Ouhla non, pas tout à fait ! L’histoire de l’ascenceur était surtout un petit trait d’humour ! Il y a de toutes façon et il y aura certainement encore à l’avenir des outils publics capables d’introduire de la mixité social au sein d’ensemble ou d’unités habitables (Logements conventionnés, sociaux et très sociaux, mixité des formes de l’habitat- duplex, logements individuels, familiaux)- Pour le moment, la dynamique en<place est d’abord et avant tout une dynamique d’exclusion et de rétention horizontale des populations, ou pour faire simple, les pauvres se concentrent dans les habitats dégradés et anciens de centre-ville et les logements sociaux (cv mais aussi ensemble collectifs ou semi-collectifs), les classes moyennes rejoignent la préiphérie et les riches s’ostracisent au sein d’espaces centres, intermédiaires ou périphériques limités. Peut être verront nous à l’avenir, et à la condition que l’on cherche à réduire l’emprise territoriale de la ville, naître ses ségrégations, non plus à l’échelle du territoire de la ville mais de plus en plus à celle des tours, et des bâtiments denses de moyenne hauteur.
Vous avez raison, Dubai est certainement l’exemple de connerie urbaine le plus connu au monde ! Dubai vit au jour le jour, elle vit l’instant, le temps T un peu comme dans un rêve, dissocié de tout recul, de toutes anticipations (il suffit de voir comment l’émirat a investi massivement dans l’immobilier et l’industrie du loisir, premiers secteurs bien souvent à pâtir des crises qui semblent se répéter à intervalles de plus en plus rapprochés). Dubai est un rêve, comme le rêve elle est vouer à mourir, au réveil des consciences. Surement qu’il sera déjà trop tard.
Bonjour,
Merci ;)
Mais cela reste une réalité parmi des centaines d’autres. Et je ne crois pas que cela soit possible de poser « la réalité » d’une situation complexe en quelques lignes.
COrdialement.
Bonjour,
Ici j’entends bien évidemment la République au sens large du terme, et bien évidemment, toutes interventions publiques sur cet espace de ville (qu’il se trouve en couronne parisienne ou bien ailleurs) peuvent être vues comme des interventions de la République.
Et, oui, je crois bien que c’est parce que la République n’est pas assez présente au sein de ces espaces que le problème se fait. La République ici non seulement au sens, de la manière dont elle devrait être percue (sens noble du terme, la république légitime et qui vous donne vos chances) mais également au sens, comme je le dis, de ses prolongations (culturelles, éducatives notamment)
Cordialement ;)
Un copié/collé ?
Je vois que la suspicion est reine sur le net et d’autant plus sur les sites de médias participatifs...
Ce texte est le résultat d’une recherche effectuée dans le cadre d’un cours que j’ai pu suivre à l’université de Moncton. Voilà tout.
Cordialement.
A vous lire c’est donc un procès des femmes que je fais. Un procès de la femme « moderne ». Une lecture plus rigoureuse de l’article aurait été souhaitable. C’est dommage. Non parce qu’aujourd’hui et dés que l’on touche à ces choses là, sacralisées sur l’autel des médias et de la bienpensance, on ne peut que suciter l’indignation quasi collective. Une indignation qui chez vous et à l’invocation de la mémoires de vos ancêtres, semble mue d’abord et avant tout par une forme d’intelligence sentimentale.
Pour ce qui est de l’attaque grammaticale, je ne peux que pleurer. Que voulez-vous, je ne suis qu’un produit de l’Ecole post soixante-huitarde.
Ce n’est pas faux. Quelle homme hors mis Karoutchi n’a pas de compte à régler avec une femme -sinon avec ça mère- ? Ce que je critique avant tout c’est la machine de propagandiste féministe et je crois qu’au fond vous l’avez compris.
Non rien de tout ça. Il faut juste y voir un rapprochement avec la bière... J’ai arrêté les blagues belges depuis longtemps.
Comment peut-on encore coire à la liberté de choix pour la petite femme, la femme des couches populaires ? Ca fait bien longtemps que le travail n’est plus un droit pour elle, mais bien une obligation. Aujourd’hui et dans notre monde occidental déliquescent, un seul salaire d’ouvrier, de technicien de surface, appellez ça comme vous voudrez, ne suffit plus à nourrir un foyer ! Voyez. Du droit au travail pour les femmes, pour toutes les femmes on est passé à UNE OBLIGATION de travail.
A en croire Tocqueville, les temps de crise ne sont en rien facteurs de mouvements révolutionnaires au sens large... de ce fait, ce sont bien plutot les avancées sociales et la montée des égalités entre les citoyens qui les suscitent et les nourrissent.
Article intéressant.
Au Nouveau Brunswick, les francophones minoritaires des centres urbains (car c’est bien là qu’ils se retrouvent minoritaires au sein du sud de la Province) font montre d’une forme de "résistance" assez féroce, participant ainsi de la vitalité de langue française hors Québec.
Moncton, est ainsi une des rares villes du Canada anglophone à voir la part de ses francophones augmenter, l’université et les opportunités d’emplois aidants.
Pour avoir participé à certaines conférences sur le thème des minorités francophones au sein de la Province, je peux cependant dire, qu’il persiste une inquiétude latente en ce qui a trait à l’anglicisation (et a terme à l’assimilation -cas extrêmes-) des élèves francophones évoluants à l’intèrieur même de structures éducatives francophones. L’anglais, dans tout ce qu’il sous tend de sens symboliques attractifs reste très tentant pour les jeunes des centres urbains, qui grandissent avant tout dans un milieu, un cadre anglophone.
Un titre tel que "De l’orientation durable des nouvelles formes de parcs urbains" aurait été plus judicieux...
Peut-il être modifié dans ce sens ?
Alphonse était un rêveur... voilà tout.
Dans la même thématique, j’avais publié il y a peu sur mon blog un billet qui traitait du "retour" massif de la pauvreté aux portes des grandes villes américaines.
http://rueblogglobe.over-blog.com/article-17864863.html
@ kookaburra.
Merci pour la réaction ! Non je n’ai en effet pas vécu cette "transhumance" américaine -sinon dans mon esprit- , cependant, j’ai lu pas mal d’articles sur le sujet, de témoignages individuels et me suis impregné de ces derniers afin de rédiger ce petit billet.
Ces choses là me touchent et me poussent au partage. Partage que j’essaye d’initier au travers de quelques modestes écrits.
@ roOI
Les médias ne fouillent pas encore le sujet...
Je reste très mitigé sur ces projets de villes nouvelles, et préfère d’ailleurs parler plutôt d’éco-quartiers ou de quartiers verts.
A mon sens il est préférable comme je le dis plus haut de faire, disons le comme ça, du vert avec du gris.
Innover, d’abord ponctuelement au sein des villes. Les rajeunissements de quartiers doivent s’accompagner d’avancées en terme d’utilisation des ressources, de recyclage, de mode de vie,...
Je suis loin de prétendre détenir la solution et seul un urbaniste confirmé pourrait dire le contraire.
Je trouve qu’il y a quelque chose de presque trop brutal dans le fait de créer ces villes de toutes pièces. Une étrange impression me vient. Celle d’un ghetto. Un ghetto écologique. Je ne peux pas réellement "juger" tant que j’ignore les modalités ainsi que l’établissement et la finalité des ces villes.
Pourtant je pressens déjà un territoire divisé, un espace à deux vitesses. Des villes écologiques dotées de moyens conséquents et d’infrastructures vertes d’un côté ? D’autres délaissées, ou le changement intervient de façon sporadique ? Je reste perplèxe...
@ sebastien
Malheureusement, il me semble que ce genre de ville comme tu dis, va se développer de plus en plus. Certe elles sont des îlots d’artificialité, cependant je crois qu’elles restranscrivent le désir de beaucoup ( riches ou pas) de se retrouver au coeur de l’image, car s’est de cela qu’il s’agit, d’un monde idéalisé, d’une part de rêve inscrite dans une mondialisation qui fait chaque jour des ravages.
on pourrait dire peu importe le Pourquoi ou bien même le Comment de cette ville, du moment qu’il demeure son Image.
oups je viens de remarquer que mes lacunes othographiques viennent de ressurgir au coeur de l’incarnation d’un magnifique "gorgée" relatif au sable.
Merci de me les faire remarquer... je suis quelque part le produit bien malheureux d’une société ou l’éducation fait des miracles !
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