Plutôt que de gaspiller des sommes folles à assurer le confort ad vitam de gens qui ne font RIEN pour faire progresser les enfants (je parle des psychiatres et psychanalystes, non des éducateurs), il me paraît en effet judicieux d’enseigner ceux qui peuvent l’être, avec ces méthodes qui ont fait leurs preuves.
Je sais de quoi je parle, ayant vu mon fils, quasi normal à 5 ans, régresser, quand d’autres enfants de même pronostic ayant eu la chance de profiter de cette éducation spécifique s’en sont fort bien tirés. Je suis les progrès des uns et des autres depuis plus d’une décennie.
Il n’est pas question ici d’autisme profond, voire assorti de surhandicaps, Ni de miracle. Mais d’une multitude, grandissante, de petits enfants qu’il s’agit de tirer des griffes de gourous parasites. Et patentés.