.
Cependant, il demeure, par ces événements, qu’une peur humaine va surgir et prendre les deux grandes puissances, et aussi l’Ukraine et l’Europe, qui, s’enclenchant, va pousser tout le monde (Occident, Ukraine, Russie) à négocier « vite » et mettre fin à la guerre.
Ce que l’auteur énonce ici, comme je l’ai écrit dans une réponse à un commentaire d’un article précédent, c’est en quelque sorte une « prédiction » certes humaine et que l’auteur considère presque une « prophétie » tout en affirmant qu’elle n’est pas une prophétie puisque seule ma conscience, ma pensée tout à fait humaine qui m’informe que cela se sera. Et elle ne fait qu’énoncer que, dans l’impasse où se trouvent les hommes, à fortiori les décideurs du monde, ce sera à la Nature de trancher et de ramener la paix entre les hommes.
Aussi attendons la suite des événements pour en savoir plus.
Medjdoub Hamed
Auteur et chercheur spécialisé en Economie mondiale,
Relations internationales et Prospective
Notes :
1. « Guerre en Ukraine : nouvelles menaces de Poutine envers l'Europe », par le quotidien français La tribune. Le 6 mars 2022
https://www.latribune.fr/economie/international/guerre-en-ukraine-nouvelles-menaces-de-poutine-envers-l-europe-905496.html#xtor=AL-13
2. « Après la débâcle en Afghanistan, l’OTAN à l’heure des doutes », par le journal Le Monde. Le 4 septembre 2021
https://www.lemonde.fr/international/article/2021/09/04/apres-la-debacle-en-afghanistan-l-otan-a-l-heure-des-doutes_6093364_3210.html
3. « Pourquoi Emmanuel Macron juge l'Otan obsolète », par France24. Le 8 novembre 2019
https://www.france24.com/fr/20191108-otan-emmanuel-macron-obsolete-turquie-syrie-etats-unis-defense-europe
75 réactions à cet article
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La prévision est la science de la description de l’avenir. Elle se distingue de la prédiction qui est issue soit d’une loi ou théorie scientifique hautement confirmée ou corroborée, soit d’un dogme religieux ou magique comme le faisait Nostradamus, tandis que la prévision découle d’hypothèses ou de conjectures moins assurées.
Puisque votre titre utilise le terme « prédiction », merci de nous faire savoir à quel dogme ou à quelle loi scientifique vous vous référez ? Une croyance ou une certitude ?
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@Clark Kent
Merci Clark, normalement j’ai été clair dans ce que j’ai énoncé et dit que "c’est en quelque sorte une « prédiction » et j’ai précisé certes humaine et donc loin de tout dogme. Maintenant Clark, vous avez été critique et vous voulez avoir une précision sur ma prédiction.
Ma réponse est claire sur le choix du titre ; elle relève essentiellement de l’intuition, comme si ma pensée m’ordonnait, comme si ma pensée prenait mes doigts et me faisait dicter ce que je dois écrire. Et j’acquiéçais malgré moi, j’ai été d’accord, pardon ma pensée propre que je croyais penser était d’accord avec cette pensée qui me soufflait ce que je dois écrire, et quelle idée mettre en avant.
Voilà, Clark, je n’y suis pour rien, et ma pensée aussi n’y est pour rien, nous sommes deux, ou plutôt nous étions deux affrontant cette pensée qui imposait ce que nous devions écrire.
Je ne sais si vous pourriez comprendre, mais c’est ainsi. D’ailleurs cette pensée me faisait écrire à la fin :
— Aussi attendons la suite des événements pour en savoir plus.
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Quant à la — loi ou théorie scientifique hautement confirmée ou corroborée, soit d’un dogme religieux — ; ce n’est aussi ni magique ni
Nostradamus. C’est simplement la — Pensée Pure — et qu’elle se réalise ou non ce qu’elle m’a fait dicté, je n’ai rien à y voir. Voilà, Clark pour la réponse et c’est la vérité.
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@Clark Kent
« A 15 h 40, dans le village de Przewodów (…) un missile de fabrication russe est tombé, entraînant la mort de deux citoyens de la République de Pologne », ajoute-t-il. « Dans le cadre de cet événement, le ministre des affaires étrangères, Zbigniew Rau a convoqué l’ambassadeur de la Fédération de Russie au ministère des affaires étrangères et a exigé des explications détaillées immédiates », conclut le communiqué.On ne sait si cette agression rentrait dans une prévision quelquonque, et ce qu’elle peut engendrer comme prédiction. Que peut on prévoir quand l’irrationnel est patent, et que l’avenir est balisé par des passages à l’acte dont on sait guère s’ils sont liés à la bétise, à la provocation, où à la simple erreur balistique, facile à mettre en adéquation avec le matériel Russe. .
L’état mental de Poutine, et de son état major commence à poser un sèrieux problème au monde. Depuis neuf mois Poutine lutte contre le réchauffement de belle manière. Malheureusment il ne s’agit pas là de réchauffement climatique, mais politique. -
@baliste
« Pédophile, gay. »..Les marqueurs évidents de l’identtité d’un troll Russe/ Leur maitre leur a appris que l’Ukraine était peuplé à l’image de l’occident, de « dégénérés », comme Hitler le faisait tout autant.
Au delà des noms d’oiseau, le réel, qui fait sens : La Russie, ses violeurs et autres psychopathes agissant en bande organisée, se sont damnés aux yeux de l’humantié.
Non seulement ils ont la défaite, mais ils ont aussi la honte... -
@velosolex
Il semblerait qu’il n’y ait que le club de blancs chrétiens d’apartheid qui pensent comme toi, c’est très loin d’être les yeux de l’humanité, en fait ca ne représente pas grand monde...
Au fait pourquoi n’y a t il pas ou peu de prisonniers russes si cela se passe tel qu’on te le raconte ?
Tu crois aussi que les russes ont inventé les maladies mentales et sexuelles dont nos enfants sont bombardés ? -
Très mauvais article , Dieu ne te parlant pas la nuit je ne sais qui a pu te mettre dans le crane cette dose presque létale de propagande impériale omniprésente dans les merdias occidentaux, bâtir sur de la mouise ou du sable ne donne jamais les résultats escomptés ( c’est soit merdique soit bancal souvent les deux comme ici ).
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@samy Levrai
Je regrette de vous décevoir, mais vous devez changer de pseudo, et écrire — samy Lefaux — Et ce n’est pas une tare c’est simplement une pensée qui m’est venue en lisant votre écrit pardon votre connerie merdique.
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@Hamed
je suis sûr que tu peux mieux faire... je parlais du fond de l’article, de la légèreté de l’analyse politique qui n’est que resucées de propagande euro atlantiste pour conditionnés aux merdias américains. -
@samy Levrai
« Je suis sûr que tu peux mieux faire... »
Si levrai prend la plume, alors on a le faux du vrai..Et le vrai du faux. .
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Bonjour, Hamed
« les trois grands pôles de puissance mondiale que sont la Russie, les États-Unis et la Chine »
Vrai pour les Etats-Unis (même déclinants) et la Chine (qui monte en puissance), mais de moins en moins vrai pour la Russie dont le déclin risque d’être spectaculaire, entre une économie de seconde zone, une armée désorganisée, et des désordres dans les nations satellites de la Fédération que Moscou n’est plus capable de maîtriser.
Le potentiel de l’Union européenne est très nettement supérieur à celui de la Russie pour devenir un pôle de puissance compétitif face aux Etats-Unis et à la Chine. A condition que l’UE s’en donne les moyens.
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@Fergus
Ben oui, quoi, une colonie américaine vieillissante sans aucune matière première, couverte de dettes et sans industrie, c’est l’avenir...
Tu devrais changer de dealer, celui que tu as ne semble pas convenir à la fragilité de ton organisme ou alors éteindre la télé car cela rend très très con. -
@Fergus
"Le potentiel de l’Union européenne est très nettement supérieur à celui de la Russie pour devenir un pôle de puissance compétitif face aux Etats-Unis et à la Chine. A condition que l’UE s’en donne les moyens.«Il semblerait que vous ayez manqué un épisode . Cette analyse était pertinente quand le gaz russe pas cher circulait à pleins tubes ( analyse que nos »amis" d’outre-Atlantique ont probablement faite, eux aussi, et qui a amené une explosion fortuite de conduites sous-marines...) . Maintenant, les données ont quelque peu
changé, non ? Le concurrent potentiel est renvoyé dans les cordes pour longtemps... -
@samy Levrai
L’Europe une colonie américaine sans industries
c’est vous qui devriez changer de fournisseurs, tellement aveuglé par vos propres mensonges plus absurde les uns que les autres -
@Fergus
Le déclin spectaculaire de la Russie à déjà eu lieu à la chute de l’URSS..
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@Lugsama
et sans énergie, c’est l’avenir te disais je.
Les colonisés le sont aussi au niveau du cerveau, ce qui les rend aveugle. -
@samy Levrai
Vous manquez d’énergie ? Un peu de sérieux, il n’y a pas que l’Allemagne et la Russie sur terre, et pas que le gaz surtout.
Il vaut mieux être un continent avec une économie et une industrie diversifié et puissante sans ressources comme l’Europe qu’un pauvre pays producteurs de ressources avec une structure industrielle plus prôche du tiers-monde que d’un pays riche comme la Russie je pense..
Le comble étant que l’extraction de ressources russe est dépendante des produits industriels occidentaux. -
@Lugsama
Il faut quand même un sacré conditionnement à la bêtise crasse pour arriver à sortir de pareille chose, bravo !
Une zone de vieux, surendettée, avec une monnaie de singe, sous domination étrangère qui la pille, va révolutionner le monde sans énergie ni industrie lourde, ni industrie intermédiaire, ni matières premières...
Les clowns sont de sortie et tu es en plus arc-en-ciel ! -
@samy Levrai
L’Europe est une des plus grande puissances industrielle de la planète dans le monde réel, le truc que vous ignorez dans vos délires.
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@Fergus
Non l’Europe est fragmentée, elle a fait l’histoire au passé, aujourd’hui elle ne la fait plus, elle dépend totalement des États-Unis, et on ne peut parler de puissance militaire européenne qu’à travers l’OTAN, or, l’OTAN, ce sont essentiellement les États-Unis.
A voir seulement le Royaume-Uni ou la France, elles sont muettes devant la puissance américaine ; quant à la France, elle critique l’OTAN, en fait elle critique
les Etats-Unis ; elle cherche à travers Macron à bomber le torse.Et ce que je dis saute aux yeux ; et que font les médias, ils créent de l’illusion. Voilà, Fergus, et normalement vous le savez aussi bien que moi.
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@samy Levrai
"Ben oui, quoi, une colonie américaine vieillissante sans aucune matière première, couverte de dettes et sans industrie, c’est l’avenir..."
Là ce n’est plus samy Lefaux mais samy Levrai qui écrit.
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@Lugsama
Tu viens juste de sortir d’hibernation ? depuis combien de temps y etais tu ? est ce qu’on t’a aussi dit que l’URSS n’existe plus depuis plus de 30 ans ?
Europe grande puissance industrielle ? c’était il y a longtemps...les dernières réminiscences ( ridicules ) sont en voie d’extinction rapide grâce aux brillantes sanctions et aux aussi brillants transfert d’armes pour tuer la population du seul fournisseur fiable d’énergie du coin. -
@Hamed
Ce n’est plus tiédasse et insipide, c’est de le fruit d’une analyse et j’apprécie. La construction racialiste ( club de blancs chrétiens d’apartheid ) européenne est la face civile de la domination américaine du vieux continent, la face militaire en étant l’OTAN. ce sont les américains qui presque 80 ans apres la guerre occupent toujours et encore tout le continent et qui progresse sans cesse vers les frontières russes. La crise de Cuba fait aussi partie de l’Histoire récente. -
@samy Levrai
Et avec une dette de près de 3000 milliards d’euros alors que les taux remontent : le budget de l’État sera-t-il suffisant pour payer les intérêts de la dette ?.
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@samy Levrai
Merci d’illustrer encore une fois mes propos, dans le monde réel, pas dans votre imagination, l’UE est l’une des plus grande puissance industriel du monde et sa production industrielle est en croissance. Elle dépassent même les prévisions dans la zone Euro.
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@samy Levrai
J’abonde dans votre écrit. Vous êtes réellement — samy Levrai — ; pardon pour le samy Lefaux
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@Lugsama
Plus maintenant, sa désindustrialisation est bien réelle et va s’aggraver dans les prochains mois. On accuse les partisans de la Russie de se gaver de « copium » (mot valise formé avec cope + opium), c’est à dire de chercher un réconfort dans le rêve, mais vous apportez la preuve que ce biais est présent dans les deux camps.
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@Lugsama
C’est vrai, Gorbatchev et Eltsine y ont beaucoup contribué, mais la Russie s’est depuis notablement redressée, au grand désespoir de certains, on aimerait que la France puisse suivre une voie comparable mais c’est l’inverse qui s’est produit, merci 1968 Pompidou, Giscard et autres serviteurs d̶e̶ ̶l̶’̶é̶t̶a̶t̶ de la Banque...
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@Fergus
Alors le troll, tu pète la forme à ce que je vois !
Toi qui sais tout, est-ce que tu peux nous donner les caractéristiques techniques des missiles hypersoniques développés par les Etats-Unis ( portée, vitesse, puissance des ogives nucléaires ).
Si tu es sage, je te donnerai tous les renseignements sur la panoplie de missiles que possède la Russie ( Sarmat, Kinja, Kalibr, Avangard, e.t.c. ).
Question ogives nucléaires, les Etats-Unis possèdent 7.700 ogives de 450 Kt, alors que la Russie n’en détient...que 8.500 de 850 Kt !
A elle seule , la Russie détient plus d’ogives nucléaires que les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, et la France réunis, et de plus forte puissance !
« Grâce » aux travaux de sape des Etats-Unis depuis 1945, l’Union Européenne a été vidée de son potentiel économique, et n’est plus qu’un conglomérat de 27 pays du Tiers-Monde qui s’enfonce dans la misère, alors qu’en Russie la population n’a jamais été aussi heureuse de voir son niveau de vie remonter en flèche, depuis l’arrivée au pouvoir de Vladimir Poutine.
Les Etats-Unis n’ont jamais toléré que l’Union Européenne et la Russie constituent un bloc économique allant de la Bretagne jusqu’à la frontière chinoise, ce qui signerait la fin de l’O.T.A.N. et donc de l’hégémonie américaine sur le vieux continent !
Mais nous sommes gérés par de tels cons, qu’ils sont en passe d’arriver à leurs fins, sans même se forcer !
Un conseil mec, arrête de lire « Tintin chez les soviets », ça rend idiot ! -
@yakafokon
vous êtes rigolo tout de même , pourquoi la Russie possède des armes extraordinaires et ne les utilise t’elle jamais ? -
@confiture
La Russie utilise ses missiles hypersoniques en Ukraine..
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L’aigle bicéphale du drapeau Russe s’est coupé une tête, celle qui regardait vers l’occident.
Une seule tête qui regarde maintenant vers l’est.
Voilà un moment que la Chine matoise, comme un gros chat aux aguets regarde la scène. Rien ne lui a échappé, de l’opération dite « spéciale »...La Russie reste le plus grand pays du monde, mais a une population vieillissante, pratiquement dix fois moins nombreuse que celle de la chine, et dont elle partage une frontière.
Cest grandes terres de toundra Russes, vierges de presque toute vie humaine, ont toujours fait rêvé l’empire du milieu. Avec la même avidité que Poutine regardant hier les terres noires d’Ukraine, elle convoite sans le dire une possibilité que cette guerre d’un autre âge évoque pourtant. Car ne nous trompons pas. Cette guerre, derrière le leurre nationaliste fait pour faire marcher les idiots, est encore une course à la terre, le fameux « lebenstraum » cher aux nazis....Sans parler des autes ressources.
Avec ces gesticulations imbéciles et la réussite qu’on connait, la Russie a fourni en direct, des informations très intéressantes aux chinois, qui malgré les embrassades convenues, gardent leur disance avec la Russie. Mais ils ont vu en direct l’efficacité de l’armée Russe, ses méthodes, son intendance à la dérive, son matériel obsolète, son commandement folklorique, dont les carences se vérifient sur le terrain.
Ils feront profit de tout cela. La Chine prend son temps, et attend comme un chat que l’adversaire se soit coupé de ses appuis, de sa légitimité. La Russie pourra t’elle demander demain de l’aide aux ex pays frères qu’elle a agressé, et qu’elle agresse encore aujourdh’ui ?....
Ce Poutine se pensait joueur d’échec ou de Go, mais ce n’est qu’un imbécile, un petit mafieux flottant dans un costume trop grand, et qui ne sait jouuer qu’au pouilleux menteur.
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@velosolex
Que l’aigle se coupe la tête ou regarde à l’est importe peu parce que ce qui va arriver à l’Europe pourrait être très grave.
Aussi d’emblée, je vous joins un commentaire que je viens de faire il y a quelques minutes et vos verrez par ce qui va arriver qu’il n’y a plus d’aigle ou de pigeons, il n’y a que des êtres qui ne savent pas leur destinée ; ils avancent sans savoir qu’ils ne sont qu’une petite partie de cette Nature, de cette Formidable Nature qui nous a créé et, dans un certain sens, elle sait nos failles humaines, et elle les comprend.
L’humain est créé faible mais la Nature l’a compensé et je dis « com-pensé », c’est-à-dire physiquement en donnant à son corps de la force qui est relativement forte mais peut être faible dans des situations spéciales et difficiles que le monde humain engendre, et donc le « com-pense » en pensée sauf que les humains sont complexes malgré eux, c’est leur nature dans la Nature qui les a créé. Et donc lorsque les humains se bloquent et n’arrivent plus à avancer, c’est à la Nature de remettre en marche cette nature humaine. Comment ? Par ce qui suit « prédictible » donnée et permise à l’humain, où l’humain qui est l’auteur n’y est pas responsable puisque ne faisant que restituer une « pensée pure » qui pense en lui :
« Précisément the clone. Vous avez tapé dans le mille. Ce qui va se passer dans la guerre en Ukraine ce genre d’incidents dont on ne sait d’où ils viennent. Et de plus en plus grave.
Et toutes les parties, ou plutôt chaque partie dira, ce n’est pas nous ; mais la suspicion va gagner les esprits, les réunion de l’OTAN vont se multiplier et toujours la même réponse, on ne sait pas qui et derrière la frappe, ou simplement l’incident puisqu’il s’agit en fait d’incident.
Un missile qui explose en Pologne ou ailleurs en Europe, et surtout dans les pays frontaliers à l’Ukraine, qui seraient attribués à la Russie, et la Russie qui s’en défend, et les Etats-Unis qui affirment non d’après la trajectoire, ce n’est pas la Russie, alors qui s’est un djinn, une ovni qui attaque l’Europe, enfin comme qui dirait : »Enfin quoi.«
Oui, la question est quoi. Les incidents vont se multiplier et dépasser les hommes, dépasser l’Occident et la Russie ; des incidents plus graves vont jouer et pas forcément des missiles ; et qui en est l’origine ?
La Nature reprend ses droits et va trancher entre les hommes ; elle provoquera la peur, l’effroi, et le conflit s’arrêtera, les puissances seront obligés de s’asseoir, de reprendre langue »vite« avant que cela empire.
Et aucune partie ne dira que c’est moi. Pourquoi ? Il n’y a pas d’intérêt du fait que chaque partie rejettera la faute à l’autre, et sans preuve ça restera ainsi. Sauf qu’il y a urgence de faire la paix. La situation de guerre serait intenable pour toute l’Europe, et c’est ça qui va faire bouger les choses : »Par les incidents qui se multiplient, et sans véritables responsables, toute l’Europe peuve être touchée« .
J’espère que l’auteur a été assez clair... »
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@confiture
Pourquoi ? Pour la simple raison : « La Russie n’a pas le droit de les utiliser. » Elle ne le peut pas, et ni les autres puissances nucléaires. C’est une arme tabou, son usage ne vient que s’il est inscrit dans la marche « naturelle » du monde. J’espère que vous comprenez pourquoi. Et sans commentaire sur cette arme et sa non-utilisation.
Votre question est néanmoins pertinente, confiture.
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@Attila
Un chien de Poutine aboie, les autres lui répondent les uns après les autres, pour attirer le chaland, et donner l’impression du nombre, et tenter de faire une opinionC’est comme ça que ça se passe, sur une plate forme d’influence.
Le plus vieux truc du monde, qu’on voyait sur les foires, avec les acolytes du charlatan tentant d’attirer le public devant les trétaux. -
Qui est l’ennemi ? Réflexions de science politique par le Général Henri Roure...
https://stratpol.com/qui-est-lennemi-reflexions-de-science-politique-par-le-general-henri-roure/
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@Durand
Stratpol qui nous informe des éclatantes victoires russes depuis le début de l’invasion est une sources d’amusement, pas d’informations.
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@Lugsama
Sinon t’as des arguments hermanito ?
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@Durand
Pleins, toutes ses vidéos publiés en fait, on retrouve même des compilations hilarantes un peu partout sur Internet.
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@Lugsama
Evidemment, si l’on commence à croire Volodymyr Zelensky, ou les commissaires politiques qui fleurissent sur nos plateaux-télé, et qui n’ont jamais foutu les pieds du côté du Donbass où tombent les obus, la Russie est à l’agonie.
Mais quand la raspoutitsa et l’arrivée de l’hiver permettront à l’armée russe de lancer son offensive tous azimuts, on va voir comment vont galoper les fans de Stepan Bandera ! -
@yakafokon
L’offensive russe tous azimuts, ça tient quand même de la méthode Coué, comme celle qui prévoyait en février dernier que l’affaire serait bouclée en quelques semaines (j’avoue qu’alors ça me paraissait probable).
L’armée ukrainienne est désormais considérablement plus armée qu’au début, et a reconquis des territoires sur le terrain, ce que nous aurions tous pensé comme impossible.
Donc ce que la Russie n’a pas pu faire au printemps dernier, elle le pourra moins encore cet hiver ni au printemps suivant. Il y aura de petites avancées ici et des petits retraits là, comme entre 1915 et 1917 à l’Est de la France.La stratégie russe semble désormais d’une autre nature, le bombardement d’infrastructures dans tout le pays pour faire plier la volonté du peuple ukrainien par les pénuries sous le grand froid. La résistance des peuples de l’Est aux pires condition dépasse celle de nous autres occidentaux, parfois ça aiguise même leur détermination.
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Un paragraphe d’anthologie...
"Étrangeté de la marche du monde, ce qui était inimaginable en Europe, avec le déploiement de l’OTAN en Europe, et même si l’Ukraine n’en faisait pas partie, la promesse de son intégration aurait dû faire reculer tout adversaire, y compris la Russie. Or, ce qui est incroyable, la Russie ne l’entendait pas de cette oreille, et, faute que des exigences stratégiques adressées à l’OTAN, et donc à l’Europe et aux États-Unis, n’ont pas été satisfaites, la Russie n’a pas hésité et a envahi l’Ukraine.«
Chapeau bas...
C’est vrai, quoi ... La Russie ne l’entendait pas de cette oreille, elle qui après la dislocation de l’URSS, laquelle s’était quand même rendue coupable d’interventions musclées dans les pays dits »satellites« ( probablement en réponse à des incitations venues d’ailleurs, mais c’est une autre histoire...), Russie donc qui n’avait envahi aucun des anciens pays situés à son ouest, sans doute sur la base des promesses (qui n’engagent que ceux qui y croient) de non extension de l’OTAN, ou par choix politique réel, on ne sait pas, mais le fait est là, aucune invasion russe à l’Ouest ...
Et donc, le »déploiement de l’OTAN en Europe et la promesse de l’intégration de l’Ukraine, en gros, le futur pistolet sur la tempe, quoi... Rien que de très acceptable...
Ajoutons-y huit années de menus massacres de russophones au Donbass, et vraiment, on se demande bien d’où est venue cette guerre en Ukraine, de nulle part, assurément...Une lubie de dictateur sanguinaire, à n’en pas douter...
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@Lynwec
Le bon vieux « drang nach osten » nazi repris par les « young leaders » de l’Empire, ça c’est vraiment cool . Comment traiter ces vaches de russes, saloperies de nègres des neiges , qui osent mettre leurs frontières juste à coté de nos jolies bases militaires de la paix ? -
@Lynwec
La Russie n’avait pas à décider de l’avenir de l’Ukraine, maintenant qu’elle digère son humiliation.
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@Lugsama
Tu ne sembles pas comprendre grand chose dans l’art de la guerre, tu vas beaucoup apprendre ces prochains mois. -
@samy Levrai
Oui c’est moi qui ne comprend rien, pourtant vous avez pu me lire sur ce site, bien avant l’humiliation actuel de l’armée russe, dire que cette armée n’était pas au niveau et en retard d’un demi-siècle malgé la propagande du Kremlin, pendant que vos amis complotistes nous annonceaient qu’ils prenaient Paris en deux semaines, voir comble du ridicule qu’ils concurenceaient les USA
Vu qu’ils arrivent à tomber en panne d’essence à 50km de leurs frontières je pense qu’on à le temps de voir venir pour Paris
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@Lugsama
Monsieur Sarmat ne laisse que peu de temps, ne soit pas si pressé.
Ce sont tes copains les comploteurs qui ne font que prêter des intentions à la Russie alors que ce n’est basée sur rien du tout ... meme que le président de la fédération serait fou et aurait une bonne dizaine de cancer...
C’est drole de regarder les roquets sans couille qui aboient de loin et qui n’osent y aller, que font les mighty anglo saxons et leurs toutous serviles à part des sanctions qui les punissent eux mêmes et la fourniture des armes de loin comme les lâches lavettes de laquais qu’ils sont ? est ce la peur qui les retient ? -
@samy Levrai
Pour voir un roquet sans couille il suffit d’observer les déplacements de Poutine auprés des soldats
(spoil : ça ne fera pas un long visionage) -
@Lugsama
dire que cette armée n’était pas au niveau et en retard d’un demi-siècle malgé la propagande du Kremlin
Seriez-vous un clone du Général Yakovleff
Quand on refuse d’écouter les propagandes et que l’on essaye de réfléchir avec sa tête, voici ce qui vient à l’esprit.
Le constat est le suivant : une armée d’invasion s’est emparée d’une part significative du territoire d’un pays voisin, et ce en infériorité numérique à l’offensive (soldats).
C’est un bon résultat au strict plan militaire sachant que le pays envahi est soutenu matériellement par une alliance militaire dix fois plus puissante que l’envahisseur, et que détruire les défenses enterrées du pays envahi suppose en principe une forte supériorité numérique.
Les avancées et les reculs (importants) de l’envahisseur, que l’on constate actuellement, ne permettent pas de préjuger de la suite.
On connaît l’objectif de guerre du pays envahi, retrouver ses frontières d’avant 2014, mais on ne connaît pas l’objectif de guerre de l’envahisseur (sauf dans nos médias occidentaux sur le mode « les chars russes demain à Paris, bah non finalement ils sont vraiment trop nuls : ils reculent »).
L’envahisseur veut-il aller plus loin que les régions qu’il a déclarées faisant désormais partie de son pays ? Personne n’en sait rien pour le moment.
Cela dépendra, à mon avis, d’une question qui n’est pas abordée dans nos médias, sinon en prenant ses désirs pour des réalités (les Anglosaxes disent ça en 2 mots, pas 6 : wishful thinking) : « une petite minorité d’Ukrainiens voulait rejoindre la Russie, mais depuis le 24 février, tous les Ukrainiens se sont révélés patriotes et veulent chasser les Russes. » On peut croire, ou ne pas croire à ce sondage virtuel de la population ukrainienne. Je n’y crois pas trop.
C’est l’envahisseur qui est le mieux placé pour juger de l’intérêt d’annexer certaines régions, et pas d’autres, des régions où une majorité ne souhaite plus faire partie de l’Ukraine, en devenant soit indépendante soit russe. Et c’est cela qui, à mon sens, décidera des objectifs de guerre de l’envahisseur. Je crois qu’il n’ira pas plus loin que les nouvelles frontières qu’il a tracées pour son pays, donc pas à Odessa, et peut-être abandonnera-t-il définitivement la rive droite du Dniepr, c.à.d. Kherson.
L’auteur a raison, la pression va monter pour des négociations en 2023.
L’Europe n’a pas intérêt à cette guerre, c’est devenu plus qu’évident.
Les USA ont obtenu ce qu’ils visaient : un affaiblissement de l’Allemagne et de son commerce chinois, ainsi que la démonstration que leurs armements sont d’une efficacité telle qu’ils ont ruiné et défait les plans (supposés ?) d’une grande puissance (supposée). Cela devrait rattraper l’Afghanistan aux yeux des acheteurs de l’armement américain. Et l’OTAN brille à nouveau, avec Macron et tous les autres éblouis après une phase dépressive.
Que peut-il sortir de négociations entre les belligérants et sous pression américaine et chinoise ? Peut-être tout simplement l’application des accords de Minsk un peu aménagés, les régions annexées par la Russie gagnant une quasi indépendance, sauf la Crimée qui resterait russe (pour le moment, ce « moment » pouvant durer « assez longtemps »).
Si telle est l’issue de cette guerre, quelques dizaines de milliers de jeunes hommes seraient morts pour pas grand-chose en somme : l’application des accords de Minsk pouvait être « forcée » par les puissances occidentales avant la guerre. Mais ce n’est pas nouveau : des historiens prétendent que la guerre de 14 aurait pu être évitée (et partant la suivante). Les grandes puissances occidentales ne reculent pas devant les sacrifices humains, tout comme les Mayas.
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@Lugsama
Effectivement, mais, dites-moi, Victoria Nuland (USA) avait-elle elle-même ce droit ? Il semblerait qu’elle se le soit accordé puisqu’elle l’a fait fin 2013 début 2014 .
Et en Yougoslavie, qui avait le droit de décider l’avenir du pays en bombardant par l’intermédiaire d’une coalition ?
Les indignations à géométrie variable, ça fonctionne, mais ça se voit...La justice se doit d’être universelle ou elle n’est rien d’autre que le droit du plus fort ... -
@Basile
La fable du « on ne connait pas leurs objectifs » pour masquer les défaites me fera toujours rire.
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@Lugsama
me fera toujours rire.Au lieu de rigoler tel un benet, dites-nous ce que vous supposez connaître des objectifs de guerre de la Russie.
Il n’est pas certain d’ailleurs qu’ils sachent eux-mêmes jusqu’où ils veulent aller (trop loin). Tout dépendra du couple USA-Chine (ils en ont sans doute parlé en Indonésie, et peut-être même ont-ils décidé quelque chose).
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2023 ?
En tout cas ce ne sera pas le 1er Janvier .....
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Seuls les crétins ou les myopes ( et Dieu sait combien ils sont nombreux dans notre beau pays ) peuvent être surpris de ce qui se passe en Ukraine actuellement !
Car il y a des années que les Etats-Unis s’emploient en permanence à provoquer des révolutions « orange » partout dans le monde, depuis qu’ils existent, et le putsch du Maïdan à Kiev ne fait pas exception à la règle !
Depuis qu’ils ont mis les pied sur le continent américain, ( c’est-à-dire il y a 411 ans, quand le May Flower a débarqué son chargement de repris de justice anglais et de prostituées ), ce pays de tarés n’a eu que 20 ans de paix, mais a fomenté des guerres dans le monde entier, pour piller tout ce qui pouvait l’être aux quatre coins du monde, comme un nuage de sauterelles !
Mais maintenant, le joyeux temps des canonnières est révolu, car des puissances nucléaires telles que la Chine, la Russie, l’Inde, se sont données les moyens de ramener les Etats-Unis à l’âge de pierre.
La « Communauté internationale » qu’ils disent représenter, c’est seulement 9 % de la population mondiale, c’est-à-dire peanut !
En Ukraine, s’ils osent s’en prendre à la Russie, ils ne vont pas être déçus du voyage, car seul ce pays dispose d’une panoplie de missiles hypersoniques qu’ils n’auront pas le temps de voir arriver, et surtout la possibilité d’intercepter !
Vu le nombre d’ogives nucléaire que possède la Russie ( 8.500 de 850 Kt ) elle peut même se permettre de passer une 2ème couche de vitrification, pour éviter la repousse du nazisme !
Mais jamais les russes ne déclencheront le feu nucléaire les premiers, c’est dans leurs gènes. Ils se sont toujours défendus !
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@yakafokon
Poutine Endgame, aprés toutes les raclées qu’il a pris, il va bientot etre débranché.
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Une histoire du vingtième siècle avec un regard borgne. Nul mention de l’accord Molotov Ribbentrop et ses accords secrets faisant de l’URSS et du régime nazi des complices pour se partager la Pologne......
« De même, vingt années de guerre en Afghanistan se sont terminées en catastrophe pour les États-Unis et l’OTAN. »......C’est oublié que c’est encore L’urss, dont la russie s’est faite légataire, encore en tordant le bras au réel, qui a agressé en premier l’’Afganistan, en 77, dans une guerre qui durera 10 ans, et provoquera l’émergence des Talibans et du fondamentalisme, ouvrant le vase de pandorre.
En neuf mois, la guerre d’Ukraine a provoqué néanmoins dix fois plus de morts que dix ans d’afghanistan. On apprend qu’en plein G20 ce pays de gangsters, dirigé par un psychopathe vient encore de lancer 100 missiles sur l’Ukraine. Ces imbéciles ne comprennent rien à l’histoire. Non seulement ils sont pervers et laches, criminels de guerre en puissance, mais en plus ils sont cons.
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@velosolex
"Une histoire du vingtième siècle avec un regard borgne. Nul mention de l’accord Molotov Ribbentrop et ses accords secrets faisant de l’URSS et du régime nazi des complices pour se partager la Pologne......
"
En parlant de borgne, voire de myope ou d’amnésique, je vous rappelle, pour la énième fois (pas forcément à vous en particulier) les refus continuels dogmatiques (le communisme,c’est mal) des Britanniques quand l’URSS par Litvinov proposait à maintes reprises une alliance antifasciste France-Grande Bretagne-URSS .
La France y était mollement favorable, les Britanniques farouchement opposés .
https://www.webdepot.umontreal.ca/Usagers/carleym/MonDepotPublic/Carley%27s%20Web%20site/Annees.htm
et
https://books.openedition.org/pum/17728?lang=fr
Alors, oui, Molotov-Ribbentrop, bouh, pas bien, mais la faute à qui si on creuse un peu ?A votre prochain commentaire ne présentant qu’une facette de l’Histoire, vous démontreriez la mauvaise foi .
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Qui pouvait s’imaginer que la Russie qui avait amassé 150 000 hommes allait envahir, le 24 février 2022, l’Ukraine ?
Réponse TLM, pour une raison trés simple a comprendre. Un dictateur fait toujours ce qu’il dit si personne l’en empêche par la force.
intégré tous les cas de figure de guerre qui pourraient survenir.
Ben voyons, Poutine est un génie, un stratége.... lol, c’est un looser c’est tout.
Poutine Endgame, le temps joue contre Poutine, qui ne peut meme plus sortir de son pays, par crainte de perdre son throne....
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@vachefolle
Personne n’imaginait que la Russie allait passer à l’acte, parmi les dirigeants occidentaux même Zelensky, parce que c’était simplement irrationnel et stupide de le faire.
Seuls les états unis ont pensé que Poutine serati assez con pour ça, et ils ont eu raison.
Bon, après avoir envoyé 100 missiles ce jour sur les centrales énergétiques, pour que les Ukrainiens meurent de froid, notre great dictator en a envoyé deux sur la Pologne.
Soit c’est intentionnel, et une fois de plus ce serait vraiment con, et gratuit.Soit ça ne l’est pas, et ça révèle une fois de plus la capacité militaire de ce pays, disposant d’un matériel militaire de l’à peu près de la cible.
Quand on parle de ce pays de plus moyennageux, le terme con revient de plus en plus souvent. Mais le terme pervers lui tient la main ! -
@velosolex
D’après des sources sures il parait que c’est la Papouasie qui a envoyé les missiles par erreur sur la Pologne ....
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@the clone
Précisément the clone. Vous avez tapé dans le mille. Ce qui va se passer dans la guerre en Ukraine ce genre d’incidents dont on ne sait d’où ils viennent. Et de plus en plus grave.
Et toutes les parties, ou plutôt chaque partie dira, ce n’est pas nous ; mais la suspicion va gagner les esprits, les réunion de l’OTAN vont se multiplier et toujours la même réponse, on ne sait pas qui et derrière la frappe, ou simplement l’incident puisqu’il s’agit en fait d’incident.
Un missile qui explose en Pologne ou ailleurs en Europe, et surtout dans les pays frontaliers à l’Ukraine, qui seraient attribués à la Russie, et la Russie qui s’en défend, et les Etats-Unis qui affirment non d’après la trajectoire, ce n’est pas la Russie, alors qui s’est un djinn, une ovni qui attaque l’Europe, enfin comme qui dirait : « Enfin quoi. »
Oui, la question est quoi. Les incidents vont se multiplier et dépasser les hommes, dépasser l’Occident et la Russie ; des incidents plus graves vont jouer et pas forcément des missiles ; et qui en est l’origine ?
La Nature reprend ses droits et va trancher entre les hommes ; elle provoquera la peur, l’effroi, et le conflit s’arrêtera, les puissances seront obligés de s’asseoir, de reprendre langue « vite » avant que cela empire.
Et aucune partie ne dira que c’est moi. Pourquoi ? Il n’y a pas d’intérêt du fait que chaque partie rejettera la faute à l’autre, et sans preuve ça restera ainsi. Sauf qu’il y a urgence de faire la paix. La situation de guerre serait intenable pour toute l’Europe, et c’est ça qui va faire bouger les choses : « Par les incidents qui se multiplient, et sans véritables responsables, toute l’Europe peuve être touchée ».
J’espère que l’auteur a été assez clair...
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@the clone
Que ce soit un missile russe qui s’égare ou un missile ukrainien chassant un missile russe, ce n’est arrivé que parce que la Russie a frappé l’Ukraine très près des frontières polonaises en toute connaissance de cause.
La responsabilité de cet incident en incombe pleinement à la Russie -
@the clone
D’une façon ou d’une autre, la chute de ce missile, est liée aux cent autres qui ont été envoyé sur les civils. Que ce soit un missile d’attaque semblable aux cent autres, ou un missile Ukrainien de défense égaré, la faute vient de l’agresseur.Et Poutine n’a pas envoyé par erreur ses troupes, tout autant que ses bombes sur les civils.
Le moment où il l’a fait est tout autant signifiant, et s’apparente à un bras d’honneur. Ce pays est parti pour traverser une longue nuit ! -
@Massada
Avec les chars de la gay pride et les fusées arc en ciel, la guerre va être révolutionnée, j’ai hâte que l’OTAN attaque.
J’apprécie l’expertise israélienne sur les responsabilités, elle a toujours été un modèle, les anglo saxons sont des enfants comparés a ceux ci. -
@Massada
D’accord avec vous, il est évident que c’est la Russie qui a frappé l’Ukraine près des frontières polonaises. Bien sûr, en toute connaissance de cause. C’est vrai.
Mais mettez-vous à la place des États-Unis, que peuvent-ils faire ? Attaquer, c’est-à-dire rendre le même coup à la Russie, la surveillance spatiale, le ciel est truffé de satellites US et russe qui peuvent donner certainement la trajectoire exacte du missile ou des missiles (on parle de deux).
Mais est-ce nécessaire ? N’y a-t-il pas danger que la guerre s’étende et toucherait l’Occident, en clair l’escalade et les conséquences.
Il est clair que ce n’est pas dans l’intérêt de personne d’envenimer les choses. Aussi Biden probablement va rester à innocenter la Russie, et la Russie qui affirmera que ce n’est pas elle. Pour calmer la situation.
Même le président polonais a déclaré que c’est n’est pas sûr que c’est la Russie ; et puis peut-être que cet incident ne va pas être répété. Donc tout le monde cherche à calmer le jeu. Sauf qu’avec cet événement, cet incident, où personne n’est responsable risque d’ouvrir voie à une spirale d’incidents qui mettra en danger tant l’Ukraine que les pays environnants.
Aussi attendons la suite des événements. Mais vous avez raison, Massada, sauf qu’il y a de grands freins qui interdisent d’aller au-delà, la paix en Europe en dépend.
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@samy Levrai
Vous êtes fou samy Levrai, ce n’est pas parce que vous êtes Levrai que vous comportez en kamikase.
« j’ai hâte que l’OTAN attaque. », Si l’OTAN, cela peut être l début d’une Troisième Guerre mondiale, sinon une guerre nucléaire entre l’Occident et la Russie.
Et c’est impossible ni l’Occident ni la Russie ne sont suicidaires, c’est le premier élément d’ordre essentiellement humain.Le Deuxième élément est « métaphysique », « suprahumain », les armes nucléaires n’ont pas été données aux êtres humains pour s’en servir comme des joujoux et les prendre comme de vulgaires missiles à tête conventionnelles.
Les « armes nucléaires » sont des « armes tabous » interdites aux hommes.... On comprend ce qu’il faut comprendre par « nucléaires ».
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@Hamed
Les fous sont les américains et leurs sbires laquais, ils attaquent sans discontinuer des pays souverains sans mandat de l’ONU ni une quelconque legitimité, ce sont d’ailleurs les seuls n’ ayant jamais utilisé les bombes atomiques et ce sur des civils.
ce sont les seuls ayant une doctrine nucléaire de première utilisation.
Ce sont des mafieux et il est plus que temps de les arrêter, ne plus accepter leurs chantages.
Les occidentaux sont à la ramasse, ils ne sont plus capable de combattre ( les américains n’ont pas gagné de guerres depuis WW2, qu’ils n’ont pas gagné eux memes ), il est plus que temps de détruire cette UE et cet OTAN et sortir de cette colonisation.
Peu m’importe comment cela va se passer, le sang et les larmes m’iront aussi bien, il parait meme que je ne suis plus un citoyen n’étant pas vacciné et apres moi le deluge. -
Nous sommes déjà en guerre, nous sommes cobelligérants par les sanctions, les insultes et les fournitures d’armes ( et de personnels ) , le reste n’est qu’hypocrisie dont nous sommes champions
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@samy Levrai
Oui, comme vous dîtes : "Nous sommes déjà en guerre, nous sommes cobelligérants par les sanctions, les insultes et les fournitures d’armes ( et de personnels ) , le reste n’est qu’hypocrisie dont nous sommes champions.«
Je vous comprends, cependant, il faut une certaine sérénité dans la vision de la marche du monde. Avancer que : »Les fous sont les américains et leurs sbires laquais, ils attaquent sans discontinuer des pays souverains sans mandat de l’ONU ni une quelconque légitimité, ce sont d’ailleurs les seuls n’ ayant jamais utilisé les bombes atomiques et ce sur des civils.
ce sont les seuls ayant une doctrine nucléaire de première utilisation.«Il faut se dire que c’est aussi leur destinée ; que par les guerres, ils cherchent à maintenir leur hégémonie sur le monde se comprend du fait qu’ils tirent des intérêts considérables. Les Américains d’ailleurs les Européens vivent sur le »dos des pays du reste du monde. Le dollar US et l’euro ont « colonisé » le commerce mondial ; tous les échanges économiques, financiers et monétaire, si on ajoute les monnaies yen du Japon, livre sterling du Royaume-Uni, compte pour au moins 80 à 85% dans le monde. Ce qui signifie que les deux-tiers de la planète achète à l’Europe et aux États-Unis ces monnaies en échange de richesses pour que ces pays du reste du monde puissent commercer et importer ceux dont ils ont besoin.
Mais les pays émergents qui sont en pleine croissance et cherchent à supplanter l’Occident qui importe des richesses du monde entier qu’en faisant tourner la planche à billet produisent une certaine peur au pôle dominateur, et ce pôle ne procèdent pas à des guerres sans raison ; c’est précisément pour endiguer la Chine, la Russie, l’Inde, le Brésil et autres pays qui veulent s’émanciper de la pax americana.
Les guerres, par exemple, tournent toutes pour le pétrodollar. Si demain, le pétrodollar est remplacé par le renminbidollar, et que toute l’Afrique, une grande partie de l’Asie et de l’Amérique du Sud, c’est fini pour l’Occident dans le sens que les pays occidentaux perdront leur hégémonie ; ce seront des pays qui seront obligés de commercer avec le reste du monde, sans aucun pouvoir coercitif basé sur un intérêt militaro-économique.
En clair, les États-Unis et les pays d’Europe seront comme les pays du reste du monde ; les guerres ne leur apporteront rien et ils n’en auront pas les moyens. Le monde est entrain de s’acheminer progressivement à deux mondes. La Chine, et son allié la Russie et seulement alliée, sera la future puissance économique du monde, et qui dit économique dit militaire puisque, entre temps, elle sera à parité sur le nombre d’ogives nucléaires avec les États-Unis et la Russie, voire même les dépasser.
Donc samy Levrai, il y a un long processus en cours et la guerre en Ukraine, comme l’Ukraine elle-même, n’est qu’un épiphénomène qui se surajoute, certes il a aujourd’hui beaucoup d’importance, mais demain, non.
Voilà, je suis un peu long mais c’est pour que vous saisissiez ce qui se passe aujourd’hui pour ce qui peut survenir et c’est là toute l’appréhension de l’Occident de ce retournement de l’ordre de puissance.
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@Hamed
Il y a grâce au conflit en Ukraine une accélération et nous assistons a la fin de l’Empire américain, je n’ai aucune raison de le regretter, je ne suis pas un larbin.
Les russes se sont préparés à ce conflit pendant que nous développions une armée de projection pour casser la gueule à tous les pays faibles de la planète derrière nos maitres.
L’Occident n’est plus capable d’une guerre contre de vrais nations comme la Russie ou la Chine et si cela devient nucléaire et ben tant pis, plus d’humains nul part et une planète qui s’en remettra. -
@Hamed
Gardons-nous des « évidences »...et appliquons plutôt la formule « Cui bono ? »
Mobile ? Intérêts ? Bénéfices espérés ?
Prouver que les pays de l’Otan n’oseront pas franchir le pas ? Où est l’intérêt d’en apporter une confirmation ? Il est toujours dangereux de mettre quelqu’un au pied du mur . C’est ce qui a été fait envers la Russie et on a vu la suite .
Faire peur à la Pologne pour qu’elle se calme un peu ? Comme pour tous les autres pays européens qui se sont démunis de leurs armements en les fournissant à l’Ukraine, la Pologne atteindra forcément la limite de ces capacités et se calmera forcément d’elle-même .
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@Lynwec
D’accord avec vous. Mais "Faire peur à la Pologne pour qu’elle se calme un peu ? Comme pour tous les autres pays européens qui se sont démunis de leurs armements en les fournissant à l’Ukraine, la Pologne atteindra forcément la limite de ces capacités et se calmera forcément d’elle-même.« est certes une stratégie mais insuffisante pour sortir de l’impasse de la guerre en Ukraine.
Je vous dis non pas un secret mais presque un secret, du moins un peu pour ce que vous avez dit »calmer« , le président Joe Biden, de Bali, et donc de la réunion du G20, s’est empressé de »calmer« le jeu et a vite dédouanné la Russie.
Pourquoi ? Parce que c’était nécessaire, il était nécessaire car »Dicté par la Nature« qu’il devait »calmer« le jeu d’autant plus que personne ne pouvait remettre en question cette »sortie de la plus grande nation du monde.
Le nucléaire en tant qu’arme est tabou pour les êtres humains, il est « interdit » en tant que « arme apocalyptique ». Donc il était ordonné que Biden calme le jeu, mais la situation n’est pas pourtant calmée, il faut encore que la Nature calme les ardeurs belliqueuses des êtres humains. Comment ? L’avenir nous le dira.
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’’...l’OTAN en Europe, et même si l’Ukraine n’en faisait pas partie, la promesse de son intégration aurait dû faire reculer tout adversaire, y compris la Russie’’
Non, c’est l’exact contraire, Poutine refusait fermement l’entrée de l’Ukraine dans l’OTAN, or les perspectives de cette adhésion se confirmaient, il a donc a attaqué préventivement avant que le processus d’adhésion ne soit engagé.
C’est pour ça qu’il ne s’est pas contenté d’annexer le seul Donbass, il lui fallait
-Soit mettre l’Ukraine sous la suzeraineté russe (c’est ce qu’il entendait par ’’dénazifier’’), avec les chars autour de Kiev au début de l’’opération spéciale’’,
-Soit assurer un glacis en annexant la continuité territoriale jusqu’à la Crimée. Contrôler la cote de la Mer Noire (Odessa) aurait été un bonus, mais moins impératif.---
La guerre n’était pas dans l’intention des yankees, mais de restreindre la zone d’influence russe en attirant les pays alentour dans leur giron (par influençage, subornation, manipulation...), et se consacrer alors à l’Asie/Pacifique considéré comme plus grand risque de menace future.
La guerre n’étant pas de leur initiative, les ’’occidentaux’’ n’étaient préparés ni aux sanctions qui ont été improvisées de manière désordonnée et nuisible à leur intérêt, ni à la nature de l’assistance en armement à l’Ukraine, disparate, chaque pays fournissant une partie de ses arsenaux, avec une sorte d’émulation pour être bien vu de Zélenski (qui est devenu plutôt le marionnettiste que la marionnette). Les occidentaux se sentent responsables d’avoir entrainé l’Ukraine dans un traquenard, ayant sous estimé la détermination de la Russie, et font assaut de zèle pour les soutenir) ; Mais il y a comme une certaine lassitude, et la crainte que Zélenski les entraine dans une guerre mondiale, comme avec ses déclarations suite à l’« incident » en Pologne, où il va se mordre la langue.
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’’... il demeure, par ces événements, qu’une peur humaine va surgir et prendre les deux grandes puissances, et aussi l’Ukraine et l’Europe, qui, s’enclenchant, va pousser tout le monde (Occident, Ukraine, Russie) à négocier « vite » et mettre fin à la guerre’’
L’auteur a-t-il un exemple de la nature des évènements dont il a l’intuition ? Marasme économique profond, catastrophe climatique, guerre dans une autre partie du monde (exemple Taïwan)... ?
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Ah, je viens de lire le commentaire de l’auteur 16 nov 08:11 (’’ Les incidents vont se multiplier et dépasser les hommes, dépasser l’Occident et la Russie ; des incidents plus graves vont jouer et pas forcément des missiles ; et qui en est l’origine’’), ’’bavures’’ dans le cadre de la présente guerre en Ukraine, plus graves alors que ce qui s’est passé en Pologne, faisant craindre un escalade. C’est effectivement très possible.
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@Eric F
Vous venez de lire le commentaire que j’ai fait le 16 nov 08:11(’’ Les incidents vont se multiplier et dépasser les hommes, dépasser l’Occident et la Russie ; des incidents plus graves vont jouer et pas forcément des missiles ; et qui en est l’origine’’)
Et vous me dîtes : "L’auteur a-t-il un exemple de la nature des évènements dont il a l’intuition ? Marasme économique profond, catastrophe climatique, guerre dans une autre partie du monde (exemple Taïwan)... ?«
Je ne peux pas vous le dire, ma pensée m’en empêche ; certes l’intuition et vous dîtes »intuition« , dès lors cette intuition-pensée m’appartient et ne m’appartient pas. Pourquoi ? Pour la simple raison qu’elle m’est venue, je n’en suis pas l’auteur et, c’est elle qui me dicte de ne pas expliquer. Donc je suis dépendant de mon être-nature qui relève de la Nature du monde ; une Nature qui a été créée par elle-même et pour l’univers.
D’ailleurs, vous aussi, Eric F, vous avez été clairvoyant en lisant ce texte et vous avez relevé ces points en deux endroits différents, et le second endroit vous dîtes : »Ah, je viens de lire... « , c’est ce »Ah, ...« que vous a transmis votre intuition-pensée à vous et non à vous. Vous avez pensée et en même temps vous avez été pensé.
Ceci étant, ce que ma pensée prédit est qu’effectivement oui, il y aura un »Marasme économique profond« , une »catastrophe non pas climatique mais plutôt météorologique, dans le sens que l’air, l’atmosphère ou la terre peuvent être en colère contre les intrigues sanglantes humaines", et cela peut se passer dans une autre partie du monde mais touchera essentiellement les protagonistes dans la guerre en Ukraine. Et pas Taïwan qui ne fait pas partie du conflit ukrainien.
Et ce ne sera pas des bavures comme dans l’incident polonais, mais un incident beaucoup plus grave ; il provoquera l’effroi, la peut grandissante, et il n’y aura pas d’escalade ni de crainte d’escalade tout au plus une incompréhension que l’humanité, en particulier l’Europe où se joue la guerre, où tout peut arriver.
Dans l’impasse où se trouveront les puissances dans le conflit ukrainien, ce sera à la Nature de trancher entre les hommes. Comment ? L’avenir nous le dira.
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c’est vous qui devriez changer de fournisseurs, tellement aveuglé par vos propres mensonges plus absurde les uns que les autres 
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