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Les commentaires de pvdg



  • pvdg pvdg 8 juin 2008 01:22

    Étrange, tout de même, que vous donniez si peu de chiffres, que les plus importants soient absents. Vous donnez ainsi l’impression de leur accorder peu d’importance, alors que sur un sujet de ce genre, TOUT est dans les chiffres.

    Pour commencer, le CO2, aux dernières nouvelle, c’est 0,0384%.

    Mais vous ne dites pas que le chiffre généralement admis pour la vepeur d’eau est 0,3%.

    Vous oubliez de dire que l’on considère généralement que cette vapeur d’eau serait responsable de plus de 50% de l’effet de serre, que les nuages de leur côté seraient responsable de près de 30% de la même chose.

    Mais l’essentiel est ailleurs : ce n’est pas l’effet de serre qui pose problème, c’est son augmentation dramatique en un temps très court !

    Est-ce que l’on a démontré une augmentation récente du taux de vapeur d’eau dans l’atmosphère ? De la couverture nuageuse ?

    En revanche, on sait que le CO2 (ainsi que le CH4, le N20…) ont beaucoup augmenté au cours de l’ère industrielle.

    Or, ces gaz, s’ils sont présent en très petite quantité dans l’atmosphère, moindre que la vapeur d’eau notamment, y persistent beaucoup plus longtemps et ont un effet nettement plus important qu’elle sur leffet de serre.

    Chaque nouveau m3 de vapeur d’eau reste quelques jours dans l’athmosphère. Chaque m3 de CO2 y reste des siècles : ça fait une énorme différence.

    En tenant compte de tous les paramètres, les chercheurs obtiennent un "potentiel de réchauffement global" pour ces différents gaz qui est de 1 (par convention) pour le CO2, de 25 pour le méthane (CH4) et de 300 pour le protox-yde d’azote (N20). Et pour la vapeur d’eau : peanuts, des queues de cerise !



  • pvdg pvdg 7 juin 2008 17:35

    Étrange, tout de même, que vous donniez si peu de chiffres, que les plus importants soient absents. Vous donnez ainsi l’impression de leur accorder peu d’importance, alors que sur un sujet de ce genre, TOUT est dans les chiffres.

    Pour commencer, le CO2, aux dernières nouvelle, c’est 0,0384%.

    Mais vous ne dites pas que le chiffre généralement admis pour la vepeur d’eau est 0,3%.

    Vous oubliez de dire que l’on considère généralement que cette vapeur d’eau serait responsable de plus de 50% de l’effet de serre, que les nuages de leur côté seraient responsable de près de 30% de la même chose.

    Mais l’essentiel est ailleurs : ce n’est pas l’effet de serre qui pose problème, c’est son augmentation dramatique en un temps très court !

    Est-ce que l’on a démontré une augmentation récente du taux de vapeur d’eau dans l’atmosphère ? De la couverture nuageuse ?

    En revanche, on sait que le CO2 (ainsi que le CH4, le N20…) ont beaucoup augmenté au cours de l’ère industrielle.

    Or, ces gaz, s’ils sont présent en très petite quantité dans l’atmosphère, moindre que la vapeur d’eau notamment, y persistent beaucoup plus longtemps et ont un effet nettement plus important qu’elle sur leffet de serre.

    Chaque nouveau m3 de vapeur d’eau reste quelques jours dans l’athmosphère. Chaque m3 de CO2 y reste des siècles : ça fait une énorme différence.

    En tenant compte de tous les paramètres, les chercheurs obtiennent un "potentiel de réchauffement global" pour ces différents gaz qui est de 1 (par convention) pour le CO2, de 25 pour le méthane (CH4) et de 300 pour le protox-yde d’azote (N20). Et pour la vapeur d’eau : peanuts, des queues de cerise !



  • pvdg pvdg 7 juin 2008 17:08

    « j’ai du mal à admettre que l’espèce humaine ait une action sur l’évolution du climat »

    Pourquoi ? Manque d’information ? D’imagination ?

    Mauvaise perception de ce qu’est la terre, de ce que sont 6,5 milliards d’humains ?

    Faites un effort ! D’autres y sont arrivé, il n’y a pas de raison…



  • pvdg pvdg 28 octobre 2007 13:01

    Cette « polémique de baudruche » aurait plus de consistance sans les rigolos de votre espèce qui viennent la remplir de vide. Vous nous faites de grandes phrases aux allures philosophico-historiques qui ne cachent même pas votre profond mépris de la réalité.

    Contrairement à ce que vous avancez gratuitement, il se trouve beaucoup de gens pour s’inquiéter de l’arrivée de la biométrie. Et si l’on n’entend pas tous les jours des hurlements contre les « empreintes iriennes qui permettent d’ouvrir une porte », c’est tout simplement parce que cette technologie est encore essentiellement dans les cartons.

    L’usage massif de la biométrie, ne vous en déplaise, poserait de graves problèmes, que vous ignorez superbement. Le plus énorme est dénoncé notamment par les experts en biométrie eux-même. Il s’agit de la question de la révocation, qui fait l’objet de débats à l’heure actuelle. J’explique. Quand on sécurise un processus classiquement, à l’aide d’une clé matérielle ou d’un code secret, une procédure permet de « révoquer » l’une ou l’autre en cas de nécessité, après un vol par exemple. La porte, le compte ne s’ouvrira plus avec l’ancienne clé, l’ancien code. Et il sera possible de créer une nouvelle clé, un nouveau code. En d’autres termes, dans les deux cas on peut « changer la serrure » !

    Problème, avec la biométrie : lorsque un voyou vous aura piqué votre empreinte digitale (très facile) ou votre empreinte d’iris (un peu plus délicat), est-ce que vous apprécierez de n’avoir d’autre solution que de changer de doigt ou d’iris ?

    En d’autres termes, Monsieur le philosophe, la discipline biométrie elle-même nous dit aujourd’hui qu’elle n’est pas une bonne solution pour sécuriser ni les portes, ni les comptes en banque sur Internet. Encore moins les passeports.

    Mais il y a des « croyants », dont vous semblez faire partie, qui ne s’embarrassent pas de science ni de réflexion éthique : ils savent, ils sentent dans leur for intérieur, que le « progrès » est toujours bon pour l’homme. Si c’est bon pour le business...

    Ah oui, j’ai bien aimé aussi : « Et qui milite contre la reconnaissance vocale pour utiliser un téléphone mobile ? » : vous l’avez vu à la Fnac, ça ? vous vivez sur quelle planète ?

    Ça doit être assez pratique, de réinventer la réalité pour argumenter. Façon Sarko. Moi je suis de l’ancienne école, je m’oblige à rester accroché à la vraie vie. Désolé, on n’est pas du même monde.



  • pvdg pvdg 28 octobre 2007 02:09

    Il y a du vrai dans ce que vous dites, mais je ne vois pas le rapport... N’importe qui peut critiquer n’importe qui, cela va de soi. Mais si l’on ignore tout du domaine, cela ne mène nulle part.



  • pvdg pvdg 28 octobre 2007 02:06

    Cette histoire d’ADN se greffe sur la question du regroupement familiale, qui ne concerne que des immigrés en situation légale. Si c’est toujours de la France que l’on parle, pays des « droits de l’HOMME », la moindre des choses serait que ces gens soient traités de la même manière que tout le monde.

    Or ce gouvernement que vous trouvez sympathique introduit cet amendement ADN qui n’apporte aucune « efficacité » dans cette histoire, et certainement pas dans le sens que vous indiquez : il s’agit bien de faire venir la famille et non un « immigré utile ». Le texte était si dégueulasse qu’ils ont du le vider de sa substance, sous la pression de leur propre camp. Et s’ils tenaient à le garder tout de même, c’est bien parce que l’objectif réel était de faire plaisir à un électorat raciste.



  • pvdg pvdg 27 octobre 2007 16:37

    Tant qu’à s’intéresser à la question de la « volonté du gouvernement », autant ouvrir les yeux.

    L’objectif évident de l’amendement Mariani est de draguer l’extrême droite, de (re)piquer des voix au FN.

    On est une fois de plus dans cette logique dégueulasse du « mais non je ne suis pas facho, je fais juste semblant pour piquer les voix de Le Pen ».



  • pvdg pvdg 26 octobre 2007 19:18

    « Pourquoi cette pique envers Axel Khan, c’est très simple cet homme est en effet un généticien confirmé, mais monsieur Watson en est aussi et cela ne l’empêche pas de délirer au plein sens du terme. »

    Ça y est, j’ai compris : vous êtes un Schadock !



  • pvdg pvdg 25 octobre 2007 19:44

    À propos de mépris, comment appelez vous celui du quidam qui, du haut des deux notions de génétique qu’il a captées, se paye la tête d’un Axel Kahn, qui bouffe et respire de la génétique à longueur de journée depuis des décennies ?

    D’où vous vient cet étrange complexe de supériorité : « Je n’y connais rien, mais moi j’ai repéré le détail qui cloche dans leur histoire... » ?

    Avez-vous d’autres révélations à nous faire, je ne sais pas, moi, sur le réchauffement global ou le cancer ?

    Non, je ne suis pas un scientifique, seulement un journaliste scientifique. Ce qui veut dire que je passe mes journées à lire, à écouter des scientifiques, bref, à aller chercher la science là où elle est. C’est plus sûr que de chercher dans sa tête.

    Je n’ai aucun mépris pour ceux qui ne savent pas. Ni pour quiconque, d’ailleurs. Simplement, je suis sidéré par le culot que dénote votre discours. Avant de donner des leçons, il vaut mieux apprendre. Et éviter de mépriser, à l’œil, les hommes de l’art. Qu’est-ce qu’il vous a fait, Axel Kahn ?



  • pvdg pvdg 25 octobre 2007 17:15

    Sur le principe, vous avez évidemment raison. Si je n’ai pas argumenté, c’est parce que je n’avais pas le temps. Mais j’étais tellement sidéré par l’innanité de ce texte que je n’ai pas pu m’empêcher de laisser ce premier commentaire. Désolé. Je m’adresse à l’auteur : aucun mépris dans mon propos, sans aucun doute excessif, simplement l’effet de ma sidération.

    Tentons de montrer où se situe le problème. Prenons ce passage :

    « S’il s’agit d’enfant masculin, ceux-ci porteront le même chromosome Y que leur père. Le problème c’est que Roberto partage ce chromosome avec son père, ses frères, ses neveux si bien qu’il est impossible de distinguer les enfants de Roberto de ceux de ses frères. »

    Essayons de reformuler. On nous explique qu’il est impossible de distinguer les enfants de Roberto de ceux de ses frères PARCE QUE tous ces enfants portent le même chromosome Y.

    Mais en l’occurence, pourquoi faudrait-il que le test ADN s’intéresse justement au chromosome Y ? Il y a là un étrange dérapage logique.

    L’auteur nous dit : nananère, moi je sais que ça marche pas avec le chromosome Y pour les garçons, ni avec les mitochondries pour les filles... et du coup il fait l’hypothèse que les tests ADN porteraient précisément sur le chromosome Y pour les garçons et sur les mitochondries pour les filles. Et en conclue que, donc, ça ne marche pas.

    Vous avez suivi ?

    Cela dit, prenons les choses sous un autre angle. Quelques phrases plus loin, ce même texte en arrive à donner des leçons de génétique à Axel Kahn. Le pauvre, il écrit sur le sujet, il s’indigne, mais il ne voit même pas que ça ne marche pas. Il n’a même pas remarqué que le chromosome Y et les mitochondries... Nul ce scientifique. Cela ne vous intrigue pas ?

    Les autres généticiens que compte notre pays devaient être en vacances ou regarder le rugby à la télé.

    Prenons encore un peu plus de recul, oublions le contexte de la loi Hortefeux : ce qu’affirme ce texte, c’est que les tests ADN, figurez vous, ne permettent pas de démontrer la filiation ! Alors qu’ils sont utilisés régulièrement (entre autres) pour cet usage... Et il nous aura fallu attendre aujourd’hui pour faire cette découverte.

    Bon, désolé de casser l’ambiance, mais c’est un peu le principe des blogs : on se dit tout. Non ?



  • pvdg pvdg 25 octobre 2007 14:16

    Ce texte est désopilant !

    Il se présente comme un article de vulgarisation, alors qu’il désinforme méthodiquement, de la première à la dernière ligne. Je l’ai relu soigneusement, et je ne trouve pas une seule phrase à sauver. Tout, absolument tout est faux. L’auteur n’a RIEN compris aux tests ADN et se pose en prof de génétique. Ou alors, il le fait exprès ? Est-ce volontaire, s’agit-il d’une bonne blague, d’une imposture à la Sokal ?

    J’en rigole encore...



  • pvdg pvdg 12 avril 2007 23:06

    Sans jamais tenir compte des arguments que vous opposent des gens plus compétents que vous (comme Chantal Enguehard, du CNRS) ou qui simplement vous rappellent que la vraie question n’est pas technique, mais politique : la confiance !

    Vous vous en foutez, de la confiance des citoyens ?

    Et vous allez former combien de « hackers-contrôleurs compétitifs » pour sécuriser tous les bureaux de vote de France ? Je ne me fais aucune illusion, vous ne répondrez pas plus à cette objection qu’aux précédentes.



  • pvdg pvdg 12 avril 2007 22:50

    C’est quoi la « suite logique » ?



  • pvdg pvdg 12 avril 2007 20:48

    Monsieur TALL,

    Le « contrôle compétitif », que vous suggérez, suppose que chaque candidat délègue des spécialistes en sécurité informatique dans les bureaux de vote. L’urne transparente permet à n’importe quel citoyen d’exercer le « contrôle citoyen ».

    Par ailleurs, vous présumez que je serais « animé par une certaine phobie de la technique ». Amusant ! Je suis un passionné de technologie, ex « jeune chercheur » en informatique, et depuis 25 ans journaliste scientifique, spécialisé en high-tech. Je vous renvoie à mes derniers articles sur l’ordinateur quantique, les supercalculateurs ou encore les puces RFID dans le magazine « La Recherche ».

    Vous poursuivez : « Quant à moi, j’ai écrit mon 1er programme en langage-machine en 1973. » À ce (petit) jeu-là, vous perdez également, car en 1973 je travaillais depuis 3 ans comme informaticien à l’INSERM de Villejuif.

    Pour finir, puis-je rappeler que le suffrage universel appartient au peuple tout entier. En conséquence, le problème n’est pas que des informaticiens soient convaincus, dans leur coin, qu’ils ont trouvé la solution idéale. Car les gens savent que des ordinateurs se font embrouiller tous les jours et qu’ils n’ont aucun moyen de rien y changer.

    On cherche en vain une bonne raison de voler au citoyen le contrôle du scrutin auquel il a droit depuis 1789. Le motif réel le plus fort semble être une fascination puérile devant la technologie, chez certains politiques. La « technolâtrie » fait plus de ravages encore que la technophobie.



  • pvdg pvdg 12 avril 2007 15:25

    Au secours ! Lisez avant de renvoyer la balle. Vous m’obligez à me citer moi-même : « Tout d’abord, ce que que l’on demande, c’est un système qui interdit la triche, même si personne ne demande à vérifier. »

    Secundo, qu’est-ce qui me prouve que le logiciel qui étudie la réclamation est plus sûr que celui qui a triché au moment du vote ?

    Tertio, vous êtes toujours à côté de ma plaque parce que que vous ne répondez pas au point le plus important du cahier des charges : il faut un système auquel les gens font confiance. Et les gens n’ont aucune raison d’avoir confiance en un ordinateur. Car ils lisent les journaux, ils ont même souvent un ordinateur au boulot et/ou à la maison et ils savent donc que des millions de PC sont visités, trafiqués, spamés, espionnés, infestés de virus, et que l’industrie est incapable de régler tous ces problèmes.

    Vous répondez en vous prenant pour un spécialiste de la sécurité informatique, c’est à dire en faisant comme ces boites qui fabriquent les machines à voter actuelles. Comment allez-vous rassurer le citoyen ? Votre texte est parfaitement incompréhensible par les gens concernés. Alors que le code électoral, version papier (avant 1969), est parfaitement lisible par tous.

    Votre attitude me confirme dans mon point de vue central sur le sujet : il faut n’avoir rien compris à la démocratie pour croire que l’on peut remplacer l’urne transparente par une boîte noire. Si vous êtiez informaticien, vous sauriez que la première chose à faire avant d’informatiser c’est de lire le cahier des charges. Ce cahier des charges, il dit que le peuple vote, sous le contrôle du peuple, que le peuple dépouille, compte les voix et promulgue les résultats. Et le peuple, il n’est pas informaticien.



  • pvdg pvdg 12 avril 2007 13:47

    Oui, j’ai lu votre texte. Mais j’ai beau avoir une certaine culture informatique, je ne vois pas en quoi il ferait avancer le schmilblick. Je suis titulaire d’un DEA en informatique, mais je ne vois pas en quoi le dispositif que vous décrivez serait de nature à sécuriser mon vote. Il est vrai que moi, je ne suis pas cybernéticien. J’ignorais même qu’il existait encore un cybernéticien vivant ;- !

    Entre autres, qu’est-ce que votre histoire change au fait que le logiciel que vous décrivez peut fort bien être remplacé, par un hacker avant le vote, par un logiciel qui fait semblant de tout faire normalement mais détourne en fait 2% des voix au profit d’un candidat ? Un tricheur habile ne modifiera pas massivement le vote réel. Et ne provoquera pas forcément un contrôle.

    Vous nous parlez d’un dispositif qui devrait (c’est vous qui le dites) permettre à chaque citoyen, s’il le veut, de vérifier son vote. Tout d’abord, ce que que l’on demande, c’est un système qui interdit la triche, même si personne ne demande à vérifier.

    La sécurité informatique est un domaine très complexe. Et c’est là le problème essentiel : le vote démocratique ne DOIT PAS REPOSER sur une discipline opaque, incompréhensible pour 99,99% des citoyens. Votre proposition ne fait qu’en rajouter une couche.

    Il est déjà assez dingue que l’on fasse voter 1,5 millions de français sur des machines qui ont à l’évidence été « mises au point » par des informaticiens qui ne connaissent rien en sécurité. C’est une spécialité ardue, certainement pas à la portée de l’informaticien moyen.

    Ne faites pas comme eux ! Assez d’amateurisme. On ne peut pas confier la démocratie au concours Lépine.



  • pvdg pvdg 12 avril 2007 12:52

    Ce qui compte, ce n’est pas de compter les voix, c’est de le faire d’une manière telle que le peuple ait confiance dans les résultats.

    Le code électoral français d’avant 1969 disait que les voix étaient comptées par le peuple. Depuis 1969 il dit que l’on peut faire comme avant, ou bien remplacer le peuple qui compte par une machine à qui on doit faire confiance. Les articles qui introduisent le vote par machine sont un monument de déni de démocratie.

    Remplacer une urne transparente par une machine opaque, et la vôtre, TALL est aussi opaque que celles du commerce, sans que l’on puisse avancer la moindre raison sérieuse, ne peut être que très suspect.

    Les gens sont déjà très méfiants à l’égard des ordinateurs parce que c’est une évidence accessible à tout un chacun que ces machines déconnent à plein tube, à l’occasion, et qu’il est très facile de les tripatouiller. Exemple : à l’heure qu’il est, des millions de PC dans le monde travaillent à l’insu de leur propriétaire pour le compte des spameurs.

    Ajouter à cela que rien n’a été fait pour laisser penser au public que ces machines auraient été conçues par des gens sérieux, et feraient l’objet de contrôles du même métal. Au contraire, tout prouve que depuis le mode d’emploi officiel de ces machines jusqu’à la « certification par le ministère de l’intérieur », tout montre, avec éclat, que l’on a affaire à des guignols d’un bout à l’autre de la chaîne.

    Comment, dans ces conditions, le citoyen moyen pourrait échapper à ce questionnement : mais pourquoi veulent-ils me faire voter sur une machine qui occulte tout, plutôt que de me laisser voter, comme avant, d’une manière que je peux contrôler moi-même ? Pourquoi ?



  • pvdg pvdg 12 avril 2007 11:03

    PierreMF dixit : « Et si les propos de Nicolas Sarkozy sur une origine peut-être génétique de pathologies très graves comme le suicide ou la pédophilie... »

    Sarkozy n’a précisément pas tenu les propos mesurés que vous lui mettez dans la bouche. Il a dit au contraire : « J’inclinerais, pour ma part, à penser qu’on naît pédophile ».

    Ce qui signifie qu’il se fiche pas mal de ce que dit la science, que c’est son idéologie qui le porte à croire que...

    Le petit topo de vulgarisation peut faire illusion, mais en fait il confirme que jusqu’à preuve du contraire, il n’est pas du tout démontré que le génétique joue un rôle MAJEUR dans les comportement considérés. PierreMF oublie d enous dire que même dans le cas du cancer, maladie multifactorielle s’il en est, le rôle des gènes tel qu’on le connait ou même tel qu’on l’imagine, n’est pas tel que l’on puisse écrire que l’on « nait cancéreux ».



  • pvdg pvdg 12 avril 2007 10:52

    Tiens, où est passé mon commentaire ?



  • pvdg pvdg 18 mars 2007 23:25

    Comparer Axel Kahn aux Bogdanov, c’est n’importe quoi.

    Les Bogdanov sont d’authentiques truqueurs, la chose a été amplement démontrée. Je recommande la version anglophone de Wikipedia.

    Je ne suis pas d’accord avec tout ce que dit Axel Kahn, mais c’est un vrai scientifique, pour commencer. Et il ne trafique ni ses travaux scientifiques ni ses opinions, à ma connaissance.

    Quand à la vidéo indiquée, si quelqu’un peut me dire ce qu’il y aurait de scandaleux dans le point de vue défendu là...

    Peut-être une erreur de copier/coller ?