• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Accueil du site > Tribune Libre > Voici la défaite programmée de la finance mondiale

Voici la défaite programmée de la finance mondiale

Elle gouverne la planète entière, contrôle tous les grands médias, manipule l'opinion, met au pas tous les gouvernements, déclare des guerres, contrôle notre vie privée et dispose d'un arsenal militaire et policier énorme pour mater toute rébellion.

Nous avons fait l'expérience de l'inutilité des manifestations et des grèves, de l'inutilité des élections et de la plupart des pétitions. Un sentiment de rage impuissante anime les citoyens les plus lucides, ceux qui cherchent sur Internet les informations à plusieurs sources, tandis que les autres sombrent dans une morne résignation.

Aussi impossible que cela vous paraisse à cet instant précis, la défaite de la finance mondiale est pourtant déjà programmée car nous avons le pouvoir de tarir la source de sa puissance.

JPEG - 8.6 ko
Desmond Tutu

 Chaque euro ou dollar existant est sorti du néant suite à une dette contractée par un particulier, une entreprise ou un Etat. Sorti du néant veut dire créé par une simple inscription d'un montant sur le compte d'un débiteur.

Pour cette simple inscription, la banque exige le paiement d'intérêts que ses actionnaires se partagent, à titre de dividendes. Et ces intérêts, dans le cas de l'immobilier ou des crédits accordés à l'Etat, peuvent se révéler supérieurs au montant initial du crédit en fonction de la durée de remboursement. Ce sont donc des sommes colossales que les actionnaires des banques empochent au titre de dividendes.

J'ai suffisamment expliqué, dans de précédents articles, les effets désastreux des intérêts bancaires sur l'économie en général et sur l'économie sociale en particulier pour y revenir ici puisque ce n'est pas l'objet de cet article. Le lecteur mal informé pourra s'instruire sur cette page : http://www.chercherlaverite.com où il trouvera entre autres quelques vidéos instructives.

Il pourrait aussi visionner ce discours d'une petite fille de 12 ans, au Canada, qui semble plus instruite et intelligente que les énarques français qui se sont succédés à la Présidence de la République et n'ont pas encore identifié la cause de tous les problèmes du pays. https://www.youtube.com/watch?v=Wkv9ZYfk7fs

Tarir la source de la puissance de l'oligarchie financière

Aujourd'hui, les services utiles que peut rendre une banque (héberger des comptes, assurer le mouvement des transactions, les archiver, octroyer des crédits, gérer les remboursements) peuvent être effectués gratuitement par un logiciel qui tiendrait dans un appareil de la taille d'un smartphone. Ce portefeuille électronique permettrait aussi des échanges de main à main, sans pièces ni billets, simplement en le branchant à un autre portefeuille électronique à la manière d'une prise Peritel.

Une description plus complète de ce système inviolable et décentralisé est accessible sur la page http://www.chercherlaverite.com/crbst_1.html

que vous devrez absolument lire attentivement avant de poursuivre la lecture de cet article.

Certes, il s'agit d'un article de politique-fiction. A ma connaissance, les gouvernements belge et français n'ont même jamais pensé à cette solution mais maintenant que le concept existe, pour peu que la population exige qu'il soit lancé dans le débat public, les gouvernements auront du mal à justifier les efforts qu'ils vous réclament pour payer éternellement les intérêts d'une dette publique qu'ils pourraient rembourser sans douleurs en laissant coexister l'euro et les deux nouvelles monnaies au titre de devises nationales pendant un an ou deux.

Au cours de cette période également les salaires et transactions commerciales en euros seraient toujours taxés au contraire des salaires et transactions en monnaie libre. Les impôts et taxes serviraient exclusivement à rembourser la dette (pour autant qu'on veuille la rembourser car elle est illégitime) sans pour autant diminuer le budget de l'Etat puisqu'il recevrait en ML une somme très voisine de ses actuelles recettes annuelles. Et avec moins de charges puisque le revenu de base accordé par le logiciel à chaque citoyen remplace les allocations de chômage, de survie, de retraite et les allocations familiales. Tout en remboursant leur dette, les gouvernements pourraient donc relancer l'économie du pays par de nouveaux investissements.

Il leur serait difficile aussi d'expliquer pourquoi ils n'utiliseraient pas ce système alors qu'ils éprouvent des difficultés à payer les retraites.

Avec ce nouveau système, seuls les retraités qui bénéficient d'une allocation de plus de 1.500 € seraient lésés encore que, comme tous les autres, ils n'auraient plus à payer de TVA. Le logiciel pourrait d'ailleurs augmenter jusqu'à 2.000 ML le revenu de base de toute personne ayant atteint l'âge de 60 ans. Puisque les retraités ne sont plus sur le marché du travail, le montant alloué n'aurait pas d'impact négatif sur la motivation à travailler.

Alors qu'ils prétendent vouloir rendre nos entreprises plus compétitives, nos gouvernements auraient aussi du mal à expliquer pourquoi ils refuseraient ce système grâce auquel plus aucune taxe, impôt ni cotisation patronale ne serait prélevée.

Plus besoin non plus d'impôts sur le travail, de cotisations sociales, de TVA, d'accises sur le carburant, sur les boissons ou sur le tabac, plus de taxes de circulation, plus d'impôts fonciers et donc, pour l'Etat, une énorme économie en frais d'administration.

Alors qu'ils prétendent lutter contre l'insécurité, les gouvernements devront répondre à la question de savoir pourquoi ils n'adopteraient pas ces nouvelles monnaies qui provoqueraient automatiquement une baisse de la criminalité. L'éradication de la pauvreté grâce au revenu de base et aux dons générateurs de MS à des associations humanitaires, sociales, écologiques, culturelles et sportives, la disparition à terme des banques, l'inviolabilité des portefeuilles, la traçabilité des transferts de fonds sont autant d'éléments qui devraient faire reculer la délinquance.

Alors qu'ils ont sauvé les banques en 2008 sous le prétexte d'éviter un chaos, demandez à vos gouvernements s'ils ont prévu un plan pour doter immédiatement la population d'un pouvoir d'achat en cas de faillite des banques. Ils vous diront qu'ils ont pris des mesures pour éviter ces faillites et que la BCE est en train d'injecter mille milliards d'euros dans le système bancaire à cette fin mais ce n'est là qu'une péripétie. L'histoire de la monnaie est jalonnée de krachs que personne n'avait vu venir. Demandez-leur donc si le risque zéro existe et, dans la négative, si leur première responsabilité n'est pas de se doter de ce système pour faire face à toute éventualité.

Au passage, demandez-leur pourquoi ils préféreraient emprunter sur les marchés et payer des intérêts plutôt que gratuitement à leur logiciel ? S'ils essaient de discréditer le système décrit sur la page web alors qu'is ne l'ont jamais essayé, répondez-leur qu'on a bien essayé le leur et qu'il est aberrant.

Et s'ils tentent d'éluder vos questions, s'ils détournent le sujet, s'ils refusent le débat, alors concluez sans hésiter que ce sont des corrompus. Et entrez en résistance.

La résistance !

Face à un pouvoir injuste, il y a trois attitudes possibles : la résistance, la collaboration molle et la collaboration active. La collaboration active est celle qui parie sur le pouvoir en place pour en retirer du profit, la collaboration molle est celle des résignés qui obéissent aux ordres du pouvoir, la résistance est celle des hommes libres, dotés d'une conscience, qui ne respectent que les lois justes et pratiquent la désobéissance civique devant les lois qu'ils estiment injustes.

Sous l'occupation, par exemple au temps où l'Inde était encore une colonie anglaise ou sous le régime de Pétain en France, le clivage entre ces trois catégories était plus accentué. Dans les deux cas, c'est la résistance qui l'a emporté et ceci, bien que les collaborateurs mous soient les plus nombreux.

Face à l'occupation de notre pays par la finance mondiale, la résistance peut s'opérer de manière non violente par la désobéissance civique, à la manière dont Gandhi a libéré l'Inde du joug britannique.

La société civile peut parfaitement concevoir, développer, et distribuer elle-même ce logiciel-portefeuille. A priori, rien d'illégal puisque des milliers de monnaies complémentaires et des centaines de monnaies cryptées existent déjà dans le monde tout à fait légalement.

L'argument de marketing principal serait qu'il est indispensable d'avoir un moyen de paiement en cas de nouvelle crise systémique qui aboutirait à la faillite des banques. Et accessoirement que le portefeuille peut déjà être utilisé comme moyen de paiement au titre de monnaie complémentaire.

Les signes de la proximité de l'effondrement du système sont abondants et les riches s'y préparent déjà comme vous pourrez le constater en consultant les liens suivants :

http://www.brujitafr.fr/2015/03/attention-un-vent-de-faillites-bancaires-souffle-en-europe.html

http://pro.publications-agora.fr/JIMOF01/EJIMR519?email=JMFl%40skynet.be&a=3&o=28498&s=30718&u=32059&l=132384&r=MC&g=0&h=true

http://pro.publications-agora.fr/JAGFISC/EJAGR509?email=JMFl%40skynet.be&a=3&o=28402&s=30598&u=32059&l=131776&r=MC&g=0&h=true

Ce dernier lien est particulièrement intéressant, non seulement parce qu'il démontre l'inefficacité des mesures prises par les gouvernements pour traquer la fraude fiscale, les vrais riches cachant leur fortune, et la faisant fructifier dans les bitcoins, mais surtout parce qu'il montre qu'une monnaie cryptée échappe à toute tentative de contrôle gouvernemental.

Ces articles proviennent de publications qui s'adressent aux investisseurs, donc aux possédants mais, quand viendra l'effondrement du système, qui sauvera les plus pauvres et la classe moyenne paupérisée ?

Si les gouvernements ne le font pas, nous devrons le faire nous-mêmes. Au contraire des collaborateurs mous, les riches ne craignent pas d'enfreindre les lois. Ils les dictent aux gouvernements et s'en mettent à l'abri.

A nous, résistants, de trouver les développeurs et l'industriel qui mettront les portefeuilles électroniques sur le marché. A nous de convaincre les moutons menés à l'abattoir, de se doter du moyen de survivre à une crise systémique.

A nous de les informer de ce que savent les initiés car les médias grand public leur répéteront que tout va bien jusqu'à ce qu'il soit trop tard.

Ces portefeuilles électroniques devraient se vendre comme des petits pains, ce qui récompensera le travail de ceux qui les auront conçus et fabriqués.

Les hommes libres, qui fulminent déjà contre l'asservissement de leur pays à la finance mondiale, tenteront de convaincre un maximum de commerçants et d'entrepreneurs d'accepter et utiliser ces monnaies complémentaires. Beaucoup y verront une occasion de fidéliser leur clientèle et d'en séduire une nouvelle car, bien entendu, il y aura une demande de la population intéressée à utiliser son revenu de base. Un réseau se formera dans la population et l'Etat perdra massivement des recettes TVA et des impôts directs puisque ces ponctions ne sont pas prévues dans le système.

Aucun scrupule à avoir ! Dans une démocratie, c'est le peuple qui commande et le gouvernement qui obéit, exactement l'inverse de ce que vous observez aujourd'hui. S'il n'a pas pris l'initiative de doter lui-même la population de ces portefeuilles, il devra démissionner et de nouvelles élections seront organisées avant qu'un nouveau gouvernement puisse utiliser le budget prévu dans le nouveau système. Là, il risque d'y avoir une surprise car, si c'est la société civile qui conçoit le logiciel, les élections ne porteront pas sur des partis mais sur des hommes et des femmes dont chaque électeur pourra prendre connaissance des idées grâce au lien vers leur blog ou site web.

Quand la majorité de la population disposera de son portefeuille électronique, elle transformera ses euros en monnaie libre et provoquera ainsi la faillite des banques...si elle n'est pas survenue entre-temps.

Comme vous l'avez compris en lisant l'article sur http://www.chercherlaverite.com/crbst_1.html

nous n'aurons plus jamais besoin de banques, de bourse, de marchés, ni d'agences de notation.


Moyenne des avis sur cet article :  3.81/5   (26 votes)




Réagissez à l'article

63 réactions à cet article    


  • Diogène diogène 19 mai 2015 17:03

    Staline avait demandé (ironiquement) : le Vatican ? Combien de divisions ?

    Cela signifiait qu dans une guerre, le réseau d’influence diplomatique tissé par l’église catholique depuis des siècles n’avait aucun poids devant une logistique militaire. Et lh’istoire lui a donné raison. Ce sont les soldats de l’armée rougequi on eu raison de la force nazie, avec la participation décisive de l’armée américaine.

    Moi je demande (gentiment) : bénévole, combien de divisions ?

    • benevole 19 mai 2015 17:18

      @diogène Combien de divisions avait Gandhi quand il a libéré l’Inde ? Combien en avait Martin Luther King quand il a réussi à faire voter les droits civiques des noirs américains ? Combien en avait Nelson Mandela quand il a vaincu l’apartheid ?
      Mais surtout, Diogène, combien en faudrait-il à l’oligarchie mondiale pour fouiller toutes les maisons à la recherche d’un portefeuille électronique de toutes manières inviolable ?
      A quoi sert-il d’avoir des divisions pour poser au gouvernement la question "Pourquoi ne pas utiliser ce système pour sortir de la dette, du problème de financement des pensions, de la compétitivité des entreprises, de l’insécurité, du paiement des allocations de chômage, etc..." Et si vraiment on constate encore une langue de bois, pourquoi ne financerions nous pas la production de ces portefeuilles en le concevant de telle manière que le gouvernement soit obligé de démissionner avant qu’un autre puisse se financer avec ce système ?


    • straine straine 20 mai 2015 00:16

      Citatation :
      « Une description plus complète de ce système inviolable et décentralisé est accessible sur la page http://www.chercherlaverite.com/crbst_1.html que vous devrez absolument lire attentivement avant de poursuivre la lecture de cet article. »
       :: :: :: :: :: :: :: :: :: :: :: :: :: :: :: :: :: :: :: :: :: :: :: :: :: :: :: :: ::

      Sans rire, la personne qui a rédigée l’article « que nous devons absolument lire attentivement » n’a pas assimilée les interdépendances misent en place pour justement empêcher toutes velléités d’indépendance ... Voir la Balance du Commerce Extérieure et l’origine des produits achetés par le citoyen de base !
      La condition sine-qua-non passe par une ré-industrialisation du pays !

      Les sommes galactiques que s’octroient l’élite mondiale n’a aucune contrepartie dans le monde réel ; seul 2% de la masse monétaire totale sert l’économie réelle  !
      Pire encore leur capital se bâtit sur notre dette !!!!!


      • benevole 20 mai 2015 10:55

        @straine Si je vous comprends bien, vous voulez dire qu’en écrivant l’article « La France, la Belgique et la Grèce préparent leur sortie de l’euro », je n’ai pas tenu compte du fait qu’une majorité des produits achetés par le citoyen de base vient de l’étranger ? C’est bien votre pensée ?

        Si vous m’avez bien lu, vous constaterez que j’ai prévu une période de transition courte (maximum 2 ans) au cours de laquelle l’euro resterait une devise officielle, les multinationales (et les PME qui le souhaitent) pourraient continuer à payer les salaires en euros. J’ai aussi précisé qu’au cours de cette période de transition, la valeur des ML serait arbitrairement liée à la valeur de l’euro.

        Mettez-vous maintenant à la place d’entreprises étrangères ou multinationales ayant des parts de marché dans nos pays. Préféreront-elles perdre leur part de marché ou acheter un portefeuille ML de manière à la conserver et de réaliser peut-être une très belle plus-value quand le ML entrera sur le marché des changes ?

        Par la suite, grâce à ces ML, elles pourront établir des centres de production dans nos pays, payer les salaires en ML et bénéficier de l’absence totale de taxes et impôts, lois patronales, etc... Leur bénéfice brut sera le bénéfice net. N’est-ce pas la réindustrialisation que vous appelez de vos vœux ?


      • izarn izarn 24 mai 2015 15:06

        @benevole
        Faire du capitalisme contre le capitalisme c’est de l’escroquerie.


      • elpepe elpepe 20 mai 2015 03:52

        eh oui tant que l on aura des escrocs au gouvernement ce systeme sera perpetre,
        mais on vote pour eux, n oublions jamais


        • Le p’tit Charles 20 mai 2015 07:53

          +++++

          Excellent article qui touche le fond du problème de la finance internationale... !
          Ne pas oublier que notre société est le fait des peuples qui votent pour mettre en place ces « SAGOUINS »...
          Les magouilleurs ne font que profiter de la bêtise des gens...Des « ESCROCS » serte..mais accepter par la meute de l’humanité décérébré...

          • lloreen 20 mai 2015 09:10

            Je suis en tous les points d’ accord avec votre article.
             Il y a cependant un point important que vous n’ abordez pas. Parallèlement à la faillite intrinsèque du système de l’ argent-dette il y a celui de la faillite de l’ état de droit.

            En effet, lorsqu’ un un menteur accède à la présidence, que des escrocs de la finance obtiennent le contrôle du ministère des finances, que les faussaires entérinent des pseudo lois (plus exactement des dictats), et que les maitre-chanteurs et les racketteurs disent le droit les populations se retrouvent dans un pseudo état sans aucune légitimité. Cette situation n’ est pas propre à la France, elle se constate sur tous les territoires soumis à ce dictature de la dette, qui est une imposture en soi.

            On naît libre et tout ce qui porte atteinte à la liberté est vicié dès le départ et donc illégitime.
            Un principe du droit français veut que « Qui ne dit mot, consent ». C ’est aller un peu vite en besogne mais il faut dire que nul n’ est obligé de se soumettre à des dictats si telle n’ est pas sa volonté.

            Comme exemple, je donnerai celui du COMER (Committee for Monetary & Economic Reform) au Canada qui a intenté une action en justice contre la loi de 1973,dite loi Rothschild la même, soit dit
            en passant, que celle qui asservit les populations des états occidentaux à l’ escroquerie de la dette.

            Références de l’ affaire :
            http://decisions.fct-cf.gc.ca/fc-cf/decisions/fr/item/72554/index.do

            Depuis le 26 janvier 2015 cette loi Rothschild est annulée au Canada pour inconstitutionnalité. Il faut savoir que partout où elle a été votée, cette loi est entachée d’ illégalité.

            L’ information est donc capitale et il faut la diffuser le plus largement possible. Le gouvernement canadien a organisé l’ omerta des médias pour empêcher la diffusion de cette information essentielle, ce qui prouve l’ effet dévastateur qu’ elle a pour les escrocs.
            Le fait que le ministre français des finances, Monsieur Macron est un (ex ?) employé de la banque Rothschild est une preuve supplémentaire que la France est dirigée par des agents des Rothschild, ceux-là même qui contrôlent la City de Londres (La Couronne).3

            Il faut donc rendre à Rothschild ce qui appartient à Rothschild.
            https://bestofactus.wordpress.com/2013/02/21/dette-rendons-a-rothschild-ce-qui-appartient-a-rothschild/


            • benevole 20 mai 2015 16:56

              @lloreen
              Je suis parfaitement d’accord avec votre réaction et j’ai aussi des idées sur la manière de réformer la démocratie mais, dans le système monétaire d’aujourd’hui, même les meilleurs représentants du peuple subiraient le chantage des banques et des marchés.

              D’où l’idée de les rendre d’abord indépendants de ceux-ci. Après, si le fossé d’incompréhension entre politiques et citoyens ne se comble pas, nous pourrons envisager une réforme du système démocratique.


            • benevole 20 mai 2015 17:11

              @lloreen
              Bien d’accord avec votre réponse. J’ai aussi des idées pour améliorer notre concept de démocratie mais avec le système monétaire actuel, même un gouvernement intègre serait soumis au chantage de la finance mondiale. D’où l’idée de l’en rendre d’abord indépendant. Si le fossé entre politiques et citoyens ne se comble pas, on pourra alors remettre en cause le système politique actuel.
              Et si le gouvernement ne saisit pas la perche que nous lui tendons en lui proposant ce système, nous pourrions concevoir le logiciel portefeuille un peu différemment de sorte qu’il faille de nouvelles élections avant qu’un gouvernement puisse l’utiliser pour se financer.


            • lloreen 20 mai 2015 22:53

              @benevole

              C ’est encore et toujours la Déclaration des droits de l’ homme et du citoyen qui a valeur supra légale et qui prévaut.
              Nul ne peut se voir imposer des traités dont il n’ a pas connaissance et tout ce qui est donc conclu en secret est illégitime, nul et non avenu.

              Pour l’ instant, la majorité des citoyens gobent tout ce que des pseudo « experts », « représentants » ou autres « autorités » auto proclamées ou co optées décident ou signent sans jamais sur pencher sur le fait de savoir si tous ces contrats, traités ou autres décisions sont conformes au droit ou s’ ils sont entachés d’ un vice.
              Tout ce que des officines signent en catimini n’ a aucune valeur légale même si c ’est claironné « officiellement » ou par des « personnes autorisées ».
              Autorisées par qui ? Nul ne le sait.
              Signé où et comment ? Mystère.

              Les états tels qu’ ils fonctionnent ne sont rien d’ autre que des entreprises commerciales et à ce titre de multinationales gouvernementales, elles sont inscrites auprès de la SEC américaine (Securities and exchange commission).

              La preuve en lien :

              http://www.sec.gov/cgi-bin/browse-edgar?action=getcompany&SIC=8888&owner=exclude&match=&start=0&count=40&hidefilings=0

              La république française est une société commerciale enregistrée .
              La preuve en lien.

              UPIK® Record - L LRegistered company nameREPUBLIQUE FRANCAISE PRESIDENCE
              Non-registered name or business unit
              LD-U-N-S© Number542472212 LRegistered address55 R DU FAUBOURG SAINT HONORE LPost code75008 LCityPARIS
              CountryFrance WCountry code241
              Post office box number

              Post office box town

              Telephone number

              Fax number

              Name primary executive
              WActivity (SIC)9199

              Il en va de même avec tous les autres états de l’ UE.
              Voici les informations concernant la RFA :

              UPIK®-Search hit list To access the detailed information, you have to click on the company name. LBundesrepublik DeutschlandAlt-Moabit 101DBranchBerlin LBundesrepublik DeutschlandTaubenstr. 42-43BranchBerlin LBundesrepublik DeutschlandScharnhorststr. 34-37BranchBerlin LBundesrepublik DeutschlandDorotheenstr. 84BranchBerlin LBundesministerium für Gesundheit und soziale SicherungWilhelmstr. 49BranchBerlin LBundesrepublik DeutschlandAlexanderplatz 6BranchBerlin LBundesrepublik DeutschlandJerusalemer Str. 24BranchBerlin LBundesrepublik DeutschlandAlt-Moabit 101DBranchBerlin LBundesrepublik DeutschlandJägerstr. 9BranchBerlin LBundesrepublik DeutschlandBreite Str. 3BranchBerlin LBundesrepublik DeutschlandPlatz der Republik 1HeadquartersBerlin
              L e gouvernement allemand est un entreprise commerciale : UPIK® Record - L LRegistered company nameRegierung der Bundesrepublik Deutschland
              Non-registered name or business unit
              LD-U-N-S© Number342914780 LRegistered addressBrandtstr. 1 LPost code13467 LCityBerlin
              CountryGermany WCountry code269
              Post office box number

              Post office box town
              LTelephone number03040000 WFax number018882722555 WName primary executivePeter Altmaier WActivity (SIC)9199

            • benevole 20 mai 2015 23:57

              @lloreen Bien d’accord lloreen, les décisions sont prises dans des instances non démocratiques comme le FMI et la BCE et pas plus tard qu’hier ou avant-hier, Olivier Bonfond, économiste de la FGTB signalait que les exigences du FMI envers la Grèce sont en contradiction de l’article 1 de ses propres statuts.

              Raison de plus pour exiger un système sans banques tel que décrit dans l’article ou pour le construire nous-mêmes.


            • Hector Hector 20 mai 2015 09:17

              Article intéressant qui a le mérite d’encourager à voir plus loin. Pour cela :
              http://fr.sott.net/article/18541-Pyramides-et-effondrement-economique-a-venir


              • Jean Keim Jean Keim 20 mai 2015 09:19

                Quelques idées comme ça en vrac :

                Un programme inviolable est-il réellement concevable ?
                Que se passe-t-il si le portefeuille tombe en panne ?
                Le monde sera inchangé dans son organisation avec toujours une hiérarchie qui aura un plus gros portefeuille.
                Pourquoi conserver le système de prêt avec intérêt, qui dit intérêt dit profit non basé sur le travail.
                Et un dernier point, parmi tous les systèmes de reconnaissance d’empreinte digitale que j’ai côtoyé, aucun ne fonctionnait correctement mais ce n’est qu’un détail.

                Il y a néanmoins de bonnes idées que j’ai imaginé également, notamment la remise à zéro du compte à la fin du mois pour éviter tout détournement ou thésaurisation est indispensable.



                • benevole 20 mai 2015 13:22

                  @Jean Keim
                  Je ne suis pas un grand informaticien mais j’ai lu quelques idées sur la question de l’inviolabilité. Inviolabilité du portefeuille : oui si le code source s’efface à la moindre tentative d’y accéder, il ne resterait alors que les data et seul un code source original (breveté) permettrait de les récupérer. En pratique, celui qui essaierait de bidouiller son code source pour toucher davantage chaque mois en serait quitte pour commander un nouveau portefeuille. En connectant physiquement celui-ci à l’ancien, et uniquement si le code source de celui-ci est effacé, il lui serait possible de récupérer les données.

                  l’inviolabilité des transactions est optimisée par le fait que le système est décentralisé. Les données ne transitent pas par un serveur central mais directement d’un portefeuille à un autre et, qui plus est, elles sont cryptées. Pour les intercepter, il faudrait 1) connaître la clef des deux portefeuilles 2) connaître le processus de cryptage, ce qui est impossible sauf pour l’informaticien qui l’a mis au point en raison de l’effacement du code source en cas de tentative d’intrusion 3) connaître les paramètres des 2 appareils qui dépendent de la date et heure de la transaction à la fraction de seconde près et du temps écoulé pour chacun des portefeuilles depuis leur première validation. Ces données sont échangées entre les deux portefeuilles mais non visibles pour leurs propriétaires.

                  Si un portefeuille tombe en panne, ce sera vraisemblablement la batterie, on la remplace.Pour toute autre raison, on efface le code source et on remplace l’appareil par un nouveau qui récupérera les données comme expliqué plus haut.

                  Vous écrivez que le monde sera inchangé dans son organisation avec toujours une hiérarchie qui aura un plus gros portefeuille. Oui et non ! Si vous voulez dire qu’il y aura toujours des plus riches et des moins riches, vous avez raison. Il sera possible en effet de transférer un capital en ML et d’autre part ceux qui travailleront mériteront effectivement de gagner plus que ceux qui se contentent du revenu de base. Mais la source première de la richesse, à savoir les intérêts bancaires, n’existera plus puisque les particuliers, les entreprises et les États pourront s’octroyer un crédit sans intérêts à l’aide de leur portefeuille. Et donc, les fortunes construites par ces actionnaires de banques aux dépens des véritables créateurs de richesses vont se tarir. De nuisibles, leurs propriétaires deviendront utiles car ils seront bien obligés de faire œuvre utile en investissant dans la production ou en soutenant des associations humanitaires ou sociales, ce qui procure les meilleurs taux d’intérêts.

                  Si vous voulez dire que l’État bénéficiera toujours d’un budget supérieur à celui des citoyens, vous avez raison. Il faut voir l’État et les autres pouvoirs locaux comme les émanations de nos souhaits collectifs (je sais que c’est difficile à imaginer actuellement mais, s’il ne dépend plus de la finance pour se financer, votre gouvernement pourra davantage se consacrer aux souhaits des citoyens). Il nous est impossible individuellement de construire des routes, des hôpitaux, de payer des enseignants, de financer la police, l’armée ou la justice. Il faut bien qu’une entité s’en charge et dispose des moyens de nos ambitions communes. A nous de sortir les élus qui ne suivent pas nos directives communes. Le système que je propose permet un meilleur contrôle des dépenses de l’État et autres niveaux de gestion publique et permet aussi à ces derniers d’organiser un referendum.

                  Pourquoi conserver le système de prêts avec intérêts ? Parce que, si on permet aux gens d’effectuer des transactions d’un portefeuille à l’autre, il est impossible de les empêcher. Vous pourriez me verser 10.000 ML en me faisant signer une reconnaissance de dette et un plan de remboursement flanqué d’un intérêt de 8%. Donc, je me dis qu’il vaut mieux encadrer ces prêts privés. Le taux d’intérêts serait fixé obligatoirement entre 0 et 5% selon accord des parties, le portefeuille se chargera lui-même des remboursements ce qui offre une garantie au prêteur.

                  Juste une chose encore : ce n’est pas le compte ML qui est remis à zéro à la fin du mois mais la partie inutilisée du revenu de base. Les salaires sont intacts. En d’autres termes, pour un adulte qui n’a pas dépensé un minimum de 1.500 ML sur le mois, la différence entre 1.500 et la somme réellement dépensée est effacée.


                • Jean Keim Jean Keim 20 mai 2015 14:10

                  @benevole 
                  Merci pour la réponse.

                  Dans ce que j’avais imaginé d’une nouvelle organisation de la société et dans le cadre d’un revenu universel, j’envisageais la mise en place d’un service civil où chaque personne valide suivant ses compétences, ses talents et son inclination, remplirait une tache utile à la communauté pendant un temps à définir et ensuite libre à chacun d’organiser sa vie comme il l’entend et même de travailler pour un complément de revenu.
                  Dans une société de partage, la gratuité et le troc trouveraient du sens.

                • izarn izarn 24 mai 2015 15:14

                  @Jean Keim
                  Valeur travail=argent=esclavage.
                  Sortir du prolétariat est la seule issue.
                  Le fondement de l’argent c’est de pouvoir rafler une partie du travail réel d’une personne.
                  Alors tu négocies ton ravail en argent et tu l’as invariablement dans le paf, devant la massue, l’épée et la carabine du capitaliste, le « marché »... Ou l’Etat, ce qui est la meme chose.


                • Enabomber Enabomber 20 mai 2015 09:20

                  Une grosse, grosse lacune dans le raisonnement. Pour le résultat escompté, il faudrait une majorité agissante. On ne lui demande même pas de penser, l’idée est déjà assez utopique comme ça.


                  • benevole 20 mai 2015 14:02

                    @Enabomber Si un gouvernement n’en prend pas l’initiative, une minorité agissante suffira pour concevoir, produire et distribuer ces portefeuilles. La majorité molle, généralement paralysée par la peur (peur du changement, de l’autorité, d’une catastrophe) se laissera tenter par deux arguments : la peur d’un effondrement du système qui ruinerait ses économies et l’obligerait à échanger ses biens les plus précieux contre quelques poules, une vache et un coin de potager pour survivre et le fait que s’ils ne sont pas utilisés en public, ces portefeuilles sont indétectables. Puis, parce qu’elle sera tentée d’utiliser ce revenu de base qui permet à certains voisins d’améliorer leur train de vie,, la majorité molle deviendra une majorité agissante.


                  • izarn izarn 24 mai 2015 15:19

                    @benevole
                    Il existe déja ce porte monnaie : Ce sont les bons billets en papier, et les bonnes pieces en métal. Ce qui fait une économie non comptabilisée par les banques et l’état ; dite « marché noir ».
                    On appelle ça la masse monétaire M1.
                    C’est simple ! Hahahahahahha !


                  • benevole 24 mai 2015 18:00

                    @izarn

                    Vous avez appris ça depuis quand ?
                    Parce que ça, tout le monde le sait et vous vous ridiculisez avec vos commentaires.

                    Dans le système que j’ai exposé, il n’y a plus besoin de pièces et billets parce qu’on peut connecter deux portefeuilles l’un à l’autre et inscrire le montant à payer de l’un vers l’autre. Et ce n’est pas centralisé, donc pas davantage comptabilisé, sauf par votre portefeuille. Et ceci constitue un avantage car si vous êtes soupçonné de consommer ou vendre de l’héroïne, la justice pourra démanteler le réseau en consultant les transactions de votre portefeuille. Ce n’est qu’un exemple. Cela vaut aussi pour tous les trafics et la corruption mais pour l’honnête homme, rien à craindre, votre historique est privé et personne n’y touchera. Même un pickpocket n’aurait aucun intérêt à voler votre portefeuille électronique, à moins de voler vos pouces en même temps. smiley


                  • lloreen 20 mai 2015 09:20

                    Le fait est donc qu’ AUCUN pays n’ est une démocratie.
                    Si les peuples veulent s’ émanciper de leur asservissement illégitime aux escrocs du système de l’ argent-dette, qui n’ est qu’ une imposture de plus ajoutée à celle des pseudo démocraties européennes, ils devront s’ investir dans l’ instauration d’ un véritable système démocratique.
                     


                    • lloreen 20 mai 2015 09:46

                      Tous les habitants des territoires européens vivent donc dans des pseudo démocraties en tant qu’ esclaves des escrocs qui contrôlent leur système frauduleux de la dette.

                      La même chose peut être dite pour les habitants de l’ Amérique asservis à l’ imposture de la FED.

                      Cet état de fait (et non de droit) implique donc que ces imposteurs lèvent l’ impôt qu’ ils soustraient aux caisses des états pour payer leurs milices qu’ ils utilisent pour déstabiliser tous les états sur lesquels ils n’ ont pas encore le contrôle, pour soudoyer les politiciens, pour payer les lobbyistes et les agents qu’ ils infiltrent dans des structures diverses et variées . Ils financent aussi les rebelles et les organisations de « libération » pour organiser le chaos à partir duquel ils contrôlent les uns et les autres.

                      Ils contrôlent la planète entière par l’ intermédiaire de leurs services secrets et l’ affaire de la NSA (l’ espionnage planétaire) en est la plus parfaite démonstration.Ils sont au courant de tout ce qui se dit et peuvent donc organiser le terrorisme partout où leurs intérêts sont engagés.

                      L’ exemple de la tuerie de Charlie Hebdo et celui de la tragédie de German Wings se doit d’ interpeller les esprits.Chaque crime s’ est déroulé à un moment où la France et la RFA étaient en négociation avec la Russie de Poutine, l’ ennemi juré des Rothschild et ces deux actions de déstabilisation - au même titre que le crime odieux du 11 septembre 2001 sont des tragédies qui sont imputables au syndicat du crime constitué par la haute finance internationale.

                      Cet extrait illustre exactement ce que de nombreux auteurs lucides disent depuis si longtemps et qui se vérifie chaque jour dans n’ importe quel endroit de la planète.
                      La récente loi française sur la restriction des libertés (les pseudo lois pour lutter contre le « terrorisme ») est une preuve de plus - s’ il en fallait encore une ... !- que le cartel bancaire est l’ ennemi N° 1 des populations asservies à son système de la pseudo-dette et que le terroriste N° 1 est celui du syndicat criminel de la haute finance.
                      Lorsque les populations auront saisi les tribunaux pour y déférer tous les agents inféodés à cette haute finance qui assassine, maltraite et asservit, le terrorisme sera éradiqué de même que l’ imposture des usuriers.

                      Extrait.

                      "L’or de la Banque de France n’est donc pas sous l’autorité de l’état français (!).

                      L’or placée à la Banque de France, est placée sous l’autorité de la BDF contre garanti des dépôts / promesse d’avoir.

                      Sans aval, et dans le plus grand secret, la BDF (désormais sur ordre de la BCE) peut décider d’évacuer l’or dans un autre pays. (Comme la BDF l’avait déjà fait, par sa seule décision entre 1932 et 1940 – source)

                      En 1936, la BDF était sous l’autorité de seuls actionnaires : 
                      Francis Delaisi recensait alors « les 200 familles » détentrices (source) :

                      – FED –

                      La FED (Réserve Fédérale US) est elle aussi privé et depuis décembre 1913, joue un rôle dominant sur la création monétaire aux US (et par ricochet dans le monde via le « pétro-dollar »).

                      Dans les années 30 et jusqu’à la reddition de 1940, l’or de la BDF avait été évacué. Une partie non négligeable vers les coffres de la Réserve Fédérale (FED) aux US.

                      Qui possède la FED ?

                      La FED est née sous l’impulsion du « Baron Alfred Rothschild – petit fils de Mayer Amschel Rothschild et directeur de la Banque d’Angleterre » (source) . Selon Mullins (source), ces actionnaires sont :

                      • Les Rothschild (pour 53% – source)
                      • Les Frères Lazard (Eugene Mayer) ;
                      • Israel Sieff ;
                      • La Compagnie Kuhn Loeb ;
                      • La Compagnie Warburg ;
                      • Les Frères Lehman ;
                      • Goldman Sachs ;
                      • La Famille Rockefeller ; et
                      • Les Intérêts de J. P. Morgan.

                      « Rien ne se fait dans le monde, du moins pour sûr dans le monde occidental, sans l’aval de la City et son cartel banquier. Son influence sur le politico-économique a atteint son paroxysme et perdure depuis au moins les guerres napoléoniennes lorsque la banque Rotschild finançait les deux côtés de la belligérance.

                      De fait, Wall Street n’existerait pas sans la city de Londres. Wall Street est inféodé à la City et non pas l’inverse. Les Rockefeller et autres Morgan, Warburg etc, sont les agents de la city au « nouveau monde », dans une Amérique soit disant « indépendante » de l’influence britannique. Le cartel des banques privées des banques centrales, incluant la Banque d’Angleterre et leur QG de la Banque des Règlements Internationaux de Bâle prennent leurs ordres à la City de Londres. La couronne d’Angleterre et sa banque sont inféodées à la City de Londres et non pas l’inverse.

                      La City de Londres est le nid de l’hydre (…) » (Resistance 71 – 30/05/2013)"

                      Source :https://bestofactus.wordpress.com/2013/02/21/dette-rendons-a-rothschild-ce-qui-appartient-a-rothschild/


                      • lloreen 20 mai 2015 10:01

                        Si vous vous donnez la peine de lire jusqu’ à la fin le lien que je vous invite à lire avec la plus grande attention, vous vous rendrez compte à quel point nous sommes entourés de marchands d’ illusions (fausses croyances) et de consommateurs sous hypnose.

                        https://bestofactus.wordpress.com/2013/02/21/dette-rendons-a-rothschild-ce-qui-appartient-a-rothschild/


                        • Parrhesia Parrhesia 20 mai 2015 10:39

                          Dans le lien http://www.chercherlaverite.com/crbst_1.html

                          >>> Ce portefeuille se présenterait sous la forme d’un boîtier électronique… il contiendrait un programme informatique inviolable.<<<

                          Pour le moment, il y a de fortes raisons de douter de l’inviolabilité de tout système informatique. Pour assurer cette inviolabilité il faudrait :

                          a) S’être assuré au préalable de la supériorité technique de 100% des techniciens ayant participé à l’élaboration du système sur l’énorme potentialité préexistante de tricheurs, hackers et autres escrocs dont les méfaits encombrent nos media. Nous n’en sommes pas encore là.

                          b) Que cette supériorité technique soit doublée d’une supériorité morale, démocratique et politique également totale. Or, à l’examen de certains comportements de systèmes comptant parmi les plus sophistiqués et les plus puissants politiquement de la planète, nous avons de fortes raisons d’en douter !

                          >>> Mais voici la bonne nouvelle ! Au 1er jour de chaque mois,… <<<

                          En fait de bonne nouvelle, il s’agit ici de la présentation d’un système monétaire basé sur une « monnaie libre » dont, aussi bien l’attribution du montant que la contre-valeur en pouvoir d’achat seront arbitrairement fixés par une autorité échappant à tout contrôle politique. Lorsque l’on comprend que cette ou ces autorités seront plus que probablement désignées par les mêmes pouvoirs occultes « médiatico-financiers » qui nous gouvernent déjà, c’est pas une nouvelle enthousiasmante !

                          Ajoutons à cela la suppression des systèmes d’allocations familiales, de chômage, de retraite etc. etc… et l’on voit tout de suite comment évoluerait la gestion du troupeau de M. Panurge !!!

                          Mais ce n’est pas tout ! Cerise sur le gâteau, ceux qui, dans un tel système, auraient encore la possibilité de réaliser quelques économies se les verraient « effacer » sauf contribution volontaire aux associations de tous poils sans oublier, donc, le « charity business » devenue « Religion officielle du XXIème siècle !!!

                          Quel Bonheur !!!

                          >>> Que pensez-vous de tout cela ? <<<

                          Pour gagner du temps, j’en pense que la qualité réelle de notre corps électoral (j’évoque ici le Corps électoral français), donc de notre population, donc de l’intérêt qu’il y a à la sortir du bourbier dans lequel elle s’enlise, va maintenant se mesurer très rapidement à la nature et à la force de sa réaction à ces formes ubuesques de « manipulation-farce-tragédie ». Et si nous voulons changer de monnaie, revenons à l’économie-politique de de Gaulle. Là nous saurons ce que nous avons dans notre bourse… Malheureusement il est toujours plus facile d’être antigaulliste que d’être de Gaule !!!

                          Et pour en revenir à l’article de base, si le système de l’argent-dette est effectivement condamné, demandons-nous plutôt si « le crédit sans intérêt et la montée du pouvoir d’achat (revenu de base + salaire – taxes) qui résulterait de l’adoption d’un tel système ( ?!?), est bien le but recherché par les apprentis-sorciers qui nous proposent inconsidérément des révolutions sociétales encore plus dangereuses que les révolutions classiques !!!


                          • benevole 20 mai 2015 16:42

                            @Parrhesia Merci d’abord pour votre lecture attentive du lien de référence qui sert de base à cet article.

                            A propos de l’inviolabilité du système, merci de vous reporter à ma réponse à Jean Keim

                            Sous le chapitre « Mais voici la bonne nouvelle, le 1er de chaque mois » , je confirme qu’il s’agit bien d’une monnaie libre mais l’attribution de sa valeur sera celle décrite dans l’article : valeur de départ : celle de l’euro, montant des revenus de base : tels que décrits et indexés pour qu’ils restent en rapport avec leur contre-valeur actuelle en pouvoir d’achat. Si un gouvernement met ce projet en application, pourquoi choisirait-il d’autres valeurs au risque, encore une fois de s’aliéner la population ? Quel serait son intérêt ? A partir du moment où il ne dépend plus des banques, et où ses recettes basées sur le PIB/habitant sont logiques et défendables face aux pays voisins, et qui plus sont largement suffisantes, pourquoi en changerait-il ? La liaison à l’index est la même pour un gouvernement que pour un citoyen, changer l’index du premier le change automatiquement pour tout portefeuille de citoyen qui se connecte au portefeuille du gouvernement ou d’une autorité locale. Le logiciel est conçu pour être immuable. Donc,si vous estimez que certaines valeurs devraient être changées, c’est le moment de le dire. Le logiciel pourrait très bientôt être produit par la société civile.

                            J’ai du mal à saisir votre pensée quand vous écrivez : "Ajoutons à cela la suppression des systèmes d’allocations familiales, de chômage, de retraite etc. etc… et l’on voit tout de suite comment évoluerait la gestion du troupeau de M. Panurge !!!" Qu’avez-vous en tête ? Un revenu de base de 1.500 ML n’est-il pas supérieur aux allocations de chômage ? Pourquoi faudrait-il en payer en plus ? Les revenus de base pour les enfants ne remplacent-ils pas correctement les allocations familiales ? Les 2.000 ML à partir de 60 ans ne sont-ils pas supérieurs à la majorité des allocations de retraite ? Seuls ceux qui bénéficient actuellement d’une retraite plus confortable pourraient s’en plaindre mais ils la doivent souvent à des cotisations à des fonds de pension qui continueraient à les verser. Bref, l’État pourrait s’épargner tous les frais sociaux et administratifs liés à l’URSSAF mais devrait encore prévoir des suppléments pour le système maladie-invalidité en fonction de la nature et du coût pour le patient de la maladie ou du handicap. L’absence d’autres frais administratifs et sociaux devrait lui permettre de dégager les moyens nécessaires.

                            A propos de ce que vous appelez le Charity Business, si j’avais écrit ce que vous écrivez, je serais rouge de honte ! Vous avez soutenu pendant des décennies un système assassin, soit par vos votes pour les partis dominants, soit par votre absence de révolte. Vous avez cautionné l’exploitation des richesses du sud par la colonisation ou par la mise en place de dirigeants fantoches à la solde de l’occident, vous êtes donc co-responsable des centaines de millions de morts par l’extrême pauvreté et des suicides dans nos régions pour raisons économiques (2 par jour en Grèce actuellement) et vous avez le toupet de privilégier les petites économies que vous pourriez faire grâce à un revenu de base qui vous serait donné en plus de ce que vous avez aujourd’hui par rapport aux souffrances et à la mort des personnes vivant dans l’extrême pauvreté ? 

                            Quant aux doutes que vous insinuez dans votre dernière phrase, je pense que le lecteur attentif à mes écrits précédents (Le robin, la garantie d’une société plus humaine et La monnaie du partage) tous deux accessibles encore (je crois) au format numérique sur Amazon suffiront à attester que, depuis 1997, je lutte en faveur d’une monnaie qui serve l’homme et combats celles qui l’asservissent.

                            Quels gages avez-vous donnés de votre intérêt pour une monnaie qui nous serve à tous plutôt que pour une monnaie qui vous serve à vous ? En tous cas, je n’en vois pas dans votre réaction.


                          • Parrhesia Parrhesia 20 mai 2015 18:24

                            @benevole

                            Merci de m’avoir consacré une réponse aussi documentée.
                            Je reconnais que vous défendez fort bien votre point de vue. De mon côté, j’admets que la paresse et l’âge venant, j’ai de moins en moins de goût pour ce genre de débat.
                            Je me bornerai donc à une seule contradiction à votre réponse.
                            Personne ne peut assurer qu’un revenu de base en « ML » sera supérieur ou inférieur à un revenu en Euros ou en n’importe quelle autre monnaie pour la simple raison que nous ne pouvons avoir aujourd’hui aucune certitude sur les modalités réelles de fixation du cours des « ML » non plus que sur la qualité des experts qui les fixeront exactement, non plus que sur les conditions d’évolutions des autres monnaies.
                             Puis-je en outre recourir à une certaine expérience. Depuis le denier d’argent rogné de Guillaume X d’Aquitaine (le plus ancien qui me revienne en mémoire à cette minute, mais il y en eu tant d’autres) jusqu’à la suppression de l’étalon-or, une certaine expérience donc, me permets de douter que votre système devienne un jour le seul au monde à ne pas avoir été peu ou prou bricolé pour des questions d’intérêts plus ou moins valables !
                            En fait, la seule chose que nous puissions aujourd’hui considérer comme probable, c’est que le dollar et l’euro nous explosent dans la figure, ce qui justifie, il est vrai, la recherche d’un changement de système ou, à tout le moins, l’étude de plus en plus urgente du retour à un système viable et déjà éprouvé.

                          • benevole 20 mai 2015 20:02

                            @Parrhesia

                            Vous avez raison, personne ne peut prévoir le cours du ML (ni de toute autre devise) quand le ML fera son entrée sur le marché des changes.

                            Mais j’ai suggéré de lui appliquer temporairement au départ la valeur de l’euro (pendant 1 mois minimum et deux ans maximum) et ceci arbitrairement ce qui permettrait que les prix affichés en euros et ML soient approximativement les mêmes (TVA déduite pour les ML) ce qui est possible si le ML n’est pas présenté sur le marché des devises. Pendant cette période, le gouvernement peut se servir des euros glanés par la TVA, les impôts et cotisations patronales pour rembourser la dette publique tandis que les entreprises étrangères qui disposent chez nous de parts de marchés préféreront accepter les ML à la valeur de l’euro, et avec l’espoir d’une plus-value ultérieure, plutôt que de perdre leur part de marché.

                            Deux ans après, au plus tard, le ML est introduit sur le marché des devises. Sa valeur dépendra effectivement d’une appréciation des traders prenant en compte l’endettement du pays (réduit), la vigueur de son économie (revigorée par l’absence totale de taxes et impôts en ML et par les nouvelles implantations industrielles alléchées par cette absence) et d’autres facteurs tels que le rapport entre la quantité de monnaie émise et le patrimoine du pays (son PIB, ses infrastructures, ses richesses).

                            Je peux me tromper mais je crois que tous ces paramètres seront en faveur des ML et donc qu’on assistera à une forte revalorisation de notre monnaie libre par rapport aux autres devises, ce qui favorisera nos importations mais pourrait réduire notre avantage à l’exportation. Mais qu’est-ce que ça changera pour nous, citoyens ? Sur le plan de notre consommation interne, rien du tout, nos revenus de base et salaires étant indexés sur le prix de la vie. Nous attirerons peut-être moins de touristes, ou un tourisme plus élitiste mais nous pourrons partir en vacances à moindres frais et consommer moins cher tout ce qui vient de l’étranger.

                            De toutes façons, toutes les devises sont soumises à ces fluctuations et il en sera ainsi jusqu’au jour où tous les pays utiliseront la même devise. Pourquoi pas la nôtre puisque tous les défauts imputables au système actuel sont corrigés ?


                          • Renaud Delaporte Renaud Delaporte 20 mai 2015 10:46

                            nous avons le pouvoir de tarir la source de sa puissance.

                            Ben non, puisque nous n’avons pas le pouvoir d’imposer ce bidule technologique indémachinable.
                            D’ailleurs, quelle société s’est-elle bâtie sur une technologie ?


                            • benevole 20 mai 2015 15:14

                              @Renaud Delaporte Ben si, (voir ma réponse à Enabomber)


                            • Renaud Delaporte Renaud Delaporte 20 mai 2015 21:47

                              @benevole
                              Vu et lu : yakafokon !
                              Sauf que la « minorité agissante » n’existe que si elle est autorisée à le faire (et financée à cette fin) et que si cela était, c’est que le principe est récupérable par le pouvoir en place pour le plus grand profit de nos marionnettistes.
                              Sinon, couic la « minorité agissante ».


                            • benevole 20 mai 2015 23:30

                              @Renaud Delaporte Mais bien sûr, Renaud, y a rien à faire, nous sommes perdus, nous sommes vaincus, ceux qui proposent des solutions sont des cons et de toutes façons quoi qu’on fasse on se fera avoir. Alors, ne rien faire, c’est le meilleur moyen de vous donner raison dans l’avenir. Quelle fierté !

                              Bien sûr, les résistants, pendant l’occupation, étaient autorisés à résister, ils baignaient dans l’argent de l’oncle Sam.

                              Je vous ai transmis une idée. Vous être contre les avantages que vous procurerait ce portefeuille ? Et bien ne le prenez pas quand on vous le proposera. Vous êtes pour ces avantages mais pensez qu’un jour ou l’autre ils seront détournés, eh bien ne mangez plus de fruits car un jour ou l’autre ils périront.


                            • Renaud Delaporte Renaud Delaporte 21 mai 2015 01:00

                              @benevole
                              Chacun arrive dans son petit coin avec sa petite solution qu’elle est vachement géniale et que les zôtes y sont trop bêtes pour y penser. Ben oui. Le problème, cher monsieur, est qu’aucun avantage sectoriel ne peut faire changer quoi que ce soit.

                              Je ne discute pas ici du fond de votre proposition, je l’ai à peine survolée et elle ne m’intéresse pas. Basée sur un gadget technologique, elle est par nature d’une extrême fragilité. Aucune technologie n’est suffisamment résiliente pour qu’un nouveau modèle social puisse être fondé sur son emploi. Les modèles sociaux basés sur l’énergie bon marché, qui ont forgé les 150 années passées, vont disparaître parce que l’énergie bon marché va disparaître - et pas pour des raisons écolo-mécano-technocratoïdes, mais simplement parce qu’elle l’énergie bon marché est de nature entropique (qui favorise les initiatives faiblement consommatrices d’information, à laquelle pourrait se rattacher la vôtre) alors que les cercle de pouvoir sont par nature structurants (et ne survivent que par un parfait contrôle de l’information. Ne cherchez pas ailleurs l’engouement pour les réseaux sociaux : ils sont un de ces mécanismes par lesquels les proprio ré-organisent cette entropie à leur profit). Tout ce dont nous avons besoin pour approcher du pouvoir devient hors de notre porté avant que ne puissions penser à l’utiliser. Faut pas prendre nos proprios pour des cons. Ils ont toujours trois coups d’avance.

                              LA solution, pour changer de société, est tellement simple, tellement évidente, tellement à notre portée, qu’elle parait utopique à tout le monde. Elle consiste à partager ce que nous avons avec ceux qui ont moins que nous sans attendre que ceux qui ont plus se mettent à partager. L’alliance du bac+17 cadre hyper supérieur à Bercy avec le boucher chevalin du coin de la rue, du bonnet rouge désencarté avec le cégétiste de la SNCM. Nous ne pouvons nous en sortir qu’ainsi, par un sursaut moral d’une intensité supérieure à toutes les tensions clivantes qui déchirent la société.

                              Les puissants jouent au go. C’est sur ce terrain qu’il faut gagner.
                              Un jour, tout paraîtra perdu, le jeu n’aura plus que quelques cases blanches mais ce sont elles qui suffiront à tout inverser. Parce que ce sera ce sursaut ou la mort.
                              Ce jour-là, vous laisserez tomber votre bazar. Il est déjà trop gourmand en informations et en énergie et représente un vrai boulet pour une (r)évolution.
                               


                            • benevole 21 mai 2015 01:29

                              @Renaud Delaporte J’ai pratiqué votre solution et ça n’a pas changé le monde. J’en ai bénéficié également et ça n’a pas changé le monde. On en a même fait un film très émouvant : « Un monde meilleur » mais ça n’a pas changé le monde. Des gens bien meilleurs que moi, comme l’abbé Pierre ou Mère Thérésa ont payé d’exemple mais ça n’a pas sauvé le monde.

                              En revanche, la résistance non-violente mais déterminée, la désobéissance civique ont changé le monde pour les Indiens avec Gandhi, les noirs américains avec Martin Luther King et l’Afrique du Sud avec Nelson Mandela.

                              Des technologies comme l’ordinateur et internet ont changé le monde. On s’est aperçu tout d’un coup qu’on n’avait plus besoin de machine à écrire et on s’apercevra demain qu’on n’a plus besoin des banques.


                            • Renaud Delaporte Renaud Delaporte 21 mai 2015 11:40

                              @benevole « Des technologies comme l’ordinateur et internet ont changé le monde. »
                              Non. En apparence, quelques libertés ici ou là qui ont servi à créer une accoutumance, à introduire dans les consciences quelques croyances à un monde « meilleur » pour 15% de la population mondiale (dont vous et moi) mais ces libertés sont maintenant en cours d’éradication (vous lisez les journaux, n’est-ce pas ?). L’Internet est entièrement sous contrôle. Est-ce vous qui contrôlez l’Internet ? Non ? Alors vous ne contrôlerez jamais votre système. Est-ce vous qui contrôlez la monnaie ? Lincoln et Kennedy ont essayé... Vous avez de meilleurs réseaux qu’eux ? Non ? Alors vous ne contrôlerez rien du tout.

                              J’ai pratiqué votre solution et ça n’a pas changé le monde. J’en ai bénéficié également et ça n’a pas changé le monde
                              Pourquoi écrivez-vous cela au passé ? Vous vous attendiez à un résultat dans les trois semaines ?
                              Faut pas vous arrêter : c’est le mouvement qui crée le résultat, pas le bilan final parce qu’il n’y aura jamais de bilan final, de « monde changé », seulement un monde en mouvement.


                            • benevole 21 mai 2015 12:29

                              @Renaud Delaporte

                              Si nous pouvons converser aujourd’hui, c’est grâce à Internet. Sans lui, nous ne nous connaîtrions pas. Il ne s’agit pas de contrôler Internet, personne ne le contrôle si ce n’est localement, mais de s’en servir en toute liberté. Il ne s’agit pas non plus, dans mon article, de contrôler la monnaie mais de la retirer du pouvoir de ceux qui la contrôlent.


                            • Renaud Delaporte Renaud Delaporte 24 mai 2015 11:38

                               @benevole
                              Il ne s’agit pas non plus, dans mon article, de contrôler la monnaie mais de la retirer du pouvoir de ceux qui la contrôlent.
                              Retirer la monnaie du pouvoir de ceux qui la contrôlent revient à en prendre le contrôle !
                              Vous ne répondez aux questions que l’on vous pose que par de gentils contournements de la réalité.

                              Renseignez-vous sérieusement sur l’histoire de la monnaie depuis son commencement. Depuis Sumer, elle est le seul réel instrument du pouvoir. L’argent, c’est le pouvoir, le pouvoir, c’est l’argent, Vous ne pouvez les dissocier, comme vous ne pouvez dissocier l’œuf de l’huile dans une mayonnaise.
                              Qui crée la monnaie contrôle les échanges, qui contrôle les échanges possède le pouvoir et qui possède le pouvoir fabrique des armes pour le conserver.

                              Votre questionnement n’est pas impertinent : deux présidents des Etats-Unis sont morts d’avoir essayé de rompre ce cercle infernal. Croyez-vous y parvenir avec votre smartphone modifié ? Eh ! Oh ! Réveillez-vous : nous sommes sur la planète terre ! Votre proposition revient à dire « on prendra gentiment le pouvoir aux mecs qui ont déclenché deux guerres mondiales pour conserver le contrôle de la monnaie, comme ça ils nous ficheront la paix ! » Ils financent Daesh pour préparer la ruine de l’Europe, préparent la troisième guerre mondiale pour débarrasser la planète de l’influence chinoise, et vous, vous allez juste les anéantir avec votre petit commerce !

                              Commencez par racheter le système militaro-industriel anglo-saxon. Ensuite, et seulement ensuite vous pourrez installer le système poétique de votre choix pour mesurer les échanges. Pas avant, cher bénévole anonyme. Pas avant.


                            • benevole 24 mai 2015 15:12

                              @Renaud Delaporte

                               Vous écrivez : « Retirer la monnaie du pouvoir de ceux qui la contrôlent revient à en prendre le contrôle »

                              Manifestement, vous n’avez pas encore compris que ce contrôle, dans mon concept, est exercé par un logiciel programmé une fois pour toutes dans l’intérêt de tous les citoyens, des instances locales et nationales qui sont leurs émanations et des entreprises et associations qu’ils décident de constituer. 

                              Le seul contrôle exercé concerne la programmation initiale telle que je l’ai définie. Après, c’est toujours le logiciel qui exécute le programme de la même manière pour tous les individus, tous les États, toutes les instances locales, toutes les entreprises et associations. Si vous n’approuvez pas le programme tel que j’en ai tracé les grandes lignes, dites ce qui ne vous convient pas et ne venez pas me faire des procès d’intention.

                              Vous me récitez des leçons d’histoire ou d’actualité comme un prisonnier d’un contexte, incapable d’imaginer une autre réalité que celle que vous observez. Vous me faites penser à une personne qui aurait toujours vécu entre des terrils et serait incapable d’imaginer avoir sa maison en bord de mer.

                              Oui, depuis Sumer, l’argent est l’instrument du pouvoir. Et depuis la cité Athénienne, en démocratie, c’est le peuple qui devrait détenir le pouvoir. Vos grands-pères se sont battus en 1789 pour qu’il en soit ainsi et, bien sûr, Giscard en janvier 1973, a cédé la clef du pouvoir à l’oligarchie financière. Au lieu de le décapiter, vous l’avez nommé Président de la République, ce qui en dit long sur votre compréhension de la réalité et de la démocratie. (Je parle de la population française en général)

                              Aujourd’hui, au lieu de réagir, vous tenez des discours du genre « on n’arrivera à rien », « ils nous auront toujours » ô France émasculée, que tu me fais pitié ! Je ne prétends pas que les portefeuilles électroniques empêcheront de fabriquer des armes et autres produits toxiques, je ne prétends pas que cela débouche sur un monde parfait car la liberté pour chacun d’utiliser son argent comme il le souhaite ne saurait nous prémunir contre des utilisations négatives (et à vous lire, le négativisme n’est pas loin) mais du moins, ils tariront la source de la puissance de l’oligarchie financière qui ne pourra plus compter sur les intérêts qu’elle prélève quotidiennement à la population. Du moins ils permettront à la population de percevoir un dividende universel et d’accéder à un crédit sans intérêts, ils permettront aux gouvernements de se financer sans taxes ni impôts, ce qui ne pourra que relancer l’économie et l’emploi.

                              Quoi ? Elle me tuera comme les Présidents des USA assassinés ? Qu’elle le fasse ! D’autres sont déjà prêts à prendre le relais. On tue des gens mais les idées restent et grandissent d’autant plus vite.Qui, dans la population, n’achètera pas son portefeuille électronique, ne serait-ce que pour disposer de moyens de paiement le jour où les banques fermeront ? Les imbéciles qui ne le feront pas échangeront leur maison contre une vache, quatre poules et un coq ou leur voiture contre un mètre carré de potager en attendant de devenir les valets d’une nouvelle oligarchie qui inventera une monnaie à son profit.

                              On vous en aura proposé une à votre profit et vous l’aurez rejetée. Vos enfants vous diront merci ?
                               


                            • Renaud Delaporte Renaud Delaporte 24 mai 2015 15:59

                              @benevole

                              Manifestement, vous n’avez pas encore compris que ce contrôle, dans mon concept, est exercé par un logiciel programmé une fois pour toutes dans l’intérêt de tous les citoyens, des instances locales et nationales qui sont leurs émanations et des entreprises et associations qu’ils décident de constituer.
                              Pauvre bénévole.... Vous me faites le procès de l’échec d’un truc qui repose sur l’idée que les pierres volent et prétextez cette accusation pour refuser d’observer la pesanteur par vous-même.

                              La question posée ici est : qui sera désigné pour écrire ce logiciel ? Si les instances truc et machin possédaient le moindre pouvoir sur le cours des choses, elles commenceraient par stopper les guerres. Non ? Parce que si elles ne le font pas, c’est qu’elles en sont ignominieusement complices
                              On ne comprend que trop bien, hélas, que vous errez dans un monde totalement virtuel. Vous faites partie de tous ces moutons qui défendent bec et ongle l’idée que nous sommes en démocratie, refusant d’admettre toute ébauche de la moindre parcelle d’idée du fonctionnement RÉEL du pouvoir.

                              J’arrête-là.


                            • benevole 24 mai 2015 18:25

                              @Renaud Delaporte

                              Vous semblez trop limité pour comprendre que la démocratie se mérite et que, pour l’atteindre, il faut d’abord couper les ailes de ceux qui prennent le pouvoir sans qu’il leur soit confié.

                              Vous semblez ignorer qu’un logiciel est la transcription informatique d’instructions qui sont données au programmeur en langage humain. Et ces instructions en langage humain, vous les connaissez si vous avez lu la page http://www.chercherlaverite.com/crbst_1.html

                              Comme vous l’avez écrit le 21 mai, vous n’avez pas voulu étudier cette proposition. Vous l’avez à peine survolée et avez décrété qu’elle ne vous intéressait pas car basée sur un gadget électronique. C’est votre droit mais alors, ne parlez pas de ce que vous ne savez pas.

                              Quant à votre allusion aux pierres qui volent et à la pesanteur, elle est tellement hors sujet que je n’y répondrai pas. Comparer une science exacte comme la physique à une pseudo-science occulte comme l’économie monétaire, c’est confondre un oiseau avec un cerf-volant.


                            • Hervé Hum Hervé Hum 20 mai 2015 13:52

                              « nous n’aurons plus jamais besoin de banques, de bourse, de marchés, ni d’agences de notation. »

                              Non, au dessus d’un seuil critique et en raison de son mode de production, une société ne peut se passer de banques et de bourses de marchés.

                              Comme la grande majorité des gens, vous confondez l’outil de la main qui le tient.

                              La monnaie, l’état, l’entreprise, la banque et la bourse, sont des outils dont l’usage et le rendement dépendent du propriétaire. Bref, il ne s’agit pas de détruire l’outil, mais de changer de propriétaire.

                              La base de votre raisonnement est totalement tronqué et vous ne dites pas la vérité, mais chantez une autre mensonge, celui de faire croire que le problème est lié à l’outil et non à son maître.

                              J’avoue ne pas avoir lu dans le détail, mais le simple fait de ne rien toucher à la propriété de moyens de production, suffit à invalider ce modèle. Celui ci est voué à s’écrouler au moment même où il serait mis en place.

                              Ce que vous ne dites pas ou ignorez, c’est que la monnaie est une unité de compte et en tant que telle, doit avoir un équilibre entre un crédit et un débit, c’est à dire, un temps de travail dû ou détenu, contre un autre temps de travail. La création ex nihilo n’est effective que pour les intérêts, soit financier, soit par la plus valu prélevé par les propriétaires des moyens de production (les actionnaires) et enfin, soit par les propriétaires foncier. Mais s’il n’y a pas échange de valeur équivalente, alors, on ne peut pas parler de monnaie, mais de... ticket de rationnement !

                              Sans toucher à la propriété, un tel modèle n’est que la mise en forme du rêve ultra libéral des propriétaires de l’économie, à savoir, rendre le fossé entre les propriétaires et les autres irréversible et aboutir au fameux tittytainment.


                              • Jean Keim Jean Keim 20 mai 2015 14:32

                                @Hervé Hum
                                Peut-être êtes-vous prisonnier d’une habitude de pensée, dans le cadre d’une vie simple et frugale nous allons technologiquement vers des possibilités de produire individuellement et/ou localement l’essentiel de ce que nous avons réellement besoin pour notre existence, il vient le temps où les méga entreprises disparaîtront puisque devenues inutiles, les théories économiques en sont encore à la préhistoire avec un retard incommensurable vis à vis de la science, la technique et la technologie, ce que le cerveau est capable d’imaginer a été est ou sera réalisable. 

                                Ce que notre organisation actuelle justifie par l’analyse ou le raisonnement n’est que le résultat se ses propres modes de pensées.
                                Le monde reste à inventer et a contrario la pensee n’est-elle pas itérative et routinière ?

                              • benevole 20 mai 2015 15:07

                                @Hervé Hum Comme la grande majorité des gens, vous raisonnez en vous tenant à vos points de repère actuels sans imaginer d’autres valeurs de référence qui impliquent d’autres comportements. C’est exactement l’erreur que vous commettez quand vous écrivez « qu’au dessus d’un seuil critique une société ne peut se passer de banques et de bourses de marchés ». Si vous aviez lu tous les liens que je fournis dans cet article, vous auriez vu comment on peut parfaitement s’en passer.

                                « Comme la grande majorité des gens » dites-vous « Je confonds l’outil et la main qui le tient » et vous citez comme outils « l’État, la monnaie, l’entreprise, la banque et la bourse » et vous ajoutez « qu’il ne faut pas les détruire mais en changer les propriétaires ».

                                Mais les propriétaires, aujourd’hui, c’est vous et moi et tous les autres (sauf pour la monnaie) : nous élisons nos représentants à la tête de l’État et devrions donc pouvoir le forcer à obéir à notre volonté mais ce n’est pas possible justement parce que la monnaie appartient aux banques qui peuvent se permettre de faire chanter les gouvernements, nous sommes tous libres de créer notre entreprise mais nous dépendons des banques pour la financer, nous pouvons tous acheter des actions des banques et jouer de l’argent sur le forex en sachant que nos adversaires sont les banques et qu’elles disposent des capitaux plus importants (puisqu’elles utilisent nos dépôts pour ce faire) et de logiciels bien plus sophistiqués. Bref, changer les propriétaires, cela ne veut rien dire.

                                Ce que je dis, moi, c’est qu’il existe des outils dangereux et d’autres inoffensifs. Je dis que le principal de ces outils, c’est la monnaie parce que c’est celui qui est utilisé par tous, et donc que cet outil doit appartenir à tous et non être la propriété exclusive des actionnaires de banques.

                                Je limiterai là ma réponse à votre accusation de « chanter un mensonge » car je pourrais être plus dur, d’autant que vous avouez n’avoir pas tout lu en détails.

                                Pour vous démontrez que, pour ma part, je vous ai lu, je vais vous citer un passage d’un de vos articles : "

                                Ainsi, les crimes commis par l’humanité sont nombreux. Chaque enfant ou adulte souffrant de faim est une torture faites contre eux par l’humanité. Chaque enfant ou adulte mourant de faim est un assassinat perpétré par l’humanité contre eux. Chaque enfant ou adulte réduit au travail forcé est un cas d’esclavage infligé par l’humanité contre eux. Chaque enfant ou adulte déporté, violé, massacré pour des raisons d’exploitation de matières ères ou/et pour des raisons de concurrence économique est un génocide accepté, soutenu et financé par l’humanité. Chaque dégradation de l’environnement, de la biodiversité menaçant l’avenir des générations futures est un crime de l’humanité contre celles ci. Les cas particuliers que représentent le génocide en RDC, le travail forcé d’enfants en Asie, la destruction d’espèces animales et végétales, toutes les violences faites contre les femmes, etc... sont des crimes de l’humanité.

                                Certes nous pouvons accuser l’avidité sans frein ni morale des multinationales, tout comme l’incurie et la complicité des gouvernements, mais ne sont ils pas le reflet de notre propre consentement ? Les gouvernements ne sont ils pas élus par les citoyens ? Et les multinationales ne fonctionnent elles pas avec la participation active de ses employés et consommateurs du monde entier ? A toutes ces questions tout le monde connaît la réponse.

                                Comme disait Einstein « la folie consiste à reproduire systématiquement la même chose en espérant obtenir un résultat différent » La démocratie actuelle en est la plus édifiante démonstration. Nous votons toujours pour les mêmes partis, issus des mêmes moules tout en espérant que leurs mensonges soit converti en vérité. Que leur lâcheté se transforme en courage. Que leur ambition personnelle se métamorphose en serviteur de l’intérêt général. Et la même chose peut être dites concernant les élites financières. L’expérience des siècles passés montrent très clairement que rien ne peut faire changer le comportement de ceux qui sont poussés par la cupidité, pour qui l’éthique n’a d’autre valeur que le profit qu’ils peuvent en tirer. Pourtant, rien n’y fait, nous espérons toujours que cette élite change d’elle même sa nature. Nous la laissons toujours nous prendre en main, nous guider tel un enfant incapable d’atteindre la maturité, d’affirmer sa volonté d’une société fondant le profit sur le respect de ses propres valeurs."

                                Si vous vous donnez la peine de me lire dans le détail, vous comprendrez que je souscris à cette partie de votre article et que, notamment, le fait d’imaginer la monnaie solidaire (MS) est une réponse à ces crimes contre l’humanité. Ceux qui voudront obtenir les plus hauts d’intérêts, ou un pouvoir, devront d’abord avoir contribué à l’éradication du problème de la faim dans le monde et de l’extrême pauvreté. Le revenu de base étant aussi une solution pour en venir à bout.


                              • Tzecoatl Gandalf 25 mai 2015 10:21

                                @benevole


                                Sauf qu’à la base, le revenu de base est se prévaloir de l’exploitation d’autrui ou de la productivité de l’automatisation. Il en va de même de la monnaie libre.
                                On peut bien s’exploiter les uns les autres, mais pas tout le temps. 

                                Cependant, il permet de dégager du temps libre salvateur pour le bien-être, la nécessité, la projection temporelle.

                                Techniquement, la monnaie libre que vous proposez pourrait être faite avec un fair-phone tournant avec Tor. Cependant, c’est aussi tolérer les activités illégales des utilisateurs de Tor (pédophiles, pirates, usurpateurs, etc), puisque la défense se réserve les systèmes de cryptographie les plus pointus.

                              • smilodon smilodon 20 mai 2015 21:58

                                @ l’auteur : On pourra bien tous « crever » (et on crève tous), les riches survivront toujours !... Regardez-mieux dans la « nature » !... Les requins, les ours, les éléphants, les gorilles et tant d’autres, sont encore là !....... Les « forts » survivent toujours !.... Si on traduit le mot « fort » en langage « humain », on veut dire « riche » !... Les « riches » survivront !.. Ce sont les « forts » du paléolithique !.. Y’a qu’une météorite pour les tuer !... Parole de « smilodon » !.. Je le sais, j’y étais déjà !... Adishatz.


                                • benevole 20 mai 2015 23:14

                                  @smilodon

                                  Comme vous êtes négatif ! Vous êtes aigri et je le comprends, la vie devient de plus en plus difficile pour ceux qui ne possèdent rien, mais en même temps vous êtes fataliste, donc résigné, donc inutile pour entamer quelque changement que ce soit.

                                  Avez-vous oublié les virus ? Ils sont tout petits, n’ont pas votre cerveau mais peuvent vous tuer. Les requins (de la finance) peuvent être emportés aussi par la maladie. Nous pouvons tous être les virus qui feront tomber les financiers.

                                  Remarquez que je n’écris pas « les riches » car il y a des riches qui méritent leur fortune parce qu’elle a été acquise par des services rendus à la communauté humaine. J’écris « les financiers » parce que cette race-là s’est enrichie en escroquant le reste de la population. Si vous me suivez, sans doute survivront-ils mais sans pouvoir encore s’enrichir davantage à nos dépens, et vous, vous survivrez avec bien plus de moyens qu’aujourd’hui.


                                • Jean Keim Jean Keim 21 mai 2015 08:33

                                  @smilodon
                                  Pas convainquant comme argument, on ne donne par cher de la peau de certaines espèces que vous avez cité, le smilodon était une formidable créature et vous en êtes le dernier représentant ... une espèce dominante dépend des dominés, comprendre cette donnée est fondamental pour espérer un changement.


                                • lloreen 20 mai 2015 23:00

                                  A Liège (Belgique) il est désormais possible de payer avec le valeureux, une nouvelle monnaie locale.

                                  http://www.rtbf.be/info/regions/detail_liege-a-sa-monnaie-locale-le-valeureux?id=8292707

                                  En France, il existe le SEL.
                                  http://selidaire.fr/


                                  • Hermes Hermes 21 mai 2015 11:50

                                    Bonjour,

                                     pour être défait il faut se battre, mais la finance ne se bat pas de façon visible, et quel que soit le vainqueur, elle tire profit Il n’y aura « défaite » de la finance que lorsque pour une majorité de personnes l’argent ne sera plus un objectif de vie.... ce qui peut prendre un certain temps, car le système détecte et récupère rapidement toutes les tentatives d’échappatoire (sans parler des oppressions violentes)

                                    Cette formulation ’système" est habituelle mais trompeuse car ce sont des individus en réalité qui de façon opportuniste pour nourrir leurs compensations (cf ci-dessous), dévient les tentatives ou qui collaborent à ces déviations.

                                     L’impossibilité de vivre tranquille, présent et éveillé, produit des mécanismes de compensation attachés de façon illusoire aux mécanismes de survie. C’est la recherche, (en rêve pour beaucoup) du pouvoir et du prestige, du sexe et de l’argent. Les individus considèrent leurs différences, se comparent au travers de ces filtres, la satisfaction profonde intérieure (dans laquelle n ne cherche plus à se comparer ou se représenter) n’est jamais atteinte, juste un plaisir ponctuel. Cela produit, in fine, l’état global de violence dans lequel se trouve le monde. Et cet état (au niveau individuel ou global) que nous considérons, justifie (quelles que soient nos opinions et notre place dans la société), dans un cercle vicieux, que nous ne puissions vivre tranquille, présent et éveillé.

                                     Cela s’observe à chaque instant dans le détail des rapports humains de tous les jours. Les mécanismes globaux qui sont la résultante sur plusieurs milliards d’individus de ce sommeil, sont le reflet de notre comportement quotidien.

                                     Se réveiller produit une influence, apparemment modeste, mais en réalité c’est le pouvoir sur son propre vécu, la capacité d’être simplement et pleinement, au delà de tout sentiment d’orgueil, qui est en jeu, ce qui n’est pas rien ! smiley

                                    Le système évoluera en fonction de l’évolution des individus, ce qui n’est pas prévisible. Peut-être l’argent aura-til un autre rôle dans le futur ?

                                    Bonne journée.


                                    • benevole 21 mai 2015 13:28

                                      @Hermes Bonjour Hermès,

                                      Puis-je vous raconter une expérience personnelle ? Quand j’avais 18 ans, je voulais devenir éducateur au grand dam de mes parents qui me répétaient et me faisaient répéter par tout le voisinage et par les enseignants que ce métier ne payait pas, qu’il n’était même pas reconnu, que j’avais les capacités nécessaires pour entreprendre des études universitaires.

                                      J’ai tenu bon, persuadé que j’étais que si chacun, dans son coin, travaillait à l’épanouissement des autres, à aider, écouter, et comprendre les autres, le monde serait meilleur. L’argent n’était pas du tout une valeur pour moi à cette époque.J’en donnais volontiers pour soulager la misère des autres.

                                      Puis, je me suis rendu compte que l’argent me rattrapait. J’avais ouvert un foyer pour adolescents et obtenu un crédit de caisse (pour lequel plusieurs amis avaient signé avec moi comme cautions solidaires) qui avançait le montant des subsides qui suivaient régulièrement trois mois plus tard. Le budget mensuel était à l’époque de 500.000 FB

                                      Puis, est arrivée la régionalisation, le Ministère de tutelle passant de la Justice à la Communauté française et les subsides ont pris un an et demi de retard. En plus, parce que j’avais conservé dans le foyer un jeune sans famille qui n’avait que nous comme attache et qui d’ailleurs travaillait, la Communauté française a estimé que mes 5 éducateurs, le psychologue, l’assistant sociale et la cuisinière travaillaient 1/15 du temps pour lui et donc qu’elle pouvait ne verser que 14/15 des subsides afférents au foyer.

                                      Quand cet argent est enfin arrivé, la banque a dit « Par ici les intérêts » et a mis fin au crédit de caisse. Nous étions tous, mes amis qui avaient signé comme cautions solidaires et moi, des travailleurs sociaux et j’ai donc provoqué le malheur de ces familles en plus de la mienne. Pourtant, il n’y avait aucune place dans les subsides pour payer des intérêts bancaires. Les paiements du personnel étaient prévus et calculés au franc près, et il y avait autant par jour pour la nourriture, la literie, et autres dépenses courantes. Mon comptable avait très bien veillé à ce que ces budgets soient respectés.

                                      Là, j’ai compris que ceux dont l’argent n’est pas un objectif de vie, sont perpétuellement les victimes de ceux pour qui il l’est. Je n’en ai pas fait pour autant mon objectif de vie mais je me suis fixé comme objectif de réformer le système pour qu’il serve l’homme plutôt que les financiers.


                                    • Hermes Hermes 21 mai 2015 16:14

                                      @benevole Bonjour.
                                      Votre témoignage est très éclairant et je vous en remercie.
                                      L’argent, en faire ou pas un objectif de vie, c’est un phrasé un peu simplifié que j’ai utilisé pour ne pas alourdir mon commentaire, car il s’agit avant tout d’une question de dépendance psychologique, ou dit autrement de charge émotionnelle sur un thème de base. Cette dépendance peut avoir de nombreuses formes, de la plus directe - je veux avoir toujours plus d’argent et éviter que les autres me le prennent - à la plus extrème - je veux rester toujours pauvre- en passant par de nombreuses variantes comme par exemple : toute la vie etre obsédé par le fait de gérer mon budget au mieux.
                                      Etre contre l’argent ou ignorer son existence et par voie de conséquence le pouvoir destructeur des mécanismes mis en place par ceux qu n’en n’ont jamais assez, est un positionnement effectivement difficile et même potentiellement dangereux, qui exprime une forme particulière de charge par rapport à ce thème. A noter que pour ce qui est du pouvoir, on a les mêmes variantes positives et négatives, de même que pour le sexe.
                                      Dès lors qu’on a été connecté à son humanité, on va nécessairement dans le sens d’une humanisation de la société, à travers soi-même, n’est-ce pas ?
                                      Pour aller plus loin, le travail sur la présence est fondamental pour ne pas tomber dans le travers de défendre des principes ou des idées, car c’est une position vulnérable, il se trouvera toujours quelqu’un pour les détourner à son profit ! Cela permet aussi de se rendre compte que tout se joue en réalité dans des détails de la vie quotidienne.
                                      Le même mot selon le moment, et la façon dont on le prononce peut être une insulte terrible ou être reçu comme une remarque intéressante.
                                      C’est ce qui rend la communication sur Internet beaucoup plus difficile, car il y a très peu de signes qui permettent au corps de celui qui lit de ressentir ce que vit le corps de celui qui écrit. L’Utopie de la communication virtuelle est un grand malentendu.
                                      En espérant que notre échange n’en sera pas un.... Bonne soirée smiley


                                    • Tao ROBIN Tao ROBIN 21 mai 2015 15:25

                                      Bonjour

                                      je partage à fond les idées de @benevole.
                                      Mais il faut aussi envisager que ceux en place vont faire bloque et aussi de la résistance.
                                      Quelles vont être leurs lignes de contre-attaques ? Comment les envisager et les contrer ?


                                      • Hermes Hermes 21 mai 2015 16:21

                                        @Tao ROBIN

                                        Toujours détourner les idées sera la ligne de contre-attaque. Chaque idée deviendra au final un argument de vente ou de délégation de votre pouvoir. Il faut être capable de voir le jour et la nuit comme la même chose et ne pas dépendre d’une idée. De cette façon vous devenez imprévisible, vous restez constructif et libre. Le seul outil que vous avez c’est votre corps : que ressentez vous, que pensez-vous, que percevez-vous. Se connaître. Etre attentif et gagner en sérénité.

                                        Bonne soirée. smiley


                                      • benevole 21 mai 2015 22:07

                                        @Tao ROBIN Il faut d’abord s’attendre au silence...Le silence des médias donne l’impression au public que ça n’existe pas ou que ça ne vaut pas la peine d’être mentionné. Il évite aussi à la résistance de recruter de nouveaux membres. Un exemple de ce silence est celui qui a suivi la décision de la Justice canadienne d’obliger la Banque Nationale du Canada à financer directement le gouvernement.

                                        Ensuite, il faut s’attendre à des tentatives d’intimidation sur les meneurs, pressions ou chantages sur leurs biens, leur emploi, leur famille.

                                        Quand l’idée subversive (de leur point de vue) sera bien présente dans l’opinion publique, le temps viendra de la désinformation, de la diabolisation et de la décrédibilisation des responsables. Si des débats sont organisés, ce sera du genre tous contre un avec intervention de l’animateur pour couper la parole au « dissident » chaque fois qu’il abordera un sujet sensible.

                                        Pour contrer cette stratégie, il faudra que le public ait en mains les portefeuilles et puisse déjà juger de ses avantages.


                                      • Hermes Hermes 1er juin 2015 16:36

                                        @Tao ROBIN
                                        pour donner un exemple : le nouveau nom de l’UMP !


                                      • izarn izarn 24 mai 2015 15:03

                                        Je n’y comprends rien. Ou alors ce texte ne comprends rien du tout à la monnaie. Encore du jorionisme.
                                        Sachez que ce sont les banques qui fabriquent la monnaie dite « scripturale », elles seules.
                                        Votre monnaie fiduciaire est achetée à la banque centrale.
                                        Grosso modo, si avec votre porte monnaie vous n’etes pas capable de faire des lignes de crédit « ex-nihilo » basée sur seulement 3% de fond propre....
                                        C’est de la blague qui permettra aux banques de licencier du personnel.
                                        Preter de l’argent qui existe n’a désormais plus aucun sens. Il n’y en a tout simplement pas assez ! Le Capital vit sur le crédit, sur des profits futurs qui probablement désormais n’existeront jamais. D’ou la chute.
                                        Si vous ne controlez pas la monnaie, cela ne sert à rien du tout.
                                        Sortons de l’euro, controlons le franc et l’émission monétaire des banques.
                                        Sinon, il faut retourner au troc sur internet. Et supprimer l’argent.


                                        • benevole 24 mai 2015 17:39

                                          @izarn

                                          Encore un « banquier » qui monte aux créneaux ! J’aime bien la phrase « sachez que ce sont les banques qui fabriquent la monnaie dite scripturale, elles seules ». Mais tout le monde sait cela et s’en plaint parce que c’est la source de tous nos problèmes. Tout le monde sait que les pièces et billets sont achetés par les banques à la banque centrale. Et alors ? Parce que c’est comme ça aujourd’hui, cela ne peut pas changer ?

                                          Parce qu’il y avait des cabines téléphoniques, on ne pouvait pas inventer les smartphones ?
                                          Parce qu’il y avait des machines à écrire, il ne fallait pas les remplacer par des ordinateurs ?
                                          Parce qu’il y a des banques, on ne peut pas les remplacer par un logiciel qui ferait beaucoup mieux le même travail, et gratuitement ?

                                          Vous dites très justement « Le capital vit sur le crédit, sur des profits futurs qui probablement n’existeront jamais » Eh bien, c’est ce que vous voulez ?

                                          Si je confie à un logiciel (programmé comme je l’ai expliqué) le soin de contrôler la monnaie, les règles seront les mêmes pour tout le monde et j’ose penser que tous les citoyens y trouveront leur compte, leur gouvernement aussi.

                                          Sauf peut-être les éternels grincheux qui ont tellement pris l’habitude d’être floués qu’ils ne peuvent même pas imaginer qu’il puisse en être autrement.


                                        • Renaud Delaporte Renaud Delaporte 24 mai 2015 19:48

                                          Curieusement, cet article sort au moment où les banques sont obligées d’arrêter l’expérience Moneo. Le but de Moneo était de supprimer toute monnaie afin de pouvoir titriser la masse monétaire courante. On va dans les milliards de milliards de dollar, ce n’est pas de la blagounette.
                                          Son autre but était de pouvoir autoriser ou non chaque transaction : « nul ne pourra acheter ou vendre sans son autorisation ».

                                          Moneo n’a pas marché parce qu’il interdisait les transactions entre particuliers. V’la-t-y pas que M. Benevole, peut-être pas aussi oie blanche qu’il n’en a l’air, propose de nous refourguer un logiciel dont personne ne pourra se passer et qui permettra enfin de parvenir à cette titrisation ainsi qu’au contrôle total des opérations financières.
                                           
                                          C’est que M. Benevole a le CV et le pseudo taillés pour ce rôle : un soixante-huitard engagé dans la société civile, c’est un brevet d’altruisme. Il produit un papier qui sort juste au moment où il faut sonder l’opinion pour lui balancer un nouveau gadget destiné de nouveau à devenir indispensable, ce qui est l’unique façon de rendre les choses obligatoires. Il faut juste qu’il ne soit pas désavoué par cette société civile dont on veut mesurer l’acception en la présumant acquise (sachant que tout le monde en veux, le prendrez-vous pour vous ?). Tout se tient, papier principal comme les réponses commentaires.

                                          Le but clairement avoué de l’application de M. Benevole est de supprimer la monnaie papier à laquelle il associe tout le pouvoir pervers de la finance. Bien sûr, il faut y renoncer puisque la haute finance veut s’en débarrasser ! « L’argent papier, voilà le diable ! Si vous êtes honnête, personne ne pourra connaître vos transactions, mais si vous ne pensez pas comme il faut, heu.. si vous êtes un criminel, on vous coupera les vivres et il sera plus facile de vous mettre en prison ».

                                          Cela devient de plus en plus cousu de fil blanc, cette affaire.

                                          Vu la façon dont M. Benevole manœuvre en refusant d’un côté d’admettre que l’on ne peut rien faire sans l’accord des proprios de la monnaie tout en affirmant par ailleurs que l’on peut leur ôter leur pouvoir sans leur consentement, exemplaire illustration du sophisme, il y a évidemment un lézard dans le potage. C’est que le titre qui est faux. Il faut lire : vers une victoire définitive de la finance mondiale.
                                          L’argument fonctionne, remarquez : il a permis, en 1913, de faire avaler aux américains la loi sur la réserve fédérale, dont ils ne voulaient pas.

                                          Alors, M. le porte-parole du NOM, ne vous faites pas de souci. Dites à vos bons maîtres que, du moment que c’est facile et pas cher, y a pas de problème. Les moutons se coucheront comme d’habitude. Faut juste prévoir que Grand-Mère puisse donner ses étrennes à la petite dernière et que les pourboires puissent être disposés encore discrètement sous la facturette.

                                          Si la BRI veut ce machin, il passera sans notre avis, comme tous les traités imposés démocratiquement contre l’avis de la majorité de la population. Si elle n’en veut pas, ne perdez pas de temps à le défendre. Quant à imaginer qu’on va lui arracher une once de pouvoir, cela reste une affirmation stupide mais indispensable à assoir le reste du raisonnement.


                                          • Renaud Delaporte Renaud Delaporte 24 mai 2015 20:01

                                            @Renaud Delaporte
                                            J’ai du mal avec les sophismes et les sophistes ce soir !
                                            Lire : Vu la façon dont M. Benevole manœuvre en affirmant d’une part que les proprios de la planète possèdent le pouvoir de tout contrôler et en affirmant d’autre part que l’on peut leur confisquer ce contrôle (pendant qu’ils regardent ailleurs ! ), exemplaire illustration du sophisme...


                                          • Renaud Delaporte Renaud Delaporte 24 mai 2015 20:06

                                            .@Renaud Delaporte
                                            Enfin, on remarquera qu’en refusant aux banques le pouvoir de contrôler chacune de nos dépenses, on est trop limité pour mériter la démocratie smiley .
                                            Celle-là vaut plus que son poids de fausse monnaie !


                                          • benevole 24 mai 2015 21:56

                                            @Renaud Delaporte

                                            Monsieur Delaporte n’a pas la moindre once d’honnêteté intellectuelle. Il commence par critiquer un article en avouant qu’il n’a fait que le survoler, il insinue que l’auteur veut dire exactement le contraire de ce qu’il dit et ne s’est d’ailleurs par renseigné sur son compte.

                                            Un exemple de cette malhonnêteté intellectuelle : "Enfin, on remarquera qu’en refusant aux banques le pouvoir de contrôler chacune de nos dépenses, on est trop limité pour mériter la démocratie  .« 

                                            S’agissant d’un système décentralisé, les transactions ne passent par aucun serveur central et ne sont donc pas accessibles aux banques. Elles sont bien sûr archivées dans la mémoire du portefeuille ce qui est indispensable à l’utilisateur pour analyser ses dépenses ou se souvenir de ce qu’il ou non déjà payé et ces données ne pourraient être consultées que sur ordre d’un tribunal, en présence du suspect puisque ses empreintes doivent être utilisées pour ouvrir le portefeuille. Comment faire mieux ?

                                            C’est un individu perturbateur, prenant plaisir à la contradiction ou pire, un allié du système actuel, bref un de ces collaborateurs du système oppresseur qu’il estime immuable. Il est clair qu’il le défend contre qui veut le changer. Son discours est qu’on ne peut pas prendre le pouvoir à ceux qui le détiennent. Bref, selon lui, il faudrait se résigner comme les collabos en 41.

                                            Pour les lecteurs et commentateurs de bonne foi, voici quelques liens qui retracent une partie de mon parcours depuis 1997 date à laquelle j’ai écrit un livre papier »Le robin, la garantie d’une société plus humaine" , numérisé en 2012 et encore en vente sur Amazon :
                                            http://www.amazon.fr/robin-garantie-dune-soci%C3%A9t%C3%A9-humaine-ebook/dp/B00795VLKM/ref=sr_1_5?s=books&ie=UTF8&qid=1432371466&sr=1-5&keywords=Jean-Marc+Flament

                                            Voici un autre lien avec un résumé en quelques pages du concept du robin que j’avais inventé et dont traite ce livre. http://www.religare.net/yhad/robin/questce.html

                                            Ou un autre, venant du Bas-Rhin français où une dame très persévérante a réussi à maintenir en vie cette monnaie complémentaire dans son quartier et en Afrique.
                                            http://robin-monnaie-sociale.eklablog.net/1-debut-du-robin-en-france-a1162043

                                            Je suis aussi très présent sur Facebook , inscrit dans de nombreux groupes d’opposition au système actuel. Il vous suffit de taper mon nom (attention, j’ai des homonymes, mais sur ma page qui est publique, vous trouverez bien sûr les liens vers cet article et vers le site chercherlaverite.com
                                            Mon nom est Jean-Marc Flament )

                                            Enfin, j’ai écrit d’autres articles sur Agoravox, notamment un intitulé « Sarkozy et la gauche, les polichinelles de la politique » , un autre « L’Europe sous hypnose » ou encore « Un système économique au service de l’humain » évoquant la monnaie complémentaire du robin (idée de redistribuer les richesses vers l’humanitaire, l’écologie et le social qu’on retrouve dans l’article dont question aujourd’hui sous forme de Monnaie Solidaire (MS)

                                            Bref, je laisse le lecteur objectif déterminer lui-même qui est sincère ? et qui veut sauver son avenir ? Je ne répondrai plus à Monsieur Delaporte car, pour dialoguer, il faut un minimum de bonne foi.


                                          • Renaud Delaporte Renaud Delaporte 24 mai 2015 22:54

                                            @benevole
                                            Bonsoir M. Flament. Votre dernier message - et ce sera aussi le dernier pour moi - vaut absolution pour votre bonne foi.
                                            Ce n’est pas le cas de vos adversaires. J’ai été payé pour apprendre à utiliser des gentilles personnes de votre espèce en les flattant dans le sens du poil : raison pour laquelle je ne flatte plus personne, c’est ma mauvaise façon de respecter les gens.

                                            Vous ne gagnerez qu’en connaissant vos adversaires mais vous ignorez superbement leurs méthodes de fonctionnement. Vous refusez d’entendre les mises en garde. Vous confondez macro-économie (monnaie solidaire et tout le toutim) et création de lignes de crédit, vous faites l’amalgame entre monnaie scripturale et monnaie fiduciaire. Vous utilisez tous les moyens que vos adversaires mettent à votre disposition pour vous enfumer mais vous espérez que l’utilisation de ces moyens vous permettra de les vaincre. C’est juste le contraire. Vous faites complètement fausse route, vous partez exactement vers l’embuscade qui vous est tendue.
                                            Je suis vis à vis de vous dans la position d’une personne qui voit votre convoi s’engager dans un défilé, qui observe l’emplacement des mitrailleuses qui vous déchiquetteront, et qui entend « quelle mauvaise foi ! Quel pessimisme ! Ils ne peuvent rien contre la musique de nos guitares, vous le sauriez si vous vous étiez renseigné de la façon remarquable dont nous les avons accordées ».
                                            Tant pis.


                                          • Tzecoatl Gandalf 25 mai 2015 08:50

                                            Je vais poster un article qui s’approche du sujet de Monnaie Libre, ça permettra de poursuivre le débat très instructif.


                                            Il s’appelle « Le libéralisme économique n’existe pas ».


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON



Publicité



Les thématiques de l'article


Palmarès



Publicité