Les musulmans se mettent de facto hors la loi en pratiquant leur culte, peu s’ils pratiquent peu, totalement s’ils pratiquent à 100%. La confusion, qu’ils ont bien sûr tout intérêt à entretenir là où ils sont minoritaires, réside justement dans la séparation, en fait inexistante, entre ceux qui semblent se soumettre à nos lois et les autres. C’est que l’islam a simplement une manière bien à lui (c’est-à-dire exemplifiée dans la fable du prophète) de réagir en position de faiblesse et qui consiste à n’exiger que le droit de prier. Le reste vient en son temps.
Certes, une grande partie des musulmans ne font que suivre le troupeau. C’est qu’une fois dans ce clan, en sortir (apostasie) demande un effort et un courage qui dépassent largement ce que la plupart des gens sont prêts à investir pour une question de religion (dans les pays où la pression islamiste est quasi-nulle, 85% des musulmans ne pratiquent pas du tout). Mais cela n’en fait pas des innocents : ils savent bien que leur nombre à lui seul soutient et promeut le phénomène.
Vous mentez au contraire comme un singe couvert de rouge à lèvre et de faux cils, Mokhtar h. Si quelques musulmans se sont perdus parmi les soldats occidentaux, personne n’a combattu Hitler au nom de l’islam pour autant. Tandis que des troupes entières de musulmans pratiquants ont soutenu le nazisme au nom de leur foi. Et si beaucoup d’occidentaux peu perspicaces ont aidé les nazis « d’abord », c’était pour relever l’économie (allemande) ou pour croire à la grandeur de l’Europe continentale, pas pour rêver de la « solution finale » qui a tant fasciné les musulmans car elle figure en bonne place dans leur eschatologie.
Vous aussi, tournez-vous donc vers le Pakistan, ce paradis musulman qui n’a jamais été occupé par aucune armée étrangère et qui a préféré investir, avec détermination, dans la puissance nucléaire plutôt que dans la correction des eaux. Tout l’islam en une image.
« Et puis, il y a d’autres dictateurs dans le monde ou sur leur pays, qui n’ont pas eu le moins du monde de l’Islam politique pour régner sur le monde : Staline, Hitler (...) »
Hitler a été vaincu par l’occident (malgré le soutien de l’islam) en moins de deux décennies. L’URSS aussi s’est effondrée, après quelque 70 ans d’errance. L’islam, de loin le pire des fascismes, et surtout si fourbe qu’on hésite toujours à le toucher, prend certes plus de temps. Mais il faudra bien l’abattre pour aller de l’avant. Alors bravo à l’auteur d’alimenter ainsi le débat.
Eh bien commencez donc par le Pakistan.
« La solution humanitaire et laïque est de viser l’islam lui-même, non pas les Musulmans (...) »
Oui. Mais les gens qui profitent de l’islam sont tout de même en majeure partie des musulmans, de sorte que vous n’éviterez pas le conflit avec des musulmans, qui seront vos ennemis à ce titre.
« (...) la communauté internationale et à sa tète l’UNO doit prendre l’initiative et réexaminer les conditions sociales sous les états islamiques. »
Je crains que non. La « communauté internationale » et les NU figurent parmi les vecteurs, au moins passifs, de l’islam : elles feront tout pour dévier vers d’autres cibles les critiques dirigées contre la religion. Cela restera sans doute aussi la politique des États occidentaux, qui ne peuvent guère se dire laïques et intervenir sur le plan religieux. Il faut trouver d’autres leviers.
Al Qaïda, c’est un peu comme la forêt tropicale. Si on la définit en fonction de ses composants fixes d’autrefois, elle n’en finit pas de mourir. En revanche, si on la définit par les composants qui présentent des caractéristiques similaires, elle se porte tout de suite beaucoup mieux.
Le service météorologique britannique (MET Service) annonce qu’il va refaire le travail du CRU à partir de zéro (écrire à 188 pays, collecter des données brutes de 160 ans de relevés, refaire les bases de données, les tris, les pondérations,...), cette fois en publiant l’ensemble des données et des codes. Il prévoit d’y passer trois ans.
L’élément le plus décisif qui ressort du climategate est peut-être la mise au jour du fait que les démonstrations de l’origine humaine du réchauffement ne sont pas fondées scientifiquement.
Ni l’équipe du CRU, ni celle de la NASA (donc les auteurs des principales sources, et de loin, de la démonstration du réchauffement des 150 dernières années) n’ont publié les données qui permettraient de contrôler leurs travaux.
L’équipe du CRU n’a publié aucunes données brutes (bien que les revues scientifiques qui ont publié leurs travaux exigent, d’ordinaire, que tout soit publié, dans le pire des cas après un ou deux ans, le temps de bien exploiter les données avant que la « concurrence » ne puisse y accéder), arguant du fait que (certaines de) ces données lui avaient été transmises sous condition de ne pas les divulguer (questions commerciales). Entretemps, ces obstacles ont été levés (dans le cadre d’une action en justice) et les « scientifiques » ont alors déclaré avoir détruit les données originales lors d’un déménagement.
L’équipe de la NASA a publié les données brutes US (bien obligé, il s’agit de données obtenues avec l’argent des contribuables américains), mais elle se refuse toujours (là aussi, des actions en justice sont en cours) à publier ses tris de ces données brutes (toutes les sources n’ont pas été utilisées ou pas sur toutes les périodes couvertes) ainsi que les pondérations effectuées (il faut homogénéiser les données pour tenir compte des différents systèmes de mesure et des modifications intervenues dans l’environnement des stations météo).
Si bien qu’il est impossible (et pour le CRU, semble-t-il, cela le restera à tout jamais) de vérifier la qualité des travaux qui ont formé la base de la démonstration du réchauffement climatique moderne.
Le réchauffement climatique d’origine humaine existe peut-être. Mais pour l’instant, ce n’est pas la science qui le dit.
Selon la même traduction de l’auteur (page 446), verset 33:59 :
« Ô prophète ! Dis à tes épouses, à tes filles et aux femmes des croyants, de ramener sur elles leurs mantes. Cela est le moindre pour qu’elles soient reconnues et ainsi elles ne subiront pas de mal. Dieu est (...) »
Et c’est pour cela surtout que les musulmanes sont voilées. Et il vaut la peine, bien que cela s’inscrive dans un autre registre, mais mille fois plus commun dans le coran, de citer aussi les versets 61 et 62 (donc quelques lignes plus loin) de la même sourate, selon le même ouvrage du même traducteur :
« Maudits ! où qu’on les trouve, ils seront pris et tués impitoyablement. C’est la loi de Dieu pour ceux qui sont passés auparavant. Jamais tu ne trouveras de changement dans la loi de Dieu. »
Non, SwissMilk, un Suisse aurait été simplement convoqué, pas arrêté. Et si une arrestation avait été nécessaire (risque de fuite), la police genevoise n’aurait pas fait un tel ramdam (c’est le cas de le dire) : 24 agents ! Il y a bien eu deux poids deux mesures, mais pas de ma part.
Il est faux de dire que la Suisse a fait « plus qu’amende honorable ». Notre problème découle tout droit de l’orgueil obtu de quelques responsables politiques suisses et les excuses de Merz ne sont encore qu’un zézaiement devant l’étendue de nos âneries.
Les policiers genevois se sont comportés comme des gangsters amateurs, organisant un véritable assaut pour arrêter un homme et une femme enceinte « protégés » par deux gardes du corps non armés. Ensuite, ils ont gardé Kadhafi trop longtemps, alors qu’il était clair qu’il allait disposer d’une couverture diplomatique au moins officieuse. Puis les autorités genevoises et le Département fédéral des affaires étrangères se sont enfoncés semaine après semaine dans une obstination incompréhensible au lieu de reconnaître les erreurs commises. Entre-temps, la plainte du personnel du fils Kadhafi a été retirée, de sorte que Genève et la Suisse en ont jusqu’aux genoux.
Nos politiciens européens ne sont que des artistes de variété à côté de gens comme Kadhafi. Et ce n’est certainement pas plus mal. Mais il faudrait qu’il s’en souviennent, au lieu de jouer les zorros.
L’âge de neuf ans, auquel Aïsha aurait été déflorée par le prophète (rappel : ces personnages n’existent que dans la mythologie islamique ; à l’époque, personne n’a écrit le moindre mot à leur sujet, même pas les « mulsumans », qui n’ont couché cette histoire sur le papier que des décennies et des siècles plus tard, par étapes) est aussi parfaitement établi que peut l’être une « vérité » islamique. Il n’est guère contestable que sur la base de hadiths précisant un âge minimal pour faire certaines choses (notamment se rendre sur les champs de bataille), ce qui indiquerait qu’Aïsha, si elle a respecté ces règles, avait 15 ou 16 ans à l’époque de ses noces. Mais ces sources sont beaucoup plus faibles que celles attestant de son âge précis : 6 ans au mariage et 9 lors de la consommation.
Pour autre preuve : toutes les écoles juridiques sunnites et l’école chiite mentionnent cet âge de neuf ans pour fixer ou limiter la maturité sexuelle des filles. Pour certains (chiites), c’est un âge fixe à partir duquel une jeune fille peut être déflorée, pour les autres c’est un âge limite à partir duquel il est possible qu’une jeune fille soit pubère.
Il n’était en effet pas question d’admettre que le prophète ait défloré une fille impubère (même dans l’islam, les gens et surtout les femmes comprennent que ce n’est pas bien...), alors toutes les écoles de juristes ont maquillé leurs lois pour préserver l’honneur du personnage. Ce qui indique bien la force « islamiquement correcte » des origines de l’âge de Aïsha au moment de la consommation de son mariage.
À noter que cet artifice des juristes musulmans a permis (et continue de permettre dans certaines contrées) à des générations de pédophiles de faire leurs oeuvres en tout impunité. L’islam est une pure monstruosité, une verrue purulente sur la face de l’humanité.
À en juger par leur parcours historique connu, les Arabes se sont comportés comme le peuple le plus raciste qui soit, jusqu’à institutionnaliser le racisme. Ainsi, ils ont importé une fois et demie autant d’esclaves africains que les deux continents américains réunis. Et alors que les quelque 11 millions d’Africains exportés à l’Ouest sont 70 millions aujourd’hui (et qu’un descendant d’Africain est président des États-Unis), les quelque 18 millions d’Africains importés dans les pays arabes ont pratiquement entièrement disparu, car les musulmans voulaient que leurs esclaves noirs soient castrés avant l’importation.
Et l’infériorité des noirs a été largement rationnalisée par de « grands esprits » arabo-musulmans comme Ibn Kaldoun, par exemple dans son livre d’histoire universelle (al-Muqaddima) et Saïd Ahmed Saïd. Dès le début de l’Islam en fait (fils d’Abu Bakr, calife Al-Mahdi, les omeyades), les noirs sont devenus des êtres inférieurs pour les Arabes (et sont de fait devenus une race d’esclaves pour eux), alors qu’on trouve des traces de bienveillance, voire de respect des Arabes pour les Africains avant l’Islam et jusque dans les paroles du supposé prophète Mahomet.
Un livre à lire sur le sujet, écrit par un historien noir musulman : Le génocide voilé — enquête historique. Tidiane N’diaye, Continents noirs, Gallimard
J’espère que vous avez raison, Sophronius.
En réalité, il ne touche pas plus les musulmans que les autres « occupations » d’anciens territoires islamisés. Si Israël disparaît, la « palestine » déménagera en Espagne. Certes, il sera plus difficile d’y imposer une supercherie pseudo-religieuse aussi énorme que celle de la masjid al-aqsa, mais l’élan obtenu en Israël compensera.
Et puis il faut relativiser le chiffre que vous avancez. Les « musulmans » sont d’abord des gens et les gens sont les mêmes partout. Ainsi les musulmans ne croient aux âneries islamiques que lorsque la pression sociale est forte. Dans un milieu plus favorable, à peine 15% d’entre eux se soucient de religion (étude d’une commission fédérale en Suisse). Si l’islam progresse tant aujourd’hui, c’est surtout à cause de la fainéantise spirituelle du reste du monde. En fait, l’islam est probablement l’aboutissement même de la fainéantise spirituelle.
Il semble que les antisémites sont plus nombreux parmi les purs lecteurs, ceux qui ne s’expriment pas vraiment. Et surtout ceux-là plussent sans hésitation et sans vérification, sans réflexion. Ils « savent », ils votent avec leurs impressions, leurs intuitions.
Il y a aussi un faisceau de motifs convergents qui encouragent les gens silencieux à condamner israël. Outre les simples antisémites (ceux qui croient à la conspiration juive sous ses diverses formes), il y a tous ceux qui pensent qu’Israël mérite forcément des critiques d’une manière générale, car « il n’y a pas de fumée sans feu ». Toutes ces horreurs, toute cette violence, tous ces reproches doivent forcément avoir des causes partagées.
Je pense que la grande majorité de ces derniers sont des racistes ou des lâches, qui critiquent Israël et pas les autres protagonistes, qui appliquent deux poids deux mesures soit parce qu’ils considèrent les Arabes comme des irresponsables par nature (ce qui est raciste), soit parce qu’ils préfèrent éviter de se montrer critiques envers des gens ouvertement et collectivement décidés à user de violence.
Quoi qu’il en soit, ce phénomène révèle bien la très mauvaise image d’Israël dans le public français en général. Et surtout l’impact gonflé au-delà de toutes proportions de ce petit conflit sans aucune importance réelle qui est censé opposer Israël aux Arabes « palestiniens ». Ainsi, je pense qu’une bonne partie de la « solution » consisterait à limiter strictement le nombre d’articles qui traitent de cette partie du monde. Ou à instaurer une sorte d’équilibre obligatoire entre ce sujet et les autres sujets « internationaux ».
Certes, c’est risquer de perdre des lecteurs, mais comme cette petite analyse l’indique, il s’agit essentiellement d’antisémites, de racistes et de lâches dont on pourait sans doute se passer de la compagnie sans grand regret. Et cela permettrait aussi de faire pression sur la qualité des contributions, notamment en ce qui concerne les aspects concrets des sujets abordés. Faire de longs articles développés sur les diverses incidences de simples accusations sans preuve n’est pas vraiment sérieux.
Une remarque sur le système de présentation des commentaires :
Dans l’ensemble, les commentaires donnent une impression relativement équilibrée et vers la fin la raison l’emporte. Mais le système de mise en évidence (disposition en tête des commentaires les plus plussés) favorise massivement les commentaires antisémites, pardon anti-israéliens.
Le purisme du PC, c’est l’ouverture devant les besoins effectifs des gens, de la majorité des gens, de ceux qui utilisent vraiment un ordinateur. Ce n’était certes pas le cas au début, avec les premières moutures du DOS, mais ce l’est devenu, notamment après la victoire, méritée, de Microsoft dans la guerre des OS. Ainsi, pour conserver sa position dominante, MS était dès lors contraint de satisfaire une gigantesque clientèle, dont des pans importants étaient aussi constitués de ses propres actionnaires, qu’il fallait également satisfaire en tant que tels pour garantir la disponibilité des fonds d’investissement. Et la société de Gates y est parvenue, jusqu’à présent. Ainsi, aucun autre système d’exploitation n’offre une plateforme matérielle et logicielle standardisée aussi vaste et diversifiée (au point que pratiquement tous les autres se servent des standards PC). Et j’ai la certitude qu’une recherche un peu sérieuse permettrait aussi de trouver des écrans de veille d’une qualité comparable à celle des Mac.
On peut juste se demander pourquoi un puriste du PC se préoccupe d’une chose aussi futile que des écrans de veille ?
Le soufisme ne se mêle pas de politique par définition. Mais lorsqu’il a l’air de de le faire, c’est toujours en faveur de la position islamique (voir par exemple la conclusion de la Conférence des oiseaux). Soir par obligation, soit par précaution.
Toutes les religions ont cet aspect problématique, certes, mais c’est le cas de tous les systèmes de pensée bien structurés et certains ont tout de même plus d’avantages que d’inconvénients. Du moins pendant une certaine phase ou dans certaines circonstances.
Aujourd’hui, on pourrait sans doute se passer de tout cela. Mais il faudrait parvenir à surmonter bien des faiblesses humaines que la religion exploite et, ce faisant, parfois compense, parfois aggrave. Éliminer l’islam, la religion qui encourage le plus les pulsions destructrices de l’homme, serait pour cela un excellent exercice.
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