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Les commentaires de LNPLV



  • LNPLV 19 juillet 2011 23:01

    Ils ont l’obligation de déclarer leurs liens d’intérêts, mais s’il ne les déclarent pas, quelles sanctions encourent ils ? Aucune. Ils déclarent leurs liens d’intérêts contraints et forcés et avec retard que risquent ils ? Rien ! Ils déclarent leurs lien d’intérêts mais prennent position, sur les AMM de médicaments demandés par leurs employeurs, ils participent au débat et au vote, que risquent ils comme sanction ? Rien. Le LEEM, représentant les fabricants, siège à la commission d’AMM, heureusement sans voix délibérative, les votes se faisant à mains levées comment concevoir qu’un votant rémunéré par un labo. Puisse voter contre une AMM demandée par le labo qui le rémunère, alors que le représentant du LEEM rapportera sa prise de position, inimaginable. On nous prend vraiment pour des « minus habens » et ces gens la, nous font la morale ! Par ailleurs le conseil de l’ordre ne craint pas de demander son avis sur les médecines douce à monsieur Fénech (que j’appelle Fénech Téfal tellement il traine de casseroles, y compris l’annulation judiciaire de sa dernière élection à la députation) le pourfendeur des médecines alternatives. Ce même monsieur qui ne craint pas d’écrire que tel médecin est un criminel, qui a pris en charge en le soignant par ces médecines pourfendues, un malade incurable !!!! S’il était incurable personne n’aurait pu le soigner, monsieur, apprenez ce que veut dire incurable ou bien n’utilisez pas ce mot. Mon prof de français appelait ça le mensonge des mots.



  • LNPLV 6 février 2011 17:49

    Pour avoir été salarié en Suisse, l’impôt à la source y fonctionne très bien et en fin d’année on fait des réajustement en plus ou en moins, mais chacun est au courant de ce qu’il va lui arriver, donc pas de surprise et des rentrées régulières pour l’état, quand au salarié son salaire est net de net, pas de surprises.



  • LNPLV 28 janvier 2011 16:52

    Fin 2005 le sénateur About a tenté à travers la loi de financement de la sécu. pour 2006 par un amendement, d’imposer obligatoirement le vaccin de la grippe aux personnel soignant, pour protégéer les malades, la loi est passée en commissions mixte paritaire, (ça s’appelle de la cavalerie législative) le ministre de la santé a du se fendre d’un décret pour dire que l’obligation ne soit pas effective, en rappelant que les vaccins des personnels soignants n’étaient pas destinés à protéger les patients mais les soignants. Il est hyper connu pour défendre systématiquement les labos et on comprend pourquoi. Ca s’appelle les lien d’intêrets. Je lui ai envoyé un courrier pour m’étonner de ce fait, le 29 juin 2006, j’attends toujours sa réponse.



  • LNPLV 2 juillet 2008 16:36

    Tout simplement parce que l’info qu’elle a, vient des journaux médicaux qui vivent grace à la pub des labos et qu’en 10 ans d’étude elle a eu 2h sur la vaccinations, elle est persuadée que c’est bien, mais elle n’a pas d’informations objectives. triouvez vous à redire sur les arguments du quotidien du médecin.



  • LNPLV 14 mai 2008 09:45

    Bonjour

    Heureusement que les effets indésirables ne touchent pas 100% des vaccinés, j’ai seulement dit qu’on flanquait la trouille aux gens pour les vacciner, on annonce mille décès annuels et quand on prend leurs études, celles qu’ils publient on trouve seulement 180 cas (pas décès) par an. Vous avez confiance dan sces gens qui se contredisent à 2 pages d’interval, moi pas, c’est notre différence.



  • LNPLV 27 novembre 2007 17:03

    Je suis toujours étonné des commentaires sur cette enquète et je réagis au texte de « maxtor ». D’abord j’ai toujours l’impression que lorsqu’on conteste ne serais-ce que l’obligation vaccinale on nous prend pour des pauvres d’esprit, des « minus habens » et pourtant cher monsieur maxtor c’est moi que la société française de santé publique et le ministère de la santé ont prié d’intervenir sur la levée de l’obligation du BCG et pas vous, donc je vais vous résumer et sur le BCG uniquement mes 20 minutes d’intervention devant ce parterre de professeurs de médecine de pédiatres et autres membres du comité technique des vaccination et de l’INVS. (l’institut national de veille sanitaire) J’ai comparé l’Allemagne et la France, 1973 l’Allemagne supprime l’utilisation du BCG (on en trouve plus le BCG en Allemagne) Le BCG est quand même le seul vaccin qui ne protège pas de la maladie pour laquelle il a été inventé : la tuberculose pulmonaire L’une des méthodes pour apprécier l’efficacité d’une vaccination consiste à comparer deux pays de niveau de vie identique, l’un pratiquant et imposant le BCG, l’autre l’ayant rejeté de son arsenal préventif depuis 32 ans. Je prendrai l’exemple de l’Allemagne et de la France. Mais d’autres pays comme les Etats-Unis d’Amérique ou les Pays Bas pourraient aussi servir de comparaison.

    Pourquoi l’Allemagne ? C’est un pays de 82 millions d’habitants, la portée statistique de cette analyse qui concerne 28 années est donc importante. La population immigrée à risque est socialement d’un niveau comparable à celle de la France, cette population est même supérieure de 3,3 %, au prorata de la population générale par rapport à celle de la France.

    Pour que cette analyse soit incontestable, j’ai utilisé les chiffres repris dans le rapport 2006 de l’OMS, publié sous la responsabilité du Dr Raviglione, directeur à l’OMS chargé de la lutte contre la tuberculose dans le monde, qui déclarait : « La trop grande confiance qu’on a mise dans le BCG est en train de nous faire perdre la guerre que nous menons contre la tuberculose ».

    1980 - La France notifie 17 199 cas de TB. Pour 100 000 ha le taux est de 32 ... Les 2 Allemagnes déclarent 29 991 cas de TB pour 100 000 ha le taux est de 38 ...

    1990 - La France notifie 9 030 cas de TB. Pour 100 000 ha le taux est de 16 ... L’Allemagne réunifiée déclare 14 653 cas de TB pour 100 000 ha le taux est de 18 ...

    2000 - La France notifie 6 122 cas de TB. Pour 100 000 ha le taux est de 10 ... L’Allemagne déclare 9 064 cas de TB pour 100 000 ha le taux est de 11...

    2004 La France notifie 5 004 cas de TB. Pour 100 000 ha le taux est de 8 ... L’Allemagne déclare 6 007 cas de TB pour 100 000ha le taux est de 7...

    Le Pr. Michel Rey, de Clermont-Ferrand, grand promoteur des vaccinations, a pourtant clairement écrit : « Le B.C.G. ne fera pas disparaître la maladie. A la limite, le B.C.G. gêne la lutte contre la tuberculose ». (cf. Thérapeutiques, n° 1 de janvier 1996).

    Margaret Johnston, directrice du N.I.A.D (l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses), déclarait à son tour dans Le Quotidien du Médecin du 31 mai 1994 : « Une réponse immune partiellement efficace n’empêche pas l’établissement de l’infection et entraîne même une immunodéficience qui permet au microbe de causer une maladie plus sévère ».

    De grands pays industrialisés comme les USA n’utilisent pas le BCG et la quasi-totalité de ceux qui l’utilisent ne rendent pas son application effectivement obligatoire sauf le Portugal. La législation française peut se comparer à celle de ce pays, est-ce vraiment le modèle à suivre ?

    J’ai découvert avec surprise certaines études démontrant que le BCG ne serait que très partiellement efficace, même contre les formes graves y compris la méningite tuberculeuse.

    En effet, dans un article publié dans un journal allemand et repris par Le Concours médical du 20 avril 1974, le Dr F. Freerksen, directeur de l’Institut de Biologie Expérimentale affirmait : « Le dogme de l’absence de méningite tuberculeuse chez les vaccinés doit être abandonné (entre 1964 et 1968, à Vienne, sur quatre méningites tuberculeuses, deux se sont produites chez des sujets vaccinés ». (cf. Le Concours médical (t. 96 [16], p. 2 529-2 530) ; 1974).

    Le 13 juillet 1989, le journal Profil signalait que le Pr. Costil, de l’hôpital Trousseau à Paris, avait pu observer huit cas de méningite tuberculeuse, survenus entre 1978 et 1988, chez des enfants vaccinés avec le BCG. Parmi ces huit cas, il y avait eu deux décès, trois cas avec de graves séquelles neurologiques et seulement trois guérisons.

    De plus le BCG lui-même, peut provoquer cette méningite, y compris chez des sujets ne présentant aucun déficit immunitaire. • Tardieu, M. & al. : « Tuberculous meningitis due to BCG in two previously healthy children » (The Lancet, t. 1, p. 440-441 ; 1988). • Giraud, P. & al. : « Survenue d’une méningite tuberculeuse deux mois après une vaccination par le BCG » (Archives françaises de pédiatrie, t. 12 [6], p. 606-611 ; 1955).

    A son tour le journal britannique The Lancet du 27 février 1988 relatait le cas de deux enfants français âgés de 4 et 5 ans, atteints de méningite tuberculeuse six mois après avoir été vaccinés par le BCG. Ces enfants avaient déjà reçu un premier vaccin, l’un à l’âge de 8 jours, l’autre à l’âge de 3 ans. Leurs systèmes immunitaires étaient normaux et la réaction de contrôle étant négative, on avait décidé de les revacciner. Dans ces deux cas, comme les examens bactériologiques l’ont prouvé, c’est le vaccin lui-même qui a provoqué la méningite. Suivant l’usage, la presse médicale française a gardé le silence sur ces cas.

    Vous n’avez donc pas compris que les vaccins ne protègent pas des maladies, ça ne marche pas.

    en 1195 1996 1999 2000 2003 2004 2005 on nous a bassiné les oreilles en nous disant que grâce à la vaccination dans les pays ou il y avait des cas de polio cette maladie régressait grâce aux vaccinations dans ces même pays en 2006 et cela se confirme en 2007, le nombre de cas de polio réaugmente, grâce à la vaccination ? SILENCE RADIO tout le monde se tait. Et vous vous dites quoi ????????????????????????????????



  • LNPLV 30 octobre 2007 09:17

    Vous jugez Le système français fiable, pas moi et pour un vaccin dont on a l’expérience le vaccin anti-hépatiteB voici l’avis de l’expert désigné dans ces affaires par le juge Marie-Odile Bertella Geffroy.

    1.4.2. L’administration sanitaire française

    1.4.2.1. L’AFSSAPS

    Parmi les dizaines d’expertises et les centaines d’articles dont l’auteur du présent rapport a eu connaissance, la « conférence internationale de consensus » de septembre 2003 occupe une place de choix. Or, l’ANAES, co-organisateur avec l’AFSSAPS et l’INSERM de cette manifestation, a publié en 1999 une procédure fort claire précisant les modalités incontournables d’une telle conférence, notamment :  respect du contradictoire, avec un choix équilibré d’experts de toutes les tendances ;  transparence, avec notamment préparation du programme des débats un an avant la réunion et publication des liens d’intérêt des experts invités. Il est facilement documentable que ces principes dont la justification va pourtant de soi ont été grossièrement bafoués en l’espèce :  Aucun des experts ayant si peu que ce soit documenté la toxicité du vaccin n’a été invité, ni même informé de la conférence : on a même vu Chen, zélateur notoire de cette vaccination et co-auteur de l’une des cinq études cas/témoins rassurantes (10), invité à présenter les résultats de l’étude antagoniste (24) en lieu et place de ses auteurs légitimes. Pour reprendre la métaphore de l’instruction qui a introduit la présente analyse, c’est comme si un juge d’instruction, pour éviter la contradiction, remplaçait la déposition du sixième témoin par l’une des cinq autres qui disent le contraire...  L’annonce de la conférence a été faite dans les jours seulement précédant la réunion, et le programme a changé jusqu’au dernier moment.  Notoirement investigateur d’une foultitude d’études financées par l’industrie pharmaceutique, Van Damme, pour ne citer que lui, a été présenté par les organisateurs comme affilié au « centre collaborateur de l’OMS pour la prévention et le contrôle des hépatites virales, Université d’Anvers, Belgique » sans la moindre mention ni de ses liens financiers profus avec les fabricants, ni du financement susmentionné du fameux centre collaborateur (VHPB) par ces mêmes fabricants. En fait, l’analyse des documents contemporains permet de reconstituer la genèse du projet. C’est à la mi-novembre 2002 qu’en réponse à la médiatisation faite autour d’un rapport d’expertise pénale réalisé par nos soins à la demande du Pôle santé de Paris, B. Kouchner a, le premier, évoqué l’intérêt d’une « expertise scientifique » (doc. 1). Cette idée d’une expertise scientifique a été reprise quelques semaines plus tard (18/12/02) par L. Abenhaim, alors directeur de la DGS, qui a précisé qu’elle prendrait la forme d’une conférence de consensus « où tous les points de vue pourront s’exprimer » (doc. 2). Puis, en contradiction avec les recommandations susmentionnées de l’ANAES, la confidentialité a dès lors recouvert ce projet qui n’a refait surface publique que dans les derniers jours d’août 2003, moins de deux semaines avant la conférence qui s’est tenue les 10 et 11 septembre - et dont nous n’avons personnellement été jamais avisé par les responsables (pas plus que nos collègues français ou étrangers ayant documenté un potentiel toxique inhabituel de ce vaccin). L’illogisme de cette première séquence saute aux yeux du moins averti :  ou bien notre contribution pénale était aussi nulle que d’aucuns l’ont soutenu depuis, et l’on ne voit pas la nécessité d’y répondre par une « conférence internationale de consensus » ;  ou bien elle était suffisamment argumentée pour mériter à tout le moins un débat, et la moindre des choses eût alors été de nous y inviter - ne serait-ce que pour tenir la promesse fallacieuse de L. Abenhaim (doc. 2) - voire de solliciter notre avis sur le programme tout autant que sur le choix des « experts » dont la contribution eût pu être utile. C’est un truc vieux comme les républiques bananières que le meilleur moyen d’obtenir un « consensus », c’est encore d’éliminer les opposants - ce qui fut indubitablement la dynamique de cette première « conférence internationale de consensus ». Mais l’incohérence de l’AFSSAPS ne s’arrête pas là, puisque, suite à la publication définitive des résultats de Hernan et coll (qui avaient fait l’objet d’une publication préliminaire en 2003 (23)), une deuxième conférence de consensus devait être organisée à Paris le 9 novembre 2004. Alors que cette fois-ci, nous n’étions pour rien dans cette nouvelle alerte, notre présence à cette conférence est soudain apparue à l’AFSSAPS si indispensable que, jusqu’à la veille au soir après 22 h, les responsables nous ont sollicité au téléphone ; et le lendemain, alors même que la réunion se déroulait, c’est le Ministre lui-même qui devait nous morigéner de l’avoir boycottée. Or, les conditions d’organisation étaient d’une irrégularité tellement patente que nous nous étions spontanément adressé à lui pour lui demander d’interdire cette réunion , tandis qu’en parallèle et selon une démarche assez inhabituelle pour un expert, nous nous tournions vers le Procureur de Paris pour attirer son attention sur les risques qu’une telle mascarade - avec ses conclusions trop prévisibles - faisaient courir à la santé de nos concitoyens (doc. 3). La duplicité de l’AFSSAPS est documentable sur un autre exemple, d’une immense portée pour toutes les affaires judiciaires en rapport avec la vaccination contre l’hépatite B. Il suffit, en effet, de lire les rapports des expertises ordonnées dans de telles procédures (nous en avons étudié environ une centaine) pour constater qu’implicitement ou explicitement, l’argumentation des experts judiciaires désignés est, pour l’essentiel, articulée autour des communiqués de la Commission Nationale de Pharmacovigilance qui ont scandé l’évolution de l’enquête nationale de pharmacovigilance mise en place depuis juin 1994. Or, cette référence quasi systématique à de tels communiqués est d’autant plus fallacieuse qu’elle ignore qu’aux termes des Bonnes Pratiques de Pharmacovigilance diffusées par l’Agence depuis décembre 1994 et dont la portée réglementaire a été confirmée par le décret n° 95-278 du 13/03/95, une telle enquête est menée en « concertation » (p. 27) avec les fabricants concernés, tandis que les conclusions en sont rédigées avec eux sous forme d’un « rapport commun » (p. 26) (ce sont les termes précis du texte officiel). Ainsi, des expertises judiciaires - notamment civiles - ont-elles pu s’articuler sur des évaluations « officielles » présentées comme objectives sans jamais mentionner que conformément à la règlementation, elles avaient été rédigées « en commun » avec l’une des parties dans la cause - le fabricant en l’occurrence et alors même que tout porte à penser que lesdits fabricants ont profité de cette « concertation » prévue par les textes pour exercer une influence déterminante sur le contenu des communiqués tirés de l’enquête, notamment pour ce qui concerne l’évaluation de causalité (20). Ce nonobstant, il est patent que jamais les responsables de l’AFSSAPS n’ont éprouvé le besoin d’attirer l’attention du public ou des magistrats sur la contribution des fabricants à ces communiqués. Ainsi illustré par les exemples qui viennent d’être présentés, ce mépris de notre administration sanitaire pour le contradictoire semble s’enraciner dans une bien curieuse déontologie. Comme l’atteste le doc. 1, en effet, l’ancien Secrétaire d’Etat à la santé n’hésite pas à opposer « expertise scientifique » et « expertises judiciaires » au motif que ces dernières sont « déjà entachées de partialité ». Or, pour peu que l’on y réfléchisse, qu’est-ce qui distingue un expert « judiciaire » d’un expert-tout-court ? Simplement qu’à compétence supposée équivalente, le premier dispose d’une parcelle de l’autorité de l’Etat et qu’il est assermenté. Il y a donc quelque chose d’impressionnant à constater qu’un politique du niveau de M. Kouchner, s’exprimant en représentant d’une administration éminente, considère comme allant de soi que ces deux caractéristiques - autorité de l’Etat, serment - suffisent, à elles seules, pour décrédibiliser un individu... L’histoire du vaccin contre l’hépatite B - avec toute sa dimension de santé publique - s’éclaire d’un aveu aussi exorbitant.

    Par ailleurs étant donné que nous n’avons pas de recul en France sur ce vaccin alors que les Etats Unis ont déjà presque 6 ans il est intéressant d’examiner les statistiques du VAERS mêmes si d’après de nombreuses revues scientifiques seul 1% des effets indésirables sont communiqués à cet organisme.

    Il n’y a pas de raison de penser que pour le « gardasil » ce sera différent que pour l’« engerix » puisque sa présentation a été faite avec le même texte à la virgule près, l’engerix étant présenté comme le vaccin contre le cancer du foie et le gardasil contre le cancer du col.

    Peut-être refera t on comme pour le Distilbène.Moi je préfère informer de suite plutôt que d’attendre.

    Le Distilbène® Ce médicament a été employé pour éviter les avortements spontanés alors que le « Vidal » indiquait déjà qu’il « était formellement contre-indiqué chez les femmes enceintes » non seulement il engendrait des grossesses difficiles et pouvait provoquer des cancers chez les mères mais aussi des malformations de l’appareil génital chez l’enfant à naître. De plus dès 1953 un médecin américain avait prouvé l’inefficacité de ce médicament. En 1971 une étude américaine portant sur 4000 femmes suivies pendant 5 ans démontra tous les effets nocifs de ce produit. La FDA (Food and Drogue Administration) en interdit immédiatement l’usage. De nombreux autres pays suivirent et adoptèrent cette attitude la même année. En 1973 l’OMS lança un cri d’alarme par la publication d’une étude scientifique intitulée « Carcinogenèse chimique transplacentaire » En 1988 soit 17 ans plus tard, la France lance enfin une étude sur les effets à retardement du Distilbène®, pour découvrir ce que les américains avaient prouvé dès 1971. Pendant ces 17 ans des dizaines de milliers de femmes ont « bénéficié » de ce médicament. En 1992 on apprenait qu’environ 80.000 jeunes françaises risquaient des grossesses difficiles ou plus grave encore des cancers à cause de ce médicament pris par leur mère pendant qu’elles les attendaient, sans parler des malformations des organes génitaux et des voies urinaires pour les garçons. Mais le Distibène® à poursuivi sa carrière comme pilule du lendemain sans connaître un franc succès. Le laboratoire ne s’avoua pas vaincu puisqu’il eut l’idée de le lancer pour l’engraissement rapide des volailles et du bétail. Ce dernier est ensuite ingéré par les humains ne l’oublions pas. Ils retrouvent alors cette molécule dans leur alimentation. Et il reste dans le commerce pour traiter le cancer hormono-dépendant de la prostate.

    Voilà encore une preuve qu’on n’est pas meilleurs mais plutot moins bon.



  • LNPLV 26 octobre 2007 09:18

    On ne parle de notre système qu’en terme comptable. Notre système serait le plus protecteur, nous devrions donc être en meilleure santé que les autres peuples Européens.

    Les français sont ils en bonne santé ? NON ! Le modèle français est-il le meilleur ? Si oui, pourquoi personne ne le copie-t-il. Le problème c’est que nous ne connaissons que la médecine dite officielle. Nous sommes complètement rétrogrades.

    La désinformation totale qui règne sur le sujet nous conduit à penser qu’on ne peut vivre sans médicament et que de toute façon s’ils ne font pas de bien ils ne font pas de mal. Et c’est faux

    Le résultat c’est que nous détenons le record du monde de consommation de médicaments soit : 4 fois plus que la GB et 2.5 fois plus que les USA. Cela devrait produire un effet bénéfique sur la santé des français, il n’en rien. Notre santé est mauvaise, la morbidité a presque doublé entre 1970 et 1990 avec + 210% de maladies mentales et + 960 % de maladies endocriniennes (population et société CREDES/CNAM).

    Le cancer tue un français toutes les 4 minutes, c’est la première cause de mortalité. On nous dit que c’est à cause de l’allongement de la durée de la vie, hors, 35% touchent des personnes entre 35 et 45 ans.

    On nous parle d’allongement de durée de la vie pourtant au de là de 60 ans elle est quasiment nulle ; les chiffres optimistes proviennent de la réduction de la mortalité infantiles et de l’amélioration de l’hygiène.

    La mortalité prématurée (celle qui intervient avant 65 ans) est sensiblement supérieure à celle de nos voisins européens, Suède, GB, même Italie, seul le Portugal est moins bon que nous. Comparons avec la Grèce qui a un revenu moyen presque trois fois inférieur au nôtre, elle a des performances sanitaires égales ou meilleures. Le taux de mortalité pour les hommes de 20 à 64 ans est de 400 en Grèce et 500 en France. Etc etc. etc.

    Pour les Français de 25ans, la mortalité est le double de celle des Suédois et des habitants du Royaume Unis. Pour la mortalité maternelle nous sommes au 15eme rang européen. Les maladies contractées dans les hôpitaux atteignent 800 000 personnes par an. L’iatrogénèse provoque (rapport de 1997) 18 000 décès par an (rapport de 1998) 10 090 décès par an, et 150 000 hospitalisations (chaque ministre manipule les chiffres).

    Nous sommes donc parmi les pays développés celui qui réussi le moins bien, pourquoi ? En 1999 il y a 78 personnalités qui sont membres de la commission qui distribue les autorisations de mise sur le marché. 66 d’entre elle ont des liens d’intérêts déclarés avec l’industrie pharmaceutique (sciences et vie mars 1999). Que Faire ? Nous sommes le pays le plus à la traîne pour les médecines non conventionnelles, les Allemands ont un corps de praticiens intermédiaires, autorisés, formés et même remboursés, chez nous les médecins qui pratiquent ces médecins sont poursuivis, condamnés par un ordre qui a la capacité unique au monde d’exercer le justice à la place de la justice ordinaire.

    Il faut transférer la justice ordinale à la justice ordinaire (comme pour tous les autres ordres professionnels)

    Il nous faut repenser notre système de santé, en incluant toutes les médecines complémentaires ou alternatives, tout au moins en ne les combattant pas. Permettre aux mutuelles qui le souhaitent de rembourser sur factures les thérapies non prises en charge par la Sécurité Sociale (les mutuelles qui remboursent ces médecines complémentaires constatent que leurs adhérents qui se soignent de cette manière leur coûtent moins cher, Monsieur André ou Michel Barthier (Administrateurs de la SMIP) vous le diront. Le DMP dossier médical personnalisé, présenté dans une louable intention, sera la porte ouverte à la disparition du secret médical et la possibilité d’accès à ce dossier par les employeurs et les assurances.

    Nous sommes avec le Portugal le seul pays européen à rendre obligatoires des vaccinations, il faut au moins proposer une clause de conscience à ceux qui ont réfléchi à ce problème.

    Des centaines d’associations œuvrent en ce sens, il faut provoquer un grenelle de la santé avec toutes les parties concernées et tenir compte de leur avis. La population est totalement désinformée des milliers de personnes rejoindront le mouvement si c’est une option discutée et prise en compte. (60% des français se soignent totalement ou partiellement par ces médecines différentes).

    Jean- Marie MORA



  • LNPLV 20 octobre 2007 19:23

    BJR une seule chose le site de la LNPLV est devenu

    http://www.infovaccin.fr/



  • LNPLV 20 octobre 2007 18:40

    des informations d’horizons différents dont la source unique est le fabricant. les 2 scientifiques qui ont proposé l’utilisation du vaccin et ont publiés les études faisant la démonstration de l’efficacité sont John Bosnego et Alan Show c’étaient des biologistes employés par le laboratoire fabriquant le vaccin). Quand vous dites que vous prenez des informations d’horizons différents, me donnez vous l’autorisation de sourire !



  • LNPLV 20 octobre 2007 18:34

    Merci pour les incapables, nous n’avons pas de liens financier avec les labos, nous ne vivons pas de leur manne. N’oublions pas qu’en 2005 66 des 80 membres de la commission d’AMM declaraient des liens d’intérets financiers avec la laboratoires pharmaceutiques, et comme il n’y a pas de sanctions pour ceux qui fraudent dans leur déclaration !!! L’incapable c’est vous, d’ailleurs pas seulement mais aussi manipulateur offusqué. Et moi j’ai au moins le courage de signer de mon nom, je n’ai rien a cacher et je ne touche pas 1 € de cette industrie. Je suis tellement incapable qu’on a jugé ma présence et mon expression indispensable à la conférence de consensus sur la levée de l’obligation du BCG et vous ?



  • LNPLV 20 octobre 2007 16:28

    Je ne me fais aucune illusion le labo n’investit que pour un retour sur investissement, combien a gagné MERCK avec l’invention et la vente de ce médicament ? je ne connais pas le sujet, j’ai seulement cherché sur « thériaque » les effets undésirables de ce médicament, à dose thérapeutique et j’en ai trouvé seulement 72 du simple accès de fièvre en passant par HEMORRAGIE OCULAIRE et COMA, donc je prends votre angélisme avec cieconspection, toit simplement car vous n’en avez pas parlé.

    Ne nous faites pas pleurer sur Merck.

    Quant aux recherche sur le vaccin contre le sida elle viennent d’être arrétées vous auriez pu choisir un meilleur exemple.



  • LNPLV 20 octobre 2007 16:11

    Pourquoi multiplier par 100, simplement parce que differents revues scientifiques américaines ont fait la démonstration qu’à peines 1% des effets indésirables étaient notifiés au VAERS, je me contente de reprendre leurs chiffres. Quant aux 1000 cancer du col en France si on reprend les chiffres cités par le quotidien du médecin (ce sont leurs chiffres, pas les miens)qui sont peut être faux, mais qu’il ont publiés dans la plaquette « prix galien » on abouti à 144 cas par an et pas 1000, je n’y peux rien, reprenez leurs chiffres.



  • LNPLV 20 octobre 2007 15:55

    Ou trouver les chiffres des effets indésirables ; sur le site du VAERS tout simplement, pourquoi les multiplier par 100, parce que plusieur journaux dont Jama ont publié des articles disant que seul 1% des effets indésirables étaient remontés au VAERS, quant à glorifier big pharma .... les 150 000 morts par le VIOXX aux USA qui ont obligé MRERCK à retirer cet inflamatoire non stéroödien du marché alors que même la FDA ne le demandait pas c’est un geste du à la pression des américains. Qui prendrait le risque de faire chuter sont action en bourse de 30% en une seule séance, s’il n’ y était obligé. (comme cela s’est passé) quand aux chiffres de l’espérance de vie vous savez très bien quelle est du à la diminution de la mortalité infantile due elle même à l’amélioration de l’hygiène de l’aseptie et de l’alimentation. Quand je dis que je diversifie mes sources c’est que je choisis celles qui ont des avis différents.



  • LNPLV 22 août 2007 14:13

    Le vaccin contre la connerie ne marchera pas mieux que les autres et aura des effets indésirables, il vaut l’oublier ! lol



  • LNPLV 22 août 2007 14:10

    Voltaire sevit de nouveau le dr WAEKFIELD (ortho à verifier) et en procès à Londres en ce moment sur le sujet du ROR, voilà que voltaire qui a fait ecrire Voltaire sur une invention arrivée 30 ans apres sa mort se permet aujourd’hui de donner les conclusions d’un procès qui est en cours, vous êtes le meilleur de l’art devinatoire.



  • LNPLV 22 août 2007 14:00

    Le texte parlait de la peste en Francer !!!! ne mélangeons pas tout.



  • LNPLV 22 août 2007 13:59

    votre argument pour la disparition de maladie de France est bon, mais s’il y a la peste, il y aussi le cholera, la lèpre qui n’a pas de vaccin etc. Quand on regarde la courbe de regression des méningites bactèriennes on s’apperçoit qu’elles regressent sans vaccination jusqu’en 1991 puis la courbe réaugmante et continue d’augmenter malgré l’invention de vaccins contre des méningites, que s’est il passé en 91/92/93 ? on a vacciné la moitié des français conte l’hépatite B, qui a pensé a faire le rapprochement entre ces deux faits ????????



  • LNPLV 22 août 2007 13:54

    encore des généralités et aucuns chiffres ni aucunes sources.



  • LNPLV 22 août 2007 13:51

    Facile dites vous, pas en France ou le recensement des effets indésirables n’est pas fait, le WAERS aux USA donne des chiffres mais précise qu’environ 1% des effets indésirables est seulement transmis. Accidents de vaccinations aux Etats-Unis

    Les chiffres officiels

    accidents de vaccinations advenus aux Etats-Unis entre 1999 et 2002, chez les enfants de moins de six ans.

    Ces chiffres sont communiqués par le VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System), organisme d’état, sorte de pharmacovigilance pour la vaccination, qui dépend du CDC.

    En ce qui concerne le vaccin DTaP (diphtérie-polio-coqueluche) 16 544 effets secondaires ont été rapportés, comprenant 631 hospitalisations et 394 décès.

    Pour la grippe, il y a eu 419 effets secondaires dont 41 hospitalisations et 11 décès.

    Pour l’Hépatite B : 13 363 effets secondaires, dont 1 840 hospitalisations et 642 décès.

    Pour l’Hib (Haemophilus Influenzae type B) : 22 463 effets signalés, dont 3 224 hospitalisations et 843 décès.

    Pour le ROR : 18 680 déclarations, dont 1 736 hospitalisations et 110 décès.

    Mais les autorités américaines s’accordent pour reconnaître que les données du Vaers, qui dépend de la FDA, ne représentent en vérité qu’un très faible pourcentage des complications survenues.