Les commentaires de JoëlP

Tout à fait Thierry. Cette dame mérite une médaille. Duchamp aurait sans doute apprécié, il aurait peut-être ajouté du rouge à lèvres et du rimmel autour des yeux. Et puis l’Homme ne mérite pas mieux qu’un portrait simiesque, ceci dit sans vouloir vexer les singes.

Et puis, si les paroissiens veulent une toile, il n’ont qu’à payer une bricole à un jeune artiste.

J’ai repris une partie de votre article sur mon blog... Merci

Diplômé en céramique le Pierre B. il a brisé toutes ses tentatives de pots mal cuits. Et dire qu’il y a des gens pour prétendre qu’il ne casse rien ? Maman payera les pots cassés avec sa retraite et son salaire à la santé... Au fait, la Santé, cela me donne une idée...

Après ce que nous a coûté la grande Roselyne par son incurie (pour être gentil) dans l’histoire des vaccins, le salaire du fiston n’est qu’une goutte d’eau... C’est vrai que si l’on ajoute d’autres salaires de complaisance à l’INPES, et Dieu sait combien d’instituts de ces style, cela commence à chiffrer. 

Est-ce que Jean-Michel Aphatie va s’indigner pour cela aussi montrant une vraie indépendance vis à vis du pourvoir.

En plus la directrice de l’INES à été nommée par Bachelot, avant elle travaillait pour son cabinet... On peut se demander combien parmi les 140 personnes de l’INPES sont des pistonnés. On peut se demander combien il existe d’INPES pour donner du boulot aux fils et aux copains de...

Maintenant que le cas Boutin est « résolu », il faut que la presse s’intéresse au cas Bachelot et à l’INPES.

Je prends le temps por mettre encore un + pour cet article.
La vrai modernité se trouve là, dans la lenteur, le temps de vivre, une consommation moindre. Ceux qui nos parlent de compétition, de travailler plus, de gagner plus... sont des gens ringards, dépassés, d’une autre époque. Il n’ont pas intégré le fait que, depuis des décennies, la production d’objets n’est plus le problème. Le problème, c’est la distribution et la sauvegarde des ressources de la planète.

Pour une économie distributive et vraiment économe !

Plus que Pau ? Et les os

la pêche aux voies est un route sinueuse.

OK, mais quand on déplore et regrette la direction qu’a prise le PS en se radicalisant sur la gauche alors qu’il pensait que ce dernier pouvait « évoluer », on peut penser que cela va faire plaisir au Lefebvre et compagnie. La manière dont est rédigé l’article ne me semble pas propice à un bon éclaircissement de la position de Bayrou.

Bah... Cela fait longtemps que l’on sait que les centristes en équilibre sur leur fil électoral ont une fâcheuse tendance à toujours tomber... du côté droit. C’est une loi de l’équilibre politique. Alors, un peu plus tôt, un peu plus tard. Et puis, la soupe du pouvoir est bonne, il n’y a qu’à voir comme ils se gavent les copains de l’UMP... ça fait envie toutes ces belles choses, on le comprend le François.

Merci pour cet article qui nous fait découvrir Fagioli.
En suivant la piste google, je trouve cet entretien avec Onfray qui me plaît décidément.
http://www.altritaliani.net/spip.php?article425

Il me semble que vous devriez souligner le bel effort de l’UMP. Qu’est ce que 40 millions pour un (bain de) siège quand l’armée se paye une grande baignoire pour les 3/4 du prix (du siège) ? Dans une piscine, on ne peut pas organiser plus d’une réunion à la fois tandis que dans le nouveau siège on pourra rassembler de nombreux paquets de TdC.

Très bon article.

Le conseiller - lié en rie aux Pouvoirs Elyséens - a été le premier président de la BERD, la Banque européenne pour la reconstruction et le développement, avec une belle rémunération et le temps d’écrire quelques livres en passant...

Wikipedia : "Selon le journal l’Express, la rémunération annuelle du président de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement est de 428 000 €uros auquel s’ajoute la résidence à Londres et une voiture avec chauffeur"

On peut penser ce qu’on veut de morice et de ses commentaires condescendants et souvent agressif mais pour cette série d’articles, je dit chapeau. C’est un travail de grand journalisme, hyper documenté,instructif et clair.

Le N.O.M., c’est comme le concept de réforme dans le monde sarkosiste, pour le commun des mortel c’est une idée floue, vague, quasi inexistante... Le N.O.M ou la réforme semble furtive pour le peuple mais dans le fond, pour les décideurs, la direction est très claire, c’est imposer le libéralisme... dans les deux cas.

>>On se croirait dans une émission de TF1 !

Peut-être mais sur TF1, il font quand même bien plus intéressant dans le divertissement.

"plusieurs caméras ainsi qu’une équipe de trente médecins ont pu suivre l’homme 24h/24 lors de ses moindres faits et gestes."

Pour filmer un gars tout seul sans manger, sans piscine, pas la moindre histoire de cul. Franchement comme télé réalité, ça craint... Sauf si, on découvre que le gars mange en cachette et que la nuit, quelque nymphette vient lui tenir compagnie... Mais c’est risqué de miser là-dessus pour les producteurs de l’émission.

En plus, quand elle sera présidente, elle va guérir les écrouelles.

Napoléon revint de son exil forcé, pour reprendre le pouvoir avant la chute finale et l’exil définitif, sur une petite île de la Méditerranée.

Avec un peu de ponctuation peut-être ? 

Bossant dans le software, avec un copain on avait lancé l’idée d’un programme qui transformerait une présentation powerpoint présentant les mérites d’un futur système directement en le dit système. Ce qui avait l’avantage d’éviter les fastidieuses étapes d’analyses organique, fonctionnelle... de design détaillé... de codage, de test et même de déploiement.

Notre présentation powerpoint intitulée « From PPT to deployment, a new concept » avait obtenu un certain succès et quelques admirateurs (dans le management) émerveillés. On pourrait imaginer « From PPT to Conquest, a new war mechanism. » 

Un exemple Spiro Latsis, un armateur reconverti dans la banque... article du temps.ch 20 avril 2009 :

EFG International, la banque zurichoise cotée depuis octobre 2005 – et contrôlée par la famille Latsis – a connu une croissance spectaculaire qui l’a propulsée parmi les plus grandes banques privées suisses en un temps record.

Sa recette : une politique d’acquisitions intensive qui a porté sur une vingtaine de sociétés de gestion privée, et le recrutement massif de gérants de fortune, suivant un modèle entrepreneurial décentralisé qui fait de chaque gérant son propre générateur de rémunération, puisqu’il touche 20% des profits qu’il produit. La recette a fait quadrupler la masse sous gestion de l’établissement en trois ans, pour la hisser à 83 milliards de francs fin 2007. Et cette masse était rentable : l’utilisation de hedge funds et de produits structurés dans les portefeuilles des clients avait permis à la banque d’afficher une marge brute entre 110 et 120 points de base. (...)