’car lire Balzac et la petite tailleuse chinoise ne remplace pas la lecture d’un roman de Balzac.
L’ennui naquit un jour de l’Université.
Merci pour ce beau moment de lecture philosophique
« Les masseurs de foule roulèrent donc en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, leur pélerine de massage préalablement enduite de talc pour faciliter le glissement et l’appliquèrent énergiquement sur le dos, le cou et les épaules des manifestants.
C’est le cas de la dire, à tous points de vues, il en avait dans le cigare,
« Ceux que la fumée n’empêche pas de tousser et que la toux n’empêche pas de fumer ont droit à la reconnaissance de la régie française des tabacs. »
’Un livre doit toujours être à la page’
« Heureux celui qui, ayant fait
Bonjour à tous et à toute bonne tranche de rires....
« On est des gagne-misère, mais on n’est pas des peigne-culs »
« Il faut être bien riche pour dîner chez Hardy et il faut être hardi pour souper chez Riche »
Autisme, paranoïa, schizophrénie, pervers polymorphes, délires des grandeurs et mégalomanies,
n’en jetez plus la cours est pleine !...
Il me semble que cela dépend de ce que l’on prend comme point de vue d’observation,
de sujet placé sous la lamelle du zioteur guetteur mélancolique du tiers-état psychanalitique de nos poltiques..
à l’échelle mondiale...déni de réalité, pour résumer beaucoup d’actes manqués...
et de lapsus, hélas révélateurs d’un monde laissé à la dérive...
Oedipe roi, au royaume des sourds et des aveugles...
est ce grave docteur ?
quel remède ?, surtout un remède qui ne soit pas pire que le mal...
Merci pour cet article et son évocation d’un artiste jubilatoire dans l’excercice de la révolte loufoque et magicien des attitudes poétiques et déjantées.
Il me fait penser à cette époque hélas révolue, chhère à mon coeur du bon rire, des Pierre Dac et autres innovateurs des partis les plus résolument engagés dans le ’MOU’ mouvement ondulatoire unifié, avec Jean Yanne et Goscinny.
Cela me fait revivre un peu de jeunesse, quand je venais écouter ses harangues,
il était souvent pour ce faire juché sur des cageots, tout bancal et tout marrant, attendrissant et philosophe un peu aussi,
c’était devant une foule bigarrée de supporters amusés et enthousiastes, juste devant la piazza du Pompidolium...
Il faudrait pouvoir lutter contre la pieuvre,
cachée dans l’antre des mondes souterrains et des mers monstrueuses des profits,
il est grand temps, l’équilibre naturel, vital, est menacé,
comme vous le soulignez il s’agit de savoir saisir l’occasion, et la bonne !...
il y a affluences aux urgences...
http://jacquelinewaechter.blogspot.com/2009/04/morituri-te-salutant-silvanus.html
Redonnez- nous les Graeme Allwright , les Ferré les Brel,
et tous les chants poétiques des Pasolini, et des Tennessee Williams,
issus de la terre des déshérités, venus des horreurs de la guerre,
entachés des souffrances des marginaux et des laissés pour compte,
imergés dans les filets de ces trop coutumières idéologies,
pour écrire dans la véracité de la tension du cri, la révolte et l’espoir d’un monde plus fraternel,
pour chanter dans l’abîme intimité du souvenir trop réel,
pour advenir artiste, en présence réelle et effective du champ des martyrs...
http://www.youtube.com/watch?v=mYXME76F3N0
Bonjour SANDRO,
Merci pour ce très bel article, riche en évocations poétiques et sentiments de vies d’artistes...
Cela me fait penser, dans un autre domaine, au film La Stazione de Sergio Rubini,
qui raconte l’histoire d’un amour étrange, se déroulant en majeure partie dans une petite gare italienne isolée, là aussi il y a le chef de gare, la femme égarée, le train, et le décor glauque de la nuit, qui parfois prennent des allures fantastiques, dignes des plus troublantes peintures surréalistes de Paul Delvaux...
Merci beaucoup, SANDRO, pour votre vibrant témoignage...
http://www.senioractu.com/Fin-de-partie-de-Beckett-les-mots-triomphent,-alors-que-les-corps,-devastes-et-vieillis,-se-perdent-theatre_a9908.html
Bonjour Marsupilami,
Mon père est l’auteur de cette photo, prise avec un Foca de l’époque, appareil qui représentait un beau résumé de ses économies d’alors ...
quelle émouvante et superbe chanson que celle des Vieux Copains de Léo Ferré, merci de la faire revivre ici ...
Bonjour Yohan,
Merci pour l’envoi de votre lien et la découverte, pour ce qui me concerne, des magnifiques clichés d’Henri Guerard,
Merci à tous pour votre présence, vos encouragements, vos apports et témoignages personnels, qui sont autant de découvertes vitales, autant de bouffées d’oxygène parmi certaines suffocations du monde...
Bonjour SANDRO
Merci pour votre commentaire témoignage...
Pour quelques uns, le même godillot des premiers pas dans la vie, les mêmes espoirs, et la vie des souvenirs en rappel à la fin de la pièce, les mêmes attentes et questions,
et le tout dans ce rien, à l’instar de Godot qui...
des jours de poésie intercalaires, parmi des journées de vide intersidéral,
pour faire constraste ou pour mieux penser à l’après ?
"Que ferais-je sans ce monde sans visage
Bonjour sisyphe,
Merci pour votre commentaire, ...
comme le jeune enfant, puissions nous encore parvenir à rêver en dehors des mots,
comme l’adulte et le vieillard, puissions nous encore et toujours, nous émerveiller du pouvoir évocateur de certains mots...
" Puis parler, vite, des mots, comme l’enfant qui se met en plusieurs, deux, trois, pour être ensemble, dans la nuit."
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