J’espère que Mr Bilger est aussi bon juriste que communiquant. Ah ! la Com ! La Com est aux entreprises ce que la pub est aux lessives ! Quand on parle de la chose qu’on veut vendre, où sont les limites ? Avez vous remarqué qu’il n’y a parfois rien de commun, sinon quelques images, entre une bande annonce et son film ? Oui, c’est encore un autre genre, tout comme cet article.
Le commentaire précédent dit : « »je suis sceptique sur sa conversion en « homme universel ».« »
De fait, on voudrait nous présenter Nicolas Sarkozy comme l’homme providentiel. Mais NS n’est pas un magicien ! Lorsqu’il aura à choisir entre deux intérêts contradictoires, les revenus du travail et les revenus de l’argent tiens par exemple, au hasard, quel est le parti qu’il favorisera ? Celui des travailleurs, au risque de s’entendre dire comme François Hollande, qu’il ne s’aime pas ? Ou celui de ses amis, au risque d’avoir de nouveau besoin des talents des bons docteurs Bilguer ? « On voit par là » que ces bons docteurs jouent sur du velours.
ps : vous aurez noté que je ne tutoies pas ceux qui ne pensent pas comme moi, ça me ferait mal ! Et ça nous différencie.
Mr le docteur en droit de l’université de Corse, « on ne voit jamais en quoi que ce soit davantage que ce que l’on est soi-même ».
Vous me traitez de simple d’esprit, j’aimerais que vous compreniez ce que cela veut dire.
Pour vous aider : personne ne vous a proposé les service de Devedjian. Relisez le commentaire.
Deuxièmement, je vous ai posé une question, ne bottez pas en touche. Mais peut-être ne savez vous pas répondre ?
Emmanuel, excellent lien que vous nous proposez là, concernant ce rapport réalisé par Patrick Viveret conseiller référendaire à la cour des comptes, à la demande de Guy Hascoet secrétaire d’état à l’économie solidaire (janvier 2002) :
« Reconsidérer la richesse »
On y lit entre autres :
"Plus de destructions = plus de PIB
Je n’ai pas eu le temps de le lire, je reviendrai peut-être en parler ici si personne ne réagit.
L’état mettra la main à la poche, pour payer la commission de Forgeard. Sa poche ? La notre, oui. Si c’est pas du racket ça je veux bien être groupie de sarkozy !
J’ai mis un plus à votre commentaire, mais c’est pas pour Gallo
« »je ne crois pas qu’il faille jété « »
Quand on est docteur en droit on écrit :
« je ne crois pas qu’il faille jeter »
L’irrespect pour les lecteurs et la grammaire ça passe pour Lerma. Quoique, je me demande comment on peut penser sainement quand on écrit comme lui.
bis repetita, mais mon commentaire sera différent puisque cette je suis allé jusqu’au bout cette fois de la réponse d’AR, qui écrit :
« J’espère que tu as bien compris le sens de ce texte et qu’il t’a permis d’entrevoir certains petits détails que tu n’aurais pas saisi pour quelqu’un qui pense que la politique de nos jours ne se conçoit que sous la forme aristotélicienne ou platonicienne. »"
Sur la forme, vous pouvez faire mieux ?
Sur le fond, vous pouvez développer ?
ça val Lerma ? bien déjeûné ? La reprise de 14H, pas trop dure ?
Plus sérieusement, je me pose la question quand je lis ceci : « »si les mesures que nous a vendu Nicolas Sarkozy ne sont pas misent en applications,« »
Lerma est-il français ? ou bien est-ce un employé appointed by the CIA ?
« »Tu reste assez flatteuse dans tes propos puisque tu me propose les services de quelqu’un comme Devedjian.« »
Heureusement que le ridicule ne tue pas...
Désolé !
Cambronne, l’élection de François Mitterrand a été une aubaine pour l’ami de votre président bien aimé : « En 1981, Edmond de Rothschild surestimant les conséquences possible de l’alternance politique en France, souhaite rapatrier un maximum d’actifs financiers vers la Suisse. C’est l’occasion pour les frères Bolloré de reprendre à bon compte le contrôle de l’entreprise familiale » (in « Portrait de l’homme d’affaires en prédateur », éd. La Découverte, page 92).
Le spectacle, là où une information chasse l’autre, the show must go on qui vit dans l’instant : pas de mémoire, pas d’à venir, hormis la météo, dormez braves gens météofrance veille.
Cet instantanéité du spectacle correspond parfaitement avec la préoccupation des puissants : ils se moquent des événements, puisqu’ils font les événements, ils sont l’événement. Le peuple regarde, le peuple attend : « Qui regarde toujours, pour savoir la suite, n’agira jamais » (Debord)
JC Allard, oui, c’est cela la critique la plus pertinente : qui est le vrai Sarkozy ? Je signale que les partenaires européens s’inquiètent autant que nous. Personne ne sait vraiment ce que seront les politiques intérieure et extérieure de Nicolas Sarkozy.
Pourquoi tant de haine ? Et pourquoi tant d’amour ? Pour cela, précisément (et aussi bien d’autres choses qui déterminent qu’on craigne ou espère, mais, chut, cela suffit dans ce petit commentaire).
Jarod211 : Je crois savoir ce que c’est : Vandamme disait hier soir que les enfants savaient ce que c’est, aware, à partir de 6, 7 ans : c’est l’âge de raison ! Pas adulte, non, mais déjà grand garçon.
Notez que dans ce texte je voyais la marionnette, pas l’individu. Ces sacrés guignols, qui saura quelle influence ils ont eu sur cette élection ?
merci zO, j’ai failli féliciter le plagiaire !
Arturh, savez vous la différence entre un boiteux et un con ? Le premier sait qu’il boîte, et on le plaint, le second traite les autres, et on le haït. Vous voyez ce que je veux dire ? Pas sûr.
Yodeling Andy : les US sont capables de s’allier avec n’importe quels régimes, pourvu ue ceux-ci ne s’opposent pas à leurs intérêts économiques. Les US se moquent éperdument de la façon dont les dictateurs exploitent leurs peuples, c’est cela leur titre de gloire es libéralisme.
Eh oui Hermine, et ces gens ne veulent même pas payer d’impôts au prétexte que ça encourage les fainéants (bel oxymore).
Alors on sera de plus en plus rackettés via les taxes pour subventionner ces gros profiteurs, au nom de la défense de l’emploi.
Calmos et Léon, permettez que je mette mon grain de sel : Léon citant EP a dit : « »Avec Sarkozy les mots finissent par ne plus avoir de sens« »
Calmos : « » Vous et votre Parti entrez dans une longue période d’obscurantisme ou la critique sera votre seule façon d’exister.« »
Obscurantisme, voilà un maître mot « obscurantisé » pour un moment : libre à vous Calmos, de préférer le discours séducteur de TF1. Mais n’oubliez pas : on est toujours l’obscurantiste de celui qui ne pense pas comme vous, qu’il pense de travers ou à l’endroit. Réfléchissez un instant...
Article à mon avis, qui mériterait d’un peu plus de fond pour exposer une idée importante contenue dans la conclusion que je reproduis ici tant elle me paraît devoir être répétée encore et encore :
« »Qu’une présidence commence par montrer qu’elle n’hésite pas à recourir à des leurres pour tromper son monde, invite à tirer déjà deux leçons. L’une est la conviction de l’élu de s’adresser à une masse de badauds, voire de ballots encore assez frustes pour ne pas repérer les leurres avec lesquels on les roule dans la farine. L’autre est la défiance que peuvent éprouver ceux au contraire qui les identifient, envers celui qui ose sans vergogne en user.« »
Sur les « badauds », on ne m’ôtera pas de l’idée que Pipole 1er est l’élu des accrocs de TF1. A bon entendeur …
Sur la « défiance des autres » … cette phrase s’adresse à tous ceux qui, notamment ici, sont ’étanches’ aux avertissements que ces autres essaient de leur faire passer. Il n’y a pas pire sourd que celui qui ne veut pas entendre. Là encore, à bon entendeur, salut.
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