Savez-vous seulement pour qui j’ai voté ? ...
Je viens de voir votre profil... Pour info, je suis militant syndical également. C’est vrai que je ne préfère pas trop l’afficher dans mes articles car je m’exprime ici à titre personnel. Je me sens proche du courant « éé ». Il y a deux semaines, j’étais à un conseil national du syndicat. J’y retourne en janvier (département 21).
Désolé, je me suis auto-censuré sans le vouloir. J’ai posté ma réponse au mauvais endroit... Du coup j’ai voulu l’enlever pour la remettre ailleurs et ça l’a « repliée ». Pas moyen de la supprimer totalement (vu que je l’ai remise ailleurs), ni de la déplier... C’est vrai que ça donne l’impression que des propos incorrects sont tenus, ce qui n’est pas le cas.
Désolé...
C’est pas qu’on ne veut rien réformer ! C’est juste que les réformes que le gouvernement applique vont à l’encontre de ce qu’il faudrait mettre en place ! Des postes d’enseignants sont supprimés à la pelle, des postes de RASED (Réseau d’aide spécialisée pour les élèves en difficulté), des postes de psy scolaire (alors qu’on en a de plus en plus besoin), des postes de remplaçants (ce qui fait que les enseignants ne peuvent plus se former ! Je n’appelle pas ça des réformes mais des régressions.
C’est pas qu’on ne veut rien réformer ! C’est juste que les réformes que le gouvernement applique vont à l’encontre de ce qu’il faudrait mettre en place ! Des postes d’enseignants sont supprimés à la pelle, des postes de RASED (Réseau d’aide spécialisée pour les élèves en difficulté), des postes de psy scolaire (alors qu’on en a de plus en plus besoin), des postes de remplaçants (ce qui fait que les enseignants ne peuvent plus se former ! Je n’appelle pas ça des réformes mais des régressions.
Petite précision concernant les réductions d’ancienneté. Avant, il y avait l’écran de la note. l’inspecteur notait et cette note déterminait le rythme d’avancement (c’est encore le cas actuellement). Mais l’inspecteur ne pouvait pas savoir si cette note allait faire passer le collègue au Grand choix, au choix ou à l’ancienneté (sauf pour des notes extrêmes). Un barème était appliqué. il ne prenait pas en compte que la note. L’IEN mettait une note qui avait une influence sur le rythme d’avancement. De plus, des commissions d’harmonisation existaient pour éviter que des IEN sous-notent ou sur-notent. Maintenant, l’IEN décidera seul de l’avancement des enseignants. Autant dire qu’il aura les chaussures propres !!!
C’est pas qu’on ne veut rien réformer ! C’est juste que les réformes que le gouvernement applique vont à l’encontre de ce qu’il faudrait mettre en place ! Des postes d’enseignants sont supprimés à la pelle, des postes de RASED (Réseau d’aide spécialisée pour les élèves en difficulté), des postes de psy scolaire (alors qu’on en a de plus en plus besoin), des postes de remplaçants (ce qui fait que les enseignants ne peuvent plus se former ! Je n’appelle pas ça des réformes mais des régressions.
Tout à fait d’accord concernant les heures supplémentaires ! Les collègues ne devraient pas en faire ! Mon analyse portait surtout sur le premier degré (maternelle et élémentaire) où ces heures supplémentaires ne sont pas possibles. D’où peut-être notre divergence dans l’analyse.
Stéphane Guinot
J’ai moi-même été vacataire il y a quelques années dans un lycée et je l’affirrme haut et fort : j’étais nettement moins compétent qu’un professeur certifié car je ne savais pas enseigner. L’entretien que j’ai eu au rectorat n’a absolument pas permis de vérifier mes compétences. Il manquait quelqu’un dans un lycée, il fallait boucher un trou, alors on a mis n’importe qui, en l’occurence moi ! J’avais les connaissances dans la matière enseignée, mais pas les compétences pour enseigner. Ce que je dis, c’est qu’il ne devrait pas manquer de monde dans l’Education nationale, que tous les postes devraien être pourvus. Pour cela, il faut ouvrir des postes au concours, de manière à mettre sur tous les postes des personnels titulaires et formés. En étant totalement incompétent, je touchais, en étant vacataire, 140 Euros sur une demi journée (35 €/ heure x 4 heures). C’est véritablement scandaleux ! A l’époque, je n’avais jamais enseigné, je n’avais aucun concours et je n’avais pas été formé. Pourtant je touchais 35 € par heure travaillée !
Aujourd’hui, j’ai un concours, Cela fait plus de quatre ans que j’enseigne et j’ai été formé. Et si l’on rapporte mon salaire annuel aux heures face aux élèves de l’année (différents des heures travaillées, car on ne travaille pas seulement lorsqu’on est face aux élèves), je trouve 23,61 €/ heure face aux élèves...
Quand la formation IUFM ancienne version, je n’ai jamais caché qu’elle était perfectible. Je l’ai même dit dans un commentaire précédent. Et perfectible ne veut pas dire qu’il faille la supprimer ! Deux mots à propos de cette « ancienne » formation« perfectible. J’ai commencé le métier de professeur des écoles en tant que »liste complémentaire« . En effet, je n’étais pas sur la liste principale l’année de mon concours. Il a donc fallu qu’on m’appelle pour »boucher un trou« . Je n’avais encore reçu aucune formation, j’avais juste préparé le concours avec les bouquins du CNED. Là, je me suis retrouvé appelé le lundi matin au beau milieu de l’année scolaire, sur un poste fractionné : 1 CM1 (22 élèves) à 85 bornes de chez moi, un CM2 (24 élèves, dont 5 en grande difficulté) à 85 bornes de chez moi. Un CE2-CM1-CM2 à 16 à 70 bornes de chez moi et un CE2-CM1-CM2 (24 élèves, seul enseignant dans l’école) à 45 bornes des chez moi. Cette année s’est bien passée mais les débuts ont été difficiles (les double-niveaux sont difficiles à gérer quand on n’a pas été formés !!!). L’année suivante, j’étais en formation à l’IUFM ou j’ai pu »aterrir« , réfléchir à ma pratique, me remettre en question, comparer différentes méthodes, échanger avec des collègues. Et aujourd’hui, je l’affirme, durant cette année de »liste complémentaire", je ne savais pas enseigner. Je mettais les élèves en activité, ils bossaient, mais je n’enseignait pas. Les élèves qui étaient capables de s’en sortir seuls s’en sortaient et apprenait sans doute un petit peu, mais ceux qui étaient en difficulté n’apprenaient rien. Ils faisaient l’activité proposée, puis validaient ou invalidaient leur réponses lors de la correction. Ce n’est pas ça enseigner, c’est pourtant ce que va faire chaque personne qui se retrouve face à une classe sans être formé.
Quand aux injures, il n’yen a pas. Je n’ai pas dit que vous étiez un ancien vacataire aigri, frustré et imbu de sa personne. J’ai dit que vous teniez des propos qu’un ancien vacataire, dans l’état d’esprit que je décris, pourrait tenir.
J’ajoute également que je n’ai absolument rien contre les vacataires en tant que personnes. je l’ai moi-même été et j’en ai parmi mes amis de longue date ! Simplement, je pense qu’il faut limiter le recours aux vacataires dans l’EN car le système n’est pas satisfaisant. Je préfèrerais que soient créés des postes de titulaires (pour cela, je le répète, il faut ouvrir des postes au concours) de manière à donner une chance aux vacataires précaires d’avoir une situation stable et de pouvoir exercer le métier qu’ils aiment.
Stéphane Guinot
Séphane Guinot
Le scandale c’est que :
1) Non elle ne savait pas à quoi elle s’engageait puisque cette situation (se retrouver sur le terrain dès la rentrée et sans formation) est nouvelle.
2) C’est son employeur qui la met (elle et les autres stagiaires) dans une situation de souffrance
3) On ne fait pas pression sur quelqu’un qui est en arrêt de travail pour qu’il reprenne, sous peine de licenciement. Cela est illégal. Ce n’est pas elle qui a décidé de s’arrêter, c’est son médecin qui a pris la décision. S’il a pris cette décision, c’est qu’elle était nécessaire. A mon sens, un médecin est plus compétent que l’administration pour décider de qui doit reprendre le travail ou non. On ne peut pas jouer avec la santé des gens et continuer à exercer des pressions ignobles sur des personnes déjà fragilisée par leur état de santé.
Stéphane Guinot
Je vois que vous connaissez mieux que quiconque le métier d’enseignant !
Autorité et pédagogie sont deux notions distinctes. Vous pensez que l’autorité entraîne automatiquement la qualité pédagogique. J’affirme le contraire. Un enseignant au point sur plan de la pédagogie, qui sait où il veut emmener ses élèves, aura beaucoup moins de mal à se faire respecter qu’un enseignant qui ne l’est pas, qui hésite. Car les élèves ressentent très rapidement les hésitations. C’est dans ce sens là que ça marche, pas l’inverse. Ce qui ne veut pas dire qu’un enseignant qui rencontre des problèmes de discipline dans sa classe n’est pas au point pédagogiquement. La maîtrise pédagogique est une condition nécessaire mais non suffisante pour éviter les problèmes de discipline.
Et puis « avoir de l’autorité », ça veut dire quoi ? Je connais des enseignants qui ont pas mal de bouteille, qui savent tenir leur classe sans problème, pourtant, certaines années, ils peuvent connaître des problèmes de disciplines avec certains élèves ou certains groupes d’élèves. C’est comme ça. Ce n’est donc pas un don de Dieu, c’est juste une forme de relation sociale entre différents individus. Et quelqu’un qui « a de l’autorité » avec un groupe d’élèves peut très bien ne plus en avoir avec un autre !
Beaucoup d’enseignants tiennent très très bien leur classe. Ont-ils tous de l’autorité ? pas forcément.
Un enseignant qui tient sa classe par la menace de la punition, de la sanction, n’a pas assez d’autorité. Cela m’arrive certaines années de devoir mettre de nombreuses punitions. D’autres années, avec d’autres élèves, je n’ai pas besoin de punir. Dans tous les cas, les problèmes de disciplines sont contenus. Dans le premier cas, je n’ai pas assez d’autorité sur les élèves, dans le second, j’en ai suffisamment. Pourtant, je suis le même homme ! Je n’ai pas changé ! Ce sont les relations qui changent. L’autorité n’est donc pas un don de Dieu.
Stéphane Guinot
Arrêtez de parlez et de penser à ma place ! Ce n’est absolument pas ce que je dis. Simplement, je suis contre le système des vacataires dans l’éducation nationale. C’est vraiment mépriser les enseignant que de penser que n’importe qui, non formé, recruté sur le pouce sans véritable entretien et sans vérification des compétences, puisse avoir la responsabilité d’une classe. Et c’est grave pour les élèves. Je ne vois pas par quelle magie des vacataires non formés, recrutés sur le pouce, sans aucune vérification des compétences, seraient tou plus compétent que des enseignants formés pour leur métier. De tels propos sont complètement ridicules. Ils pourraient être les propos d’un ancien vacataire frustré, aigri et imbu de sa personne qui ne comprend pas pourquoi lui (le top du top au niveau didactique et pédagogique) n’arrive pas à obtenir le concours alors que tous les nullards qui l’entourent y arrivent). Arrêtez donc de mépriser la profession et mettez vous d’abord dans la tête qu’être enseignant, c’est un métier à part entière et non un don tombé du ciel ou de je ne sais où !
Stéphane Guinot
c’est toujours grave quand quelqu’un se fait virer. mais je maintiens qu’il vaut mieux mettre devant les élèves des titulaires formés et non précaires que des vacataires précaires, dociles, non formés et recrutés sur le pouce, c’est ma vision des choses... Je préfèrerais, si on manque de professeurs, que l’on ouvre des postes au concours.
Non, pas d’erreur. En effet, pour enseigner, il vaut mieux avoir un minimum d’autorité, c’est mieux, c’est une qualité qu’on peut avoir ou non. C’est aussi une qualité qu’on peut travailler et développer. Mais surtout, le métier d’enseignant ne se résume pas à ce type de qualité. Préparer une séance, poser clairement les objectifs et les moyens à mettre en oeuvre pour les atteindre, aider les enfants à développer leurs propres stratégies, leurs propres réflexions, etc... tout cela s’apprend. Il ne suffit pas d’avoir de l’autorité pour enseigner. il faut avant tout savoir enseigner ! Si l’on met n’imprte qui avec de l’autorité devant une classe, il n’est pas sûr que les enfants apprennent...
Stéphane Guinot
Choisir le métier d’enseignant par défaut ??? Je ne le pense pas. Le concours est bien trop difficile est les pourcentages de réussite assez bas. On ne devient pas enseignant en claquant des doigts. Le concours demande une longue préparation. Il demande aussi aux candidats d’être complet au niveau de la maîtrise des disciplines.
J’ajouterais également, pour vous répondre, qu’on ne peut pas savoir à l’avance si on est capable d’enseigner ou pas. Un premier tri est fait lors du concours (ce tri est certes mauvais puisqu’il se base presque uniquement sur la maîtrise des disciplines), un deuxième tri (plus axé sur la pédagogie, la didactique et la gestion de la classe) est fait lors de l’année de stage avec des stagiaires qui sont prolongés dans leur année de stage ou directement licenciés.
Concernant les vacataires, la situation est dramatique, mais pas dans le sens où vous le dites. Très souvent, ils sont recrutés sur un simple entretien de quelques minutes où les compétences de la personne ne sont même pas vérifiées. L’entretien a juste pour but d’informer le vacataire sur son futur poste. J’ai moi-même fait des vacations en lycée et vécu un entretien de ce type. A certains endroits, on manque cruellement de prof. Pour l’administration, il faut mettre qq’un devant la classe, même si cette personne n’est pas compétente. Je n’étais pas compétent pour enseigner l’option Sciences éco en lycée, pourtant j’ai été recruté car j’avais passé 5 ou 6 ans auparavant, un bac en choisissant cette option... Mais je n’avais jamais appris à construire une séance et à enseigner, je ne connaissais même pas les programmes !
La politique actuelle, aussi bien dans les écoles que dans les collèges et les lycées est de réduire drastiquement le nombre de titulaires formés au profits de vacataires non formés et précaires, donc plus vulnérables et plus incités à répondre positivement aux injonctions souvent abusives de l’administration. Nous verrons les conséquences de cette politique dans quelques années. Dès les prochains mois, nous aurons sur le marché du travail des lauréats de Masters (métiers de l’éduc, etc...) qui n’auront pas le concours. Le master qu’ils auront ne leur permetta pas de s’insérer sur le marché du travail. Nous risquons donc de voir se constituer un vivier de vacataires et de précaires qui seront employés pour faire des remplacements (courts ou longs). Ces employés précaires obéiront au doigt et à l’oeil à une administration qui cherche de plus en plus à caporaliser le métier.
Quant aux dépressions et démissions, je me souviens d’un reportage sur France Inter qui concernait la formation des enseignants. Une enseignante du second degré, qui avait été envoyée sur le terrain sans formation dès le jour de la rentrée était, quelques semaines après la rentrée, en arrêt maladie. L’administration lui a alors envoyé une lettre l’incitant de reprendre rapidement le travail, sans quoi sa titularisation risquait d’être mise en péril...
Bien sûr qu’il faut bien commencer à travailler un jour. Mais enseigner est un métier qui s’apprend. Ca ne s’improvise pas.
Bien entendu, la formation qui était proposée avant la « réforme » au sein des IUFM était perfectible. Quant à dire qu’elle était « ridiculement inutile », je ne le crois pas. L’enseignant y apprenait à organiser son travail sur l’année, sur chaque période, sur la semaine, sur la journée. Il apprenait à construire des séances, à gérer la relation avec les parents, à réguler les conflits au sein d’un groupe. Il recevait des informations sur les stratégies que les élèves utilisent dans l’pprentissage de la lecture, etc... Beaucoup de personnes pense que l’IUFM ne formait pas car il ne fournissait pas de « recettes » directement applicables par les enseignants. Mais il ne faut pas oublier qu’un enseignant n’est pas un « exécutant » de bonnes pratiques. C’est un concepteur. L’enseignant doit sans cesse se remettre en cause, remettre en cause son travail, explorer de nouvelles pistes pour faire progresser ses élèves. Pour cela, il n’existe pas de recette. Chaque enseignant doit trouver sa façon d’enseigner qui lui convient le mieux et adapter sa pratique aux élèves qu’il a en face de lui.
Je dirait donc qu’avant, la formation était bonne mais perfectible alors que maintenant, elle est inexistante. De plus, la réformer de la formation initiale des enseignants a des conséquences graves sur la formation continue qui est elle aussi réduite à peau de chagrin.
Vous dites que la qualité de l’enseignement dépend de l’enseignant. J’ajouterais que la qualité de l’enseignant dépend en grande partie de la formation qu’il a reçue. Les enseignants sont aujourd’hui complètement démunis face aux difficultés qu’ils rencontrent.
Vous dites également qu’apprendre sur le tas est moins pire qu’avant. Je ne le pense pas. D’abord il convient de préciser que la formation « ancienne version » était loin d’être complètement déconnectée des réalités du terrain puisque les enseignants stagiaires passaient un tiers de leurs temps en responsabilité d’une classe : stage filé d’une journée par semaine dans une classe durant toute l’année + 2 stages en responsabilité de 3 semaines chacun. Le reste du temps, passé à l’IUFM, parmettait à l’enseignant de réfléchir à sa pratique, de la confronter à celle des autres collègues, d’analyser ses réussites et ses échecs, de préparer des séances qu’il allait tester devant ses élèves pour ensuite partager ses expériences avec ces collègues stagiaires. Il passait également une partie de ce temps à aller observer, préparer et conduire des séances dans les classes de maîtres formateurs.
Quant à la phrase : « tout le reste n’est que gesticulation corporatistes syndicalistes », je ne la comprends pas.
Stéphane Guinot
et merci pour ce commentaire.
Il va y avoir des Masters disciplinaires spécifiques aux métiers de l’enseignement créés dans les universités. Une fois le Master en poche, les « mastérisés » (en n’importe quoi, car pour valider le concours, il faudra n’importe quel master (économie, marketing, psychologie...)) se retrouveront directement sur le terrain. Vu la tournure que prennent les événement et aux dernières nouvelles, la formation post-concours sera réduite à un simple compagnonnage jusqu’à la Toussaint. Les modalités de ce compagnonnage ne sont pas encore définies !
Il n’y a aucune volonté de formatage politique ou idéologique des enfants dans mon propos. Mon propos est, certes, guidé par des valeurs. Mais cela ne me semble pas indécent. La pédagogie, selon Meirieu, s’efforce d’articuler 3 pôles :
- un pôle axiologique : la pédagogie ne se conçoit pas sans référence à des valeurs.
- un pôle scientifique : la pédagogie ne se conçoit sans référence à des connaissances rigoureuses sur les phénomènes éducatifs (sociologie, psychologie, didactique...)
- un pôle praxéologie : la pédagogie ne se conçoit pas sans la production d’outils pour agir en éducation
Stéphane Guinot
Agoravox utilise les technologies du logiciel libre : SPIP, Apache, Ubuntu, PHP, MySQL, CKEditor.
Site hébergé par la Fondation Agoravox
A propos / Contact / Mentions légales / Cookies et données personnelles / Charte de modération