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Les commentaires de siobhan



  • siobhan 14 novembre 2016 18:24

    Attendons de voir de quoi il est capable avant de lui jeter la pierre et de lui reprocher ce qu’il n’a pas encore fait. D’accord avec l’auteur, le spectre d’un 3e guerre mondiale s’éloigne. Nonobstant les analyses de comptoir de ses détracteurs, cet homme est intelligent et sait bien s’entourer.



  • siobhan 14 novembre 2016 18:15

    @Phalanx
    Espérer, oui, encore faut-il que les électeurs se montrent cohérents au moment de voter. Si c’est pour nous remettre un UMP dans le circuit...



  • siobhan 30 octobre 2016 17:00

    @doctorix

    Merci. Et si vous estimez pouvoir en faire un article, je serai ravie de le lire et d’avoir un avis francophone.


  • siobhan 28 octobre 2016 21:07

    @doctorix

    Je parlais bien de l’huile de cannabis, pas de la fumette. Je m’interrogeais sur les prétendues vertus de l’huile dite de Rick Simpson et m’interroge sur sa légalité, encadrée, en Californie. Pour la fumette, je suis 100% d’accord avec votre vision : des zombies. Pour l’huile, j’avoue mon incurie, d’où mes interrogations et, partant, ma question au médecin que vous êtes.



  • siobhan 28 octobre 2016 17:12

    Les Français ont vite oublié le palmarès de Juppé et négligent son arrogance quasi monarchique, son islamophilie, le contenu de son programme aussi creux que ses slogans de campagne. Donc, les probabilités de le voir cinq ans à la tête de l’Etat sont réelles.



  • siobhan 28 octobre 2016 17:09

    Excellent article, merci.
    Quant au fond de corruption, ma foi, cacher la m... sous le tapis devient difficile après le sulfureux mariage Bayer-Mansonto.
    Vous, en tant que médecin, vous en pensez quoi des vertus « miracles » attribuées à des traitements naturels tels l’huile de cannabis : info ou intox ? Seriez-vous favorable à tenter cette aventure, dans un cadre légal et médical, comme cela se pratique déjà en Californie ?



  • siobhan 27 octobre 2016 13:36

    A sa décharge, il n’a jamais vraiment commencé son règne.



  • siobhan 25 octobre 2016 15:30

    @Les désespérés

    Vous semblez bien sûr de vous. Des professionnels aguerris n’ont pas la même analyse que la vôtre. 
     
    Aucune situation n’est figée, à Paris comme ailleurs. Genève est également une ville internationale et pourtant certains biens ne trouvent pas preneurs aux prix actuels. Ce n’est pas parce que vous décrétez que les prix ne baisseront pas qu’ils ne baisseront pas. Vos propos sont subjectifs et votre démonstration n’en est pas une pour vous garantir une telle liberté péremptoire. Argumentez. Démontrez. Etayez. Le reste, c’est du vent. Il y a mille raisons qui peuvent affecter la stabilité apparente d’un marché. 

    Je rejoins les propos de l’auteur et de plusieurs commentaires : les prix sont ce qu’ils sont parce que truqués par l’Etat. Si on revient à des fondamentaux sains (suppression des aides fiscales, du PTZ, des taux bas, des durées d’emprunt à rallonge, obligation d’apport, etc.), le château de cartes s’écroule à Paris comme ailleurs. Dans un temps pas si lointain, une quinzaine d’années en arrière, il était possible d’acheter 100 m2 dans les beaux quartiers de Sèvres pour moins d’un million de francs, prix négociables, avec vue sur la Seine. Et que s’est-il passé depuis sinon une série d’encouragements fiscaux à la hausse des prix ? Rien de bien concret. Sèvres n’a pas subi une affluence démographique qui expliquerait une telle hausse de prix. Elle n’a pas non plus été achetée par le Qatar. 

    Le point sur lequel vous avez raison, c’est que les rentiers achètent beaucoup d’immobilier à Sèvres, à Paris, à Rueil et ailleurs. Le jour où l’incitation fiscale prendra fin, patatras ! Ruinés, les gars... Ca a déjà commencé avec le jeu des hausses de taxes locales. On en reparlera.


  • siobhan 25 octobre 2016 13:08

    @Yaurrick

    Exact, je n’osais y faire référence.


  • siobhan 25 octobre 2016 12:34

    @Aristide

    Vous semblez maîtriser des sujets aussi divers et variés que la cueillette des champignons en sous-bois, les prix de l’immobilier lunaire ou la fabrication de cendriers en papier recyclable bio. Aussi est-il fort regrettable de ne pas nous faire part de vos innombrables lumières en commettant quelques articles éclairants pour nous, pauvres hères démunis d’un savoir universel. Vraiment regrettable. J’aurais pris beaucoup de plaisir à vous lire et à commenter avec autant de verve que les 389.236.673 articles que vous avez commentés, record en cours.


  • siobhan 24 octobre 2016 21:23

    @rocla+

    En effet, sa vision du monde est assez monochrome, à tendance marxiste et je le dis sans aucune méchanceté. En d’autres temps, défendre la condition ouvrière s’expliquait. A notre époque où chacun peut tenter sa chance pour peu qu’il s’en donne la peine, le discours semble dépassé.


  • siobhan 24 octobre 2016 21:19

    @Trelawney

    C’est juste ce que vous écrivez. Un de mes clients recourt régulièrement aux services d’experts externes pour des tâches pointues, comme moi d’ailleurs. Cela ne coûte pas moins cher que de payer un salarié, bien au contraire. Pour autant, j’ai l’impression que beaucoup de contempteurs ne saisissent pas cela. Il faut avoir créé une affaire pour réaliser que l’argent ne tombe pas du ciel.


  • siobhan 24 octobre 2016 21:14

    @rocla+

    Tout juste.

    En ce qui concerne le code du travail, certes il en faut un pour éviter les abus mais une cure d’amaigrissement ne lui ferait pas de mal, loin s’en faut. On pourrait peut-être le résumer à quelques dizaines de pages essentielles, une centaine tout au plus, au lieu de tenter de prévoir tout et n’importe quoi, ce qui le rend particulièrement indigeste. Mais c’est une vieille tradition que de pondre des documents sans fins, flous et ennuyants. Le CGI en est un autre exemple. A quand un grand coup de balai simplificateur ?


  • siobhan 24 octobre 2016 20:25

    L’époque est ainsi faite que travailler à son compte redevient la norme. Que ça plaise ou pas, les emplois salariés se raréfient : population grandissante, délocalisations, robotisation, travail gratuit et j’en passe. Prenez Agoravox par exemple : un journal gratuit qui pique le boulot des imprimeurs, distributeurs, livreurs, journalistes, graphistes, etc. Et pourtant, vous l’appréciez Agoravox. Ce type de contradictions pique les yeux.


    Je peux comprendre que l’inconnu fasse peur, que ce changement de paradigme en effraie plus d’un, mais la vieille antienne du méchant patron est d’une autre époque durant laquelle les ouvriers ne pouvaient pas sortir de leur condition puisqu’ils ne détenaient pas le capital, alors incontournable pour lancer une affaire. De nos jours, quelques centaine d’euros, une bonne idée, de la foi et du travail font l’affaire. Après, comme dit le capitaine en des termes plus fleuris, il faut avoir le cran de se lancer. 


  • siobhan 24 octobre 2016 20:18

    @CN46400


    Non, pas forcément.
    A ses débuts, le travail est fait à l’huile de coude.
    Par la suite, il est vrai que les salariés effectuent des tâches pour lesquelles ils sont payés. Où est le mal là-dedans ?
    Et puis, il faudrait une fois pour toutes définir ce qu’on entend par indépendant. Un avocat ou un médecin sont indépendants au même titre qu’un boulanger, un écrivain ou un fleuriste. C’est vague.


  • siobhan 24 octobre 2016 19:31

    Ca ne démontre pas grand chose sinon qu’il n’achète pas de pains au chocolat. C’est son droit. Ces journalistes créent des polémiques sur des sujets sans la moindre importance.



  • siobhan 24 octobre 2016 18:43

    @Coriosolite

    C’est aussi ce que je me suis dit en lisant cette phrase ! Comment tordre la réalité afin de servir son propos. Je pense que ce monsieur ne réalise pas la chance de l’époque qui est de créer une activité parallèle à son emploi salarié (pour celui qui en a un et qui souhaite le conserver) afin d’améliorer le quotidien dans un premier temps et de s’affranchir du piège du salariat (et de ses salaires faibles et limités par nature, quel que soit l’effort déployé) une fois qu’on a goûté aux charmes de l’indépendance. Même si, je réitère mes propos, tout n’est pas rose lorsqu’on est indépendant. Pour autant, le salariat est-il un monde merveilleux ? J’en doute. 


  • siobhan 24 octobre 2016 18:19

    @Rincevent


    Bien d’accord avec votre portrait : l’immobilier n’est pas une sinécure dans les faits mais force est de constater que nombreux (trop nombreux ?) sont ceux qui le perçoivent comme tel. 

    Ce que je propose exige certes travail, discipline et motivation. Au moins autant que la gestion locative de trois appartements si je me réfère à vos propos avec des perspectives plus réjouissantes et moins destructrices pour l’économie. Mais j’aurais pu également proposer la version plus douce : investir dans des franchises de lavages automatiques par exemple. Du boulot, certes, mais plus cadré grâce au franchiseur.


  • siobhan 24 octobre 2016 17:43

    @Jeussey de Sourcesûre

    Les 99%, vous les sortez d’où ? C’est officiel ?
    Quant au contenu de l’article, merci de ne pas me prendre pour une imbécile. L’auteur dresse un portrait noir du statut. Je précise simplement que, non, tout n’est pas rose, mais que tout n’est pas noir non plus.


  • siobhan 24 octobre 2016 17:31

    @Jeussey de Sourcesûre

    A vous lire, créer une affaire est donc une mauvaise chose. Mais sans entreprise, pas d’emplois, non ?