Je ne suis pas le spartacus du message immédiatement précédent. Je viens de m’apercevoir qu’il y a deux entités répondant au même pseudo « spartacus ». Il me semble que les administrateurs d’agoravox ne devraient permettre de créer deux pseudos identiques.
Dans ce cas de figure, cela ne me gêne pas, j’aurais tout aussi bien pu signer le message précédent, j’ai exactement le même avis que l’autre spartacus.
Je viens d’essayer de changer mon pseudo de spartacus en spartacus1, on va voir si ça marche.
@alex.nd
Il faut aussi rajouter une chose : le pouvoir judiciaire, qui doit aussi être indépendant.
La notion de garde des sceaux, institution héritée de l’ancien régime, et en totale contradiction avec la séparation des pouvoirs, c’est une grosse entorse à la démocratie. Lorsqu’un ministre nous dit « les coupables seront (et non pas devraient être) sévèrement punis », il commet un ingérence intolérable du pouvoir exécutif dans le pouvoir judiciaire. Il est vrai qu’à ce ministre, récemment élu chef de l’État va être le premier président inculte de la cinquième République et qu’on ne peut pas trop lui demander. Force est de reconnaitre, que tous ses prédécesseurs, que l’on ait été d’accord ou non avec eux, de De Gaulle à Chirac, en passant par Pompidou, Giscard et Mitterand étaient, eux, des gens cultivés
Malheureusement, on doit bien constater que la France est relativement loin d’une démocratie idéale. La représentation proportionnelle constituerait un pas dans la bonne direction.
Le pire en la matière étant le cas de la Grande-Bretagne où un Blair, gouverne depuis plusieurs années contre l’avis de la majorité de la population. Son parti (je répugne à l’appeler travailliste) a, aux dernières élections obtenu 35 % des suffrages, moyennant quoi, il obtient 58 % des sièges et Blair, en tant que chef de parti, devient de facto le premier ministre, moyennant quoi, avec l’approbation de moins de 30 % de la population, il englue son pays dans une guerre.
À vos yeux, JC Allard, la Suisse n’est pas une démocratie ? Parce que pour les élections au parlement, elle applique la proportionnelle intégrale, avec un quorum de 5 % (pour qu’un groupe soit représenté, il doit au moins avoir 5 % des suffrages), possibilité pour l’électeur de biffer, rajouter, ou doubler le nom d’un candidat, de prendre une liste de parti ou une liste officielle vierge, bref un véritable choix et les différences tendances populaires sont équitablement représentées au parlement.
Et pas d’instabilité gouvernementale du tout, les ministres restent en poste, parfois plus de 10 ans.
Alors, les français seraient-ils incapables de faire comme les suisses ? Sont-ils vraiment infiniment plus stupides que les suisses ou, bien plus probable, on leur concocte un système électoral et un découpage des circonscriptions qui ne favorise qu’une certaine classe dirigeante.
Les ennemis de la liberté ne vont pas être déçu : en ce moment, une perquisition dans les locaux du canard enchainé. Vraisemblablement pour identifier leurs sources d’information, j’imagine que les journalistes du canard ne sont pas assez naïf pour laisser trainer ce genre de chose. Il faut croire donc que ces informations sont sérieuses, ce que j’ai toujours cru.
Le libéralisme dont se gargarise N. Sarkozy, c’est essentiellement la liberté économique, celle du renard dans le poulailler. Par contre la liberté de l’information, les libertés individuelles, il semble que c’est contraire à l’économie selon NS.
Ça commence bien, à quand les prochaines entorses à la liberté ?
@Clairette
Je vous remercie de votre appréciation concernant ma façon d’exprimer mes idées. Je ne vois absolument aucune raison d’être vulgaire et grossier lorsque l’on parle de politique. Sauf à vouloir se déconsidérer.
Que faire ? Je crois qu’il y a un peu plus de cent ans, la question a déjà été posée (Lénine). Je ne suis pas vraiment d’accord avec les réponses qu’il a apportées à la question, plus précisément absolument pas d’accord avec les réalisations pratiques qui ont été faites.
Pour ma part, je me permet de reprendre ce que j’ai déjà écrit dans une autre discussion.
Il faut prendre conscience qu’il y a, à gauche, essentiellement, deux écoles de pensée :
1) Ceux qui pensent que le système capitaliste et la concurrence sont irréductibles et que le rôle d’un parti politique de gauche est d’aménager le système de façon telle que les plus faibles ne soient pas encore plus écrasés. C’est un point de vue respectable, qui se défend. Mais il faudrait en extraire ceux qui, comme DSK (c’est un exemple parmi d’autres) n’ont, en réalité, qu’un seul programme, similaire à celui de NS : « je veux le pouvoir, peu importe ce que j’en ferais après ».
2) Ceux qui pensent, comme moi, que le système capitaliste est en train de nous envoyer dans le mur à grande vitesse (voir le réchauffement du climat, les emplois précaires, le chômage, l’appauvrissement des humbles au profit de l’enrichissement des possédants, etc), qu’il ne peut pas être aménagé et qu’il doit disparaitre. Pour travailler à cette disparition les tenants de cette tendance veulent utiliser des moyens exclusivement démocratiques (à l’opposé de certains mouvements révolutionnaires) parce qu’il est vain de vouloir construire une nouvelle organisation sociale sans convaincre la majorité de la société (faute de quoi on retombe dans des errances et des systèmes coercitifs qui n’ont que trop abimé l’image de la gauche).
De ces deux courants de pensée, peut naitre, de l’explosion du PS actuel, un parti social-démocrate reprenant les éléments sains de l’aile droite du PS et un véritable parti socialiste regroupant les tenants de la remise en cause fondamentale de notre système actuel. Ces deux partis pourraient s’unir sur un plan électoral, tant il est vrai que, pour l’instant, et sans doute pour un bout de temps, ce qui les unit est bien plus important que ce qui les sépare. Il pourrai y avoir également des alliances ponctuelles avec le futur parti démocrate de M. Bayrou.
Pas forcément exaltant, mais c’est l’une des solutions que j’entrevois pour essayer d’améliorer les choses à relativement cours terme. Je parle de relativement cours terme, parce que, comme les choses semblent « s’emmancher », je commence à imaginer que N. Sarkozy n’ira pas au bout de son mandat.
Je crois qu’il faut arrêter de parler du vote des vieux.
J’en suis un, 66 ans, retraité, une retraite très confortable passée au soleil méditerranéen, après avoir joui durant toute ma vie professionnelle d’un revenu tout aussi confortable et sans un seul jour de chômage. Non, non, je n’étais pas fonctionnaire, je travaillais dans le privé, comme ingénieur. Je précise que mon père était ouvrier et que je suis parti de rien, à part de très sérieuses études.
Malgré ce CV, je vote à gauche, et souvent à l’extrême gauche ! Pourquoi ? Parce que je ne veux pas, comme au USA (j’y ai vêcu 15 ans, comme représentant de mon entreprise) qu’il y ait un clivage sociétal, je ne veux pas, parce que j’ai une certaine aisance, être parqué dans une « adult community », entouré de barbelés, de gardes armés pour me protéger de ceux qui n’ont rien. C’est une prison, une prison dorée certes, mais une prison tout de même. Je suis pour réduire l’échelle des revenus afin que personne ne soit réduit au désespoir.
Plus fondamentalement, ce n’est pas parce que j’ai personnellement profité du système que j’estime que ce système soit juste. Je refuse de laisser sur le bord de la route les gens qui ont eu moins de chance que moi. Ce système libéral, qui perdure depuis environ 200 ans a fait son temps. Il est nécessaire de le remplacer par un système plus juste et plus humain.
C’EST UN VIEUX QUI LE DIT !
J’aime bien votre commentaire, Boileau419.
Il met bien en évidence le fait que, pour la théorie économique classique (je ne dirai pas libérale, terme trop galvaudé), « construire un mur, puis le détruire 6 mois après » n’est pas une opération blanche (comme voudrait nous le faire croire le bon sens), mais deux opérations de développement. Les coûts relatifs à ces deux opérations participent tous les deux à l’accroissement du PIB.
La théorie économique n’a que faire du bon sens paysan, et encore moins de la réalité.
La lecture de la presse étrangère est tristement éloquente, la France est vue, de plus en plus comme une république bananière.
Éditorial de la Tribune de Genève :
Il y a des moyens de transport qui font vite jaser. Prenez le jet, quand il est doré ; le yacht, quand il est prêté ; et l’ascenseur, quand il est renvoyé. Histoire de rassurer la plèbe française et de démentir les mauvais esprits, le président de la République française - bientôt intronisé, il va falloir s’y faire - a assuré que sa balade maltaise n’aura pas coûté un centime d’euro aux contribuables français. C’est donc plus grave que l’on pensait.
Vincent Bolloré... C’est à lui, le jet, le yacht. Le président du groupe éponyme n’a jamais travaillé avec l’Etat... Hier, il l’a dit et Nicolas Sarkozy aussi. Rien à voir, donc. Mais un petit surf sur le site officiel du Groupe Bolloré indique toutefois que sa filiale IER vend des bornes interactives dédiées à l’administration. Ah, bon ?
Mardi, la « Tribune de Genève », sous le titre les « Copains d’abord », relevait la brochette d’industriels qui ont fait des avances au candidat devenu président. Et ce qu’ils étaient en passe d’attendre en retour. Dominique Desseigne - merci pour la boum au Fouquet’s dimanche soir ! -, Arnaud Lagardère, Martin Bouygues et l’on en passe.
On se souvient de l’affaire (Alain) Carignon - un appartement prêté -, celui-ci prépare son retour sur le devant de la scène. On se rappelle l’affaire (Michel) Noir - des vols offerts par son gendre -, ce dernier sourit en coulisses. Nicolas Sarkozy est attendu au pied du mur. Le public a pu le découvrir s’approchant du bouton de l’ascenseur : je vous le renvoie quand ?
Süddeutsche Zeitung (traduction) :
En Allemagne, les élus politiques doivent démissionner à la moindre prise d’avantages. En Suède, ils ne peuvent même pas accepter un bouquet de fleurs. C’est bien comme cela. Si ces informations sont vérifiées, Sarkozy ne devrait ainsi pas entrer en fonctions
...
il a manqué au nouveau président la conscience de commettre une faute en acceptant un cadeau de riches amis qui disposent d’un vaste réseau de médias.
...
On pourrait penser que cela allait déclencher un scandale. En France, l’opposition ne se manifeste même pas sur ce sujet Cela devrait expliquer comment Sarkozy peut se présenter comme rénovateur. En vérité tout est resté comme avant, ou même pire.
La libre belgique : ...
Il n’empêche - et, selon des échos, son entourage en conviendrait -, cette controverse tombe mal peu après des accusations d’enrichissement immobilier indu et son affichage avec des exilés fiscaux, et peu avant la publication de son patrimoine. Ce n’est pas l’idéal non plus pour souligner la rupture avec l’ère Chirac, le Président sortant ayant lui aussi été jadis critiqué pour ses coûteuses villégiatures.
...
Jamais eu de relation commerciale ? Oh le menteur !
1) le 17 juin 2005, SDV (appartenant au groupe Bolloré) a conclu avec la direction centrale du commissariat de l’Air un marché sur « le transport du fret par voie aérienne commerciale à la demande et pour le compte du ministère de la Défense ».
2) C’est la branche gabonaise de la SDV qui effectue une sympathique mission de « Fret transit aérien » pour une somme dont la Défense donne une fourchette : entre 90000 et 149999 euros. (Voir sur le site de l’ixarm [1], il s’agit du document titré « DIRLOCAT Libreville_marchés_2006.pdf » lui même situé dans le zip « terre »)
3) Le 25 septembre 2006, le ministère des Affaires Etrangères a fait montre de sa confiance au groupe Bolloré. Ou plutôt à SDV, « qui appartient au groupe Bolloré », et a hérité d’un contrat « sensible ». Soit, selon les termes de l’objet du marché « le traitement de la valise diplomatique fret ». Valeur totale estimée : « montant minimum, 1 400 000 euros HT, montant maximum 5 600 000 euros HT ».
4) le 11 décembre 2006 pour être précis,Bolloré SA a remporté un marché du ministère de l’Intérieur (tiens donc) pour la « mise en place de locaux de sûreté modulaires à l’hôtel de police de Grenoble ». Un petit contrat, 342 329 euros hors taxes.
ETC.
S’il n’avait pas été élu, il ne serait pas président et cette escapade serait d’ordre strictement privé.
La charge présidentielle devrait impliquer une certaine dignité, qui implique de ne pas accepter de cadeaux d’un patron qui attend sans doute un retour sur investissement.
Mais la dignité, on en est loin.
On n’est plus au temps du général De Gaulle, président strictement intègre. La France est tombée bien bas !
vachefolle a écrit :
Les choses sont simples. Si ces vacances de 2 jours (moi j’apelle ca un WE) ne sont pas payees par l’etat, il n’y a rien a dire.
Vraiment folle la vache, en tout cas ne réfléchi pas beaucoup. Jusqu’à preuve du contraire, dans les relations politico-financières, on parle d’échange. Le don, c’est plutôt le rayon de Mère Teresa. Or que je sache, Vincent Bolloré est assez loin d’imiter Mère Teresa. Alors la question qui ce pose : que va recevoir Vincent Bolloré en échange.
En fait, j’estime encore plus scandaleux qu’il se fasse inviter par le patron d’une entreprise du CAC40 que si la république avait payé. Mais, dans tous les cas de figure, c’est honteux et indigne. Il est vraiment petit, mais alors petit et absolument pas dans le sens physique du terme.
Lu sur bravepratrie, http://bravepatrie.com/+584-L-ouverture-a-un-nom-Paloma (pour les analphabètes : c’est au 2em degré).
Enfin, un président qui mène une vraie politique de prestige. Pas comme ce gagne petit de Chirac avec ses frais de bouche ridicules.
Voila qui va en imposer à tous ces roitelets nègres qui se croient arrivés parce qu’ils se promènent en Mercedes.
La Brave Patrie maintenant un président élu digne de sa grandeur. Pas comme ces ploucs de suisses dont les ministres vont à leur bureau en transport public (authentique) ou ces suédois débiles dont le roi, tout comme le premier ministre d’ailleurs, se promène dans la rue, comme le moindre de ses sujets.
La Brave Patrie croulant sous les dettes, laissées par les socialo-chiraco-gauchistes-sarkoziste, est bien capable de faire montre d’un peu de grandeur, pourquoi la Suisse et les pays scandinaves ne pourraient-ils pas faire un effort ? Après tout, leurs économies sont florissantes.
J’approuve !
Je pense que X (il faut commencer à s’habituer à ne plus écrire en clair certains noms lors de commentaires critiques) l’a énormément aidé à ce que Villepin se plante.
nouvelledonne2012, je partage totalement ton analyse. Le PS d’aujourd’hui est devenu un « machin » totalement ingouvernable et inapte à gérer quoi que se soit.
Il faut prendre conscience qu’il y a, à gauche, essentiellement, deux écoles de pensée :
1) Ceux qui pensent que le système capitaliste et la concurrence sont irréductibles et que le rôle d’un parti politique de gauche est d’aménager le système de façon telle que les plus faibles ne soient pas encore plus écrasés. C’est un point de vue respectable, qui se défend. Mais il faudrait en extraire ceux qui, comme DSK (c’est un exemple parmi d’autres) n’ont, en réalité, qu’un seul programme, similaire à celui de NS : « je veux le pouvoir, peu importe ce que j’en ferais après ».
2) Ceux qui pensent, comme moi, que le système capitaliste est en train de nous envoyer dans le mur à grande vitesse (voir le réchauffement du climat, les emplois précaires, le chômage, l’appauvrissement des humbles au profit de l’enrichissement des possédants, etc), qu’il ne peut pas être aménagé et qu’il doit disparaitre. Pour travailler à cette disparition les tenants de cette tendance veulent utiliser des moyens exclusivement démocratiques (à l’opposé de certains mouvements révolutionnaires) parce qu’il est vain de vouloir construire une nouvelle organisation sociale sans convaincre la majorité de la société (faute de quoi on retombe dans des errances et des systèmes coercitifs qui n’ont que trop abimé l’image de la gauche).
De ces deux courants de pensée, peut naitre un parti social-démocrate et un véritable parti socialiste. Ces deux partis étant unis sur un plan électoral, tant il est vrai que, pour l’instant, et sans doute pour un bout de temps, ce qui les unit est bien plus important que ce qui les sépare.
Nimbus, vous parlez de 2, 3, 4 ans.
Pour moi, je pense plutôt que se sera bien plus tôt. S’il applique vraiment ce qu’il dit, un vrai programme de la droite, au profit exclusif des puissances financières qui le soutienne nous allons tout droit vers une confrontation de grande ampleur dans la rue.
Lui qui dit vouloir anéantir mai 68 a de fortes chances (si j’ose dire) de se trouver face à un mai 2008.
Malheureusement, en cas de troubles majeurs (très probables si NS est élu) c’est toute la France qui va être perdante, y compris les industriels et financiers qui payent un NS pour représenter leurs intérêts exclusifs à la tête de l’état. Ce sera une régression d’au moins une vingtaine d’années. Mais, une majorité de français l’auront décidé, alors, ensuite, que l’on ne vienne pas se plaindre.
Je voudrais prendre en exemple l’Allemagne, je sais que NS ne l’aime pas trop, mais c’est un bon exemple. L’Allemagne a le même euro fort que nous ; annuellement, le salarié allemand travaille moins d’heures que le salarié français et pourtant l’Allemagne a un taux de croissance vigoureux et un (vrai) taux de chômage en décrue rapide.
Quelle est la différence ?
Relativement simple : l’Allemagne a, depuis longtemps, une pratique de dialogue et de concertation entre employeurs et salariés. Pour les salariés, il n’est pas systématiquement nécessaire de recourir à la grève pour se faire entendre, et si, parfois, comme récemment dans la métallurgie, il y a une grève, s’est toujours très court, et ça débouche rapidement sur des résultats.
Bref, exactement le contraire de la logique de confrontation systématique du patronat français (et, il faut bien le dire, des syndicats, mais reconnaissons qu’ils n’ont souvent pas le choix). Logique de confrontation qui nous est promise, dans toute son absurdité et son non-sens par un NS aux ordres du MEDEF.
Je viens de lire un article (voir : http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3224,36-905442,0.html?xtor=RSS-3224)
En substance :
« Auteur de bandes dessinées chez Fluide glacial et professeur vacataire à l’Ecole municipale des beaux-arts de Metz, Yann Lindingre, 37 ans, vient d’être licencié pour »insuffisance professionnelle". Un motif couperet qui dispense l’employeur de toute justification et prive sur le champ l’intéressé de son poste, alors que sa titularisation semblait imminente.
« Je venais de réussir le concours de la fonction publique territoriale et j’ai toujours été très bien noté », s’étonne le dessinateur, « convaincu » que c’est dans son dernier album, Titine au bistrot, que se trouve la clé de son licenciement. « Le directeur me l’a dit verbalement : »T’es viré parce que t’as caricaturé des collègues.« J’ai aussitôt fait intervenir le service juridique de Flammarion (maison mère de Fluide glacial), à la suite de quoi mon »insuffisance professionnelle« fut invoquée », relate Yann Lindingre. ..."
Déjà que la France occupe un rang peu honorable en matière de liberté de la presse (35em rang). Mais il faudra bien que les français s’habitue si NS est élu. On s’habitue à tout, même au pire.
J’aimerais bien connaitre le médecin de NS, il doit être particulièrement compétent en matière de gestion du stress et comme j’ai une fille qui va prochainement passer un examen important, je souhaiterais qu’elle puisse bénéficier des mêmes pilules que NS.
Je crois qu’il n’y a pas photo, NS plus ou moins éteint, le paupière tombantes, encore plus qu’à l’habitude, son air dans le vague à certains moments, tout cela est signé : vive les pharmas !
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