à Gazi BORAT (IP:xxx.x32.164.192) le 7 mai 2007 à 09H57
Je viens de voter « oui » pour votre commentaire et vous recevez... -2.
Je tenais à le préciser ici.
Sarkozy élu.
Et dès son premier discours, nouveau retournement de veste. Le voici au rang des « aimons-nous les uns et les autres ».
Un discours que Mme Royal tenait avant les élections ce qui lui fut d’ailleurs reproché par le nouveau président de la république, en choeur avec ses partisans moqueurs -mais que l’on peut appliquer à présent au discours de Mr Sarkozy Président de la République- qu’elle s’engageait à tenir après les élections. Moquant également Mr Bayrou.
Pendant que Mr Sarkozy s’attachait avant les élections et pendant des mois à diviser pour mieux régner ; à ratisser large dans l’extrême-droite laquelle lui a finalement fait gagner son poste. Mr Chirac a toujours refusé cette compromission et ce refus a rassemblé la majorité des électeurs autour de lui. Mr Sarkozy aura réussi par sa campagne au ras des pâquerettes à réunir droite et extrême-droite, dans un même langage qu’un élève se verrait sanctionné. Mr Sarkozy s’est abaissé, alors que Mr Chirac s’était dressé.
Qu’on ne s’y trompe pas, l’électeur d’extrême-droite n’a pas changé parce qu’il a voté Sarkozy. L’électeur d’extrême-droite n’est pas devenu plus respectueux de la Différence parce qu’il a voté Sarkozy. L’électeur d’extrême-droite n’a acquis une légitimité que d’apparence.
Voici donc Mr Sarkozy hier soir tout miel. Quel beau discours... J’aurais voulu voir la tête des partisans de Mr Le Pen. Reconnaissons que Mr Le Pen n’aurait pas non plus tenu un autre discours s’il avait été élu, s’agissant de paroles, paroles, paroles...
Les seuls méritants dans cette élection, pour avoir osé proposer ce rassemblement, réellement, à leurs risques et périls, et dès le début de la campagne sont Mr Bayrou et Mme Royal, elle-même ayant dû lutter à l’intérieur du PS, quand Mr Sarkozy verrouillait petit à petit son parti depuis des mois.
Demain est un autre jour. Espérons donc que Mr Sarkozy calme ses ardeurs et ne relance pas la division à laquelle il s’est employé en mots et en actes pendant des mois.
Nous serons vite fixés vu le nombre d’engagements qu’il compte (comptait ? déjà peut-être dans les oubliettes de l’Histoire, espérons qu’il ne les tienne pas) concrétiser avant la fin de l’été alors qu’il n’a jamais été capable de le faire que ce soit avec la majorité, en tant que président de l’UMP, ou en tant que n°2 ministre de l’intérieur, à part se mettre une bonne part de la population sur le dos par des tentatives de passage en force (notamment CPE).
Avant la fin de l’été ? Il ne pouvait évidemment pas dire « après les législatives » car il lui faut conserver les votes du FN grâce au refrain archi-connu : « aïe confiannnnnnnce... »
Le PS réglant ses comptes ? Attendez de découvrir (faudra un peu attendre et s’informer autre part que chez les potes de Sarkozy) la tête de tous ceux de l’UMP et du futur ex UDF à qui Sarkozy a promis monts et merveilles dont le poste de premier ministre dans le prochain gouvernement.
Si les mammouths du PS ne veulent plus de Ségolène qui a bataillé ferme pour ouvrir le parti à des idées plus réalistes, Ségolène continuera ailleurs. Aucune raison qu’elle se taise maintenant quand ses deux principaux rivaux aux primaires n’ont pas été capables de la supplanter. Ce n’est pas Mme Royal qu’on peut renvoyer à sa cuisine d’un revers de main...
Cécilia semble être rentrée au bercail, elle finira comme ses « prédécesseurs » à compter les petites pièces jaunes et poser sur les photos en retrait de son président de mari-ballerine sur ses pointes ou décalé d’une marche pour être à la hauteur de son ego, dont on se moque déjà à l’étranger. Jack Lang dirait : « quelle belle équipe ».
à Arthur Mage (IP:xxx.x35.181.194) le 4 mai 2007 à 09H25
Le coup de colère de Mme Royal portait dès le départ sur « le droit opposable » proposé à deux reprises par Mr Sarkozy : les crêches et la scolarisation des enfants handicapés. Grotesques propositions démagogiques de Mr Sarkozy flirtant sur la même démagogie que la loi sur le droit opposable concernant le logement ayant eu pour seule concrétisation de faire disparaître les tentes des SDF, l’électeur se contentant trop souvent de ce qui est visible ou ne l’est plus. Cela Sarkozy l’a compris depuis longtemps et a resservi la même soupe lors du débat.
A agosin (IP:xxx.x03.79.126) le 4 mai 2007 à 11H12
La différence cher Monsieur, c’est que Mr Sarkozy n’assume pas sa petite taille : talonnettes (ok pourquoi pas), truquages de photos, photos où on le voit sur la pointe des pieds (si si cherchez sur le net), soit sur la pointe des pieds ou sur un « support » pour serrer la pince de Bush (1m83) à même hauteur, faisant rire l’entourage de Bush. Quel beau représentant de la France que voilà. Et c’est lui qui veut décomplexer la France quand à plus de 50 ans il en est toujours à ce niveau d’ego ? Une page que l’Histoire retiendra.
Sarkozy élu.
Et dès son premier discours, nouveau retournement de veste. Le voici au rang des « aimons-nous les uns et les autres ».
Un discours que Mme Royal tenait avant les élections ce qui lui fut d’ailleurs reproché par le nouveau président de la république, en choeur avec ses partisans moqueurs -mais que l’on peut appliquer à présent au discours de Mr Sarkozy Président de la République- qu’elle s’engageait à tenir après les élections. Moquant également Mr Bayrou.
Pendant que Mr Sarkozy s’attachait avant les élections et pendant des mois à diviser pour mieux régner ; à ratisser large dans l’extrême-droite laquelle lui a finalement fait gagner son poste. Mr Chirac a toujours refusé cette compromission et ce refus a rassemblé la majorité des électeurs autour de lui. Mr Sarkozy aura réussi par sa campagne au ras des pâquerettes à réunir droite et extrême-droite, dans un même langage qu’un élève se verrait sanctionné. Mr Sarkozy s’est abaissé, alors que Mr Chirac s’était dressé.
Mais qu’on ne s’y trompe pas, l’électeur d’extrême-droite n’a pas changé parce qu’il a voté Sarkozy. L’électeur d’extrême-droite n’est pas devenu plus respectueux de la Différence parce qu’il a voté Sarkozy, l’électeur d’extrême-droite n’a acquis une légitimité que d’apparence.
Voici donc Mr Sarkozy hier soir tout miel. Quel beau discours... J’aurais voulu voir la tête des partisans de Mr Le Pen. Reconnaissons que Mr Le Pen n’aurait pas non plus tenu un autre discours s’il avait été élu, s’agissant de paroles, paroles, paroles...
Les seuls méritants dans cette élection, pour avoir osé proposer ce rassemblement, réellement, à leurs risques et périls, et dès le début de la campagne sont Mr Bayrou et Mme Royal, elle-même ayant dû lutter à l’intérieur du PS, quand Mr Sarkozy verrouillait petit à petit son parti depuis des mois.
Demain est un autre jour. Espérons donc que Mr Sarkozy calme ses ardeurs et ne relance pas la division à laquelle il s’est employé en mots et en actes pendant des mois.
Nous serons vite fixés vu le nombre d’engagements qu’il compte (comptait ? déjà peut-être dans les oubliettes de l’Histoire, espérons qu’il ne les tienne pas) concrétiser avant la fin de l’été alors qu’il n’a jamais été capable de le faire que ce soit avec la majorité, en tant que président de l’UMP, ou en tant que n°2 ministre de l’intérieur, à part se mettre une bonne part de la population sur le dos par des tentatives de passage en force (notamment CPE).
Avant la fin de l’été ? Il ne pouvait évidemment pas dire « après les législatives » car il lui faut conserver les votes du FN grâce au refrain archi-connu : « aïe confiannnnnnnce... »
Apprenti humaniste (IP:xxx.x01.117.245) le 5 mai 2007 à 10H19 (vos posts ultérieurs aussi)
Tout simplement parce que le net ayant fonctionné, il n’était plus possible de (faire) limoger, vilipender, menacer, pressionner ; l’accumulation risquant de se retourner contre lui. Mais n’exagérons pas, Mr Sarkozy n’a jamais eu la totalité des medias sous sa botte, notamment le Canard Enchaîné qu’il apprécie dit-il, mais se reniant continuellement, niant continuellement ne pas avoir dit. En fait, Mr Sarkozy l’a dit. Oui oui, classique en psychologie et philosophie : il dit toujours la vérité du moment.
Petite remarque : Ce sont les patrons de certains medias et de la finance (intimement liés quand ce ne sont pas les mêmes) qui ont Mr Sarkozy sous leur botte. Nuance de taille. Le problème c’est que l’investissement à long terme sur Sarkozy devient délicat quand il est sous stress...
Sarkozy a donc dû user du classique repli : il est devenu la victime et ne s’est pas privé de le dire. Lui, l’homme de pouvoir, l’homme de caractère tellement vanté... je rigole.
On peut donc reconnaître à Sarkozy d’être un stratège (terme générique ; l’hypocrisie par exemple étant une stratégie bien connue).
Perso, plusieurs clignotants rouges se sont allumés à l’écouter, à le lire, en cherchant des infos d’une manière dépassionnée (étant belge vivant en Belgique), en les vérifiant à plusieurs sources ; voir et revoir les discours, les interviews, à tête reposée plutôt que me fier un peu trop facilement à mes certitudes.
J’aurais voté Bayrou au premier tour et, compte tenu de ce que je viens de dire, Royal au second, mais aussi parce que, bien que n’ayant jamais croulé sous les finances, je préfère partager quelques euros plutôt que de taper sur des pans entiers de la population. Serait-ce une question de « nature » (de génétique ?). Non, je pense que c’est avant tout une question d’ouverture d’esprit, de respect de l’autre, de respect de la différence, mais il ne suffit pas de le dire comme Mr Sarkozy pour ensuite mieux fourguer sa camelote. Un discours se doit d’être décrypté... On peut avoir des convictions, on peut se tromper, mais je refuserai toujours le double langage...
à (IP:xxx.x6.132.2) le 3 mai 2007 à 18H38
Ces infos, comme n’importe quelles autres, servent de point de départ de recherche, pour ceux qui ont envie de comprendre ; recherche permettant de vérifier, de discuter. Votre commentaire me semble plutôt relever du point de chute et de non-retour.
bozz :
Si Sarkozy avait tant besoin du regard de PPDA c’est pour la simple raison qu’il sont pacsés depuis longtemps : tout le monde l’a vu, PPDA n’aurait jamais pu le nier. Restait à trouver de quoi contre-balancer...
Comment Ségolène a regardé l’épaule de Sarkozy ? Appelez Les Experts qu’on mesure l’inclinaison de son regard !! Pas besoin, c’est tout « vu » : droite comme un i, l’autre tassé (et plus petit de nature), elle ne le baissait pas son regard. Mais je ne doute pas que de source autorisée, qqun avouera avoir remarqué qu’elle admirait l’auréole de Sarkozy.
Compte tenu du fait qu’il n’est pas possible (plan des négociations) que la Turquie entre dans l’UE avant 2012-2013 et que cela fait des mois qu’il se confirme que cette date sera plutôt à nouveau reportée que maintenue, on peut en déduire que Monsieur Sarkozy a réussi un tour de magie supplémentaire.
« Comme dit Eric Besson « pour mes enfants, je ne veux pas de Madame Royal ». »
Je plains ses enfants à qui il devait chanter auparavant le premier couplet de la même berceuse : « pour mes enfants, je ne veux pas de Monsieur Sarkozy ».
à Jo Mannix (IP:xxx.x67.175.66) le 3 mai 2007 à 14H55
Concernant le nucléaire :
Ségolène Royal : « Savez-vous quelle est la part du nucléaire dans la consommation d’électricité en France ? »
Elle parle de CONSOMMATION On notera la confusion de Mr Sarkozy qui n’aime pas qu’on lui pose des questions précises mais reproche continuellement l’imprécision (auto-déclarée). Cette question est correctement rapportée : j’ai vérifié à deux JT.
Un expert répond dans un journal à paraître : " Ségolène Royal : « Non, 17% seulement de l’électricité. » Nicolas Sarkozy : « Ce n’est pas exact, Madame. » Aucun des deux candidats n’a raison. La part du nucléaire dans la PRODUCTION électrique française n’est ni de 17 %, ni de 50 %. En réalité, les 58 réacteurs nucléaires français fournissaient, en 2005, 78,5 % de l’électricité produite en France. Il s’agit pour le reste des énergies fossiles (11,5 %) et des énergies renouvelables (10 %). Les 17 % avancés par Ségolène Royal correspondent à la contribution du nucléaire à la CONSOMMATION finale énergétique française. Quant aux 50% évoqués par Nicolas Sarkozy, ils sont à rapprocher des 42 % de l’énergie primaire d’origine nucléaire consommée en France en 2005. "
Même erreur attribuée aux deux candidats par FR2, mais il semble bien que les « experts » n’aient pas compris la question...
Quoi qu’il en soit, les deux candidats ont fait des erreurs mais qui pourrait prétendre ne pas en faire dans d’aussi vastes sujets ? Personnellement, je m’attache aux commentaires rédigés après-coup bien installés dans un rocking-chair uniquement pour contrôler les colportages de part et d’autre, autrement plus édifiants...
olivierh3 (IP:xxx.x58.112.96) le 3 mai 2007 à 14H46
Vous oubliez que Mme Royal a d’abord réagi sur le droit opposable pour faire entrer les enfants dans les crêches et du droit opposable pour la scolarisation des enfants handicapés dans les écoles : grotesques propositions de Mr Sarkozy qui ose imaginer que les parents entameront des procédures judiciaires, à leur frais, avec le temps d’attente du jugement. D’attente de quoi ? Qu’on laisse entrer à l’école. Et histoire de nourrir quelque avocat, plutôt que de chercher une nounou (premier cas). Dans quel monde vit-il ce Mr Sarkozy, défenseur de la veuve et de l’orphelin... mais payez d’abord !!
Cet épisode me semble au contraire révélateur du peu de scrupules de Mr Sarkozy qui parvient dans un même temps càd sur le tard à découvrir entre autres la maladie d’Alzheimer, c’est si triste n’est-ce pas ? Non ce n’est pas « la larme à l’oeil » qu’il a, il en est incapable, mais l’arme de l’apitoiement fort à propos.
Ne parlons pas non plus de son étonnement (hors débat, voir RMC) que tant de femmes actuellement demandent la péridurale alors que sa mère, elle, a vécu les douleurs de l’enfantement (quand la péridurale n’existait pas), trouvant, certes, normal aujourd’hui que la médecine pallie... tout ça pour amener la franchise dans la sécurité sociale, passant (son livre Libre) de +70 euros à quelques cents pour remonter ensuite (RMC) cette franchise au gré de ses changements d’humeur. C’est ce Mr qui exige des précisions de ses adversaires ? Oui, Mmes, vous qui êtes moins courageuses que sa Moman : grâce à Mr Sarkozy vous aurez droit à moins de douleur mais à vos frais.
D’autre part, confirmé ce soir : les emplois créés par Mme Royal alors que la loi n’existait pas encore ont été supprimés. Ensuite recréés. Je ne sais pas si cette loi était à l’étude ou pas à l’époque, mais l’engagement de Mme Royal était bel et bien là. Cessez donc d’extrapoler.
> Royal déborde, Sarkozy écope
bozzy,
je ne me référais pas au débat mais à l’article. Si l’on veut se référer au débat, alors il faut aussi se référer à toute la campagne.
Raccompagner une femme flic :
Un collègue tout simplement, terminant au même moment. Oui oui ça existe et c’est facile à mettre en place entre collègues.
Si Mr Sarkozy est capable de s’apitoyer sur commande sur tout (Darfour, femmes battues étrangères etc), le viol des femmes en France ne l’intéresse tout autant que quand ça l’arrange. Lui c’est simple : ça coûte cher (image pour faire court).
Admettez quand même que le fait que deux femmes policier se faisant violer en sortant de leur commissariat démontre à quel point Mr Sarkozy ne fait peur qu’aux téléspectateurs non prédisposés à la violence, et faire rire les autres pour son efficacité en tant que ministre de l’intérieur sortant, grâce à la manipulation médiatique à laquelle il s’est attaché dans le but de faire parler de lui bien avant le lancement de la campagne.
Et bien voilà, maintenant des femmes flics se font aussi violer en sortant du commissariat...
Il aurait pê dû leur accorder de meilleurs cours de self-défense où il excelle verbalement en se plaçant en victime, que dis-je, en vierge effarouchée, chaque fois qu’il est désarçonné.
Il faut avouer aussi qu’avec ses déplacements surprotégés par les CRS et divers, ça manque de personnel ailleurs...
Ce n’est donc pas Mr Sarkozy qui ferait cette proposition, trop occupé à se faire sur-protéger partout où il passe.
Vision monolithique que votre article.
Probablement dû à de vieux restes de la tradition machiste en vogue du temps de Freud qui lui, tout savant qu’il était, n’a pu détecter de l’hystérie que chez les femmes.
Vous auriez pu aussi analyser la petitesse de Mr Sarkozy, chipotant régulièrement à son stylo (classique de campagne), fouillant dans ses papiers ou se posant en victime, pardon que dis-je en vierge effarouchée, face au courroux de Mme Royal qui elle doit évidemment rester la Ste Madonne comme au bon vieux temps, alors que c’est ce qui lui fut le plus reproché.
Quand je dis « face » à Mme Royal, Mr Sarkozy fuyant continuellement son regard, s’accrochant à celui de PPDA.
Mr Sarkozy pris en flagrant délit de démagogie sur un dossier que Mme Royal connaît bien : les enfants handicapés ; Mr Sarkozy tentant de s’en sortir avec ses habituelles pirouettes (Mmes Dati et Pécresse étant les deux autres spécialistes du genre), cette fois sur les nerfs de Mme Royal. On connaît les colères du général de Gaulle que Mr Sarkozy n’aurait certainement pas qualifiées de crise de nerf.
Chez Mr Sarkozy traiter un pan de la population de racaille (à titre d’exemple parmi le florilège), de vouloir les kärcheriser, c’est évidemment viril, comme sur un stade de foot de coupe du monde d’injurier l’adversaire en insultant sa mère ou sa soeur. Mais Mme Royal, elle, ne peut évidemment pas manifester ses sentiments.
L’époque est venue de faire tomber les stéréotypes sociaux, sexistes. Perso, ça fait trente ans que je suis en ordre de ce côté.
Bravo à Monsieur Bayrou et Madame Royal pour avoir secoué le cocotier : du site Reuters,
ven. avr. 27, 2007 3:55 CEST PARIS (Reuters) - Le Syndicat national des journalistes (SNJ) considère la polémique autour de l’organisation d’un éventuel débat entre François Bayrou et Ségolène Royal comme « une entrave insupportable » au devoir d’informer.
« L’arithmétique pointilleuse du CSA d’un côté, le poids des sympathies auprès du candidat Sarkozy de l’autre, font que le devoir d’informer subit une entrave insupportable dans une démocratie », peut-on lire dans un communiqué du syndicat publié vendredi.
« Les concentrations excessives dans la presse française ; les amitiés particulières entre le monde politique et les directions des médias ; la façon dont sont nommés les membres du CSA, jettent la suspicion sur tout un secteur professionnel et constituent une atteinte directe au droit légitime des citoyens d’être correctement informés », ajoute le SNJ, premier syndicat des journalistes.
Face à ce « déni de démocratie », le syndicat plaide pour une « véritable indépendance des médias » et pour l’inscription dans la Constitution du « droit à une information honnête, complète, pluraliste et indépendante des pressions politiques ».
NO COMMENT.
Peut-on encore parler de supputation après la publication par le Syndicat National des Journalistes de ce qui suit (site Reuters) :
" ven. avr. 27, 2007 3:55 CEST PARIS (Reuters) - Le Syndicat national des journalistes (SNJ) considère la polémique autour de l’organisation d’un éventuel débat entre François Bayrou et Ségolène Royal comme « une entrave insupportable » au devoir d’informer.
« L’arithmétique pointilleuse du CSA d’un côté, le poids des sympathies auprès du candidat Sarkozy de l’autre, font que le devoir d’informer subit une entrave insupportable dans une démocratie », peut-on lire dans un communiqué du syndicat publié vendredi.
« Les concentrations excessives dans la presse française ; les amitiés particulières entre le monde politique et les directions des médias ; la façon dont sont nommés les membres du CSA, jettent la suspicion sur tout un secteur professionnel et constituent une atteinte directe au droit légitime des citoyens d’être correctement informés », ajoute le SNJ, premier syndicat des journalistes.
Face à ce « déni de démocratie », le syndicat plaide pour une « véritable indépendance des médias » et pour l’inscription dans la Constitution du « droit à une information honnête, complète, pluraliste et indépendante des pressions politiques ». "
Bravo à Monsieur Bayrou et à Madame Royal pour avoir osé secouer le cocotier.
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération