"comme chez la quasi-totalité du règne animal, on trouve toujours un mâle et plusieurs femelles ? Un coq- et plusieurs poules ? Un mouton et plusieurs chèvres ?"
@ Barrous
Et des animaux que vous avez cité, vous sentez vous plus proches du coq ou du mouton ? (l’un d’eux n’étant d’ailleurs pas un mammifère).
"comme chez la quasi-totalité du règne animal, on trouve toujours un mâle et plusieurs femelles ? Un coq- et plusieurs poules ? Un mouton et plusieurs chèvres ?"
@ Barrous,
Les mantes religieuses, les veuves noires et les insectes sociaux type fourmi, abeilles, et bien d’autres créatures de Dieu ont une approche beaucoup plus rigolote de la sexualité féminine ;o)
Il y a aussi les gastéropodes qui ont réglé le problème de manière originale
Cordialement
JT France 3 : « Les techniciens qui travaillent sur le site de Fukushima sont des kamikazes »
Oui, des kamikases, c’est à eux que j’ai pensé toute la journée... Ce mot, kamikase, on l’utilise souvent pour parler de terroristes, de gens qui portent la mort sans discernement. Les kamikases de Fukushima sont parfaitement conscients de ce qu’ils subissent et sont prêts à se sacrifier pour tenter coûte que coûte d’éviter le pire... Au delà des débats que cette catastrophe soulève, je pense à ces héros anonymes.
A Petitou,
Comme vous je pense que peu importe la religion, c’est la foi qui compte.
Les valeurs de la France sont bafouées aujourd’hui par un président qui parle de religions alors qu’il est supposé être le garant de la constitution, de la laïcité. Nous sommes citoyens avant tout. Ce que j’attend de nos dirigeants c’est qu’ils fassent cette part de leur boulot qui consiste à garantir à tout citoyen l’accès aux mêmes droits, aux mêmes chances. Au lieu de ça, ils me font penser à une bande de gamins jouant avec des alumettes. Oui ça rappelle 1572 et même des choses plus récentes.
Comment peuvent-ils prétendre rassembler en divisant ouvertement, en agitant des épouvantails, en caricaturant une partie de leurs citoyens !
En politique, utiliser la religion n’a jamais été synonyme de spiritualité mais a toujours été un puissant levier de manipulation des foules. Nos ancêtres, dans leur grande sagesse, se sont battus pour éloigner la religion de la politique. Que nos dirigeants s’en souviennent !
Un grand merci à l’auteur pour cet article
Et bien moi j’affirme que la chrétienté ne définit en rien la France car les valeurs relayées par les évangiles ne sont clairement pas celles qui ont forgées la France, bien au contraire, relisez donc l’histoire et, en parallèle, les évangiles.
Et que le président actuel ose revendiquer ces valeurs aujourd’hui me fait doucement rigoler car sa manière d’être, de vivre, ses valeurs personnelles, ne reflètent pas non plus les « valeurs chrétiennes » au sens définit par les témoignages des premiers apôtres.
De même ceux qui jouent les vierges éffarouchée aujourd’hui en revendiquant ces mêmes valeurs chrétiennes sont moins frileux quand il s’agit de déloger des mômes de leurs classes maternelles en uniforme ou de laisser tant de personnes crever de faim et de froid dans les rues de nos villes.
Alors, en France, on est chrétien ? ou pas ? Moi je ne comprend plus rien à la morale chrétienne !
Gamine, ma première « meilleure copine » de CP s’appelait Nadia, que de bons souvenirs.
Plus tard j’ai eu de nombreux amis, français, de confessions musulmanes, pas prosélytes, pas intolérants, pas racistes et plutôt bons vivants. Je me suis sentie respectée d’eux et je les respecte aussi. Ces français de confession musulmane, très bien intégrés, travaillant pour la France, leur pays, sont malheureusement absents des ritournelles politiques et médiatiques actuelles. Ils sont pourtant nombreux !
Enfin, j’ai aussi rencontré des cons de confession musulmane, racistes et intolérants, tout comme j’ai aussi rencontré de nombreux français de confession chrétienne également de la grande caste des cons. Car la connerie est la valeur humaine la mieux partagée toutes confessions confondues.
Serge Galam ne fait qu’expliquer aux dominés ce que les dominants savaient déjà.
Quant à une poignée d’illuminés qui convainquent des foules... ça se voit déjà depuis plusieurs milliers d’années. Le premier best seller est basé là dessus quand même.
8ème raison :
Ségolène s’est encartée à l’UMP et se présente pour aider Nicolas Sarkozy a gagner en 2012
9ème raison :
Ségolène aimerait plus que tout voir ce que donnerait un second tour Nico-Marine
10ème :
La stupidité l’emporterai même sur l’égo...
Sûr il doit y en avoir encore !
http://www.youtube.com/watch?v=ST_m8cIbDgM
Un petit lien vidéo pour dire que je connais une école où les enfants prennent plaisir à aller, à apprendre, à retourner, à rester après la classe pour prendre le goûter dans la cour pendant que des parents y bavardent longuement... A y retourner le samedi matin pour des ateliers co-animés par des parents. Ce serait donc possible une école ET du plaisir ?
Avec ses 60 ans d’existence, on peut difficilement la qualifier « d’expérimentale ». En plus, elle est publique !
(dois-je préciser que l’on n’y utilise pas le système de notation classique)
Maman d’un ado, j’avoue que des fois, je le délocaliserais bien, à défaut de pouvoir le mettre au travail.
Plus sérieusement, ça semble merveilleux et plein de promesses, dans l’article ci-dessus, de faire travailler les ados mais j’entrevois déjà les nombreuses dérives qui en découleraient...
Karine
"Psychos"... En fait les parents d’autistes les appellent les "psykk". Intéressant !
Je suis surprise de la tournure du fil de discussion : moinssage intensif et aucune argumentation. Les psychanalystes ont pourtant le verbiage facile d’ordinaire.
Je plusse ! Quelle belle lueur que voilà !
Bonsoir Annie,
C’est vrai qu’on a un bout de chemin en commun. Et je serais bien la dernière à te blâmer de tes choix, l’essentiel étant que ton fils soit bien dans ses baskets et armé face à la vie. Il n’y avait aucun jugement dans mes commentaires, juste le témoignage de mon propre choix, de mon propre cheminement.
Je sais à quel point on pèse le pour et le contre. Cette pesée je l’ai faite aussi. Le cas de mon fils est le sien propre et ne saurait être généralisable à tous les enfants dans des situations semblant similaires. Les choix d’une mère, même s’ils semblent nébuleux à toute personne extérieure, sont les meilleurs qui soient.
Continue de l’aidez à cultiver sa fierté
Bonne soirée
Bonsoir Nova,
C’est une bonne décision que de suivre son instinct. Vous pouvez aussi demander au médecin qui suit votre fils de vous fournir les coordonnées d’associations de "patients". Être en relation avec d’autres parents qui passent par les mêmes doutes, questionnements, angoisses, etc... ça permet de se sentir moins seul, de se sentir compris. Personne ne peut vous comprendre mieux qu’un parent confronté au même problème.
Bon courage à vous, donnez lui confiance, faites vous confiance.
Oups je viens de m’apercevoir que je vous ai tutoyée ! J’espère que vous ne m’en tiendrez pas rigueur, c’est "parti tout seul"
Oups je viens de m’apercevoir que je vous ai tutoyée ! J’espère que vous ne m’en tiendrez pas rigueur, c’est "parti tout seul"
Il me semble que si on respectait un peu plus le rythme propre à chaque enfant, on pourrait les amener au même résultat sans en passer par la médication.
Mais on ne peut pas changer le modèle social dans lequel on évolue juste en le rêvant très fort. Il est clair qu’à l’heure actuelle, pour la plupart des familles, le choix consiste à éviter à court terme de voir son enfant exclu s’enfoncer dans une spirale d’échec, ce qui fait également de vrais dégâts à long terme.
On a des enfants plus difficiles à éduquer que la moyenne, on doit en faire beaucoup plus pour eux que pour d’autre, mais c’est payants au final. Toutes les années où j’ai eu l’impression que mon fils "n’imprimait pas" ce que je tentais de lui inculquer, règles de vie, valeurs, etc. Maintenant je vois le résultat, il a tout bien intégré même si à l’époque ça ne se voyait pas.
De la patience, de l’amour, de l’autorité aussi, poser les bases inlassablement, les reposer, jusqu’à ce qu’elles soient acquises (ce qui a tendance à être un long processus chez nos joyeux drilles). Et surtout se faire confiance.
J’ai d’autres enfants, j’ai donc bien pu mesurer la différence d’évolution puisque les autres n’ont pas du tout le même profil. Mais je suis convaincue désormais que le problème n’est pas d’ordre médical, il est de l’ordre de la différence, il y a des avantages à fonctionner sur ce mode là, il n’ont donc pas que des défauts. Les statistiques sur le TDAH qui conduirait à plus de délinquance, plus d’usage de drogues, plus d’exclusion sociale etc. Je ne pense pas que ce soient des conséquences directes du TDAH mais plutôt de l’intolérance dont il font l’objet dès petits, véritable harcèlement pour certains, notamment en milieu scolaire.
"J’ai fait un choix en toute connaissance de cause"
Le penses-tu vraiment ?
Poses quelques questions précises à ton médecin traitant, puis au spécialiste qui suit ton enfant, si possible essaie d’avoir d’autres avis de spécialistes / médecins / neurologues et viens nous relater les réponses obtenues
On sait que le médicament agit sur le système dopaminergique, celui là même qui est impliqué dans des maladies émergentes comme Parkinson ou Alzeimer. Quel recul a-t-on ? Est-ce qu’un cerveau d’enfant traité se développe de la même manière qu’un cerveau d’enfant non-traité ? Est-ce qu’il existe une augmentation / diminution de risque de développer certaines maladie neurologique dans sa vie future ? On sait aussi qu’il y a une action sur le rythme cardiaque. Est-ce qu’un coeur d’enfant se développera de la même manière selon qu’il est traité ou non. Si non quelle est la durée de traitement qu’il convient de ne pas dépasser ? Est-ce qu’on fait bien passer un ECG et un EEG à tout enfant avant la prescription comme il est vivement recommandé ? Je sais bien que non. Je n’ai pas trouvé un seul médecin, même parmi de grands promoteurs de ritaline, qui a accepté de répondre avec certitude à ces questions. De l’aveux de l’un d’eux, ils n’en savent rien, c’est un "risque à courir pour le bien de l’enfant". Bien sûr qu’il y a un monde entre les messages alarmistes diffusés par l’église de scientologie sur le sujet et la position officielle de la médecine, mais quand même, est-ce que les parents font réellement leur choix en toute connaissance de cause si même les médecins sont dans le flou ?
lol ! Moi, ado, j’aurais fait l’inverse, j’aurais arboré le badge même si je n’avais pas fumé, par pur esprit de contradiction
Bonjour Aspiral, et merci de votre réponse.
Tout d’abord, pourriez-vous m’expliquer ce que vous entendez par complexe de Colomb, je n’en ai jamais entendu parler auparavant.
Je partage vos points de vues concernant la surmédicalisation des "troubles" de l’enfant. Peut-être me suis-je mal exprimée dans mes précédents commentaires pour que vous l’ayez si mal compris.
Lorsque je dit, dans un commentaire précédent, que j’ai fait le "choix" un temps d’accepter un traitement médicamenteux pour mon enfant ce n’est certainement pas pour faire l’éloge de ce choix. J’en suis revenue et mon fils ne s’en porte que mieux. Ce que je voulais dire par là, c’est que la pression qui s’exerce sur les parents aujourd’hui pour en arriver à faire ce choix, la désinformation, les contradictions d’un médecin à l’autre, etc. Tout pousse les parents à ne percevoir leur enfant qu’en comparaison à une "normalité" qui semble être un concept dangereux. Les parents sont pris entre les feux de médecins dont les points de vue sont parfois totalement contradictoires ! En toute méconnaissance, on est ammené à faire des choix. Ce que cherche tout parent, c’est avant tout le bonheur de son enfant, à de rares exceptions près (je ne nie pas qu’il y a des tordus).
En qualité de mère, décider de refuser le traitement n’est pas si simple qu’il n’y parait : les pressions exercées par l’école, les médecins, les psys, la société sont démesurés. Lorsqu’un enfant n’est pas "conforme" aux "normes", les mères sont en première ligne, culpabilisée, critiquées, jugées... Il faut avoir les épaules solides pour le supporter, pour ne pas céder à la pression, garder la barre, se faire confiance et suivre son instinct maternel. Nul ne connait mieux son enfant qu’une mère, ce qui est aujourd’hui dénié par l’ensemble des "professionnels de l’enfance". Vous êtes psychiatre, vous devez comprendre de quoi je parle. Arrivez-vous à ne pas juger les personnes qui entrent dans votre cabinet ? Arrivez-vous à leur redonner confiance lorsqu’elles en manquent. Arrivez-vous à accepter qu’elles sortent du cadre des théories que vous avez apprises lors de vos études ?
Une mère qui ne se fait pas confiance, qui se sent coupable, qui n’entend parler que des défauts de son enfant et et à laquelle on dit qu’elle en est la fautive, ne peut pas être une éducatrice efficace, ne peut pas aider son enfant à prendre confiance, ne peut pas le percevoir de manière positive. C’est un cercle vicieux. Infantiliser les parents, les culpabiliser à outrance, c’est juste destructeur et ça n’aide en rien les enfants.
Sous le valeureux prétexte d’aider mieux les enfants, aujourd’hui, on les emmène chez le psy pour un oui, pour un non, ne leur permettant pas de construire par eux-même les mécanismes de défenses face aux aléas de la vie. Quelques décennies de ce traitement là montre ces limites dans la société d’aujourd’hui : notre société est devenue un vaste troupeau de nombrils sur pattes et finalement, les enfants ne sont pas plus "heureux" ni "valeureux" qu’avant. C’est bien joli de vouloir anihiler toute souffrance, ça part d’un bon sentiment mais ça dénie le fait qu’un être se construit aussi "grâce" à ses souffrances. Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort.
Depuis que j’ai compris ça, que je me fais confiance, mon fils va bien, je vais bien, loin du regard des psys bien pensants et de leur tendance à ne voir les gens qu’au travers du prisme de leur théories, qui ne savent plus qu’interpréter là où simplement observer permettrait de voir autre chose.
Idéologie ? A quel moment me suis-je si mal exprimée au point que vous compreniez que je faisais l’apologie de la médecine ? Médecins, psys, etc. tous un peu apprenti sorcier je vous l’accorde. Si je mentionnais l’étude du Dr Shaw, c’est parce qu’elle remet en cause l’idée de trouble permanent dont certains médecins font état ett qu’elle peut servir d’argument pour justement éviter que l’on tombe dans les mêmes dérives qu’outre-Atlantique ou un nombre démesuré d’écolier sont mis sous "traitement" pour des raisons purement scolaires. Si je m’emballe c’est parce que je me sens très personnellement concernée par ce problème, ce qu’on ne peut comprendre que pour l’avoir vécu. Lorsque, dans votre premier messages vous parlez des nombreuses observations que vous avez faites, j’aimerais savoir dans quel cadre et à quel titre. Et aussi, savoir si vous avez vous même des enfants. Au passage, votre message plus haut n’avait strictement rien à voir non plus avec un raisonnement scientifique rigoureux.
Cordialement
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