• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Les commentaires de Didier B



  • Didier B Didier B 24 juin 2008 12:21

    Pour les gaietés de l’escadron, il y a déjà eu "Over There", mais c’était loin d’être une sitcom.



  • Didier B Didier B 24 juin 2008 12:19

    Ma réponse à la question du titre est : OUI !

    Et de citer Pierre Desproges et son fameux : "On peut rire de tout..." et de confirmer que tout le monde n’en rira pas forcement.



  • Didier B Didier B 13 juin 2008 10:12

    Très bon article, merci pour toutes ces informations.

    A propos du "Air Farce One", les A319CJ mis à disposition du gouvernement par l’armée de l’air ont la possibilité, avec des reservoirs supplémentaires, de voir leur autonomie passer à 12000 km. Avec ces reservoirs supplémentaires, on empiète sur la quantité de fret (bagages) mais pas sur le nombre de personnes embarquables (une cinquantaine environ). Il ne sont pas vieux puisque le 1er a été mis en service en 2002.

    Airbus avait modifié le A319 classique pour en faire un jet disponible pour les hommes d’affaires et les gouvernements, de là le code CJ pour Corporate Jet. Un des avantages était justement l’autonomie augmentée à volonté.

    Ce qui me fait dire que l’histoire de l’autonomie n’est que du vent. En fait, Sarkozy veut un nouvel avion plus gros et plus neuf. On reste dans le "paraitre", encore une fois.



  • Didier B Didier B 5 juin 2008 19:40

    A aucun moment le mot capitalisme n’a été utilisé dans cet article. Peut être l’avez vous mal lu ?

    Quant aux partis fascistes, ils étaient, il est vrai largement soutenus par les ouvriers mais étaient essentiellement conservateurs... Du reste, je n’ai pas le souvenir que les partis socialistes et communistes allemands ou italiens aient été les alliés idéologiques du parti fasciste ou du NSDAP.



  • Didier B Didier B 5 juin 2008 13:54

    Il ne précise pas... Au NouvelObs, il déclare que, pour lui, dire qu’on est libéral et socialiste, c’est pareil que de dire qu’on est social-démocrate et que cela n’a rien à voir avec être social-libéral.

     



  • Didier B Didier B 5 juin 2008 11:34

    Euh... Ce texte n’est que le fruit de très petites recherches que j’ai faites, à mon attention et à celles d’eventuels lecteurs qui n’y comprenent rien non plus.

    Il n’a évidemment pas vocation à être parfaitement exact ni exhaustif. 



  • Didier B Didier B 5 juin 2008 10:55

    Reste a savoir combien de temps elle tiendra avant de rejoindre un consulat et ou elle partira. Quito ? Bogota ? Nouakchott ?



  • Didier B Didier B 8 avril 2008 12:15

    L’idée du "vote obligatoire" me semble être bonne, mais elle ne doit pas être mise en oeuvre pour des histoires de remboursement de frais de campagne, ne serait ce que partiellement.

    Le droit de vote est considéré comme normal par tout le monde (ou presque) mais de nombreuses personnes ne jugent pas bon d’user de ce droit. C’est dommageable pour eux, et pour la démocratie représentative. Cela le serait aussi dans le cadre d’une démocratie directe. Seuls les plus "militants" se déplacent, et la démocratie s’en trouve faussée puisqu’une partie de la population n’est finalement pas représentée.

    Au dela du droit de vote, on devrait donc envisager l’existence d’un devoir de vote, au même titre que le droit à s’exprimer librement s’accompagne d’un devoir de "modérer" ses propos. La loi prévoit ainsi que le droit à s’exprimer est limité par l’injure ou la diffamation.

    Dans ce cas, il ne me semble pas abbérant que le droit de vote soit limité vers le haut par l’obligation d’aller voter. Ceci n’empécherait pas de voter librement, mais inciterait surement les gens à se poser des questions sur la politique avant de faire leur choix.



  • Didier B Didier B 19 mars 2008 14:57

    @Sebastien.

    Ce qui pose effectivement problème, c’est que c’est bien de la personne "Nicolas Sarkozy" dont on va scruter l’importance sur le Net et pas de sa politique. Et cela avec de l’argent public, comme le fait remarquer Ronchonaire.

    Si ce sont les effets de sa politique sur la blogosphère qu’il veut scruter, ça peut éventuellement se justifier, encore que cela serait plus le rôle de l’UMP, parti majoritaire à l’assemblée nationale.



  • Didier B Didier B 19 mars 2008 14:51

    En fait, ce n’était pas de l’éssoufflement... c’était de l’hyperventilation

    C’est normal pour un hyperprésident !



  • Didier B Didier B 19 mars 2008 14:48

    10 ans ? Attendons déjà 4 ans, ça suffira



  • Didier B Didier B 19 mars 2008 12:10

    A priori, le nom de ce jeune homme n’aurait pas du se retrouver sur la place publique, mais un journaliste a obtenu cette information d’un informateur à l’Elysée...

    C’est LePost.fr qui sortait l’information le premier.

    Dans la communication officielle, on ne faisait pas état de la création du poste de Nicolas Princen, volontairement ou pas.

    Alors, volonter de surveiller ? de controler ? de punir ? Il est bien trop tôt pour le dire. Ce que l’on sait en revanche, c’est que Nicolas Sarkozy n’est pas un grand communicateur. C’est pour cela qu’il a besoin de controler totalement son image, que tout doit être préparé... Si quelque chose lui échappe, c’est la catastrophe, comme au Salon de l’Agriculture.

    Il est a priori normal qu’il veuille savoir comment la "blogosphère" réagit à ses actes et déclarations.

    Vigilance ? oui, bien sur. Mais il ne faut pas crier au loup trop vite...



  • Didier B Didier B 21 février 2008 14:10

    Cette femme me fait peur... mais le fait qu’elle ait l’oreille du président est encore pire. Quelle est la prochaine connerie qui va se dire ou se faire dans le domaine de la religion ?

    En quelques semaines, nous avons fait un bon en arrière de 500 ans. Et après, c’était les guerres de religion. Je sais bien que l’époque n’est plus la même, mais le discours est assez étrange pour me laisser aller à la paranoïa.



  • Didier B Didier B 19 février 2008 12:13

    Sans aller jusqu’à parler d’une dérive dictatoriale, on est tout à fait dans le cadre d’une monarchie. Monarchie élective bien sur, comme dans le Saint Empire ou en Pologne-Lithuanie, mais avec bien plus de pouvoirs. Dans le cadre d’une dictature, il n’y aurait pas d’opposition, même si je conviens à l’avance qu’on ne l’entend que très peu, l’opposition.

    Cela n’en reste pas moins une monarchie. Le roi décide des réformes à accomplir, les ministres les préparent et les parlements votent le budget pour les mettre en oeuvre. Il y a de quo flatter l’ego (parait il) surdimensionné de notre Saigneur et Mètre.

    Et puis, il y a les courtisans, les « collaborateurs » du roi, secrétaires, chefs de cabinets, préposés au lavage des pieds, que sais-je encore… Ceux là sont très dangereux, il n’y a qu’à se souvenir des collaborateurs de G.W. Bush ou ceux de feu Ronald Reagan pour s’en convaincre.

    On va droit dans le mur si ce cirque continue.



  • Didier B Didier B 8 février 2008 15:36

     

    Je n’essaye pas d’assimiler les oui et les abstentions mais si 36 personnes sur les 100 inscrites votent contre un projet, elles ne sont pas majoritaires dans le pays. Elles ne sont que 36 contre 64 qui ont voté différemment ou pas voté.

    En fait, je voulais juste faire remarquer à certaines personnes qu’affirmer "La majorité des Français a voté contre" était incorrect. Il s’agit juste d’une majorité de votants.

    Cela n’ôte rien au résultat du vote, c’est juste une mise au point par rapport au principe de majorité de votants par rapport à une majorité de Français.

    Ce qui me fait penser qu’on devrait instituer l’obligation de vote, comme chez nos voisins belges. Au moins, comme ça, il n’y aurait pas photo à l’arrivée.

    A propos, mes calculs ont été fait d’après les résultats officiels, qu’on peut trouver ici. Après j’ai pris une calculette... (D’ailleurs, je suis en train de me demander si j’ai tenu compte des bulletins blancs et nuls...).



  • Didier B Didier B 8 février 2008 14:59

    Ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit.

    Les 30% d’abstentionistes se sont abstenu ; rien de plus. Ils n’est pas question de leur attribuer un vote, qu’il soit oui ou non, ils n’ont pas voté.

    Mais si ces personnes n’ont pas voulu se déplacer jusqu’au bureau de vote situé à 200 m de chez eux pour voter, je n’ai pas besoin d’analystes politiques pour comprendre que ça ne les interessait pas, ou qu’ils ne se sentaient pas concernés, ou qu’ils préferaient aller à la piscine avec les enfants, ou ...

    Donc, les partisans du non n’étaient pas majoritaires si on comparent les votes au nombre d’inscrit. C’est juste une question de comptage.

    J’ai une opinion personnelle sur la constitution européenne, que j’ai exprimée lors du vote en 2005 et c’était non !

    Entre temps, il y a eu de nouvelles elections, un "nouveau traité", une decision présidentielle de choisir la voie parlementaire pour le ratifier, comme lui en donne le droit la constitution de notre pays, et un vote parlementaire en faveur de la ratification.

    Je saurais me souvenir du vote de mon député aux prochaines elections. Le reste n’est que débat stérile à moins bien sur de proner une révolution et un renversement du régime, ce qui aurait l’avantage de tout pouvoir remettre à plat, mais qui ne serait pas très constructif.

    Une note d’optimisme tout de même, d’idéalisme diront certains : Malgré tout ce qui ce passe en France ces derniers temps, je crois que nous ne sommes pas aussi divisés que ce que suggère notre politique. (Merci Barack Obama)



  • Didier B Didier B 8 février 2008 12:56

    En fait, c’était 54% des votants en faveur du NON.

    Et, si on tient compte des 30% d’abstentions, cela donne 36% du corps électoral de l’époque en faveur du NON.

    Les 64% restants étaient donc soit pour, soit s’en foutaient.

    Et ça, en toute logique, m’incite à penser que les partisans du NON étaient minoritaires parmi les français.



  • Didier B Didier B 6 février 2008 15:44

    Murdoch reste une enigme, pour moi !

    D’un coté, les journaux de News Corp ont une politique éditoriale dictée à la fois par Murdoch lui même et par la volonté affichée de vendre, quelque soit le sujet à la une.

    Politiquement, le groupe soutient le libéralisme économique et les hommes politiques qui le mettent en pratique. C’est pour cela qu’on le retrouve derrière G.W. Bush ou Tony Blair. De plus, son réseau télé le plus puissant, Foxnews, est un "nid" pour l’aile droit du parti républicain, aux Etats-Unis.

    Mais, d’un autre coté, 20th Century Fox produit et distribue des films comme "Thank you for smoking" et Fox News est la chaine qui accueille les Simpsons (dont aucun épisode n’a jamais été censuré).

    Une enigme !



  • Didier B Didier B 6 février 2008 11:08

    J’aime l’idee N°2, parce qu’elle permet plusieurs comparaisons : Les élèves par rapport à leurs propres résultats, les élèves par rapport aux autres élèves de classes comparables, les professeurs par rapport à leurs collègues. La méthode d’enseignement peut donc être différente dans chaque classe, mais le résultat final sera seul prit en compte.

    En revanche, la N°1 me laisse sans voix.

    Le professeur n’étant pas "élu" par les élèves, pourquoi les élèves disposeraient-ils d’un "droit de vote" ? Pour noter un professeur, les élèves devraient avoir un point de comparaison équivalent. Or, il n’ont qu’un seul professeur par matière... De plus, l’école n’est pas une démocratie, faut pas tout mélanger.

    Il doit bien exister d’autres moyens, mais là, je n’ai rien en tête.



  • Didier B Didier B 5 février 2008 17:31

    Vous pouvez aussi vous reporter sur Le Figaro.

    Dans un édito du 5 février, on y explique que si la cote de Nicolas Sarkozy baisse, c’est à cause des français qui sont des girouettes...

    Le Figaro