Hier Roland Ménard et sa clique et aujourd’hui Jean Luc Mélanchon et Lilian Massoulier. J’ai vu et j’ai lu, car je suis curieux de nature. Et j’ai fini par m’apercevoir qu’il y avait longtemps que les "Guignols de l’Info" ne me faisaient plus rire. Tout juste bailler. Et encore. Alors j’ai décidé de me tirer et d’aller faire la sieste. Je crois que je vais à nouveau rêver de demander un jour la libération du Royaume de Naples où sont nés tant d’ancêtres de ma mère.
Helios je comprends votre désappointement et même votre colère, mais ne croyez-vous pas qu’il ne faille rendre responsable tout un peuple pour une trahison solitaire. Les queues pour les visas, qui sont là aussi très très loin de concerner tous les peuples de la rive sud, n’auront plus à exister dès lors que l’Union existera, si elle existera un jour. Il ne faut pas regarder ceux d’en face, je vous en prie, avec le seul bout d’une mince lorgnette.
Faut-il vraiment une liste de péchés, mortels ou pas, anciens ou nouveaux, pour "stimuler" la conscience de l’homme ? En agissant de la sorte avec ce nouveau péché mortel, au sens plus ou moins vague ou sibyllin, par l’emploi du qualificatif "excessive", l’Eglise ne se met-elle pas dans la peau d’un camelot racoleur ? Ne faut-il pas voir plutôt dans cette démarche, un soporifique destiné à soulager... la détresse des pauvres, ou bien calmer leure colère ?
A vous lire, Rex, sans frémir ni m’énerver, j’ai vainement cherché votre prestige et, à travers vous, celui de tous ceux - et ils sont nombreux, hélas - qui vous ressemblent. Je les connais et les connais bien, car du temps de ma jeunesse je les ai souvent affronté sans qu’ils puissent le moins du monde m’empêcher de poursuivre mon chemin, celui de la tolérance intelligente.
Navrant et décourageant. Tant dans les questions de Ségolène Royal que les réponses apportées sur ce site par l’auteur de l’article, que la majorité des réactions de vous tous. D’un côté des questions et un commentaire qui nagent dans l’abstrait, cascade de propos et d’idées alambiquées, farcis de citations "universitaires" ou autres se voulant quelquefois philosophiques et qui ne sont que technocratiques, donc inintelligibles et inutiles, agitant des idées de salon d’un autre temps. De l’autre des attaques en tous genres dont certaines frisent l’injure ou la vulgarité.
Et la note Humaine ? Et la lucidité ? Et la connaissance profonde de la Société telle qu’elle est et telle qu’elle aspire confusément à devenir ou à redevenir ? Où sont les valeurs dans cet amas ? Où sont celles de l’honnête homme, celui qui se penche, avec amour et générosité sur le sort de son voisin, de son frère ?
Vous tous, candidate ou adversaire, militants ou sympathisants, si férus de connaissances livresques et bardés d’oeillères que vous croyez être celles de la vérité, vous continuez de barboter dans l’absurde. Car, hélas, vous ignorez, la plupart du temps, ce qu’est, ou doit être, ici bas, la parcours individuel d’une vie avec son cortège de souffrances, cicatrices et joies.
Amen.
Dalat, cette histoire est authentique. Il s’agissait de ma belle-mère. J’en profite pour vous remercier, vous ainsi que tous ceux qui ont réagi, d’avoir partagé l’émotion qui a été mienne, il y a quelques mois lorsque cet être d’exception s’en est allé. Voyez-vous, arrivé à l’âge qui est le mien et après avoir bourlingué ici et là (pour le boulot) à travers le monde, je suis près de croire qu’au fil des ans, pour ne pas dire des mois, cette race d’individus rares est en voie de disparition. Hélas, trois fois, mille fois hélas.
Il nous faut s’éloigner, refuser, tourner le dos, agir en individu, uniquement en individu en protégeant ses proches comme le fait une chatte avec ses chatons. Il faut fuir jusqu’à trouver ce même lopin de terre où l’aîeule, ma belle-mère que je vénère tant, par amour de la paix originelle, s’était construit son univers à l’écart des fracas. La nature, et non pas l’Au Delà, nous a crée ainsi et il nous respecter sa décision. Comme vous j’ai lu Rousseau et les autres et hélas je n’ai compris, inconsciemment, le vrai sens de la vie humaine qu’une fois arrivé au seuil de la sagesse, une fois l’âge de la maturité dévoré. Et j’ai fini par trouver "mon lopin de terre", tout en continuant, quelquefois, à souffrir au spectacle de l’Humanité toute entière. Amitiés.
Je vous conseille de lire "L’Eloge de la Fuite" de Henri Laborit.
Il est à peu près acquis que les deux peuples concernés rêvent depuis plusieurs années d’une telle nation pour eux... Reste à convaincre les deux "chefs" et surtout "leurs protecteurs étrangers" qui, d’un côté comme de l’autre, n’ont actuellement aucun intérêt à la naissance d’un tel Etat Unique. Je fais moi aussi un rêve voyez-vous. Celui d’une entente méditerranéenne, uniquement des pays riverains de la Méditerranée, pour conduire à cette concrétisation et que, pour se faire, l’un et l’autre des bélligérants acceptent de se débarrasser de leur tutelle maléfiques, qu’elle soit américaine ou iranienne. Tâche difficile direz-vous, mais pas impossible. L’Histoire de cette région l’exige.
Savez vous que pour recevoir la parole de Dieu, de l’au-delà, de l’ange ou du Saint Esprit et du Buisson, MoÎse, Jésus ou Mahomet se trouvaient seuls sans aucun témoin ? Le premier dans la montagne, le second dans un champ d’oliviers désert et le troisième dans une grotte. Que penser dès lors de leur "crédibilité" ? D’autant que leurs différentes révélations, sous la plume ou les souvenirs d’autres qu’eux, ne sont devenues lois divines que longtemps, très longtemps pour les chatoliques, après leur mort...
Je vous souhaite bon courage dans les craintes et même les peurs que vous inspire l’autre, votre voisin.
Combien de fois faudra-t-il répéter et répéter encore que l’Islam n’est pas l’Islamisme d’aujourd’hui ? Que l’Occident tel qu’il est, a vu le jour en se nourrissant des valeurs de l’Islam, de ses penseurs et scientifiques, voilà plusieurs siècles du côté de l’Espagne, souvent grâce à l"épée anglo-saxonne (et oui déjà !) ? Et que ce même Occident n’a pu évoluer, et continue de vivre et d’évoluer, qu’en se nourrissant des richesses enfouies dans les terres musulmanes (toujours sous la conduite anglo-saxonne, et oui !), notamment avec la complicité servile de certains chefs... musulmans, émirs des temps modernes, et au détriment des peuples "musulmans" ? Que l’Occident tel qu’il est conduit ne voudra jamais, mais jamais, aider la "jeunesse musulmane", à moins que celle-ci accepte l’allégeance à la civilisation occidentale qui, de nos jours, gangrénée par les anglo-saxons encore eux, montre ses limites ?
Vous êtes-vous seulement posé la question de savoir sous quelle influence (ou sous quel joug) ont vécu toutes les régions qui empoisonnent actuellement - je dis bien actuellement et non demain - la planète entière ? Afghanistan, Pakistan, Irak, Palestine ? Cherchez bien et vous trouverez les...anglo-saxons, sous la banière occidentale celà va de soi. Comme vous les trouverez lorsque, demain, l’Afrique s’enflammera, minée par...la Chine.
Dans tout ce fatras actuel et sous couvert de "religions", seuls les marchands nagent comme des poissons en réussissant la plupart du temps à semer la zizanie meurtrière autour d’eux. Mais nom d’un chien il s’agit bel et bien de "civilisations" et non "d’islam, christianisme ou judaïsme" !
Mille excuses, l’ordinateur à glissé. Il fallait lire "asservir". Merci d’avoir relevé cette erreur monstrueuse.
L’Islam devient un carcan dès lors qu’il est utilisé par les musulmans qui rechechent à assouvir leurs coreligionnaires. Tout comme l’ont fait et continuent de le faire souvent, de manière différente, les tenants de la chrétienté et du juadïsme ces deux autres "monothéistes" qui ont si bien maudire Eve, cette pêcheresse devant l’Eternel. L’esclavage de la femme, qu’on s’en défende ou pas, est ancré dans les tréfonds de nos mémoires, que l’on soit juif, chrétien, catholique, musulman, athée ou je ne sais quoi.
Il est déroutant, pour ne pas dire dangereux, de se servir d’excés, certes impardonnables, d’une fraction de la communauté, religieuse ou non, pour continuer à jeter aux feux de l’enfer la communauté toute entière. (si ce n’est pas toi...c’est donc ton frère...) . Celà devient tout simplement du racisme. D’autant que dans le Coran que je commence à bien connaître, il n’est jamais fait état de "l’esclavage, sous quelque forme que ce soit, de la femme".
N’oubliez pas que par exemple dans nos sociétés soi-disant avancées, la femme dans son ensemble, demeure de nos jours esclave, dès lors qu’elle a été lancée de force dans le monde du travail, pour un coût moindre que celui de l’homme.
N’oubliez pas non plus qu’on ne peut demander à une religion - je vous rassure je suis athée, ne croyant qu’en la nature ici-bas - demander donc à une religion plus jeune de 500 ans que la chrétienté, d’être aussi mature que cette dernière qui a traversé au cours des siècles, des crises identiques et souvent plus sanglantes et esclavagistes.
Dernière remarque, en toute fraternité, pour l’auteur de l’article. Sous la forme de deux questions. A-t-elle écrit sur l’histoire de la femme du début du judaïsme, jusqu’à nos jours ? Ensuite est-elle pénétrée par la connaissance des coutumes et traditions orientales que par exemple les israéliens séfarades connaisent si bien ?
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