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Les commentaires de LeLionDeJudas



  • LeLionDeJudas LeLionDeJudas 22 mars 2015 12:04

    Oui l’Ukraine dans l’UE était un piège tendu par l’OTAN.
    Or Ianoukovitch a refusé d’y entrer. Conséquence : coup d’état orchestré par les USA.
    Alors Poutine a activé ses réseaux criméens et repris en un tour de main et sans aucune victime un territoire russe depuis 250 ans.

    Oui, il s’agit bien d’une partie d’échec. Sur un mouvement que l’OTAN croyait décisif il s’est fait prendre un pièce maîtresse.
    Il peut toujours ruminer contre l’adversaire, il est seul responsable de cet échec.

    Votre conclusion ne tient pas : d’une part la Crimée a choisit démocratiquement, donc légalement, son destin russe. D’autre part le Donbass est toujours ukrainien et jusqu’à preuve - je répète le mot PREUVE - du contraire, il n’y a pas de troupes russes au Donbass.

    Il ne faut pas croire que le reste du monde et une grande partie de l’opinion publique occidentale va se faire abuser une fois de plus par des « preuves » comme celles présentées par Powell au Nations Unies ni par les incantations des éternels va-t-en-guerre occidentaux.

    Et s’il est vrai que les USA qui n’ont pas grand chose à perdre de plus qu’ils ne sont déjà en train de perdre avant même cette affaire : leur hégémonie sur la planète, ce n’est pas le c as des européens. Ils sont de plus en plus divisés au sujet des sanctions, beaucoup y perdent lourds, cela ne durera pas jusqu’à la chute de Poutine que ses sanctions (et d’autres actions plus discrètes) sont sensées obtenir.

    Quant aux russes, souffrir ne leur fait pas peur. C’est le pays qui a le plus souffert pendant WWII, ce qui ne les a pas empêché de battre les nazis.



  • LeLionDeJudas LeLionDeJudas 13 décembre 2014 10:11

    Philippe Seguin, le dernier grand homme politique français. Depuis c’est le néant dans tous les partis.



  • LeLionDeJudas LeLionDeJudas 3 août 2014 08:19

    Complètement d’accord.
    La cause principale des Croisades était le contrôle de la route des épices.
    Les épices étaient un peu ce que le pétrole est aujourd’hui. Le reste, religion,démocratie ou terrorisme, ne sont que des faux prétextes.



  • LeLionDeJudas LeLionDeJudas 21 novembre 2012 18:32

    Si la proximité est un motif de pertinence, alors l’avis des agriculteurs de Notre Dame des Landes n’en a que plus de valeur...



  • LeLionDeJudas LeLionDeJudas 2 novembre 2012 19:59

    Titi,

    Les occidentaux (les catos dirais-tu ?) ne se foutent-ils pas sur la gueule depuis les temps immémoriaux ? les pires massacres de l’humanité ne sont-ils pas de leur fait ? récents en plus et sous couvert de « modernité »...
    On a jamais rien eu à y faire là-bas, les religions n’ont toujours été qu’un prétexte, dés les premières croisades quand en guise de pétrole le contrôle de la route des épices en était la cause réelle. D’ailleurs ce sont les épices qui ont poussé les occidentaux à contourner l’Afrique ou encore à découvrir la route de l’Ouest...

    Je suis atterré par la naïveté de ceux qui voit dans la religion les causes de nos divisions, c’est d’une bêtise...



  • LeLionDeJudas LeLionDeJudas 23 octobre 2012 11:40

    « Les envahisseurs »... félicitations Marcel Vincent ! http://www.youtube.com/watch?v=kOlhv7s2-mE

    Les MacDo américains sont autant de mosquées, les bouteilles de Coca tout autant d’effigies religieuses, les stars de cinéma les icônes qui ont plus surement imposé les us et coutumes de la religion ultracapitaliste américaine que l’islam sans pour autant créer la levée de bouclier que les médias manipulés par les intérêts militaro-industriels savent susciter chez les moutons panurgiques de nos « démocraties ».

    Cette crédulité serait à mourir de rire s’il n’y avait ces centaines de milliers d’irakiens et d’afghans qui ont péris et périssent encore sous les bombes de l’occupant occidental au nom d’une idéologie « démocratique » qui ne s’applique même pas ou qu’en apparence en son seing et pour des prétextes fallacieux genre armes de destruction massive et annihilation d’un terrorisme largement entretenu et créé par la CIA du temps de la guerre froide... ou comment éteindre l’incendie façon Red Adler...

    Super. Après on s’étonne qu’en flattant les extrémismes islamiques pendant des décennies pour assouvir nos intérêts pétroliers ça nous retombe sur le coin de la gueule à un moment donné. Comme si on avait rien semé depuis des décennies, voir des siècles.

    C’est dommage le chat, avoir les indéniables qualités humoristiques que je te lis depuis 2-3 années pour continuer dans l’aveuglement c’est un sacré gaspillage de capacités ou peut-être un manque de clairvoyance quelque part, en même temps le gaspillage étant une des tares de nos sociétés « civilisées », tu es bien dans la norme.



  • LeLionDeJudas LeLionDeJudas 29 septembre 2012 15:06

    Sujet et conclusion sans intérêt, mais c’est bien écrit. Je plussoie.



  • LeLionDeJudas LeLionDeJudas 29 août 2012 12:17

    Non, c’est pas ça, il s’agit de changer de perspective.
    En parlant d’effacer les dettes tu restes dans une perspective économique de l’organisation du monde des hommes, d’ailleurs tu t’en rends compte puisque tout de suite après tu parles d’irréversible désindustrialisation (comme si c’était un drame...), tu parles de riches et de pauvres, d’acheter, de produire...
    Changer de perspective se serait (par exemple) plutôt de penser à la place des hommes (et donc des autres êtres vivants) sur la planète, savoir vers quoi on veut se diriger, les équilibres à créer, les poses à éviter... penser le vivant quoi.



  • LeLionDeJudas LeLionDeJudas 14 juillet 2012 20:12

    C’est pas un débat simple.

    Je pense que le contribuable doit accepter un surcoût apparent pour garder les compétences de l’Etat en matière de défense. Je dis apparent car si les frais de développement et de production sont à notre charge, au moins les retombées techniques, productives et politiques nous profitent.

    La question n’est pas « doit-on coopérer avec les autres pays d’Europe pour produire les chasseurs ? » au risque de nous compromettre au calendrier des autres pays et plus encore à leur réalités politiques (d’ailleurs qu’est-ce qu’on fout encore dans l’OTAN ? on n’a encore un Président atlantiste ? va falloir le dégager lui aussi ?) mais plutôt « doit-on nationaliser Dassaut ? » au risque de perdre à terme une certaine efficacité technique permise par l’indépendance des managers privés vis-à-vis des pouvoirs politiques et militaires.



  • LeLionDeJudas LeLionDeJudas 27 mai 2012 09:51

    I will be glad if someone could translate it in french. Thx.



  • LeLionDeJudas LeLionDeJudas 27 mai 2012 09:46

    Bon ok le sudiste, moi aussi j’aime bien le disco, la planète aime bien le disco, on s’est tous pris pour Travolta au centre du dancefloor, le marketing a très bien fait son job, mieux que pour le (la ?) coke.

    Mais les Bee Gees ont eu une histoire avant d’en arriver là, l’auteur nous la fait partager. Tu vas pas nous la faire séquence nostalgie des soirées cagoles du Krypton et du Club 88. Il s’agit d’autre chose là, de leur genèse et de leur évolution avant leur révolution disco.

    Je précise que je suis amateur (pas plus que ça non plus) de leur période disco, mais je répète, tout le monde connait, qu’on le veuille ou non, à la radio ou en soirée, on les a toutes entendues au moins quelques centaines de fois. Alors c’est bon là, repos.

    S’ils ont fait des bijoux dans un style totalement différent, ça vaut le coup d’ouvrir ses pavillons et notre esprit par la même occasion pour connaître d’autres versions de leur œuvre, de leur histoire. La monoculture, à la longue, elle assèche l’esprit comme elle assèche la terre. Ça rend stérile.

    Leur histoire montre qu’ils ont évolués dans leur art, il ne s’agit pas de dire que telle œuvre fut « supérieure » à telle autre sous prétexte de succès commercial, mais que lesdits succès ont pu occulter des œuvres d’aussi grande qualité, bien que totalement différentes.

    L’auteur rééquilibre les choses, voilà tout.



  • LeLionDeJudas LeLionDeJudas 6 avril 2012 13:56

    A notre époque à cause des colorants capillaires il est risqué de parler de la chevelure comme reflet de la toison pubienne.



  • LeLionDeJudas LeLionDeJudas 6 avril 2012 13:42

    Un anti-communautariste qui vote Le Pen... t’as tout compris toi.



  • LeLionDeJudas LeLionDeJudas 6 avril 2012 13:38

    Juluch, tu es Incompatible avec la vie.



  • LeLionDeJudas LeLionDeJudas 22 novembre 2011 18:08

    Et pour ce qui est du nihilisme d’Aldous, comment appelles-tu un mode de vie qui s’accapare tout jusqu’à épuisement en ne respectant rien d’autre que ses désirs ?



  • LeLionDeJudas LeLionDeJudas 22 novembre 2011 18:06

    Il équivaut au nombre d’enfants par femme du temps de nos aïeux.



  • LeLionDeJudas LeLionDeJudas 22 novembre 2011 18:04

    Je suis plutôt d’accord, même si le racisme pur et dur sans égard pour les mœurs et uniquement relatif à une race existe vraiment.
    Dans le cas du texte ci-dessus, il ne s’agirait pas tant de stigmatiser le « blanc » ou l’« occidental » qu’un mode de vie qui accapare et détruit toute ressource jusqu’à épuisement. Ca c’est du nihilisme.



  • LeLionDeJudas LeLionDeJudas 28 octobre 2011 22:26

    Je m’étais fait exactement la même réflexion que votre dernier paragraphe à la lecture de « Nul homme ne saurait, par de simples idées, devenir plus riche de connaissances... », ou comment la raison seule perd la raison en faisant fi du ressenti par le cœur, de nos échappées oniriques et de la force créatrice de l’imagination...

    Bien au contraire, il me semble que la Raison doit nous pousser à s’approcher d’une certaine sagesse et d’admettre que nous ne sommes que des humains, c’est à dire d’admettre qu’aussi loin que nous allions dans le temps et dans l’esprit, nous ne percevrons/n’appréhenderons jamais rien de plus qu’une infinitésimale partie du réel (d’où le « je sais que je ne sais rien » ), que de simples idées sont autant de manières différentes d’appréhender ce réel comme autant d’angles de vue et de vérités qui élargissent le petit bout de la lorgnette, que cette multiplicité des regards rend les humains plus riches de connaissances.

    Au contraire, lorsque JP Morgan et consorts imposent à la planète un seul angle de vue, celui de la recherche du pouvoir comme accomplissement et de l’accumulation comme moyen, ils tendent à nous appauvrir.



  • LeLionDeJudas LeLionDeJudas 20 octobre 2011 20:52

    "La solution me semble donc résider dans notre capacité à nous défaire de nos habitudes de penser ou d’agir. Il nous faut envisager le fait que le problème n’est peut-être ni compliqué, ni abstrait et que nous sommes capables, à notre échelle individuelle d’y fournir une réponse sérieuse et concrète. Il nous faut renoncer à cette croyance insensée en la politique comme système collectif qui changera notre avenir (croyance qui caractérise aussi trop souvent tous les citoyens qui appellent à une autre forme de gouvernement) pour comprendre qu’elle n’en est qu’une infime partie, que le véritable changement ne peut venir que de nous et cela pour des problèmes parfois bien plus sérieux et bien plus importants que celui que j’ai pris en exemple. Cette solution nécessite un recul conséquent, un élargissement de notre conscience pour remettre en cause ce que nous tenions jusqu’ici pour des vérités immuables."

    Mais il s’agit bien là de tout le travail de indignés mon cher monsieur.



  • LeLionDeJudas LeLionDeJudas 20 octobre 2011 20:36

    Oui, et à la suite d’Alexis Barecq, je dirai que le but - si tant est qu’il y en est un - n’est pas tant de renverser le(s) pouvoir(s) que de les nier, de les contourner, de les ignorer, de passer outre.
    Il ne s’agit donc pas d’une Révolution à proprement parler, il ne s’agit pas de casser l’existant ni de mettre le oaï mais d’insuffler chez les gens la nécessité pour chacun d’entre nous que le citoyen prenne le pas sur le consommateur ; et ceci d’une manière active.
    Le citoyen aura alors la primauté sur le consommateur, ses décisions influeront sur ses actes de consommations, et à terme, voir en même temps pour certains, sur ses actes de production. Ce qui sous-entend le choix d’un produit tant en fonction de sa qualité, que du lieu et du mode de production.
    J’ai la conviction qu’on ne pourra « agir » sur le capital ou le politique qu’en les « ignorant », c’est à dire en promouvant les modes alternatifs de consommations, voir un mode de vie alternatif moins basé sur la consommation, des modes d’échange moins basés sur les biens.

    Pour Alpo47. Je me désole de ce genre de commentaire où le consommateur prend le pas sur le citoyen, c’est à dire que tu « attends » que des idées te soient proposées sans que tu participes à leur élaboration ; en fait tu consomme de la politique, tu ne la fabriques pas. Tu la choisis sur les rayons le jour des élections, soit une fois tous les... D’autre part le risque de faire des propositions concrètes, c’est d’être catalogué et étiqueté, le risque d’être trop structuré est de devenir « préhensible » dans les sens où l’on peut nous prendre, nous manipuler, ce qui compté tenu de notre inexpérience et de notre relative naïveté se ferait sans difficulté si nous faisions l’erreur de vouloir nous justifier vis-à-vis du système en place.

    Hugh, j’ai dit !