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Les commentaires de Veilleur de Nuit



  • Veilleur de Nuit 21 août 2010 12:07


    Merci pour cet article, merci de souligner l’importance des véritables auteurs, et d’oser écrire qu’il y a des « 
    ersatz » 

    ’car lire Balzac et la petite tailleuse chinoise ne remplace pas la lecture d’un roman de Balzac.

    Osons donc lire les livres de Balzac, auteur si riche, si généreux et fécond, qui savait aussi s’amuser à faire des jeux de mots faciles avec la langue des savants...

    L’ennui naquit un jour de lUniversité.



    Honoré de Balzac
     Un début dans la vie


  • Veilleur de Nuit 15 mai 2009 13:17

    Des nouvelles de l’abbé Rézina au confessionnal, le tout en 74 mots d’humour publicitaire
    de conserve avec Pierre Dac : 


  • Veilleur de Nuit 27 avril 2009 12:18

    Merci pour ce beau moment de lecture philosophique

     pure éclate à la face simiesque de la jouissance !

    « Mettre ou ne pas mettre, telle est la fornication. »
    Woody Allen


  • Veilleur de Nuit 23 avril 2009 11:56

    « Les masseurs de foule roulèrent donc en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, leur pélerine de massage préalablement enduite de talc pour faciliter le glissement et l’appliquèrent énergiquement sur le dos, le cou et les épaules des manifestants. 

    De l’avis des experts, le traitement fit merveille et les résultats furent instantanément concluants.
    Bien massés, décontractés, assouplis, détendus, les jeunes gens s’étendirent à même le sol, en exécutant des mouvements respiratoires qui terminèrenent heureusement la séance.
    Par un honorable et fort louable souci de fignolage, quelques-uns d’entre eux furent délicatements emportés et emmenés dans des salles de repos afin, que, si besoin était, un massage supplémentaire leur soit administré suivant les règles de l’art et de l’anatomie différée.
    Le brigadier-chef siffla le rassemblement et les cinquante masseurs de foule, fiers de leur devoir accompli, regagnèrent leur car qui démarra incontinent en direction du centre préfectoral de massage.
    Guy et Sylvain qui avaient attentivement suivi le déroulement des évènements sur l’écran de leur apparei de télévision, ne purent se retenir d’exprimer leur admiration à Léon Lamigraine.

    _ Belle réalisation humaine et sociale ! dit Guy.
    - Et combien génératrice d’ordre et d’harmonie ! dit Sylvain.
    - Qui sont, comme chacun sait, ajouta Léon Lamigraine 
    les deux mamelles de la démocratie infuse ! »

    Pierre Dac
    Du côté d’ailleurs


  • Veilleur de Nuit 22 avril 2009 19:07

    C’est le cas de la dire, à tous points de vues, il en avait dans le cigare, 

    un vrai champ tous azimuts à sillonner, pour batifoler et réfléchir, 
    rapport au feu nourri des feuilles à rouler les belles idées...


  • Veilleur de Nuit 22 avril 2009 18:08

    « Ceux que la fumée n’empêche pas de tousser et que la toux n’empêche pas de fumer ont droit à la reconnaissance de la régie française des tabacs. »


    Pierre Dac, roi des bouffées du rire sanitaire, à priser les doigts dans le nez,
    et sans modération de Dame censure !...


  • Veilleur de Nuit 22 avril 2009 15:26

    ’Un livre doit toujours être à la page’

    Gutenberg

    Pierre Dac, Du côté d’ailleurs...


  • Veilleur de Nuit 22 avril 2009 15:04

    « Heureux celui qui, ayant fait 

    le don de sa personne aux forces 
    supérieures du coeur et de l’es-
    prit, consacre son existence à 
    consoler les régions désolées »

    Mordicus d’Athènes’
    (129-82, au fond de la cour, 
    à droite av.J.-C.)

    Pierre Dac, Du côté d’ailleurs...


  • Veilleur de Nuit 22 avril 2009 13:07

    Bonjour à tous et à toute bonne tranche de rires....


    Merci, mère SI, pour vos témoignages ! 
    maire Si de diffuser l’art d’en rire d’hier à deux nos jours, 
    à toi de jouer, et j’en retiens un,
    en plein dans la tranche de la bonne poire, 
    rien que pour la beauté d’un geste de la raie,
    la main au palpitant, en pleine fouille de mémoire,
    non loin du porte feuilles des chaudières du souvenirs.

    Pierre Dac a eu le don de réussir à me tirer des larmes de rires, 
    là où il n’y aurait eu qu’à retirer sa révérence,
    et de m’agiter le mouchoir de l’âme,
    pour essorer la serpillère du sort ti lège des laves menthe de la mise ère...

    et comme dirait l’autre ami, 
    Bien le bonjour chez vous !


  • Veilleur de Nuit 20 avril 2009 14:24

    « On est des gagne-misère, mais on n’est pas des peigne-culs » 



  • Veilleur de Nuit 20 avril 2009 11:38

    « Il faut être bien riche pour dîner chez Hardy et il faut être hardi pour souper chez Riche »


    Merci pour ce beau texte, cela fait souvenir de l’histoire de la jeunesse dorée, 
    déambulant dans les temps incendiaires de 1830 ...



  • Veilleur de Nuit 7 avril 2009 15:25


    Autisme, paranoïa, schizophrénie, pervers polymorphes, délires des grandeurs et mégalomanies,
    n’en jetez plus la cours est pleine !...
    Il me semble que cela dépend de ce que l’on prend comme point de vue d’observation,
    de sujet placé sous la lamelle du zioteur guetteur mélancolique du tiers-état psychanalitique de nos poltiques..
    à l’échelle mondiale...déni de réalité, pour résumer beaucoup d’actes manqués...
    et de lapsus, hélas révélateurs d’un monde laissé à la dérive...
    Oedipe roi, au royaume des sourds et des aveugles...
    est ce grave docteur ?
    quel remède ?, surtout un remède qui ne soit pas pire que le mal...



  • Veilleur de Nuit 7 avril 2009 14:58


    Merci pour cet article et son évocation d’un artiste jubilatoire dans l’excercice de la révolte loufoque et magicien des attitudes poétiques et déjantées.
    Il me fait penser à cette époque hélas révolue, chhère à mon coeur du bon rire, des Pierre Dac et autres innovateurs des partis les plus résolument engagés dans le ’MOU’ mouvement ondulatoire unifié, avec Jean Yanne et Goscinny.
    Cela me fait revivre un peu de jeunesse, quand je venais écouter ses harangues,
    il était souvent pour ce faire juché sur des cageots, tout bancal et tout marrant, attendrissant et philosophe un peu aussi,
    c’était devant une foule bigarrée de supporters amusés et enthousiastes, juste devant la piazza du Pompidolium...



  • Veilleur de Nuit 7 avril 2009 14:37

    Il faudrait pouvoir lutter contre la pieuvre,
    cachée dans l’antre des mondes souterrains et des mers monstrueuses des profits,
    il est grand temps, l’équilibre naturel, vital, est menacé,
    comme vous le soulignez il s’agit de savoir saisir l’occasion, et la bonne !...
    il y a affluences aux urgences...

    http://jacquelinewaechter.blogspot.com/2009/04/morituri-te-salutant-silvanus.html



  • Veilleur de Nuit 5 avril 2009 13:39


    Redonnez- nous les Graeme Allwright , les Ferré les Brel,
    et tous les chants poétiques des Pasolini, et des Tennessee Williams,
    issus de la terre des déshérités, venus des horreurs de la guerre,
    entachés des souffrances des marginaux et des laissés pour compte, 
    imergés dans les filets de ces trop coutumières idéologies,
    pour écrire dans la véracité de la tension du cri, la révolte et l’espoir d’un monde plus fraternel,
    pour chanter dans l’abîme intimité du souvenir trop réel,
    pour advenir artiste, en présence réelle et effective du champ des martyrs...


     http://www.youtube.com/watch?v=mYXME76F3N0



  • Veilleur de Nuit 3 avril 2009 16:16

    Bonjour SANDRO,

    Merci pour ce très bel article, riche en évocations poétiques et sentiments de vies d’artistes...

    Cela me fait penser, dans un autre domaine, au film La Stazione de Sergio Rubini,
    qui raconte l’histoire d’un amour étrange, se déroulant en majeure partie dans une petite gare italienne isolée, là aussi il y a le chef de gare, la femme égarée, le train, et le décor glauque de la nuit, qui parfois prennent des allures fantastiques, dignes des plus troublantes peintures surréalistes de Paul Delvaux...



  • Veilleur de Nuit 2 avril 2009 17:40

     

    Merci beaucoup, SANDRO, pour votre vibrant témoignage...

    http://www.senioractu.com/Fin-de-partie-de-Beckett-les-mots-triomphent,-alors-que-les-corps,-devastes-et-vieillis,-se-perdent-theatre_a9908.html

    Cela me fait penser à Jacques Brel, un poème de jeunesse,
    que j’écoutais le coeur battant, chanter dans le poste de radio posé sur le buffet en bois blanc de la cuisine...
    	
    Quand on n’a que l’amour...

    Quand on n’a que l’amour
    A s’offrir en partage
    Au jour du grand voyage
    Qu’est notre grand amour
     
    Quand on n’a que l’amour
    Mon amour toi et moi
    Pour qu’éclatent de joie
    Chaque heure et chaque jour
     
    Quand on n’a que l’amour
    Pour vivre nos promesses
    Sans nulle autre richesse
    Que d’y croire toujours
     
    Quand on n’a que l’amour
    Pour meubler de merveilles
    Et couvrir de soleil
    La laideur des faubourgs
     
    Quand on n’a que l’amour
    Pour unique raison
    Pour unique chanson
    Et unique secours
     
    Quand on n’a que l’amour
    Pour habiller matin
    Pauvres et malandrins
    De manteaux de velours
     
    Quand on n’a que l’amour
    A offrir en prière
    Pour les maux de la terre
    En simple troubadour
     
    Quand on n’a que l’amour
    A offrir à ceux-là
    Dont l’unique combat
    Est de chercher le jour
     
    Quand on n’a que l’amour
    Pour tracer un chemin
    Et forcer le destin
    A chaque carrefour
     
    Quand on n’a que l’amour
    Pour parler aux canons
    Et rien qu’une chanson
    Pour convaincre un tambour
     
    Alors sans avoir rien
    Que la force d’aimer
    Nous aurons dans nos mains,
    Amis le monde entier


  • Veilleur de Nuit 1er avril 2009 18:09

    Bonjour Marsupilami,

    Mon père est l’auteur de cette photo, prise avec un Foca de l’époque, appareil qui représentait un beau résumé de ses économies d’alors ...
    quelle émouvante et superbe chanson que celle des Vieux Copains de Léo Ferré, merci de la faire revivre ici ...

    Bonjour Yohan,

    Merci pour l’envoi de votre lien et la découverte, pour ce qui me concerne, des magnifiques clichés d’Henri Guerard,

    Merci à tous pour votre présence, vos encouragements, vos apports et témoignages personnels, qui sont autant de découvertes vitales, autant de bouffées d’oxygène parmi certaines suffocations du monde...



  • Veilleur de Nuit 1er avril 2009 16:56

    Bonjour SANDRO

    Merci pour votre commentaire témoignage...
    Pour quelques uns, le même godillot des premiers pas dans la vie, les mêmes espoirs, et la vie des souvenirs en rappel à la fin de la pièce, les mêmes attentes et questions, 
    et le tout dans ce rien, à l’instar de Godot qui...

    des jours de poésie intercalaires, parmi des journées de vide intersidéral,
    pour faire constraste ou pour mieux penser à l’après ? 

    "Que ferais-je sans ce monde sans visage

    sans questions
    où être ne dure qu’un instant, où chaque instant 
    verse dans le vide dans l’oubli d’avoir été
    sans cette onde où à la fin
    corps et ombre ensemble s’engloutissent ?
    que ferais-je sans ce silence gouffre des murmures
    haletant furieux vers le secours vers l’amour
    sans ce ciel qui s’élève
    sur la poussière de ses lests
    que ferais-je ?
    je ferais comme hier comme aujourd’hui
    regardant par mon hublot si je ne suis pas seul
    à errer et à virer loin de toute vie
    dans un espace pantin
    sans voix parmi les voix
    enfermées avec moi".
     
    SAMUEL BECKETT


  • Veilleur de Nuit 1er avril 2009 10:40

    Bonjour sisyphe, 

    Merci pour votre commentaire, ...
    comme le jeune enfant, puissions nous encore parvenir à rêver en dehors des mots,
    comme l’adulte et le vieillard, puissions nous encore et toujours, nous émerveiller du pouvoir évocateur de certains mots...

    " Puis parler, vite, des mots, comme l’enfant qui se met en plusieurs, deux, trois, pour être ensemble, dans la nuit."

    Fin de partie (1957)
    Samuel Beckett