Question à Nicolas Sarkozy
Il va gagner, c’est sûr. La campagne du second tour aura été belle, comme celle du premier aura passionné, avec l’immixtion réussie du trublion officiel François Bayrou.
Le débat tant attendu a eu lieu et, pour rester superficiel, Ségolène Royal a étonné par sa pugnacité énervée et harcelante et Nicolas Sarkozy par sa maîtrise de soi tellement cultivée qu’on aurait presque souhaité une explosion. Mais elle n’est pas venue de son côté.
Je garde pour moi ce que je pense de la fiabilité et de la pertinence de leur projet économique, social et politique.
J’aimerais interroger Nicolas Sarkozy sur un seul point mais qui me semble important. Je n’ai pas l’intention de me livrer à une psychanalyse de bazar et je ne suis pas persuadé par la prétendue psychanalyse proposée par Gérard Miller, dont le savoir technique est fortement altéré par ses préjugés militants.
Je n’ai pas l’intention non plus de questionner Nicolas Sarkozy sur la médiocrité artistique et /ou civique des people qui l’entourent et le soutiennent. On prend ce qu’on trouve. Ni sur l’utilisation éhontée d’un homme qui ne brille pas par l’honneur et que même ses nouveaux amis devraient toucher du bout de l’esprit. Il s’agit d’Eric Besson, bien sûr.
Non, je souhaiterais que Nicolas Sarkozy nous fournisse la clé de
son comportement lors du débat de jeudi soir, et je ne suis pas le seul
à le solliciter sur ce plan : quelle est la raison pour laquelle il n’a
jamais affronté le regard de Ségolène Royal, se tournant vers les
journalistes, surtout Patrick Poivre d’Arvor, ou baissant la tête,
notamment lors de la crise sans doute préparée avec soin par son
adversaire féminine ?
Pourquoi cette fuite du regard de l’autre ? La peur de perdre son sang-froid s’il se confrontait à elle, visage contre visage ? L’envie de manifester qu’elle n’était pas suffisamment importante pour pouvoir bénéficier d’une attention directe ? Une timidité surprenante devant la manifestation d’une femme forte et autoritaire ? L’adoption délibérée d’un rôle totalement à contre-emploi, d’effacement physique devant l’éclatante hégémonie de l’autre, sur ce plan ?
J’ai besoin d’une réponse. Car on n’a jamais pu douter du courage intellectuel de Nicolas Sarkozy. Je l’ai vu regarder dans les yeux des adversaires autrement plus déterminés et hostiles.
Alors ?
34 réactions à cet article
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Reponse facile et pari gagne pour Sarko : Faire sortir Royal de ses gonds.
Que n’est il pas enervant de parler a quelqu’un qui vous ignore. C’est tout ce qu’on retiendra de cette affaire : la colere « juste » de Royal qui lui a fait perdre les elections.
D’apres PPDA, pour ce que son independance peu valoir, raconte que Royal ne regardait que l’epaule droite de Sarkozy ...
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non mais je rêve !! L’épaule droite ! On ne s,est + quoi inventer. Il est évident que PPDA placé à gauche de SR, avait tout loisir de voir ou se porter son regard ..C’est pitoyable.
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Ne pas regarder Sego, c’est refuser le sourire faux et l’hypocrisie de cette personne. Si vous vous faisiez attaquer sans vergogne, vous ne regarderiez plus votre ennemie dans les yeux.
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Hypocrisie ! Qui est l’hypocrite qui dégouline de compliments à l’attention de SR ! Quand on sait comment il appelle MAM en privée, on ne peut qu’être rassuré par le jugement qu’il a de SR
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Maître,
Question soulevée très pertinente si je puis me permettre une appréciation personnelle. Je doute qu’elle trouve une réponse.
Cordialement
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zzzzzzzzzzzz
La réponse est pourtant simple à mon avis : Comme je l’ai dit ailleurs, un débat présidentiel de deuxième tour n’a pas pour but de « dominer » son interlocuteur. L’enjeu est ailleurs.
Il s’agit je pense de convaincre les indécis qui regardent le « match ». Les autres déjà acquis à sa cause ne comptent pas ici.
Or les études montrent que M. Sarkozy fait avant tout, peur à ceux qui voudraient voter pour lui mais n’osent pas.
M. Sarkozy s’est donc efforcer de faire « profil bas » pour les rassurer. Son regard abaissé (et tout le reste) allaient dans ce sens.
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Merci et encore merci de poser la question ouvertement.
Par votre intervention réflexive vous démontrez indirectement que les médias nationaux s’empressent de donner des résultats de sondages avant que le peuple souverain ’en apparence" n’ait voté dimanche, passent sous silence de nombreuses questions politiques importantes et cruciales. Je précise que je ne souhaite pas rentrer dans un débat stérile et manichéen des deux candidats.
Il me paraît assi utile de se poser cette question à un moment où les sondages le donnent hautement gagnant. L’esprit a besoin d’avoir de la reflexion analytique pour être à la recherche de la connaissance.
Mais aujourd"hui j’ai peur pour la raison suivante : la liberté d’expression et le pluralisme démocratique semblent être en danger et regresser. Nous allons entrer dans un un Etat autoritaire et populiste pernicieux sous couvert de démocratie.
Depuis 2001 le dogme Sécurité a prouve son efficacité auprès de la communauté française et internationale . Voilà comment nous réagisssons aux boulversements sociétaux. Il y a longtemps que le mouvement est en marche et que nous ne l’avions pas vu venir. L’histoire a un cours qui ne s’interrompt pas !
Aujourd’hui la pensée de Sarkozy est le paroxysme du recul de la pensée scientifique. Il prône le dogme du bon sens et de la vérité toute faite. Où est passé notre esprit critique ? Ne perdons pas notre sens de l’analyse intellectuelle. Méfions nous des penseurs qui servent leurs intérêts personnels dans ces genres de campagne politique, ils cherchent à flatter leur égo !
Pourquoi le philosophe ONFRAY n’ a pas porté une seule analyse aux propos tenus par NS sur les pédophiles et le suicide des jeunes. Pas de débat contradictoire sur le sujet entre un philosophe de gauche et un homme politique de droit ?
Alors oui pourquoi NS a-t-il fui le regard de SR et a-t-il ragardé les journalistes ?
Mes hypothèse qui ne sont pas des vérités et qui n’engagent que moi sont les suivantes :
1- il a l’habitude des meetings mais non des débats contradictoires ( il est avocat mais il a peu excercé cette profession qui nécessite un grand sens du contradictoire)
2- il a peur des femmes et notammment de SR, mais il éprouve en même temps de l’admiration pour SR. Il est traversé par ses propres contradictions et faiblesses internes ( malgré ces tentatives de séduction : il lui laisse plus de temps de parole ceci s’appelle de la discrimination positive car il pense qu’elle fait partie du sexe faible donc en tant que macho il se la joue galant homme, là c’est une tactique politicienne, car il est rusé et doué sur ce créneau)
3- il ne sait pas se remettre en question pour rebondir face un adversaire en désaccord avec ses opinions
4-les deux journalistes n’étaient pas impartials ( trop connus du public nous connaissons leur tendance politique) bien qu’ils essayaient d’être impartials. Seul ces deux-là pouvaient soutenir sa faiblesse d’affronter en face un adversaire de surcroît une femme qui lui rappellait soit la sienne ou sa mère
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Non la question du non regard provient du fait que Ségolette fixait l’épaule de Sarko et ne le regardait pas dans les yeux (lire Poivre- d’Arvor sur ce sujet), question de stratégie du coté de la poitevine !
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pour votre info Arlette Chabaud est proche de SR... et non pas proche de NS comme vous le sous entendé
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entendez, bon ceci à part l’important c’est ce que les gens ont vu c’est à dire un regard franc vers un personnage mou voilà vous pouvez analyser les trajectoires des éclaires cela ne changera rien
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Pitoyable et bien sur PPDA est connu pour son impartialité
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Et là, vous me direz qu’il regarde l’épaule droite de DSK,.
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" Aujourd’hui, le candidat s’incline devant vous, et peut-être trop bas ; demain, il se redressera et peut-être trop haut.
Il mendiait les votes, il vous donnera des ordres. (...) Le fougueux démocrate n’apprend-il pas à courber l’échine quand le banquier daigne l’inviter à son bureau, quand les valets des rois lui font l’honneur de l’entretenir dans les antichambres ? L’atmosphère de ces corps législatifs est malsain à respirer ; vous envoyez vos mandataires dans un milieu de corruption ; ne vous étonnez pas s’ils en sortent corrompus...
Au lieu de confier vos intérêts à d’autres, défendez-les vous-mêmes ; agissez ! "
Elisée Reclus, 26 septembre 1885
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Ces fous qui nous gouvernent
Comment la psychologie permet de comprendre les hommes politiques
Pascal de Sutter
« Le pouvoir est une drogue qui rend fou quiconque y goûte », confiait François Mitterrand. A moins qu’il ne faille être fou pour accéder au pouvoir ? Suffisamment mégalomane pour viser les sommets, un peu paranoïaque pour se jouer des trahisons, légèrement psychopathe pour éliminer ses adversaires...
Pour les médias, l’affaire est entendue. G.W. Bush est « autiste », Silvio Berlusconi « mégalomane », Nicolas Sarkozy un « hyperactif maladif ».
Qu’en est-il vraiment ?
Depuis un demi-siècle, une discipline, née aux Etats-Unis, étudie la personnalité de ceux qui nous gouvernent : la psychologie politique. Au sein de la CIA, dans les coulisses des négociations internationales et parmi les équipes des présidentiables, des « profileurs politiques » observent à la loupe nos leaders. Ils dissèquent leurs discours, analysent les moindres de leurs gestes, interrogent leurs collaborateurs et recoupent leurs informations. Pascal de Sutter est allé à leur rencontre (Jerry Post, Aubrey Immelman, David Winter). Il a aussi interrogé les meilleurs experts mondiaux de la psychologie (Antonio Damasio, Paul Ekman).
Ce livre est le premier ouvrage en français consacré à la psychologie politique. Il analyse la personnalité et les humeurs de nos dirigeants.
Pascal de Sutter révèle également les profils psychologiques de Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal, réalisés avec une équipe d’experts internationaux...
Un livre surprenant et éclairant, accessible à tous.
Pascal de Sutter est professeur de psychologie et chercheur à l’université de Louvain-la-Neuve. Il est également expert auprès de l’OTAN pour les questions de psychologie politique.
(janvier 2007 - 320 pages - Prix : 19,80 €)
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Beaucoup se demande pourquoi Nicolas SARKOZY s’est tant de fois adréssé aux journalistes plutot qu’a son adversaire. A cette question, une réponse apparâit de plus en plus évidente et à mon sens caractérise une stratégie de longue date préparée par la candidate socialiste.
Il apparâit en effet que lorsque Nicolas SARKOZY débattait, son adversaire a eu la facheuse habitude de ne pas le regarder et de fixer un autre. Il semble donc que ce coup fut délibérement préparé afin de destabiliser Nicolas SARKOZY dans ses propos et de l’obligeait à cherhcher un autre regard (il est difficile de parler sans rien regarder surtout dans un débat présidentiel). C’est pour cette raison, qu’il s’adresse autant aux journalistes. La candidate socialiste, quant à elle, sur les plans de coupe, reste droite (lol) le regard droit devant sans fixer et cherchant à regarder un point a coté ou derrière Nicolas SARKOZY afin de lui cette désagréable impression de mépris.
Il est dommage de voir un tel comportement de la part d’une présidentiellable incapable d’argumenter et ne comptant que sur une pugnacité à la limite de l’intolérance et de l’irrespect plaçant son slogan de campagne de rassemblement et de dialogue sur un édifice plus que fragile.
Heureusement que le débat et les propositions menées par Nicolas SARKOZY ont étaient limpides et d’un niveau autrement plus courtois et demonstratifs d’un projet solide.
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APPEL A LA REVOLTE :
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ah, mon dieu ! quelle femme perfide cette ségolène ! et ce pauvre nicolas tout désarçonné et perdu parce qu’elle regardait son épaule droite !!!
le gentil prince face à la méchante sorcière !
vous ne trouvez pas que vous caricaturez un peu ?
il y a quelques points sur lesquels j’aimerais attirer votre attention : ségolène comme nicolas, sont pour le retour à la discipline et au respect dans les écoles, pour la réabilitation du civisme, pour l’encadrement des jeunes délinquants (militaire du côté de la fille du colonel), bref ils sont pour une reprise en main de l’éducation et de l’instruction de nos chères têtes blondes.
de plus, ségolène est également d’accord pour redéployer les effectifs de police dans les banlieues et à enfermer à vie les délinquants sexuels...
difficile alors de la taxer de laxisme, non ? donc, il était ardu pour lui de l’attaquer sur ces points ...
et sur les points qui les différenciaient, ségolène était pugnace et n’avait pas l’intention de s’en laisser compter... il aurait peut-être fallu qu’elle se laisse tailler en morceaux et ridiculiser par mr sarkozy ???
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petite remarque
cela fait plusieurs fois que je pose la question aux pro-sarko, sans obtenir de réponse courtoise, voire teintée d’humour : qu’aurait du faire ségolène pour que vous ne la démontiez pas de manière aussi peu civile ???
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en effet, je me suis fait la même remarque que vous. Comme je l’ai dit en commentaire sur un autre article, il m’a semblé que NS cherchait plus l’aide des journalistes qu’un affrontement qui aurait pourtant été sain avec SR. Peut-être avait-il peur, peut-être était-ce délibéré, nous n’en aurons malheureusement jamais la réponse.
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Pour répondre à cette question intéressante de Me Philippe Bilger, je pense qu’il faille nécessairement éviter de faire de la « psychologie de bazar » partisane, mais plutôt faire appel, losqu’on n’est pas spécialiste en « psy », à de simples raisonnements de bon sens.
Pour ma part, je suppose que Nicolas Sarkozy, devant les attaques personnelles de plus en plus fréquentes et dures au fur et mesure que les songages donnaient perdante Ségolène Royale, a choisi avec raison d’adopter un comportement calme : Mme Royal dit de son adversaire qu’il est dangereux, qu’il ne se maitrise pas, qu’il est le contraire de social, etc...
Nicolas Sarkozy a voulu démontrer le contraire, en respectant son adversaire, laquelle cherchait à le faire sortir de ses gonds. N’arrivant pas à atteindre son but, c’est elle qui s’énerva et ne put se contenir qu’en feignant une « colère saine » alors que non seulement le téléspectateur observait que celle-ci était préparée, mais que de plus elle s’énervait en disant des contre-vérités sur ce thème des enfants handicapés... La presse, même « de gauche » en convenait ce matin.
Lorsqu’on prend le soin de regarder, à nouveau, le duel qui les opposait jeudi soir, on observe en effet que Royal regarde derrière (ou sur les côtés) son adversaire, évitant de le regarder « les yeux dans les yeux ». Ce pourrait être à priori déstabilisant, mais il ne semble pas que cela le fut pour Sarkozy qui en à vu d’autres... Il aurait (?) donc pris le parti de s’adresser de temps en temps aux deux journalistes, pour maintenir une contenance naturelle, qui l’empêcha de tomber dans les panneaux tendus à plusieurs reprises, gardant son flegme et montrant par là à 20 millions de téléspectateurs qu’il avait davantage que son adversaire une stature de présidentiable.
C’est en tous cas ce que j’ai ressenti personnellement. En obesrvant aujourd’hui les sondages publiés à ce sujet, je suis conforté dans ces impressions.
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@ Philippe Bilger,
hum, hum... vous allez encore râler parce que personne ne s’empare sérieusement du fond de votre question.
Le « courage intellectuel » de Sarkosy ? Le volontarisme oui, même le courage je veux bien admettre. Mais le courage intellectuel, je ne peux pas être d’accord. Sarko est un entrepreneur en marketing politique, rien de moins rien de plus.
Pour revenir à la gêne dans les regards, elle est communicative et dit le mutisme réel de la confrontation derrière les mots apparents.
Votre question est tellement juste que les observateurs tenteront probablement d’y répondre dans quelques années encore. C’est probablement la seule chose du débat qui laissera une réelle trace de long terme. L’intérêt d’une énigme, c’est que cela dure quelque temps...
Cordialement.
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j’ai eu des éléments de réponses au travers de Valérie Pecresse sur france inter hier. Il se trouve que Nicolas Sarkozy aime accrocher le regard de ses interlocuteurs lorsque il discute avec eux (il n’y a qu’a voir les différentes interview les jours précédents le débat). Dans le cas de Ségolène Royal ce soir là il n’arrivait pas à accrocher son regard. Volontairement ou non celle ci regardait dans sa direction mais fixait parait il son épaule (soit par tactique, soit pour rester concentrer). N’arrivant pas à accrocher son regard et ayant besoin malgré tous d’un regard pour développer ses propos c’est naturellement vers Patrick Poivre d’arvor qu’il se tournait. Cet explication me semble parfaitement crédible d’autant plus que ce fait a été remarqué par nombre de personnes qui ont toutes ont été surprises car ce n’est pas dans les habitudes de Nicolas Sarkozy de ne pas regarder les gens dans les yeux. Cela a d’ailleurs contribué à ce que les commentateurs soulignent la domination de la candidate socialiste (quand à la forme et bien sûr pas sur le fond)
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« Au delà du choix d’un candidat, ne pensez-vous pas qu’il serait plus important de savoir avec qui, entourés de qui,et sur quelles bases, NS et SR comptent mettre en oeuvre leur programme ? »
En ce qui concerné Ségo, qui a réussi à mettre le PS en veilleuse pendant la campagne, on ne peut douter que si elle était élue (ce qu’à Dieu ne plaise ...), on verrait le PS revenir au galop dans son gouvernement.
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Monsieur, vous auriez pris la peine d’aller voir des vidéos sur ce candidat, en particulier celle de Meaux, vosu vosu seriez aprçu du côté pétochard et agoraphobe qu’il présente manifestement. Dans cette vidéo, vous avez le MEME get d’un audieur, qui le DESIGNE DU DOIGT, ce que Mr Sarkozy ne PEUT SUPPORTER. Son ego est tel, qu’il ne peut admettre la contradiction, voilà tout. Devant un parterre de fidèles, en meeting, lire des textes surréalistes sur mai 68 écrits par d’autres, ça lui va. Devant un auditoire proche, pire en confrontation directe, notre champion de la poigne a tout simplement....PEUR. Les plans lointains le voyaient s’éponger le front. Sa parano est évidente avec ses 326 CRS à Meaux pour 50 personnes dans une salle fermée. A Argenteuil, il n’y EST JAMAIS RETOURNE. Durant tout le débat il a un comportement de VRP en chaussettes ou en caravates, un vocabulaire de 3000 mots maxi et des attitude de gamin, à demander l’assentiment de ce qu’il raconte à deux potiches de présetentateur, estomaqués par cette atitude désobligeante et gamine. Mr Sarkozy se trimballe sa propre histoire psycologique qui explique cette attitude : c’est le vilain petit canard de tout le monde : sa propre famille, où ses frères l’on longtemps néantisé, au sein des gaullistes où il passe pour un arriviste, au sein de ses propres troupes où on ne le respecte pas mais on le craint. Demandez à Mr juppé ce qui s’est passé lors d’un meeting où il devait prendre la parole juste avant Mr Sarkozy. Les dux se sont enfermés dans les vestiaires, on a entendu du bruit, et on a vu Mr Sarkozy ressortir seul. Mr Juppé, on l’a retouvé assis, le souffle coupé. Et il a sagement fait un discours du bout des lêvres, mais pas à l’avant dernière place du meeting. Quand Mr Sarkozy est à bout d’argument, c’est sa méthode. Si vous n’aviez pas encore compris qu’on a affaire à une BRUTE, vous le saurez bientôt. Un brute qui n’écoute qu’elle même ne peut supporter un regard franc. Quand on est FAUX, on ne supporte pas la franchise. C’est tout simple. Votre candidat est un gamin sans jeunesse, qui rêve depuis toujours de ce poste. On aura pour la première fois un GAMIN comme président. Ç’est pas très bon pour le poste, ces critères de recrutement...
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Votre belle orthographe est un argument décisif en votre faveur ...
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Il parait qu’elle s’était vétue d’une tenue identique à tout point de vue de celle de la femme de N S. Cette vision l’a surement troublé car il l’a vraiment épargnée.
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Le coup de la tenue et de la coupe de cheveux est un racontar qui vient de Bernard Tapie, orfèvre en la matière (de racontar). N’en tenons pas compte. Pour ce qui est de l’orthographe, monsieur, je suis là sur le second ordi avec un clavier qui ne bloque pas sur les « e » comme vous avez pu le constater, et que j’écris cette fois sans avoir à faire nounou en même temps : voyez-vous, Mr, parfois on se dit que l’urgence prévaut. Pas toujours, car après c’est gnan gnan gnan y’a des « fôtes d’ortograf ». Je ne crois pas qu’à une journée maintenant décisive on va se fixer là-dessus. Ce que je trouve incroyable, c’est que le Sarko pétochard on ne le découvre qu’aujourd’hui ; dans cette vidéo, citée, celle de Meaux, c’était pourtant flagrant. On n’a jamais dit que c’était une sainte madonne, ceux qui l’ont dit ce sont ses critiques de droite. La femme a toujours eu du caractère, un article de 20 minutes sur sa direction de région en disait long là-dessus. Dernier point : comme dirait Montebourg, pour vivre avec Hollande faut en avoir, je pense. Pour Sarkozy c’est beaucoup plus simple : deux cas psychologiques dans le même couple.
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AgoraVox n’est pas un espace d’expression démocratique. C’est une maison de (pré)retraite où se bousculent des planqués et des fonctionnaires. Un tas d’incapables à la recherche de consécrations narcissiques se bousculent pour leurs CACAs éditoriaux. Des posts DRAMATIQUES à quoi il faut ajouter bien des notations SOURNOISES, ajoutent à ce RIDICULE.
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Je me rappelle des soutiens showbiz à Sako, il y a trois mois. Tous épris de retrouver la liberté et les prérogatives de la création et de l’initiative. Tous curieusement convaincus à partir en cas de revers ou exprimant un je ne sais quoi de dégoût... sur les arcanes des pratiques en matière de recouvrement fiscal.
Sarko représente une possibilité pour toutes les minorités talentueuses de se voir ménagé un espace de dégagement.
Les gens honnêtes ne travailleront pas à faire persister un système basé sur l’inégalité de prestige, un système où les plus petites des fonctions administratives de contrôles gangrènent et règnent sur l’ensemble d’une société : celles du pays européen le plus rétrograde dans son fonctionnement.
En matière juridique, la domination de la forme sur le fond en est le plus pitoyable des signes.
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Qu’est-ce que c’est que ces MOINS de négationnistes ???
Les modérateurs n’ont qu’à FAIRE LEUR TRAVAIL. Et je n’aurais RIEN DIT !!!
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p’t’ètre qui la eu l’coup d’foudre pour ségo l’soir là
quand a fixer l’PPDA,ça voulait dire,fait gaffe aux questions qu’tu vas poser
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