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Les commentaires de benevole



  • benevole 10 décembre 2015 02:09

    @DACH Quelle propension à croire les discours de salopards comme BHL et Sarkozy. Il fallait sauver Benghasi disaient-ils alors que les menaces contre cette ville de l’Est n’avait même pas été suivies d’un semblant de volonté d’exécution. Les mêmes salopards n’ont pas versé une larme sur la destruction totale de Tikrit par leurs propres forces ! Les alliés de la France en Libye, c’étaient des terroristes et ce sont eux aujourd’hui qui déstabilisent la région. Vous ne connaissez rien au dessous des cartes. Vous trouverez sur YouTube un grand nombre de témoignages qui vous permettraient de voir clair si vous le désiriez.



  • benevole 21 septembre 2015 12:57

    @tf1Groupie

    Vous ne craignez pas le ridicule en traitant Gérard Foucher de novice en économie et en prétendant relever une contradiction dans des propos que vous n’avez pas compris.

    On attend votre explication du système monétaire pour rigoler encore plus ! Et, attention, ne venez pas recopier le texte de l’un ou l’autre économiste collabo. On les connaît tous !

    Allez Groupie ! Montrez ce que vous avez dans le cerveau ! Si toutefois vous ne devez pas le brancher sur TF1

    Et ma remarque vaut aussi pour les 9 ignorants qui ont approuvé ses commentaires !



  • benevole 24 mai 2015 21:56

    @Renaud Delaporte

    Monsieur Delaporte n’a pas la moindre once d’honnêteté intellectuelle. Il commence par critiquer un article en avouant qu’il n’a fait que le survoler, il insinue que l’auteur veut dire exactement le contraire de ce qu’il dit et ne s’est d’ailleurs par renseigné sur son compte.

    Un exemple de cette malhonnêteté intellectuelle : "Enfin, on remarquera qu’en refusant aux banques le pouvoir de contrôler chacune de nos dépenses, on est trop limité pour mériter la démocratie  .« 

    S’agissant d’un système décentralisé, les transactions ne passent par aucun serveur central et ne sont donc pas accessibles aux banques. Elles sont bien sûr archivées dans la mémoire du portefeuille ce qui est indispensable à l’utilisateur pour analyser ses dépenses ou se souvenir de ce qu’il ou non déjà payé et ces données ne pourraient être consultées que sur ordre d’un tribunal, en présence du suspect puisque ses empreintes doivent être utilisées pour ouvrir le portefeuille. Comment faire mieux ?

    C’est un individu perturbateur, prenant plaisir à la contradiction ou pire, un allié du système actuel, bref un de ces collaborateurs du système oppresseur qu’il estime immuable. Il est clair qu’il le défend contre qui veut le changer. Son discours est qu’on ne peut pas prendre le pouvoir à ceux qui le détiennent. Bref, selon lui, il faudrait se résigner comme les collabos en 41.

    Pour les lecteurs et commentateurs de bonne foi, voici quelques liens qui retracent une partie de mon parcours depuis 1997 date à laquelle j’ai écrit un livre papier »Le robin, la garantie d’une société plus humaine" , numérisé en 2012 et encore en vente sur Amazon :
    http://www.amazon.fr/robin-garantie-dune-soci%C3%A9t%C3%A9-humaine-ebook/dp/B00795VLKM/ref=sr_1_5?s=books&ie=UTF8&qid=1432371466&sr=1-5&keywords=Jean-Marc+Flament

    Voici un autre lien avec un résumé en quelques pages du concept du robin que j’avais inventé et dont traite ce livre. http://www.religare.net/yhad/robin/questce.html

    Ou un autre, venant du Bas-Rhin français où une dame très persévérante a réussi à maintenir en vie cette monnaie complémentaire dans son quartier et en Afrique.
    http://robin-monnaie-sociale.eklablog.net/1-debut-du-robin-en-france-a1162043

    Je suis aussi très présent sur Facebook , inscrit dans de nombreux groupes d’opposition au système actuel. Il vous suffit de taper mon nom (attention, j’ai des homonymes, mais sur ma page qui est publique, vous trouverez bien sûr les liens vers cet article et vers le site chercherlaverite.com
    Mon nom est Jean-Marc Flament )

    Enfin, j’ai écrit d’autres articles sur Agoravox, notamment un intitulé « Sarkozy et la gauche, les polichinelles de la politique » , un autre « L’Europe sous hypnose » ou encore « Un système économique au service de l’humain » évoquant la monnaie complémentaire du robin (idée de redistribuer les richesses vers l’humanitaire, l’écologie et le social qu’on retrouve dans l’article dont question aujourd’hui sous forme de Monnaie Solidaire (MS)

    Bref, je laisse le lecteur objectif déterminer lui-même qui est sincère ? et qui veut sauver son avenir ? Je ne répondrai plus à Monsieur Delaporte car, pour dialoguer, il faut un minimum de bonne foi.



  • benevole 24 mai 2015 18:25

    @Renaud Delaporte

    Vous semblez trop limité pour comprendre que la démocratie se mérite et que, pour l’atteindre, il faut d’abord couper les ailes de ceux qui prennent le pouvoir sans qu’il leur soit confié.

    Vous semblez ignorer qu’un logiciel est la transcription informatique d’instructions qui sont données au programmeur en langage humain. Et ces instructions en langage humain, vous les connaissez si vous avez lu la page http://www.chercherlaverite.com/crbst_1.html

    Comme vous l’avez écrit le 21 mai, vous n’avez pas voulu étudier cette proposition. Vous l’avez à peine survolée et avez décrété qu’elle ne vous intéressait pas car basée sur un gadget électronique. C’est votre droit mais alors, ne parlez pas de ce que vous ne savez pas.

    Quant à votre allusion aux pierres qui volent et à la pesanteur, elle est tellement hors sujet que je n’y répondrai pas. Comparer une science exacte comme la physique à une pseudo-science occulte comme l’économie monétaire, c’est confondre un oiseau avec un cerf-volant.



  • benevole 24 mai 2015 18:00

    @izarn

    Vous avez appris ça depuis quand ?
    Parce que ça, tout le monde le sait et vous vous ridiculisez avec vos commentaires.

    Dans le système que j’ai exposé, il n’y a plus besoin de pièces et billets parce qu’on peut connecter deux portefeuilles l’un à l’autre et inscrire le montant à payer de l’un vers l’autre. Et ce n’est pas centralisé, donc pas davantage comptabilisé, sauf par votre portefeuille. Et ceci constitue un avantage car si vous êtes soupçonné de consommer ou vendre de l’héroïne, la justice pourra démanteler le réseau en consultant les transactions de votre portefeuille. Ce n’est qu’un exemple. Cela vaut aussi pour tous les trafics et la corruption mais pour l’honnête homme, rien à craindre, votre historique est privé et personne n’y touchera. Même un pickpocket n’aurait aucun intérêt à voler votre portefeuille électronique, à moins de voler vos pouces en même temps. smiley



  • benevole 24 mai 2015 17:39

    @izarn

    Encore un « banquier » qui monte aux créneaux ! J’aime bien la phrase « sachez que ce sont les banques qui fabriquent la monnaie dite scripturale, elles seules ». Mais tout le monde sait cela et s’en plaint parce que c’est la source de tous nos problèmes. Tout le monde sait que les pièces et billets sont achetés par les banques à la banque centrale. Et alors ? Parce que c’est comme ça aujourd’hui, cela ne peut pas changer ?

    Parce qu’il y avait des cabines téléphoniques, on ne pouvait pas inventer les smartphones ?
    Parce qu’il y avait des machines à écrire, il ne fallait pas les remplacer par des ordinateurs ?
    Parce qu’il y a des banques, on ne peut pas les remplacer par un logiciel qui ferait beaucoup mieux le même travail, et gratuitement ?

    Vous dites très justement « Le capital vit sur le crédit, sur des profits futurs qui probablement n’existeront jamais » Eh bien, c’est ce que vous voulez ?

    Si je confie à un logiciel (programmé comme je l’ai expliqué) le soin de contrôler la monnaie, les règles seront les mêmes pour tout le monde et j’ose penser que tous les citoyens y trouveront leur compte, leur gouvernement aussi.

    Sauf peut-être les éternels grincheux qui ont tellement pris l’habitude d’être floués qu’ils ne peuvent même pas imaginer qu’il puisse en être autrement.



  • benevole 24 mai 2015 15:12

    @Renaud Delaporte

     Vous écrivez : « Retirer la monnaie du pouvoir de ceux qui la contrôlent revient à en prendre le contrôle »

    Manifestement, vous n’avez pas encore compris que ce contrôle, dans mon concept, est exercé par un logiciel programmé une fois pour toutes dans l’intérêt de tous les citoyens, des instances locales et nationales qui sont leurs émanations et des entreprises et associations qu’ils décident de constituer. 

    Le seul contrôle exercé concerne la programmation initiale telle que je l’ai définie. Après, c’est toujours le logiciel qui exécute le programme de la même manière pour tous les individus, tous les États, toutes les instances locales, toutes les entreprises et associations. Si vous n’approuvez pas le programme tel que j’en ai tracé les grandes lignes, dites ce qui ne vous convient pas et ne venez pas me faire des procès d’intention.

    Vous me récitez des leçons d’histoire ou d’actualité comme un prisonnier d’un contexte, incapable d’imaginer une autre réalité que celle que vous observez. Vous me faites penser à une personne qui aurait toujours vécu entre des terrils et serait incapable d’imaginer avoir sa maison en bord de mer.

    Oui, depuis Sumer, l’argent est l’instrument du pouvoir. Et depuis la cité Athénienne, en démocratie, c’est le peuple qui devrait détenir le pouvoir. Vos grands-pères se sont battus en 1789 pour qu’il en soit ainsi et, bien sûr, Giscard en janvier 1973, a cédé la clef du pouvoir à l’oligarchie financière. Au lieu de le décapiter, vous l’avez nommé Président de la République, ce qui en dit long sur votre compréhension de la réalité et de la démocratie. (Je parle de la population française en général)

    Aujourd’hui, au lieu de réagir, vous tenez des discours du genre « on n’arrivera à rien », « ils nous auront toujours » ô France émasculée, que tu me fais pitié ! Je ne prétends pas que les portefeuilles électroniques empêcheront de fabriquer des armes et autres produits toxiques, je ne prétends pas que cela débouche sur un monde parfait car la liberté pour chacun d’utiliser son argent comme il le souhaite ne saurait nous prémunir contre des utilisations négatives (et à vous lire, le négativisme n’est pas loin) mais du moins, ils tariront la source de la puissance de l’oligarchie financière qui ne pourra plus compter sur les intérêts qu’elle prélève quotidiennement à la population. Du moins ils permettront à la population de percevoir un dividende universel et d’accéder à un crédit sans intérêts, ils permettront aux gouvernements de se financer sans taxes ni impôts, ce qui ne pourra que relancer l’économie et l’emploi.

    Quoi ? Elle me tuera comme les Présidents des USA assassinés ? Qu’elle le fasse ! D’autres sont déjà prêts à prendre le relais. On tue des gens mais les idées restent et grandissent d’autant plus vite.Qui, dans la population, n’achètera pas son portefeuille électronique, ne serait-ce que pour disposer de moyens de paiement le jour où les banques fermeront ? Les imbéciles qui ne le feront pas échangeront leur maison contre une vache, quatre poules et un coq ou leur voiture contre un mètre carré de potager en attendant de devenir les valets d’une nouvelle oligarchie qui inventera une monnaie à son profit.

    On vous en aura proposé une à votre profit et vous l’aurez rejetée. Vos enfants vous diront merci ?
     



  • benevole 21 mai 2015 22:07

    @Tao ROBIN Il faut d’abord s’attendre au silence...Le silence des médias donne l’impression au public que ça n’existe pas ou que ça ne vaut pas la peine d’être mentionné. Il évite aussi à la résistance de recruter de nouveaux membres. Un exemple de ce silence est celui qui a suivi la décision de la Justice canadienne d’obliger la Banque Nationale du Canada à financer directement le gouvernement.

    Ensuite, il faut s’attendre à des tentatives d’intimidation sur les meneurs, pressions ou chantages sur leurs biens, leur emploi, leur famille.

    Quand l’idée subversive (de leur point de vue) sera bien présente dans l’opinion publique, le temps viendra de la désinformation, de la diabolisation et de la décrédibilisation des responsables. Si des débats sont organisés, ce sera du genre tous contre un avec intervention de l’animateur pour couper la parole au « dissident » chaque fois qu’il abordera un sujet sensible.

    Pour contrer cette stratégie, il faudra que le public ait en mains les portefeuilles et puisse déjà juger de ses avantages.



  • benevole 21 mai 2015 13:28

    @Hermes Bonjour Hermès,

    Puis-je vous raconter une expérience personnelle ? Quand j’avais 18 ans, je voulais devenir éducateur au grand dam de mes parents qui me répétaient et me faisaient répéter par tout le voisinage et par les enseignants que ce métier ne payait pas, qu’il n’était même pas reconnu, que j’avais les capacités nécessaires pour entreprendre des études universitaires.

    J’ai tenu bon, persuadé que j’étais que si chacun, dans son coin, travaillait à l’épanouissement des autres, à aider, écouter, et comprendre les autres, le monde serait meilleur. L’argent n’était pas du tout une valeur pour moi à cette époque.J’en donnais volontiers pour soulager la misère des autres.

    Puis, je me suis rendu compte que l’argent me rattrapait. J’avais ouvert un foyer pour adolescents et obtenu un crédit de caisse (pour lequel plusieurs amis avaient signé avec moi comme cautions solidaires) qui avançait le montant des subsides qui suivaient régulièrement trois mois plus tard. Le budget mensuel était à l’époque de 500.000 FB

    Puis, est arrivée la régionalisation, le Ministère de tutelle passant de la Justice à la Communauté française et les subsides ont pris un an et demi de retard. En plus, parce que j’avais conservé dans le foyer un jeune sans famille qui n’avait que nous comme attache et qui d’ailleurs travaillait, la Communauté française a estimé que mes 5 éducateurs, le psychologue, l’assistant sociale et la cuisinière travaillaient 1/15 du temps pour lui et donc qu’elle pouvait ne verser que 14/15 des subsides afférents au foyer.

    Quand cet argent est enfin arrivé, la banque a dit « Par ici les intérêts » et a mis fin au crédit de caisse. Nous étions tous, mes amis qui avaient signé comme cautions solidaires et moi, des travailleurs sociaux et j’ai donc provoqué le malheur de ces familles en plus de la mienne. Pourtant, il n’y avait aucune place dans les subsides pour payer des intérêts bancaires. Les paiements du personnel étaient prévus et calculés au franc près, et il y avait autant par jour pour la nourriture, la literie, et autres dépenses courantes. Mon comptable avait très bien veillé à ce que ces budgets soient respectés.

    Là, j’ai compris que ceux dont l’argent n’est pas un objectif de vie, sont perpétuellement les victimes de ceux pour qui il l’est. Je n’en ai pas fait pour autant mon objectif de vie mais je me suis fixé comme objectif de réformer le système pour qu’il serve l’homme plutôt que les financiers.



  • benevole 21 mai 2015 12:29

    @Renaud Delaporte

    Si nous pouvons converser aujourd’hui, c’est grâce à Internet. Sans lui, nous ne nous connaîtrions pas. Il ne s’agit pas de contrôler Internet, personne ne le contrôle si ce n’est localement, mais de s’en servir en toute liberté. Il ne s’agit pas non plus, dans mon article, de contrôler la monnaie mais de la retirer du pouvoir de ceux qui la contrôlent.



  • benevole 21 mai 2015 01:29

    @Renaud Delaporte J’ai pratiqué votre solution et ça n’a pas changé le monde. J’en ai bénéficié également et ça n’a pas changé le monde. On en a même fait un film très émouvant : « Un monde meilleur » mais ça n’a pas changé le monde. Des gens bien meilleurs que moi, comme l’abbé Pierre ou Mère Thérésa ont payé d’exemple mais ça n’a pas sauvé le monde.

    En revanche, la résistance non-violente mais déterminée, la désobéissance civique ont changé le monde pour les Indiens avec Gandhi, les noirs américains avec Martin Luther King et l’Afrique du Sud avec Nelson Mandela.

    Des technologies comme l’ordinateur et internet ont changé le monde. On s’est aperçu tout d’un coup qu’on n’avait plus besoin de machine à écrire et on s’apercevra demain qu’on n’a plus besoin des banques.



  • benevole 20 mai 2015 23:57

    @lloreen Bien d’accord lloreen, les décisions sont prises dans des instances non démocratiques comme le FMI et la BCE et pas plus tard qu’hier ou avant-hier, Olivier Bonfond, économiste de la FGTB signalait que les exigences du FMI envers la Grèce sont en contradiction de l’article 1 de ses propres statuts.

    Raison de plus pour exiger un système sans banques tel que décrit dans l’article ou pour le construire nous-mêmes.



  • benevole 20 mai 2015 23:30

    @Renaud Delaporte Mais bien sûr, Renaud, y a rien à faire, nous sommes perdus, nous sommes vaincus, ceux qui proposent des solutions sont des cons et de toutes façons quoi qu’on fasse on se fera avoir. Alors, ne rien faire, c’est le meilleur moyen de vous donner raison dans l’avenir. Quelle fierté !

    Bien sûr, les résistants, pendant l’occupation, étaient autorisés à résister, ils baignaient dans l’argent de l’oncle Sam.

    Je vous ai transmis une idée. Vous être contre les avantages que vous procurerait ce portefeuille ? Et bien ne le prenez pas quand on vous le proposera. Vous êtes pour ces avantages mais pensez qu’un jour ou l’autre ils seront détournés, eh bien ne mangez plus de fruits car un jour ou l’autre ils périront.



  • benevole 20 mai 2015 23:14

    @smilodon

    Comme vous êtes négatif ! Vous êtes aigri et je le comprends, la vie devient de plus en plus difficile pour ceux qui ne possèdent rien, mais en même temps vous êtes fataliste, donc résigné, donc inutile pour entamer quelque changement que ce soit.

    Avez-vous oublié les virus ? Ils sont tout petits, n’ont pas votre cerveau mais peuvent vous tuer. Les requins (de la finance) peuvent être emportés aussi par la maladie. Nous pouvons tous être les virus qui feront tomber les financiers.

    Remarquez que je n’écris pas « les riches » car il y a des riches qui méritent leur fortune parce qu’elle a été acquise par des services rendus à la communauté humaine. J’écris « les financiers » parce que cette race-là s’est enrichie en escroquant le reste de la population. Si vous me suivez, sans doute survivront-ils mais sans pouvoir encore s’enrichir davantage à nos dépens, et vous, vous survivrez avec bien plus de moyens qu’aujourd’hui.



  • benevole 20 mai 2015 20:02

    @Parrhesia

    Vous avez raison, personne ne peut prévoir le cours du ML (ni de toute autre devise) quand le ML fera son entrée sur le marché des changes.

    Mais j’ai suggéré de lui appliquer temporairement au départ la valeur de l’euro (pendant 1 mois minimum et deux ans maximum) et ceci arbitrairement ce qui permettrait que les prix affichés en euros et ML soient approximativement les mêmes (TVA déduite pour les ML) ce qui est possible si le ML n’est pas présenté sur le marché des devises. Pendant cette période, le gouvernement peut se servir des euros glanés par la TVA, les impôts et cotisations patronales pour rembourser la dette publique tandis que les entreprises étrangères qui disposent chez nous de parts de marchés préféreront accepter les ML à la valeur de l’euro, et avec l’espoir d’une plus-value ultérieure, plutôt que de perdre leur part de marché.

    Deux ans après, au plus tard, le ML est introduit sur le marché des devises. Sa valeur dépendra effectivement d’une appréciation des traders prenant en compte l’endettement du pays (réduit), la vigueur de son économie (revigorée par l’absence totale de taxes et impôts en ML et par les nouvelles implantations industrielles alléchées par cette absence) et d’autres facteurs tels que le rapport entre la quantité de monnaie émise et le patrimoine du pays (son PIB, ses infrastructures, ses richesses).

    Je peux me tromper mais je crois que tous ces paramètres seront en faveur des ML et donc qu’on assistera à une forte revalorisation de notre monnaie libre par rapport aux autres devises, ce qui favorisera nos importations mais pourrait réduire notre avantage à l’exportation. Mais qu’est-ce que ça changera pour nous, citoyens ? Sur le plan de notre consommation interne, rien du tout, nos revenus de base et salaires étant indexés sur le prix de la vie. Nous attirerons peut-être moins de touristes, ou un tourisme plus élitiste mais nous pourrons partir en vacances à moindres frais et consommer moins cher tout ce qui vient de l’étranger.

    De toutes façons, toutes les devises sont soumises à ces fluctuations et il en sera ainsi jusqu’au jour où tous les pays utiliseront la même devise. Pourquoi pas la nôtre puisque tous les défauts imputables au système actuel sont corrigés ?



  • benevole 20 mai 2015 17:11

    @lloreen
    Bien d’accord avec votre réponse. J’ai aussi des idées pour améliorer notre concept de démocratie mais avec le système monétaire actuel, même un gouvernement intègre serait soumis au chantage de la finance mondiale. D’où l’idée de l’en rendre d’abord indépendant. Si le fossé entre politiques et citoyens ne se comble pas, on pourra alors remettre en cause le système politique actuel.
    Et si le gouvernement ne saisit pas la perche que nous lui tendons en lui proposant ce système, nous pourrions concevoir le logiciel portefeuille un peu différemment de sorte qu’il faille de nouvelles élections avant qu’un gouvernement puisse l’utiliser pour se financer.



  • benevole 20 mai 2015 16:56

    @lloreen
    Je suis parfaitement d’accord avec votre réaction et j’ai aussi des idées sur la manière de réformer la démocratie mais, dans le système monétaire d’aujourd’hui, même les meilleurs représentants du peuple subiraient le chantage des banques et des marchés.

    D’où l’idée de les rendre d’abord indépendants de ceux-ci. Après, si le fossé d’incompréhension entre politiques et citoyens ne se comble pas, nous pourrons envisager une réforme du système démocratique.



  • benevole 20 mai 2015 16:42

    @Parrhesia Merci d’abord pour votre lecture attentive du lien de référence qui sert de base à cet article.

    A propos de l’inviolabilité du système, merci de vous reporter à ma réponse à Jean Keim

    Sous le chapitre « Mais voici la bonne nouvelle, le 1er de chaque mois » , je confirme qu’il s’agit bien d’une monnaie libre mais l’attribution de sa valeur sera celle décrite dans l’article : valeur de départ : celle de l’euro, montant des revenus de base : tels que décrits et indexés pour qu’ils restent en rapport avec leur contre-valeur actuelle en pouvoir d’achat. Si un gouvernement met ce projet en application, pourquoi choisirait-il d’autres valeurs au risque, encore une fois de s’aliéner la population ? Quel serait son intérêt ? A partir du moment où il ne dépend plus des banques, et où ses recettes basées sur le PIB/habitant sont logiques et défendables face aux pays voisins, et qui plus sont largement suffisantes, pourquoi en changerait-il ? La liaison à l’index est la même pour un gouvernement que pour un citoyen, changer l’index du premier le change automatiquement pour tout portefeuille de citoyen qui se connecte au portefeuille du gouvernement ou d’une autorité locale. Le logiciel est conçu pour être immuable. Donc,si vous estimez que certaines valeurs devraient être changées, c’est le moment de le dire. Le logiciel pourrait très bientôt être produit par la société civile.

    J’ai du mal à saisir votre pensée quand vous écrivez : "Ajoutons à cela la suppression des systèmes d’allocations familiales, de chômage, de retraite etc. etc… et l’on voit tout de suite comment évoluerait la gestion du troupeau de M. Panurge !!!" Qu’avez-vous en tête ? Un revenu de base de 1.500 ML n’est-il pas supérieur aux allocations de chômage ? Pourquoi faudrait-il en payer en plus ? Les revenus de base pour les enfants ne remplacent-ils pas correctement les allocations familiales ? Les 2.000 ML à partir de 60 ans ne sont-ils pas supérieurs à la majorité des allocations de retraite ? Seuls ceux qui bénéficient actuellement d’une retraite plus confortable pourraient s’en plaindre mais ils la doivent souvent à des cotisations à des fonds de pension qui continueraient à les verser. Bref, l’État pourrait s’épargner tous les frais sociaux et administratifs liés à l’URSSAF mais devrait encore prévoir des suppléments pour le système maladie-invalidité en fonction de la nature et du coût pour le patient de la maladie ou du handicap. L’absence d’autres frais administratifs et sociaux devrait lui permettre de dégager les moyens nécessaires.

    A propos de ce que vous appelez le Charity Business, si j’avais écrit ce que vous écrivez, je serais rouge de honte ! Vous avez soutenu pendant des décennies un système assassin, soit par vos votes pour les partis dominants, soit par votre absence de révolte. Vous avez cautionné l’exploitation des richesses du sud par la colonisation ou par la mise en place de dirigeants fantoches à la solde de l’occident, vous êtes donc co-responsable des centaines de millions de morts par l’extrême pauvreté et des suicides dans nos régions pour raisons économiques (2 par jour en Grèce actuellement) et vous avez le toupet de privilégier les petites économies que vous pourriez faire grâce à un revenu de base qui vous serait donné en plus de ce que vous avez aujourd’hui par rapport aux souffrances et à la mort des personnes vivant dans l’extrême pauvreté ? 

    Quant aux doutes que vous insinuez dans votre dernière phrase, je pense que le lecteur attentif à mes écrits précédents (Le robin, la garantie d’une société plus humaine et La monnaie du partage) tous deux accessibles encore (je crois) au format numérique sur Amazon suffiront à attester que, depuis 1997, je lutte en faveur d’une monnaie qui serve l’homme et combats celles qui l’asservissent.

    Quels gages avez-vous donnés de votre intérêt pour une monnaie qui nous serve à tous plutôt que pour une monnaie qui vous serve à vous ? En tous cas, je n’en vois pas dans votre réaction.



  • benevole 20 mai 2015 15:14

    @Renaud Delaporte Ben si, (voir ma réponse à Enabomber)



  • benevole 20 mai 2015 15:07

    @Hervé Hum Comme la grande majorité des gens, vous raisonnez en vous tenant à vos points de repère actuels sans imaginer d’autres valeurs de référence qui impliquent d’autres comportements. C’est exactement l’erreur que vous commettez quand vous écrivez « qu’au dessus d’un seuil critique une société ne peut se passer de banques et de bourses de marchés ». Si vous aviez lu tous les liens que je fournis dans cet article, vous auriez vu comment on peut parfaitement s’en passer.

    « Comme la grande majorité des gens » dites-vous « Je confonds l’outil et la main qui le tient » et vous citez comme outils « l’État, la monnaie, l’entreprise, la banque et la bourse » et vous ajoutez « qu’il ne faut pas les détruire mais en changer les propriétaires ».

    Mais les propriétaires, aujourd’hui, c’est vous et moi et tous les autres (sauf pour la monnaie) : nous élisons nos représentants à la tête de l’État et devrions donc pouvoir le forcer à obéir à notre volonté mais ce n’est pas possible justement parce que la monnaie appartient aux banques qui peuvent se permettre de faire chanter les gouvernements, nous sommes tous libres de créer notre entreprise mais nous dépendons des banques pour la financer, nous pouvons tous acheter des actions des banques et jouer de l’argent sur le forex en sachant que nos adversaires sont les banques et qu’elles disposent des capitaux plus importants (puisqu’elles utilisent nos dépôts pour ce faire) et de logiciels bien plus sophistiqués. Bref, changer les propriétaires, cela ne veut rien dire.

    Ce que je dis, moi, c’est qu’il existe des outils dangereux et d’autres inoffensifs. Je dis que le principal de ces outils, c’est la monnaie parce que c’est celui qui est utilisé par tous, et donc que cet outil doit appartenir à tous et non être la propriété exclusive des actionnaires de banques.

    Je limiterai là ma réponse à votre accusation de « chanter un mensonge » car je pourrais être plus dur, d’autant que vous avouez n’avoir pas tout lu en détails.

    Pour vous démontrez que, pour ma part, je vous ai lu, je vais vous citer un passage d’un de vos articles : "

    Ainsi, les crimes commis par l’humanité sont nombreux. Chaque enfant ou adulte souffrant de faim est une torture faites contre eux par l’humanité. Chaque enfant ou adulte mourant de faim est un assassinat perpétré par l’humanité contre eux. Chaque enfant ou adulte réduit au travail forcé est un cas d’esclavage infligé par l’humanité contre eux. Chaque enfant ou adulte déporté, violé, massacré pour des raisons d’exploitation de matières ères ou/et pour des raisons de concurrence économique est un génocide accepté, soutenu et financé par l’humanité. Chaque dégradation de l’environnement, de la biodiversité menaçant l’avenir des générations futures est un crime de l’humanité contre celles ci. Les cas particuliers que représentent le génocide en RDC, le travail forcé d’enfants en Asie, la destruction d’espèces animales et végétales, toutes les violences faites contre les femmes, etc... sont des crimes de l’humanité.

    Certes nous pouvons accuser l’avidité sans frein ni morale des multinationales, tout comme l’incurie et la complicité des gouvernements, mais ne sont ils pas le reflet de notre propre consentement ? Les gouvernements ne sont ils pas élus par les citoyens ? Et les multinationales ne fonctionnent elles pas avec la participation active de ses employés et consommateurs du monde entier ? A toutes ces questions tout le monde connaît la réponse.

    Comme disait Einstein « la folie consiste à reproduire systématiquement la même chose en espérant obtenir un résultat différent » La démocratie actuelle en est la plus édifiante démonstration. Nous votons toujours pour les mêmes partis, issus des mêmes moules tout en espérant que leurs mensonges soit converti en vérité. Que leur lâcheté se transforme en courage. Que leur ambition personnelle se métamorphose en serviteur de l’intérêt général. Et la même chose peut être dites concernant les élites financières. L’expérience des siècles passés montrent très clairement que rien ne peut faire changer le comportement de ceux qui sont poussés par la cupidité, pour qui l’éthique n’a d’autre valeur que le profit qu’ils peuvent en tirer. Pourtant, rien n’y fait, nous espérons toujours que cette élite change d’elle même sa nature. Nous la laissons toujours nous prendre en main, nous guider tel un enfant incapable d’atteindre la maturité, d’affirmer sa volonté d’une société fondant le profit sur le respect de ses propres valeurs."

    Si vous vous donnez la peine de me lire dans le détail, vous comprendrez que je souscris à cette partie de votre article et que, notamment, le fait d’imaginer la monnaie solidaire (MS) est une réponse à ces crimes contre l’humanité. Ceux qui voudront obtenir les plus hauts d’intérêts, ou un pouvoir, devront d’abord avoir contribué à l’éradication du problème de la faim dans le monde et de l’extrême pauvreté. Le revenu de base étant aussi une solution pour en venir à bout.