Vaccin Gardasil : augmente-t-il le risque de cancer invasif du col de l’utérus chez les femmes déjà contaminées par HPV ?
Synthèse des résultats publiés accessibles.
Dans les pays industrialisés, dont les populations ont accès au dépistage par frottis, la couverture vaccinale « idéale » promue par les chantres du Gardasil n’a permis de diminuer ni l’incidence, ni la mortalité du cancer du col de l’utérus, contrairement a ce qui était espéré et largement claironné par les médecins liés au laboratoire et par la plupart des autorités sanitaires mondiales. Alors que la France, presque sans Gardasil, mais avec frottis, a une évolution nettement plus satisfaisante tant pour l’incidence que pour la mortalité !
Vaccin Gardasil : augmente-t-il le risque cancer invasif du col de l’utérus chez les femmes déjà contaminées par HPV ?
Analyse des résultats internationaux publiés. Recul de 12 ans. Faits avérés.
Le vaccin Gardasil a été commercialisé en 2006. Censé prévenir la survenue du cancer du col de l’utérus, il a connu depuis un succès commercial planétaire grâce à une propagande sans précédent, toujours trompeuse et parfois mensongère et un lobbying au plus haut niveau politique. Ce lobbying se poursuit à la faveur de la commercialisation du « nouveau Gardasil ».[1]
Bilan provisoire d’efficacité sur l’incidence du cancer du col.
En 12 ans, plus de 118 millions de jeunes filles ont été vaccinées dans le monde[2]. On peut donc tenter de tirer un bilan provisoire de son efficacité contre le cancer invasif du col de l’utérus en examinant l’évolution de son incidence (fréquence annuelle de nouveaux cas pour 100 000 femmes) depuis l’introduction de la vaccination anti HPV.
La couverture vaccinale est très variable selon les pays. Elle est très élevée (supérieure à 85%) dans les pays nordiques, en Australie et en Grande Bretagne, moins forte aux USA (proche de 60%) et faible en France (environ 15%), ce que déplorent constamment les promoteurs de la vaccination.
Ceux-ci prétendent qu’une couverture vaccinale supérieure à 80% permettrait de diminuer de 50 % à 70%[3] [4] de 92%[5] voire même de 100%[6] le risque de cancer invasif. Des hypothèses.
Faits avérés, publiés.
Pour sortir d’un débat dogmatique, quasi religieux, entre ceux qui « croient » en la vaccination par Gardasil et les sceptiques qui comptabilisent les complications des vaccins, nous nous référerons aux chiffres officiels en citant nos sources pour que chacun puisse vérifier ce que nous affirmons. Revenons aux faits avérés, rien que les faits !
Les registres des cancers existent dans tous les pays industrialisés. Ils sont libres d’accès et consultables par internet. En plus du nombre de cancers enregistrés, chaque année ils précisent le plus souvent l’incidence standardisée monde[7]. Ces taux standardisés éliminent les effets de la démographie propre à chaque population[8] et permettent une comparaison pertinente d’une année sur l’autre et d’un pays à l’autre.
En Grande Bretagne, la couverture vaccinale anti HPV dépasse les 80% [9]. Mais avant la campagne de vaccination, l’incidence du cancer du col avait diminuée (grâce au dépistage, probablement par frottis) passant de 12.4 en 1995 à 9.27 en 2004 [10]. Mais depuis la vaccination anti HPV, on ne constate plus aucun progrès, ni sur l’incidence qui stagne de 9,3 en 2006 à 9,6 en 2015[11] ni sur la mortalité qui reste à 3[12].
En Australie, avant la campagne de vaccination, l’incidence du cancer du col avait diminuée fortement passant de 12 en 1995 à 7 en 2004[13], avec une diminution encore plus marquée de la mortalité, grâce au dépistage par frottis et aux progrès des traitements.
Mais depuis la campagne de vaccination débutée en 2007, on ne constate plus aucun progrès, ni sur l’incidence, ni sur la mortalité. En 2017, l’incidence du cancer du col de l’utérus est toujours à 7 et la mortalité du cancer du col de l’utérus a augmenté de près de 15% passant de 1.7 en 2014 à 2 en 2017[14].
En Norvège, grâce au dépistage par frottis, l’incidence standardisée avait fortement chuté passant de 17 en 1976 à 7 en 2004. Mais depuis la vaccination, (introduite en 2009 avec le « Norwegian Childhood Immunisation Programme for girls ») elle remonte atteignant 8 en 2014[15], 10.3 en 2015[16], et 13.2 en 2016[17].
En Suède, le Gardasil est utilisé depuis 2006 et le programme de vaccination a été généralisé en 2010 avec une vaccination en milieu scolaire depuis 2012. Dans ce pays, l’incidence standardisée monde du cancer du col de l’utérus a augmenté progressivement depuis la vaccination passant de 9.6 en 2006, à 9.7 en 2009, 10.3 en 2012 et 11,49 en 2015[18].
Cet accroissement est presque exclusivement dû à l’augmentation de l’incidence chez les femmes de 25 à 49 ans qui atteint plus de 50% depuis 2006 (11 en 2006 versus 17 en 2015), alors que ce sont celles qui ont le taux de couverture vaccinale le plus élevé (85%)[19].
Aux USA, avant la vaccination autorisée en 2006, l’incidence du cancer du col avait diminuée fortement passant de 14.8 en 1975 à 7 en 2006. Mais depuis, malgré un taux de couverture vaccinal de l’ordre de 60%, on ne constate presque plus de diminution de l’incidence. En 2017 l’incidence du cancer du col de l’utérus est à 6.8 et le risque de mort à 2.3[20]
En France, la couverture vaccinale anti HPV est très faible (environ 15%). L’incidence du cancer du col de l’utérus a constamment diminué passant de 15 en 1995 à 7,5 en 2007, 6,7 en 2012 et 6 en 2017[21]. Cette diminution de l’incidence s’est accompagnée d’une diminution de la mortalité de 5 en 1980 à 1,8 en 2012 et 1,7 en 2017.
Synthèse des résultats publiés accessibles.
Ainsi dans les pays industrialisés, dont les populations ont accès au dépistage par frottis, la couverture vaccinale « idéale » promue par les chantres du Gardasil n’a permis de diminuer ni l’incidence, ni la mortalité du cancer du col de l’utérus, contrairement a ce qui était espéré et largement claironné par les médecins liés au laboratoire et par la plupart des autorités sanitaires mondiales. Alors que la France, presque sans Gardasil, a une évolution nettement plus satisfaisante tant pour l’incidence que pour la mortalité !
Efficacité relative sur les verrues génitales (papillomes bénins), et certaines dysplasies. Aucun effet sur prévention du cancer proprement dit.
Globalement, après douze ans de commercialisation, la vaccination anti HPV a confirmé son efficacité contre l’infection par les souches HPV contenues dans les vaccins, contre les verrues génitales et à un moindre degré contre certaines dysplasies mais a, jusqu’ici, totalement échoué à prévenir le cancer invasif du col de l’utérus.
Effet négatif possible.
Les taux d’incidence standardisée monde des pays à forte couverture vaccinale en particulier suédoise récente font même craindre qu’elle ne contribue parfois à augmenter la fréquence des cancers invasifs !
Comment tenter d’expliquer cet échec ?
Etudes avant Autorisation de mise sur le marché trop courtes.
Les incertitudes sur la réalité d’un bénéfice et l’importance des risques potentiels du vaccin confirment que les études qui ont permis au Gardasil d’obtenir l’AMM ont été dramatiquement insuffisantes, conséquences d’un lobbying forcené du laboratoire MSD au plus haut niveau [22] [23]. Cela a été d’emblée souligné par de nombreux auteurs [24] [25] [26]. Et même parfois involontairement reconnu par des avocats de la vaccination : « the effect of HPV vaccination in the incidence of cervical cancer will not be felt until about 20 to 30 years, after a worldwide vaccination program is introduced. »[27] « L'effet de la vaccination contre le VPH dans l'incidence du cancer du col utérin ne sera pas ressenti avant environ 20 à 30 ans, après l'introduction d'un programme mondial de vaccination ».
La mise sur le marché d’un vaccin censé prévenir un cancer sans aucune preuve de sa capacité à atteindre son but constitue donc une expérimentation médicale sur la population des pays riches. Et une expérimentation payée au prix maximal par les impôts ( remboursement sécurité sociale) et le reste à charge( partie non remboursée) des cobayes[28] !
Causalité non démontrée, limitée à quelques souches dans le meilleur des cas.
Même en admettant que l’infection par HPV soit la responsable du cancer, et non pas un simple cofacteur de risque (présence des deux éléments sans causalité démontrée), de nombreuses raisons font craindre que le vaccin soit inefficace contre le cancer.
Le vaccin ne protège que contre une petite partie (4 à 9) des plus de 150 variantes de virus HPV recensées. Dans l’essai FUTURE 2, le vaccin lorsqu’il est efficace sur les quatre souches visées, libère un terrain favorable à la prolifération des autres souches de virus créant une véritable « niche écologique »[29]. Ce risque a été que cela a été confirmé pour le HPV par Fangjian Guo[30] et dramatiquement illustrée par Sarah Tait, championne olympique d’aviron au deux sans barreur lors des JO de Londres en 2012, morte à 33 ans du cancer du col de l’utérus, après avoir été vaccinée.
De plus, l’efficacité anti virale du vaccin, limitée dans le temps, a toutes les chances (malchances) d’être insuffisante 20 ans après la vaccination, lorsque le cancer est susceptible d’apparaître et que les anticorps secondaires à l’injection vaccinale tôt dans le vie auront largement diminué ou disparu.
Oubli du dépistage par frottis, le seul démontré efficace à ce jour.
La propagande mensongère prétendant qu’il protège du cancer du col, est de plus susceptible de détourner les femmes du seul dépistage efficace en cancérologie, celui du col de l’utérus par les frottis. Cela a déjà été observé en Australie[31] et est susceptible d’expliquer en partie la multiplication des cancers invasifs dans ce pays depuis la vaccination.
Une autre cause à envisager pour expliquer l’augmentation sous vaccination constatée dans les pays à forte couverture vaccinale : l’infection préalable chez la femme sexuellement active.
Mais l’augmentation généralisée récente de l’incidence du cancer du col invasif dans les pays à forte couverture vaccinale rappelle aussi que la vaccination est susceptible d’augmenter le risque de cancers invasifs chez les femmes préalablement infectées par le virus HPV ou d’en précipiter l’évolution.
Ce risque a été sous-estimé lors de l’examen de la FDA pour l’obtention de l’AMM, alors qu’il était pourtant clairement établi que la vaccination de ces femmes augmentait leur risque de cancer[32]. La FDA s’est contentée de recommander d’effectuer la vaccination avant les premiers rapports sexuels.
Mais cette recommandation a été elle aussi négligée et de nombreuses vaccinations ont été réalisées chez des femmes sexuellement actives. Ces négligences successives pourraient expliquer en partie l’augmentation récente de l’incidence des cancers invasifs dans tous les pays à forte couverture vaccinale.
Parallèle avec les drames de la vaccination contre la dengue chez les personnes déjà immunisées
Il faut rappeler ici que la vaccination est un procédé complexe dont les conséquences cliniques, difficilement prévisibles, peuvent varier en fonction des antécédents de la personne vaccinée et tout particulièrement de sa contamination préalable éventuelle par le virus ciblé par le vaccin. La catastrophe récente de la campagne de vaccination contre la dengue aux Philippines vient d’en fournir un cruel exemple. Censé éradiquer cette maladie, le vaccin fournit une certaine protection aux personnes ayant été contaminé par le virus, mais augmente de manière importante le risque de faire une forme grave de la maladie chez les sujets non préalablement infectés. La campagne massive de vaccination scolaire a été entreprise sans prendre en compte les antécédents des enfants malgré les mises en garde de certains spécialistes comme le Dr. S B. Halstead[33] Ce vaccin, lui aussi autorisé à la mise sur le marché après des études insuffisantes, lui aussi promu par la ministre de la santé, lui aussi prétendu sans risques, a entrainé des milliers de victimes, la chute du cours boursier de Sanofi et une cascade de procès contre le laboratoire Sanofi et les politiques responsables[34].
Conclusion : principe de précaution inscrit dans la Constitution française.
En attendant les résultats de l’étude prospective randomisée finlandaise[35] qui a inclus plus de 22000 jeunes filles et arrive bientôt à maturité, le principe de précaution exige de ne pas imposer ce vaccin, et encore moins par la loi, les premiers résultats sur le cancer invasif du col de l’utérus étant pour le moins mitigés.
Docteur G Delépine, chirurgien cancérologue et diplômé de statistiques médicales. N’a aucun lien d’intérêt avec aucune entreprise du médicament ni association antivaccins.
[2] L Bruni, M Diaz, L Barrionuevo-Rosas et al Global estimates of human papillomavirus vaccination coverage by region and income level : a pooled analysis Lancet Glob Health 2016 ; 4 : e453–63 www.thelancet.com/lancetgh Vol 4 July 2016.
[3] Crum CP. The beginning of the end of cervical cancer ? New England Journal of Medicine. 2002 ;347:1703–1705
[4] Munoz N, Bosch FX, Castellsague X, et al. Against which human papillomavirus types shall we vaccinate
and screen ? The international perspective. Int J Cancer 2004 ; 111 : 278–285
[5] German Standing Vaccination Committee (STIKO) Standige Impfkommission (STIKO) am Robert
Koch-Institut. Impfung gegen humane Papillomaviren (HPV) fu¨r Ma¨dchen von 12 bis 17 Jahren d Empfehlung und Begru¨ndung. Epidemiol Bull 2007:97e103.
[6] Sanofi Pasteur MSD. Press release from 10.5.2007. en allemand
[7] Taux que l’on observerait si la structure par âge de la population étudiée était la même que celle de la population de référence, population mondiale estimée par l’OMS en 1976
[8] D R, Payne P, Waterhouse J. Cancer incidence in five continents : a technical report. Berlin : Springer Verlag, 1966.
[9] K Tiley and J White HPV vaccination coverage in adolescent females in England : Public Health England 2016/17
[10] R Landy, F Pesola, A Castan and al Impact of cervical screening on cervical cancer mortality : estimation using stage-specific results from a nested case–control study British Journal of Cancer (2016) 115, 1140–11460
[11] Cancer Research UK, office of national statistics
[12] Source : cruk.org/cancerstats
[13] Source : AIHW [2]. 13. AIHW 2017. Cancer in Australia 2017. Cancer series no. 101. Cat. No. CAN 100. Canberra : AIHW.
[14] Australian Institute of Health and Welfare 2017. Australian Cancer Incidence and Mortality (ACIM) books : Cervical cancer. Canberra : AIHW. www.aihw.gov.au/acim-books.
[15] Hansen BT, Campbell S, Nygård M. Long-term incidence trends of HPV-related cancers, and cases preventable by HPV vaccination : a registry-based study in Norway. BMJ Open 2018 ;8:e019005. doi:10.1136/ -2017-019005
[16] Cancer Registry of Norway. Cancer in Norway 2016 - Cancer incidence, mortality, survival and prevalence in
Norway. Oslo : Cancer Registry of Norway, 2017
[17]Cancer Registry of Norway. Cancer in Norway 2016 - Cancer incidence, mortality, survival and prevalence in
Norway. Oslo : Cancer Registry of Norway, 2017. table 5B Age-standardised incidence (Norwegian standard)
[18] ationellt Kvalitetsregister för Cervix cancer prevention (NKCx), http://nkcx.se/templates/_rsrapport_2017.pdf [en suédois]
[19] LARS ANDERSSON Increased incidence of cervical cancer in Sweden : Possible link with HPV vaccination Indian Journal of Medical Ethics Online First Published April 30, 2018
[20] New Cases - SEER 13 Deaths
[21] Francim, HCL, Santé publique France, INCa. Projections de l’incidence et de la mortalité par cancer en France métropolitaine en 2017 - Tumeurs solides [Internet]. Saint-Maurice : Santé publique France [mis à jour le 02/01/2018 ; consulté le 09/05/2018
[22] D’après Sophie Des Deserts dans l’Obs du 05 avril 2014 « Hillary Clinton écrit en novembre 2005 au secrétaire d'Etat à la Santé pour lui demander d'approuver au plus vite le Gardasil (sans mentionner que le laboratoire sponsorise la fondation de son époux. »
[23] Julia Gerberding, directrice du CDC (center disease control aux USA de 1998 au 20.01.2009 a été ultérieurement nommée Présidente de la division vaccins de Merck
[24] Sawaya GF, Smith-McCune K. HPV vaccination More answers, more questions. N Engl J Med 2007 ;356:1991-3
[25] C. J. Haug Human Papillomavirus Vaccination Reasons for Caution Editorial N Engl J Med 359 ;8 www.nejm.org august 21, 2008
[26] L R. Baden, G D. Curfman, S Morrissey, and J M. Drazen, M.D.Human Papillomavirus Vaccine Opportunity and Challenge N engl j med 356 ;19 www.nejm org may 10, 2007
[27] Medeiros, L Rosi, Rosa, D Dornelles ; da Rosa, M Inês MD, ; Bozzetti, M Clarisse ; Zanini, R Ruviaro Efficacy of Human Papillomavirus Vaccines : A Systematic Quantitative Review International Journal of Gynecological Cancer : October 2009 - Volume 19 - Issue 7 - p 1166-1176 doi : 10.1111/IGC.0b013e3181a3d100
[28] Fin 2017 les vaccins anti HPV auraient rapporté depuis leur commercialisation près de 50 milliards de dollars à l’industrie.
[29] Place occupée par une espèce dans un écosystème. Le col de l’utérus représente un milieu particulièrement favorable à la multiplication des virus HPV. L’élimination des souches 14 et 18 permet aux autres souches de s’y multiplier.
[30] Fangjian Guo Fangjian Guo, Jacqueline M. Hirth, Abbey B. Berenson. Comparison of HPV prevalence between HPV-vaccinated and non-vaccinated young adult women (20-26 years) Abstract number 844 American Association for Cancer Research 2015 meeting Philadelphie
[31] Alison C Budd, Julia M L Brotherton, Dorota M Gertig, Theresa Chau, Kelly T Drennan and Marion Saville Cervical screening rates for women vaccinated against human papillomavirus Med J Aust 2014 ; 201 (5) : 279-282)
[32] VRBPAC Background Document Gardasil™ HPV Quadrivalent Vaccine May 18, 2006 VRBPAC Meeting page 25
[33] The risks behind Dengvaxia recommendation. Aguiar M, Stollenwerk N, Halstead SB.Lancet Infect Dis. 2016 Aug ;16(8):882-3., Dengue vaccine and the 2016 Olympics.Halstead SB, Aguiar M. Lancet. 2016 Jul 16 ;388(10041):237-8., The Impact of the Newly Licensed Dengue Vaccine in Endemic Countries. Aguiar M, Stollenwerk N, Halstead SB. PLoS Negl Trop Dis. 2016 Dec 21 ;10(12) :.
[34] Nicole Delépine Sécurité vaccinale, un leurre ? Retrait du vaccin Sanofi-Pasteur contre la dengue aux Philippines en décembre 2017 Agoravox mardi 2 janvier 2018
[35] Matti Lehtinen et al Enrolment of 22,000 adolescent women to cancer registry follow-up for long-term human papillomavirus vaccine efficacy : guarding against guessing International Journal of STD & AIDS 2006 ; 17 : 517–521
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