Il y a un peu plus de 2 ans, voilà ce que je disais : «
Dès le début de la pandémie, je me suis mis dans le camp de ceux qui, peu nombreux il est vrai, ont prôné l’immunité collective. A mon humble avis, il fallait laisser la nature faire les choses. Cela semble peut-être incompréhensible venant d’un médecin, mais c’est mon intime conviction que l’organisme de tout être vivant est capable de se défendre contre n’importe quel intrus viral ou autre.
Il est vrai que ce coronavirus était un peu particulier du fait de sa virulence et de sa rapidité de propagation, ce qui a fait dire à certains d’ailleurs, au début de la pandémie, qu’il a été peut-être manipulé génétiquement, mais il ne fallait pas tomber dans une sorte d’hystérie collective en se confinant pendant plusieurs semaines ou plusieurs mois pour certains pays.
Cette manière de procéder face à un virus est quelque peu illogique. Elle laissera sans doute beaucoup de séquelles tant psychologiques à l’échelle individuelle qu’économiques à l’échelle sociétale.
Enfin, bref, après plus de six mois d’évolution de cette maladie virale, il est temps peut-être de reprendre ses esprits et de se conduire en »humain responsable« et non comme une bête traquée par un micro-organisme invisible.
Quant aux vaccins dont on commence à parler, je crois qu’il vaudrait mieux sensibiliser les gens à ne pas les accepter. Il faut faire plutôt confiance à son immunité qu’à des vaccins fabriqués »à la va-vite« par Big Pharma ».